Drakaan
Le matin fut difficile, comme la plupart d'ailleurs. Le soleil taper directement sur le visage de la jeune femme, qui supportait encore moins la lumière au réveil. Elle se frotta les yeux, en baillant, puis ouvrit ses mains pour admirer silencieusement l'écu offert par Samsa, qui la faisait sourire. Drakaan se dit qu'elle devrait apprendre à tisser, pour faire une bourse à la valeur de l'écu, et capable de le protéger aussi. Après tout... Il était déjà cher à ses yeux. Vivement qu'elle aille raconter cela à Mademoiselle Agatha, cette rencontre du destin farfelue, mais pourtant splendide ! Mais avant elle avait du travail dans la journée, il fallait bien connais son sous pour sa miche de pain quotidienne. Elle avait été engagé pour récolté un champs... Pour elle qui n'aimait pas le soleil, c'était dur... Mais ce n'était rien. Pour de l'argent, et survivre surtout, elle était capable à ce petit sacrifice de mettre sa peau blanchâtre au soleil. Un jour elle aura un chapeau... Un jour !
Elle ria seule à cette pensée enfantine, et se contenter d'aller à la rivière pour se laver un peu les cheveux et le corps, tant que le reste du village dormait. Elle n'avait pas de bain, ni rien : et l'eau de la nature était plus agréable que tous le reste. Dans cette eau, nue, elle se sentait en communion avec la Terre, la Vie, et peut-être Dieu. Elle fermait ses yeux, ses mains cachant sa poitrine légère, et ses marques sur le corps. Mais elle profiter de ce petit bain à l'aurore, dans la solitude, et apprécier sentir la crasse s'en aller un peu ; Pouvoir glisser ses doigts dans ses long cheveux était un véritable bonheur. Bien qu'il restait sale encore, n'ayant aucun produit, ils l'étaient bien moins qu'avant ! Et le chant agréable des oiseaux qui se levaient aussi fit sourire Drakaan. Parfois, l'albino se demandait si elle ne préférait pas ces adorables bêtes, plus que les êtres perfides qu'elle avait déjà pu croisé ?
Il ne fallait pas y pensé ! Elle sortie de là, et se sécha comme elle pouvait, espérant par ailleurs que personne ne la voyait. Elle n'aimait pas que l'on voit ses marques sur le cous, ou même le corps. Des signes à vie d'une certaine brutalisation... Serait-ce cela qui l'a conduit à vouloir réussir « pacifiquement » ? Et de suivre le précepte de si l'on te frappe, tant l'autre joue ? Qu'importe, elle devait maintenant se préparer, elle enfila sa robe cette fois, bien que déchiré, pour aller trouver Mademoiselle Agatha et lui raconter ses dernières aventures. Drakaan avait une hâte de tout lui rapporter, comme une enfant envers sa mère.
La jeune fille avec les ses longs cheveux blancs encore mouillée se baladait dans le village, tentant de savoir où elle l'a trouverait... peut-être dans une taverne.. Oh ! Une fois elle lui avait parlé de cette taverne ! Mince, qu'elle était le nom.. L'in.. L'in.. l'incompris ? Non ! Elle réfléchissait fortement, que lorsqu'elle leva la tête, elle put lire « Taverne de l'insolent » et d'un sourire elle claqua ses mains en signe de réussite personnelle ! Maintenant, elle pénétra les lieux, et chercha du regard Mademoiselle Agatha, qu'elle n'eût aucun mal à reconnaître, et s'avança vers elle, avant de la saluer avec le plus grande des politesses et de s'asseoir à ses côtés, le sourire jusqu'au oreilles, trépignant d'impatience de tout lui dire.
« Je suis tellement contente de vous voir Mademoiselle Agatha ! Comment allez vous ? J'ai quelque chose d'exceptionnel à vous raconter ! J'vous promet que vous n'allez pas en croire vos oreilles Mademoiselle ! » Ria t-elle, excitée.
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Elle ria seule à cette pensée enfantine, et se contenter d'aller à la rivière pour se laver un peu les cheveux et le corps, tant que le reste du village dormait. Elle n'avait pas de bain, ni rien : et l'eau de la nature était plus agréable que tous le reste. Dans cette eau, nue, elle se sentait en communion avec la Terre, la Vie, et peut-être Dieu. Elle fermait ses yeux, ses mains cachant sa poitrine légère, et ses marques sur le corps. Mais elle profiter de ce petit bain à l'aurore, dans la solitude, et apprécier sentir la crasse s'en aller un peu ; Pouvoir glisser ses doigts dans ses long cheveux était un véritable bonheur. Bien qu'il restait sale encore, n'ayant aucun produit, ils l'étaient bien moins qu'avant ! Et le chant agréable des oiseaux qui se levaient aussi fit sourire Drakaan. Parfois, l'albino se demandait si elle ne préférait pas ces adorables bêtes, plus que les êtres perfides qu'elle avait déjà pu croisé ?
Il ne fallait pas y pensé ! Elle sortie de là, et se sécha comme elle pouvait, espérant par ailleurs que personne ne la voyait. Elle n'aimait pas que l'on voit ses marques sur le cous, ou même le corps. Des signes à vie d'une certaine brutalisation... Serait-ce cela qui l'a conduit à vouloir réussir « pacifiquement » ? Et de suivre le précepte de si l'on te frappe, tant l'autre joue ? Qu'importe, elle devait maintenant se préparer, elle enfila sa robe cette fois, bien que déchiré, pour aller trouver Mademoiselle Agatha et lui raconter ses dernières aventures. Drakaan avait une hâte de tout lui rapporter, comme une enfant envers sa mère.
La jeune fille avec les ses longs cheveux blancs encore mouillée se baladait dans le village, tentant de savoir où elle l'a trouverait... peut-être dans une taverne.. Oh ! Une fois elle lui avait parlé de cette taverne ! Mince, qu'elle était le nom.. L'in.. L'in.. l'incompris ? Non ! Elle réfléchissait fortement, que lorsqu'elle leva la tête, elle put lire « Taverne de l'insolent » et d'un sourire elle claqua ses mains en signe de réussite personnelle ! Maintenant, elle pénétra les lieux, et chercha du regard Mademoiselle Agatha, qu'elle n'eût aucun mal à reconnaître, et s'avança vers elle, avant de la saluer avec le plus grande des politesses et de s'asseoir à ses côtés, le sourire jusqu'au oreilles, trépignant d'impatience de tout lui dire.
« Je suis tellement contente de vous voir Mademoiselle Agatha ! Comment allez vous ? J'ai quelque chose d'exceptionnel à vous raconter ! J'vous promet que vous n'allez pas en croire vos oreilles Mademoiselle ! » Ria t-elle, excitée.
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J'ai conscience de la difficulté de ce monde, de la haine et de la joie. Mais c'est avec cela, que j'avancerai, et saurai me faire connaître. Je rendrai à ceux qui m'ont offert la chance de vivre l'honneur qu'ils devraient avoir, en réussissant... Car leur confiance, me donne envie de poursuivre et d'avancer bien plus loin encore ! >>