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[rp]Hostel Malemort-Arduillet-Brassac, le MAB

Melissandre_malemort
Une lettre attend les propriétaires des lieux, déposée sur la table du vestibule.

Citation:
Blanche, Gailen.

J'ignore à quel moment les choses ont prit un tour aussi sombre entre nous. Après treize années à me recadrer jour après jour, j'imagine que pareille extrémité était inévitable.

Jamais ne n'aurais pu imaginer jusqu'à quel point vous étiez en colère contre moi, ni combien il vous coûtait de devoir vous oublier au quotidien pour prendre soin d'une cadette impudente et ingrate.

Blanche... Ne crois pas que je n'étais pas consciente de tes sacrifices. Ou que j'ignorais combien de fois tu t'es isolé pour pleurer et me cacher tes larmes. Je t'entendais, depuis derrière la porte, et je passais la nuit assise sur le palier sans oser entrer pour te réconforter.

J'étais incapable de trouver les mots justes, de prendre en plein visage tout ce que tu endurais pour nous.

Je garde le souvenir de l'enfant insouciante que tu étais loin du Louvre, quand nous passions nos journées ensemble à courir dans le parc de Segur. Je te revois sautillant et riant pour me montrer à quel point il était bon de continuer à vivre malgré la mort de mère. Je me souviens de tes bras quand j'étais malade, de tes lèvres fraîches sur mon front, de ton parfum de violette.

Je t'ai vu t'étioler par vague régulière et je n'ai rien fais. J'ai continuer à agir comme une petite idiote égoïste. Parceque j'aime danser et rire, j'ai cru que je pouvais le faire éternellement pour qu'un jour enfin la Blanche de Ségur réapparaisse.

J'ai cru pouvoir manquer de respect à Gailen parcequ'au fond, j'avais l'espoir de vous ouvrir les yeux à tous deux.

Je croyais qu'il suffisait de vouloir quelque chose pour que le monde se plie à mes volontés.

Que je pouvais éternellement me conduire comme une petite sotte inconvenante sans en payer le prix.


Il est temps pour moi aujourd'hui de payer ma dette. D'apprendre de mes erreurs et de vous épargner du temps et de l’énergie. J'ai décidé de me retirer très bientôt au couvent afin de faire pénitence et de commencer mes Pastorales. J'espère trouver là bas le chemin du travail et de la bienséance.

Je ne peux ni ai le courage pour vous présenter des excuses pour chacun de mes méfaits, chacun de mes défauts, et tous les chagrins que j'ai pu vous causer à tous deux.

Avec ma plus sincère affection, et mes plus sincères regrets.

Mélissandre Jeanne Marie de Malemort, Princesse de France.


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Blanche_de_malemort
La lune brillait depuis longtemps dans le ciel quand l'Altesse Royale put enfin regagner son logis, portant encore sous son bras les parchemins qu'elle devait avoir lut d'ici demain ainsi que la liste des choses à faire qu'elle souhaitait passer en revue. Chaque tâche était mentionnée, celle achevée était biffée, certaines entourées de rouge signalait leur nature prioritaire.

Frappée d'un mal de crane lancinant, la Princesse ne rêvait que de se glisser entre ses draps et de s'emmitoufler pour chasser la fatigue et son humeur morose, malgré l'heureux sentiment de devoir accompli qu'elle découvrait ces derniers jours chaque soir.

Cependant il était dit que non, ce soir là, la perspective du repos lui serait ôtée. Après avoir pris connaissance de la missive, Blanche manqua de laisser choir son fardeau de saisissement. Encore une fugue... encore une fuite... Était ce donc trop demander qu'un peu de Paix dans cette famille ? Faudrait il toujours qu'elle courre après l'un ou l'autre dans l'espoir de voir heureux et en sécurité les siens ?

En l’occurrence, ces derniers temps, Mélissandre avait usé la réserve de patience de son ainée qui ne comprenait pas, qui ne reconnaissait plus sa cadette. Sa propre transition vers l'âge adulte ne l'avait pas transformé en monstre d'indiscipline, bien sur Blanche avait toujours fait en sorte d'être ce que l'on attendait d'elle mais tout de même...

