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[RP - FlashBack] Il était une petite Donzelle et un Gaillard

Lazaryus
Il travaillait pour l'un de ces homme bourgeois, donc seule eux ont le secret de leur fortune, ces hommes trop riches qui balançaient leur argent pour des choses bien futiles au regard de ce brave homme qui à passé sa carrière militaire à combattre pour ces mêmes personnes qui ce chamaillaient un bout de terre.
Les traumatismes de cette époque restait profondément ancré dans son être ce qui le perturbait bien souvent.
On l'avait embauché il y avait quelque semaines pour garder une môme, enfin pour lui c'était une enfant, à a peine 13 ans, on ne connais pas encore grand chose de la vie.
Du haut de ses 21 ans, il en avait déjà trop vue de la vie et de ses horreurs. Il faisait rédemption de cette vie en ayant été embauché en tant que simple garde, il voulait s'éloigner de ces horreurs. Ici il trouvait une vie bien plus tranquille, il faut dire que de surveiller une jeune fille était plus reposant que de combattre multitude d'autres soldats.
Du moins, c'est ce qu'il songeait, jusqu'alors il n'avait pas encore eu trop grandes difficulté face à cette demoiselle car le père ne le lui avait pas e'core presenter, préférant en premier lui lui faire connaître les lieux où il travaillerait et logerai, et le riche père qu'elle avait était loin d'être bien agaçant dans ses ordres. On pouvait donc dire que ce cher Lazaryus avait une vie plutôt reposante et appréciable, et il ne s'en cachait pas !

Ce jour là il ce trouvait dans les jardins familiale, à cueillir quelque fleurs qu'il aimerait offrir à la cuisinière, afin qu'elle fleurisse ses cuisines, car ce cher Lazaryus, avait une âme quelque peut romantique et il aimait les lieux fleurit, cela lui redonnait les vieux souvenirs où il était marié à sa magnifique femme. Il s'accrochait à ces doux souvenirs, car sa disparition fut bien moins douce ... Cela il le gardait enfouis profondément en lui, dans le côté sombre de son âme.
Il ne cherchait pas à prendre nouvelle femme, non, il profitait des simples petites choses que lui offrait la vie, et aujourd'hui c'était ces belles fleurs champêtres, aux milles couleurs.

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Alyssa...

[Marseille, 1463]


    Une gamine, voilà comment elle avait dû être vendu au sombre crétin qui allait devoir lui servir de chaperon, le pauvre bougre ne supposait pas à quel point le contrat qu'il venait de signer avec le père de la "petite" ne serait d'aucune façon une sinécure.
    Déjà quelques jours que le dénommé Lazaryus avait pris ses quartiers dans la bâtisse bourgeoise de la famille, et rien ne semblait présager qu'on daigne enfin les présenter, pourtant il en était une qui n'avait pas perdu une miette de l'arrivée de son futur garde du corps comme l'avait nommé sa nourrice.

      Garde du corps... ah oui ?

    Pas un mot de plus n'avait filtré, mais sous les cheveux dorés, déjà le mécontentement de se voir attribuer un garde-chiome la rendait folle de rage, mettant en branle en imaginaire exponentiel pour pourrir la vie de son nouveau souffre-douleur.
    N'était pas la fille "de" qui voulait et n'était pas elle qui le souhaitait.

    Quand tout lui était offert, tout lui était apporté à peine demandé, comment pouvait-on penser qu'après la perte de sa mère, la capricieuse invétérée verrait à se calmer ? Une excuse en béton pour tous les faire plier, pauvre petite orpheline, effondrée d'avoir perdu sa maman.
    SI la chose était vraie et le chagrin véritable, en tirer parti était par contre tout à fait logique et envisageable, ayant pu assister aux magouilles familiales, vu les différents sbires de son père plus qu'à son tour pour rendre rapport, ou fomenter coup pendable.

    Mais là tout de suite, Papa ne paierait pas encore l'affront, son nouveau jouet avait toute son attention, et sans nul doute aiderait, de plein ou contre son gré, à obtenir réparation de l'injure.

    Postée derrière la fenêtre de sa chambre, le regard bleuté rivé vers les jardins observait l'homme, et de toute sa stature de jeune femme, parce que oui, à son âge, on était déjà une femme, bien sûr, les chambrières du domaine, tout aussi jeunes qu'elle, troussées et engrossées par les employés "spéciaux" de son père en était bien la preuve d'ailleurs.
    Bref, derrière la vitre, le dédain dans les azurs, une mèche couleur des blés fut repoussée derrière l'oreille et l'impatience passa dans la crispation de sa mâchoire, elle en avait assez d'attendre, patience n'était pas vertu pour la peste blonde.

