[RP][Joutes 1467] Animation "A la Tournée Générale"

Liliana__

Et d'en finir et de sortir de la lice pour rejoindre ce petit monde pour quelques verres pas trop mais quand même..

Elle entra dans la taverne et se dit-elle "Que de monde ici » Liliana s’avança dans la foule et aperçut Bélisaire et Carmen un peu plus loin, elle se précipita pour les rejoindre et prendre quelques verres avec eux. Une fois prêt d'eux ..

Hello vous deux ! Je prends un verre avec vous pour la Saint-Patrick !! Super ici plein de monde.
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Tuatha

[Avec Hope ]

Dites-moi, quelle émotion ressentez-vous à danser aussi langoureusement avec votre partenaire... le balai ?

Petit rire de la Duchesse , fallait il éprouver de l'émotion pour un balai ? Ses poils en étaient ils dignes ?

Je vous rassure , je n'éprouve que l'émotion de m'amuser , loin des soucis et des tracas de la vie journalière . Je suis ici pour faire la fête et ne plus penser à rien d'autre .
Et en prime j'ai gagné un balai que je ramènerai à Mathilde , elle sera heureuse comme tout .

Un autre rire , avant de lui sourire , amusée en la voyant rejoindre l'un de ses amis , alors que Celeste était visiblement occupée à choisir son défit .
Un regard complice de la Suzeraine à sa Vassale en la voyant défaire les rubans dans ses cheveux et chercher d'un regard pétillant la personne adéquate pour le défi choisit .

Elle était heureuse d'avoir entraîné Celeste en taverne et l'inciter à s'amuser , à décompresser , à laisser de côtés les soucis et autres joyeusetés .
Elle adorait la jeune femme , certes elle ne le lui disait pas assez , mais espérait que çà se ressentait dans ses actions ou ses gestes .

Il n'y avait rien de mal à s'amuser de toute façon , du moment que l'on reste lucide et que l'on connait les limites à ne pas dépasser .
Elle même avait prit plaisir à danser avec un balai , et alors ?
Avait elle fait mal à quelqu'un ? Mise à part se ridiculiser un peu , elle n'avait enfreint aucune règle , surtout pas celle de la bienséance .
Même les Princesses aiment à s'amuser et elle sourit en voyant Athénaïs monter sur la scène et danser pieds nus .

Posant le balai à ses côtés , elle s'était assise à une table pour observer le jeu de jambes de la jeune femme . Le regard pétillant elle tapa dans les mains en rythme pour encourager les danseurs , vu qu'un homme s'était joint à la danseuse .
Elle en vint à crier des encouragements , retrouvant les soirées familiales où les chants et les danses irlandaises rythmaient les saisons .
Un moment d'émotion intense , qui lui fit monter les larmes aux yeux .
Elle avait besoin d'un bon verre pour se remettre et espérait que la prochaine tournée générale vaudra son pesant d'or .
Observant toutes les personnes présentes et s'amusant , elle se dit que çà ne devrait surement pas tarder et sa soif sera alors étanchée .
Un soupir de bonheur , elle se sentait bien , fatiguée , mais heureuse .
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EN DEUIL

Leprechaun_le_nain

Le nain est à l'affût de tout, il scrute et écoute tout. Et quand il se retrouve impuissant, il essaye de deviner. Puis Chaun passerait inaperçu s'il ne braillait pas alors évidemment c'est plus simple.

Alors il enchaîne les désirs. Sur le comptoir il effectue les préparatifs pour la Bimbo. Et cette fois il ne fait pas la même erreur, il reste debout sur le comptoir. Bien droit et prêt à profiter du spectacle vivant.

Allez Amburgis, voilà une chope de cidre pour la jeune Damoiselle.

Il sourit pleine dent avant de atteler à la commande spéciale. L'alcool secret était commandé. Tout avait été anticipé. Il sorti une grande choppe. Et y mit une quadruple dose de Wiskey quatre fois distillé et élevé en fût de vielle prune durant un an. Il rajouta une bonne dose de prune, un jus de citron, un zeste d'orange, du gingembre et du sirop de sésame noir. Il remua le tout avant de disposé le précieux à côté de la chope de cidre.

Attention à ne pas confondre, Amburgis.

Puis regardant l'homme, vous allez vous régaler.
Un sourire malicieux se fit avant qu'il n'aboie à la taverne entière.

Attention, attention, j'ArRRRIIIIIIIIVE avec des tournées générales. Oui, oui j'arrive. Un courageux a prit l'alcool secret.

Et au loin, la commande quatre a été commandée.

Il prépare, il prépare les plateaux de choppes. Il attend bien sur la Bimbo pour se rincer ... enfin .... l'oeil et lui glisse au passage.

Moi aussi j'ai des beaux atouts tu sais. Et j'embrasse comme un dieu.

Il ricane, croise le regarde de Hope à qui il adresse son plus beau sourire ensuite avant de sauter su comptoir pour aller faire le service, un plateau dans chaque main.

Allez, allez, place et on se sert.

A la dame [Carmen]

Et pour vous, votre commande.

Il revient, il retourne, il alterne aller retour, met du zèle à la tâche afin que tous aient les mains pleines et la bouche non assoiffée.

Hersende

Légèrement endolorie de sa chute sur le sable de la lice, Hersende avait décidé d'aller boire un verre pour se remettre, d'autant plus que des exclamations de gaieté s'échappaient de la taverne située non loin de la lice.

Effectivement une chaude ambiance régnait à l'intérieur... Trop de monde pour éventuellement reconnaître un ou une connaissance, mais elle ferait le tour plus tard. Pour l'instant, un bon verre!

En s'approchant du comptoir elle vit les défis et sourit. S'approchant de la femme opulente qui semblait être la tavernière, elle déclara :

Voilà tout à fait ce qu'il me faut! Vous avez un alcool insolite, d'après ce panneau? J'en prends!
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Hope

Clin d'œil adressé à l'Ours, elle se lève pour consulter à nouveau la pancarte, en tapotant ses doigts sur le comptoir et remuant son derrière au rythme de la musique.
Elle revient vers lui, salue au passage les nouveaux venus, avise, amusée la jolie Celeste en compagnie du beau brun ténébreux.

La petite fête bat son plein, tout cela dans une ambiance chaleureuse, alors qu'une jeune femme commande auprès de la Bombasse une boisson qui éveille son intérêt.
Son regard croise alors celui du petit lutin vert, elle lui rend son sourire et l'interpelle :

Chaun ? Voudriez-vous nous servir à mon complice de beuverie [Arioce] et moi-même votre alcool secret ? Merci !

Elle se tourne finalement vers Arioce, s'approche un peu plus pour lui glisser à l'oreille :

J'en ai choisi trois. essayez de devinez...

Et du bout de doigt, elle dessine sur la table, esquissant un petit rictus diabolique.

5 6 19

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Lantana

Qu'elle était bien dans son campement, à se reposer et profiter de plaisir solitaire... Mais c'était également l'occasion de rencontrer du monde, casser ses habitudes. Elle avait tout de même du faire un gros effort pour sortir de sa tente cosy. Habillée aux couleurs de son fief, elle se rendit donc à la taverne.

Quand elle passa l'entrée, elle découvrit déjà pas mal de monde. Elle aperçut Alfred et Athénaïs, bras dessus bras dessous, en train de tournoyer, debout sur une table. L'alcool avait déjà coulé à flot, elle préféra se tenir à l'écart, se noyant dans la foule présente. Elle s'installa donc au comptoir, saluant poliment les personnes qu'elle croisa au passage puis héla la serveuse.

Bonsoir.
Tournée générale et ajoutez-moi ce que vous avez de plus fort.

Elle en avait grand besoin, clairement.
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Alfred555

Et voilà. À peine commençait-il à s'amuser avec Athénaïs qu'on venait l'embêter. Une dame brune avec un certaine allure (Carmen) voulait la lui emprunter pour une danse. Et puis quoi encore ! Il ne manquait plus qu'une dame d'Orsenac vienne la lui accaparer pour raison d'atelier broderie...

« Je vous salue, ô dame que point je ne connais encore,
Alfred je me nomme, et ne suis point son garde du corps,
ainsi vous pouvez m'emprunter notre jeune et noble hôtesse.
J'ai une simple condition : une tournée, payée avec allégresse ! »

Mais ! Voyez qui venait d'arriver ! Il se tourna vers l'entrée et se mit à faire de grands gestes avec un bras et coucou de la main avant de crier, peu adroitement :

« Hou hou ! Par ici ! Lantana ! Hou hou !
On s'amuse tous comme des petits fous ! »

Arioce

Avec Hope, au bar.

Bordel, déjà le verre vide ! Heureusement, ma chère élève était au petit soin et commandait déjà la tournée suivante. Et comme je suis de nature prévoyante également.

- Chaun ! Rajoute aussi deux Whisky en plus.

Et le tout fut dument payé. Attendant nos breuvages, je portais toute mon attention, ou presque – une petite partie étant toujours accordé aux danseuses et danseurs – tendant l’oreille à ses messes basses. Mmmh… trois choix. Intéressant !
Mes yeux parcouraient le panneau de propositions, ma langue exprimant, à Hope, mon avis sur chacun d’eux.

- Mmmh…
La 1, boff. La 2, ça pourrait être marrant, mais je suis gaucher, alors… La 3 est nulle. La 4 aussi.
Le 5 aurait pu être sympathique si cela avait été toute la soirée, mais juste deux tournées, ça me parait court, surtout à la vitesse où elles sont commandées ici.
La 6 est très intéressante. Cela pourrait être fort amusant à faire en bon danseur que je suis.
La 7 est nulle. La 8 n’est pas très intéressante, si je veux boire, je peux commander. La 9, je suis très mauvais poète, mais j’imagine que ça pourrait être amusant à entendre, ou alors… je ne parlerais pas. La 10, j’ai déjà pratiqué. La 11 est nulle. La 12 pourrait être sympathique, mais qui ça intéresserait ? Puis je me confesse déjà régulièrement. La 13, mmmh… sympathique mais sans plus. La 14 est bien trop vague pour être intéressant. La 15, vous avez déjà commandé, il me semble. La 16, non. La 17, vous l’avez déjà fait. La 18, je ne serais pas contre !
La 19 serait un vrai défi. Un vrai défi pour un homme de beuverie. Je me dis que je peux compter sur vous pour me faire boire et j’aime ce genre de gage.
La 20, pourquoi pas, je ne suis jamais contre un repas en charmante compagnie, faut il encore qu’elle le soit… La 21, non. La 22, me semble qu’une jeune femme c’est déjà déhanchée avec. La 23, non. La 24, aucune histoire drôle ne me vienne.
Mmmmh…
Parmi toutes, je dirais… la 6, la 19 et la 20 ?

Je reposais mon regard sur la jeune femme, lui souriant. Mmmh… à quelle sauce serais-je mangé ?
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Maths_law

[Avec Celeste]

En train de boire un verre dans un coin saluant ceux qu'il connait il se tourna alors après avoir finis son verre et voulant alors commander une personne arrive alors....

Tu veux bien m’aider à relever ce défi ?

Se retourne et sourit

Oui avec grand plaisir il faut faire quoi juste avoir la main attaché ?

Regarde l'assemblé

Allez je paye ma tournée a toutes ces âmes ici présente.
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Athenais_

A force de tourner, tourner, tourner maintenant que leur mains s'étaient attrapés les unes aux autres pour faire tourniquet de leur corps. Athénaïs commençait au fil des minutes à en avoir la tête qui lui en tombait. Elle n'avait même pas pris le temps de boire. Sa poitrine se soulevait à une vitesse assurée qui laissait apercevoir qu'elle était en plein effort physique. Notre Duranxie était décidé à donner le change.

Mais que fit-il une nouvelle fois, surprise, elle lui en marcha sur le pied alors que le bas de son corps venait de glisser vers Alfred, calé contre les petons du bonhomme, elle se laissait presque porter pour que son poids - quand bien même léger - lui soit un fardeau désormais.

Alfred, Alfred, Alfred !
Cesse donc donc de parler de ceux qui sont raides.
L'on pourrait confondre cette évocation, et perdre la raison.

Elle ne parlait pas d'eux mais d'une globalité.
Puis plus bas afin que personne ne l'entende, du moins elle l'espérait.

Vis mon vit, ce n'est pas permis !
Car point de blondasses ou de rouquinasse que tu n'escamotasses.
Adoncques calme-toi pour éviter qu'on ne te fracasse.

Oui parce que la gente masculine n'apprécie pas forcément qu'on vienne emmerder ses donzelles, et autant dans cette taverne il y avait des compagnons, époux ou amants qui n'entendraient pas cela avec la même oreille. En tous les, pas le temps de développer car une femme tombait à pic. Et quelle femme ! Un petit coucou à Lantana au passage et la jeune Princesse finit au bras de la Serna qui vient de la chiper avec élégance.
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♖ Armoiries ♖

Hope

De deux choses l'une, soit il est déjà bourré, soit il n'a rien compris, en tous les cas, il n' a clairement pas fait attention aux trois nombres tracés du bout du doigt sur la surface.
Tant pis pour lui !
Elle s'apprête à se détourner de lui et le laisser seul avec ses gages, lorsqu'il commence à tous les énumérer en donnant son avis.
Tiens tiens... intéressant...

Elle l'écoute faire son petit exposé, tout en trempant ses lèvres dans le whisky, ne s'étonne guère pour la 3 et la 4, ce n'est pas son genre.
La 10 ? Déjà pratiqué ?
Elle plisse les yeux, essayant d'imaginer la scène, constatant que pour lui c'est effectivement un jeu d'enfant.
Pour la 12 et la 14, elle est d'accord avec lui, aucun intérêt.
La 18 ? Trop facile.
Sourire guoguenard qui se dessine à l'évocation de la 19.
Pour le reste... rien à cirer.

Une bonne gorgée plus tard, elle se lève, dénoue l'étoffe enserrant sa taille, prépare le nœud sur le comptoir et invite Arioce à placer ses poignets dans chacune des boucles.
Elle ressert ensuite le lien en tirant sur les deux extrémités du ruban.

Toujours à son oreille, narquoise :

J'avais presque bon... 6, 19 je m'en doutais...
Vous aimez être attaché hein ?
Pour la 20... je dirais que ça vaut pour les deux, pas envie de faire prendre ce risque à quiconque dans cette taverne.

Vous pouvez annoncer votre défi, le 19...

Ses jades posés sur le nœud, elle réfléchit une petite seconde, l'idée à la con vient de jaillir, la lueur dans le regard ne trompe pas.
En premier lieu, elle se permet de faire une petite inspection pour lui chiper la dague fixée à sa taille.
Il est tellement malin...
Puis, elle attrape les deux bouts de la ceinture en tissus qui pendouillent, les enroule chacun autour des traverses, pour les nouer aux pieds du tabouret.
Très fière d'elle, elle admire le résultat, se replace devant lui et s'exclame joyeusement :

Je sens qu'on va bien s'amuser !
Ouvrez la bouche...

Et zou ! Le whisky dans le gosier de l'Ours !

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Elvyna

Un peu sauvage ou insociable ces derniers temps, en plus d'une humeur massacrante, elle fit un effort pour sortir ce soir là. Son champion avait perdu, donc elle n'était plus angoissée pour connaître la place qu'elle aurait au classement. Elle savait que sa cousine et l'ours mal léché seraient surement tous les deux là, et puis à rester seule dans la chambre au château d'Etampes ne lui disait trop rien ce soir là. Rien de tel pour boire à outrance et se laisser aller à la fête. S'est donc vêtu d'une cape chaude, la capuche sur la tête, elle poussa donc la porte pour entendre les rires et les conversations, les tintements des chopes et les bruits de pas que faisaient les personnes servant les boissons. Il y avait même.. un nain! Elle en avait connu quelques uns, son parrain, Leif von Dumb, et un autre, elle ne se souvenait plus de son nom, mais il était l'ami de son ancien fiancé. Détournant le regard, elle le posa sur les personnes qu'elle connaissait, remarquant qu'ils semblaient participer à un jeu. Elle s'installa non loin pour suivre et essayer de comprendre, levant une main pour commander un verre.

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Yeleyna

Enfin libérée du vilain blond, la brune fait son entrée dans la taverne, trésaille à la fureur de vivre ambiante. Elle ne s'attendait pas à trouver tant de monde et l'humeur était déjà bien échauffée. Ca danse, ça chante, ça rime... Gné ? Ed qui joue les poétesses ? "Tous au abris, le ciel va nous tomber sur la tête !!!".
Intriguée, elle entre plus avant, salue les personnes dont elle croise le regard, fait un signe au loin à Math qui est en grande conversation avec une blonde et met les pouces en l'air devant la danse d'Athénaïs qui ne manque pas de piquant.

Yeleyna finit par réussir à atteindre Ed et lui sourit.

Impressionnant chère poétesse, je ne te connaissais pas ce talent.
Les autres me suivent, à leur rythme, j'avais trop faim mais c'est un vrai parcours du combattant pour te retrouver. Entre le campement et ce lieu, quelle folie. J'ai eu raison d'accepter de jouter, je crois que l'on va bien s'amuser ici.
Allez je me lance à mon tour, surtout si personne ne lève la main, soit sympa et lève la tienne. J'ai tellement faim !!!.

Et la Romanova de s'approcher d'une table où des personnes sont installées.

- Pourriez-vous tous prendre vos chopes et godets en main s'il vous plait.
- ...
- Oui oui vous avez bien entendu.

Une fois que les convives s'exécutent, le regard éberlué, la jeune fille grimpe sur la table et attend qu'une bonne âme lève la main. Qui allait bien avoir envie de partager un repas avec elle ?

Spoiler:

20/ Montez sur une table et acceptez un repas avec le premier qui lèvera la main.

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Spoiler:

Leprechaun_le_nain

Chaun la nain menait bon train. A la fois, bien sur, pour servir tout son petit monde; à la fois pour préparer sa coction spéciale mais aussi pour lever le coude comme les autres. Il faisait chaud et il avait soif après tout. Oui beau prétexte que voilà.

Alors, répétons la manoeuvre, quadruple dose de Wiskey quatre fois distillé et élevé en fût de vielle prune durant un an. Un rajout d'une bonne dose de prune, un jus de citron, un zeste d'orange, du gingembre et du sirop de sésame noir. Et cette fois il prépara plusieurs choppes.

Une pour la dame fraîchement arrivée. [Hersende]

Voilà pour vous qui avez à n'en pas douter très très bon goût, a votre bonne santé.

Sans oublier bien sur la tournée générale lancée par la dame assoiffée. [Lantana]

Allez, et on remercie la belle damoiselle pour sa tournée. A votre bon coeur.

Il sourit puis sourit encore plus large quand Hope l'interpella. Alors, en mode "je fais du zèle et je bats des ailes", il accourt.

Voilà, voilà belle damoiselle ... et messire. Et deux Wiskey en plus bien évidemment. Le meilleur que je puisse avoir.

Il serait bien resté à attendre dans l'espoir d'une petite récompense dont elle avait le secret mais voilà qu'on l'appelait déjà ailleurs. Ah le devoir ! Il se dirige alors vers une autre dame [Lantana] et lui offre à son tour son petit coktail.

Vous m'en direz des nouvelles. Amusez vous bien.

Deux nouvelles dames apparaissent. La première monte sur la table ....

Attention, attention, une dame a faim et vient de monter sur la table. Alors qui inviterai cette belle dame. Sauvez là de moi, si non je m'en charge.

Il sourit pleine dent avant d'honorer le menu et d'organiser une tournée générale non pas une mais deux. Il avait oublié Math... Ah ! Sacrilège ....

Je suis à vous, et une autre tournée ... non deux autres.

Quand tout est terminé, il charge son plateau et s'approche [d'Elvyna]

Servez vous, il y en a pour tous les goûts, Whiskey, prune, pinte, coktail maison ici. A mloins que vous désireriez autre chose. Je suis tout ouïe.

Après cela lui aussi irait sans filer une ... il avait soif...

édité pour un oubli de tournée ^^

Carmen_esmee.

La brune aura embrassé la joue de Liliana quand celle-ci sera entrée, pendant qu'Alfred et Athénaïs exécutent la fin de leur danse, puis à Alfred, qui semble t-il ne s'exprime plus qu'en vers, elle sourit et se présente,

"Je me prénomme Carmen, vous pouvez commandé une tournée de ma part, cela me fera plaisir."

Elle souffle à Athénaïs en l'embarquant dans quelques pas de danse,

"C'est peu cher payé pour t'avoir pour moi seule un instant.. J'ai quelque chose à t'annoncer.."

Les jeunes femmes s'écartent sur un tempo de la bourré à deux temps, adéquat pour que la Duranxie retrouve son souffle et que la Montoise puisse guider avec le sourire.. Lorsqu'elles se rapprochent, elle lui murmure quelques mots à l'oreille, lui annonçant la bonne nouvelle.

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En deuil de sa Reyne, Alvira

Animation "A la Tournée Générale"

Belisaire

🍻 A la Tournée Générale 🍻

Des joutes à venir et voilà que tout le monde s'activait. Alors oui, la lice devait être flamboyante, le campement digne des plus grandes joutes du royaume, la tribune confortable et fastueuse, mais une note spéciale devait attirer toute l'attention. Les souterrains, lieux de tous les mystères, de tous les fantasmes, de toutes les espiègleries des jeunes et des moins jeunes... Bref il s'en était passé des choses. Vraiment ! Alors quoi de mieux que d'inviter les futurs participants à une visite nocturne et les laisser marquer de leurs empreintes l'histoire de ces dits souterrains.

Pour se faire il convenait aussi de savoir accueillir et quoi de mieux qu'une taverne alléchante aguichant le chaland en annonçant plaisirs œnologiques en tout genre.

Il fallait trouver le lieu, un petit cratère boisé donnant accès à un des souterrain eut la préférence. Un nom serait proposé, on en soumettrait un à la propriétaire des lieux "A la tournée générale". Il ne fallut pas longtemps mais beaucoup de charpentiers, de nombreux. Les fûts dévalaient la pente, bien évidemment on escomptait qu'ils seraient vides et a fortiori plus légers au retour. On y servait toutefois, pour ceux qui devait arrêter de boire ou rentrer à poney, de merveilleux jus de pomme. Quand on rentrait dans la taverne, en face se trouvait un très long comptoir qui s'imposait tel un contre canal à un fleuve immense. Aucunes chaises, tous debout les bras levés. Seules quelques tables trônaient ici et là pour laisser l'inspiration errer et permettre à de potentiels chanteurs ou conteurs de s'exprimer.

Pour l'occasion il y avait justement des serveurs vêtus de vert, jouant des collants à la mode car l'époque c'était ça aussi, et puis ils y en avaient venu presque déguisé, des clients de circonstances, les bâtisseurs de la taverne et de la lice s'étant laissez aller à l'idée que le partage était aussi pour eux, à raison d'ailleurs.

Citation:

A tous,
Aux pantins heureux, grognons, timides, dormeurs, gourmands, vagabonds, solitaires, accompagnés, mariés, infidèles, grivois, sérieux, fêtards, curieux, assoiffés, abstinents, téméraires, jouteurs et spectateurs... bref à tous ... et non il ne s'agit pas de reconstituer la maison des schtroumpfs mais bel et bien d'assister à une soirée bien arrosée en l'honneur de la Saint Patrick suivie d'une visite devenue micmac des souterrains d’Étampes.

INVITATION

Donc à tous, durant les joutes d’Étampes, vous êtes cordialement invités à faire venir vos pantins pour une soirée épicée en taverne pour ensuite continuer sur une course au sein des souterrains des lieux.

Au plaisir de partager un moment ...

Citation:

Comment y participer ?

En faisant venir votre pantin dans la taverne (qui est RP et non IG, d'ailleurs seule la présence de votre perso dans la taverne suffit à vous inscrire à l'animation) durant les inscriptions et les éliminatoires, temps qui laissera tout le monde rp autour de quelques bières et bon whisky en l'honneur de la Saint-Patrick.
Et parce qu'on est tous un jour le SAM de quelqu'un, les pantins en mode raisonnable, abstinence ou sevrage sont aussi les bienvenus.

Quels sont vos impacts ?

Vous décidez de tout. Vous pouvez payer une tournée ou bien commander une tournée générale payée par la propriétaire des lieux en choisissant un des nombreux gages.
Tout le reste n'est que RP.

Quels déroulements ?

1. un événement viendra ensuite perturber la "fiesta" et vos pantins seront obligés de fuir la taverne à travers les souterrains.
2. un lancer de dé attribuera un degré d'ébriété. A vous ensuite de le jouer comme il vous plaira.
3. une fois dans les souterrains il y aura deux lancers de dés afin d'attribuer une action à votre pantin. Là encore vous le jouerez comme bon vous semble. Interactions avec d'autres personnages bienvenues bien évidemment.

Qu'y gagne-t-on ?

le plaisir de jouer et de se défouler, d'offrir à son perso un moment un peu inquiétant, loufoque ou aberrant. Ce que vous souhaiterez qu'il soit

Qu'y gagne votre pantin ?

un histoire à raconter ou à taire ! C'est selon

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--Amburgis

Amburgis, âgée de seulement dix-neuf ans, fut embauchée spécialement pour les joutes équestre d'Etampes, elle ne se fait pas d'idée quand à la raison qui poussa Armand à la choisir parmi les autres candidats, son physique parlait pour elle, mais elle n'avait au grand jamais tenu un plateau de sa vie, il lui promis de lui donner quelques cours avec l'Impériale de la Mesnie, l’incorruptible Birgit.