Regagnant sa chambre alors qu'elle tenait toujours la missive à la main, Blanche l'abandonne sur un guéridon prés de son lit avant de se débarrasser de sa robe toute seule, elle avait convenue avec sa femme de chambre qu'il serait inutile pour elle de veiller chaque soir, ne sachant pas à quelle heure la Princesse rentrerait. Une fois étendue dans le noir, alors que le sommeil salvateur la fuyait, une fois de plus, elle ne put lutter contre les souvenirs et chasser de sa mémoire la survivance de ce qu'elle avait été... cette jeune fille naïve, terriblement effrayée par l'idée de grandir, de devoir faire face au monde et qui n'aspirait qu'à un heureux mariage, une vie de bonheur domestique sereine et simple avant que de comprendre que les Princesses, ans la véritable vie, n'étaient jamais sauvées, qu'il n'y a pas plus de princes charmants que de pomme empoisonnées et qu'elle ne devrait jamais compter que sur elle même.

Oui, elle avait changé, bien sur, mais il le fallait, tout le monde changeait... Elle ne regrettait pas d'avoir abandonné l'insouciance pour trouver le courage d'accepter la réalité, pour se confronter au monde... Elle avait fait ce qu'elle devait, sans nuire, sans se plaindre... Tant pis si cela devait signifier d'embrasser la solitude de son avenir. Blanche l'avait accepté comme on accepte son héritage, aujourd'hui elle ne tolérerait pas que Mélissandre, dans la naïve croyance qu'elle avait de tout savoir mieux que quiconque, de pouvoir ce que personne ne pouvait, entendait justifier son attitude irraisonnable par l'invocation de ce que fut son ainée. La cadette aussi apprendrait que tout le monde devait, un jour, accepter de grandir.

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Melissandre_malemort
La porte de l'Hostel s'ouvrit à l'aube, sans un bruit, laissant passer la silhouette menue d'une Mélissandre encapuchonnée et transie de froid.

Le vent qui soufflait et tempêtait dans la ville pouvait vous glacer jusqu'au sang en un rien de temps. Elle souffla sur ses doigts pour tenter de leur épargner la honte de tomber à ses pieds comme des glaçons, puis se dirigea vers le salon ou était déjà dressée la table du petit déjeuner.

A cet instant, Mélissandre aurait nié se faire du mourron depuis qu'elle avait croisé sa soeur en taverne la veille au soir. Elle aurait prétexté le froid, la fatigue, ou sa sécurité. Mais la vérité lui déchirait le coeur : Blanche était en train de se tuer à l'ouvrage et ses joues se creusaient déjà à force de sauter des repas.

Empilant du raisin et des poires sur un plateau, puis un beau rayon de miel et une miche de pain, la cadette Malemort grimpa à l'étage les bras lourdement chargés, poussa la porte de la chambre de Blanche et déposa les victuailles au pied du lit avant de commencer à faire demi tour.

L'héritère Malemort dormait profondément, et Morphée avait apaisé ses traits. Elle paraissait paisible, perdue dans son grand lit et ses superbes cheveux d'ébène auréolant son petit visage. Mélissandre s'agenouilla à ses cotés et appuya sa joue sur le coussin, juste en face de celui de sa soeur. Les cils de Blanche dessinaient des ombres sur ses joues pâles, comme ceux d'une poupée, et ses lèvres closent amorcèrent un sourire quand sa cadette déposa un baiser sur son front avant de se lever en hâte.

Il lui fallait réintégrer ses appartements. Le couvent attendrait que Limoges ai retrouvé sa sérénité.

