Zade
Musique d'ambiance
Il avait sonné l'heure de sortir les plus belles soieries et les plus beaux atours.
Il avait sonner l'heure de sortir les somptueuses tenues et les décors splendides.
Il avait sonné l'heure d'un mariage !
Ce n'était pas des gitan qui étaient venu lui demander tel service, ce n'était pas des amis de longue date ou une famille reconnu par le royaume.
De simple personnes rencontré depuis le début de leur séjour bretonnesque, qui était des plus mouvementer que jamais.
Les rencontres avaient afflué, une minette qui ce prétendait assez audacieuse pour avoir la main de l'un de ses petits fils, un curé qui s'entendait dire aimé les jeunes femmes et un couple possédant une taverne des plus originale.
L'histoire ce fut tourner sur ces derniers, un homme grand costaud et barbue, une femme aussi frêle qu'une brindille de bois, un couple des plus ordinaire et complémentaire.
La veille de cette cérémonie, Zade les avait retrouver en leur antre, lors d'un moment des plus sanglant, la femme s'ouvrant volontairement et inconsciemment le doigt, son compagnon n'intervenant et ne comprenant rien de ce qui ce passait, les deux ce faisant un boudin noir de chaque côté de leur demeure publique.
Deux enfants, voila ce qu'elle voyait la bonne vieille Zadyenne, mais elle, au contraire de ces deux là, réussis à réagir plus rapidement avant qu'un drame plus affreux ne leur tombe sur le coin du nez.
épreuve pour la femme, il fallait recoudre cette affreuse plaie béante, Zade n'y était pas aller de main morte, ne lui cédant aucun remède pour l'aider à souffrir moins, seul son compagnon la soutenant physiquement, si elle voulait souffrir, elle lui avait donner l'occasion de le faire.
Opération plutôt efficace, ce qui permis de réparer un doigt et deux curs.
Songeant avoir terminer son travail, Zade était prête à retourner au près des sien lorsque la petite femme l'interpella pour une chose qu'elle ne refusa aucunement.
Pour simple réponse elle ne leur donna guère un délais bien long, ils devaient ce présenté le lendemain matin à l'aube au camp des Orsangue pour célébrer leur union devant le très haut, si c'était leur souhait le plus important pour eux, ce serait chose faite en un clin dil de quelque jours, car ils n'y pensaient peut être pas, mais lorsque les gitans font ce genre de cérémonies, ce n'est pas pour une heure ou deux et Zade comptait parfaitement réaliser cet ouvrage avec une perfection digne d'un roi et d'une reine.
Ce n'étaient pas des gitans, ce qui leur épargnait bien des étapes, mais ils en subiraient certaines qui était non négociable, ils avaient choisit Zade pour les marié, ils étaient loin d'arriver au bout de leur peine.
Pour ce qui était de la question des invités, il n'y avait pas besoin de faire des papiers à tout vas pour annoncer que deux êtres allaient s'unir devant le très haut, les bouches ça s'ouvrent et ça commente, et pour cela, les gitans savaient parfaitement les utiliser !
Toute la famille Orsangue était convié, les amoureux pouvaient eux aussi invité leur amis, de petit nombre songeait Zade au vue du nombre de la famille.
Elle n'avait pas fermer lil de la nuit pour préparer cette cérémonie, cela ne lui manquait pas trop de ne pas dormir, elle en avait l'habitude, la vieillesse aidant beaucoup sur ce sujet, contrairement à certain autres membres de la famille, surtout les plus jeunes, qui peinaient sur la fin, somnolant debout quelque instant, ceux là, la vieille femme les invita à aller ce reposer un peut, car les prochains jours, ils ne dormiraient guère beaucoup plus.
Les roulottes avaient été décorer de multiple fleurs et branchages, les coiffure avaient pris le même exemple, les tenues étaient coloré et vive, pleine de vie, les sourires affiché sur les visage, l'enthousiasme ce sentait à fleur de peau.
Fêter un mariage était toujours joyeux.
Une petite estrade avait été monté afin que Zade vienne y monté pour célébrer cette union.
La vieille femme était prête depuis bien des heures, habiller de multitudes de voile et turbans de couleurs toutes différentes, ses pieds toujours nues, règles qu'elle n'avait jamais enfreint de toute sa vie, sentir le sol c'était une règle primordiale pour elle.
Planter comme un valet de pique, sa canne devant elle et les deux mains positionner dessus, elle attendait sagement les amoureux.