La leçon apprise, elle déambulait sans mal entre les tables, un plateau dans chaque main, faisant glisser les choppes, hanaps avec élégance, la tête droite, le menton haut, elle excellait tout simplement et Armand se réjouissait de son choix, un regard admiratif posé sur elle.

"Etampes va dépenser une somme folle pour voir ch'ette oiselle servir les tournées générales.

- ...

- Armand ch'e vous parle !

- Ah euh oui, Birgit, il fera surement beau temps pour la Saint Patrick."

L'impériale lève les yeux au ciel, et se permet de lui en coller une derrière les oreilles,

"Ch'e parle de votre penchant pour ch'ette enfant, qui va causer la ruine de la Princh'esse."

Les joues d'Armand rosissent, il fait non de la tête et tâche de porter son regard sur l'une des tables où Amburgis ne tardera pas à passer, pour donner le change sur le fait, qu'il la suit du regard, envoûter par la fraîche jeune femme, puis il glisse un regard sur la toute ronde Birgit et soupire...

"Ben c'est pas à vous qu'on allait demander..

- Qu'ech' que vous voulez dire ?

- Vous avez tout de la maquerelle frustrée..

- Oh !"

Et une autre baffe qui vient décoller la tête de l'intendant de ses épaules,

"Moi au moins je n'engage pas les gens pour ench'uite devoir les former !"

L'impériale tourne les talons et quitte la taverne spécialement construite pour l’événement, elle aussi. Armand jouera encore un peu les clients jusque tard dans la nuit...

[Jour d'Ouverture]

La jeune serveuse se sent prête à relever le défi, si les clients auront des gages à relever, elle, elle sera gracieusement payée et fera tout ce qu'il faut dans la mesure du raisonnable et de la décence pour faire tomber quelques pièces supplémentaires de la part des bons messieurs. Et cela Birgit l'a bien compris, elle prêtera à la jeune fille une robe de l'une des caméristes, un brin trop serrée pour que la taille et ce qui remplace le plus beau des pendentifs chez Amburgis soit mis en valeur.

Les tables de ramponneau et autres jeux sont signalées par la présence de nappe, les autres tables qui accueilleront les leveurs de coude, elles comportent des pichets pleins et frais, en atteste la condensation qui goutte déjà sur les lames de bois. Amburgis ouvre les portes, et va s'installer derrière le comptoir, ajustant les bouteille de Whisky, liqueur et autres jus non fermenté pour les plus sages. Amburgus sourit, elle pouvait être fière du travail accompli.

Sarkys

Des joutes étaient organisées à Étampes. Sarkys était là avant tout pour soutenir ceux qu’il connaissait durant la compétition mais, fidèle à lui-même il avait bien fini par trouver un sombre prétexte pour aller se rincer le gosier.

Arrivant devant la taverne installée pour l’événement, il entra, à l’intérieur la populace ne l’avait pas attendu et le climat dans la taverne était déjà bien plus chaleureux qu’a l’extérieur. À peine quelques pas plus tard le jeune homme remarqua la belle serveuse ! Il avait décidément bien fait de venir ! De l’alcool, de jolies jeunes femmes, c’était presque le paradis ! Inutile de mentionner que Sarkys était un jeune homme de 18 ans, sans compagne et son regard aimait contempler de belles choses… pas besoin d’en dire plus pour comprendre que, des belles choses, il en avait plein les yeux avec la charmante serveuse !

Première étape ? Trouver une table et après quelques instants il en récupéra une qui venait d’être libérée par trois bons gaillards qui n’avait manifestement pas attendu la troisième mi-temps pour fêter la victoire…
Prenant place il fit appel à la charmante femme chargée du service.

Une pinte s’il vous plait !

Il était encore trop sobre pour faire le gros lourdeau avec des remarques déplacés… peut être après quelques litres de ce bon breuvage qu’est la bière … ou le vin… ou les deux… nous verrons bien !
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Edouardine

Si Ed s'était montrée silencieuse et étrangement calme ces derniers jours, dans sa tête, c'était tout autre ! Elle maudissait tout ce qu'elle pouvait maudire... Elle-même déjà, pour ne pas avoir su dire non, puis sa monture, parce que des jours à battre la campagne quand on a jamais appris à monter, c'était loin d'être le pied, puis tous les gens dont elle surprenait le regard qui semblait dire "qu'est-ce que tu fous là la gueuse ?" . Au campement, tout le monde s'agitait, et la rousse qui ne se sentait à sa place nulle part, observait cette effervescence de ses yeux ahuris... Non, c'était vraiment pas son monde. D'ailleurs, voyant Yeleyna bien entourée, Ed en profita pour s'éloigner du campement. Avec un peu de chance, elle trouverait un endroit qui ne lui renverrait pas sa condition en pleine poire.

Quoi de mieux qu'une taverne pour espérer se détendre ? Celle-ci semblait avoir été montée pour l'occasion. Rien à voir avec les bouges miteux que la rousse avait l'habitude de fréquenter par le passé, mais avec un peu de chance, elle allait y croiser quelques pochetrons, y entendre quelques chansons paillardes... Bref, tout ce qui allait lui faire oublier la raison de sa venue en ces terres. L'endroit était plaisant, pas encore très bruyant... Restée sur le pas de la porte, elle balaya la salle du regard, et après avoir observé quelques secondes miss "Gros lolos" se déplacer de table en table, Ed opta pour le comptoir.

B'jour. Ce que vous avez de plus fort s'il vous plait.
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Alexandre_serna

Le jeune Serna s'était éclipsé, il semblerait que Belisaire tienne une taverne ou quelque chose comme cela.
Il n'avait pas forcément tout bien écouté, donc il était un petit peu à l'ouest pour le moment, mais il comptait bien aller voir de ses propres yeux.
Naturellement, il comptait aller claquer l'argent de son frère, si il n'avait pas pu lui voler sa bourse pour le moment, il avait pris la sienne mais souhaitait voir si il n'était pas possible de faire une ardoise et d'y inscrire le nom de son frère pour le faire payer.

Il ne pouvait pas jouter, parce qu'il avait rendu ses terres et aussi parce qu'il était mineur, certes de famille noble, mais la minorité le frappait toujours.
Certains pouvaient y voir une malédiction, lui y voyait un moyen d'apprendre et de profiter des avantages que cela pouvait procurer : dépenser l'argent de son tuteur et chef de famille.

Il poussa la porte et entra dans la taverne, cela sentait l'alcool et le feu de bois, parfait.
Il y avait une serveuse avec des seins aussi gros que des soules.
Il aurait pu siffler, si il n'avait pas peur de sentir la main de Carmen sur sa joue.
Aussi resta-t-il muet d'admiration devant cette argumentation.
Il se demandait d'ailleurs si c'était mou ou rigide.
Misère, il devisait avec lui-même au sujet d'une paire de sein, c'était ça devenir un homme, être attiré par des choses qui ne l'attiraient pas avant ?
Ronan avait donc raison...

Il vit qu'un homme et une autre femme se trouvaient là aussi et visiblement, ils souhaitaient boire.
Alors lui aussi.

Bonjour !
Une pinte siouplais !
Dites-moi, vous auriez genre un saucisson ?
Pour manger avec la bière ?

Si la dame et le sire souhaitaient s'inviter à sa future table pour bénéficier de l'argent de son frère.
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Serna un jour, Serna toujours.

Leprechaun_le_nain

Derrière le comptoir, il navigue au nez et la barbe de tous sans être remarqué. Les préparatifs vont bon train.
Dans la salle, entre les jambes des visiteurs il ne joue pas des castagnettes mais à chat. Il faut avouer qu'on avait du mal à le remarquer. Alors il y allait de sa petite voix. Il avait fier allure le plateau à voguer dans les airs. Enfin, si l'on faisait fi du nain bien naturellement.

PLACE, PLACE, PLACE. J'ARRIVE. ATTENTION.

Le nain alla à la rencontre des deux hommes.

Pinte et re pinte pour vous servir.

Il regarde le premier homme arrivé, lui même prit en flat grand délit de matage en règle.

Hum, hum ... votre pinte messire.

Il sourit large, un brun taquin avant de rejoindre la petite dame fraîchement, elle aussi, arrivée

De plus fort, ... euh ... rien ... il va vous falloir faire un mélange si vous souhaitez quelque chose d'extraordinaire. Allez suivez moi du regard et on va confectionner ça.

Le nain prit un tabouret, grimpa sur le comptoir.

A tous, attention. Prenez bien soin de regarder le menu. Il y a des petits plaisirs qui en vaut la chandelle.

Il sourit niaisement tout en affichant la pancarte.

Si un homme ou une femme relève un de ceux affichés, le tavernier se devra d’offrir une tournée générale aux frais de la princesse. Choses dites ... Choses dues.

Citation:

1/ chanter une chanson avec de la prune dans la bouche à la gloire de la Saint Patrick
2/ attacher votre main droite à la main gauche d’une autre personne pour passer la soirée. Mais voilà vous êtes droitier !
3/ accepter de se faire déguiser par un ou plusieurs collègues de boissons
4/ Se faire dessiner ou écrire quelque chose sur le corps par un ou plusieurs collègues de boissons.
5/ Avoir les yeux bandés pendant deux tournées
6/ Attacher ses pieds et faire une danse
7/ Parlez dans un charabia et arriver à vous faire comprendre.
8/ Vous faire offrir un verre par un participant sans ouvrir la bouche. Attention vous n’avez pas de plume et de vélin également.
9/ Faire des phrases qui rimes pendant tout le temps que vous êtes en taverne.
10/ Faire le poirier et essayer de boire un verre de prune.
11/ Faire un canular à ton meilleur ami dans la taverne.
12/ Vous avez l’âme à vous confessez, vous ne pouvez plus résistez alors sur une table vous soulagez votre âme.
13/ chanter une chanson à la gloire d’un roi ou d’une reine.
14/ avouez un secret à une personne de votre connaissance
15/ boire un verre d’alcool que seul la propriétaire a le secret.
16/ Demandez un truc insolite à ton voisin.
17/ se mettre sur une table et accepter le premier gage annoncé par un participant
18/ Lancez à dé, soit le nombre de verre que vous devrez avalez à la chaine.
19/ se faire attacher les mains pendant la soirée et devenir dépendant des autres pour boire.
20/ Montez sur une table et acceptez un repas avec le premier qui lèvera la main.
21/ citez deux qualités à cinq personnes présentes et de votre choix sans utiliser deux le même qualificatif.
22/ danser tout en séduction avec un balai
23/ a chaque fois que vous avez envie de boire, monter sur le comptoir et imiter le brui d’un animal
24/ montez sur une table et racontez une histoire drôle.

Puis se tournant vers la petite dame.

Alors dites moi tout. Je commence par quoi ?

Le hanap assez conséquent et vide pour le moment n'attendait qu'à être remplit.

Du rhum, du cognac ... ou peut être avez vous d'autres goûts ?

--Amburgis

Amburgis nettoyait consciencieusement le comptoir qui n'en avait pas particulièrement besoin, mais Birgit avait insisté sur le fait qu'elle ne devait pas faire la potiche et avoir toujours l'air occupée, et que viendra le temps où la pièce sera pleine et où elle n'aura plus à faire semblant, trois gaillards s'en aille, le nain fait le débarrasse et un jeune homme entre, il est tout à fait charmant.. Elle papillonne et prend son temps, Chaun lui ne perd pas un instant et sitôt fait le service, elle soupire, elle n'est point assez rapide, et c'est le nain qui aura - bien évidemment - le plus de pièce d'or dans son seau.. Elle se redresse guette, la porte et se prépare à accueillir le prochain entrant tout en lavant les verres.. C'est donc parce qu'elle essuie ensuite les tables qu'elle loupe sa chance avec une jolie rouquine boudeuse, et le nain lui propose un verre sur mesure, elle fait claquer son torchon sur le plan de la table.

"Hmpf !

Bonjour !
Une pinte siouplais !
Dites-moi, vous auriez genre un saucisson ?
Pour manger avec la bière ?

- Bonjour, bien sûr, je vous apporte cela tout de suite ! Asseyez-vous.

Amburgis revient à la table du jeune garçon, et commence à trancher la viande séchée, près de la pinte fraîchement remplie.

"Vous avez vu la pancarte, oseriez vous le premier défi, pour me faire plaisir ?"

C'est qu'elle en veut des écus sonnants et trébuchants et seules les verres offerts par la princesse pouvaient rapporter assez pour le voyage que la jeune fille envisageait.. Les coudes se posent sur la table, la poitrine enfle "gentiment" par la pression de ses bras sur les côtés du balcon..

"Je vous sers un verre de Prune, et vous me chantez une chanson, en l'honneur de Saint Patrick ? Entendu ?"

Edouardine

L'arrivée du nain en collant vert moulant eut pour effet de dérider la rousse... Elle n'alla pas jusqu'à faire un commentaire moqueur sur la tenue, mais elle ne put retenir un petit rire. Finalement, elle allait peut-être passer un bon moment...

Un petit coup d'oeil sur les défis affichés avant de revenir à l'essentiel : quoi boire !

Dites, vos défis, on doit s'en tenir à un seul par personne?

Bah quoi, toutes les occasions de boire à l'oeil étaient bonnes à prendre.

Est-ce que vous auriez du wiskey? J'me ferais bien un mélange avec la bière pour commencer... Ou du Cognac à défaut.

Nouveau regard en direction de la pancarte.

Je vais me laisser tenter par la 9.

Et d'attendre tout en reluquant Miss Lolo. Mais bon sang, pourquoi elle en avait pas des comme ça elle ???!!!
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Alexandre_serna

Installé à sa table, vaste table, il pourra aisément aligner les godets.
Heureusement que les morts ne peuvent pas voir dans les tavernes, sinon c'en était fini de lui.
Alors qu'il attendait, il vit qu'une personne ne petite taille et tout de vert vêtu se promenait dans la taverne.
Alexandre se demandait si il était irlandais pour porter tant de vert ?
Après tous les irlandais détestaient le rouge cruel des dragons rouges et autres tuniques rouges anglaises et les femmes irlandaises ne s'abaisseraient jamais à porter le rouge versé par les anglais ?
Mais alors devait-il lui demander ?

Il attendait à sa table, lorsque madame paire de seins type "3" s'approcha de nouveau de la table.

La pancarte ?

Comment la rater, il se tourna il avait bien vu, mais il ne l'avait pas lu !
Là était toute la nuance.
Néanmoins quand il allait lui dire qu'il n'avait pas encore eu cet honneur ?
Quel honneur ; celui de lire ou de se retrouver le nez entre euh...
Il se ressaisit quelque peu et essaya de maintenir son regard sur le visage de madame 3, mais immanquablement il tombait plus bas et elle semblait le faire exprès.
C'était bien attaché au moins ?
Cela ne pouvait quand même pas surgir et lui faire un oeil au beurre noir quand même !

Vous... euh... Hein...
Plaisir...

Serait-il troublé ?
Avait-elle vu son trouble, il se demandait bien si elle parlait à tous les hommes de cette façon ?
Bienvenu chez les Hommes adultes avec un grand H pour dire homme adulte et non plus homme en devenir.
Il se demande si il ne doit pas jeter quelques écus dans son décolleté pour la remercier du spectacle, mais cela ne ressemble pas à un lupanar !
Un peu de tenue que diable !
Oui, oui de la tenue !
Mais son cerveau retrouva une position normale quand elle parla de Prune.

D'où vient votre Prune ?
C'est que je suis plutôt exigeant !

La Prune de quoi rafraichir la mémoire et surtout reprendre contenance même si elle ne semble pas vouloir retirer ses seins de type 3 de sa table.
Pire même, elle met les mains bien en dessous.
Il passe ses mains sur ses joues, dans quoi est-ce qu'il s'est lancé.

Alors c'est entendu.
Mais uniquement si votre Prune est à la hauteur !
Mais d'abord la bière en entrée avec le saucisson puis la Prune

Il se leva comme pour valider le "deal", mais il ne tendit pas la main, elle pourrait croire qu'il veut toucher à la marchandise.
Misère, pourvu que Timothée n'entre pas à ce moment-là, sinon ça finirait mal !
Il attrape donc sa choppe de bière et la lève en l'air en direction de la dame qui semble elle aussi reluqué la poitrine de la tavernière.

Sláinte mhaith! [Bonne Santé ! Santé dans le sens où souhaite une bonne santé aux buveurs]

Une première gorgée, la mousse était bonne et la bière aussi.
Pas trop fade.
Pas comme la Ale anglaise, elle donnait juste envie de pisser.

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Serna un jour, Serna toujours.

Alfred555

« Comment ça, je ne suis pas sur la liste ? M'enfin, regardez bien. AL-FRED. Ça débute comme Alvira, et ça termine comme Manfred. Ou tête raide. Ce n'est pas possible, ne me dites pas qu'il faut montrer patte blanche pour se torcher à la Saint-Patrick. Mmh... Et à Pochagnol ? Ah ? Vous avez... Fort bien... Merci...»

Alfred, viens à mes jouuuutes. S'il te plaaaiiiit ! Il était donc venu. Il faut dire aussi qu'il ne savait jamais rien refuser à Athénaïs, la jeune marquise d'Estampes. Il entra dans la taverne, les dents un peu grinçantes après le désagrément de l'entrée. Elle avait dû le faire exprès, rien que pour l'embêter. Lui qui venait juste pour picoler et voir des nobles se ramasser dans la poussière dans de formidables bruits métalliques jonchés d'éclats de bois, de sang, de sueur et de larmes...
Il se pencha sur le menu que venait de présenter un nain à la mine assez verte. Il devait avoir déjà trop bu, ce pauvre messire. Ah, non. il officiait... Et cette pancarte, là ? Voyons voir... Tiens. Des rimes en taverne pendant toute la durée des festivités ? Voilà qui peut être amusant.

« Tavernier ! Une brune ! Et ne me faites pas mousser ! »

C'est alors qu'il aperçu, ô divine apparition, une belle et jeune serveuse, aux atours bien féminins attirant inévitablement son regard masculin souvent baladeur dès que le spectacle se trouvait agréable. Une fois n'est pas coutume Comme d'habitude, il partit en vrille. Pourtant, il n'avait encore rien bu.

« Jeune et belle dame, aux épaules déhoussées,
tout comme certains, à une bien belle époque,
se sont amusés à débiter une tirade des nez,
l'on pourrait tout à fait rendre hommage à vos nénés,
qui, sans être comparés ni à péninsule ni à roc,
devraient par leur magnificence scupturale,
être adulés et aimés d'une façon des plus magistrales.»

Oui bah... il était lancé.

« Soyez en certaine, vous rendrez forcément heureux,
l'homme qui fera la formidable escalade de vos deux mamelons fameux,
à moins qu'au contraire, ne finisse désespérément damné
celui qui priera religieusement vos deux éminences érigées.
De même, qui prononcera vos deux tirades homériques,
à coup sûr deviendra le célèbre découvreur des Amériques.
Afin cependant que pas plus je ne vous importune,
de grâce, pour que je cesse, servez-moi donc cette brune ! »

C'est vrai qu'il se faisait soif. Il avait la gorge sèche. Allez donc savoir pourquoi. D'avoir trop parlé ?

Librement inspiré de la tirade des nez de Cyrano de Bergerac, de Edmond Rostand, et de la tirade des nénés de Vincent Roca.

Tuatha

Elle avait entraîné Celeste dans toutes les parties du campement pour finir par arriver devant la taverne .
Comment çà c'était prémédité ? Meuh non ! Tssssss !

Un large sourire sur les lèvres , la rousse entra et fut agréablement surprise de voir autant de monde . La journée promettait d'être animée , avant que les choses sérieuses ne commencent .
Elle avisa un nain monté sur un tabouret qui semblait s'amuser , tout en affichant une pancarte .

On va bien s'amuser Celeste !

Elle voulait distraire son amie qui était un peu tristounette depuis quelques jours .

Elle s'approcha traînant toujours son Ange Blond à sa suite et s'amusa à lire les défis .
Elle souriait ou riait selon les circonstances tout en prenant connaissance des 24 propositions et fit son choix . Le défit 22 !!! On va rire !
C'était une chose qu'elle n'avait jamais faite , mais au moins elle ne risquait pas grand chose avec ce genre de défit , sauf avoir l'air ridicule , mais de çà elle n'en fichait complètement dès lors qu'elle s'amusait .

Se tournant vers la superbe tavernière ... Mo dhia ! La paire de seins !
Pour sur elle aurait presque souhaité avec les mêmes , mais la nature ne l'avait pas aussi bien dotée , elle devait se contenter d'une poitrine tout ce qu'il y a de normale .

S'il vous plait !! Une tournée de Whisky pour tout le monde !

Bah quoi elle pouvait faire çà , elle n'était pas dans la misère la Duduche , loin de là !
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EN DEUIL

Leprechaun_le_nain

Le nain toujours sur le comptoir reste un instant en démonstration.

Amburgis ! Allez ... et une tournée générale, et une. La petite dame réclame et a décidé de se lancer dans des tirades pour que tu parades au plaisir de ces messires si je ne m'abuse de leurs regards qui fusent. Allez une tournée au frais de la princesse.

Il saute du comptoir, disparaît un instant, avant de revenir face à la dame. Cette fois ci, il lève la tête et lui tend son verre.

Bierre et wiskey comme demandé pour votre bon plaisir. A votre bonne santé.

Il lui un signe de l'index pour l'inviter à s'approcher et dans un murmure.

J'ai un peu chargé en wiskey.

Il sourit à pleine dent.

Et sachez qu'il n'y a aucune privation. Tous les menus sont à disposition. Et je vous rassure vous pouvez faire preuve de gourmandise. Commandez !

La nain remonte sur le comptoir puis bierre à la main l'englouti t d'une seule traite. Passant ensuite sa main sur ses lippes mousseuses, il rayonne et scrute l'assemblée.

Oh là, dame poète entendez vous cette tirade au loin, d'un messire ensorcelé ou médusé. Qu'importe après tout. J'ajoute une tournée supplémentaire, à votre bon coeur ...

Les bières pleuvent sur le comptoir à disposition de la bimbo du jour. Quant au nain, voilà déjà qu'il gobait le contenant d'un nouveau verre.

Leprechaun_le_nain

A peine le temps de reprendre son souffle que deux nouvelles personnes s'approchaient du comptoir.

Mais bien sur, et une autre tournée, une autre.

Les verres pleuvent et sont d'ors et déjà à disposition de tous. Quant à la dame.

Et voilà le wiskey. Attendez ...

Le nain saute à nouveau du comptoir et disparaît pour aller chercher un beau balai.

Tenez, il est tout beau, tout neuf et surtout tout propre.

Et paf, il termina sa phrase en plissant les yeux, le wiskey allant chatouiller son gosier.

Edouardine

A peine avait-elle choisi son défi qu'elle le regretta déjà ! Lorsqu'elle opta pour les rimes, elle ne se doutait pas qu'aussitôt après, un poète de compétition allait faire son entrée.
Le ridicule ne tuait pas non, mais elle voulait, si on le permettait, rimailler en paix !
Bière et whiskey allaient l'aider à se décoincer sans nul doute, mais il en faudrait des tournées pour que la rousse se sente à l'aise...

Ensorcelé ou médusé, du moment qu'il ne me coupe pas la rime sous le pied !

Et puis une autre rousse fit son entrée, accompagnée d'une autre femme. Enfin, Ed se sentait moins seule au milieu de tout ces hommes... et de la grosse paire de miches. Et s'en suivit une tournée générale. Ed l'aimait déjà ! La rousse hein ! Et lorsqu'elle aperçut le nain lui tendre le balai, Ed leva sa chope, supposant qu'elle allait danser avec.

A la santé de celle qui paie !
Qui avec grâce va nous exécuter
La danse endiablée du balai...
Mesdames et messieurs, sieur Tavernier,
Cette dame nous allons acclamer !

Et de joindre le geste à la parole, après avoir vidé la moitié de sa chope bien sûr !
Ed se surprenait à applaudir. Les autres allaient-ils suivre ou bien allait-elle passer le restant de ses jours à maudire cette journée, dans une lointaine contrée où personne ne la connaitrait?
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Alfred555

À peine assagi, l'Alfred oit une remarque sur des rimes, prononcée par une autre femme, bien jolie aussi. Forcément, elle est rousse. Le côté flamboyant, certainement. Celle-ci ne semble pourtant pas à son plus grand aise.

"Gente dame, vous me trouvez navré et désolé
D'avoir coupé la rime de sous vos petits pieds.
Nulle compétition ici, la place est à l'amusement
à la boisson, aux rires, aux plaisirs et a l'engouement.
Soyez sans crainte, rimez de toute votre envie.
Je vous préviens, méfiez-vous tout de même de l'adage :
"Femme qui rime, à moitié dans votre lit"
vous risqueriez d'en perdre une partie de votre plumage."

Pas dit que ça l'ait beaucoup rassurée...

"Tavernier ! Une tournée en l'honneur de la damoiselle rousse,
Et j'aime autant vous prévenir : il y a intérêt que ça mousse !
Sinon nos lamentations irons aux oreilles de la princesse
qui sans nul doute vous flagellera les fesses !"