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Foulques_de_malemort
Foulques rentrait d'une de ses ballades solitaire en forêt, on aurait pu croire qu'il était resté toute la journée en intérieur tellement ses habits étaient propre. Seul ses bottes recouverte de boue trahissaient son activité précédente, il se déchaussa d'ailleurs directement en entrant dans l'Hostel familial, il avait un certain respect pour les gens qui passaient leur journée à nettoyer le château de fond en comble. Il entra donc les bottes boueuse aux mains, se dépêchant d'aller chercher des chausses dans son appartement car le sol était glacial, il en profita pour jeter sa paire de bottes souillées par la terre dans un seau qui traînait non loin.

De nouveau chaussé il se balada dans les couloirs, pensant se diriger vers les cuisines, c'est alors qu'en passant près de la porte de sa petite soeur Mélissandre, il remarqua dans la petite ouverture de la porte que sa soeur était allongée dans son lit, il était tout de même tôt et puis ce n'était pas dans ses habitudes de rester ainsi dans son lit en pleine journée. Quelque chose n'allait pas, le jeune prince décide alors d'entrer voir ce qui se passe, il toque tout d'abord à la porte puis entre avec un air inquiet.

Il demanda alors d'une voix chaleureuse :


ça va petite chipie?

Quelque soit l'age de sa soeur, Mélissandre sera toujours sa petite chipie à lui.
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Melissandre_malemort
Le visage enfoui dans ses coussins, Mélissandre tentait d'apaiser les battements de son coeur. Tout son corps appelait à se lever et à courir chez le duc d'Aumale pour a nouveau sentir ses lèvres sur les siennes, et ses mains, si larges, si douces, lui enlacer la taille. Et son regard brulant qui semblait vouloir lui hurler tant de choses... C'était un souvenir délicieux, inégalable.

Un sanglot la souleva malgré tout, et elle revit Blanche qui dormait seule depuis si longtemps et qui avait versé tant de larmes. Pourrait elle se faire le bourreau du bonheur de son propre sang? Aeglos souhaitait il même aller au délà de quelques baisers et lui ouvrir son coeur? N'avait elle pas déjà bafoué tous les principes en échangeant un baiser avec lui?

La voix douce de Foulques lui fit lever la tête. Ah... Foulques. De tous les Malemort, il était le plus doux, le plus calme. Le plus amusant. Gade avait il donc contaminer tout Limoges?


- Foulques... Je ne suis pas petite.

En fait, elle l'était. Sa propre jumelle la dépassait d'une demi tête, et Blanche d'une tête entière. mais Mélissandre n'avait pas le gout de la bonne foi, surtout en ce moment.
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Foulques_de_malemort
Le grand frère sourit à la réponse de sa soeur, c'était en fait la même qu'elle utilisait à chaque fois que Foulques l'appelait "petite chipie". Il était tout de même inquiet, sa soeur semblait tourmentée, il ne savait pas pourquoi, c'est ce qu'il voulait découvrir en venant lui parler.

Il s'assit alors à côté d'elle et plongea ses yeux vert dans les yeux attristés de sa soeur. Il lui prit la main et lui demanda :


Alors, raconte moi ce qui te tracasse ainsi Meli, tu peux tout me dire tu sais?

Il ne s'agissait pas là de la première fois que sa soeur se confiait à lui, d'ailleurs beaucoup de ses petits frères et petites soeur aiment s'adresser à Foulques lorsqu'ils ne vont pas bien. Et la plus part du temps il arrive à leur rendre leurs beaux sourires. Il attendait donc la réponse de sa petite soeur, avec l'espoir de lui redonner son joli sourire.
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Melissandre_malemort
La simpe idée d'avouer à son frère aîné qu'elle avait connu son premier baiser, et dans les bras de l'ancien fiancé de Blanche la fit pâlir comme une morte. La princesse se redressa à demi et posa sa tête sur l'épaule de Foulques, comme lorsqu'elle était petite. Il était doux, apaisant, fiable...

- Dis moi Foulques, as tu déjà embrassé une femme?

