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[RP ouvert] Rue du lavoir

Jenna
Mais qu'est-ce qui lui avait prit ? Pourquoi avait-elle surréagit comme cela ? Certainement parce qu'elle détestait se retrouver dans une telle situation... Ou plutôt parce qu'elle n'avait pas suffisamment confiance en elle... Elle s'en voulait à elle, et beaucoup plus qu'elle n'en voulait à Ketje.
Après sa vive réaction, les mains sur son visage lui apportait un sentiment de sécurité, de protection, dont elle ne voulait se défaire. Sans ôter ses mains de sa frimousse, elle s'excusa sur un ton beaucoup plus doux :

Je suis désolée, je me suis énervée pour rien et j'ai parlé de manière trop tranchée... Ne prends pas mes paroles trop à cœur, d'accord ?

Malgré cela, Ketje semblait toujours affecté par ses mots, elle l'entendait dans sa voix. Il semblait s'en vouloir et voulait essayer de la comprendre. C 'est la dernière phrase de Ketje qui lui « arracha » les mains qui lui servait de bouclier.

Hein, quoi ? Qu'est-ce qui serai « si fort » ?

Elle ne savait pas s'il voulait parler de son attitude et donc de se qu'elle ressentait ou d'autre chose. Elle avait certainement encore les joues rouges, mais pour l'instant, cela n'avait plus d'importance.

Tu sais, le problème ne viens pas de toi mais de moi ! Je ne sors pas souvent de chez moi, et je suis assez timide alors... dès qu'un homme me fais des compliments ou me fait la cour, je suis très gênée... Il faut que je m'y habitue, c'est tout.

Elle espérait que ces quelques mots réussiraient à le rassurer.
Ketje
Il la regardait de moins en moins étonné, de moins en moins confus, de plus en plus rassuré dirait-on. Quelques souvenirs épars lui revenaient en mémoire. Après tout, n' avait-il pas suffisamment vécu pour arriver à comprendre la si jeune Jenna. Il se serait bien autorisé à sourire de ses dernières paroles... mais il hésitait.Mais elle venait de lui dire ... ah ben il comprenait bien mieux les choses. Quand il se décida, après un long moment où il se contenta de la regarder, de l' écouter, de se lever. Il lâcha son épaule, quitta le dos de sa main et fit le tour de la table et s' accouda juste en face d' elle. Il n' y avait plus de banc de ce côté de la table et il avait posé ses coudes au milieu la table, penché, le menton enfoncé dans les poings, il cherchait son regard.

Regarde-moi Jenna!

Une de ses mains lâcha son menton et se tendit, ouverte sur la table, en direction de la jeune fille... puis il continua.

Ne te fais pas de tourments inutiles! Si tu ne peux supporter, par timidité, qu' un homme te désire ou te fasse de compliments, je le comprends bien. Que tu ne sortes pas souvent de chez toi et ne connaisses pas l' attirance que tu peux leur faire connaître, je le comprends aussi. Que ce que j' ai dit t' aies alors bouleversée, je le comprends aussi mais... Jenna... Que cela t' ai si fortement fait réagir...finis de me rassurer et ...

Il sait bien qu' il n' a plus rien d' un fringuant jeune homme. Il sait bien qu' elle est bien jeune. Mais quand même... il est de plus en plus certain de deviner ... mais deviner seulement. S' il la prend de front, elle pourrait bien s' enfuir, elle pourrait bien s' abandonner, elle pourrait bien... non pas de suppositions, il lui faut savoir! Sa main ouverte se replie doucement pendant qu' il parle. Son poing vit et glisse sur la table vers elle, et de son index, il pointe le côté gauche de la poitrine de Jenna.

C' est là que tout se passe! Dis-moi donc maintenant ce qui se passe sous ce joli sein!
Ketje
[ET DONC BIEN PLUS TARD MAIS DEVANT LA GRANGE QUI SE TROUVE A QUELQUES PAS]

Ils arrivent sur le terrain, la maison est éloignée de quelques pas donc et la grange est là. Ils arrivent... mais qui? direz-vous. Ah ben la brunette Melyna et ketje. Ben oui ils sont partis de la mairie pour une histoire d' échelle à donner, à choisir... bon à sortir de la grange quoi. Et pour que Melyna aille cueillir, lui faut une échelle... et comme ketje en a plusieurs, ben il lui en a proposé une. On suit? On peut continuer? Bon... c' est bien.
Donc ketje arrive devant sa grange et en ouvre la porte. Facile il suffit de tirer sur la corde, ça ferme pas trop mais ça suffit. Il entraîne sa compagne dans la grange. Certes, il ne fait pas très clair, c' est une grange avec tout ce qui faut dedans. Donc, y a du bois... beaucoup de bois dans un coin... pour la forge et la chaumière. Y a aussi un plancher à hauteur d' homme et là y a du foin, plein de foin... c' est pour les vaches. Dans un coin, y a des tas de minerais de fer aussi. Puis tout le bazarre qu' on peut trouver dans une grange, dans tous les coins et heureusement, il en reste que deux... de coins... vous suivez? ^^ Mais y a des murs!!!! Forcément on voit pas tout vu qu' y a le foin, le fer, le bois et le bazarre. N' empêche que sur un mur, juste à côté du plancher qui porte le foin, cinq grandes échelles sont pendues à des crochets. Pas des clous, il est forgeron... donc des crochets!

