[RP]Le soleil se lève au Levant...

Batonnoir

Merci de respecter les règles du RP.

La marche forcée allait bientôt prendre fin car les hommes commençaient à fouler la terre d'arrivée. Passer la savane de l'Orient ne fut pas chose aisée tant la chaleur se faisait écrasante, étouffante voire carrément insupportable en ces mois de chaleur intense. Mais les vivres ne manquaient pas pour l'instant, et il ne fallait pas se soustraire à la mission lancée par les dieux à Tlaxcalla. Une folle avait insulté par ses actes et paroles la Seigneurie, et il se devait à cette dernière de répondre en conséquence. Les dieux pouvant prendre ombrage à tout instant d'un manquement dans les devoirs de l'homme à leur égard.

Alors que le soleil se levait, des esclaves aztèques purent commencer à discerner quelques plumes hautes en couleur sortir des cols. Rapidement, ce ne furent pas une ou deux plumes, mais plusieurs dizaines qui avancaient, inexorablement. Coyotes, Ordre obsidien, guerriers claniques...Tous étaient là, pourfendeurs des ennemis du polythéisme et de la liberté. A cette vue, les esclaves aztèques prirent leurs jambes à leur cou et s'enfuirent se terrer quelque part.

Bonnes ou mauvaises intentions? Nul ne pouvait dire ce que voulait Tlaxcalla en ce moment précis. De toute manière, là n'était pas le plus important. Il fallait avaler quelques chose avant de continuer la marche...
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Totophitopec

Totophitopec s'été levé tot se matin, des rêves avaient dérangé son sommeil, des rêves trés puissants.
Il s'activa immédiatement au rangement de sa hutte, replaça quelques affaires qui trainer ça et là, aprés sa toilette il parti pour cette nouvelle journée avec seulement sa nourriture attaché sur son dos à sa sarbacanne.

Cela faisait déja une bonne heure qu'il marchait en direction du nord.
Le jeune aztéque gravit une petite colline où il savait qu'il se trouvait une variété de baie commestible et de saison.
Aprés avoir enveloper les fruits dans une feuille de bananier et tenu fermé avec une finne lianne d'herbes hautes, il s'assie en regardant le levé de soleil, le sentier menant a son clan en aplong de sa position.

Alors que le soleil éffleurait la grande montagne au loin et essayé de la dépassé, le jeune homme apperçut un nuage de poussiére venu du nord.
Il présuma que c'été un groupe de gens qui étaient en bon nombre et avant que le nuage ne dépasse le dernier virage et qu'il soit visible, le jeune guerrier alla se caché derriére un fouret.
40 guerriers du tlaxcallan Occidentale coyotes et non coyotes, il avait compté mais avec le nuage il été difficile de bien voir.
Ils ne se cachaient même pas, ils venaient et puis c'été comme ça, il avait pensé à se jeter dans le groupe pour en tuer le maximum avant de se faire faucher à son tour, mais le rêve ne lui avait pas dit que c'été son heure.

Il se releva puis couru vers l'avant de la colone, les dépassant sans qu'ils ne le voient, puis perché sur un rocher Totophitopec leur dévoila sa présence et en les regardant passer les bras croisés, il leur cria, pour se faire entendre de tous.

Vous rentrer sur la terre de mes ancétres, donc une terre Aztéques, ma terre et mon clan, vous rentré donc chez moi !!!
vous avait été plus rapide que je ne le comptait, vous étes braves et ferez de bon ennemie, je me réjouie de votre venu.
J'ai prié pour qu'un jour votres sangs, versé par mes mains, nourrissent mes dieux.
L'aztéque te prévient...

Ils les désignat tous du doigt, le regard sur et luisant, pour leur faire comprendre qu'il ne plaisentait pas.
La colonne ne c'était pas arréter mais tous avaient entendu ses paroles.
Le jeune guerrier les accompagnat jusqu'à son clan, les regardant de temps en temps et surtout en restant à bonne distance.

Oulaup

[Quelque part sur la route...]

Toutes regroupées, les lances avançaient derrière leurs chefs…
Euphorie de se retrouver enfin tous ensemble… Enthousiasme d’aller, peut être, se battre côte à côte… D’un pas déterminé les coyotes entraient en Aztéquie…
La route avait été longue… La chaleur humide collait la poussière à leurs peaux moites faisant ressortir peintures et tatouages … poudrant d’un voile blanc les visages, laissant juste briller au fond des yeux cette lueur de feu que l’approche du combat ravive…

Le sourire aux lèvres, fière de marcher auprès de son guerrier, au milieu de ses frères, apaisée, sereine, radieuse… Oula se sentait bien… La famille, la grande famille des coyotes était réunie bientôt amplifiée par ceux d’Orient… Du jamais vu…
Tous unis pour faire face !
Rejoints par d'autres guerriers venant de toute la Province Tlaxcallan, sans faiblir, ils avançaient vers Olintla...
Impressionnant de voir ces dizaines de braves converger vers le clan aztèque... De quoi en effrayer plus d'un!

Quelques volatiles braillards leur avaient déclaré la guerre... allaient-ils rester sans riposter ?... Les dires de ce jeune écervelé qui les suivait depuis un moment en était bien la preuve! Lui aussi faisait partie de la basse-cour qui voulait verser le sang des coyotes!

Tout au long de sa marche, la Souris implora les Dieux d’aider les siens à vaincre… ceux d'ici et ceux restés à Cuamantzingo... Naysa, Zenka...Une tendre pensée vint à l'esprit de la jeune femme à l'évocation de ses soeurs...

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NK c'est NK et les RR's sont les RR's! NK n'est pas les RR's. Ne pas confondre!

Kiana

Kiana était parmis ses frères et soeurs guerriers. La chaleur était pesante tout comme l'ambiance qui y régnait. Pas un bruit se faisait entendre dans les parages. Ils ne devaient plus être loin d'Olintla à présent ...

Elle avait ramasser quelque fruits sur la route qu'elle grignota en regardant les alentours. Kiana était en train de savourer son menu repas et taquinait Phil comme d'habitude, quand des paroles provenant d'un homme perché sur un rocher attira son attention.

Il devait être sans doute d'Olintla. Elle regarda en direction du jeune aztèque et l'écouta, Il ne manquait pas de courage pour oser vociférer de tel chose aux guerriers qui était là.

Kiana souriait quand elle entendit ses paroles puis elle pensa : j'espère que tes dieux t'ont bien écouter car il te faudra pas que les prières d'un seul homme pour qu'ils t'accordent leurs faveurs, nous sommes là et nous ne reculeront pas Elle écoutait le calme qui régnait dans les groupes de guerriers et se demandait si quelqu'un allait répondre à cet imprudent ...
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Mezcal

[Arrivée à Olintla]

Les vallées arides se succédaient et sous un ciel de plomb rien ne semblait troubler la marche inexorable des coriaces guerriers tlaxcaltèques. Ils venaient de Nopalucan, Cuamantzingo, Mazapa et Tulancingo et tous répondaient à l'appel des Dieux et de l'honneur de Tlaxcala.

Au son des tambours et des chants, la meute Coyote marchait d'un seul homme, représentant fièrement la Province tout comme ses propres couleurs.
Cette fois ci il avait incorporé la troupe de Féline et marchait à ses côtés, entouré d'amazones, de ses guerrières, la massue sur l'épaule et un brin d'herbe coincé entre les dents. Détendu, serein et motivé. Il arborait une nouvelle fois ses peintures guerrières blanches sur les épaules et les bras comme pour célébrer cette guerre qu'il déifiait tant. Et Huehuecoyotl, ses réjouissances...

En observant autour de lui, les différentes troupes tlaxcaltèques progressaient en parallèle et l'ensemble formait presque une nuée impressionnante.

Ils avaient aperçu au bout d'un moment un jeune aztèque se tenant à bonne distance. Il semblait fier, intrépide et Mezcal espéra le croiser un de ces jours prochains, peut-être sur un champ de bataille.

Comme lors de leur précédent raid Coyote, il ne voyait en ces terres que désolation et âmes errantes, perdues. Il se remémora avec plaisir ces quelques nobles instants où il remettait les lois sacrées du Tonalamatl avec ses compagnons coyotes à ce peuple sauvage, la meute toujours en marche pour le rayonnement du Tlaxcallan au delà de ses terres.

Ils étaient arrivés à Olintla, clan encore sauvage et vaguement abandonné. Ils investirent les lieux, prenant quartier, envoyant quelques éclaireurs en reconnaissance. Les ordres étaient donnés, répandus à travers les corps d'arme, clairs.
C'est donc dans une grande cohésion que les guerriers dominateurs de Tlaxcala pénétraient dans la Province aztèque de Cuauhtochco...
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Philboy

[Arrivée à Olintla]

Le gorille pour sont baptême du feu était tombé sur un groupe qui l impressionnait. Le nombre de guerrier qui avait était déplacé donner l impression que des os allait être brise et quelle baffe donner. De plus connaissant quelque coyotes et guerrier de l ordre obsidien, il était loin d être perdu, lui n étant dans aucun regroupement tenant trop a sa liberté ils les suivaient quand il en avait envie.