--Amburgis

Toujours avec le jeune garçon, qui en perdait son latin, à se perdre sur son anatomie, faut dire que la Birgit lui avait dit "Tu as de beaux poumons, tu les portes, tu les soulignes." Avec ça une paire de claque impériale sur le séant qui failli lui faire embrasser le sol..

"Notre liqueur vient d'un peu partout, il y en a une qui vient d'Agen, une autre sorte de Toul et une normande en quantité limité qui vient d'un couple d'amis de la Marquise. Un échantillon de chaque, car possible que vous en perdiez en chantant ? Votre nom je vous prie ?"

Elle pousse la bière vers lui ainsi que la planche avec la viande séchée, tranchée, et s'en va vers le comptoir, pour préparer les trois verres de Liqueur,

"Chaun ! On a déjà un défi numéro Un ! Une Tournée Générale pour moi !"

Et oui la pépette ne perd pas le nord, c'est pour elle que cette tournée sera noté, l'argent de la princesse lui sera donc reversée, et oui, de quoi motiver les deux serveurs à faire rude compétition... Occupée à remplir les verres du garçon, un homme entre et après avoir demandé une mousse à Chaun, qui le sert, et lui déclare un poème, graveleux, mais ayant un cœur d’artichaut et le Q.I. d'une huître, elle est forcément charmée et couine de plaisir. Pour être troublée, elle l'est, oh elle rougit.. Et renverse un peu de la précieuse liqueur qu'elle essuie avec son index avant de l'essuyer sur ses lèvres, un grand sourire ourle ses lèvres sucrée.

"Oh je suis sûre que vous êtes un Cavaleur ! - Hihi. Quel est votre nom, avec vos rimes vous remportez une tournée offerte par la Princesse Athénaïs."

Chaun remplit les verres, encore et encore, et Amburgis fait le service, virevoltant entre les tables, frôlant le dos de quelques bienheureux en déposant les choppes, ils en étaient à quatre tournées générales et des commandes spéciales pour les défis, elle dépose d'ailleurs les trois verres de liqueur de prune pour le jeune garçon. Un petit pincement de joue en supplément.

"Je vous écoute chanter !"

Citation:

Tournée Amburgis :
- Alexandre [Défi 1/]
- Alfred [Défi 9/]

Tournée Chaun :
- Edouardine [Défi 9/]
- Tuatha [Défi 22]

Maths_law

Sourit et s'approche commande une pinte discretement et regarde l'ensemble de l'assemblé avec un petit sourire.

Prend sa pinte et regarde l'ensemble en buvant un coup.
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Tuatha

Non !! Non elle a pas fait çà ?
C'est pas elle , c'est son double c'est sur !
Tuatha bis sort de ce corps tout de suite !!!
C'est un ordre !

Mais a peine avait elle pensé çà qu'elle se retrouve avec un balai entre les mains .
Pour le coup elle ouvre la bouche , mais aucun son n'en sort , on lui a enfin coupé le sifflet à la Flamboyante , hourra !!
Un regard à Celeste , d'un air de dire " au secours , sauves moi !! "
Mais elle sait bien que Celeste ne lui prendra pas le balai des mains pour faire le ménage .

Un autre regard autour d'elle , mais il n'y a que des hommes !
Mon dieu la galère ... marmonne t'elle entre ses dents .
Pour enfin porter le regard sur une autre rousse qui levait sa chopine en déclamant des vers .
Fichtre !! Voilà qu'on l'encourageait .
La danse endiablée du balai ?
Tu parles . Galère oui ...
Si j'avais su , j'aurai pas venu ! Na !

Elle attrape soudain sa chope de Whiskey et la lève à son tour en saluant la poétesse de la soirée . Une rousse ...Encore une .
Elle doit les attirer comme les mouches sur un pot de miel .
Mais elle lui sourit , car les rimes c'est plus élégant certes , mais bien plus compliqué avec quelques chopines dans le nez .

Après s'être enfilé son whiskey , les idées sont un peu moins claires , mais il en faudra plus pour qu'elle s'éclate vraiment avec un balai .
C'est qu'il est pas causant son partenaire de danse
Il est raide en plus et pas encore raide d'elle vu sa tête ébouriffée .

Un regard pour le détailler de haut en bas .
Comment le tenir ce partenaire d'un soir ?
Un main en haut , une un peu plus bas , mais pas trop quand même , il faut garder de la pudeur et ne pas les poser sur ce fessier un peu trop plat à son goût .

Un sourire sur les lèvres , la rousse fait la révérence , avant d'empoigner l'objet du délire ou du désir , au choix .
Et la danse endiablée commence ...
Un tour à droite en prenant soin de garder le balai bien droit , puis un tour à gauche , tourbillonnant , pour ensuite repartir à droite , évitant de peu les tables où les clients étaient assis , regardant médusés et complètement hilares la danseuse et le balai .
Pourvu qu'elle ai tout oublié demain !
Et heureusement que les armures et le heaume vont cacher son visage , sinon elle sera morte de honte ...
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EN DEUIL

Hope

Elle est un tantinet nerveuse ces derniers temps, elle a donc un grand besoin de dé-com-pres-ser !
Quoi de mieux qu'une virée dans une taverne pour se boire un... elle ne sait quoi, et elle s'en fiche, du moment que c'est alcoolisé.
Entrant dans l'établissement de fortune, elle avise une belle rousse accompagnée d'une tout aussi ravissante blonde et se dit ...
En fait bien mieux, elle s'approche de Tuatha et l'aborde :

Bonjour votre Grâce, je me rappelle à vous... Hope, la fille de Teia.

Puis vers Céleste :

Je crois, qu'on s'est déjà croisée en Bretagne, vous étiez maire de je ne sais plus quelle ville? Vous aussi ? Vous venez profitez des plaisirs offerts durant ces joutes ?

Sourire qui s'accentue, son regard tombe sur une pancarte, qu'elle consulte avec attention.
Haaaaan... mais voilà qui est intéressant !
Se tourne vers la tavernière à la poitrine opulente et lui chuchote :

Dites... j'ai bien compris ? Je choisis un défi et si je le réussis c'est tournée général pour tout le monde ?

Elle prend le temps de réfléchir, cependant un des défis attire plus particulièrement son attention.
Levant un sourcil, intriguée, elle ajoute toujours à voix basse :

Le gage n°17 et si je réussis tournée générale de ce que vous avez de plus fort !

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Tuatha

Et hop ! Un petit tour à gauche , c'est qu'elle commençait à y prendre plaisir la Flamboyante , pour se retrouver nez à nez avec Hope justement !

Bonjour votre Grâce, je me rappelle à vous... Hope, la fille de Teia.

Oh bon sang de bon soir !!
Alors là c'est la honte complète en regardant la fille de l'une de ses meilleures amies , Teia .
Elle en lâcherai presque le balai , mais elle ne peut pas abandonner son partenaire de la soirée de la sorte .
Si ?
Ah d'accord !
Lâche le balai qui tombe à terre dans un petit bruit mat , avant de mettre un pied dessus pour pas qu'on le lui pique !
C'est contrariant une rousse parfois .
Ca veut et puis çà veut plus et puis ça veut à nouveau .

Ah !! Bonjour Hope ! Quel plaisir de vous croiser ici .

En même temps c'est normal , tssss , t'est cruche ma fille là !
C'est des joutes , pas le bal des débutantes . - J'vous jure parfois je me demande si faut pas la driver un peu ma rouquine -

Comment va ma chère Teia ? Cela fait bien longtemps que je ne l'ai vu , elle me manque beaucoup .

Sourit et opine de la tête aux dires de Hope

Oui en effet j'ai été maire à cette époque et mon amie Celeste également .
Nous sommes en effet venues pour participer aux joutes et nous amuser et j'avoue que les animations sont réussies .

Je vous souhaite d'ailleurs bon amusement Hope , puis je vous demander d'embrasser amicalement votre mère de ma part ?

Puis la laisse discuter avec la tavernière et choisir son défi .
Ramassant son balai au sol , elle l'essuies un peu , avant de lui plaquer une bise sur le manche .
Oui c'est pathétique une duchesse qui a picolé
En plus elle doit faire honte à son amie et vassale , Celeste .
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EN DEUIL

Edouardine

Ed avait beau bien tenir l'alcool en temps ordinaire, ce mélange bière-wiskey n'était peut-être pas judicieux...En tout cas, il était bon ! Elle n'en était pas à se sentir légère comme une plume, virevoltant sous une légère brise, loin s'en faut ! Cependant, la rousse sentait ses joues s'empourprer sous les effets du mélange, et non des rimes coquines du poète.

Délaissant du regard l'autre rousse qui aguichait le balai, et qui entre nous ne l'avait pas où l'on pense, Ed s'empressa de répondre au sieur Alfred.

Sieur, je ne vois là aucune compétition,
Mais je ne suis qu'une "rimailleuse" d'occasion.
Vous qui avez la rime facile et riche,
Devez me trouver un rien godiche,
Avec mes vers à deux deniers,
Qui heureusement suffisent pour une tournée.
Alors buvons, rions, festoyons,
Avant que l'alcool nous fasse perdre raison.

Sa mâchoire commençait étrangement à se faire plus lourde...

C'est ma tournée, messire le Nain,
Que coule à foison la bière et le vin !

Manquerait plus que Yeleyna entre. Finalement, nul doute que ce serait elle la plus moqueuse.

Pour l'heure, elle observait les gens présents, tour à tour, espérant qu'elle n'aurait plus à parler pour un bon moment.
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Alfred555

"Vous souhaitez mon nom ? Alfred je me prénomme,
et pour la prochaine tournée, je préfèrerai la bière au rhum.
Vous faites erreur : cavaleur je ne suis point,
d'autant que ma douce risquerait de m'envoyer son poing
si jamais j'osais toucher autrement qu'avec les yeux
quelque délicate beauté au physique fabuleux."

La donzelle proposait à un convive de chanter. La bouche pleine de prune. Pfff. Il y avait vraiment des jeux à boire de bas étage. Faut pas gâcher !
Pour la peine, Alfred se mit à chanter aussi, afin de relever un autre défi, plus amusant à ses yeux. Il commençait à être un peu pompette, autant dire que ça n'allait pas chanter très juste. Il monta avec difficulté sur la table.

"Je m'en vais vous chanter une histoire bien rare,
Celle du Roy Jean qui, bien que ce ne fut point la Saint Patrick,
dans une cathédrale chargea à cheval de façon héroïque
pour se rendre bien ivre alors qu'il était fort en retard,
escorté de mon Pochagnol de boisson, son fidèle Clichy,
dont l'absence icelieu, y'a pas à dire, à boire sans lui j'en chie,
au baptême de son filleul, fils du second et de Zoyah,
point encore dauphine, ce fut sous le règne de la reyne Lafa.
Les deux compères fins torchés d'une soirée des plus mouvementées,
stupéfièrent en entrant l'assemblée religieusement bouche bée,
s'en suivirent de façon fort bruyante la chute des fonts baptismaux,
qui fort heureusement, n'en brisèrent point les vitraux."

Et hop une pinte, parce que bon, raconter des conneries véridiques, ça donnait soif. Il reprit :

"Je ne vous chanterai point de la reyne Alvira,
qui par son énergie tout le paradis solaire ravira.
Soyez en sûrs, c'est maintenant bien sage et à sa droite,
Que le Très-Haut est assis, se tordant ses mains moites. "

Il se pencha pour saluer la foule.

Alexandre_serna

Madame 3 y tenait !
Il l'observait, mais il se rendit bien vite compte qu'il n'était pas le seul homme à l'observer dans la taverne.
Ainsi il devenait comme tous les mâles ?
Il dévisageait les gorges des femmes ?
Quel avenir radieux/douteux.
Il secoua la tête pour recouvrer ses esprits, non il ne deviendrait pas un homme qui verrait dans les femmes juste le plaisir de la chair.
Il avait rompu le lien vassalique pour ça, parce qu'il ne voulait plus ou pas de ce modèle, les mains sur les tempes, il réfléchissait pendant que la dame le renseignait sur les Prunes.
Sa main à couper ou plutôt son blason à enlaidir qu'il s'agissait de la Prune Serna.

Un peu de chaque et Serna reconnaîtra la sienne.

Il marqua une pause, pour sûr qu'il reconnaitrait le goût de sa Prune, la vieille Prune de grand-Père Felipe qu'il avait malencontreusement utilisé plus jeune pour désinfecter ses ustensils de médecin.
Il ignorait tout de la valeur de cette bouteille et il avait juste choisi un alcool fort.

Alexandre.

Il réfléchissait le nez dans sa bière, il avait trinqué à la santé.
Quel chant allait-il chanter ?
Il en connaissait bien quelques uns, Ronan l'Ecossais lui en avait appris plusieurs, surtout quand il s'agissait de taquiner l'anglais Fitz.
Prenez une famille Hispanique et laissez les engager un anglais et un écossais, il est donc naturel que l'anglais et l'écossais se taquinent, ne serait-ce que pour des histoires de rois et de reines.
Ronan lui avait appris la chanson "The wearing of the green" [le port du vert]
Cette chanson n'était peut être pas la plus diplomatique qui soit, surtout si il y avait des anglais dans l'assistance, cela traitait quand même les anglais de porteur de rouge cruel...
Voilà pourquoi les dames parlaient des anglais quand, vous voulez un dessin ?

Mais voilà que la dame revient bien trop vite !
Elle semble plus radieuse que tout à l'heure, est-ce son chant ou...
Un des poèmes pour le moins...
Original ?

Je prends des forces.

Attrapant les godets, il les passa sous son nez expert et en choisit un qu'il savait avec certitude être la Serna.
Il le but cul sec !
Et reposa le godet en le faisant taper sur la table.
L'heure du chant était là.
Sûr que cela améliorait son accentuation, d'ordinaire Ronan lui filait un peu de sky.
Il ferait avec de la Prune, après tout c'était son sang.
Il se leva et commença sa chanson, mais est-ce que 3 la comprendrait ?
Mystère...

The story of St Patrick's Day [L'histoire du jour de St Patrick]
Began so long ago [remonte a très longtemps]
The lyrics in this song [les paroles de cette chanson]
Will tell you [vont vous dire]
All you need to know [ce que vous avez besoin de connaitre]
The seventeenth of March [le dix-septième jours de mars]
Is when this joyous holiday est jour de fête]
Is celebrated happily [et est célébré avec joie]
With colorful parades [et des défilés plein de couleurs]

Dee Lai Dee Dai Dee
Dai Dee Dai Dee
Lai Dee Dai Dee Dai
Hummm...Hummm...

Patrick was only sixteen when [Patrick avait seulement 16 ans quand]
The pirates captured him [les pirates l'ont capture]
They sold him to slavery [Ils l'ont vendu comme esclave]
And took him to Ireland [et l'ont emmené en Irlande]

He kept the faith [Il a gardé foi]
And made his escape [et a réussi son évasion]
When he was twenty-two [quand il a eu 22 ans]
And made it back to Britain [Et a réussi son retour en Angleterre]
'Twas the only home he knew [C'était le seul foyer qu'il connaissait]

Patrick had a vision [Patrick a eu une vision]
To return to Ireland [Celle de retourner en Irlande]
And vowed to teach Christianity [et de se consacrer à l'enseignement de la religion catholique/aristotélicisme si on veut coller]
Until the bitter end [Jusqu'à sa mort]
Legend says that Patrick used [La légende raconte que Patrick a utilisé]
The shamrock to explain [Le trèfle pour expliquer]
That the Father, Son and Holy Ghost [que le Père, le Fils et le Saint-Esprit]
Are all and one the same [Sont tous et un en même temps]

On this day the Irish dress [En ce jour la tenue irlandaise]
In many shades of green [est faite de nombreuses nuances de vert]
And some are feeling lucky [Et certains se trouvent chanceux]
With the leprechauns they've seen [à cause des Leprechaun qu'ils ont vu]
It's music and fun for everyone [Il y a de la musique et de l'amusement pour tout le monde]
We'll party and we'll play [Nous fêtons et jouons]
Come one, come all [Venez, venez tous]
Come join along [Venez nous rejoindre]
On this St. Paddy's Day! [En ce jour de St Paddy/Patrick Paddy = surnom de Patrick]

Sans chanson terminée, il attrapa un nouveau godet et le termina d'un coup d'un seul.
Chanter cela donnait soif, sauf que l'alcool n'hydratait pas, mais par contre, cela permettait de voir la vie encore plus drôle.

Traduction non mot à mot, j'ai tâché de faire une traduction narrée, l'idée principale de la chanson est là, sauf que certaines expressions anglaises en français et vice versa ne fonctionnent pas de façon optimale.
Mais l'essentiel n'est-il pas de comprendre l'histoire ?

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Serna un jour, Serna toujours.

Walan

Regarder des gens se taper dessus et se rouler dans la poussière pendant des heures, ça donne soif. Certes, moins que de participer, mais quand même. Étant invité à séjourner au château avec sa fille, le chevalier aurait certainement pu y remédier au problème, mais comme une taverne avait été astucieusement préparée pour ça, autant en profiter.

Cela faisait longtemps qu'il n'était pas allé boire à l'extérieur. Enfin, à l'extérieur de sa tente sur un campement, puisque c'était là qu'il passait une bonne partie de l'année. Il passait généralement ses soirées plongé dans des missives, comptes-rendus et rapports liés à ses terres et fonctions, puis à rédiger tout autant de lettres en réponse.
Sauf que depuis quelque temps il avait réduit tout ça, et comme en plus il était, pour l'occasion des joutes, en "vacances" -pour peu que ce terme signifie quelque chose pour quelqu'un qui avait été surnommé Sans Repos des années plus tôt- il pouvait bien venir passer un peu de temps dans une taverne.

D'où sa présence ce jour là, donc. En entrant, le brun parcouru du regard la salle, salua d'un signe de tête les personnes qui -sait-on jamais- tourneraient la tête dans sa direction. La vision d'une rousse en train d'embrasser un balai et l'audition de clients déjà en train de chanter lui fit hausser brièvement un sourcil perplexe, avant qu'il ne se dirige vers une table libre. Il adressa un signe à la serveuse et attendit qu'elle s'approche pour lui demander tranquillement.

Bonjour.
Une pinte de votre meilleure bière et un pichet de lait de chèvre, s'il vous plaît.

Car oui, il n'était pas seul en fait. Quitte à rompre les habitudes, c'est avec Aëlys qu'il était venu. Quoiqu'il commençait à se demander si c'était bien un lieu pour une enfant ...
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Aelys_meyrieux

Alors c'était ça, une taverne? La petite absorbait tous les sons, toutes les couleurs. Mais pas les odeurs.

Papa, ça ne sent pas bon du tout!

La tête lui tournait un peu. Des gens chantaient.

Je ne vous chanterai point de la reyne Alvira...

Ah non, alors!

Vous avez entendu, Papa? La chanson parle de la méchante reine qui a renvoyé Maman au couvent.

Sa gorge se serrait de moins en moins quand elle évoquait Maman. Mais sa colère contre "la méchante reine" était toujours intacte. Elle aurait voulu que plus personne, jamais, ne se souvienne de son nom.

L'autre chanson était plus amusante. C'était en anglais, ce qui ne dérangeait pas du tout Aëlys. En plus, celui qui chantait était proche d'elle par l'âge.

Papa! Il y a un garçon!

Une pinte de votre meilleure bière et un pichet de lait de chèvre, s'il vous plaît.

Ou comment briser l'ambiance.

M'enfin, Papa! Je dé - teste le lait de chèvre!

--Amburgis

Le prénom du garçon est noté sur son côté l'ardoise, elle sourit ravie, ils sont pour l'heure à ex aequo avec Chaun, elle appuie sa hanche contre la table - oui elle n'est pas bien grande et écoute le garçon chanter avec de la liqueur de prune dans la bouche, elle applaudit, elle ne comprend absolument pas les paroles mais le rythme lui plait, et donc frappant dans ses mains, elle souligne le rythme, le clap des mains est remplacé par le bruit mate de ses bottes sur le plancher, elle sautille et danse, reprenant le service sous les indications de Chaun.

Elle sert le brun barbu, plutôt mignon, [Maths_law], elle contourne avec agilité la bretonne qui danse avec son balai, [Tuatha] et son amie [Edouardine] qui se voit à son tour conter fleurette par Alfred.

Amburgis s'approche d'une nouvelle venue, [Hope] et écoute son chuchotis, elle opine et déclare.

"Vous avez bien compris, je vous note, votre prénom, je vous prie ? "

Puis à Chaun,

"Une Tournée de la part de la demoiselle !"

Et une tournée de plus, elle prend de l'avance, elle sourit à Chaun avec une lueur de défi dans le regard,

*Essaye de faire mieux, minus !*

Elle revient à temps près du garçon, [Alexandre] Pour lui apporter sa bière de défi réalisé, elle lui sourit,

"C'était merveilleux, j'aimerai que vous chantiez encore !"

Un homme et sa fille entrent, elle est un peu surprise par le jeune âge de l'enfant, mais après tout elle est venu avec son père et non seule et quand bien même, qu'aurait-elle fait si une fillette entrait seule.. Elle n'y avait pas songé ! La blonde gage que Birgit saura gérer ce genre de chose..?

A la table du duo, [Walan & Aelys],

"Bonjour à vous, et Bienvenue, je vous apporte cela tout de suite, si vous voulez boire à l'oeil, il suffit de réaliser l'un des gages.

Citation:

Tournée Amburgis :
- Alexandre [Défi 1/fait]
- Alfred [Défi 9/fait]
- Hope [Défi 17/]

Tournée Chaun :
- Edouardine [Défi 9/fait]
- Tuatha [Défi 22/fait]

Celeste.bussey

[Avec Tuatha]

Il n’y avait que sa Suzeraine pour entraîner l’Ange Blond dans un tel endroit ! Et qui plus est quand on savait que Céleste faisait partie des bretonnes à ne pas boire ! Quel comble ! Son regard se porta alors sur le petit homme, suivant de près les intentions de sa Suzeraine. Puis une légère moue s’afficha avant de répondre :

Oui… je n’en doute pas…

Pour sûr elle était loin d’être à l’aise dans cet endroit. Dans quelques années l’on pourrait appeler cela un moment entre fille. Etrangement la Duchesse ne l’a quittait pas d’une semelle comme si elle avait peur de la perdre. Amusée de la situation, la jeune femme essayait tant bien que mal de se sentir à l’aise malgré la proximité avec certaines personnes déjà présentes. Il faut dire que la taverne n’était pas si grande que cela malgré le monde présent.

Lorsque Tuatha lança la tournée générale Céleste ne put s’empêcher de sourire, amusée. Jamais elle n’avait vu sa Suzeraine dans pareille euphorie. Son regard pétillait d’admiration. Elle adorait sa Suzeraine, c’était une évidence. Puis se penchant vers elle, taquine, elle ajouta :

J’espère que vous aurez un bon argument pour le Duc Consort pour lui expliquer le règlement d’une telle somme.

Puis voyant le nain revenir avec un balai et le tendre à Tua, l’Ange Blond reporta son regard sur la pancarte. Non… elle ne va pas oser … Bien sûr que si ! Qui ne connait pas la Flamboyante serait surpris de ce qu’elle est capable de faire. Admirative de son courage, elle ne peut s’empêcher de rire en la voyant séduire le balai de sa danse endiablée. Pour sûr, ce moment lui changeait les idées. Alors qu’elle était concentrée sur la danse, une jeune femme vint à sa rencontre.

[Avec Tuatha et Hope]

Un sourire lui fut adressé en retour.

Ohhh demat. En effet, je me souviens de vous. Je suis ravie de vous revoir. Comment allez-vous ?
Et oui… j’étais bourgmestre de Rohan mais je vis à Brest auprès de ma Suzeraine désormais.

Un regard traduisant l’identité de la concernée avant de poursuivre :

En effet, nous sommes venues décompresser un peu.
_________________

Athenais_

C'est en bonne compagnie, ou fichtrement seule que notre Duranxie décida de rejoindre ses convives. Ah ben oui, il n'y a pas qu'eux qui fêtent la Saint-Patrick. La jeune Princesse fait parti également des bons vivants. Et quitte à rincer les vaillants participants qui oseraient les défis, autant partager ce moment avec eux.

Elle s'était préparé pour ne pas paraitre totalement mal fringué mais sans folie non plus. Sam avait imaginé un super modèle qui lui permettait d'avoir le côté pratique tout en alliant une légère coquetterie. En fait, la Duranxie adhérait clairement à ce modèle comme à celui qui était fait de cuir. Ce qui lui permettait de bétonner un peu plus son assurance à venir dans l'auberge alors qu'elle s'y pointait sans avoir prévenu qui que ce soit.

Enveloppé dans sa cape, une capuche couvrait sa chevelure ébène. En entrant, elle fit un tour de table de la zone, plutôt ravie de voir que c'était plein de vie. Cela parlait, s'agitait, chantait et... Dansait. Les uns avec les autres mais aussi avec un balais. Le taux d'alcoolémie avait donc visiblement atteint un niveau certain, ou alors un nain vert rendait le moment magique en balançant de la poudre de perlim-pimpin.

Dénouant la fibule de sa cape, elle garda toutefois un châle en coton sur ses épaules tout en zieutant Tuatha, puis Alexandre qui se gargarisait avec de la Prune pour enfin applaudir leur prestation. Un petit coucou à Aëlys, des salutations à Walan et n'osant pas trop les déranger elle s'installa à la table d'Alfred, continuant sur sa lancée non sans saluer ceux qu'elle croisait reconnaissant quelques visages ça et là rencontré plus tôt.