Consciente du coté incongru de sa question, Mélissandre manqua de ravaler ses mots mais s'en abstint, ses beaux yeux sombres plantés de ceux de son aîné. Ce dernier avait un certain succès auprès des femmes lorsqu'ils vivaient tous à Ségur et elle s'était plusieurs fois étonné que son frère si timide se révèle sur de lui et charmeur devant les jolies femmes.

Du moins, jusqu'à ce qu'il tombe sous le charme de la belle Comtesse de Brive.

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Isaolia
Un jeune page dépose une missive sur le bureau de l'Intendant, missive adressée à sa personne et à Sa grandeur.

Citation:
De Mademoiselle Isaolia Laswellus, Ex-gouvernante de l’hostel

A L’attention de :

Sa grandeur Gailen d’arduilet, Comte de Meymac.
Messire Koen de Trouw, Intendant de L’hostel.

V
otre grandeur, Messire,

C’est avec un profond regret que je vous annonce ma démission de la charge de gouvernante. La confiance qui était vôtres pour ma personne, restera pour mon humble personne un grand honneur. Je ne saurais vous exprimer ma reconnaissance pour les bienfaits aussi minimes soient-ils, attachés à ma charge. Toutefois, sachez que ma loyauté vous sera à jamais acquise, ainsi que mon respect. Non pas par les titres que vous détenez ou la place que vous occupez, mais parce que vous avez été les premiers à me prendre en considération.

Ne voyez dans cette démission aucun ombrage. Cette décision est le fruit d’une circonstance isolée qui n’entre aucunement en ligne de compte avec vos prestigieuses personnes. Par ailleurs, j’ai élu domicile dans cette belle ville qui a su me ravir pleinement. Si un jour, ma présence vous est nécessaire pour éclaircir un point, ma porte vous sera grande ouverte.

Recevez, Votre Grandeur, Messire, Ma haute considération.

Isaolia Laswellus, Ex-gouvernante de L'hostel

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Foulques_de_malemort
La question que lui avait posé sa chère soeur le fit sourire, en effet Foulques avait déjà embrassé quelqu'un, il avait déjà même embrassé pas mal de jeune femmes qui étaient tombées sous son charme. Il ne les comptait plus d'ailleurs, mais en se moment il avait une attirance particulière pour une femme, et il n'avait d'yeux que pour elle.

Il répondit donc en souriant à sa soeur, sachant que la réponse ne la choquerait pas.


Oui j'ai déjà eu l'occasion d'embrasser quelqu'un, même plusieurs femmes, mais je n'ai jamais vraiment aimé quelqu'un..


Bien sur elle connaissait ses sentiments pour une certaine comtesse même si il ne lui en parlait jamais.

Mais pourquoi cette question?

En effet Foulques ce demandait ou voulait en venir sa soeur.
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Melissandre_malemort
Mélissandre ferma les yeux et prit le temps de la réflexion. Elle n'avait jamais embrassé qu'un seul homme mais il lui était arrivé de flirter, à elle aussi. Des mots, des défis, des sourires... Mais jamais encore elle ne s'était permise pareil intimité avant qu'Aeglos l'attire dans ses bras.

- Je me demandais... Si un jour, Gauthier embrassait une de tes anciennes conquête... Est ce que tu serais furieux? Et...Est ce que c'est mal, d'aimer cela? Pour une fille, je veux dire.

Gade l'avait rassuré sur certains points, même si il n'en avait pas conscience. Au delà de ses sourires provoquant, il avait été le seul à la cerner un peu. A mettre des mots sur ce qu'elle ressentait. A ne point la laisser sombrer. Mais il ignorait finalement presque tout de ce qui lui agitait le cœur.

La façon dont Mélissandre trahissait sa soeur.

La raison de son besoin de fuir.


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Foulques_de_malemort
Foulques fronça les sourcils en écoutant les dires de sa soeur, mais il réfléchit à sa question et lui répondit franchement en continuant de la câliner.