Il trouve la végétation et les couleurs différente de cher lui, il semble que c est terre ne soit pas encore totalement dominé par les hommes y habitant. De ci de la des champs mais sa reste encore anarchique.
Grignotant quelque bananes pour sont bon plaisir, sans parler de kiana qui s amuse a le tourmenté, le voyage lui semblait moins long qu’il avait pense au début.

Voyant le clan de Olintla a l horizon il commence a sourit, un pulque après toute cette poussière ne ferait pas de mal, bien au contraire.

Mais a l approche de la ville sont oreille fut attiré par les cris d’un volatile sur un rocher, une dinde ? S approchant il comprit que ce n était pas les jacassements d un animale mais les cris d un homme voulant impressionner une colonne de 40 guerrier par ces menaces. Souriant et ne disant rien seul le chef du groupe pouvait répondre a de telle mots, il n en eu pas moins un sourire, tous en se disant qu’il ne manquer pas de courage.

Mais c est mots et ces menace fut bien vite oublier remplacer dans ces pensé par la douceur d un pulque…
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Définition: JEU
nom masculin
Activité physique ou intellectuelle exercée dans le but de se divertir

Fafane

[devant Ahuilizapan]

Âpres plusieurs jours de marche non stop ... c'est au détour d'un chemin que devant leur yeux apparut enfin leurs destination le clan de Ahuilizapan un clan qui ressembler un peut au sien tout en le regardant et il posa son regard sur ces frères et sur les groupe des autres clans qui venait d'arriver étaient ils les premiers c'est ce qu'il ce demander ... il s'avança vers Amélie...

nous y voila !! et nous sommes pas les seul...

puis il pointa du doigt plusieurs regroupement comme le leur

ceci doivent être amis mais il y as que ça ...

puis il regarda de tout les cotés ...

depuis plusieurs jour je suis sur que nous sommes épier et suivit il nous faudra faire très attention tout le temps ou nous serons ici...

tout continuant de marché il parlez a Amélie et autres membre de son groupe
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Iluvia

Iluvia avait décidé, ce jour-là, de sacrifier les précieuses minutes de son temps pour cesser de flâner dans les rues, de mendier près du temple, ou d'adresser un sourire enfantin au calpullec pour lui quémander quelque nourriture.
Mais on disait qu'il n'y avait pas de boulanger, pas de quoi nourrir tout le monde, et que seuls ceux aimés des Dieux allaient survivre. Qu'à cela ne tienne, Iluvia était bien assez dégourdie pour se faire aimer de n'importe qui, divinité ou non. Il faut dire que malgré la crasse qui recouvrait son visage de gamine, et la faim qui se lisait dans ses yeux, elle avait gardé la candeur, la naïveté et la douceur des enfants.
Elle avait donc décidé, ce jour-là, d'aller cueillir des fruits, ou n'importe quoi se trouvant à la portée d'une gamine de son âge, pour le manger, ou l'offrir aux Dieux.
Elle était donc en plein dilemme. Soit elle gardait le fruit de sa cueillette pour elle, soit elle l'offrait aux Dieux pour qu'ils la protègent. Dure réflexion... Un ou deux gargouillis plus tard, et la petiote avait décidé. Recouvrant les fruits dans un pan de sa robe, à un endroit où les trous ne pullulaient pas, elle les gardait contre elle, heureuse d'avoir enfin quelque chose à se mettre sous la dent.
Du bruit, près d'elle. Elle s'approche, écarte les feuillages, et... Ô stupeur ! Qui sont ces êtres étranges ? Que font ils ici, d'aboooord ?
Les yeux écarquillés, saisie par la frayeur dans une mimique enfantine, elle se sait pas trop quoi faire. Hurler, s'enfuir, courir ?
Prise de panique, elle laisse tout tomber au sol, écrasant en faisant volte face la précieuse cargaison.
Et de penser, en poussant un cri angoissé, qu'elle aurait dû sacrifier aux Dieux son précieux butin.

AAAAAAAAaaaaahhhhh !!!!

Sacha

Sacha menait sa lance a travers de cette terre aride dépourvu de culture,d'élevage enfin il en avait bien croisé quelques uns mais pouvait compter ceux çi sur ses deux mains depuis son arrivée dans la province de Cyauhtochco.
Il marchait fière avec ses hautes plumes conquises lors de ses batailles avec ses frères et soeurs coyotes.
Son visage était revetu de ses plus belles peintures de guerre que sa belle guerrière Oula lui avait dessiné lors d'une halte avant l'entrée en territoire ennemi.
Quand soudain il entendu un cri qui ressemblait a celui d'un enfant qui avait peur.

Citation:

AAAAAAAAaaaaahhhhh !!!!

De son baton qu'il avait nommé Popol il écarta les quelques branches dans la direction d'ouvenait le cri et il vu une gamine qui paniquer ne savait pas quoi faire.
Elle restait devant eux stoïque en les regardant comme de curieux animaux à plume.
Appercevant que la fillette était très maigre,surement mangeait elle un jour sur deux ou plutôt sur trois
Alors il s'approcha tout doucement en lui disant:

N'aille pas peur petite!!!
Moi je suis Sacha
Je suis un guerrier coyote
Nous sommes là pour apporter tout notre savoir a ton peuple et non pas vous laissez mourir de faim comme certain qui nous ont déclarés la guerre il y a peu alors que nous avions apportés de quoi développer Olintla.
Et oui c'est encore le peuple qui va trinquer mais ne te tracasse pas petite bientôt tu verras des champs par centaine ici.

Ne sachant pas si elle comprenait sa langue et voyant que la gamine tremblait de tout ses membres,il dépossa son baton et son bouclier au pied d'un arbre fruitier.
C'est alors qu'il sauta sur la branche la plus basse et secoua cette branche pour que quelques fruits tombent a même le sol.
Puis il lui tendit une viande qu'il venait de prendre dans ses reserves,la voyant hésitante il l'a déposa non loin d'elle puis lui sourit.
Il se retourna vers ses frères et soeurs qui étaient entrain de l'attendre car la route était encore longue et reprit sa route.
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Zumo

[ Frontière Tlaxcalla / Cuauhtochco - Les Aigles de Cuamantzingo ]

Les Aigles avaient a présent effectué plusieurs jours de marche depuis le départ de leur Clan et c'est avec un soulagement empli d'excitation qu'ils foulaient la terre asséchée de la province Aztèque. Certains d'entre eux pénétraient en Cuauhtochco pour la seconde fois car il y a plusieurs lunes de cela ils étaient déjà venu en cette contrée pauvre où la famine sévissait. Ce premier voyage en compagnie des Coyotes et de la Féline avait permis d'apporter des denrées aux affamés, de chasser un Calpullec pilleur à Olintla mais surtout de faire offrir par Ruixentee et Menion les tables sacrées du Tonalamatl.

Les Aigles marchaient donc tranquilement mais avec toute la détermination que leur Tlacatecuhtli leur insuflait, lorsqu'un homme perché sur un rocher fit son apparition pour arranguer les guerriers. Et comme de coutume les premières réflexions fusèrent parmis les guerriers d'occident..

- Zumo j'peux y aller ? il parle beaucoup le type là..j'peux lui montrer comment on traite ceux qui nous provoquent ?

- Nan laisse tomber il se fatiguera tout seul avec son bla bla..regarde il a que la peau sur les os !

- Ben ouai mais bon ça sera mon premier n'aztèque..même s'il est petit ça change rien..promis je serai pas long !

- Nan c'est pas juste..après les autres seront pas contents..laisse le c'est même pas un trophée..attends au moins qu'il appelle des copains là ça sera plus drôle ! Allons..en route !

Et voilà l'intermède terminé, le guerrier se fait une raison et continue la route avec les autres jusqu'au premier clan en vue, il n'est pas encore temps de cogner...

[ Olintla ]

Première étape, tout le monde descend !
Les guerriers et guerrières pénètrent dans le clan, sans animosité aucune car comme la première fois Olintla n'est pas une cible. La plupart des habitants maintenant le savent au vu des dernières élections, si ce n'est quelques irréductibles qui décidément ne comprendront jamais où est leur intérêt, y compris la fameuse Tlatoani qui a eu l'impudence de défier la grande Tlaxcalla.

Les Aigles s'installent donc, mais rapidement car il n'est pas prévu de monter des callis provisoires, puis se rendent au marché car des bruits de famine ont retentit sitôt leur arrivée.
Et comme la première fois c'est à l'arrivée des occidentaux et des orientaux que les étals se remplissent, tout comme Chuichianoc l'avait annoncé quelques jours plus tôt. Très vite le poisson fait foison, les tortillas, les haricots, même quelques morceaux de viande sont exposés, là est la générosité de Tlaxcalla, qui lorsqu'elle n'est pas outrageusement défiée est une mère nouricière pour ses alliés par le biais de ses enfants guerriers protecteurs.