Il y a de très belles prestations !
Une tournée générale Amburgis, et un whisky pour moi je vous prie.

Car autant se régaler en même temps que tous. Sans le vouloir, sans même le savoir, la Duranxie venait de confirmer l'avantage de miss gros lolos envers Chaun.
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♖ Armoiries ♖

Alfred555

Alfred, toujours debout sur sa table, toujours autant pompette et donc, toujours aussi peu assuré dans sa position verticale, vit arriver la taulière des lieux, la reyne des festivités, la fille de celle qu'il venait de chanter.

"Ah ! Mais voilà que nous arrive la jeune marquise,
nous faisant tous profiter de sa présence exquise
alors qu'elle nous arrose à volonté dans cette taverne
avide d'écouter nos plus ou moins subtiles balivernes."

Il s'inclina vers elle sans assurance, ne manquant toutefois pas de profiter, depuis sa position en altitude, de la vision que sa jolie tenue lui offrait. Mais même torché, il pouvait avoir quelque retenue. Aussi ne lui dit-il point que la vue était admirable. Ni que... Bref !

"Bonjour Athenaïs ! Est-ce bien la princesse
à moins que ce ne soit la Pochtronnette
qui nous honore tous avec gentillesse
de sa présence dans cette noble buvette ?"

Ça se voit tant que ça qu'il était content qu'elle soit là ? Non. Ne le faites pas abuser des rimes en "ette".

Leprechaun_le_nain

"Bonjour.
Une pinte de votre meilleure bière et un pichet de lait de chèvre, s'il vous plaît. "

Et ni une, ni deux, voilà que le messire était servi. La dextre apportait une pinte et la senestre de lait de chèvre.
Par pitié pour la petite fille, il lui fit un clin d'oeil et alla murmurer.

Hep, psstt , petite fille, voulez vous que je vous serve quelque chose ? Discrétion garantie et assurée. Réfléchissez et faite moi signe.

Le tout fut dit avec un index sur les lippes et un clin d'oeil qui se voulait complice.

Tout se passait au mieux, il applaudissait aux chants et aux danses encourageant encore plus pour pousser à la consommation et lutter contrer les inhibitions.

Puis Amburgis le sortit de sa contemplation.

Hein ! Oh oui, oui et une Tournée de la part de la demoiselle, une !

Il s'activa sourit à la bimbo avant de se vexer.

*Essaye de faire mieux, minus !*

Minus, minus comment ça minus ? Si tu savais ... tu n'aurais d'yeux que pour moi !!

Dit-il, l'air coquin et sur la pointe des pieds. Ben quoi !! Pourquoi il n'y aurait que les grandes tailles qui auraient le droit de profiter du spectacle ? Il allait faire mieux quand .... oui quand Athénaïs fit son entrée. Un regard vers la petite fille si elle s'était décidé avant de se précipiter vers la maîtresse des lieux.

Comment ça maîtresse ! Vous me chagrinez. Amburgis ne saurait vous servir aussi bien que moi.

Il révérence et devient encore plus petit.

Votre magnificence, une tournée générale aussitôt dit, aussitôt fait.

Se relevant et minaudant.

Et Amburgis ne connait pas la cachette secrète des meilleures choses.

Il court, il court le nain ...

ALLEZ OP, une tournée générale supplémentaire. Et une ... A la bonne santé de notre hôte.

Le wiskey fut apporté sur un plateau d'argent.

Pour vous servir.

Et toute en scrutant les besoins des autres invités, il bomba le torse et fit un léger clin d'oeil charmeur à la bimbo.
Un dernier regard vers Athénais avec l'index sur son torse style "adressez vous à moi la prochaine fois".

Hope

Toujours avec Amburgis :

Je suis Hope, et je prendrai volontiers un bon cognac s'il vous plait.

Elle se tourne vers Tuatha :

Ma mère va bien, je pense, mais depuis qu'elle a intégré son ordre, nous ne nous sommes pas revues.

Et lui sourire amusée :

Dites-moi, quelle émotion ressentez-vous à danser aussi langoureusement avec votre partenaire... le balai ?

Pouffant de rire, c'est au tour de Celeste cette fois :

Oui Rohan... cela fait déjà un an. Je suis sincèrement ravie de vous revoir.

Son regard fait le tour de la taverne, se posant tour à tour sur le chanteur, les piliers de comptoir, le... mmmhh ... beau brun à l'air ténébreux, un homme accompagné d'une tout jeune fille, les défis s'enchainant avec réussite, l'alcool coulant à flot, dans une atmosphère chaleureuse, lorsque la Princesse fait son entrée et s'installe.

Elle reporte son attention vers Celeste :

Et vous ? Pas de défis à relever ?
En ce qui me concerne, je vais devoir monter sur une table et attendre que l'on décide de mon sort.

Souriant avec malice, elle attrape le cognac servi, le siffle cul sec , histoire de se donner du courage, bien qu'elle n'en ai pas vraiment besoin et grimpe sur une des tables.
Les dominant tous de sa belle hauteur, elle s'exclame de sa voix feutrée difficilement perceptible dans tout ce brouhaha :

Alors ? Qui se lance ?

_________________

Arioce

Au bar - En attente d'un verre.

Les joutes de la Duranxie, toujours de sacrée joutes avec un sacré monde. Dommage que je ne parvenais pas à m’améliorer et que je finissais toujours éliminé tôt dans la compétition. Tant pis. La propriétaire avait prévu le coup, pour tous les pauvres perdants. Toujours une grande idée que d’ouvrir une taverne lors de ce genre d’évènement. Finir complètement ivre, à ramper pour rejoindre sa tente, l’oraison de tous bons buveurs-jouteurs qui se respecte.
Ainsi donc, bien vêtu, je me rendis au coin buvette. Quelques personnes s’y étaient déjà rassemblées et l’alcool semblait déjà couler à flot. Une bonne chose !
Sans plus tarder, je me rendis au comptoir commandé ma part. Mes yeux se portèrent sur une affiche où une série de défi y était inscrit. Mmmh… Tournée générale au frais d’Athénaïs… Intéressant. Mais d’abord …

- Qu’avez-vous à me proposer pour bien commencer la soirée ?

Un sourire fut adressé à la serveuse. Attendant réponse, mon attention fut détournée par une voix bien connue, qui, pour une raison certain de défi, était debout sur une table, attendant son bourreau.
Mmmh… Je patientais voir si quelqu’un se manifesterait pour lui donner son gage, me permettant de réfléchir à quelque chose de sympathique, si personne répondait.
_________________

--Amburgis

La Princesse [Athénaïs] passe les portes, et lui commande une tournée et un whisky, elle sourit et termine donc avec quelques clients avant.. Quand elle se retourne Chaun est sur le coup ! Le petit salopiot venait de lui voler sa tournée ! Tournée de la brune en plus, elle enrage ! Et il ose dire qu'il saura mieux la servir qu'elle ! Bon en même temps ce n'est pas totalement faux, il est vif le farfadet, mais puisqu'il veut jouer à cela, elle gonfle ses jumeaux - Roger & Robert ! Et elle gage qu'elle récupéra toutes les tournées de la part des hommes ! Elle tire sur son tablier, plus que nécessaire et reprend le service en main, disposant sur les tables les pintes offertes par Etampes, un cognac pour [Hope] qui monte sur la table et se prête au jeu.

Voulant faire d'une pierre, deux coups, elle lance :

"Alors ? Qui se lance ?

- Dame Hope, je vous défi d'embrasser goulument Chaun notre serveur."

Pour sûr qu'avec ça, elle aurait le temps de rattraper son retard dans les tournées ! Elle se jette d'ailleurs sur l'Ours [Arioce] bien mis, qui la hèle,

"Qu’avez-vous à me proposer pour bien commencer la soirée ?

- Je vous conseille, notre Whisky, bien sûr.."

Plus aguichante - tu meurs ! Elle compte bien rentabiliser son séjour à Etampes en ce faisant un fric fou ! Et c'est d'ailleurs à cet instant que lui vint une riche idée, entraînée par les musiciens irish, Blondie monte sur une table, après avoir ôté ses sabots, et après un raclement de gorge... Un regard à Chaun

*Prends ça le nain !*

"S'il vous plait... Pour notre Marquise [Athénaïs] ! Je me permets de lui chanter une chanson à la gloire d'Etampes. Musique !"

♫ Sous le ciel d'Etampes,
S'envole une chanson,
Hum hum...
Elle est née sur la hampe,
Au cœur de la belle saison.

Sous le ciel d'Etampes,
Marchent des amoureux,
Hum hum
Leur amour se développe,
Sur un air fait pour eux.

Sur le pont doré,
Un philosophe écoute le concerto,
Hum hum...
Deux musiciens, quelques badauds,
Puis les gens par milliers.

Sous le ciel d'Etampes,
Jusqu'au soir vont chanter,
Hum hum...
L'hymne d'un peuple qui campe,
De sa vieille cité.

Sous les rayons,
Du ciel printanier,
Hum hum...
Prions, aimons, chantons,
Chers invités ♫

Citation:

Tournée Amburgis :
- Alexandre [Défi 1/fait]
- Alfred [Défi 9/fait - 13/fait]
- Hope [Défi 17/fait]
- Amburgis [Défi 13 modifié/fait]

Tournée Chaun :
- Edouardine [Défi 9/fait]
- Tuatha [Défi 22/fait]
- Athénaïs [Défi X/]

Chanson largement inspirée d'Edith Piaf - Sous le Ciel de Paris.

Athenais_

Aux salutations d'Alfred, la Duranxie se fend d'un sourire chafouin et s'incline pour le saluer cérémonieusement. Elle surjoue pour l'enquiquiner et le faire parler ainsi donc, elle se penche légèrement. La suite la fait rire, purement et simplement. Elle a envie de lui dire que ce sont des belles rimes mais préfère s'amuser à marquer les syllabe en tapotant du doigt sur la tablée. Chaun ne manque pas de souffler l'avantage donnée à Amburgis. Si bien et avec tant d'assurance et de malice que la Princesse rit de plus belle. Cette soirée risque d'être gravé dans les mémoires notamment la sienne pour son plus grand bonheur.

Coup d'oeil à Lolo Ferrari, visiblement ça n'allait pas se passer si facilement. Pour finir, l'on entendrait presque des dents claquer pour savoir lequel des deux auraient les prochaines tournées. L'esprit bon enfant perdurait et Athéna eut même droit à une chanson à la Gloire de ses terres. Surprise, elle tapa des mains, et d'un mouvement assuré lança sa senestre en l'air en s'exclamant qu'elle offrait une nouvelle tournée générale sur l'ardoise d'Amburgis redonnant ainsi l'avantage à la blonde. C'est pour moi poupée !

Mais revenons à nos moutons ou plutôt à notre Pochagnol 1er du nom, tant estimé et apprécié.

Ma chère biquette disait la bergère à sa fillette,
Quand un Pochagnol n'est plus à l'école, tu dois faire attention à ta gnôle.
Aujourd'hui nulle rime en -ette ne me rendrait poète.
Vous êtes bien trop fort pour tenir l'alcool, m'empêchant ainsi de faire le guignol.

Alors tout de suite, je vous propose la fuite.
Dansons la Saint-Patrick afin que celle-ci nous habite !

Gente dame je vous l'emprunte contre une pinte.

Bouh rime quelque peu foirée.
Petite moue qui va bien, avant d'offrir un nouveau sourire à Edouardine tout en l'invitant verbalement elle aussi.

Dansons, rions, c'est le but d'une chanson.

Le regard carnassier qui suit est accompagné de ses azurs portant le sceau du défi et qui se raccrochent à la silhouette d'Alfred. Les musiciens sont arrivés il y a peu, pour le moment discrets mais voilà que désormais l'Irish Tavern prend le dessus, comme si le mouvement de la Duranxie avait initié le début de leur activité réelle, encore des roublards ! Elle tend sa main au Pochagnol claquant sa botte sur le sol pour finir par les ôter et grimper sur l'estrade non loin des faiseurs de musique. Déjà elle s'élance, pieds nus sur les lames de bois, dans un jeu claquette imprégné d'élan Irlandais prenant la part belle à celui qui devenait dès lors, son concurrent.

Osera-t-il relever ce défi à présent où il sera sans doute bien moins à son aise qu'en baragouinant des rimes avec talent ?
_________________

♖ Armoiries ♖

Hope

Hein ?
C'est qui Chaun le serveur ?

Déçue, oh que oui, elle est vraiment déçue.
Bien qu'elle s'attendait à ce genre de gage... enfin soit.
Du haut de sa table, elle finit par l'apercevoir se faufilant furtivement entre les tables, les jupons des dames et les grandes guiboles de...
Haaannn... mais en voilà un qu'elle connaît ! [Arioce]

Un sourire en sa direction, elle descend de la table non sans lancer un regard désapprobateur vers Amburgis.
Ouais dépité qu'elle est.
C'est qu'à choisir, elle aurait même préféré lui rouler une pelle à cette plantureuse blondasse, plutôt que ce minus.

Mais on se refait pas, un défi reste un défi, et sans réfléchir plus longtemps, elle stoppe le lutin dans sa course aux tournées, se penche, encore, beaucoup même, lui attrape le menton et hop !
Affaire conclue.
Elle se redresse et le regarde droit dans les yeux, surprise de ne pas avoir trouver cela si désagréable.
Ma foi une bouche reste une bouche.
Un petit sourire à son attention, elle tourne les talons et part s'installer aux côtés de l'Ours :

Eh bien... quelle élégance...

Le regard rivé sur le whisky d'Arioce, qu'elle chipe sans aucune gêne, et zou ! dans le gosier !
Les joues rosées par l'émotion, l'alcool, les deux, elle l'interroge :

Partant pour un défi ?

Elle entend à peine la réponse, que les musiciens se mettent en route et que la Duranxie s'élance sur la scène pour une démonstration à l'irlandaise.
Commandant une autre tournée à la serveuse à la poitrine si généreuse, elle donne un coup de coude à l'Horn pour trinquer, s'enfiler une bonne rasade, et frapper ses mains en cadence tout en suivant le jeu de claquettes de la Princesse.
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Maths_law

Sourit amusé de la bonne ambiance c'est vrai que ça change de ce qu'on à l'habitude de voir.. Il boit alors sa choppe après avoir remercié la tavernière puis chantonne aussi doucement...

Sous le ciel d'Etampes,
S'envole une chanson,
Hum hum...
Elle est née sur la hampe,
Au cœur de la belle saison.

Sous le ciel d'Etampes,
Marchent des amoureux,
Hum hum
Leur amour se développe,
Sur un air fait pour eux.

Sur le pont doré,
Un philosophe écoute le concerto,
Hum hum...
Deux musiciens, quelques badauds,
Puis les gens par milliers.

Sous le ciel d'Etampes,
Jusqu'au soir vont chanter,
Hum hum...
L'hymne d'un peuple qui campe,
De sa vieille cité.

Sous les rayons,
Du ciel printanier,
Hum hum...
Prions, aimons, chantons,
Chers invités
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Leprechaun_le_nain

Il ruminait au complot. Oh trahison. Sa maîtresse qui lui lançait un poignard dans le cœur sans même un regard compatissant. Il resta donc un temps interdit la regardant et exagérant la tragédie avec la mine déconfite, meurtrie et larmoyante. Oui il osait, elle qui s'en allait danser en toute désinvolture. Seul, mal aimé de tous, il s'en retournait au comptoir maugréant contre la gente féminine et ce, sans écouter une seule parole de la reine des bimbo. Enfin, si mais bien à retardement, vraiment à retardement. Du coup quand il réagit.

hein, comment !

Voilà que hope se penchait vers lui et lui prend le menton.

Mais, que faites vous. Mais, Mais ..... hummm

Les bras lui en tombaient, le plateau également du coup. Il commence à goûter son plaisir que déjà il se terminait. La bouche en cœur, le cœur battant il la regarde lui sourire et lui répond. Mais voilà tout pantois, sourire niais, elle lui tourne les talons et la laisse sur sa faim.

Hum, oui .. voilà .. bon ... où en étais-je ... ah oui .... les tournées.

Il se retourne, regarde Amburgis et va pour la tuer du regard avant de s'apercevoir qu'il serait bien sot. Au contraire, l'idée émerge et se précipite vers elle.

Alors, voilà, si la maîtresse monte sur la table c'est pour moi, hein, tous mes profits de la soirée pour toi si tu réussis.

Et voilà revigoré à la fois par le baiser et par une utopie il galvanise les foules et s'en va retrouver son comptoir et y sautant avec allégresse.

Allez, on commande, on commande.

Belisaire

On avait quitté Belisaire chafouin, il l'était moins mais ronchonnait encore. Un peu mauvais perdant pour le coup et c'est au bras de Carmen qu'il entra dans la taverne avec cette envie de soulager sa frustration.
Mais voilà, quand il entra, le spectacle qu'il vit chassa d'emblée toutes ses pensées moroses. Un nain se faisait goulûment embrasser, la danse menée par Athénaïs battait son plein et pour couronner le tout les verres pleuvaient à foison. Certains n'avaient pas assez de deux mains pour les tenir.

Et bien Carmen, voilà de quoi se divertir et oublier ces éliminatoires. Allez je lance une tournée.

La main se lève mais se rabaisse aussitôt. Gages, gratuits ... Il lisait bien ... Encore plus intéressant. Il siffla avant de lancer d'une voix assurée et suffisamment haute.

Une tournée générale. Je prends le menu quatre. Et pour moi une pinte de prune !

Oui il avait soif et oui il en avait gros.

Et toi Carmen, tu désires un menu particulier ?

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Alfred555

La Duranxie avait envie de s'amuser semble-t-il. Elle savait très bien jouer de son point faible... Certains aspects bien particuliers de la beauté des femmes. Lorsqu'elle se mit à faire des rimes, cela devint du délire. Surtout... sur ces rimes là ! Elle avait osé. Il n'allait pas pouvoir s'empêcher de surenchérir.

« Encore plus que des dangereuses rimes en "ette",
qui s'amusent au mieux à faire tournoyer les jupettes,
n'abuse point trop de rimes avec le mot "habite",
l'on te déclarerait "qu'un désir de tendresse m'habite". »

Il lui adressa un grand sourire bien bête de personne majeure, vaccinée et bien torchée sachant pertinemment que son jeu de mot était des plus déplacé. D'autant plus face à une princesse. Mais que voulez-vous. Alfred adorait être impertinent, surtout lorsqu'il y avait du répondant.

Voilà maintenant qu'elle lui tendait la main, l'invitant à venir se trémousser en faisant moult bruits de sabots, alors que des musiciens commençaient à jouer. Là, il allait moins faire le malin. Mais ! Il en eut la berlue. C'était lui ou elle se déshabillait à moitié sur l'estrade ? Ah, non... juste les bottes. C'est quand même fou l'imagination que peut procurer l'alcool. Bref. Il la rejoignit, jouant le jeu, avec des mouvements particulièrement patauds. Et franchement, il s'en moquait un peu. Il était bien, là, et s'amusait bien.

Athenais_

La compèt' est lancée entre les deux. Athénaïs est galvanisé par les mains qui battent le rythme un peu plus loin loin. Elle salue Hope d'un sourire, revenant sur Alfred le menton légèrement levé comme si elle le toisait. Jeu de provocation, genre je t'ai bien eu ! Si bien qu'elle n’entend qu'à moitié ses pieds frapper le parquet qui leur sert de scène. Si l'homme à un avantage certains sur la langue, dès qu'il est question de se mouvoir visiblement c'est elle qui reprend le dessus. Ce qui la grise, alors elle l'attrape par le bras, glissant le sien en un beau crochet afin de le faire tourner. Des deux, il a suffisamment bu pour que ce soit un supplice.

Et sans attendre quand il en rajoute une couche, notre Princesse répond in-petto.

Le doute m'habite et pourtant je ne vous quitte.
Sous aucun prétexte, pas même une mauvaise cuite.

Un comble tout de même !
Athénaïs laisse un nouveau rire fuser pendant que le tournis devient prégnant en elle alors qu'elle n'a pas même picoler de trop.

L'arroseur, arrosé ?
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♖ Armoiries ♖

Alfred555

Ah punaise... le plafond tournait tout autour de lui. La vilaine le faisait maintenant virevolter avec vitesse en le tenant fermement coude à coude. C'était petit. Vraiment petit. Lui qui n'était plus en état...

« Aaaah ! Athéna, cesse donc alors que de plus belle je *hips*
de me faire tourner ainsi en me faisant vivre au plus mal
cette soudaine impression de me trouver dans un bol de chips
un peu comme Jeanne d'Arc qui à Cauchon au moment fatal
déclara "Vous ne m'avez pas crue, vous m'aurez cuite",
elle qui jamais n'avait religieusement pris ni vit ni cuite.
J'eusse encore moins bien vécu qu'offensée tu rouspétasses
m'affichant devant quelques blondes ou rousses pétasses
permettant qu'un doute, comme le ressentirait un ermite
au milieu de cette grande foule que tu reçusses m'habite. »

Oui, bon. La concordance des temps n'y était pas tout à fait sur la dernière phrase. Mais elle l'avait cherché. Et les tournoiements ne l'avaient pas arrangé.
Hin hin. Ne jamais jouer avec le verbe habiter.
Au fait ? T'habite à combien de centimètres kilomètres de Tours ?

Walan

Elle n'était pas si méchante. Mais ce n'est pas le moment.

Manifestement, sa fille gardait des rancunes dont il n'avait pas idée ... et avait des goûts qu'il ne connaissait pas suffisamment, songea le brun lorsqu'il entendit la réflexion d'Aëlys sur le lait de chèvre.
Il leva donc la main pour retenir la blonde serveuse et changer sa commande initiale.

Du jus ou du cidre alors, plutôt que le lait de chèvre.

Vérifiant du coin de l’œil que ça convenait cette fois à son héritière, Walan passa ensuite à l'examen de la liste de gages présentée. Que certains des convives, dont leur hôtesse elle-même, avaient déjà bien entamée, manifestement. Tout en lisant, le chevalier se joint à l'assistance pour battre le rythme sur la table.

Lorsque son choix fut fait, il attendit que la serveuse revienne pour lui demander.

Et je prendrai aussi un verre de l'alcool secret.

Pourquoi pas après tout. Il n'avait pas encore commencé à boire, quoiqu'il puisse y avoir dedans ça ne pourrait pas faire grand mal. Si ?
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Celeste.bussey

[Avec Tuatha et Hope]

Et vous ? Pas de défis à relever ?
En ce qui me concerne, je vais devoir monter sur une table et attendre que l'on décide de mon sort.

La Blondinette lui sourit avant d’ajouter :

Vous êtes bien plus courageuse que moi. Jamais je n’oserais faire cela…

Voyant que Tuatha s’amusait comme jamais, difficile pour l’Ange Blond de rester là à attendre. Après tout, elle aussi devait s’amuser un peu, surtout en ces derniers temps. Elle répondit alors à Hope :

Et bien je crois que je vais me lancer. Vous avez raison.

Buvant d’une traite la chope devant elle, une grimace apparut sur son visage. L’alcool lui brûlait l’œsophage et c’est donc en essayant de trouver son courage parti trop tôt qu’elle se tourna vers la tavernière.

Je relève le défi n°2 !

Avec toute la grâce qu’on lui connait, la jeune Comtesse enlève plusieurs rubans de ses cheveux qui se détachent et retombent sur le bas de son dos. Tenant fermement les rubans en main, déterminée, elle regarde sa Suzeraine et ajoute :

Vraiment… si j’avais cru devoir faire cela un jour…

Le regard pétillant, amusée de la situation, elle parcourt la taverne du regard. Certes, elle avait pensé le faire avec sa Suzeraine mais nul doute que cela ne serait pas vraiment un défi… Lui aurait-on certainement précisé que cela était bien trop facile que de se voir attachée à une personne aussi proche. Alors qu’elle observait dans toutes les directions, son regard se posait souvent sur un groupe de personnes en train de discuter, d’autres de rire ou même de chanter.

[Avec Maths]

Puis elle fut interpelée par un homme qui buvait seul au comptoir. Fermant un instant les yeux, tentant de retrouver un semblant de courage, la jeune femme s’approcha et s’installa à sa gauche. Elle déposa alors sa main droite sur le comptoir et y déposa les rubans.

Tu veux bien m’aider à relever ce défi ?
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Arioce

Avec la serveuse, puis avec Hope.

Eh bien, l’on peut dire que le service est rapide ! Je souris à la jeune demoiselle aux atouts… immanquables et hochais la tête.

- Alors ça sera pour une votre meilleur Whisky !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Et le verre m’attendait patiemment sur le comptoir. Cependant, mon attention était portée ailleurs. Le défi avait été lancé. Mmmh… dommage, très classique. Curieux de savoir si la jeune von Riddermark allait le relevé, je ne décrochais pas les yeux d’elle. J’esquissais un sourire au baiser donné. Eh bien, j’en connais un qui n’a pas perdu sa soirée. Certain dirait que le baiser d’une femme vaut bien des milliers d’écus. Malheureusement, pour le nain, celui-ci ne valait pas grand-chose : une tournée générale.
La suivant du regard, je lui souris lorsqu’elle vint s’accouder à mes côtés.

