Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Combien pour la catin?

Lorrick
C'est derniers temps la vie n'avait pas épargné le blond. La culpabilité l'avait ronger et il c’était renfermer sur lui même. Plus aucun signe de vie d'Elise.. Et Valentine ne lui en donnerais certainement pas, donc il n'avait pas oser lui écrire, mais il pressentait que quelques choses c’était passer.. L’instinct paternelle peut être. Il n'avait pas non plus osé rentrer en périgueux, une façon peut être pour lui de ne pas voir la réalité en face et pouvoir espéré que sa fille allait bien. Par moment on préfère ce voiler la face... Et c'est ce qu'il faisait.

Mais après des mois de solitudes, il avait décider de reprendre une vie normal.. Enfin normal tout est relatif et pour lui ça commencer par les femmes. Des mois qu'il n'avait pas touché un corps et pour le coureur de jupons qu'il était, c’était un exploit.
Donc c'est en toute logique, il avait rejoins la ville de Montpellier.. Ce n’était pas son genre de faire dans la facilité, les femmes il préférait les séduire et les mettrent dans son lit de leurs plein gré, mais vu la situation, il n’était pas sur d'arriver a faire ça convenablement et si il devait encore attendre, il allait imploser!

C'est donc comme ça, qu'il ce retrouvait en cette instant, accoudé a un comptoir miteux dans l'espoir de trouver une fille facile, qui rentrerait un minimum dans ses critères. Quitte a y mettre le prix autant qu'elle soit a son gout, parce que dans ce genre de métier des moches, il y 'en avait un paquet!

Il regarda autour de lui et haussa les sourcils de déception, son regard se reposa sur sa choppe, qu'il n'a pas encore touché, ses phalanges enserre un peu plus le bois.


Tu cherche des filles de joies?

Il tourna légèrement la tête vers son voisin qui c’était franchement retourner vers lui, il avait l'air si désespéré que ça, sincèrement? Est ce que ça ce voyait qu'il était désespérer? Il s’apprêtait a lui dire d'allait profondément ce faire mettre, mais il ce ravisa. Oui il était désespérer a ce point et lui qui aimait la solitude, ce dit que de la compagnie même d'un poivrot qui sentait le mauvais vin, était mieux que rien. Il acquiesça en silence.

J'en connais une! Une jolie! Un corps a faire bander un eunuque!

Il haussa un sourcil et se tourna un peu plus vers l'ivrogne, qui semblait presque en baver, il en était presque mal a l'aise pour lui. Il approcha sa choppe de ses lèvres, tout en se replaçant face au comptoir, dans l'espoir que son voisin comprenne que ça ne l’intéressait pas franchement.

Je peux t'indiquer ou la trouver... On de devrait pas passer a coter de cette fille la! Une jolie rousse comme ça, on en voit pas souvent...

Il avait réussi a attirait son attention, c’était le pécher mignon de Lorrick, les rousses.. Pourquoi pas ce laisser tenter, il n'avait rien a perdre. Au pire des cas, si il ne ce le sentait pas, il lui suffirait de quitter les lieux.

Dans qu'elle bordel je peux la trouver?
Elle ne travaille pas dans un bordel. Elle fait ça dans une chambre d'auberge.
Et donc.. ou est ce que je peux la trouver dans ce cas?
L'auberge a l'entrée du village, elle y loue une chambre. Tu ne peux pas te tromper c'est la premier en haut des escaliers. Suffit que tu t'y rende, si elle n'a pas de client, elle t'ouvrira.


Lorrick fini sa choppe d'un trait et se leva, ce qui surpris légèrement l'ivrogne, mais il n'avait pas envie d'attendre et de continuer cette discussion avec Mr sac a vin. Il fit un léger signe de tête en guise de remerciement et quitta les lieux.

L'air a l'extérieur c’était réchauffer en vu des beaux jours, il traîna les pieds, prenant la direction indiqué et ce retrouva rapidement devant l'auberge en question, il n’était pas franchement habitué a faire ça, mais il y avait un début a tout. Comme le lui avait dit l'ivrogne, il poussa la porte et grimpa les escaliers sans même un regard a l'aubergiste. Il devait être habituer au aller et venu.
Une fois arriver devant la porte, il colla son oreille a celle ci pour voir si il entendait des bruit a l'intérieur, il serait d'autant plus gêner, de déranger qui que ce soit durant une passe. Rien. Il inspira profondément, il toqua trois coup a la porte et c'est a ce moment précis, qu'il ce demanda ce qu'il foutait la.