Le ravitaillement mis en place, les Aigles visent une autre cible ! prendre d'assault les tavernes désertes pour y apporter un peu d'animation, leur distiller de la vie et du pulque coûlant à flot, retrouvant leurs compagnons de route membres des autres clans et Coyotes assurément.
Tout se passe comme il faut mais à présent l'ordre de prendre la route retentit, c'est le moment de ramasser ses affaires et de filer vers un autre clan...

[ Ahuilizapan ]

Deuxième étape, pareille que la précédente, arrivée, passage au marché, visite des tavernes, mais ce coup ci les Aigles ne reprendront pas la route, des Callis provisoires sont montés, ils passeront la nuit en ce clan avec d'autres guerriers d'occident.

Mais autre chose fait présentir que la situation est autrement différente qu'à Olintla, on voit quelques conscrits courant dans tous les sens, appeurés par la venue des guerriers, prenant position sur les marches de leur Calpulli, les mains pleines de bric et de broc, le ventre creux pour la plupart.

Zumo s'approche et se place devant l'édifice, les bras croisés, observant le spectacle.
Quelques instants plus tard, un petit sourire aux lèvres, l'air amusé donc, il se rend auprès d'Amélie et Seva, palabre avec eux un moment autour d'un bon verre de pulque, puis s'en retourne auprès des Aigles pour leur parler de la suite des évènements...
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Breiz

Sur les chemins, Lance Coyote

La poussière de la route, la lenteur de la marche, le soleil, le soleil, et encore le soleil...
La peau si pâle de la coyote nue se colorait lentement. Discret regard à ses compagnons de route, clin d'oeil à Kiss et Saphi, et Braise s'éloigna quelque peu. Juste le temps d'enduire son corps de pâte de cacao. Même couleur que la boue, juste meilleur goût!
La fière guerrière revient au petit trop souple du coyote placer son pas dans celui de Kiss et Saphira, souriant.
Première mission, grosse mission, d'ailleurs. Surentrainée, légèrement armée, la guerrière comptait plus sur la souplesse de son corps que sur la force brute.
Sous un astre Divin particulièrement rayonnant, ils poursuivaient donc leur marche. Lente et ennuyeuse, d'ailleurs... Aux aguets, tout ça...
Par jeu, elle souffla sur la nuque de la blonde qui marchait devant elle.

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Adepte du "à poil way of life"

Achète esclave, pour garde rapprochée (contact par mp)

--Huehueh

C’est l’ancien dont les rides sont si profondes et dont les doigts croisés se fondent ; en une posture de sagesse bien marquée sous ses jambes recroquevillées et arquées , usure du temps pour un usurpateur ; usure d’hier pour un usurier ; profiteur , manipulateur , parfois même spéculateur .
Il regarde passer les jeunes et fiers guerriers se croyant aguerrit mais mal guérit de leur impudence outrageante et illusoire ; un peu rasoir .
Il sourit et sourit encore c‘est … répétitif comme les mots latents qu’il entend .
C’est l’histoire d’un vieil Aztèque ; c’est pas un gentil vieillard et encore moins un braillard ; il sait se faire discret et écouter pour le coup les jeunots Tlaxactèques railler et piailler ; ça lui remémore les élevages de son enfance ou le dindon glougloute pour une alliance .
Il reste à les écouter pérorer telles de vielles cancanières emplumées dans sa position toujours convexe et hors d’atteinte se disant des fois , il se pourrait qu’on vexe ; à les regarder passer ainsi tel un troupeau en transhumance , en crédule errance .
Il sourit et sourit encore c’est … additif comme les mots latents qu’il entend .
C’est l’histoire du vieux comme on le nome au clan , qui voit passer ces étrangers qui viennent chercher quoi donc ? un sens , l’essence d’une vie morne suivant tels des borgnes des chefs , sans limites et bornes ? se sentant en force se donnent de l’assurance ; de l’importance !
Il sourit toujours l’ancêtre sans se montrer ni rien laisser paraître demain il aura déjà tout oublié non pas par sénilité ni facilité mais par ce qu’il l’a décidé .
Le vent nocturne Yoalli Ehecatl emporterait les maux des mots ; les dieux comme les hommes chercheraient toujours tels Quetzalcoatl et Tezcatlipoca frères mais néanmoins apocalyptiques adversaires a semer le trouble et le chaotique .
Un jour le combat des deux créeraient l’annihilation , la fin de toute une civilisation dans un jaillissement d’antimatière laissant place a une nouvelle nation .
Cela il en était sûr et il sourit et sourit encore une fois devant la bêtise des hommes ; certains se croient puissants mais surement pas en puisant dans l’intellect collectif et oui pensa-t-il là ce n’est pas additif !
Ils arrivent en branle-bas normal pour des gens qui en ont une minuscule , il n y a même pas matière à débat se dit-il dans son air goguenard et loin du rididule .
Il sourit repart vers sa maison d’adobe sombre mais sobre et il sourit devant une telle opprobre .

Fafane

[Assaut du Calpullec Ahuilizapan]

L'assaut donné fut rapide et la Calpullec tomba rapidement les défenses étaient pas assez bien préparés et les défenseurs pas assez nombreux ...

Fafane avait fait comme les autres et c'était jeter dans l'assaut au coter de ces frères d'armes décochant flèches sur flèches jusqu'à arriver au porte du calpullec il posa ses yeux sur les autres assaillant apercevant Tinii et Tsonga puis Amélie puis Tony et tout les autres aussi se jeter dans le bataille ...

après avoir gravit les arche du calpullec la plupart des défenseurs se rendirent ... Alors il empoigna son arc et enflamma une de ses fléchés décocha celle ci vers le ciel en guise de victoire ... mais il savait que ceci n'était qu'une bataille et que de toute façon ils essaierait de rendre le calpullec
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Batonnoir

[Tototlan]

Le conseil de guerre de Tlaxcalla l'avait décidé : l'invasion de la Province avait commencé. Batonnoir, sa lance et les coyotes étaient arrivés à Tototlan dans la nuit. C'était un clan désertique, où vivaient deux pébrons et un tondu. Parmi eux, se trouvait la Sans-foi, Ayumi. La paysanne qui avait osé défié Tlaxcalla tout entier! Quelle ignorance, quelle arrogance...ce sont en général des tares portées par ceux qui ne savent ni réflechir, ni s'organiser. Il fallait donc la trouver pour lui infliger une correction exemplaire.

Durant toute la matinée, la meute avait prit position dans le clan. Les aztèques étaient rassemblés dans des enclos pour pécaris : l'on séparait les hommes et des femmes. Ceux et celles qui montraient des signes de révoltes étaient régulièrement fouettés et battus. C'était un mal nécessaire, et Mictlantecuhtli , dieu des enfers, ne montrait-il pas lui-même l'exemple?

Pendant que l'on traquait Ayumi dans le clan, Batonnoir monta sur une pierre pour s'exprimer. Etaient présents guerriers tlaxcaltèques et toutes sortes d'aztèques un peu dépassés par les évènements.

Niltzé!

Vous fiers guerriers accomplissez la volonté des dieux, qui est de prendre cette province d'assaut, par la faute d'une femelle. Femelle qui, loin d'être désavouées par les prêtres et les sages d'ici, se pavane librement et en toute impunité en Cuauhtochco! C'est cette femelle qui est responsable de la situation actuelle et nous, Tlaxcaltèques, ne faisons qu'honorer les dieux. Nous ne nous défilerons pas devant le devoir!

Un esclave aztèque le regarda avec un regard noir. Batonnoir reprit.

J'ai en face de moi un peuple jeune etvagabond, sans doute plein de rage envers nous. Et c'est tant mieux. Il vous en faudra beaucoup, vous savez. Cette punition doit être infligée, et il n'en ira pas autrement. Les teotl nous ont apprit qu'il fallait assouvir leur soif de sang, car sinon séismes et volcans se déchaineraient contre nos terres. C'est ainsi que depuis des temps immémoriaux, nous avons bâti nos coutumes pour que ces désastres n'arrivent plus.

Il pensa au rituel de camaxtli, qui était le service militaire volontaire en Tlaxcalla.

Aussi aztèques, vous allez devoir bien réfléchir à vos actions. Notre campagne peut n'être qu'un prélude à de vastes désastres futurs...ou pas.
Notre seigneurie, adorée par les dieux, porte l'épée et les offrandes avec fierté jusqu'en haut de nos pyramides. Vous, métèques aztèques de Tototlan, allez porter loin ce message dans les autres clans. Tlaxcalla n'a aucune pitié avec ses ennemis.

Il tapa sa cuisse avec sa main droite.

Soit on est avec nous. Soit on est contre nous!

Puis il redescendit de la pierre pour aller traquer à son tour la renégate ayumi...
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Fenix_the_wanderer

[Tototlan]

Fenix s'avança vers les étrangers qui voulaient envahir leur village.

Il était là, fier et déterminé, malgré le fait que ce ne soit pas un guerrier.