- Merci. Vous n’êtes pas en reste non plus. Et mes avis que vous avez fait un heureux ce soir.

J’esquissais un sourire – que je perdis bien vite – alors que la fourbe venait de me voler mon verre !
J’ouvrais la bouche pour répondre lorsque je fus interrompu par la musique qui monta en volume et s’élançait dans un air dansant. Mmmh… Et voilà une Athénaïs qui se lançait dans une danse très irlandaise.
Je pris le nouvel verre, trinquais avec enthousiasme et suivait le rythme de la botte. Le Whisky fut vite bu, puis je me penchais vers Hope, levant la voix pour me faire entendre.

- Je ne sais lequel prendre. Avez-vous des propositions à me faire ?

Un défi est toujours plus marrant a relevé lorsqu’il vient d’un tiers.
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Carmen_esmee.

Au bras de Bélisaire, la brune marque un temps d'arrêt alors que la porte se referme derrière eux, il y a beaucoup de monde, un homme de petite taille, de vert vêtu fait le service, du moins jusqu'à ce que son plateau lui échappe alors qu'il se fait embrasser par une jeune fille.. Plus loin, une serveuse qui ferait surement une excellente nourrice pour tous les bons hommes en manque d'affection présents dans la taverne... Un léger hoquet, un regard effaré...

"Mais où sommes nous tomber..?"

C'est là qu'elle voit son jeune frère, qui n'en manque pas une, à suivre lui aussi la paire de miches du regard, elle se pince l'arrête du nez...

"Seigneur Dieu...Voilà qui a du lui faire oublier la bouteille de Whisky pour Timothée ! Les hommes..."

Son compagnon siffle pour offrir une tournée, cela la tire de ses pensées, elle ferme son châle sur sa gorge, et s'approche du comptoir pour prendre connaissance des gages, notant celui que choisi son aimé..

"Un Whiskey pour moi."

A Bélisaire,

"Ouais.. Moi la première, Hein ! Je sais tout à fait ce que je vais écrire.. Je vais prendre le quatorze quant à moi, une façon originale de lui annoncer ?"

Les émeraudes se sont posées sur Athénaïs, qui est occupée avec un ami, à danser et réciter des vers, elle s'en amuse, ravie de voir la princesse, faire finalement des choses de son âge. Elle balaye la salle du regard , quelques visages connu d'elle, d'autres absolument pas. Son pied gauche frappe le sol en rythme, son sang d'Eire ne résiste pas à ce genre de morceau, elle cale le verre de Whiskey en basculant sa tête en arrière, une grimace avec une langue qui s'aère..

"Bark il était tiède.. Voilà pour Saint Patrick ! Duranxie à nous deux."

Sa dextre se pose sur l'épaule de la brune, un fin sourire, Carmen adorait danser, et la Duranxie-mère ne lui refusait jamais de lui en accorder une, peu importante l'heure et le lieu, et réciproquement. Alors un brin nostalgique et voulant enfin révéler son secret à l'oreille de sa protégée, elle trouve l'idée d'une danse pour le moins adéquate dans ce lieu.

"Bien le bonjour ma chère, Messire, pardon, puis-je vous emprunter notre hôtesse, le temps d'une danse ?"

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En deuil de sa Reyne, Alvira

Liliana__

Tuatha

Leprechaun_le_nain

Hersende

Hope

5 6 19

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Lantana

Alfred555

Arioce

Avec Hope, au bar.

Bordel, déjà le verre vide ! Heureusement, ma chère élève était au petit soin et commandait déjà la tournée suivante. Et comme je suis de nature prévoyante également.

- Chaun ! Rajoute aussi deux Whisky en plus.

Je reposais mon regard sur la jeune femme, lui souriant. Mmmh… à quelle sauce serais-je mangé ?
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Maths_law

Athenais_

♖ Armoiries ♖

Hope

Elvyna

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Yeleyna

Spoiler:

20/ Montez sur une table et acceptez un repas avec le premier qui lèvera la main.

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Spoiler:

Leprechaun_le_nain

édité pour un oubli de tournée ^^

Carmen_esmee.

"Je me prénomme Carmen, vous pouvez commandé une tournée de ma part, cela me fera plaisir."

Elle souffle à Athénaïs en l'embarquant dans quelques pas de danse,

"C'est peu cher payé pour t'avoir pour moi seule un instant.. J'ai quelque chose à t'annoncer.."

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En deuil de sa Reyne, Alvira

Leprechaun_le_nain

[Après ... quand la soirée était encore plus avancée .... quand soudain ...]

Chaun venait de terminer une énième tournée. Il n'avalait plus les chopes, il les gobait ... du moins son contenu. Si bien que, installé près de l'entrée, le comptoir lui paraissait soudainement bien loin, trop loin, bien bien trop loin. Tout tournait autour de lui et la danse n'y était pas pour grand chose. Une pose s'imposa donc à lui. La tête tangue, un pas en avant, deux en arrière, trois de côté, un mur prit latéralement, il revient à tanguer, les pupilles partent en arrière, le nain lâche les amarres et s'écrasent à même le plancher la tête en avant. L'histoire contera par la suite qu'un bosse à rendre jaloux le plus grand des cocu trônera sur le chef durant une bonne quinzaine de jours. La langue pendante il ronfla à en faire tomber les murs.

Spoiler:

Vous avez bu mais voilà, vous vous êtes écroulés sur la table et à votre réveil … c’est l’apocalypse. Mal, perdu, incompréhension … bref un vrai zombie ambulant. (3 points)

Hein ! quoi ? comment ? Où suis-je ? .... Ah oui .... ! Les tournées ... Oh misère...

Il a mal à la tête et aux cheveux assurément. Il tangue et voit double. Il peine à se redresser et pourtant dans un réflexe non assuré il s'est redressé avec tout la misère du monde. Il veut aller de l'avant, il va en arrière.

Hein, oh p'don, j'voulais pas... ah non, non à vous je dis ça ...

Il hallucine .... Mais une chose n'est pas une hallucination... Dans son effort pour retrouver chemin il tangue de plus belle et se rattrape à la première chose qu'il lui vient. Et malheureusement, il s'agit d'une lanterne qui vient s'effondrer à même le sol engendrant derechef un début d'incendie. La porte d'entrée prend feu. Par incompétence il prend une choppe pour une cruche d'eau et attise encore plus.

Oh ! Zut !

Il resta là, pantois, les neurones ont du mal à se connecter quand par réflexe de survie surgit une illumination.

Les souterrains d'étampes. Il y a une sortie par là ....

Il lui semblait avoir oublié quelque chose, mais quoi ? Ah si ...

Au feu , Fuyez, fuyez par ici ....

Il se précipite ou du moins arrive à se vautrer sur une tapisserie dégageant ainsi l'entrée du souterrain, seule issue de secours.

Sortez tous.... Par ici

Il est assis le long du mur, le bras indiquant la direction à prendre.

Voilà pour la suite,

Tout d'abord pensez à baliser (temps et lieu) histoire de pouvoir être le plus libre possible.

La soirée a continué à battre son plein et soudain un feu se déclare. Tous doivent fuir par le souterrain d'étampes.

Vos pantins se sont vus attribués un taux d'alcoolémie. Vous êtes libre de l'adapter pour votre plus grand plaisir.

Citation:

Vous avez bu mais sans exagérations. Suffisamment toutefois pour vous croire invincible. C’est beau d’y croire. (7 points)
Vous avez bu, beaucoup mais, peut être habitué, vous résistez honorablement. La langue pourrait fourcher, les idées pourraient être confuses cependant. (1 point)
Vous avez bu, vous pestez contre le vent, vous tanguez et avez du mal à garder l’équilibre. (6 points)
Vous avez bu, la marée est haute et voilà que votre estomac vous rappelle à vos bons souvenirs d’alcoolique. (5 points)
Vous avez bu, vous venez de passer du côté obscur. Vous cumulez tous les maux de l’arsouille. (2 points)
Vous avez bu, vous devenez une vraie loque. (4 points)
Vous avez bu mais voilà, vous vous êtes écroulés sur la table et à votre réveil … c’est l’apocalypse. Mal, perdu, incompréhension … bref un vrai zombie ambulant. (3 points)

Et dans l'apparition d'entrée, voici l'attribution des points.
P.S : J'ai profité du tirage du nain pour le rendre responsable de l’événement.

Sarkys = 2 points
Edouardine = 3 points
Alexandre_serna = 2 points
Alfred555 = 4 points
Tuatha = 1 point
Maths_law = 5 points
Hope_de_jerez = 3 points
Walan = 7 points
Aelys_meyrieux = pas bu d'alcool ... pas de tirage ... MP si autre souhait !
Celeste.Bussey = 4 points
Athenais_ = 6 points
Arioce = 6 points
Belisaire = 2 points
Carmen_esmee. = 3 points
Liliana__ = 5 points
Hersende = 1 point
Lantana = 5 points
Elvyna = 3 points
Yeleyna = 1 point

Et petit lancement pour les seconds rôles :

Leprechaun_le_nain = 3 points
Amburgis = 1 point

Citation:

Une fois dans le souterrain vous êtes libre de tout (interaction, choix du chemin etc ...).

Aujourd'hui un lancer pour un événement.

Lundi prochain un dernier lancé pour un deuxième événement.

Libre à vous de le jouer comme il vous plait.

Citation:

-vous écrasez des champignons hallucinogènes et vous voilà enclin à voir ce qui vous effraie le plus. = 3 points
-jadis, une sorcière habitait dans ces souterrains. Dans votre fuite vous écrasez une fiole contenant un filtre d’amour. Il prendra effet dès la première personne aperçue. Il prendra fin si la personne vous énerve ou si vous sortez du souterrain. = 10 points
-dans la pénombre, vous ne voyez pas un trou d’eau. Vous y tombez sans vous faire mal. Mince vous êtes quand même bien trempé. = 5 points
-vous vous foulez la cheville et devez trouver un ou une partenaire qui accepte de vous porter. = 7 points
- vous écrasez des champignons hallucinogènes et vous voilà enclin à voir ce que vous aimez le plus = 4 points
-vous croyez prendre un raccourci et voilà que vous vous perdez. Vous criez à l’aide et attendez que l’on vienne vous chercher. = 9 points
-vous entendez à l’aide et bien sur vous êtes un bon samaritain. = 1 point
-une fiole s’éclate à même le sol. Oh mince un sortilège. Vous vous prenez pour un animal. = 6 points
-vous écrasez une fiole et des boutons rouges apparaissent sur votre visage. Vous voulez vous en débarrassez, passez à votre voisin. Comment ? suffit de le toucher. = 2 points
- curieux, envie de boire, vous croyez prendre de la prune mais voilà c’est un sortilège. Vous vous prenez pour la première personne que vous croisez. = 8 points

Et dans l'apparition d'entrée, voici l'attribution des points.

Sarkys = 10 points
Edouardine = 8 points
Alexandre_serna = 4 points
Alfred555 = 10 points
Tuatha = 2 points
Maths_law = 10 points
Hope_de_jerez = 4 points
Walan = 1 point
Aelys_meyrieux = 9 points
Celeste.Bussey = 3 points
Athenais_ = 7 points
Arioce = 10 points
Belisaire = 8 points
Carmen_esmee. = 5 points
Liliana__ = 5 points
Hersende = 1 point
Lantana = 1 point
Elvyna = 7 points
Yeleyna = 5 points

Et petit lancement pour les seconds rôles :

Leprechaun_le_nain = 1 point
Amburgis = 4 points

Citation:

Alfred555

Début de l'incendie, dans la taverne.
Vous avez bu, vous devenez une vraie loque.

Oh de la lumière. Oh, de la chaleur. Oh... de la lumière chaude. Ça bouge. C'est joli. Mais c'est put*** de chaud ! Il n'y a pas à dire. C'était efficace. Cette bière donnait sacrément chaud. Et même le feu au cul, vu comment le nain s'affolait. C'était pas le moment pour lui de faire des prouts flambés. Sinon, risque de finir tout feu tout flammes. Il était balaise, ce nain. Ça ressemblait quand même vachement à un incendie. L'animation était très réaliste. Vraiment. Vraiment beaucoup. Quoi ? Comment ça "au feu" ? Bwaaaaaaaaaah !

« Au feuuuuuu ! Au secouuuuurs ! Je ne sais pas nageeeeer ! »

Comprenant brièvement le message du nain, il se mit à le relayer.

« À ceux qui ne veulent pas se faire embraser,
direction les souterrains *hips* d'Étampes
afin de sauver sa vie, vite, que l'on décampe ! »

Il indiqua d'un bras la direction donnée par le nain. Mmh... il fallait qu'il sauve quelqu'un, non ? Mais qui... Ce n'était pas simple de réfléchir, là...
Il se dirigea à l'opposée de l'incendie, vers l'entrée des souterrains. Il réfléchirait plus tard.

Arioce

Avec Hope – Peu avant l’incident.

Mmmh… Alors ça sera la 19. Je n’en étais absolument pas étonné. C’était le défi le plus intéressant et amusant à faire ; en somme, un vrai défi. Même pour moi, pilier de taverne. Un défi que je n’aurais pas pris si j’avais été seul, sans camarade pour m’aider à boire. C’était qu’il ne fallait pas que je tombe en déshydratation.
Ainsi, j’offrais en sacrifice mes deux mimines, derrière mon dos. Et il semblait qu’Hope savait en faire avec les nœuds. Aucune chance que je défasse l’entrave, qui était bien serré et parfaitement exécuté.
J’esquissais un sourire aux murmures de la jeune femme.

- Aimer être attaché ? Mmmh… Ca fait remonter quelques bons souvenirs de jeunesse.

Jeunesse pas si lointaine, dix-douze ans, tout au plus. Aaah ! Et toujours le même lieu… Pau, en Béarn. Des années… inoubliables…
Et puis, être entravé, ça a ce petit quelque chose de grisant, d’excitant, lorsque c’est bien fait et dans certaines conditions…
Me tournant vers la tavernière.

- Ça sera le défi 19 pour moi et une tournée générale de ce que vous avez de plus fort pour tout le monde !

De quoi se retourner la tête et marcher sur les mains.
Cependant, pendant que je faisais affaire avec la serveuse, la Hope continuait son numéro, osant me retirer ma dague. Par réflexe, je tentais de lui reprendre des mains. Problème, elles étaient attachées.

- Vous avez intéressé à ne pas la perdre, j’y tiens.

Pas de grommellement ou grognement – ce qui était plus qu’inhabituel pour le signaler – car après tout, on était là pour s’amuser, passer du bon temps et je devais assumer mon état jusqu’au bout.
Seconde liberté que se permis la von Riddermark, attacher mes liens au tabouret. Malin ? Pas si sûr. Avisant le résultat, je lui souris.

- Vous vous doutez bien que cela ne va en rien m’empêcher de bouger ? De moi ou du tabouret, c’est bien le tabouret qui perdra.

Preuve que j’étais grand gagnant, l’on m’offrait déjà à boire. Formidable ! Ne me faisant pas prier, et pour tester mon adresse à boire sans les mains, je fléchissais légèrement les genoux, histoire d’être juste un peu plus bas qu’Hope, et ouvris la bouche. Boire sans les mains, j’étais un champion du temps de Pau et il fallait dire qu’il me restait encore un peu d’expérience. Ce fut donc sans plus de difficulté que cela que je sifflais le verre de Whisky offert, gorgée par gorgée. Pas vraiment le temps de l’apprécier, c’était du vite consommé.

- Bordel ! C’est bon. Ne perdez pas la main, un autre !

Ça tombait bien, le nain venait de nous apporter le spécial de la maison ainsi que deux verres du breuvage irlandais – ou écossais, tout dépend du point de vue.
Attendant la suite, je fis un petit tour des yeux de la salle qui maintenant était bien remplie. Que de joyeux lurons. Et entre tous, une qui avait fort perdu de sa joie de vivre. Ma très chère Suzeraine, qui avait daignée se montrer. La fixant du regard, je lui souris et lui fis un signe de la tête pour qu’elle approche. Serait elle aussi joueuse pour elle aussi se choisir un défi ?
Me penchant à l’oreille d’Hope, je lui chuchotais.

- Votre cousine…

Un léger signe du menton pour indiquer la direction où regarder.
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Liliana__

Début de l'incendie: Vous avez bu, la marée est haute et voilà que votre estomac vous rappelle à vos bons souvenirs d’alcoolique. (5 points)

En taverne, avec plein de mondes ainsi que son cousin Bélisaire et Carmen, Liliana assise complétement ivre, c’était bien la première fois qu’elle était dans cet état, mais bon fallait bien s’amuser ça faisait un bien fou.

Hop encore une tournée quand tout à coup le nain se mit à crier" « AU FEU FUYEZ FUYEZ

Diantre un feu se dit-elle, tout en riant elle demanda en criant C’EST UNE BLAGUE ?

Le feu dans un bateau avec une issue de secours c’est possible se dit-elle ? Verre à la main non pas question de le laisser seul.

Eh oui elle était complétement ivre avec tout les litres d’alcool qu’elle avait avalé, quelqu’un pourrait lui demander combien de verre là encore ça serait impossible qu’elle le sache.

La noiraude, incapable de marché droite allongée à plat sur une table en criant

« Oh hips Bordel ça tangue trop ici youhou ça hips TANGUE !!!

-dans la pénombre, vous ne voyez pas un trou d’eau. Vous y tombez sans vous faire mal. Mince vous êtes quand même bien trempé. = 5 points

Toujours allongé sur cette table se croyant sur un bateau, complétement bourré en chantant :

Il était un petit navire
Qui n'avait ja-ja- Hips jamais Hips.. Navigué.
OHÉ ! OHÉ !
OhÉ ! OHÉ ! Matelot, hips Matelot navigue sur les flots
OHÉ ! OHÉ ! Matelot, hips Matelot navigue hips sur les flots
Il partit pour un long Hips voyage
Sur la mer Hips Mé-Mé-Méditerranée.
OHÉ ! OHÉ ! Hips.

Et hop voilà que la table bascule, la noiraude tombe... Elle se met à hurler

« A L’AIDE JE ME NOIE AIDEZ hips MOI !! HELP ME ! AU SECOURS !

Après quelques minutes Liliana se rendit compte qu’elle avait pied....

Elle mise dans un fou rire de sa connerie et se dit qu’elle devait quand même se barrer d’ici avant de brûler mais aussi en sachant marcher droite..
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Aelys_meyrieux

Début de l'incendie. Dans la taverne. Aëlys n'a rien bu - 8 ans ^^ - elle va suivre son père.

Elle était méchante.

Point barre. Dans les yeux bruns d'Aëlys posés sur ceux de son père, il n'y avait aucun défi. Sa voix était calme, elle énonçait juste une évidence. Les grandes personnes sont bizarres, des fois. Papa le savait bien, pourtant, qu'elle était méchante.
La bouche de la gamine s'arrondit soudain en un O parfait. Elle venait de comprendre. Elle revint au chuchotement.

Pardon, Papa. J'avais oublié qu'on ne doit pas dire que la reine est méchante quand on a un papa qui travaille pour elle.

Puis, plus fort, parce que ce qu'elle avait à ajouter n'était pas un secret.

C'est pas la faute de Sancie, elle m'a tout bien expliqué, je vous assure. Elle a dit que la reine était très méchante, que tout est sa faute, mais qu'il faut pas le dire parce que c'est la loy - au - té.

Elle avait un peu butté sur le dernier mot: il n'était pas difficile à prononcer, mais elle avait encore un peu de mal à appréhender la notion qu'il décrivait.

On apporta leurs consommations. Le cidre lui convenait parfaitement. La diversion aussi. Elle n'était plus assez jeune pour ignorer que l'expression "ce n'est pas le moment" équivalait à une injonction au silence, et qu'elle venait de transgresser la règle, qui plus est en s'enferrant.
Elle prit une toute petite gorgée, pour goûter.

Il est bon. Il pétille juste comme il faut et... Ooooooohhhh!

Le cidre n'était pas le seul à pétiller. Une jolie flamme, claire à souhait, interdisait la porte.

Papa!

Les souterrains d'étampes. Il y a une sortie par là ....

Le feu. La terreur jeta la gamine dans les bras de son père. Elle ne voulait pas hurler. Elle ne voulait pas voir le feu. Elle plaqua son visage contre l'épaule de son père et ne bougea plus.

Sortez tous.... Par ici

Des gens se mirent à crier, il y eut une bousculade, des bruits de meubles renversés, des appels au secours. Paralysée, Aëlys laissait affluer à son esprit toutes les histoires d'incendie entendues à Vienne ou Meyrieux.

Walan

[Avant l'incendie, à une table avec Aëlys, dans la taverne.]

Les chants et les vers fusaient. Les verres pas encore, mais ça risquait de venir si ça continuait. D'un haussement de sourcil, Walan accueilli toutefois la réflexion de sa fille, à qui il glissa à mi-voix.

Il ne s'agit pas que de loyauté. Nous sommes invités par sa fille, qui nous accueille aimablement chez elle ...

Oui, bon ... le brun avait peut-être oublié de préciser ce détail à Aëlys, et pour le coup c'était entièrement sa faute. Il continua toutefois sa brève explication.

Et surtout, ce n'est pas parce que quelqu'un ne fait pas ce qu'on aimerait ou qu'il n'a pas le même avis que nous que ça en devient un "méchant".
Nous en reparlerons

Il se répétait, pour le coup, mais l'arrivée de leur commande mettait une fin logique à cet échange à voix basse. Observant la chope qui lui avait été apportée, le chevalier eut un regard dubitatif. Qui avait-il donc dans cette boisson mystère ? Avant de la tester, il se rafraichit d'abord avec une valeur plus sûr et la bière qu'il avait demandée, écoutant les échanges de l'assemblée.

Ce n'est qu'un moment plus tard, tout en se posant toujours la question de la composition du secret, qu'il en pris une bonne gorgée ... avant de se mettre à tousser bruyamment en essayant de ne rien recracher, la bouche, la gorge et le gosier en feu.

Kof ! Kof ! Mais ... qu'est-ce ... truc ?!?

Forcément, quand on s'attend à une bière ou quelque chose d'approchant, qu'on boit comme si c'en était, mais qu'on se retrouve avec quelque chose se rapprochant davantage de l'éthanol pur (mais parfumé à la prune), ça surprend un peu.
Cela dit, ce qui surprend encore plus, c'est quand juste après ça la taverne s'enflamme autant que le gosier. Et ça, ce n'est pas un effet banal !

[L'incendie, dans la taverne toujours]

Sans même savoir comment, Walan se retrouva debout, sa fille contre lui. Passée la première surprise, son sang froid et son esprit analytique refirent plus ou moins surface et il se mit à étudier la situation. Impossible de passer par la porte, évidemment, et les flammes progressaient rapidement. Bah ! Qu'est-ce que quelques flammes quand on a survécu à tant de blessures, de combats et de guerre ? Sans trop sans rendre compte, l'alcool avait manifestement commencé à faire effet sur le brun* ...
Et en plus une issue se présentait déjà, grâce à un astucieux (?) passage secret !

D'une voix ferme, le genre habitué à se faire entendre parmi le fracas des armes, et quoique encore un peu éraillée suite à la boisson secrète, il ajouta à la suite du nain.

Aidez ceux que vous pouvez ! Aux souterrains, allez !

Tenant sa fille d'un bras, il guidait de l'autre les personnes qu'il croisait, façon lama de berger. Il se retrouva ainsi à aider Liliana à se remettre sur ses pieds pour l'orienter dans la bonne direction, l'assortissant d'un : "Allez, c'est par là !"

Convaincu qu'il ne risquait pas grand chose et poussé par les valeurs qu'il avait chevillées au corps, le Grand Maître de l'Ordre de la Licorne comptait bien s'assurer que tout le monde serait bien descendu avant de quitter lui même les lieux.

* Vous avez bu mais sans exagérations. Suffisamment toutefois pour vous croire invincible. C’est beau d’y croire.

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Tuatha

Début de l'incendie , dans la taverne
- Vous avez bu, beaucoup mais, peut être habitué, vous résistez honorablement. La langue pourrait fourcher, les idées pourraient être confuses cependant. (1 point)

Assise à la table , toujours avec le balai à ses côtés ! Un sentiment de transparence un peu d'ailleurs , ou alors c'est les relents d'alcool qui font que personne ne vient s'installer près d'elle . Discrètement , elle lève le bras droit , renifle , puis le gauche, renifle encore , avant de hausser un sourcil , tout en hipsant . Bah non je ne sens pas mauvais !

Regard à droite et à gauche en s'apercevant qu'elle a parlé à voix haute !
Et Merde !
Bon çà va , dans le bruit et l'ambiance , personne n'a entendu ! Ouf !

Un sourire en voyant Celeste au comptoir avec son ami , un autre en apercevant Hersende qui entre , étonnée que celle çi ne l'ai pas aperçu , elles auraient pu discuter un peu , mais peut être que l'occasion leur sera donnée au fil de la soirée .

Elle avait bu énormément , honte à elle d'ailleurs , mais elle n'avait pas l'impression d'être ivre , juste bien en fait , c'est là que l'on voit l'habituée des tavernes et des soirées arrosées . Comme quoi l'entrainement à du bon !

Elle en était arrivée à se tourner vers le balai , la tête un peu embrumée quand même , afin de lui dire deux mots sur son silence .
Lorsque soudain !

Les souterrains d'étampes. Il y a une sortie par là ....