      J'ai soif, va me chercher à boire, maintenant !

    Pas d'attente, la servante savait qu'il ne faisait pas bon jouer de la patience divine, et à peine sortie, Alyssa avait pris la tangente pour rejoindre elle aussi les jardins, et s'est donc vêtue d'une robe aussi bleue que ses yeux l'étaient, légère au vu de l'été affirmé, presque éthérée, que la jeune fille-femme, avançait vers la prochaine victime de sa toute-puissance capricieuse.

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Lazaryus
Il ce régalait à cueillir, accroupit, comme un grand enfant, les fleurs, chantonnant dans sa barbe, presque inaudible si on ne ce penchait pas au dessus de son épaule pour l'entendre.
C'était un air que sa femme chantonnait souvent lorsqu'elle travaillait dans les champs.
L'aire était doux, et le soleil chauffait doucement sa peau, aux seuls endroit où elle n'était pas recouverte par son armure de cuire ou un quelconque tissus l'habillant, ce qui représentait en général ces mains, son cou et son visage, tout le reste étant parfaitement recouvert.
Sa main commençait à être totalement encombrer par toutes les fleurs qu'il venait de cueillir, alors dans un petit sourire et une expression à lui
"Voila un bien beau bouquet pour une salle pleine de charme" Il ce releva doucement, faisant ainsi craquer ses genoux longuement rester plier. Le guerrier coucha le bouquet dans son avant bras pour qu'aucune fleurs ne s'échappe le temps du trajet jusqu'aux cuisines, mais lorsqu'il ce retourna il tomba nez à nez devant une jeune demoiselle aux jupons bien voluptueux et léger, et c'était avec un étonnement certain qu'il l'observa, en premier lieu en silence, les sourcils relever en arque de cercle presque parfait.
Puis, il fallait bien nourrir sa curiosité, et il fallait dire qu'il y avait du monde dans ce domaine, et il en rencontrait des nouvelles chaque jour ! C'est donc avec simplicité, et sans grande diplomatie qu'il lui demanda son nom.


Vous êtes ?

Il était un guerrier, on ne lui avait pas appris à faire les courbettes et tour de jambes pour saluer qui que ce soit. C'était donc, fixe comme une statue, le bouquet dans son bras qu'il la regarda, attendant avec patience le matricule de cette jeune personne.
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Alyssa...

    "Vous êtes ?"
    Elle est blonde, elle porte de belles étoffes, elle est jeune même si arbore déjà des formes femmes qui demandent encore à s'épanouir davantage, elle est ? elle est ?

    La réponse se fait attendre alors que le regard bleuté, détaillait d'un peu plus près la trombine de celui qu'elle allait devoir se coltiner au quotidien, cicatriciel, quelle idée de se laisser abimer, et elle toise du regard.
    Oui, on peut être plus petite, parce que forcément elle l'était, et toiser quelqu'un en l'inspectant de pied en cape, mais là c'est le bouquet de fleurs au creux de sa main qui captiva ses perles d'eau, une longue inspiration l'aidant à se calmer.
    Ce pillard venait de cueillir dans les parterres de fleurs de sa défunte mère, aucun respect et une raison de plus de vouloir lui pourrir la vie et le soumettre à sa volonté, comme un rien elle aurait répondu "ton pire cauchemar" à sa question mais...

      Peu importe, on nous présentera bien assez tôt... appelez moi Al en attendant ça ira bien.

    Lentement une main vint caresser la corolle d'une des fleurs que sa mère chérissait tant, elle qui détestait qu'on les tuent en les coupant pour en faire des bouquets devait se retourner dans sa tombe encore fraiche, le contact velouté des pétales caressant le bout de ses doigts fins.
    Mais la teigne n'en dirait rien, il était de toute façon trop tard, et puis prendre à revers le gaillard d'entrée de jeu ne serait qu'un mauvais calcul de sa part, ne jamais abattre toutes ses cartes, surtout quand celles de la proie étaient méconnues.

      Elles vont se dessécher plus vite que vous ne les aurez cueilli si vous n'allez pas les mettre dans de l'eau immédiatement.
      Nous sommes en été et en Provence, il ne faut pas attendre.
      A qui les destinez vous ?