_________________
Lylie_blanche
Montpellier, cela faisait déjà quelques jours que Lylie y avait trouvé refuge. Une halte après quelques semaines de voyage afin de l'éloigner de la capitale. On lui avait dit que la côte était vivante, que l’atmosphère y étaient moins putride et oppressant qu'à Paris, que l'air de la Méditerranée soulageait même quelques maux propres à la capitale. Pourtant force est de constater que son périple avait un coût et que cette halte se muait sournoisement, en nécessité.

Ainsi donc, elle avait dû sacrifier quelques écus pour louer une chambre d'auberge, au cœur même de la ville aux mœurs légères. Le baquet qui trônait au milieu de sa chambre à Paris était remplacé par une modeste vasque et l'armoire dans laquelle ces effets étaient entreposés, avait vu sa taille, réduite de moitié. Pour renflouer sa bourse et reprendre rapidement les chemins, Lylie se devait de sacrifier ce confort et ses habitudes. Un mal nécessaire.

Au cœur même de cette ville, connue pour ses vices, il ne fallut que quelques jours que pour la nouveauté suscite quelques attraits. En effet, là était le principal atout de Blanche, en dehors de ces courbes et sa chevelure cuivré, que d'autres femmes de petites vertus partageaient déjà. Néanmoins, il n'était pas aisé d'imposer à certains habitués, l'art de courtiser. Blanche avait été façonnée ainsi, même si le bordel qui avait acheté sa vertu n'était pas d'un grand standing. Dès son plus jeune âge, on lui apprit à séduire, suggérer, jouer, à entretenir le désir et à converser pour susciter l'esprit plutôt que la chair. Pourtant, Lylie avait appris à ses dépends que sa condition et son indépendance nouvellement acquise avaient un goût amer, douloureux. De celui qui laisse des marques, humilie, endolorie les chairs et suscite l'appréhension. C'était peut être, cette insécurité, ces travers qui l'avaient conduite à présenter sa candidature à l'Aphrodite et à se rapprocher malgré elle, de ces établissements aux reflets de cage dorée.

Face à son miroir, la vasque à portée de main, elle rafraîchit son corps et s'offre une toilette irréprochable. Une habitude également héritée du bordel et de ces règles intransigeantes et oh combien, vitale pour une une courtisane. La chevelure est brossée, les lobes ornés de ce seul bijoux offert par un ancien client, à savoir des boucles d'oreilles en nacre et pour parfaire la panoplie, elle enfile ses bas, les noues aux cuisses avec un ruban noir et revêt sa traditionnelle robe verte, qui marque aussi bien sa taille que la courbure de ses reins. Lylie n'est pas une femme aux charmes indéniables ou au teint parfait comme ces femmes que l'on peut parfois croiser dans certains endroits de la capitale. Non, Lylie avait pour elle, cette simplicité commune mais néanmoins appréciable.

Concentrée sur ce qui se passe au delà de la fenêtre, elle est sortie de sa torpeur lorsque la porte est frappée. Nul doute qu'il s'agissait là d'un client, Lylie n'avait pas les moyens de se payer, une femme de chambre. D'un geste réflexe, elle pince ses joues pour leur rendre leur teinte rosée, mordille ses lippes pour les gonfler un peu et s'avance jusqu'à son bureau pour saisir cette huile aux parfums de pêche et d'abricot. Une goutte est ainsi posée entre ses monts, dans le creux de ses poignets, à l'intérieur de ses cuisses et enfin, derrière ses oreilles. Un conseil, offert par une courtisane réputée de son ancien bordel...Qui avait su par cette ruse, envoûter quelques clients fortunés.

La porte est ouverte et c'est d'un hochement polie, qu'elle invite l'homme à s'avancer. Inutile de demander la raison de sa venue. Celle-ci était évidente. D'un geste, elle l'observe, le détaille discrètement alors qu'elle se rapproche du bureau et s'empare d'une bouteille de vin et d'un godet.