Veux-tu en choisir une? mais ne prends pas celle qui est la plus éloignée ni la plus proche de la porte.

La porte!!! justement la porte!!! GRIII PLAFFFFF qu' elle fait la porte. Fermée! Ah c' est malin. Il fait un peu plus sombre du coup mais on y voit quand même. Oui une grange c' est pas totalement hermétique... y a toujours une tuile, un trou... bon on y voit quand même. Curieux quand même, on n' a pas dit qu' il y aurait du vent. Les courants d' air ? Pt' êt bin... les coquins diront le pied de ketje qui a joué avec la porte... pt' êt bin aussi.

Ah... c' est idiot, je devais prendre du fer et du bois pour ma forge!

fait le maire faussement ennuyé parce qu' il y voit quand même... je vous l' ai dit.^^
Melyna.
Si l'échelle fut en définitive choisie, nous ne vous livrerons rien sur le temps que mirent ces deux là pour se livrer à un examen minutieux des corps mis en oeuvre pour l'aboutissement d'une oeuvre qui aurait pu se révéler improbable.

Tout ce que l'on en raconte dans le coin, le bouche à oreille des commères valant tout les système de communication du monde (ce qu'on vous a caché c'est que leur nom de famille sont Orange, Free et Bouygues !), c'est qu'il y eu pas mal de raffuts derrière les portes closes de la grange.

Certains prétendent même qu'ils en ont senti la terre trembler !
Ils devaient être un peu marseillais ceux là, mais bon une chose est certaine, quand Ketje et Melyna réapparurent aux yeux du monde, la demoiselle décoiffée avaient les joues bien joliment rosies et le forgeron quelque peu débraillé roulé des mécanique en accompagnant le pas dansant de sa belle.

Un oeil suspicieux aurait ici aisément deviné les petits morceaux de foins qui s'étaient, on se demande bien comment, accrochés à leurs personnes...
Quoiqu'il en soit il semblait bien que certaines choses eurent changées car dès les jours suivant la brune disparu quelques jours pour réapparaître à la tête d'une véritable chargement.

C'est qu'il lui avait pas moins de trois charrettes pour transporter d'Auch à Eauze, tout son barda. Et si la première fila droit vers la grange où les deux gamins embauchaient pour l'occasion s'occupèrent de la décharger, les deux autres s'échouèrent devant la porte du logis.

Se redressant sur le devant de la première, une main tenant les rênes la seconde se portant en visière sur son front pour protéger ses prunelles du soleil, Mely s'adressant à la petite bonne femme qui conduisait la seconde.

Nous voilà arrivées Ortie !

Bougonne comme à son habitude, la petite main, seconde de Mely à l'atelier de couture maternel, ne put s'empêcher de râler.

Pas trop tôt, j'ai le derrière en marmelade avec vos histoires. Pouviez pas rester tranquille à Auch non ? Franchement quelle idée....

Rohhh mais t'as pas fini de râler, toujours à te plaindre toi ! T'as bien de la chance que je sois de bonne humeur tiens.

Comment ne pas l'être alors que la jolie brune aménagée chez son forgeron préféré ? Et c'est qu'il le lui avait demandé qui plus est !
Le pauvre homme ne savait pas à quelle tornade il venait de s'exposer, sans doute le découvrirait il assez tôt.

D'ailleurs Mely droite comme un I cria en direction de la maison.

KETJOUNET !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! J'SUIS DE RETOUR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Mely savait pertinemment que son homme n'aimait pas qu'elle l'appelle ainsi mais sa bonne humeur naturelle la portait à vouloir le taquiner dès son arrivée. C'est qu'elle aimait ça la brune, voir son ours grogner pour mieux le caliner ensuite.
Coquine ? Ben qui a dit cela ? Mais non voyons juste un mini ange !
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Ketje
Donc .. oui donc, la terre a tremblé à Eauze! Quoi, comment, vous le saviez pas? Et ben si... enfin il y a eu des tremblements, pt' êt pas de terre mais quand même. Ah ils vous ont pas tout dit? Ah ben... normal ça, ils étaient derrière la porte de la grange! Fallait regarder... non plus! On vous l' a dit, y a pas de serrure à cette porte, pas de trou de serrure non plus du coup. Ah vous auriez voulu... ben fallait ouvrir la porte hein puisqu' elle a pas de serrure! Et vous en seriez restés pantois... pends-toi aussitôt après vu que tu aurais pris comme un coup d' infériorité quelque part^^ Maintenant qu' on sait qui peut être un marseillais, je vous dis que le tremblement étant passé, le foin leur était apparemment tombé sur la tête. Mais vu aussi qu' ils se font un brin de toilette, les foins disparurent aussi. Puis ils avaient eu le temps de retrouver un teint plus normal avec le temps justement... vous suivez toujours là? ^^