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Il avait sonné l'heure de sortir les plus belles soieries et les plus beaux atours.
Il avait sonner l'heure de sortir les somptueuses tenues et les décors splendides.
Il avait sonné l'heure d'un mariage !
Ce n'était pas des gitan qui étaient venu lui demander tel service, ce n'était pas des amis de longue date ou une famille reconnu par le royaume.
De simple personnes rencontré depuis le début de leur séjour bretonnesque, qui était des plus mouvementer que jamais.
Les rencontres avaient afflué, une minette qui ce prétendait assez audacieuse pour avoir la main de l'un de ses petits fils, un curé qui s'entendait dire aimé les jeunes femmes et un couple possédant une taverne des plus originale.
L'histoire ce fut tourner sur ces derniers, un homme grand costaud et barbue, une femme aussi frêle qu'une brindille de bois, un couple des plus ordinaire et complémentaire.
La veille de cette cérémonie, Zade les avait retrouver en leur antre, lors d'un moment des plus sanglant, la femme s'ouvrant volontairement et inconsciemment le doigt, son compagnon n'intervenant et ne comprenant rien de ce qui ce passait, les deux ce faisant un boudin noir de chaque côté de leur demeure publique.
Deux enfants, voila ce qu'elle voyait la bonne vieille Zadyenne, mais elle, au contraire de ces deux là, réussis à réagir plus rapidement avant qu'un drame plus affreux ne leur tombe sur le coin du nez.
épreuve pour la femme, il fallait recoudre cette affreuse plaie béante, Zade n'y était pas aller de main morte, ne lui cédant aucun remède pour l'aider à souffrir moins, seul son compagnon la soutenant physiquement, si elle voulait souffrir, elle lui avait donner l'occasion de le faire.
Opération plutôt efficace, ce qui permis de réparer un doigt et deux curs.
Songeant avoir terminer son travail, Zade était prête à retourner au près des sien lorsque la petite femme l'interpella pour une chose qu'elle ne refusa aucunement.
Pour simple réponse elle ne leur donna guère un délais bien long, ils devaient ce présenté le lendemain matin à l'aube au camp des Orsangue pour célébrer leur union devant le très haut, si c'était leur souhait le plus important pour eux, ce serait chose faite en un clin dil de quelque jours, car ils n'y pensaient peut être pas, mais lorsque les gitans font ce genre de cérémonies, ce n'est pas pour une heure ou deux et Zade comptait parfaitement réaliser cet ouvrage avec une perfection digne d'un roi et d'une reine.
Ce n'étaient pas des gitans, ce qui leur épargnait bien des étapes, mais ils en subiraient certaines qui était non négociable, ils avaient choisit Zade pour les marié, ils étaient loin d'arriver au bout de leur peine.
Pour ce qui était de la question des invités, il n'y avait pas besoin de faire des papiers à tout vas pour annoncer que deux êtres allaient s'unir devant le très haut, les bouches ça s'ouvrent et ça commente, et pour cela, les gitans savaient parfaitement les utiliser !
Toute la famille Orsangue était convié, les amoureux pouvaient eux aussi invité leur amis, de petit nombre songeait Zade au vue du nombre de la famille.
Elle n'avait pas fermer lil de la nuit pour préparer cette cérémonie, cela ne lui manquait pas trop de ne pas dormir, elle en avait l'habitude, la vieillesse aidant beaucoup sur ce sujet, contrairement à certain autres membres de la famille, surtout les plus jeunes, qui peinaient sur la fin, somnolant debout quelque instant, ceux là, la vieille femme les invita à aller ce reposer un peut, car les prochains jours, ils ne dormiraient guère beaucoup plus.
Les roulottes avaient été décorer de multiple fleurs et branchages, les coiffure avaient pris le même exemple, les tenues étaient coloré et vive, pleine de vie, les sourires affiché sur les visage, l'enthousiasme ce sentait à fleur de peau.
Fêter un mariage était toujours joyeux.
Une petite estrade avait été monté afin que Zade vienne y monté pour célébrer cette union.
La vieille femme était prête depuis bien des heures, habiller de multitudes de voile et turbans de couleurs toutes différentes, ses pieds toujours nues, règles qu'elle n'avait jamais enfreint de toute sa vie, sentir le sol c'était une règle primordiale pour elle.
Planter comme un valet de pique, sa canne devant elle et les deux mains positionner dessus, elle attendait sagement les amoureux.
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