Je vous en prie, mettez-vous à votre aise, messire. Désirez-vous, un verre ? Le sourire s'étire, léger bien qu'un peu espiègle alors qu'elle s'apprête à le servir. Cet instant-ci, était de loin son préféré, celui où client et courtisane s'apprivoisent, se jaugent. Celui où, il lui faut surtout faire montre de prudence et de précision pour déceler l'intérêt, le vice...Et à ce jeu, les hommes étaient toujours à même de réserver des surprises, une fois l'accord conclu et payé. Lentement, elle l'observe donc, détaille la chevelure blonde, la barbe peu entretenu et ce charme certain qui pourtant, lui semble être négligé. Des azurs bleus marqués par l'envie, ou peut être un reste d'ivresse, qui sait...Quant à la suite, il était encore trop tôt, pour parvenir à quelques conclusions hâtives que ce soit.

Vous pouvez m'appeler..Blanche. Et vous, dites-moi..Comment puis-je vous appeler ?

_________________
Lorrick
Quand la porte s'ouvre il reste un instant sur le pas. Détaillant la jeune fille qui semble avoir l'age de sa propre fille. Étrangement ça aurait pu le dérangé, mais ce ne fut pas le cas. Après tout il n'y avait pas franchement d'age pour commencer dans ce milieu. Peut être que si la gamine avait eu quelques années de moins, il ce serait rétracter, mais la c’était correct.
Elle avait un jolie corps qui semblait avoir pris forme il y a peu. Un jolie minois pas exceptionnelle mais jolie.
Il s'avança, quand elle l'invita a entré, c’était franchement pas son truc ce genre de choses.. Il préférait vraiment la satisfaction de mettre une femme dans son lit de son pleins gré. La c’était trop facile et ça perdait de son charmes, mais maintenant qu'il était la.. Il n'allait pas non plus faire marche arrière.
Il s’avança dans la pièce impersonnelle. Il regarda les alentours, cette chambre ne ressemblait absolument pas a la jeune fille, fade et inintéressante. Ce qui pour lui faisait un peu plus perdre du charme a la situation.
Il n'avait pas encore dit un mot, quasiment pas jeter un regard a la jeune fille et il s'en surpris lui même.


- Je vous en prie, mettez-vous à votre aise, messire. Désirez-vous, un verre ?

Dans des conditions pareil c'est pas un verre qu'il lui fallait mais la bouteille. Il hocha poliment la tête et se permit un second coup d’œil quand elle ce retrouva de dos. Cette fois ci, il ne se gêna pas, détaillant chacune de ses courbes a travers le tissus, de jolie fesses ronde sur lequel, il n'en doutait pas, il serait agréable de posé les mains, son regard coula sur elle jusqu’à ce qu'elle ce retourne, rapidement son regard se reposa sur les azurs. Elle devait voir passer toute sorte d'homme, des moches, des gros, des pervers.. mais étrangement malgré tout ça, il était gêner de la regardait si franchement. Ces mois d’abstinence ne l'avait, clairement pas aidé et il en avait la preuve aujourd'hui. Qu'est ce qu'il pouvait en avoir en foutre de ce que pensait une catin de lui? Et bien étrangement la, tout de suite, ça avait de l'importance.

- Vous pouvez m'appeler..Blanche. Et vous, dites-moi..Comment puis-je vous appeler ?

hm.. Blanche, c'est un jolie nom.. Lorrick.

Il ce rapprocha d'elle et pris le verre qu'elle tenait dans ses mains, sans même lui demander quoi que ce soit, il le vida d'un trait avant de replonger ses azurs dans les siens. La proximité de la jeune femme lui donna envie d'autre choses qu'une simple parti de jambe en l'air. Il avait tout a coup envie de changer les règles du jeu, faire ça de cette manière, ça ne l’intéressait pas. Ce qu'il aimait c’était les défis et malgré l'envie qu'il avait de relever sa robe, pour venir claquer son fessier et voir la trace de ses doigts rougir sa peau blanche, le blond voulait y rajouter un peu de piment.
Un leger sourire étira ses lèvre, Lorrick lui tendit son verre vide. Il doutait qu'elle est déjà entendu ce genre de demande, ce qui étira un peu plus son sourire. Il quitta sa proximité et ce mit dos a elle, alors que ses mains, viennent se rejoindre dans son dos.