Donc elle.. ben oui quoi Elle... donc elle était allé chercher quelques histoires à Auch... qu' elle avait dit. Quelques histoires... ouais ben... c' est curieux cette manie d' amasser qu' elles ont quand même. Ca fait que les quelques histoires font qu' il faut raser la chaumière du voisin, abattre des murs chez soi, jeter ce qu' on avait si bien rangé nous les hommes! Puis quand leurs quelques affaires sont enfin rangées... elles vous quittent.. heureusement avec toutes leurs affaires et vous vous retrouvez dans un vide puisque vous avez tout jeté. Y en a même qui vous jettent, c' est plus facile... comme vous n' avez plus rien... au moins vous risquez pas d' encombrer un chez une autre au moins. Mais non, l' est pas misogyne ketje, que du contraire il les adore... justement.. donc il les connaît... le croit-il disent ceux qui pensent juste!^^
Qu' est-ce que ça vient faire dans l' histoire tout ça? Rien! absolument rien du tout! Il est payé à la ligne... vous rendez compte!

Et donc lui... ben lui, il est à sa forge. Là on fait un arrêt sur image, ça vous va? Oui faut arrêter de pas savoir ce qu' on fait et de marcher sur les gens assis sur la marche justement!^^
C' est comment cette chaumière? Ben vous voyez la rue du lavoir? Mais ouiii, celle qui est derrière qui est derrière la rue du marché enfin! Non... vous voyez pas? Bon prenez le plan, c' est là! Vu? On peut continuer? Donc c' est au 15 de la rue... à l' angle oui... c' est bien on suit maintenant^^. Côté rue, y a de petites haies. Derrière les haies, une bande de quelques pas où poussent joyeusement des quantités de fleurs. Presque pas d’ herbe ni devant ni derrière la chaumière. C’ est pas qu’ il aime pas, c’ est qu’ il attend une invention silencieuse qui fasse que l’ herbe reste basse… donc .. y a une oie qui vient de temps en temps. Oui une oie.. blanche évidemment… Euh… on ne parle pas de Melyna là. Non pas qu’ elle soit pas une oie blanche.. non c’ est qu’ elle est pas une oie pour le forgeron. On a compris ? Pffff faut tout vous dire hein ! Donc l’ angle de la rue est à gauche de la chaumière. De ce côté, y a bien un passage vers l’ arrière mais y a des noisetiers, des framboisiers et d’ autres choses qui poussent mais on sait y passer vu que de ce côté y a une étable avec des vaches. Me regardez pas comme ça, les vaches c’ est une partie du chauffage central en hiver… là on est au printemps, elles sont au champ les vaches… pas les Mel.. euh non, j’ ai rien dit^^. Donc devant une bande de quelques pas peines de fleurs et de plantes. Y a même une porte en plein milieu de la façade. Vous tournez la tête vers la droite… oui, c’ est bon là ? Au bout de la chaumière, une dépendance attenante. C’ est la forge. Elle est légèrement en retrait et y a une porte latérale qui permet d’ accéder à la chaumière. Puis y a encore un peu de verdure, c’ est pour l’ oie, la bête à deux pattes et au bec pinçant et enfin un peu plus loin la grange. Si vous voulez, vous pouvez donc contourner la forge et accéder au jardin qui est derrière. L’ est bien plus grand lui. Bien sur, y a quelques légumes mais c’ est la tasse de thé de ketje… nan, il préfère les fleurs et les plantes qui s’ éparpillent, colonisent, encombrent ouais ! Y a juste un puits aussi là… dans un espace herbé… toujours pour l’ oie !^^
On verra plus tard pour l’ intérieur de la chaumière… là… les admins me disent que je prends trop de place…/me *sifflotte, les doigts gourds* ^^
Ca y est, tout le monde visualise bien ? On peut enfin avancer un peu dans l’ histoire… parce que c’ est quand même ça qui compte non ?
Donc y a du bruit dans la rue, devant la chaumière à ketje, ci-devant maire de la ville mais ne le répétez pas, certains ne l’ ont pas compris… ce qui est rigolo.
Donc du bruit disions-nous. Mais ketje est affairé à la forge et martèle une hache.. non une épée.. euh… dites pas qu’ il sait pas ce qu’ il fait enfin… c’ est déprimant quoi !!!! En fait c’ est une épée qu’ il martèle. Même qu’ il a lu des grimoires et voudrait faire une expérience mais ce sera une autre histoire. Donc du bruit dans la rue… des vociférations… des criiinnsss criiins de charrettes et tout. Normal pour les charrettes, normal aussi pour les vociférations, ce sont des femmes qui arrivent… ^^ Mais il entend pas trop… vous savez, de nos jours, les bruits de la circulation… enfin vous comprenez non ? Sauf que y a quand même une chose qui le fait surgir de sa forge. Oui la forge c’ est pas un bureau clos, c’ est une sorte d’ appentis… donc, on peut entendre. Et qu’ entend-t-il ?

KETJOUNET !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! J’SUIS DE RETOUR !!!!!!!!!!!!!!