    Bleutés interrogateurs relevés sur Lazaryus, le corps se mit à pivoter pour voir à rejoindre la demeure, le laissant la suivre de près quand la démarche se faisait précise, directive, regard en coin observant l'outrage à sa liberté, marchant dans une lenteur toute calculée afin d'en apprendre plus sur son nouveau jouet.

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Lazaryus
Peu importe, on nous présentera bien assez tôt... appelez moi Al en attendant ça ira bien.

Voici bien une drôle de réponse, ce qui mit la puce à l'oreille du gaillard, habituellement une personne de la maisonnée ne s'arrêtait guère à des devinettes, ce genre de chose était plus exploité à des têtes mieux pensantes. Un petit plissement des yeux pouvait indiquer à la demoiselle qu'il était en pleine réflexion, loin d'être bête, il pouvait paraître un peut naïf sur les bords. Pour ne pas vexer la demoiselle, il fit un hochement de tête pour confirmer que le message était passé. Par ailleurs elle ne lui avait pas demander son propre matricule, petit autre indice qui indiquait qu'elle devait surement le connaitre, mais ce n'est pas pour autant qu'il s'exprimerait sur sa personne, par pur fierté personnelle, même si il travaillait pour des personnes fortuné, il avait tout de même son honneur.
Il l'observa caresser l'une des fleurs qu'il tenait dans son bras, observant avec attention ce geste qu'elle portait à ces simples fleurs qu'il venait de cueillir sur le parterre.
Voila maintenant qu'elle lui demandait d'aller les mettre en eau, la prenait il déjà pour un abrutit en armure sans cervelle ? Un petit froncement de sourcils, les stéréotypes on la vie dure, mais il prouverait que même en armure, il a de la jugeote, si, selon ce qu'il pensait, il était amener à la côtoyer régulièrement. Prenant le pas devant lui, elle indiquait par ce geste le chemin à faire, mais savait elle au moins là où il souhaitait aller ? Certainement pas vue qu'il n'avait pas encore eu l'occasion de lui répondre, à la place il tira l'une des fleurs de son bouquet, et en prenant le pas et la rejoignant, la lui tendit.


Je suis adepte à tout type de terrain, mademoiselle Al, et particulièrement aux régions chaudes.

Il lui lança un regard qui voulait lui dire "Et Toc !" Pour sur il connaissait ces régions chaude, il avait vécue une bonne partie de sa vie, au près de sa femme dans le Béarn. Alors les plantes et la chaleur, il connaissait particulièrement bien, sa femme lui ayant appris toutes ces petites choses à savoir pour tenir un bouquet vivant le plus longtemps possible. Il suivait la demoiselle sans broncher d'avantage, observant là où elle désirait l'emmener.
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Alyssa...

    Voilà ça y était, tout juste trois phrases échangées et déjà elle le poussait à réfléchir sur le pourquoi du comment, mhm, peut-être pas si benêt qu'il en avait l'air finalement, à voir.
    En tout cas assez malin pour comprendre que si la petite blonde n'avait pas demandé son nom ce n’était pas pour qu'il lui donne, à ça deux options, petit "a", elle le connaissait déjà, petit "b", elle n’en avait rien à cirer.
    Même si au final la bonne option était le petit "ab" elle le savait et s'en foutait royalement, mais... prendre le sbire de son père dans le sens du poil et se faire velours avant de planter ses crocs dans la chair tendre.
    Oui c'était elle la plus jeune, et alors ! Ne jamais se fier aux apparences, jamais.

    Une fleur offerte, pour un peu ça aurait presque radoucit Alyssa, un sourire léger naissant sur ses lèvres, franc pour une fois de se voir offrir ce que sa mère avait pris tant de soin à faire pousser.
    Mais c'était sans compter le petit regard sournois qui avait accompagné, la phrase somme toute anodine, mais bonne figure serait faite alors qu'elle fit rouler le végétal entre ses doigts pour la faire tournoyer en la sentant.

      Vous ne m'avez pas répondu.
      A qui les destinez-vous ?

    De la suite dans les idées ?
    Oui sûrement. Mais surtout elle avait posé une question et la teigne entendait bien qu'on lui réponde, stoppant son pas, le visage adolescent se redressa légèrement pour pouvoir fixer du jeune homme, détaillant au passage le regard sans foncièrement s'attarder plus que nécessaire.
    C'est qu'il était bien gentil à se la jouer mystérieux, mais s’il ne lui disait pas comment elle pouvait deviner où aller, la peste avait bien des qualités, mais ouiii, mais pas encore celle d'être devin.

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