Il demeura interdit un instant, comme si il réfléchissait intensément, puis prit la parole :

Je suis Fenix, Callpulec de ce clan et je m'adresse à vous, Guerriers de Tlaxcalla.

Quel courage est le vôtre ... notre clan est pauvre et souffre de la famine. Nous sommes des gens pacifiques qui n'entendons rien aux guerres et aux basses manipulations.

Tout ce que nous voulons, c'est le droit de déterminer nous mêmes notre destin, en bonne intelligence avec nos voisins selon la volonté des Dieux.

Or aujourd'hui, vous vous attaquez en surnombre à un clan peu défendu.

Grand bien vous en prennes, montrez donc aux dieux votre courage à se lancer dans une bataille sans gloire.

Il s'interrompit un instant

Quant à Ayumi ... Sachez que je lui fait confiance et l'ai toujours suivi. Comme moi, tout ce qu'elle souhaitait était que notre peuple puisse se développer en bonne intelligence avec ses voisins dans l'indépendance et la fierté, d'égal à égal. Mais les calomnies de vos semblables l'ont amené à prendre de lourdes décisions.

Le peuple de Tototlan est accablé et mène une vie dure et laborieuse ... soit. Mais si votre seule réponse est la force armée, alors je ne gage pas grand chose de votre avenir en ces lieux.

Quetzacoalt mon protecteur m'a enseigné la sagesse et la tempérance ... sachez l'écouter le moment venu. Vous l'avez déjà ignoré une fois en vous lançant dans votre aventure sans lendemain, ne provoquez pas sa colère.

Nouveau silence

Néanmoins je reste un homme de dialogue, si l'un de vous à quelque chose à me dire, en tant que représentant de l'autorité Aztèque et du peuple de ce clan, qu'il vienne sans armes discuter dans ma demeure d'égal à égal sous la bénédiction et le regard bienveillant des dieux

Il s'interrompit ... et sans se retourner reparti d'où il venait.

Le soleil se lève au Levant...

Batonnoir

Merci de respecter les règles du RP.

Totophitopec

Oulaup

Kiana

Mezcal

Philboy

Fafane

Iluvia

Sacha

Citation:

AAAAAAAAaaaaahhhhh !!!!

Zumo

[ Frontière Tlaxcalla / Cuauhtochco - Les Aigles de Cuamantzingo ]

Breiz

--Huehueh

Fafane

Batonnoir

Fenix_the_wanderer

Zumo

[ Ahuilizapan, de bon matin ]

Réveil tranquile, les Aigles se lèvent et se préparent à leur devoir, direction le Calpulli. Tous se regroupent en compagnie de leurs frères et soeurs d'occident, l'ambiance et bonne. Zumo rejoint alors Seva et Amélie afin de discuter rapidement de leurs placements. Cuamantzingo au centre, Tulancingo à droite et Mazapa à gauche, les voilà positionnés.

Zumo s'adresse alors aux Aigles pour quelques recommandations..
- Bon on y va..mais tranquilement..le Calpulli n'est pas très défendu..on est pas là pour tuer..juste pour les chasser afin de donner une leçon..on se tient comme il faut car on représente Tlaxcalla !
Et là encore le même impatient qui fait des siennes..
- Euh..on peut pas en écorcher un ?..le couper en morceaux ?..le faire saigner lentement en le regardant souffrir ?..juste pour s'amuser un peu quoi..
Mais la réponse du Tlacatecuhtli ne se fait pas attendre..
- Nan mais ça va pas nan !..on donne juste une leçon j'ai dit..pas de cruauté..t'aura l'occasion une autre fois promis..allé on y va !

Un clin d'oeil à Amélie et Seva, le bras est levé puis baissé et l'assault commence ! Les guerriers courent..grimpent les marches rapidement..bousculent les maigres conscrits et atteignent la porte du Calpulli.
Quelques coups sont échangés et le Calpullec un peu sonné est sorti pour être raccompagné jusqu'à la place située face au Calpulli..et relaché simplement.
Zumo se tourne alors vers ses guerriers pour en désigner un ou une..
- Inca ! tu t'installe..tu sera le Calpullec provisoire jusqu'au élections..fais un tour de l'inventaire..je passerai plus tard pour que tu m'en rende compte..
Les guerriers, leur devoir accompli, rebroussent maintenant chemin...

La poussière soulevée de bon matin retombait maintenant doucement devant le Calpulli lorsque Zumo apperçu l'ex Calpullec qui s'adressait à ses frères et soeurs de clan. Ni une ni deux le guerrier s'approcha et s'adressa à l'homme...

Niltzé brave Aztèque !
Je vois que tu te frotte la tête, quelqu'un aurait-il frappé trop fort ? crois bien que le but n'était pas de te faire souffrir outre mesure, mais que veux tu quand un guerrier de Tlaxcalla passe à l'attaque il est difficile de contenir sa fougue et son enthousiasme.
Quoi qu'il en soit tes fonction sont interompues et tu peux t'en retourner à tes occupations premières, va en paix à présent.

Zumo grimpa alors quelques marches et s'adressa aux rares habitants interloqués...

Habitants d'Ahuilizapan !
Je suis Zumo, Tlacatecuhtli des Aigles de Cuamantzingo. Votre Calpulli a été pris ce matin par les guerriers menés par Amelie de Tulancingo, par Seva de Mazapa et moi même, en réponse à la déclaration de guerre d'Ayumi l'irresponsable contre Tlaxcalla. Voyez qu'il est imprudent de nous défier sans subir une réponse déterminée. Voyez que les Dieux ont approuvé notre marche et désavoué vos dirigents !

Néanmoins vous n'avez rien à craindre de nous, le Calpulli et ses biens sont en sécurité, nul pillage ne sera effectué ! nulle maltraitance ne vous sera infligée ! Inutile de vous révolter car cela ne serait dans votre intérêt, vous risqueriez d'être blessé sans raison. Vous êtes désormais sous la protection de Tlaxcalla ! La prospérité de votre clan est en marche...

Les prochaines élections seront respectées et un membre de votre peuple sera prochainement élu comme le veut la volonté des Dieux.
Vous pouvez continuer vos occupations habituelles car vous n'avez pas affaire à des ennemis sanguinaires mais désormais à des alliés ! Voyez que la famine est désormais révolue par les bienfaits de Tlaxcalla ! Voyez votre intérêt tout comme les habitants d'Olintla ont su le faire en se plaçant sous la protection de Tlaxcalla !
Les finances du Calpulli seront remises à flot et la sécurité assurée gracieusement par nos guerriers. Ainsi vous comprendrez que Tlaxcalla veille sur ses alliés.

Sur ces paroles le guerrier descendit des marches tranquilement et continua à déambuler dans le clan...
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--Acahzomo

[ Olintla ]

Recroquevillé dans l'ombre d'une hutte Acahzomo se tordait de douleurs tenaillé par la faim. Ce fourbe n'avait pas tenu les promesses qu'il avait faites pour être élu Calpullec d'Olintla.

Depuis peu ceux de sa race étaient arrivés, tels des vautours voulant se repaître de ce qu'ils trouveraient en chemin, puant d'arrogance et de fausse témérité, ne livrant bataille qu'en nombre supérieur et n'aspirant qu'au pouvoir et la richesse.

Etait-ce du à la faim qui ne le laissait plus en repos, était-ce un rêve ou la réalité, il vit ce lâche s'enfuir et quitter le clan d'Otlinta qu'il avait promis de prendre sous sa protection.

La menace d'un procès le faisait détaler plus vite qu'un lapin et l'imminence de la colère des Dieux Aztèques semblait le terrifier.

Philboy

[tototlan]

Le gorille attendais avec patience le moment ou sont chef ferait signe pour aller prendre le calpulli. Profitant de se calme avant la tempête pour grignoter sa friandise favorite entre toute, ces bananes qui lui rappelle celle qui les a donné et sont clan si loin. En profitant aussi pour taquiné kiana.
Puis le moment fut venu de monter a l assaut du calpulli, mettant quelque baffe avec ces grosse main velu il arrive vite en haut. S assit et écoute les râles des baffés, il sourit au propos de certain. Venir ici loin de tous pour piller ? Mais quoi il n y a rien ? Quelle idée germe dans la tête de certain, ils sont venu pour apporte culture, semence, et un semblant de stabilité a cette province oublier des dieux et même des aztèque. La provocation faite était le signe que ces terres étaient dirigées par des fous. Personne n avait était blessé ni même malmené les rapports avec les rare habitant du clan était facile et sans rancune. Mais ou était c est criard qui disait tant de mal ? Caché derrière leur guerrier qu’il on abandonné a leur sort. Qui était le plus lâche, ceux qui avait répondu a l affront ou ceux se cachant derrière un poigné de guerrier plus inquiet pour leur survit que par les désirs de grandeur de leur dirigeant. La critique était facile, mais les fait montre que l action était loin d être aussi simple.
Apportant marchandise, et surtout de la vie au clan ces reproches le faisaient plus que sourire. Ceux clan était mort avant leur venu, il lui on redonne vie. Les dieux apprécieront d eux même.
Allant vers ces même gens qui plut tôt se faisait bousculé il les aide a se relevé les invitant a aller boire un pulque et discute de cette avenir qu’on les aidé à avoir loin des désirs de pouvoir des fou les aillant plongé dans se combat.
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Définition: JEU
nom masculin
Activité physique ou intellectuelle exercée dans le but de se divertir

Nemesiss

[ Un verger, une pause]

Adossée contre un fromager, la fève réfléchissait.