Non inutile de compter les !!!! c’ est pas du cop/col^^… revenons à notre histoire. Heureusement… oui heureusement qu’ il a entendu le « J’suis de retour »… sinon… ah oui sinon, y a comme une lame d’ épée qui se serait transformée en projectile. Et si ça avait été une hache.. ben kif kif mon vieux ! mes vieilles aussi en passant^^. En fait c’ est le « ketjounet » qui le fait réagir. En son soi même et hors de vous donc, le ketje s’ est dit d’ abord « mais qui ? » puis a compris… sauf que ça l’ a surpris. Si fort surpris d’ ailleurs qu’ il en a sursauté et vlan… les lorgnons sont là… tendrement amolissescents sur la chair rayonnante et rougeoyescente de la lame d’ épée, disparaissant en de clairs larmes silicieuses et transparentes pendant que le bois des montures s’ évanouissent en fumées sentant bon l’ olivier. Et que fait un forgeron sans ses lorgnons à son âge? Il abat son marteau sur… son pouce évidemment !

Rongntudjuuuuuuu

Donc il vient à la source… noooon il va pas au puits ! Il va à la voix qui a osé ainsi l’ appeler. Non mais « ketjounet » déjà c’ est pas pour tout le monde hein ! Y en n’ avait qu’ une qui pouvait… voilà qu’ il est bien maintenant ! Si toute la ville commence à l’ appeler ainsi, y a des coups de haches qui seront pas perdus pour tout le monde hein !
Donc il vient voir.. on suit le bon chemin là ? Il a quitté sa forge et va au devant de la chaumière d’ où lui est venu le cri… on va l’ appeler ainsi. Et que voit-il ? Mais noooon pas une oie !!! Ahlalalaaaa enfin je vous comprends puisqu’ il voit un mini ange… bon on vous pardonne la confuse vu que l’ oie et l’ ange sont sensé être ailé^^ … de blanc^^. Il se suce le pouce évidemment. Cherchez pas à vous demander si y a là un problème affectif d’ une liaison mater-filius qui aurait mal tourné ou si c’ est une autre forme d’ invitation à autre chose.. non, rappelez vous qu’ il s’ est écrasé le pouce dans sa forge.
Donc il arrive et voit Melyna. Là me direz-vous, il pourrait bien crier : MELYNETTE…… bien que MES LUNETTES…. serait plus de mise mais ça n’ existe pas encore tout à fait. Donc, il arrive et voit dans la rue une charrette qui va vers la grange ( oui j’ ai oublié de vous dire que dans la haie… y a des portillons… un pour accéder à l’ entrée de la chaumière et l’ autre, plus large, pour accéder à la grange mais elle le savait pas.. donc je fais vite fait des les ouvertures dans la haie, je mets le portillons et je reviens^^) et deux autres charrettes qui sont à l’ arrêt, chevaux éteints ce qui est moins polluants on le sait, devant la chaumière.

Entre deux suçotements de pouce, il parvient à bêler un sublime et intraduisible en langue philosophique :

Mais c’ est quoi ce barda ?

N’ empêche qu’ il est ravi de la voir la Melyna et donc il ouvre les bras pour qu’ elle y saute… ah le bêta… direz-vous ! Pas du tout vous dirais-je ! Non mais vous le voyez accueillir sa belle en suçant son pouce ? Enfinnnnn restons crédible, c’ est une histoire sérieuse là !
Donc… le sixième donc, il est l’ heure de la fe… messe !^^ Donc ketje ouvre les bras en arrivant à la charrette où est juchée Melyna les bras grands ouverts... pas Melyna!!! lui ketje!!!.
Melyna.
Mais où était donc passé les Elusates ? Pas vu un chat depuis qu'ils avaient traversé le village pour rallier la rue du lavoir.

Ketje aurait il organisé une partie de pêche avec sirène à la clé pour le vainqueur ?
Son emménagement leur foutait il tellement les foies qu'ils se terraient au fond de leur terriers ?
Tsssss impossible tout ça ! Si y'avait des sirènes dans la Génisse ça se saurait quand même, et elle .... Ben c'était pas une sirène loin s'en faut mais pas une murène non plus quand même et si parfois elle aboyait un peu fort, elle mordait pas la mini.
Enfin ça dépendait qui et où parce que parfois.... Enfin chuttt vous saurez pas !

Ce fut la fumée s'élevant vers les cieux du toit de la forge qui lui donna la première indication quand à l'absence de son homme.
La main délicate frappa le front d'albatre Mais c'est bien sur !
Elle devait avoir quelques racines d'une blondeur platine quelque fois, où pouvait bien être un forgeron sinon à sa forge ?
Les catins au bordel, la vache au taureau et le forgeron à sa forge ainsi tout était à sa place, jusqu'à qu'une pervenche vienne foutre son boxon avec tout son bordel. Vous noterez que par chance elle a pas emmener le taureau avec elle.

Toujours dressé telle la proue d'un navire échoué en pleine terre à l'avant de la cariolle la main en visière sur dessus de ses cils pour protéger ses pervenche des rayons ardents, Mely regarda son homme approcher en se suçant le pouce.