Eh bien je pense que si il s'agissait d'une de mes ancienne conquète ça ne me ferai pas grand chose, en revanche si il s'agissait d'une personne pour qui j'ai eu des sentiments fort..mmmh eh bien j'imagine que je serai un peu énervé contre Gauthier oui.
Pour ce qui est de savoir si c'est mal je ne sais pas, enfin si c'est seulement volontaire et pour créer de la jalousie oui c'est mal, mais si c'est basé sur de vrais sentiments..eh bien on ne peut rien faire contre l'amour, donc non ça ne serait pas mal. Mais je peux comprendre que ça puisse créer des conflits.


Il se demanda alors si la réponse allait lui convenir et si elle allait lui dire pourquoi elle se posait ces questions.
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Melissandre_malemort
La réponse de Foulques était sincère et bienveillante. Mélissandre n'en éclata pas moins en sanglot et se jeta dans ses bras sans parvenir à parler.

Tout lui paraissait trop intense, trop douloureux. Il lui était impossible de faire un choix entre un homme et sa propre soeur, c'était pire que tout. Pire que de bruler en enfer.


- Et si Gauthier embrassait Victoire? Est ce que tu le détesterais?

Méli se tamponna les yeux avec un mouchoir en soie et cacha son visage dans l'épaule de son frère.[/i]
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Foulques_de_malemort
Le jeune prince semblait commencer à comprendre les inquiétudes de sa soeur, si elle était aussi triste c'est qu'il s'était passé quelque chose de grave. Foulques caressait les cheveux de sa soeur et la serrait contre lui pour qu'elle lâche toutes ses larmes. La question qu'elle lui avait posé concernant Victoire le faisait beaucoup réfléchir, il s'imaginait la scène, difficilement car il n'avait jamais connu de réel chagrin d'amour.

Il se lance alors en continuant de parler avec une voix douce et paisible :


Je pense que si Gauthier embrassait Vcitoire..je ressentirai tout d'abord du dégoût, puis je me retirerai pendant un moment pour réfléchir et j'en conclurai que Gauthier et la comtesse s'aiment et que je ne peux leur enlever ça.

Il regardait une fenêtre non loin, d'un air pensif, s'imaginant fuir à travers la forêt de limoges, encapuchonné.. Il se dit alors que ce n'était là qu'un schéma qu'utilisait Mélissandre pour faire comprendre à son frère d'où venait sa douleur.

Il posa alors ses yeux sur sa soeur et écarta sa chevelure pour essuyer les larmes de son visage, il la redressa et lui demanda en se plongeant dans ses yeux, les mains sur les épaules.

Explique moi ce qu'il c'est passé, ça restera entre nous, je peux t'aider tu sais.

Il espérait qu'elle lui ferait confiance cette fois ci.
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Melissandre_malemort
Mélissandre retint un nouveau sanglot. La sollicitude de Foulques ne faisait que la rendre plus malheureuse encore, qu’aggraver son sentiment de culpabilité.

Il semblait sur de lui quand à sa capacité de pardonner une offense aussi difficile que celle d'avoir le coeur brisé par son propre sang. Mais il n'était pas Blanche, en dépit de leurs ressemblance.. Et il y avait fort à parier que sa douce soeur ne se relève pas d'une trahison de cet acabit.

Le visage caché dans son mouchoir, la princesse murmura si bas qu'on aurait pu ne pas l'entendre.


-Est ce que tu te souviens du Duc d'Aumale? Aeglos d'Orckney?
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Foulques_de_malemort
Foulques entendit à peine la question que lui posa sa soeur, que faisait donc Aeglos dans ces histoires.. Il allait bientôt le savoir, Mélissandre commence à se délivrer, le jeune Malemort lui répond alors, en se demandant ce que l'ancien compagnon de Blanche avait pu faire pour rendre "sa petite chipie" aussi triste.

Eh bien oui je me rappelle de lui, je l'ai d'ailleurs croisé en taverne il y'a peu de temps..Mais il c'est vite éclipsé après mon arrivée.

Après une courte réflexion il se dit que son comportement était peut-être pour quelque chose là dedans.

Hmm..et donc le Duc d'Aumale?
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