Elle avait entendu lors de leur première incursion en terre Aztèque cette femme qui criait comme un putois et l'avait dévisagée, la femme lui rappelant un vague souvenir.

Quelle n'avait été sa surprise alors en reconnaissant l'une des leurs, née en terre Tlaxcaltèque...

Ayumi...

Déjà à l'époque elle ne savait que geindre et se plaindre, ne respectant aucune de leurs coutumes, pleurant parce qu'aucune grille de prix ni de salaires n'avait été instaurée, bafouant par là même les lois du Tlatocan. Elle avait dès lors nourri une haine démesurée à leur égard, drapée dans son arrogance, n'écoutant que ce qui voulait bien sortir de sa bouche. Rien ni personne d'autre ne comptait que sa propre parole. L'estime démesurée qu'elle avait de sa propre personne dépassait de loin celle que les dieux pourraient eux mêmes s'accorder... C'était dire...

Elle se souvenait, comment en taverne elle lui avait rabattu son caquet, amusée par le vent qu'elle brassait autour d'elle.
A l'époque, Ayumi n'avait pas trouvé écho à ses paroles acerbes et sans fondement. Elle s'était enfuie par les routes en direction des terres Aztèques.

Et aujourd'hui, comble du comble, elle se disait aztèque, alors même que le sang des Tlaxcaltèques coulait dans ses veines. Une traitre à son peuple voilà ce qu'était cette femme.

Un sourire amusé, et ses pensées vagabondèrent plus avant.

Elle se souvenait comment Ayumi avait fait des pieds et des mains pour obtenir une petite parcelle de pouvoir... Mais personne n'avait été dupe. Une telle vipère sèmerait la discorde par son manque de discernement et de sagesse, et on l'avait écartée sciemment. Elle était donc venue chercher ici le pouvoir pour s'en abreuver, pour satisfaire son ambition démesurée.

Et personne n'y voyait rien à redire.

Amusant comme les peuples pouvaient être crédules. Ils avaient été dirigées par l'une des leurs, ce peuple de fiers guerriers qu'ils considéraient comme leurs pires ennemis sans même le savoir !

Amusant de voir comme cette femme avait renié ses origines, purement et simplement, par soif de pouvoir, ce pouvoir qui rendait calculateur, menteur et traitre à son sang.

Amusant de voir comment elle exhortait ces hommes et femmes à haïr ceux qui étaient venus ici en sauveurs, par calcul, par esprit de basse vengeance, par simple profit personnel. Oui elle savait y faire pour manipuler ces pauvres erres....

Mais en arrivant, eux avaient vu le mécontentement de certains, avaient entendu les rumeurs circuler... Certains disaient que "le tlataoni Papouela et son conseil s'enrichissaient sur le dos des clans alors que la famine régnait un peu partout".... Oui, les marchés étaient désespérément vides, et les gens se mouraient alors que ledit conseil se vautrait dans le luxe et la suffisance.

Il était temps. Temps de cueillir quelques fruits et d'espérer que certains sauraient ouvrir les yeux. Eux étaient venus sur ces terres sans se cacher et non de manière insidieuse, en rampant tel le serpent sournois. Eux étaient venus proposer assistance et soutien, le savoir faire d'une civilisation digne de ce nom. Et cette femme avait précipité ce peuple dans la misère la plus sordide par égoisme personnel et perfide orgueil.

Et demain, quand Ayumi n'aurait plus rien à tirer de ces terres et de ces gens, où irait elle jeter son dévolu, femelle de peu d'honneur ? Dans quelle province irait elle déverser son fiel ?
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Sothaca

[Tototlan, devant le Calpullec]

Sothaca avait monté les marches du Calpullec avec force et fierté, comme tous les guerriers. Elle savait que Tototlan avait besoin d’eux et d’Ame Feline. Mais voila que ces lâches, non contents de n’avoir pas su défendre leur clan, voulaient s’en prendre à Ame Féline par un procès. Etaient-ils tant que ca aveuglés par leur haine perfide? alors que les guerriers étaient venus pour aider le clan à survivre ?.

Elle s’adressa à ses amis, un peu tremblante, mais fière d’oser le faire :

-Mes frères et soeurs coyotes, restons ici devant la porte et derrière aussi !Défendons notre dominante. Joue et nuit restons ici. Ils ne nous la prendront pas notre dominante, foi de Sothaca la blonde !

Aiguebelette

[Tototlan, devant le Calpullec]

Aigue avait marché en suivant le groupe comme à chaque mission, elle trottait gaiement tout en discutant avec ses amis.

Elle n'aimait pas trop venir ici, le dernier voyage lui avait laissé un gout âmer , en cherchant bien elle pouvait comparer ça à un gout de pourriture .... tout lui paraissait pourri, les lieux mais surtout les têtes toutes moisies à l'intérieur, le peu qui sortait de ces têtes en témoignait ....

cette fois elle savait, qu'ils ne lacheraient pas l'affaire, et tout celà s'annonçait pénible, long .. Aigue s'endormit non loin du calpulli, avant la révolution, histoire de prendre des forces au cas ou .... Le problème c'est qu'Aigue a le sommeil lourd et ne se reveilla qu'une fois le calpulli pris, une fois la bataille finie ... Ellle se réveilla, regarda autour d'elle d'un oeil hagard et se précipita à l'intérieur du calpulli, elle vit Ame et les autres tranquillement installé autour un godet de pulque ! Elle arriva en sifflotant, mine de rien, et lança :

braaaAAAavooOOo les coyotes ! trop facile c'tte fois hein ?
puis elle sirota un bon coup de pulque histoire de se donner une contenance ....
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Kiana

[tototlan]

Kiana grignotait tranquillement quelques baies et écoutait les railleries de Phil. Elle avait hâte d'une chose, entendre le chef leur ordonner l'attaque du calpulli.

Tout les guerriers se sont diriger au calpulli et passèrent à l'attaque. Le combat était rude mais Kiana ne fléchit pas devant l'ennemi, elle combattit avec une telle volonté qu'elle ne voyait plus que les aztèques contre qui elle se battait, si bien qu'un moment elle se heurta à quelqu'un, elle jeta un coup d'oeil rapide par dessus son épaule et reconnu Phil qui grognait à chaque baffe qui'il mettait.

La lutte était terminée et le calpulli avait était pris après avoir combattu un bon moment. Tous étaient en train de siroter un pulque pour se féliciter de la victoire. Kiana s'approcha de tout les autre guerriers, pris un pot de pulque et le vida d'un trait pour étancher sa soif.

Décompresser un peu n'était pas de refus, surtout que les prochains jours vont surement être ponctutaliser d'attaque des aztèques, mais il ne fallait pas lâcher l'attention pour autant.

- Du pulque bien mériter pensa-t-elle en souriant.
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Johnny59

joh écoute parler les coyotes avec un petit sourire aux lévres et prit la parole
niltzé à vous les coyotes
je vois que vous êtes fiers de ce que vous faites mais moi à votre place je ne serais vraiment pas fier car attaquer une province sans défense et sans armée il n'y a pas de quoi être fier enfin c'est plus facile d'attaquer une province comme nous cela doit vous faire plaisir mais je ne vois pas où est le plaisir.
joh repartit en leur criant bonne chance les lâches
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Sengir

Accoudé à un muret, un bâton mordillé dans la bouche, le coyote ricana.

Alors pourquoi une pauvre province sans armée comme la vôtre a t-elle insulté le Tlaxcalla et déclaré la guerre? Vous croyiez qu'on allait rester sans rien faire?

Il cracha quelques copeaux par terre et détourna son attention, goguenard.
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Batonnoir

Batonnoir souriait. La rage était désormais dans le coeur des membres d'un conseil corrompu. Un certain lightnicolas, volontiers piqueur dans les caisses...Une ayumi reprise de justice un peu partout...La peur. La peur pouvait les pousser à prendre des décisions irraisonnées et irréflechies, à moins qu'ils ne s'organisent en troupe pour au moins essayer de reprendre un clan, au lieu de geindre comme un troupeau de femelles mal-baisées.