Rohhhh l'était trop mimi ! Lui aurait elle tant manqué ?
Comment ça elle se fourre le doigt dans l'oeil ? Oui et alors si ça lui fait plaisir de croire encore au Père Noël l'a le droit non ?

Mais c’ est quoi ce barda ?

A peine au pied de la charrette le voilà qui râle et grogne, tout en lui ouvrant les bras. Normal c'est un homme.

Ni une ni deux et ceux malgré les râlements incessant de cette gracieuse Ortie, Mely se laisse tomber telle une plume dans les bras de son homme, les pervenches innocemment agrandies par la surprise.

Ben ce sont mes affaires !

Et oui c'est une femme et qui dit femme dit... Encombrement ! Et étonnement devant cette question pour le moins saugrenue, l'avait quand même pas braqué une mairie sur le chemin voyons.

Coinçant deux doigts entre ses lèvres au coin de sa bouche, la Mini depuis son écrin lance un sifflement en direction des gus qui attendent près de la grange.

Vous pouvez décharger les gars !

Qui a dit que la miss avait été élevé dans les salons à apprendre à faire des courbettes ? Non parce que si vous croyez ça, c'est le votre d'oeil qui se retrouver fourré à ce stade.

Parfaitement à l'aise dans les bras enfin retrouvé de son Ange, Mely qui ne compte pas les quitter de sitôt se souvient malgré tout de la présence maugréante et fait les présentations.

Ketje, voici Ortie, elle me seconde à l'atelier, et ailleurs...
Comment expliquer que cette tête de mule toujours de mauvaise humeur est pu devenir presque une amie ? Même Mely ne le comprenait pas toujours mais une chose était sure elle s'était attachée à la ronchonneuse de service.
Ortie arrête de râler et salue donc Monsieur le Maire.
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Ketje
C' est évident, elle sait trop bien comment l' emprisonner la brunette. "Enfin elle est là" se glisse-t-il entre deux oreilles même si les mots -certains le penseront- doivent peiner pour atteindre un lobe de la compréhension qu' ils ne trouveront que tard.
La plumette brune choit dans ses bras et c' est avec un méga bonheur qu' il se emprisonner dans les pervenches derrière les craquants barreaux ciliesques dont elle sait abuser pour le mener comme elle l' entend.

Ben ce sont mes affaires !

Oui, il a bien entendu! Ce ne sont que ses affaires! Quoi hein? Trois charrettes de ses affaires! C 'est ce qu' il doit se dire en regardant, médusé, le convoi à l' arrêt. Les bras lui en tomberaient bien mais ce serait dommage parce que la plume choirait de même. Et ça, bien entendu, il ne peut le laisser faire. Faut le comprendre non? Heureusement, elle le tire de son hé bé attitude en vrillant les tympans des ceuss qui sont dans le coin avec un sifflement digne de n' importe quel charretier. Normal aussi, elle vient de descendre d' une charrette!
C' est alors que dans la compagnie des gus qu' elle appelle à décharger "ses affaires", elle lui présente une petiote dame. Ortie? C' est un nom ça? doit-il se demander mais non pas du tout. Il a quand même appris quelques rudiments de bienséance bien qu' il se demande où il va falloir loger la suite de la brunette.

Bonjour Ortie.

Voila, ça c' est fait. On ne pourra pas dire qu' il est resté muet le forgeron hein! Donc l' Ortie la seconde à l' atelier... mais de quoi qu' ils causent? Ben de l' atelier où la jolie brunette confectionne plein de petites choses plaisantes et qui lui prend tout son temps^^. Vous voudriez bien savoir hein!!! Et ben cherchez! (voila pour la pub' Merci^^ ). Mais ils ne vont pas rester là sottement à regarder les bougres décharger "les dites petites affaires", il est temps d' avancer. Le bougre de forgeron les invite donc. Il enveloppe sa Melyna par l' épaule.

Viens ma belle, je t' avais promis la forge et j' y étais occupé, ça tombe bien.

Il attend pas lui que les pauvres s' activent au déchargement, il sait qu' elle s' occupera de les activer à sa façon bien à elle. Façon qui lui plait finalement d' ailleurs. Comment ça? Qui a dit doux? Hein?!!!! Ah vous avez dit d' où? Oui mais pourquoi dites-vous d' où? Ah... d' accord! C' est parce que je dit d' ailleurs que vous dites d' où? Vous croyez pas que vous nous compliquez l' histoire avec des questions aussi neuneus là? Mais qu' est-ce qu' on s' en fiche d' ailleurs et d' ici si vous voulez savoir d' où? Bon on reprend s' il vous plaît! Donc, on disait sa façon que finalement il aime bien parce que c' est doux à sa manière à elle. Hinhin... z' avez plus rien à dire là! Euh... on en est où d' ailleurs?
Oui, il a enveloppé les épaules d' un bras qui doit paraître long comme ça!
Comme c' est bizarre ces hommes qui s' imaginent toujours qu' elles sont menues et fragiles alors qu' ils se disent géants, musclor et compagnie hein! Enfin, comme il est normal ils ne s' appellent pas MR Propre non plus pour la simple raison qu' ils sont rarement chauve... on suit toujours là? Non? Normal, laissons donc la parole à notre forgeron qui emmène sa jolie brunette et l' Ortie si elle suit encore^^.