Au feu , Fuyez, fuyez par ici ....

Sortez tous.... Par ici

Un souterrain en feu ? Ou çà ??
Vite il faut lui donner à boire .... Secoue la tête . Non c'est pas çà !! L'arroser !!

Voilà c'était çà ! Il fallait arroser le souterrain .
Ni une ni deux , elle se lève en titubant un peu et cherche un récipient la rousse , toujours le balai à la main , pensez bien c'est le cadeau pour Mathilde !
Faisant le tour des tables , elle cherche et finit par se retrouver derrière le comptoir .
Des bouteilles vides , des verres renversés , des brocs d'eau ... Nan c'est pas çà !
Et soudain la main se pose sur une fiole , on ne sait pas pourquoi mais dans son esprit c'est un éénoorrrme récipient , ou alors la potion magique qui va éteindre le feu .

Elle court alors vers le souterrain , la fiole d'un côté , le balai de l'autre ... avant de se retrouver projetée en avant direct sur le mur , la main retenant la fiole , qui éclate sous l'impact !
La main dégoulinante de jus d'on ne sait quoi , qu'elle essuie sur son corsage , avant de toucher sa figure pour voir si elle n'est pas défigurée par le choc .
Manquerais plus que çà !
Et c'est là que les démangeaisons commencent , elle se gratte , gratte , gratte , comme un truc qu'on appellera dans un avenir lointain " Spontex "
Avisant une flaque d'eau au sol , elle a soudain l'idée d'y rafraichir son visage et à la lueur des flammes aperçoit ....
Horreur !!!! Des boutons tout rouge !! Elle est défigurée , elle le savait !!
Se redresse d'un bond et au désespoir , elle court dans le souterrain , empruntant sans doute un chemin en cul de sac , emprunté par une autre personne qu'elle percute et touche sans le faire exprès ! Walan .

-vous écrasez une fiole et des boutons rouges apparaissent sur votre visage. Vous voulez vous en débarrassez, passez à votre voisin. Comment ? suffit de le toucher. = 2 points

@jd Walan ! Désolée il fallait quelqu'un ^^

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EN DEUIL

Alexandre_serna

[Avant l'incendie]

Alexandre reprit place et observa ce qu'il lui restait de Prune, il en leva un mini hanap à la santé de Ronan qui lui avait appris cette chanson.
Il en connaissait une autre qu'il rêvait de faire en duo avec le dit Ronan.
Un jour très certainement, déjà qu'il avait obtenu que son frère paye Ronan pour qu'il lui file des cours de cornemuse, heureusement d'ailleurs qu'en Normandie, les normands jouaient eux aussi de la cornemuse.
Il termina son verre et tourna sa tête vers une autre table où se trouvait une jeune damoiselle, mais elle était au lait de chèvre !
Quelle tristesse !
Il bénissait le Très-Haut de lui avoir volé ses parents ?
Hein… What? Waiiiit! Rewind! Quoi ? Attends! Rembobine!
Malheureusement pour lui, Ari lui avait volé ses parents et pour le moment son frère ne semblait pas dans les parages et tant mieux !
Encore chanter ?
Il réfléchit un instant, est-ce qu'il avait une autre chanson encore ?

Okay ! Let's sing agaiiiiiin! [Okay ! On chante encore!]

Fitz serait fier de son élève, peut-être moins de le voir s'enivrer pour un événement irlandais ?
Quelle idée d'embaucher un anglais dans la mesnie !
Heureusement l'Ecossais et l'Anglais ne faisaient que s'envoyer des taquineries : l'Hispanie serait-elle devenue la nouvelle Suisse ?
Mais alors qu'il imaginait quelle chanson il pourrait chanter, il vit qu'Athéna était là !
Il bomba le torse fièrement pourquoi donc ?
Parce qu'il portait fièrement le collier qu'il avait gagné avec Alvira : la goutte d'or.
Alors il goûtait un peu la Prune…

C'est dommage qu'il n'y ait pas d'instrument, il avait bien une idée de génie, cela va de soit.
La Prune aidant généralement les idées de génie à investir le cerveau du Serna.
Parce qu'il aurait pu tenter les pas des irlandais, la danse des pieds en quelque sorte.
Aaaah !
Enfin du Serna pointe son nez, il s'approche, mais c'est franchement difficile de se promener entre les tables !
quel est le con qui fait bouger la taverne ?
Il a l'impression d'être sur un navire en pleine tempête, mais sans l'envie de vomir et grâce à Dieu : HEUREUSEMENT !
Mais alors qu'il s'approche, Carmen s'en va !
Elle le fait exprès ou quoi ?

Ooooh non !
Carmen ! Joie de ma vie !

Il marchait, quand soudain il reçu un flashnews ou plutôt un rappel, un peu comme ces idioties de notification à la noix pour rendre les gens accro à des trucs complètement inutile.
Genre si tu ne passes pas dans trois minutes je vais faire sauter ton GSM !
Tout en essayant de s'approcher de Carmen qui dansait avec une femme !
Faites que Seigneur Rick ne voit pas ça.
Ou plutôt si !
Que Rick regarde ça avec tout le KER pour que personne ne le voit lui complètement ivre en train d'imaginer des plans dramatiques et compagnies.
Donc il devait prendre une bouteille pour Timothée, donc il devait retourner vers le bar ?
Donc faire le chemin inverse dans la taverne qui tangue !
Misère de misère !

L’amour est enfant de bohème
Il n’a jamais jamais connu de loi
Si tu ne m’aimes pas je t’aime
Et si je t’aime prends garde à toi
Prends garde à toi
Si tu ne m’aimes pas, si tu ne m’aimes pas je t’aime
Prends garde à toi
Mais si je t’aime, si je t’aime prends garde à toi

Comment ?
Bizet ne l'écrira que plus tard ?
Et alors ! C'était pour Bélisaire, comme une voix de l'au-delà ou pas d'ailleurs.
Il s'approcha du potentiel futur beauf avec sa petite chansonnette.

Alors mon chêêêêêêèèère Beli !
Vous laissez votre promise avec Athéna, c'est avec vous qu'elle devrait danser.
Ne comptez pas sur voix pour danser avec vous pour nous approchez d'elle pour que vous puissiez la récupérer.
Oh non !
J'attire assez le KER ce jour.

Mais alors qu'il discutait ou plutôt monologuait avec ce cher Bélisaire.
Voilà qu'une catastrophe arriva.

Oh non !!

Cela sentait le cramer.
Il se tourna et vit le feu.

CARRRMEEEEEEN !!
J'AI MIS EN COLERE LE KER J'AI BU DE LA PRUNE NON SERNA !!!!

Quelle horreur !
Il ne pensait vraiment pas que le KER pourrait envoyer un éclair et foutre le feu comme ça pour marquer sa contrariété !
Les mains sur les joues, il ne savait pas trop quoi faire pour apaiser la colère du KER.
Quelle imagination…
Accentuée par l'alcool : un désastre !

Vous avez bu, vous venez de passer du côté obscur. Vous cumulez tous les maux de l’arsouille.
- vous écrasez des champignons hallucinogènes et vous voilà enclin à voir ce que vous aimez le plus ==> ça viendra

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Serna un jour, Serna toujours.

Lantana

Pour la discrétion, c'était loupé ! A peine installée qu'Alfred l'appelait en lui faisant de grands gestes. Voir le bon côté des choses... Elle n'avait plus à se présenter à personne, tout le monde avait pu entendre son prénom, enfin ceux qui auraient bien voulu l'associer à son visage.

Vous avez bu, la marée est haute et voilà que votre estomac vous rappelle à vos bons souvenirs d’alcoolique. (5 points)

Elle lui répondit d'un beau geste de la main également, agrémenté d'un beau sourire puis rendit son petit coucou à Athénaïs. La tournée était servie, son verre supplémentaire également. Histoire de se donner du courage, elle lampa ce dernier, le goût plus que particulier lui donna l'envie de le recracher direct mais non ! Elle ne pouvait pas se permettre un tel manque de savoir-vivre ! Aussi l'avala-t-elle aussitôt et attrapa-t-elle la première chope devant elle pour en boire une longue rasade... A défaut d'expulser l'infâme alcool de sa bouche, elle montrerait qu'elle pouvait avoir une belle descente, qu'elle semblait une parfaite alcoolique...

Une grande respiration pour se redonner un peu de constance mais le mal était fait. Sensations de son estomac qui se contractait, lentement mais sûrement, souhaitant évacuer le tord-boyaux. C'était sans compter la puissance du mental de la jeune femme qui ne se laisserait pas faire... Comme l'on dit si bien lors des soirées beuveries : "Vomir c'est tricher, et manger aussi !"

Son réflexe fut de finir sa première chope et d'empoigner celle offerte par un homme se trouvant non-loin d'elle (Maths_law), le remerciant d'un signe de tête, gardant son énergie, sa concentration sur cet estomac qui la poussait à gerber au milieu de l'assemblée. Que nenni une fois de plus ! Elle n'était pas Dragonne pour rien, têtue comme une mule !

Alors qu'elle allait répondre à l'invitation d'Alfred, (en évitant de lui vomir dessus...), le nain fit tomber une lanterne. La Brissagol ne s'en rendit nullement compte, trop fixée sur son estomac. Ce ne fut qu'au moment où elle prit son courage à deux mains (et son estomac aussi) pour rejoindre son aimé, qu'elle entendit l'alerte donnée par Leprechaun. Ses aciers repérèrent rapidement l'incendie qui débutait à la porte, impossible de sortir par là, la seule option était donc les souterrains.

Elle avança tant bien que mal, ne pouvant courir au risque de tricher et rendre le sol glissant par la même occasion. Elle rattrapa Alfred, le visage blême, l'air piteux.

Au secours... Je ne me sens vraiment pas bien...

Un haut-le-cœur s'en suivit mais elle tint bon ! Non, pas question que son estomac prenne le dessus !
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Belisaire

Vous avez bu, vous venez de passer du côté obscur. Vous cumulez tous les maux de l’arsouille. (2 points)

[Avant l'incendie]

Carmen s'empressait à aller tournoyer au près d'Athénaïs voire plus se l'accaparer un instant. Belisaire resta donc un instant aux côtés de Liliana et d'Alexandre prenant les tournées les unes après les autres au fur et à mesure qu'elles arrivaient. Il battait la mesure avec son pied tout en s’abreuvant.

Debout, de plus en plus à voir les distances se rétrécir ou s'allonger en fonction d'un pas de côté ou en arrière. Il tanguait le jeune Lablanche. Il buvait à la santé de tous quand lui sombrait de plus en plus dans des oubliettes de prune. Dans une heure il serait définitivement ivre.

Alors, z'ère Alexandre, moi j'vous l'dis ...

Il lève son indexe et tape du pied tout en faisant un effort certain pour rester droit. Il fronce les sourcils pour l'aider à y voir plus clair.

Ma Carmen fait c'qu'elle veut... hips ... z'ai ...con ... con... confian...ceeee. Moi j'danse quand, quand, quand j'veux avec mon amoureuse.

Il pose sa main sur son épaule... cela l'aide à se stabiliser... il se rapproche ... non il ne va pas lui rouler une pelle ... mais par contre l'haleine chargée commence à se faire sentir ... Ah que les effluves de prunes savent parfumer une environnement proche.

vous s'vez quoi ?

Il pose sa deuxième main sur la deuxième épaule.

z'aime bien vous mais pas danser vous.

Il rote avant de poursuivre.

Pis si z'eux la pérér m'faut zuste chourir. Hein ...

Il secoue Alexandre et l'enlace.

Ah voui zvous 'me ben.

Il avait l'alcool amoureux, voilà un moindre mal. Il essaya de lâcher prise ensuite ... mais voilà contre coup .... il tomba en arrière le séant allant rebondir une ou deux fois à même le sol. Il essaya de se relever.

z'a va, z'a va... j'fais z'une pose. vlà ...

Il mit quelques bonnes minutes à se redresser. D'abord en essayant la quadrupédie, puis en se servant des jambes d'Alexandre pour les escalader et se retrouver à nouveau à bonne hauteur. Il salua l'effort et l'aide forcée par un coup amical dans le dos du futur beau frère.

Z'allez, à la s'té d'la plus belle.

Il prit deux choppes de bière en donna une à Alexandre et à Liliana avant de se servir deux verres de wiskey. D'une seule traite, tout fut avaler avant que le regard de Belisaire laisse entrevoir un vide abyssal. Ah voilà une belle absence ... Il ne se souviendra pas de grand chose par la suite.

[Après l'incendie]

Au feu ... Au feu ...

Belisaire était allongé sur une table à pleine face. La bouche ouverte , la tête se noyant dans une marre de bave, les bras ballant .... Les cris allaient bon train ... Tout se précipitait autour de lui, il mit beaucoup de temps à refaire surface... Le mont Everest fut gravit avec peine ... il était dorénavant debout. Il passa l'avant bras sur sa bouche avant de prendre légèrement conscience de ce qu'il se passait.

oh bordel de (bip)

Il tournoie pour essayer d'apercevoir Carmen. Il la voit enfin. Vite, vite .... Il faut partir ... Il montre du doigt la direction que prend le Serna et les autres. il pense être rapide, il est bien lent et fort heureusement il évite de se faire un croc en jambe. Ce qui, au demeurant, n'était pas gagné au départ.

curieux, envie de boire, vous croyez prendre de la prune mais voilà c’est un sortilège. Vous vous prenez pour la première personne que vous croisez. = à venir

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Athenais_

Le rapt se fait, sans bavure elle sourit.

Carmen ne sait pas à quoi elle s'expose mais elle va très vite le découvrir si elle cherche à valser. Enfin valser, façon de parler. C'est bien le moment de s'amuser, alors Athéna danse, elle est jouasse, mais elle a soif. On a beau dire pour le moment elle n'a rien bu et c'est un "temps mort" qu'elle fait avec ses mains pour s'octroyer quelques minutes. La bière qui suit tombe dans son estomac à une vitesse folle. La moustache blanche en mousse apparait avant de disparaitre d'un coup de langue. La Duranxie claque cette dernière.

Ah.. !

Le verre suivant est un whisky qu'elle lève à la santé de la Serna avant de reprendre une danse endiablée. Ce moment est étrange, elle profite de sa jeunesse simplement. Il 'y a plus de petits frères, de petites soeurs à dorloter, de Domaines à administrer, de suzerains à servir ou de tutelle à mener, encore moins de nobles à gérer. C'est la quille !

Elle rit devant le minois de Carmen et prend une nouvelle bière au passage, la goutant comme le fait un affamé en dévorant un morceau de viande. L'alcool jaillit de son contenant avec un saut de sa propriétaire la poussant à reposer ce qu'elle comptait torpiller. Et l'annonce arrive entre deux pas de crabe.

Waouh, tu dois être contente.

C'est tout ce qu'elle trouve à dire. Elle est incapable de jauger autrement l'annonce non pas par malveillance mais parce qu'elle même ne s'est pas marié par amour, ni fiancé pour cela alors elle estime que ça doit être grisant et joyeux. Du coup, elle colle une bonne tape sur le bras de Carmen avec maladresse ne sachant pas du tout par quel moyen on transmet son plaisir. Pour la Princesse, seul compte le bonheur du couple. Elle adore Carmen et lui voue un véritable attachement. Après tout, cette dernière a pris soin d'elle, elle n'est pas dupe, elle connait certains regard et Belisaire s'avère être du même bois en plus discret. Toutefois, elle a cette vague impression qu'il ne demande qu'à s'épanouir et qu'il y a bien des choses à découvrir. En somme qu'il est aussi comme elle, un animal complexe.

Mais revenons à notre beauté !

Félicitations, vous devez être heureux.
Vous avez une idée du temps de vos fiançailles ? Un mariage dans la neige c'est beau surement, surtout si vous le faites sur un cheval.

Oui parfois elle a des idées bizarres.

Et puis, un sentiment la prend, est-ce l'alcool ?
Nous ne le saurons jamais, en tous les cas, elle vient serrer Mont-Saint-Michel contre elle en songeant que sa mère serait déjà en train de sauter de partout, ravie que l'amour sourit enfin à son amie après une vie éborgnée, souvent à vif sur le plan sentimental. Toutefois, si Athénaïs connait l'attachement entre les deux femmes elle n'a pas connaissance de tout et regarde Carmen avec une bouille joviale.

Maman serait heureuse pour toi, j'ai encore la robe il me faudra te la donner quand le moment sera venu.

Cette robe de mariée léguée à la Serna comme porte chance, persuadé que l'amour, les sentiments purs viendraient un jour irradier les frêles épaules d'une femme pleine de courage. Mais bien vite l'alcool et les sentiments du moment sont à reléguer au second plan. Le bruit se fait entendre, des claquements de pieds raisonnent puis des cris, Alexandre semble aux yeux de la Duranxie devenir simplement fou alors qu'une odeur de feu assaille les narines de la Princesse. Autant dire qu'entre cela et les vapeurs d'alcool, elle se retrouve totalement écœuré. Les cris surpassent son propre volume sonore, la cohue provoqué l'empêche de filer de suite et c'est en voulant partir qu'elle se retrouve séparé des autres. Attrapant le revers de sa cape une quinte de toux la prend et elle tache comme elle peut d'avancer. C'est en se dirigeant vers la sortie au sous sol que la table près de l'escalier est éjecté sur son chemin venant la bousculer violemment. Elle chute entendant par la même sa cheville craquer. Glurps.

La douleur qui l'étreint est lancinante. L'étage craque, les poutre crépite au dessus de sa tête. Elle ne sait pas combien de temps il lui est donné alors elle s'évertue à sautiller en direction de l'issue souterraine. Déjà, elle n'entends plus grand monde. L'inquiétude la guette, le regard qu'elle lance à l'obscurité est presque implorant. Et c'est évidemment toujours dans ces moments-là qu'on a envie de vomir.

Hey oh !
Y a quelqu'un ?

Nouvelle chute mais cette fois, elle est logiquement hors de danger, du moins du danger immédiat. Alors elle appelle, cherchant aide et soutien pendant que son corps se remet de ses frayeurs.

- Vous vous foulez la cheville et devez trouver un ou une partenaire qui accepte de vous porter = 7 points.

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♖ Armoiries ♖

Carmen_esmee.

[Avec Athéna]

Carmen s'exerce à montrer quelques pas à Athénaïs, cela se résume rapidement à tout simplement éviter qu'elle lui marche sur les orteils, mais avec élégance toujours, la pause au bar est appréciée, la Serna boira presque autant que sa protégée, la descente de cette dernière n'avait pas son pareil. Puis elles retournent près des musiciens faisant honneur à la musique. L'annonce a l'effet escompté, la mousse en plus,

"Je suis heureuse, oui."

Le sourire est grand, les joues se parent de rose, elle prend une gorgée dans le verre de la princesse,

"On en a pas encore parlé, nous y viendrons, nous profitons de chaque instant et projetons notre vie, étape par étape, le mariage ne sera donc que le début d'une autre aventure, et non la conclusion."

Elle songe à l'idée de la neige, mais l'esprit Serna bifurque vers d'autres pensées, l'alcool aidant, c'est à la nuit de noces qu'elle pense, et à celles qui suivront, partager sa couche pour l'hiver avait également un côté pratique et confortable.. Elle se mord la lippe et opine doucement avant de rire, l'idée du mariage à cheval à de quoi l'amuser,

"Nous verrons bien !"

Surprise, elle l'est lorsque la Duranxie l'enlace, l'évocation d'Alvira, lui pique légèrement les yeux, les larmes veulent pointer, elle resserre l'étreinte et opine aux dires d'Athénaïs.

"Oui, ta mère, l'avait pressenti, et envisagé avant moi.. Cette éventualité.."

[Incendie]

Des cris d'effrois, la musique cesse, les musiciens se carapatent, bousculent les présents, le feu se déclare, Carmen percute son jeune frère, qui hurle à la mort que tout cela est de sa faute, elle pose ses mains sur ses joues et l'oblige à la regarder, si possible sans loucher ! Elle le secoue un peu, la panique de son frère a le mérite de dégriser la brune.

"Alexandre, tu prends ma main et tu ne la lâche sous aucun prétexte ! C'est clair !? Fuyons !"

Un regard circulaire, mais déjà la fumée coulent ses nuages sur le plafond, la charpente sera vite attaquée, le toit va leur tomber sur la tête, et pourtant elle ne bouge pas serrant la main de son frère dans la sienne, obnubilée par la scène et par la recherche de Bélisaire, ce dernier les rejoint, elle sent son bras autour d'elle qui la pousse vers la sortie, ils croiseront Liliana en pleine nage, Carmen la hisse sur ses pieds et l'embarque avec eux.

"Seigneur Dieu, Liliana, reste avec nous !"

Elle aimerait courir, mais même si Liliana et Alexandre ont cette force, elle ne l'a pas, elle n'a pas vu Athénaïs en empruntant le corridor qui mène au souterrain, elle est derrière eux, elle veut s'en convaincre mais elle n'y parvient pas, la dextre recompte dans la pénombre, les têtes des siens, quatre..

"Quelqu'un a vu Athéna ! Athéna !"

Elle pivote dans le couloir, grossière erreur.. Sa cheville se plie sur le bord d'une crevasse et elle bascule sur le côté et tombe dans ce qui doit être une flaque d'eau croupie.. Une jolie gerbe d'eau arrose ses camarades, pourvu que cela leur rende l'esprit clair.. La chute sur les fesses pour la brune aura du moins eu cet effet - avec un bonus de langage fleurie lorsqu'elle se redresse en se massant les fesses.

"Mald!to, Puñeter0, Put0, m!erda, imbécil, Aïe.. Mi culo..."

[Festival du gros mot, de la péripatéticienne en passant par le classique merd*, quelle idiote, mon précieux séant...]

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En deuil de sa Reyne, Alvira

--Amburgis

Occupée à servir les verres, choppes et hanap que Chaun remplissait sur le comptoir, la blonde ne senti pas l'odeur de brûlé et ce n'est que lorsque son collègue cria "au feu" qu'elle aperçu le pan de mur derrière la scène qui gentiment se faisait dévorer par les flammes, Chaun abreuve les flammes en lançant de l'alcool en sus, les flammes viennent lécher le comptoir, la foule d'invités se dirigent vers les souterrains, consciencieuse, Amber vérifie que personne n'est resté derrière elle, elle poussera sans ménagement les traînards, secouera les endormis et hurlera sur les derniers pour qu'ils se pressent vers les portes du tunnel.

"Vite dépêchez vous pauvres fous ! Suivez Chaun ! Vite vite !"

Un dernier tour de Taverne pour s'assurer que tout est en ordre, les yeux plissés, la chaleur émanant des murs et du toit, lui brûle les paupières, elle peut enfin s'engager à son tour dans les souterrains, elle n'aperçoit point la marquise à terre, car les bouteilles d'alcool explosent les une après les autres, lui lacérant la peau, elle n'y voit soudain plus rien, le froid l'envahie, sa robe prend feu, elle hurle de douleur et de peur, un cri à vous glacer le sang... Alors que ses chairs fondent dans les flammes, elle s'évanouie, son cœur émettra encore quelques battements avant de lâcher cruellement...

Walan

[L'incendie, dans la taverne ... encore]

Les flammes se répandaient et, fort heureusement, les buveurs passaient les uns après les autres devant Walan pour rejoindre le souterrain. La fumée commençait à le faire tousser et il sentait une irritation inhabituelle sur son visage qui, s'il l'avait vu, s'était paré de boutons suite au contact de Tuatha.

Remettant sur ses pieds le nain effondré à côté du passage, il le poussa sans trop de ménagement -oui, c'est pas très cordial- en vers la pénombre et la fraicheur tandis que passait un nouveau groupe, à savoir Carmen, Liliana, Belisaire et Alexandre.

Voyant les flammes continuer de s'étendre, le chevalier eut soudain un doute : n'y avait-il pas plus de clients dans la taverne que ceux qu'il avait vu sortir vers les souterrains ? Prenant sa décision, il posa sa fille au sol et lui glissa quelques mots.

Il faut que je vérifie qu'il ne reste personne Aëlys. Descends là dedans, reste avec les autres, tu seras en sécurité en attendant.

Poussant la jeune fille à son tour -cette fois avec plus de précautions-, il s'assura qu'elle descendait bien avant de tourner à nouveau son regard vers la salle embrasée. Un cri horrible retentit dans la salle, tel qu'il s'ajouterait à tout un tas de visions et de bruits qui peuplaient déjà les souvenirs cauchemardesque du vétéran, pendant qu'en même temps, depuis les tréfonds, les échos d'un prénom lui parvenaient également.

Athéna ! Athéna !

Se penchant en avant pour mieux voir malgré la fumée et les flammes, le dauphinois remarqua d'abord une silhouette à terre. S'il fit d'abord quelques pas dans sa direction, il se rendit bien vite compte que c'était inutile : le feu avait déjà violemment attaqué vêtements et chairs et il n'y avait déjà plus d'espoir pour la malheureuse.

Toutefois, alors qu'il se retournait pour vérifier que l'accès vers le souterrain était toujours accessible, une autre silhouette lui apparut. Toussant de plus en plus, il s'en rapprocha presque plié en deux.

Princesse, ce n'est pas le moment de traîner, allez !