Donnant quelques instructions, il alla faire un tour devant le calpulli de Tototlan assurer que tout était en place. Ni pillage, ni intimidations. Tlaxcalla était venu pour rendre honneur à la déclaration de guerre qui lui avait été adressé par Ayumi. Et même si il fallait aider quelques métèques en besoin, ce serait fait. Mettre en place les fondements de cette province et remplacer un conseil corrompu et manipulateur était une tâche au-combien ardue.
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Johnny59

Joh écoute parler ces deux guerriers enfin pas à ses yeux mais bon
Alors à vous entendre une personne crie à la guerre et vous comme des bêtes sauvages vous foncez tête baissée quel dommage et ou vous voyez le mérite dans l'attaque d'une province sans aucune défense ni armée et vous êtes fier de vous tous. Moi à votre place j'aurais honte
Tu crois que j'ai peur de toi sauvage? personne ne crache devant moi ni toi ni un autre
Joh se retourna vers le guerrier batonnoir et lui dit
tu as un sourire de sauvage moi à votre place je mettrais ma tête dans un sac de maïs je vois vraiment pas où est la fierté d attaquer des pauvres paysans comme nous enfin pour répondre à ton jugement moi je vais sûrement pas marcher dans votre jeu comme faire des reproches au conseil j'ai autre chose à faire que ça comme aller baiser vos femelles car je pense que c'est vos femelles qui en ont besoin avec des guerriers comme vous.
Joh repartit à son travail tout en les visant dans les yeux et ne leur montre aucune peur.
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Lightnicolas007

hrp: Un peu limite "je vais allez baiser vos femelles".
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Teohuah (Grand-prêtre) de quetzalcoalt.
Chef conscrit et mentor (tribun) d'olintla.
Chef caïman.

Sengir

N'importe quoi... Aucune notion de RP. Retourne à ta console petit. Quand tu sauras faire du RP, tu reviendras jouer avec les grandes personnes.

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Lightnicolas007

Tu parle a qui?
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Actosema

[Souci de cohérence RP, oubliez ce post (enfin non car il était assez bien écrit ^^)]

Sengir

On s'en prend à mon personnage sans aucune concertation avec le joueur? bravo, c'est ça du RP?
Et vulgaire qui plus est.

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Lightnicolas007

hrp: ha ok, j'ai cru que tu parlais à moi.
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Kisscool

Johnny59, qui d'autre ???
Franchement, je comprends maintenant pourquoi il y a pas plus de RP ici, quand certains prennent leurs perso pour des supermans, et utilisent des insultes limites et limitées...

Edit : ya eu réponse plus rapide que moi^^
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Certains n'ont pas encore compris que NK c'est NK et que les RR's sont les RR's ! NK n'est pas les RR's...

Johnny59

Batonnoir a écrit:

est la c 'est pas vulgaire ??de femelles mal-baisées
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Actosema

Ceci est mon premier et dernier message HRP dans un topic RP

LE RP N'EST PAS DU HRP, VOUS VOULEZ VOUS FIGHTER ENTRE JOUEURS ??? FAITES DU CATCH PAS CE JEU !!!!

Batonnoir

Décidemment, cette province possédait des animaux rares. Entre autres, des gens capables de lire dans les pensées. Batonnoir se demanda de quel dieu le paysan en question, surnommé "johnny" tirait ce pouvoir fantastique. Il devait sans doute tirer son pouvoir de la déesse-sorcière Malinalxochitl, patronne des serpents et scorpions.

Eh bien, un télépathe! Je n'aurais jamais cru en voir un de mon vivant! Ou vivant tout du moins!

Bon, je prendrai garde à mes pensées la prochaine fois, mais il serait gentil de m'avertir s'il y a d'autres télépathes dans la province. Hum...peut-être les marquer au fer rouge sur le front - ou les fesses éventuellement - ça pourrait être...trivial.

Quant à attaquer des pauvres paysans...la bonne blague. Vous voulez pas devenir un peuple d'assistés non plus? J'ai entendu qu'on avait mis au vote sur cette gargote...une sorte de "déclaration des droits de l'homme", un truc du genre. J'en frissonne rien que de prononcer ces mots. Bon enfin quoiqu'il en soit, il faut arrêter la pulque et se comporter avec courage et honneur.

Et puis pour l'anecdote, on ne baise pas que des femelles en Tlaxcalla...Faut savoir s'ouvrir à d'autres expériences dans la vie.

Plaisait-il, il monta sur son lama faire un tour de la place. L'épée d'obsidienne à la main, au cas où il faudrait écorcher un johnny trop entreprenant...
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Kiana

La conversation attira l'attention de Kiana. Elle s'approcha et écouta.

Citation:

j'ai autre chose à faire que ça comme aller baiser vos femelles car je pense que c'est vos femelles qui en ont besoin avec des guerriers comme vous.

Kiana ne put s'empêcher de réagir à certaines paroles trop offensantes pour une femme.

- Hey doucement avec les mots déjà .. on ne baise pas une femelle et surtout pas un azteque. Et nous femme de Tlaxcallan on est fière de nos guerriers et il ne nous baise pas comme tu dis ils nous font l'amour chose que tu ne dois pas connaitre vu ta réaction. J'ai horreur qu'on emploi un terme si cruement surtout quand on ne connait pas soit meme ce que c'est d'aimer une personne, on est pas des animaux que diable !

Kiana toisait l'azteque qui avait prononcer ces mots ... ce genre de comportement l'énervais horriblement.

Elle se retourna vers Bn et lui répondit à se remarque :

- Hey pas mal ton idée de leur faire une marque au fer rouge sur les fesses encore mieux bon pas trop voyant car il faut bien regarder pour apercevoir la marque.
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Amitola

Citation:

j'ai autre chose à faire que ça comme aller baiser vos femelles car je pense que c'est vos femelles qui en ont besoin avec des guerriers comme vous.

Amitola éclate de rire. Puis elle sourit à la reaction de sa soeur guerrière.

Ah nan, moi je baise, et pas que les guerriers, les guerrieres aussi. Si je fais l'amour je me cache, et si on me surprend je nie.

Elle a un sourire amusé, puis poursuit.

Mais plus sérieusement, homme. Tu parles d'aller baiser "nos femelles" comme si nos armées n'etaient constituées que d'hommes... Tu oublies qu'il y a aussi des guerrières ici, en nombre et bien capables de te botter les fesses... Ne parle donc pas comme si nous n'etions pas là, tu nous donnerais envie de te marquer au fer rouge...

Quant à "s'attaquer à de pauvres paysans" Mouais, moi j'ai combattu que les guerriers défendant le Calpulli. Z'étaient armés. Les faibles on y a pas touché, on les a nourri. Mais bien essayé...

[HRP : non seulement tu lis dans les pensées mais tu lis mal... le terme etait "COMME des femelles mal baisées" une comparaison sur le comportement des guerriers donc. Crue, soit, mais en pensée tout est permis, et il pensait bien aux guerriers et non à leurs femmes.Comme dis LJD Sengir, la console te conviendrait peut etre mieux, chacun son truc. ]
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Sothaca

Sothaca faillit s’étouffer de rire en entendant Amitola parler.

Elle regarda l’homme et dit :
-Et moi vois-tu je copule et je te jure que les guerrières s’en souviennent. Un clin d’œil à Amitola, puis rajouta :

File donc t’occuper ailleurs au lieu de pérorer, mais ne va pas à la mine, tes acolytes l’ont fermée. Va savoir , ils veulent peut-être t’affamer ?

Se retournant vers les guerriers :
-On se le boit ce pulque ? Fait soif sur ces marches !

Oulaup

Amitola dit:

Citation:

Ah nan, moi je baise, et pas que les guerriers, les guerrieres aussi. Si je fais l'amour je me cache, et si on me surprend je nie.

Moi je baise pas les guerrières mais j'peux t'dire que mon guerrier il est pas en reste pour m'aimer!

Et toi Johnny, de c'côté là ça va? T'es pas en manque au moins^^

Oula ne put s'empêcher de rire en pensant que lui et Ayumi feraient un très beau couple...
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NK c'est NK et les RR's sont les RR's! NK n'est pas les RR's. Ne pas confondre!

Amitola

Amitola rit aux propos narquois de ses soeurs. En bonne guerrière triomphante qui se fiche de l'amertume d'un vaincu, car dans ce monde cruel la loi du plus fort regnent faut pas l'oublier, Amitola secoue sa belle chevelure brune, sourit aux deux guerrieres coyotes et leur offre son bras, chacune d'un côté.

Tu as raison, Sothaca... Allons pulquer, mes soeurs. Les discours de ce mâle frustré m'ennuient...
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Kiana

Kiana ne put s'empêcher de sourire en entendant ces soeurs parler.

- A croire qu'il n'y a pas de femme guerrières ici et qu'elles restent juste à la hutte pour élever les petits. Pfff quel mentalité... Certaines d'entre nous valent mieux qu'un homme au combat.
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Aiguebelette

Aigue écoutait ses soeurs répondre à l'énergumène. Elle riait en entendant les propos fort justes des coyotes. Pourtant elle n'était pas d'humeur joyeuse, faut dire qu'elle avait lamentablement raté la révolution et ça elle le supportait pas ! Elle n'avait jamais raté un combat, jamais ! elle n'arrivait pas à s'en remettre !! comment avait-t-elle pu s'endormir au moment critique ? et tout ça pour entendre des inepties, elle commençait à regretter ses champs ....

bon ben si j'aurais su, j'aurais pas venue moi ! dit Aigue en tapant dans un caillou qui passait par là ...
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Philboy

Le gorille passe par la il vu un attroupement de femme qu’il connaît pour la plus part. Un fan club peu être pour lui ? Ou des femmes qui on comprit que ces parole sur les femelles était sage. Puis il s arrête deux seconde et réfléchit… trop beau pour être vrai. Arrivant plus prés il entend les propos de l homme et les réflexions des insultées… se disant qu’il ferait mieux de rien dire elles sont déjà assez énervé comme ca.