Tu vas voir comme c' est beau le fer qui rougeoit, c' est aussi chaud et fort que....

Trop long ketje... t' es pas habitué à parler une phrase aussi longue toi!
En fait pas du tout... il lui arrive de causer jusqu' à exploser la tête de ceux qui l' écoutent mais là, il a un petit moment de flottement. Et pour cause!
Il s' arrête... d' accord ils n' avaient fait que deux pas. Mais il est vieux donc il doit bien aller doucement non? Pas du tout non plus!
C' est en réalité que maintenant qu' elle est là... ben y s'sent bien. Alors, ben alors, il s' arrête et l' enlace si fort qu' elle pourrait bien être broyée et finit sa très très longue phrase.

..... que l' amour que j' ai à te donner ma p'tite princesse.

Et on s' inquiète pas, ce n' est pas le début d' une longue série en 356074 épisodes à la mode bisounours hein. C' est juste qu' il a envie et besoin de la rassurer. Il y tient à sa mini volcan.
Melyna.
Tout comme ses habitants, le logis semblait avoir plongé dans la douceur d'une longue sieste estivale. Il faut avouer que le soleil qui de son zénith vous brûlait la peau de ses rayons insolent, n'inciter guère à sortir de l'agréable abri de pierre où régnait une douce fraîcheur qu'à la faveur du clair de lune.

Alors là la maison reprenait vie, la table elle aussi sortait prendre l'air avec les propriétaires qui la chargeaient des fruits du verger et des légumes du potager, terrines et paté venaient leur tenir compagnie tandis que les petits futs de bière remontaient de la cave.
Les promeneurs noctambules pouvaient alors entendre les ronronnements de bonheur d'une pervenche nonchalamment installée sur les genoux de son forgeron, les éclats de rire quand tentant de lui donner la becquée elle le taquinait suffisament au point qu'ils finissent par rouler dans l'herbe en de tendre échaffourées, ou encore des bruits d'eau bien étrange...

C'est ce qu'on percevait ce soir là en passant devant la maison.
Haut dessus du toit s'élevait une petite aura de lumière signalant la présence des propriétaires dans l'arrière cours.
C'est que l'ours et sa petite poupée était en train de faire trempette dans le grand baquet prévu à cet effet.

Comme chaque soir depuis que la Mini s'était mis en tête de retourner le moindre caillou Elusate après avoir entendu parler d'anciens combattants ayant enterré des trésors aux alentours, ils étaient revenus couvert de poussière et face à eux l'établi réservé à cet effet, supportait leurs trouvailles.

Xiphois, cuirasses, boucliers et lances séleucide avaient retrouvé leur éclat initial sous les mains des chercheurs.

Confortablement installée contre le torse de son homme, ses cheveux trempés rendu encore plus sombre par l'eau dans laquelle ils étaient immergé, la brunette jouait avec une pièce de monnaie antique trouvé le soir même.

Tu images chéri que tout cela appartenait à d'illustres combattants ?
Les prunelles se perdirent un instant dans les méandres d'un passé inconnu.
Ca me fait bizarre tu sais, on dirait presque qu'on leur donne une seconde vie.

Les grandes et tendres paluches massaient langoureusement ses épaules, l'incitant à la détente quand une étrange sensation tout en bas de ses reins lui arracha un petit rire complice.

Dis donc monsieur... J'ai l'étrange sensation qu'il ni a pas qu'eux qui reviennent à la vie !
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Algonde24
[Longtemps plus tard]

Trop, c'est trop !!! Elle s'ennuyait ferme à la taverne depuis des lustres et elle ne voyait quasiment personne. Elle se doutait bien que les retrouvailles des amoureux pouvaient être longue mais là ça n'avait que trop duré. Il fallait tenter de les sortir du .... enfin de chez eux.
Elle se présenta donc devant la porte , tambourina à la porte en criant

Hey Ho !!! Mely, Ketje vous êtes vivant ? Vous êtes définitivement et irrémédiablement coincé chez vous ou aura t'on la chance de vous apercevoir un de ses jours prochain ?
Ketje
[ En essayant de faire coller tout ça^^ ]

La p'tite pervenche lui ayant un tout petit peu forcé la main, il la suivait dans une quête étrange qui finissait par faire ressembler les alentours d' Eauze à une tronche d' acnéïque en pleine crise. Et bien entendu, tout ce qui se déterrait finissait sur cet établi qui lui ressemblait à plutôt à l' arrière boutique d' un ferrailleur ou d' un marchand de breloques éparses. "Vieux fers, vieux cuivre" auraient-ils pu scander en attendant une impossible vente.

Enfin tout cet ouvrage les couvrait de poussière qu' il fallait bien éloigner... et le puits du jardin de derrière aidait bien à remplir la cuvette où ils s' ébattaient à grand coup de plach plach et autres plaisanteries qui ne vous seront pas décrites...^^ nan mais hoooo!