Comprenant assez vite qu'elle ne pourrait pas bouger seule, il cala un bras -à elle- autour de ses épaules -à lui-, un bras -à lui- autour de sa taille -à elle-, lui refila des boutons au passage -merci Tuatha- et entreprit de les sortir tous les deux de là tant bien que mal.
Non s'en s'empêcher de se demander, alors qu'ils finissaient pas atteindre la fraicheur et l'obscurité sous-terrain, si d'autres encore n'avaient pas été bloqués dans les flammes ...
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Aelys_meyrieux

[Incendie en cours ; fuite aussi ; corridor, puis labyrinthe]

Aidez ceux que vous pouvez ! Aux souterrains, allez !

La voix de son père domina le tumulte. Il la tenait fermement contre lui, et elle se laissa guider. Il était grand, son papa! et tout le monde lui obéissait. Très fière, Aëlys murmura:

C'est mon papa!

Autour d'eux les gens criaient, s'interpellaient. Carmen! Beli! Athéna!
Ça jurait en français et en espagnol.
Ça sentait le bois brûlé, l'alcool et le vomi.
Mais Aëlys n'avait plus peur. Elle était avec son père, rien ne pouvait lui arriver de mal.

Il faut que je vérifie qu'il ne reste personne Aëlys. Descends là dedans, reste avec les autres, tu seras en sécurité en attendant.

Non! Papa, non!

Trop tard...
Walan avait déjà fait demi-tour, et elle, emportée par le flot des "grands", n'avait d'autre choix que de descendre. Privée de la main de son père, elle sentit sa peur revenir au galop.

Athéna ! Athéna !

C'était la voix de Walan. Pourquoi appelait-il "Athéna", et pas "Aëlys" ?
On la bousculait, elle glissa sur le sol humide, faillit s'étaler de tout son long. Ses doigts se raccrochèrent au mur et elle se blottit contre la pierre froide.

Si je suis bien le mur, j'arriverai dehors et personne ne m'écrasera.

C'était le mur à sa gauche. Elle le suivit, sans s'aviser du virage à 90 degrés à gauche. Tremblant de tous ses membres, le cerveau en coton, la fillette n'avait plus qu'une idée: s'éloigner du bruit. Ouragan de la taverne qui brûlait, hurlements des gens qui fuyaient, martèlement des pieds sur le sol du souterrain, tout finit par s'estomper, puis disparaître. Ne resta plus qu'un "boum-boum... boum-boum... boum-boum..." précipité.

Aëlys se retrouvait seule, le cœur battant à tout rompre, dans le noir. Elle fonça droit devant elle, mains tendues, heurta un mur, un autre, un troisième.

Papa?

Elle écarquilla les yeux, cherchant à percer les ténèbres.

Papa! Papaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!!

Plus aucun bruit. L'oreille aux aguets, la petite retint sa respiration.
Perdue... Elle était tout seule dans le noir, loin de l'incendie, certes, mais sans aucun moyen de trouver une sortie.

Alors elle s'accroupit contre le mur, les bras autour des genoux, et appela d'une toute petite voix.

Papa! Venez me chercher, Papa!

Hersende

[Dans la taverne, avant l'incendie]

Remerciant le tavernier, Hersende jette un regard un peu méfiant à la boisson servie . Après tout, c'était un défi à relever, il doit donc y avoir quelque chose de louche… Elle y goûte prudemment. Eeeh… mais c'est que c'est délicieux! Un peu fort, c'est sûr, mais Hersende a toujours aimé les boisson qui ont du corps. Et là, elle est servie!
Elle avale donc son verre cul sec, se sentant instantanément mieux. Adieu les contusions, oubliées les articulations endolories!

Vous avez bu, beaucoup mais, peut être habitué, vous résistez honorablement. La langue pourrait fourcher, les idées pourraient être confuses cependant.

[L'incendie]

Elle s'apprête à en commander une deuxième quand elle assiste à la chute de la lampe et au début de l'incendie. Encore lucide, elle cherche l'issue indiquée, mais dans la cohue et la fumée qui commence à envahir la pièce, il est difficile de s'en approcher, d'autant plus que nombre des personnes présentes semblent être sérieusement éméchées, voire complètement saoules pour certaines!

Encore consciente, elle laisse passer ceux qui paniquent le plus, restant un peu en arrière pour s'assurer que tout le monde évacue. Mais l'incendie progresse, il faut quitter la salle! Beaucoup se sont déjà engouffrés par la sortie. Le ronflement du feu ainsi que la chaleur insupportable pressent Hersende de quitter la pièce, mais désormais, dans l'épaisse fumée, on n'y voit goutte. Tant pis pour les retardataires, elle doit filer! En s'approchant du passage où la tapisserie qui cachait auparavant l'ouverture commence elle aussi à flamber, elle se glisse dans l'escalier et le descend dans l'obscurité croissante et la fumée, fuyant le brasier qui rugit dans la taverne.

[Dans le souterrain]

En bas, il fait noir comme dans un four, et elle ne distingue pas le sol devant elle. On entend bien des voix, des pas précipités… mais les ténèbres et la résonance des sons – une caverne? - lui font perdre tout repère. Elle entend un cri déchirant :

Papa! Papaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!!

mais n'arrive pas à savoir d'où est parti ce cri. A l'aveuglette, elle se dirige dans la direction qui lui semble la plus probable, touche un mur et manque de buter dans une masse à terre qui murmure des appels au secours.

Se penchant, Hersende tente de rassurer d'une voix douce l'enfant dont elle sent la forme sans la distinguer. Elle se penche et la prend dans ses bras en lui disant :

Allons, allons, petite, ne pleure plus. Tu n'es pas seule! On va le trouver ton papa.

vous entendez à l’aide et bien sur vous êtes un bon samaritain.

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Hope

[Avec Arioce – Peu avant l’incident.]

Elle le regarde siffler son verre de whisky avec brio, en frappant dans ses mains pour l'encourager, toute joyeuse et surtout franchement pompette.
Et encore un petit coup, cette fois de ce breuvage secret du nain, qu'elle expérimente avec méfiance, trouvant le goût assez surprenant, mais finalement très bon.
Certes, ses idées, à cette heure, ne sont plus très claires, tout comme sa vue.
Il faut à ses jade,s faire cinq fois le tour de la taverne pour enfin se poser, troubles, sur sa cousine, repliée dans un recoin, malgré l'indication d'Arioce.
Laissant l'Ours quelques instants à son défi, elle se dirige vers Elvyna...

[Seule, dans ses songes – Pendant l'incendie.]

Elle est allongée sur le sable de la plage de la Teste-de-Buch, ce village choisis par son suzerain et son épouse pour s'y installer définitivement.
Une option plus qu'intéressante, car à ce jour, elle y vit encore... record chez elle, de rester aussi longtemps implantée dans un lieu quelconque depuis sa fuite de l'Argonne.
Et c'est qu'elle s'y sent bien, petit cité tranquille, balayée par les vents de l'Atlantique et créant ainsi cette dune immense, étonnante curiosité géologique, dont elle ne se lasse pas de contempler la beauté.

Il fait bon, et Surya, sa sœur d'âme se trouve évidemment à ses côtés, babillant joyeusement comme elle sait si bien le faire, alors, qu'elle offre son visage au doux rayons de l'astre du jour, tout en l'écoutant, les yeux fermés.
Peu à peu, le soleil, se fait plus chaud, vraiment très brûlant, au point de lui faire ouvrir les paupières.
De stupeur, elle pousse un cri.
Il se tient là, à quelques centimètres de son visage, menaçant, des flammes meurtrières jaillissant de lui de toute part.
Effrayée elle essaie de s'enfuit, de sauver sa vie, mais ses pieds restent collés au sol, comme englués dans le sable fondu.
Elle le sait, elle va mourir là, aucun échappatoire possible, c'est alors qu'elle entend murmurer la douce voix de sa sœur qui l'appelle.

Surya, aide-moi !

La voix se fait de plus en plus puissante mais pas suffisamment pour qu'elle comprenne.
La panique, les brûlures, elle sent qu'elle va finir carbonisée... comme eux, elle étouffe, ses chairs se liquéfient, elle ne ressent pourtant aucune douleur, alors, elle se laisse partir, se laisse...

Hope ! Réveille-toi !

[Seule, du moins le crois t'elle – Pendant l’incendie].

Tête et buste qui se relève avec brutalité, elle prend une profonde inspiration, puis tousse, crachote, les bronches et les poumons en feu, ses narines irritées par une forte odeur de brûlé.
Reprenant peu à peu ses esprits, elle ouvre les yeux lentement, des bruits sourds parviennent à son ouïe qui se fait plus affûtée au fur et à mesure, qu'elle se reconnecte au monde réel.

Assise au comptoir, la scène qui se tient devant, est surréaliste, apocalyptique.
Tout est brumeux, et paradoxalement ensoleillé, comme incandescent.
L'air est chaud, brûlant, irrespirable.
Elle se lève de son tabouret, et reste plantée là, à observer ce qu'il se passe, sans rien comprendre, sans rien tenter, sans rien attendre.
Que se passe t-il ?

Son crâne sur le point d'exploser, elle pose sa main sur ce qu'elle pense être le bois du comptoir, alors que...
Un cri de douleur s'échappe de ses lèvres, elle scrute d'un air stupéfait ses doigts et sa paume dont les chairs sont meurtries, puis son regard glisse vers...
Une dague !

Une douleur fulgurante traverse sa tête... un fragment de souvenir... la dague... Arioce.
Instinctivement, elle attrape l'arme, alors qu'elle regarde autour d'elle, hébétée.
Elle ne comprend pas l'urgence, elle ne saisit pas la panique, elle ne voit pas les autres, n'entend pas leur cri.

Totalement perdue, elle marche quelques pas, dans cet enfer, cette chaleur écrasante, la dague toujours en main, cherchant désespérément une issue, c'est alors, qu'elle entend un hurlement qui lui déchire l'âme.
Elle tombe nez à nez sur la plantureuse serveuse, transformée en torche humaine vivante.
Pétrifiée d'horreur, elle porte sa main à sa bouche pour s'empêcher de hurler, ses jambes se dérobant sous elle, et tombe à genoux devant le corps calcinée de la blonde.

Alors c'est ainsi que ça se termine ?
Un éclair de lucidité la parcourt.

Elle se met à hurler, de sa voix habituellement étouffée, les cordes vocales retrouvant une soudaine vigueur :

Arioooooooce....
Elvynaaaaaaaaaaaaaaa...

Vous avez bu mais voilà, vous vous êtes écroulés sur la table et à votre réveil … c’est l’apocalypse. Mal, perdu, incompréhension … bref un vrai zombie ambulant. (3 points)

Vous écrasez des champignons hallucinogènes et vous voilà enclin à voir ce que vous aimez le plus = 4 points = > Ca va viendre.

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Elvyna

[Seule dans son coin pour encore peu de temps, genre quelques secondes – Peu avant l’incident.]

Les gens buvaient et s'amusaient. Finalement, un sourire vint d'afficher sur son visage, cette bonne humeur devait se donner. Elle remercia le tavernier nain de lui avoir apporter une boisson et choisit de la prune et se mit donc à boire, trinquant et buvant, enchainant les tournées générales nombreuses. Sa tête lui tournait, elle était déjà ivre, c'était surement de la bonne qualité. Puis elle remarqua au loin le regard de Arioce et leurs regards se croisèrent. Merde, repérée. Et il indiqué à Hope qu'elle était là. Nul part où aller, mais de toute façon, elle ne préférait pas se lever tout de suite. Elle ronchonna en voyant sa cousine de lever pour venir à sa rencontre. Elle étira un sourire forcé.

[Somnolence quand tu nous tiens – Pendant l’incident.]

Vous avez bu mais voilà, vous vous êtes écroulés sur la table et à votre réveil … c’est l’apocalypse. Mal, perdu, incompréhension … bref un vrai zombie ambulant. (3 points)

Elle ne se sentait pas très bien, pourtant elle tenait l'alcool habituellement, mais le mélange avant raison d'elle et la Riddermark se sentait malade. Elle repoussa son verre, se levant pour aller prendre l'air à l'extérieur, mais la tête lui tournait tellement, elle voyait les gens bouger trop rapidement autour d'elle, les flammes des chandelles lévite, puis tout devient noir.

....

Reprenant connaissance dans une quinte de toux, elle se redressa sur la table. Elle se sentait perdue, regardant à droite et à gauche, des hurlements, des personnes qui courraient en panique, des flammes gigantesques, des cadavres. Mais c'était quoi ce bordel! Frottant ses yeux à cause de la fumée qui la piquait, elle toussa une nouvelle fois, plissant le regard pour regarder au travers du brouillard épais. Mais elle était où? Elle sentait encore les effets de l'alcool, elle tituba en s'éloignant de la table, ne sachant pas où aller, reculant vivement d'un pas quand un morceau de plafond s'effondra, en feu. Elle sentit une vive douleur de brulure sur son bras. Elle croit entendre son prénom quelque part, mais incapable de situer l'endroit. Trébuchant sur une chaise renversée, elle remonta le col de sa cape sur son visage pour respirer au travers.
Tout le monde hurlait, mais elle se rendait compte que le lieu se vidait petit à petit. Il y avait donc une sortie dans cette fournaise.

[En sécurité ou pas – Dans le souterrain]

-vous vous foulez la cheville et devez trouver un ou une partenaire qui accepte de vous porter.

Se faisant bousculer d'un côté et de l'autre, ne repérant comme elle pouvait, ne reconnaissant personne tellement que la fumée était épaisse. Respirant dans le tissu de sa cape, elle repéra l'ouverture et un escalier où les personnes s'engouffraient rapidement, elle les suit, loupant une marche et tombe dans l'escalier, se retrouvant à mi chemin, à moitié écrasée par les gens en panique. Mais une douleur se fît sentir à sa cheville.

- Merde, bordel !

Elle grimaça, essayant de se relever mais sans succès, glissant donc marche par marche jusqu'en bas, se relevant tant bien que mal et boitillant quelques pas avant de s'arrêter, cherchant autour d'elle une aide.

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Leprechaun_le_nain

Oh il s'envole, il s'élève et rejoint le soleil. La lune peut être ? Certainement ! Un frisson lui parcours l'échine. Pas si tôt ! Non il promet de se racheter de toutes ses mauvaises pensées ou mauvais actes passés. Ils sont nombreux mais il promet .... En réalité on l'aide à se relever. Coup de sang salutaire toutefois, il retrouve un peu ses esprits et aurait bien préféré attendre. Il voit la bimbo aux lolos adorés partir. Elle va retourner tous les Saints avec ses seins aussi mis en avant et il est d'avis qu'ils lui fassent signer de son seing un code de bonne conduite. Sans cela serait-il sain de l'accepter ? Il prie pour qu'elle les ceint de sa belle générosité. Et que le sans nom se retourne une minute si Saint Samoth arrive à retrouver une petite vigueur là où il est. Tout est de sa faute, il pleur. Tout est de sa faute, il crie en silence sa colère. Tout est de sa faute, son cœur se déchire. Il fuit sa honte à travers le corridor, il chasse l'horreur en pénétrant dans la pénombre. Il croise un groupe [Belisaire, Liliana, Carmen et Alexandre], les bouscule tête baissée, il n'en a que faire ... Mais une voix le happe.

"Merde, bordel"

[Elvyna]

Il s'arrête, les yeux transformés en chutes du Niagara et constate un malaise.

Reposez vous sur moi.

Oui le nain à défaut de pouvoir porter une belle femme pouvait servir de canne.

vous entendez à l’aide et bien sur vous êtes un bon samaritain. = 1 point

Arioce

Peu avant l’incendie.

Et les verres s’enchainèrent, comptant toujours sur le coude d’Hope pour le levé jusqu’à mes lèvres. Le breuvage spécial de la maison fut bien vite ingurgité. Bordel ! Pas mauvais du tout ! Et il tape comme il faut – c’est-à-dire, bien trop fort pour que cela soit raisonnable. M’enfin, l’on était en sécurité ici, l’ambiance était plus que plaisante, la tente pas bien loin, alors, autant se faire plaisir. Alors qu’Hope s’éloignait de moi, je commandais quelques petits verres de cognacs, histoire que je puisse les boire seul, sans l’aide de personne. Fallait-il s’auto-lancer un défi de les boire les plus vite possible ? Incontestablement. Ce que je fis avec brillo. Lèvres enserrant le buvant de la juste pression qu’il faut. Tête relevé en vitesse. Gorgées avalées sans appel. Et je recrachais le cadavre sur le comptoir. Hop, hop, hop, hop. Arioce, grand vainqueur.

- Oh bordel !

Je ris, alors que je m’affalais sur le tabouret, la taverne vacillant drôlement.

- Ça c’est boire comme un gamin.

C’est-à-dire, trop vite, sans en profiter. Mmmh… la question était. Pourrais-je demandé à ce qu’il mettait de la bière dans des petits verres. Surement… Et une nouvelle tournée. Bu avec plus de modération, enfin, moins rapidement que la précédente. Disons que je profitais de la vue aussi, posant mes yeux çà et là, où belles femmes se trouvaient, à qui, peut-être, j’allais me décidé de faire la cour. Ou alors… juste regarder. Mmmmh…

L’incendie – Toujours dans la taverne.

Soudain, l’enfer.

- Bordel !

Des flammes dévoraient la porte d’entrée et les planches autour avec grande appétit. Le feu semblait se propager vite. Un instant de trou, où mes pupilles restèrent accrochées à ce spectacle mortellement beau. Au feu ? Fuyez ? Bordel ! Oh feu !
Retour à la lucidité. Enfin… La lucidité après beaucoup trop de verres.
D’un bond je descendis du tabouret, et faillis me ramasser. Depuis quand la taverne était sur un bordel de navire en haute mer ! Je me rattrapais de justesse à une table, ou peut-être à quelqu’un.

- Bordel…

Rien ne me semblait sur ou assuré. Tous tanguaient, valdinguaient et me foutaient une sacrée envie de repeindre le parquet.
Seconde instant de lucidité. Elvyna ! Hope ! Panique !
Je relevais vivement la tête, cherchant, le regard fou, des yeux les deux jeunes femmes. Et dans ce sacré bordel de gens en fuite, tout me semblait confus et impossible.

- ELVYNAAA ! HOOOPE !

Je toussais et repris mon combat contre la marée déchainée. Je suivais le mouvement de foule, mon regard allant de personne en personne, à la recherche des deux têtes connues. À l’entrée de l’escalier, je m’arrêtais, continuant à regarder qui étaient descendu, et qui descendaient encore. Mais pas d’Elvyna, ni de Hope.

- Bordel de bordel !

Alors que je m’apprêtais à retourner chercher dans le brasier qui progressait bien trop rapidement, je vis deux formes en bas des escaliers. Dont une qui me semblait bien familière.

- ELVYNA ! As-tu vu HOPE ?

Qu’est ce qu’elle foutait par terre d’ailleurs.

- Je ne sais pas !
- Bordel !

Je lâchais un grognement. Bon, Elvyna était en sécurité et entre de bonnes et petites mains nanesques. Bordel, un nain, on n’en croise pas souvent de ces machins-là ! Mmmmh… Hope !
Sans plus me faire prier, je m’engouffrais de nouveau vers la pièce en proie aux flammes destructrices. Des cris !

- IL FAUT FUIR VERS L’ESCALIER ! LE SOUTERRAIN !

Me couvrant le bas du visage, je luttais pour ne pas tomber à chaque pas. Bordel ! Pourquoi ai-je autant bu ! Je grognais contre moi-même lorsque je perçus dans tout ce brouhaha, une voix familière. Hope !

- HOPE ! OÙ ETES VOUS ?

Je tentais de me diriger vers là où j’avais cru entendre sa voix. Rien n’était très sûr avec ma tête en bouilli et la panique générale, sans parlé de cette foutue chaleur et de cette fumée de merde !
Je plissais le regard, avançant de pas incertains, lorsque je me pris la botte sur quelque chose qui acheva le peu d’équilibre que je possédais.

- Bordel !

Oh mais… depuis quand j’ai les mains attachées dans le dos ? Retour à la réalité douloureuse, alors que je m’écrasais l’épaule la première contre le sol. Et la vue qui s’offrit à moi fut bien plus douloureuse encore… Le corps d’une jeune femme brûlait. Horreur, j’eus un mouvement de recul.

- Oh Bordel !

Mes yeux se posèrent alors sur la forme à genoux aux côtés de ce que je devinais comme le cadavre de la serveuse.

- Hope !

Je retins de justesse un haut le cœur. Bordel…

- Faut pas rester là !

Je tentais de me redresser, me mettant sur le dos, puis sur les genoux et enfin, après un effort bien trop grand pour si peu, sur les pieds.

- Suis-moi !

Par-là derrière moi, le plus loin des flammes.
J’aurais bien attrapé Hope pour la forcé à me suivre, mais… mains attachées obligent, je ne pouvais qu’attendre qu’elle daigne me suivre.

_ Vous avez bu, vous pestez contre le vent, vous tanguez et avez du mal à garder l’équilibre. (6 points)
_ Jadis, une sorcière habitait dans ces souterrains. Dans votre fuite vous écrasez une fiole contenant un filtre d’amour. Il prendra effet dès la première personne aperçue. Il prendra fin si la personne vous énerve ou si vous sortez du souterrain. = 10 points -> A venir.

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Aelys_meyrieux

[Dans le labyrinthe]

Il faisait noir, Aëlys avait peur. Son papa l'avait abandonné. Quand elle le retrouverait, elle se suspendrait à ses cheveux et lui bourrerait le ventre de coups de pieds, comme elle avait vu faire à Thomassinet, le fils du meunier, quand il avait failli se noyer dans le bief du moulin et que sont père l'avait tiré de l'eau à grand peine.

La fillette se berçait toute seule, les bras enserrant ses genoux, la tête rentrée dans les épaules pour ne plus entendre les cris qui lui parvenaient encore, assourdis par la distance.

C'est la faute à la vilaine dame qui nous a invités. Elle est comme sa maman. Sa maman m'a pris ma maman et elle, elle m'a pris mon papa.

Elle murmurait toute seule dans le noir. Le son de sa propre voix la raccrochait à la réalité, et sa colère enflait, faisant taire tout autre sentiment.

Soudain, il y eut une présence. Le cœur d'Aëlys se mit à battre la chamade et elle se recroquevilla encore plus, pour tâcher de rentrer dans la muraille.

Allons, allons, petite, ne pleure plus. Tu n'es pas seule! On va le trouver ton papa.

Je pleure paaaas! Et je suis paaas petite! J'ai huit ans!

Merdalors!
La pauvre dame qui tentait de la rassurer fit les frais de sa colère. C'est seulement parce qu'il faisait vraiment très très sombre qu'Aëlys ne lui tomba pas dessus à bras raccourcis.
Heureusement pour elle, la dame sentait bon. Ou pas, d'ailleurs. Tout dépend de ce qu'on entend par "bon". Simplement, Aëlys associait la douce chaleur des bras de la dame, son odeur, sa voix, à "sent bon". C'était comme lorsque Maman la serrait contre elle, quand elle était toute petite, il y avait très très très longtemps.
Aëlys s'abandonna.

Vous savez où il est, mon papa?

Athenais_

Plongée dans l'obscurité, Athénaïs ne vit arriver Walan mais fut interdite aux cris d'effrois de la serveuse. Nerveusement, elle se frotta le visage, tentant d'endiguer le stress qui ne faisait que grimper en elle. Spontanément elle sursauta quand une voix près d'elle se fit entendre. Une voix qu'elle mit du temps à reconnaitre. Au final c'est quand le Meyrieux se rapprocha d'elle que tout percuta dans son esprit.

Princesse, ce n'est pas le moment de traîner, allez !

Abasourdi, elle ne marmonna qu'un simple.

Je ne traine pas. Un moment de silence avant qu'enfin, une fois la pudeur estompée, elle ajoute doucement.
Merci.

Et puis la chaleur devient moins intense alors qu'une vilaine toux lui enserre la poitrine complétant le tableau inconfortable de ses yeux déjà malmenés par l'épaisse fumée. Attrapant son châle, elle se le met devant la bouche alors que des démangeaisons commencent à lui piquer les pommettes, les poignets, les bras, elle ne voit pas que de mignons boutons fleurissent. C'est d'ailleurs à la faveur du souterrain, alors que par endroit le jour pointe grâce à de légers trous de lumière qu'elle discerne sur l'homme des boutons. Faisant un Ô avec sa bouche, elle se garde de lui en parler et s'aide comme elle peut du Chevalier afin d'avancer sans trop être un poids pour lui. Alors certes, elle n'est pas du genre lourde mais elle craint que lui aussi ne soit affaiblit. Et puis, observant que les tunnels résonnent mais qu'aucune petite enfant de huit ans n'est là, elle s'en inquiète.

Où est votre fille ?
Qui la garde ?

Et oui papa, qu'as-tu fait de ta gosse ?
Des bruits se rapprochent, du monde, des vivants, enfin !

Peut-être observeront-ils le ralliement d'un groupe plus gros, voir même retomberont-ils, espérons-le sur l'enfant prodigue.
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♖ Armoiries ♖

Hersende

En attrapant la fillette dans ses bras, Hersende ne s'attendait pas à la réaction violente qu'elle dut affronter. Mais elle tint bon, évitant de trop bouger et gardant une voix rassurante.