Combien prenez vous pour me parler de vous? Pour discuter? de tout, de rien..

Oui, il allait changer la façon de faire. Il voulait que la jeune fille ce donne a lui, d'elle même et même si ça prenait du temps, il arriverait a ses fins. Il la mettrait en confiance, il l'apprivoiserait, la ferait ce sentir belle autrement que part ses charmes et nul doute qu'au final, elle aurait autant envie de lui que lui n'a envie d'elle. Oui, Lorrick était quelqu'un de sur de lui, mais ne risquer t"il pas de ce prendre a son propres jeu.
_________________
Lylie_blanche
Désir

Le salue d'un hochement de tête, poli alors qu'elle découvre son nom et sa capacité à descendre, rapidement, un verre de vin. Le sourire s'étire taquin alors qu'elle lui remplie de nouveau ce dernier. Elle le détaille à son tour, sans ménagement, sans pudeur même si cela revêt plus de la prudence que d'un subtil jeu de séduction. Jauger était primordial, tant pour espérer capter les désirs de son client, que d'en deviner les vices. Désormais loin d'un bordel, de la protection que ce dernier pouvait lui apporter en cas de difficulté, Blanche se devait d'être plus perspicace, plus à l'écoute de ces gestes, de ces attentes afin de s'assurer, un moment vide de tout maux.

L'homme semble prendre son temps. Il se positionne derrière elle et avoue ainsi une envie particulière, loin de toute précipitation. Ainsi donc, Lorrick ne souhaite nullement s'adonner à un plaisir, dit simple, cela tombait bien, ce n'était pas sa façon de procéder. Courtiser était une façon de faire, particulière, où la mécanique des corps s'avérait être obsolète, secondaire. Susciter l'envie, le désir, travailler le plaisir...Blanche n'était nullement pressée.

Lentement, elle se retourne pour faire face à cet homme qui la surplombe. Les azurs aigue-marine se portent aux siens tandis qu'elle s'empare de sa main mâle. D'un geste posé, mesuré, doux, elle glisse le verre de carmin entre ses doigts avant de le conduire jusqu'à sa couche pour l'inviter à s’asseoir, à se mettre à son aise. La concernant, elle vient s'agenouiller derrière son échine, laissant une main se nicher contre la nuque masculine pour y abandonner une caresse, une pression. Le temps était quelque chose d'agréable, surtout dans ces moments-ci. Elle peut ainsi chercher à le détendre, à l'apprécier outre mesure et s'assurer de mieux le satisfaire.

La seconde dextre se rapproche de sa voisine. Posée contre la nuque mâle, elle entame quelques pressions circulaires du bout des doigts, s'éloignant à la racine du cuir chevelu pour s'échouer contre les épaules et les omoplates. Délicate, patience, elle laisse son parfum d'abricot envelopper son hôte tandis que sa douceur se perd à l'orée de sa peau. Elle découvre la musculature sèche et entretenue de Lorrick, ce teint hâlé et malgré tout, ces quelques nœuds qu'elle cherche à détendre pour le soulager.

La discussion fait parti de l'échange, des attentions que je vous porte Lorrick. Mais la véritable question..est.. Aussitôt le visage vient à se pencher l'oreille mâle. Un souffle discret s'y perd, sensuel, voluptueux mais néanmoins indécent alors qu'elle approche ses lippes du creux de son oreille. De savoir si vous souhaitez que je vous narre mon histoire, entre deux soupirs et quelques sourires complices..En vous laissant ainsi découvrir ma peau, mes gémissements..ce plaisir qui peut être échangé ou bien vous être adressé..sans retour..

Lentement, elle vient mordiller le lobe de son oreille avant d'y abandonner un autre souffle, perfide, comme une tentation à moitié avouée, volontairement abandonnée. Raconter son vécu, échanger, apprendre connaître son autre était agréable, mais plus encore si la chair s'accordait aux paroles.. pour tantôt animer, interrompre ou accentuer chaque mot..

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)