Salut les plant..e… les gens. Sa va la forme ? J ai entendu les mots pulque aller je vous paye la première… heu au passage personne a des bananes mon stock réduit…

Se disant que les femmes de tlaxacallan était loin d être des soumisse au homme… ces sont grand malheur d ailleurs.
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Définition: JEU
nom masculin
Activité physique ou intellectuelle exercée dans le but de se divertir

Kiana

Kiana entendu Phil réclamer des bananes elle lui en tendit une.

- Ayyo Phil. C'est ca que tu cherches Phil, pas contre tu as dit que tu payer ta première tournée de pulque ca m'interresse. On échange du pulque contre des bananes^^.
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Breiz

La guerrière nue écoutait les conversations, adossée nonchalamment à un arbre (non, pas un cactus, ça pique!).
Souriant aux faibles attaques du petit homme aztèque.
Puis, alors que tout le monde parlait de se pulquer, elle se tourna vers son chauve, lui sourit, et déclara sans ambages:

Dis donc Kilou, si on allait s'assurer que je suis pas une femelle mal baisée?
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Adepte du "à poil way of life"

Achète esclave, pour garde rapprochée (contact par mp)

Kisscool

Kiss était lui aussi adossé à un arbre, juste à coté de la rouquine, mais avait choisi le cactus, pour préserver la peau si fragile de celle ci.

Aïe ! Hein euh quoi ?

Kiss se redresse, enlève deux trois épines qui ont traversé son pagne et regarde Breiz...

Tu crois qu'il faut leur montrer de visu aux novices aztèques ou on retourne au torrent ?
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Certains n'ont pas encore compris que NK c'est NK et que les RR's sont les RR's ! NK n'est pas les RR's...

Batonnoir

[Quartier général - entre ahuil et tototlan]

Batonnoir était arrivé au QG à dos de lama, accompagné de sa garde personnelle : les tentatives d'assassinat n'étaient pas rares. Les rapports affluaient au campement de huttes dressées : pas moins de quatre clans étaient sous influence de Tlaxcalla.

Cependant, la réponse de la tlatoani a son dernier message lui parut un tantinet défiant et irresponsable. Le conseil allait-il laisser la situation s'embourber et les clans rejoindre Tlaxcalla de leur plein gré. Car peu importe la décision qu'il prendra, si rien n'est fait, les clans reconnaitront alors l'autorité naturelle de Tlaxcalla qui, elle, se bouge les fesses pour s'interesser un tant soi peu au peuple délaissé de Cuauhtochco.

Aussi, prit-il sa plume pour dessiner quelques pictogrammes, à destination du fameux conseil. Il ne s'attendait pas à une réponse immédiate, et espérait que cette dernière serait réfléchie en pesant le pour et le contre.

Citation:

Batonnoir, Chef du conseil de guerre de la seigneurie de Tlaxcalla, au conseil de la Province de Cuauhtochco, Niltzé!

Que les dieux soient avec nous dans cette entreprise valeureuse! Quatre de vos clans sont tombés, autant dire que notre influence est désormais étendue sur la majorité de votre territoire. Pour le moment, nous n'avons commis aucune exactions, conformément à nos idéaux. Aussi, je vais vous proposer une issue de sortie à la crise. Je vous laisse trois issues possibles.
- Scénario 1 : vous reconnaissez l'influence de Tlaxcalla. Vous écartez l'idée de vous intégrer dans le fumeux Empire aztèque, ou encore d'être une province indépendante ; vous entrez de facto dans le "Dominion" de Tlaxcalla. Etre dans le Dominion est une sécurité qui vous ôte le statut de cible potentielle par les autorités, même si les initiatives privées peuvent vous atteindre, comme c'est le cas chez nous. Au moins, le conseil de guerre ne préparera rien tant que vous serez dans le dominion. Ce changement de statut doit être sincère et non hypocrite : dire oui pour nous faire partir et tout annuler équivaudrait au suicide de votre province, tenez-vous le pour acquit.
Ceci signifierait qu'en outre la reconnaissance de la Seigneurie de Tlaxcalla, des relations économiques, religieuses et militaires pourront être nouées plus profondément avec votre province. Vous pourrez participer aux actions que le conseil de guerre de la seigneurie aura décidées d'accomplir, en qualité d'allié du "Dominion". A terme, sera proposée l'intégration à la seigneurie si le satisfecit divin est présent.
- Scénario 2: vous ne souhaitez pas reconnaitre Tlaxcalla, ni entrer dans le Dominion ou autre. Vous avez la possibilité de verser un tribut correspondant à la moitié des réserves totales dont le conseil dispose.
- Scénario 3: Vous ne souhaitez ni accepter le scénario 1 et 2. Dans ce cas, la Province sera livrée au jugement des tlatocs. Nous ne répondrons plus de rien, nous ne suivrons plus aucune logique et le feu se répandra à travers la Province.

Je n'ai plus rien à inscrire sur cette feuille. Je vous laisse jusqu'à Vendredi midi pour vous décider. Au delà de cette date, nous considèrerons que vous optez sincèrement pour le scénario 3.

Tito.

Batonnoir

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Lightnicolas007

Plus que trois demain.

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Teohuah (Grand-prêtre) de quetzalcoalt.
Chef conscrit et mentor (tribun) d'olintla.
Chef caïman.

Totophitopec

Le Caïman emporte parfois mon esprit...
Il est mon guide et je suis son bras, de part Sa volonté j'agit.

Totophitopec se réveilla à l'aube l'esprit encore embrumé et tatatonant la réalité sont esprit lui revient.

Amitola

[Tototlan, en taverne]

Amitola, lovée contre Sothaca, soupire. Son mâle est parti au temple, elle s'ennuie ferme... Heureusement, ils ont appris ce matin que BatonNoir avait envoyé une proposition au conseil.

Quelle que soit l'issue, au moins y aura-t-il de l'action,
murmura-t-elle à son amante.

Accepter la Domination Tlaxalteque etait ce qui aiderait le mieux la population sur le plan economique... Mais la jeune guerriere se doutait bien que jamais les Azteques n'accepteraient. Elle soupira. D'un autre coté, utiliser le terme "alliance" aurait été hypocrite. Une province aussi faible avait besoin d'un protectorat d'abord.

Mais pourquoi veulent-ils etre Azteques, quand la majorité des province Azteques ne parlent meme pas leur langue... hein ?

[ Edit = post effacé pour incohérence de lieu RP suite à la remarque très juste de BN (mais je faisais pas scandale, hein, j'etais toutes gentille avec toto

) Merci Toto pour ton edition, et merci lightnicolas pour avoir suivi ma suggestion de prendre la forme d'un courrier. ]
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Batonnoir

On peut imaginer que le messager a cafté, et que les gens sont au courant des initiatives proposées par Tlaxcalla. On va pas refaire scandale sur le RP.

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Lightnicolas007

Citation:

*Quartier général des caïmans, olintla*
Cette lettre s'adresse aux chefs tlaxalteques.

Cette lettre s'adresse au chefs tlaxalteques.
Tous d'abord, je suis surpris d'avoir reçu une copie d'une lettre envoyer au conseil sur mon bureau, encore plus surpris, de voir que vous voulez mettre la province a feu et a sang, car elle l'est déjà.

Je vais maintenant parlez au nom des caïmans.

Tous d'abord, vous vous apercevrez au lever du soleil, que vous ne contrôlerez plus que trois clan.
En effet le caïman vas mordre cette nuit.

Les autres clan en votre possession dans l'empire aztèque suivront immanquablement.

Je vous conseille donc de vous retirer, afin de ne pas subir la honte de la défaite.

Pour finir je parlerai pour moi.

J'ai encore hier, massacrer un aigle dans l'arène et je commence à manquer d'adversaire, surtout que la plupart de vos aigles prétendent ne pas connaitre l'art du combat, pour échapper au duel.

J'aimerai donc que les guerriers tlaxalteques volontaires pour se battre en duel, m'envoies une lettre par perroquet, pour convenir du lieu et du jour du duel.

Irrespectueusement votre lightnicolas007.

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Teohuah (Grand-prêtre) de quetzalcoalt.
Chef conscrit et mentor (tribun) d'olintla.
Chef caïman.

Sothaca

[Tototlan, en taverne]

Sothaca, caressant les cheveux d’Amitola, lui répond :

. De l’action oui !! Moi je me lève et je combats, s’il le faut. A mains nues même, je sais le faire.