Effectivement, dans le noir, je ne m'étais pas rendue compte que tu étais aussi grande! En tout cas, tu me parais un peu perdue... comme moi d'ailleurs! ajouta-t-elle avec un sourire dans la voix. Dis-moi, si on essayait de retrouver notre chemin ensemble? Je ne sais pas où est ton papa, mais on va le croiser forcément, il doit s'inquiéter pour toi...
Je pense qu'il faudrait revenir dans la caverne au bas de l'escalier. Qu'en penses-tu?

Associer cette gamine au caractère bien trempé aux décisions sur les actions à mener paraissait à Hersende le meilleur moyen de lui faire oublier sa détresse.
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Walan

Enfin, l'air se fit plus frais et respirable ... même si le souterrain était particulièrement obscur. Grommelant vaguement en constatant qu'il aurait pu penser à prendre l'un des débris enflammés en guise de torche, Walan ne pouvait toutefois guère faire demi-tour maintenant. Déjà parce qu'il n'était pas totalement libre de ses mouvements, mais aussi parce que le brasier était désormais trop important pour y retourner.

Prenant un peu de temps pour étudier la situation, il fut surpris de ne trouver quasiment personne en bas. Il aurait cru que les rescapés se seraient regroupés, mais ils s'étaient apparemment éparpillés aussi vite qu'ils étaient descendus.
C'était d'ailleurs la deuxième surprise : les souterrains n'étaient pas qu'un simple tunnel plus ou moins rectiligne, mais semblaient former un ensemble bien plus vaste, peuplé d'échos de pas, de voix et d'autres choses d'origines incertaines.
Et la troisième surprise, pour couronner le tout et que son hôtesse ne manqua pas de relever, était l'absence d'Aëlys ... Chassant un début d'inquiétude, le brun se força à garder son calme. D'abord en répondant à Athénaïs.

Je lui ai dit de descendre à l'abri... Je pensais qu'il y aurait du monde...

Plissant un peu les yeux pour mieux voir en attendant qu'ils s'accoutument à l'obscurité, il ajouta.

Je ne vois qu'une issue pour l'instant, de toute manière ...

S'engageant dans cette direction, sans même vraiment penser à demander son avis à la princesse, il commença en prime à appeler d'une voix qui ne manquerait pas de résonner un peu partout.

Aëlys ?!
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Hope

L'oeil hagard fixé sur le corps carbonisé de la malheureuse, c'est à peine si elle entend Arioce l'appeler, puis l'approcher.
Il faut qu'il se vautre juste à ses genoux, pour qu'elle sursaute, et reprenne peu à peu ses esprits.
La taverne est désormais ravagé par des flammes gigantesques, l'air y est totalement irrespirable, ce qui provoque une foudroyante quinte de toux, la fumée âcre brûlant ses poumons.
Les yeux rouges, piquants, elle se relève en même temps que l'Ours et sans tarder le suit jusqu'à l'entrée du souterrain, en pressant la manche de sa robe sur sa bouche, évitant de justesse morceaux de plafond qui s'éfondrent, projections de matière en fusion et obstacles en tout genre.

Elle pénètre enfin dans le souterrain, prend une si grande inspiration, cherchant l'air, à tel point qu'un spasme douloureux la pousse à recracher tout le contenu de son estomac, à ses pieds.
Prenant appui sur une des parois humides de l'antre, elle réalise qu'elle tient en main la dague de son maitre d'armes.
Se tournant vers lui, elle se souvient du défi, et remarque qu'il a toujours les mains attachées derrière son dos.
Elle s'approche de lui, à l'aide de l'arme, coupe d'un mouvement sûr la corde, le libérant ainsi de son attache, et du même coup lui rend ce qui lui appartient.

Encore sous le coup de l'émotion, une envie irrépressible la pousse à se jeter dans ses bras, et le serrer très fort contre elle.

Vivants, nous sommes tous deux vivants !

Ressentant un besoin de confirmer ses dires, elle le regarde, tâte son visage mangé par la barbe, glissant sur ses épaules et le long de ses bras.
Moment de flottement qui dure quelques secondes, alors que son regard reste accroché à celui d'Arioce, elle se ressaisit pourtant.
Elle ne le sait point encore, de cet instant particulier, la jeune Riddermark n'en gardera aucun souvenir.

L'endroit sombre n'invitant pas spécialement à un peu de tourisme, mais survie oblige, elle glisse sa main dans celle de l'Horn et s'enfonce dans les profondeurs, l'entrainant avec elle.

Venez...

Elle s'engage dans ce qui ressemble un long tunnel sinueux, au terrain accidenté, elle force ses yeux à se repérer dans l'obscurité.
Son ouïe perçoit des bribes de voix, résonnant comme dans une cathédrale.
il y a donc ds survivants...
Elvyna.

Brusquement, elle stoppe la progression et se tourne vers Arioce, une sombre inquiétude perçant dans l'intonation de sa voix :

Avez-vous vu Elvyna ? Dites-moi qu'elle va bien !

Avec regrets, elle relâche la main de son maitre d'arme, pourtant si réconfortante, et se remet en marche en courant cette fois, vers les murmures qui s'amplifient à mesure qu'elle progresse, sans s'apercevoir qu'elle vient de marcher et d'écraser des champignons... aux effets hallucinogènes.
Après quelques longues secondes, elle arrive à hauteur du petit groupe composé de la Marquise, d'une dame à belle allure la soutenant et d'un homme s'éloignant en hurlant.
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Carmen_esmee.

Trempée jusqu'aux os, la brune claque des dents et serre plus que nécessaire les mains d'Alexandre et de Liliana, laissant ainsi Bélisaire ouvrir la marche devant eux. Les pas des clients résonnent dans les galeries, les cris déchirants d'une enfant, il fait si sombre qu'elle ne parvient pas à presser le pas, de peur de retomber dans un trou ou autre maladresse où ses pieds aiment à la conduire.. Liliana est trempée aussi, Alexandre empeste l'alcool, mais n'étant guère mieux.. Elle ne fera pas de commentaire présentement..

"Alexandre prend la main de Bélisaire, je ne veux pas qu'on s'égard ou que l'on perde quelqu'un en route."

Elle oblige ensuite Alexandre à prendre la main de Liliana, afin de pivoter dans le corridor, vers la taverne, elle a reconnu une voix, celle d'Athéna, lui semble t-il,

"Attendez."

Carmen interroge les ténèbres,

"Athéna ? C'est toi ?"

Elle remonte vers elle et un homme d'haute stature, ses paumes passent sur le visage d'Athéna, elle est bouillante, et lui apparaît affaiblit.

"Où l'avez vous trouvé ? Je vous remercie.. Vous lui avez assurément sauvé la vie."

Soudain elle pense reconnaître Walan, et comprend que l'enfant qui pleurait tantôt et appelait son père, le réclamait lui, elle s'empresse donc de le rassurer,

"Votre fille est un peu plus bas, il me semble l'avoir entendu, elle est avec une jeune femme. Elle va bien."

Elle propose de prendre le relais auprès de la Duranxie, glissant son bras dans le dos de la Marquise, et glissant sa nuque sous le bras de cette dernière.

"Je prends le relais, si vous voulez, rejoignez votre enfant."

- Seul hic, la frêle princesse et presque un poids mort..

"Bélisaire ! J'ai besoin d'aide ici. Hmpf.."

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En deuil de sa Reyne, Alvira

Hope

Tout le monde va bien ?

La question peut paraître incongru au vu de la situation, mais c'est la seule phrase qui lui vient à l'esprit.
Malgré l'obscurité quelques, le souterrain est éclairé par quelques trous de clarté, et au détour d'une galerie il lui semble apercevoir une petite fille... qui rit aux éclats ?
Elle se tourne vers la dame à la belle allure bien qu'elle soit dégoulinante d'eau [Carmen_Esmee.] et l'interroge :

Vous avez parlé d'une petite fille... elle est là vous voyez ?

Regard de nouveau porté vers la gamine, il lui semble que celle-ci s'adresse à elle en l'invitant d'un signe de la main de la suivre.
Ni une ni deux, elle traverse le corridor, laissant les autres sur place et s'engage dans un passage étroit, les yeux rivés sur le dos de la mioche.

[Passage Nord]

Elle arrive de nouveau dans un endroit plus ouvert et aéré, la petite fille debout face à elle.
Se sentant prise d'une soudaine folie, elle se frotte les yeux, qu'elle reporte sur...
Bordel !
Mais c'est elle ??!!!
Etant enfant ?

Un étrange rictus s'étire sur le visage de l'apparition, car oui, il ne peut s'agir que de cela, elle décide de s'approcher en restant sur ses gardes.
Et merde ! dire qu'elle a rendu la dague à Arioce !
Elle ne se demande même pas ce qu'i est devenu, ne s'inquiète même plus pour sa cousine, et encore moins les autres, sa seule préoccupation se trouvant devant son nez.

Le fantôme d'elle-même lorsqu'elle était petite.
Fort heureusement la conscience, elle, restée toujours intact, et passé les brèves secondes de stupéfaction, elle se sait victime d'hallucinations.
La petite fille un air étrangement enjouée la questionne soudain :

Tu sais qui je suis ?

Et à elle de répondre...no comment... :

Oui, je sais, tu es moi. Hope.

Nan !

Ce"non" enfantin qui claque comme un coup de canon et résonne sur les parois, la fait sursauter, rendant l'atmosphère réellement menaçante :

Moi c'est Peryl, pas Hope !

Et la gamine de repartir en courant pour s'engouffrer de nouveau dans un boyau du souterrain, se rétrécissant pour déboucher...
Elle s'arrête, pétrifiée, alors que sa vision change, les inquiétantes profondeurs, laissant place à une forêt baignée par les rayons d'un soleil printanier.
Instantanément, elle reconnaît cet endroit, berceau de son enfance, ou niche aux creux des arbres plus que centenaires, sa petite cabane construite avec son père.

Viens...

La petite Peryl, aussi agile qu'un singe, grimpe au majestueux chêne, pour arriver avec une facilité déconcertante sur la petite plateforme donnant accès à la maisonnette.
Les souvenirs alors affluent dans son esprit, merveilleuse enfance qu'elle avait eu alors, la nostalgie étreint son cœur profondément.
Comme elle aimerait revenir en arrière, revivre cette belle époque pourtant pas si lointaine.
Elle lève les yeux vers cette gamine si enjouée, insouciante et intrépide, et décide de la rejoindre.

A son tour, elle grimpe à ce qu'elle croit être un arbre, et une fois arrivée, elle s'installe aux côtés de l'enfant qui lui tend un livre relié de cuir :

Le journal intime de maman...

Complètement plongée dans ses hallucinations, elle ne remarque cependant pas, qu'elle s'est assise au bord d'un trou très profond, les pieds se balançant dans le vide.

Vous écrasez des champignons hallucinogènes et vous voilà enclin à voir ce que vous aimez le plus = 4 points

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Leprechaun_le_nain

La femme sauvée, le nain reprend ses esprits ou pas d'ailleurs, la honte, la culpabilité l'envahit. La peur aussi lui parcourt l'échine. Il tremble, il s'affole, il veut mourir et vivre ... Il tergiverse sur son sort tout comme il le fait face aux deux tunnels qui s'offrent à lui une fois qu'il est dans le corridor. Des cris surgissent, ses sanglots font échos. Alors dans un élan désespéré il court, il se précipite dans le passage nord.

Oh chiotte !

Des bruits surgissent derrière lui. Des grincements ! Et voilà un nuage qui se précipite sur lui. Il baisse la tête ... euh non il n'a pas besoin et court de plus belle. Il se fait tirer les cheveux, il se fait griffer...

Des chauves souris, des chauves souris !

Une d'entre elle vient planter ses dents dans le cou de Chaun. Il hurle.

Elle m'a mordu. Dracula vit ici !!!! Je suis perduuuuuuu

Les chauves- souris folles et sujettes aux fioles qui s'écrasent au passage du nain et des champignons piétinés. Il finit par prendre le chemin de traverse et se sauver. La main sur la morsure, il a du mal à percevoir les choses. C'est plus sombre. La pas se fait lent, il avance prudemment. Il marche sur quelque chose de gluant. Un son surgit aussitôt alors, inquiet, il allume une torche posée sur un des murs et là ... horreur, malheur.

AHHHHHHHHHHHhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh des serpents...... Bordel .... des serpents ..... AHHHHHHHhhhhhhhhhhhh

Respire

AHHHHHHhhhhhhhhhhh

Il réussit après avoir été mordu à la cheville et perdant le nord, rebrousse chemin vers le corridor par le tunnel est. Mais voilà, il ne reverra jamais le corridor. Il s'arrête subitement .... Du bruit arrive ! Boitant, la main toujours au cou, .....

Saloperie ... de ... de ... RAAAAAAAATS. DES RAAAAAAATS .

Il rebrousse chemin et dans sa fuite, il ne court pas assez vite et se fait dépasser par les milliers de rats dont certains passent par dessus lui. Et comme il a bonne chair, ils ne se gênent pas pour luis infliger quelques morsures. Il continue tant bien que mal sa fuite et finit par s'échouer aux bords de marches. Au bout du tunnel il aperçoit de la lumière.

La sortie est là ? Quelque'un m'entend ? La sortie est là !

Arioce

Voie Principale puis Corridor.

L’atmosphère commençait à devenir irrespirable, la fumée agressant ma gorge et mes poumons sans que je puisse faire grand-chose pour me protéger. J’essayais bien de plonger mon nez et ma bouche dans le col de ma veste mais sans réel succès. Heureusement, Hope revint vite à elle et sans plus tarder nous prîmes la direction des souterrains. La retraite fut loin d’être aisé et je faillis me ramasser dans les escaliers.
Enfin de l’air… croupis. Mmmh… c’était déjà ça ! Je toussais de multiple fois avant d’enfin retrouver un semblant de respiration normale. Bordel… Bordel ! La taverne qui prend flamme… La serveuse brûlée… N’en revenant pas du bordel si soudain et tragique, je sentis mes poignets libérés de leur emprise, de nouveau libre de leur mouvement. Ah oui ! Le défi. Bordel… Il aurait pu m’être fatal.
Et ma tête qui tournait… Je luttais pour ne pas m’affaler, désireux de faire une pause, de m’assoir, et ne plus bouger, que tous autour de moi cessent de bouger !
Ce fut par pur réflexe que j’accueillis Hope dans mes bras. Bordel oui ! Vivants ! La surprise passée, je resserrais l’étreinte, soulagé et heureux de la savoir saine et sauve.
Et je souris gauchement lorsque ses mimines vinrent me tripoter, luttant pour garder les yeux fixés aux siens.

- Je ne serais pas parti sans vous savoir en sécurité.

Même si j’avais été ivre mort, jamais je ne les aurais oubliés. Elvyna, Hope, la prunelle de mes yeux en cette soirée.
Mon regard se porta vers la pénombre du souterrain qui semblait s’enfoncer par un fin couloir courbé. Était-il grand ? En tout cas, les autres buveurs s’y étaient tous engouffrés pour échapper aux flammes. Fermant ma main sur celle de la jeune femme – protecteur – je suivais le chemin, mes yeux s’habituant peu à peu à la noirceur qui régnait dans ces lieux, total opposé à la clarté ardente de la taverne.
Avoir Hope à mes côtés m’aidé à marcher à peu près droit, diminuant mes titubations.
Je fis halte et eu un moment de flottement. Elvyna… Mmmh… Oui.

- Elle va bien. Elle est avec le nain...

Trop tard. D’ailleurs… Où sont-ils ?… Elvyna et le nain. Personne derrière nous, enfin, je crois bien. Donc forcément, elle a dû avancer. Ma tête se remise à tanguer alors qu’un haut le cœur me força à prendre appuis contre le mur, me pliant en deux. Je vomis mes tripes – mais surtout beaucoup d’alcool – éclaboussant mes bottes.

- Bordel…

J’essuyais ma bouche d’un revers de manche et crachais le reste de bile dans ma bouche. Je soupirais et alors que je tentais de faire un pas pour m’éloigner de la flaque et m’assoir un peu plus loin, j’heurtais une étagère et entendis quelque chose en verre se briser sur le sol. Oh ?
Baissant le regard, je trouvais entre mes pieds, le reste de ce qui devait être une fiole ainsi qu’un liquide mouillant un peu plus mes chaussures. Bouarf… Certainement un vieil alcool qui devait trainer.
Je patientais quelques instants jusqu’à avoir retrouvé tous mes esprits – c’est que je me sentais vraiment pas bien… Puis repris ma marche, à la recherche d’Hope et Elvyna. Je débouchais dans une nouvelle grande cavité.

- ELVYYYYNAAAA ! HOOOOOPE !

Bordel ! Plissant du regard, j’observais la pièce voir s’il n’y avait pas d’autres personnes avec moi qui les aurait vues, continuant tout droit vers le Passage Nord…

Je laisse la liberté au premier pantin venu de croiser le regard d’Arioce, indiquez le juste clairement.
_ Jadis, une sorcière habitait dans ces souterrains. Dans votre fuite vous écrasez une fiole contenant un filtre d’amour. Il prendra effet dès la première personne aperçue. Il prendra fin si la personne vous énerve ou si vous sortez du souterrain. = 10 points

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Walan

La réponse à ses cris ne vint pas tout à fait sous la forme prévue, puisqu'au lieu de sa fille, ce fut un groupe d'adulte qui apparut auprès du duo. Groupe, ou au moins l'une de ses membres, qui connaissait manifestement mieux la princesse que Walan.

Où l'avez vous trouvé ? Je vous remercie.. Vous lui avez assurément sauvé la vie.

Toujours sous l'effet de l'alcool -et donc sans avoir bien conscience des divers dangers auxquels il venait d'échapper-, il se contenta d'un petit hochement d'épaule en première réponse, avant d'ajouter sobrement :

Elle est tombée et n'arrivait pas à se relever. Pour les boutons, je ne sais pas.

Oui, parce que s'il n'avait pas conscience des spots rouge vif -enfin, qui seraient rouge vif sans les traces de suie et de cendres- sur son propre visage, il avait bien vu ceux sur celui d'Athénaïs ... qui allaient sans doute prochainement passer à Carmen vu qu'elle l'avait touchée.
Son regard se fit par contre plus plus vif lorsqu'il entendit la suite concernant Aëlys, et il aida au transfert princier de son mieux lorsque Carmen le lui proposa.

Merci, je vais tâcher de la trouver au plus vite.

Votre Altesse, vous feriez mieux de retourner à la surface au plus vite pour faire soigner cette jambe. Ce serait dommage que vous retrouviez avec un genou de vieux.

Oui, ça c'était un brin gratuit - la faute à l'alcool sans doute- mais après l'avoir plusieurs fois taquiné sur son prétendu grand âge, il était assez savoureusement ironique -maintenant qu'ils semblaient tirés d'affaire- que les articulations du chevalier aient tenu le coup quand cédaient celles de la jeune femme.

Sans vraiment attendre de réponse, il s'engagea toutefois dans l'obscurité dans la direction indiquée en reprenant ses appels.

Aëlys !?
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Carmen_esmee.

Sous les bons conseils de Walan, la troupe se remit en route, Bélisaire et Carmen soutenant la taille de la princesse pour qu'elle ne s'appuie sur sa jambe blessée, Alex et Liliana à leur côté, le corridor lui semble interminable, ils tournent légèrement sur la droite, elle n'est pas sûre, par la pénombre son sens de l'orientation est des plus altéré, elle entend toutefois des cris qui lui semble pour le moins lointain et déformés par les échos contre les parois des différents tunnels.

"Prenons à droite."

Pourquoi elle l'ignore, mais elle semble déterminée, son ouïe est plutôt bonne et elle pense avoir entendu le mot "serpent" vers la gauche, elle accélère le pas ce qui arrache un grognement de douleur à la Duranxie.

"Courage, on va s'en sortir.. Alexandre attrape ma ceinture, je veux sentir que tu es là. Liliana, fais s'en autant avec Bélisaire, hors de question d'en perdre un."

Un poil autoritaire, ils poursuivent plus ou moins rapidement dans le tunnel Est, quelque chose passe sur son pied, puis un autre encore.. Et encore.. Elle frappe du pied dans l'un des petits corps qui tenter de s'agripper à sa botte, le couinement et le cliquetis des griffes sur la dalle en pierre, ne fait pas de doute..

"Des rats..!"

On pourrait penser à raison que des rongeurs surement affamés devraient l'effrayer, et c'est le cas, à la surface.. Mais là dans ce souterrain, elle se souvient de ce que lui avait expliqué Gothyra.. Le monstre auvergnat.. "Si tu es dans la mine et que tu vois les rats filer vers la sortie, c'est qu'il va y avoir un éboulement, suit-les..." Ils sentent les vibrations bien avant un être humain, elle frappe le sol de ses talons, espérant que l'écho de ses pas, mimera pour eux ce qu'il faut pour les guider vers la sortie.

A ses compagnons,

"Frappez du pied, et suivons-les !"

En marchant, elle sent une vive chaleur s'emparer de ses joues, et une drôle de démangeaison dans son cou, sa nuque... elle grommelle mais soudain des cris, et quels cris !

"La sortie est là ? Quelque'un m'entend ? La sortie est là !"

Un sourire, et le besoin d'air se fait soudain ressentir, elle presse le pas, ils arrivent au bas des marches, et peuvent apercevoir enfin Chaun dans un rayon de lumière, elle gravit les marches, non sans difficultés avec le poids mort qu'est devenu Athénaïs, Bélisaire acheva de porter la frêle Duranxie dans ses bras. Elle resta avec Chaun au bas des marches, donnant de la voix, pour aiguiller ceux qui n'étaient pas encore sorti.

"Ici, La Sortie est ici, suivez ma voix ! Entendez-vous !"

Elle reste aussi longtemps que possible puis elle rejoindra la surface. La taverne, à l'Ouest avait entièrement brûlé, il ne restait qu'une infime partie de la charpente, le feu diminuait, n'ayant plus rien à dévorer, couplé aux étampois qui l’arrose de grosse gerbe d'eau, faisant la chaîne pour parvenir à l'éteindre au plus vite...

"Seigneur.."

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En deuil de sa Reyne, Alvira

Hersende

Elle avait posé la petite - qu'elle se gardait bien d'appeler ainsi - à terre et lui tenait fermement la main. Toutes deux avaient voulu rebrousser chemin, mais dans l'obscurité, elles s'étaient égarées.
Sentant autour de sa cheville un glissement furtif, Hersende se retint de pousser un glapissement de terreur puis réagit : un animal, un rat sans doute qui fuyait le feu. Pour ne pas alarmer la fillette et avant que celle-ci ne se rendît compte de la situation, Hersende la prit dans ses bras en lui disant :

Attention, le sol est couvert de boue! Je vais te porter dans ce passage.

Des sons, des cris sans doute, leur parvenaient de derrière? devant? du passage à droite? Impossible de le dire avec ce maudit écho! Hersende consulta sa compagne :

Il faudrait rejoindre ces gens : d'après toi, d'où viennent ces cris?

Faute de certitudes, elle s'engagea dans la direction qui leur semblait la plus probable. Apparemment c'était la bonne car le son devenait plus net.

A...i... A... is...

Réconforté par une présence plus proche, Hersende accéléra le pas et faillit trébucher sur le sol inégal des grottes. Mais désormais elle entendait un nom crié:

Aelys!

C'est toi, Aelys? C'est ton papa qui t'appelle? demanda-t-elle à la fillette.
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Walan

Après avoir cherché et crié dans le noir -ou presque-, Walan avait perdu la notion du temps et aurait été totalement incapable de dire s'il appelait depuis cinq minutes ou deux heures. Plus d'une fois, il avait manqué de s'étaler de tout son long en heurtant des pierres du pieds, et il avait évité de justesse de se casser le nez contre une paroi terminant ce qui s'était avéré être un cul de sac. Pourtant, que ce soit à cause de l'alcool secret qui lui imbibait encore l'esprit ou d'un optimisme mal plaçait, il ne s'inquiétait pas. Pas encore. Pas trop. Et puis bon, il n'allait pas perdre sa fille dans une cave souffrant de folie des grandeurs, quand même !

Il continuait donc d'appeler, guettant les bruits entre deux "Aëlys !". Difficile de savoir si ce qu'il entendait alors était réel ou non, et encore plus de quelle direction ça provenait, vu les échos. Et puis, un peu par hasard, il tomba sur une silhouette étrange. Qui vu de plus près s'avéra être une femme portant un enfant. Enfant qui, vue d'encore plus prêt, se trouva être sa fille. Il tendit immédiatement les bras pour la récupérer et la serrer en une étreinte protectrice, tandis que l'exclamation fut cette fois plus soulagée et moins interrogative :

Aëlys !
Tu n'as rien ? Je ne pensais pas que ce serait si grand ici ...

Relevant la tête vers Hersende, qu'il avait sans doute croisée plus d'une fois en Dauphiné mais qu'il ne reconnu pas avec l'obscurité et les traces de fumée et de suie, il eut un hochement de tête.

Merci beaucoup de l'avoir gardée avec vous ... J'imagine qu'il s'agit de trouver une sortie maintenant.

Tâche compliquée, mais au moins ils étaient groupés désormais.
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Hersende

C'est avec soulagement qu'Hersende remit son fardeau à son père. La fillette se laissa faire sans protester et se blottit dans le cou de Walan.

Maintenant, il s'agissait en effet de sortir de ces grottes.
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[RP][Joutes 1467] Animation "A la Tournée Générale"