Il l' écoutait donc, la sentant bien pensive. C' est vrai que cette fouille extraordinaire remontait des entrailles des champs de biens étranges objets.

J' essaie de les imaginer ces illustres anciens dont nous ne savons rien. Tout ça laisserait rêveur.

Rêveur... ben tiens! Mon œil oui! Il rêve pas son grand ours! Faut arrêter de croire aux fables hein! Il pense autant à ces disparus que.... les paluches sur les épaules de la belle qui s' est abandonnée un moment contre lui. Mais vous croyez qu' il pense lui? Allons, un peu de bon sens! Sauf que... bah oui hein... l' est bien vite démasqué le bougre.

Dis donc monsieur... J'ai l'étrange sensation qu'il ni a pas qu'eux qui reviennent à la vie !

Mais qu' est-ce qu' il pourrait bien lui inventer hein? Mais vous croyez que c' est facile d' être ainsi trahi par son soi-même de corps. Non mais, faut le comprendre aussi hein! Imaginez qu' il a passé la journée à la voir piocher dans les alentours... que pendant qu' elle ramasse des objets, lui il la regarde la croupe en l' air ... faut être indulgent! Et le soir elle vient comme ça le titiller, lui caresser le torse de ses cheveux mouillés et tout le toutim... Il va pour lui répondre quelque chose:

Tu....

Et là! Là, juste au moment où chacun s' attend à ce qu' il lui sorte un truc mahousse de tendresse ou autre. Au moment précis où d' autres se disent que ça va enfin devenir plus croustillant.... que se passe-t-il?

Et bien y a quelqu' u qui tambourine si fort à la porte... voila ce qu' il se passe!

Il doit abandonner sa douce petite brunette à regrets. C' est ballot hein. En plus on crie devant... il se décide donc à traverser la maison.

Il ouvre la porte et que voit-il? La tribune! Comment une tribune?

Bon écoutez! Quand on vous raconte une histoire, il faut suivre. Ce n' est pas une tribune qu' il voit, mais LA tribune! Non mais vous croyez qu' il a besoin d' une tribune...? Il est pas encore grabataire à ce point là! D' ailleurs, c' est ce que justement la p'tite brunette vous faisait comprendre^^!

Algonde??? Qu' est-ce qu' il ya? Y a le feu à la mairie?
Algonde24
Ah ben non ils sont pas morts, c'est déjà ça......

Ya le feu à la mairie qu'il lui demande.... Le feu, tiens ça c'est une idée, ça le ferra peut être sortir


Euh oui oui ya le feu !!! Pas à la mairie mais à la taverne municipale !!!! Dépêche toi, ça urge, on est pas assez nombreux, on a besoin de toi !!! Vite vite !!! Ya la vaisselle sale qui t'attend depuis des jours !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Elle éclate de rire avant de reprendre

Bon déjà c'est un soulagement, tu n'es pas à l'agonie ! On commençait à se poser la question avec Girax et Seiléné. On se disait que vous deviez tellement être collé l'un à l'autre que ça vous avait collé aussi au plancher de chez vous !!! Mais je vois que c'est pas le cas, je vais pouvoir rentrer tranquillement chez moi à présent que je sais que tout va bien.
Ketje
"Le feu à la taverne? La vaisselle qui l' attend?" Voila ce qu' il se pense entre lui même et son soi même. Ah mais non! La vaisselle? Mais il est même pas tavernier! Vous ne voudriez quand même pas qu' il fasse la vaisselle alors qu' il ne l' a pas salie non? Puis quoi, t a la tavernière pour faire la vaisselle. Et ça tombe bien, c' est une femme la tavernière et les femmes c' est fait aussi pour faire la vaisselle. Non mais vous croivez pas qu' il va s' abaisser à ce travail qui lui semble leur être réservé tout de même! Ne confondons pas hein... elles pourront toujours attendre 512 ans avant qu' il y mette la paluche à leur besogne! Lui, il compte et elles, elles ménagent. Non mais... faut arrêter de rêver quand même.. mais où va-t-on ????

J' y passerai pour voir si vous avez pas fichu le foutoir Algonde!

Et en plus elle rit... mais on la comprend. Eux restés collés? Ben quoi... ça arrive des fois quand on s' endort après des ébats colle aux terreaux même sur un plancher... on vous l' a dit, ils créent des tremblements de terre à Eauze!

Comme tu vois, je suis bien vivant et elle aussi!

Tiens justement ELLE! Il se tourne vers l' intérieur de la chaumière.

MELYNAAAAA!!!! C' EST QUOI CETTE HISTOIRE DE VAISSELLE QUE TU N' AS PAS FAITE A LA TAVERNE?????

Rhoooo mais laissez-le donc y croire un peu non?
Melyna.
Ha c'était bien lui ça !!!!
Encore en train d'imaginer une catastrophe à sa mairie, le voilà qui sortait du bain plus vite qu'une abeille de sa ruche et qu'il filait trempé comme une moule et aussi nu qu'un ver vers la porte.

KETJJJJEEEEEEEE PRENDS UNE SERVIETTE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Mely s'époumona dans le baquet devenu les quarantièmes rugissants sans savoir si leur visiteur allait s'évanouir sur le seuil de leur porte ou si son homme allait réussir à choper un bout de tissu voir tout un drap au passage.

Laissant la tempête se calmer, la naïade tenta à son tour une sortie, prenant tout son temps pour éviter la gamelle.
Essorer ses cheveux, s'enrouler étroitement dans un grand drap pour pas ameuter tout le village, cela prenez du temps puis trottiner façon Geisha jusqu'à l'entrée pour découvrir par dessus l'épaule du géant la frimousse amusée d'Al.

Oufff elle était encore en vie ! Malheureusement ce ne fut pas le cas d'un de ses pauvres tympans atteint de plein fouet par par le cri de désespoir d'un homme face à la tache ingrate d'un tas de vaisselle à faire.

ASSASSIN !!!!! Tu viens d'enterrer mon oreille interne !!!!
Rohhh ça va on l'a compris qu'elle avait des origines provençales la donzelle et donc une certaine tendance à l'éxagération, mais bon c'est aussi pour ça qu'on l'aime non ? Enfin reprenons.

Et puis quoi ? TA mairie, tu y travaille, TES futs tu les vides, TA femme et hop un grand sourire ravageur, tu en prends soin et ben dans TA taverne, tu fais TA vaisselle. Logique totalement féminine et donc imparable !
Mais bon un grand sourire aguicheur vint atténuer la salade qu'elle venait de lui servir.
Mais si tu le demandes gentiment à Ta petite princesse, elle pourrait bien avoir envie de partager la tache de SON homme...

Et vas y que j'y ajoute un clin d'oeil complice envers Al.
A voir maintenant si la mayonnaise allait prendre....
_________________
Ketje
Comme tu vois, je suis bien vivant et elle aussi!

C' est bien ce qu' il avait dit à Algonde le premier distrait du Comté! Normal qu' elle ne lui ai pas répondu la pauvre. Ben oui parce que si vous avez bien suivi, si vous l' avez bien suivi traversant la maison pour voir qui criait au feu, un autre cri ( on crie beaucoup quand on Elusates au féminin non? ^^ ) donc un autre cri l' avait poursuivi mais il n' en avait pas capté toute l' importance.

KETJJJJEEEEEEEE PRENDS UNE SERVIETTE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Melyna vous dit qu' il est blond et il le prouve, surtout dans cette tenue^^. Que voulez-vous, il est pas pecquenot du côté de Kamelot, ni visiteur dans un futur et c' est donc dans une tenue des plus réduite, voire carrément néante qu' il avait ouvert la porte. Alors bien sur qu' Algonde n' avait pu que constater qu' il était bien vivant... oui.. ouii.... puisque sa p'tite pervenche l' avait remarqué dès avant^^. Bon heureusement que la tribune ne s' était pas enfuie à travers la ville en criant au loup. Nous allons simplement admettre qu' elle en fut réduite au silence d' admiration, bouche bée... enfin, vous comprenez. ^^
Mais il avait pu retourner à leurs activités balnéaire pour entendre sa douce petite princesse crier... encore! Euh... n' allons pas trop vite en besogne là. Elle ne crie pas "ENCORE"!^^

Suit donc l' éternelle et classique litanie des reproches que seule une femme peut adresser à un homme. Nous laisserons donc les hommes fermer leurs oreilles quelques secondes, ils connaissent cela par cœur et les femmes n' auront qu' à se souvenir des dernières phrases adressées à leurs hommes. ^^

Mais sauf que Melyna a le don de la séduction aussi. Mais noooon j' ai pas dit que les autres ne l' avait pas enfin! Melyna a toujours le petit truc qui fait mouche. Pfuiiiit ... envolés les sarcasmes féminins! Il réintègre la bassine puisque lui il a pas fini.

Et à ce moment il se souvient de quelque chose. Ah oui, le beau forgeron blond a des oublis mais il sait se ratrapper. Il lui désigne un objet assez rond qui traine près de la porte à côté d' une pioche.

Tu as vu ce que j' ai découvert sur l' ilôt? On dirait un casque. Je me demande ce que je vais en faire, on dirait du bronze. Je pourrais le fondre à la forge non?
Algonde24
Réduite au silence, c'était rare mais c'était effectivement arrivé.

Elle mit un long moment avant de se reprendre et se contenta de sourire à Mély qui apparut sans tarder derrière le maire.

Alors retrouvant soudain sa tête, elle répondit, tout en gardant les yeux vers le ciel. Il ne faudrait pas que Mély pense qu'elle lorgne sur son homme non plus !!

Bon ben je vous laisse régler cette histoire de vaisselle entre vous. Désolée de vous avoir dérangé et ....... je pense qu'on aurait besoin de plus de tisserand à Eauze


Sur cette tirade , elle fila rapidement de peur de prendre la pioche ou le truc posé à côté sur la tête
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