Citation:

Mais pourquoi veulent-ils etre Azteques, quand la majorité des province Azteques ne parlent meme pas leur langue... hein ?

-Les aztèques ? les chefs ? Ils parlent la langue de vipère non ?

Riant soudain:

-moi je ne connais qu’ une langue..

… l’embrasse langoureusement.

Lightnicolas007

Citation:

*QG des caïmans olintla*
Cette lettre s'adresse au chefs tlaxalteques.

Niltze.
Comme vous avez pus le constater, cette nuit, le caïman a mordu.
En effet olintla à été reprise et est de nouveau un clan aztèque.
Dans les semaines à venir, le caïman vas mordre de nouveaux.
Si vous voulez que les clans tlaxalteques n'ai pas a subir sa morsure, je vous conseille de vous retirer sans plus attendre de la province.

Merci d'avance d'accepter votre défaite et de ne pas vous entêtez d'avantage.

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Teohuah (Grand-prêtre) de quetzalcoalt.
Chef conscrit et mentor (tribun) d'olintla.
Chef caïman.

Papouela

Papouela avait lu attentivement le message de Batonnoir, elle avait essayé d’analyser la situation, de discuter avec ceux qui étaient restés au conseil et aussi à des aztecs.
Elle se mit à rédiger la réponse.

Citation:

De la Tlatoani à Batonnoir
Niltzé
J’ai bien lu votre courrier et les 3 ultimatums. Un moment donné, j’ai pensé à vos deux premières solutions mais tiendrez vous votre parole. Au vu de ce que j’ai vu et entendu, je reste perplexe.
Contrairement à ce que vous pensez, je suis lucide et je ne me désintéresse pas des habitants de la province. Ma foi, il aurait été tellement plu simple de démissionner de ce poste de chef de la province et de me laver les mains de la suite. Mais comme vous le voyez, je suis restée en poste, je n’ai pas abandonné ce peuple qui m’a accueillie et adoptée. Non pas je sois attachée à ce poste, et non, mais simplement leur montrer que je suis avec eux malgré que je sois née dans votre province.
Désormais, je fais parti de ce peuple Aztec.

Dommage que vous ne vous posiez pas la question de savoir pourquoi, nous sommes plusieurs à avoir quittés notre province natale où pour la majorité nous ne trouvions plus notre place.

Au moins ici, nous pouvions créer un monde neuf et libre. Mais évidemment, vous ne pouviez pas l’accepter. Vous avez donc utilisés le premier prétexte pour envahir cette province.
Une personne vous avait attaqué verbalement de plus est. Mon dieu, est ce moi, est ce mon peuple, dont beaucoup ignore ce fait, moi aussi par la même occasion, et qui s’est passé avant que je vienne au conseil.
Etes vous venu me parler de cette attaque ? Non du tout, quelle magnifique raison de venir envahir une province pauvre et sans défense pour mieux agrandir votre propre pouvoir et domination.

Selon vos dires, vous venez apporter vie et prospérité. Non, vous venez asservir un peuple en imposant votre fonctionnement, votre mode de vie et vos coutumes. Sans se poser la question de savoir si ce peuple le souhaite. Mais cela ne semble pas être le cas au vu de ce que j’entends.

Si vraiment vous vouliez l’aider, un partenariat aurait été plus bénéfique pour les 2 parties en présence. Oui mais voilà, cela ne correspondant à votre idée.

En choisissant la 3ème solution, à savoir ne pas trahir notre histoire, nos origines, nos croyances et nos traditions, je mène mon peuple comment avez-vous dit « province livrée au jugement des tlatocs. Nous ne répondons plus de rien, nous ne suivrons plus aucune logique et le feu se répandra à travers la province ». Jusqu’à maintenant, je pense que vous avez toujours suivi votre propre logique.

Mais des fois, le choix est difficile et celui là est particulièrement très difficile. Même si la solution d’un partenariat me semblait la plus intelligente comme solution mais malheureusement pas proposé car non souhaité par vous je suppose.

Mais se battre pour ses croyances, pour être libre, quelle meilleur façon pour mourir.

La liberté est une chose merveilleuse pour lequel le sacrifice est digne.

Papouela

Vanille

Citation:

De Vanille, Calpullec d'Acatic et Tequitlato de Cuauhtochco à Batonnoir

Niltzé

J'ai pris connaissance de tes prétentions pour mettre fin à ce conflit et je vais y répondre à titre personnel.

Il y a quelques temps, vu l'indifférence de l'Empire Atztèque à notre sort nous avions accueilli avec bienveillance les propositions faites par un groupe de personnes et étions prêts à conclure une alliance.

Nous avions juste demandé du temps pour permettre une légitimité d'un accord approuvé par un Conseil de Province élu que nul n'aurait pu ainsi contester et que cela soit écrit dans la pierre. Nous nous sommes vu opposer un refus nous donnant à penser que ces personnes ne parlaient pas au nom de Tlaxcalla ou, et peut-être et, que leur but réel était la guerre afin de nous asservir et de nous piller.

Si offense il y eut je considère qu'elle est de leur seul fait. Pourquoi aurions-nous déclaré la guerre à Tlaxcalla dont la majorité d'entre nous étions enfants, cela aurait été la déclarer à nous-mêmes et nos parents encore présents là-bas.

Le Peuple Aztèque est fier et volontaire et peut s'en sortir même sans aide extérieure, le développement de mon clan en est la preuve. Il y arrive encore que certains jours tous ne mangent pas à leur faim mais c'est de plus en plus rare grâce aux échoppes qui se construisent et les champs et élevages qui se multiplient de façon satisfaisante ainsi qu'une taverne régulièrement garnie de repas à prix raisonnables.

Aucun de tes scénarios ne trouve mon assentiment. La seule sortie de ce conflit me paraît-être une alliance avec une coopération qui ne pourrait qu'être profitable à tous et le respect mutuel de nos coutumes et croyances afin que la haine ne grandisse pas en nos coeurs.

Une Province Aztèque puissante et alliée vous serait beaucoup plus utile dans l'avenir pour contrer des aspirations que pourraient développer un jour l'Empire Aztèque à votre encontre.

A toi maintenant de nous montrer quelles étaient les intentions réelles de Tlaxcalla à notre égard.

S'il nous faut combattre nous le ferons sans crainte et avec honneur par respect pour notre Peuple.

Que les Dieux nous protègent !

Tito

Vanille

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Totophitopec

Et votre réponse vous la donné quand !

Grrrr le Caïman me crie des réves vraiment trés forts.
On recherche donc maintenant celui qui deviendra le dernier Aztéques de cette province ?
Arrétez de conspirer et venez vite prendre les derniers clans qui vous barrent le chemin.
Soyez au moins digne de regarder votre ennemie en face et de lui dire que vous allez modire leur sang et leur culture.

Voilà où nous en sommes, vous avez été sans pitié jusqu'au bout mais on a montré aussi que nous ne plions pas si facilement... enfin presque

Mais je pense que c'est toujour pas fini, toujour et toujour combattre.

Sinon c'est quand que vous repartez *rit*

Amitola

[Tototlan, en taverne]

Pensive, pour ça oui elle l'etait. L'information circule vite entre guerriers, et elle avait entendu parler des divers courriers envoyés à Baton Noir.

Ils parlaient tous de proteger leur culture... Leur culture ? Quand justement la majorité etait de Tlaxcalla au départ ? Quand le puissant Empire Aztèque les ignorait et ne parlait pas la même langue ?

Cela dépassait la jeune guerrière. Certains parlaient d'une Alliance... Ah, elle eût été à fond pour, ça oui. Sauf que s'allier avec cette province sans exiger d'eux qu'ils cessent leurs insultes aux Dieux, impossible !

Le Tonamalt était clair comme de l'eau de roche : liberté de commerce, liberté de combat.... Et si cette jeune province n'etait pas annexée...Amitola avait peur qu'ils ne se mettent à instaurer des grilles de prix, des procès aux guerriers pour brigandages, des "laisser passer" pour voyager et autres horreurs venues d'un autre monde.

C'etait pour la culture de Tlaxcalla qu'elle craignait. L'empire Azteque tout proche menaçait déjà.

Nouveau Soupir. Oui, le chef Azteque avait changé depuis l'insulte qu'ils avaient subi, et cela elle ne l'avait pas su de suite. Oui, une alliance eut eté bénéfique... Mais comment savoir s'il tiendraient promesse ? Comment savoir s'ils n'essaieraient pas d'importer leurs prix fixes et leurs pratiques à Tlaxcalla ?

Oui.... C'etait pour la culture de Tlaxcalla qu'elle se battrait.
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Philboy

[Tototlan]

Le gorille trainant pas mal perché dans le verger et dans les ruelles a entendu parle que des échange avait était fais, croyant au retour cher lui il tendit l oreille. Mais se qu il entendit ne lui fit pas pensé que sa serait pour bientôt. Il ne comprend pas les aztèque qui parle d’honneur, de fière guerrier et dans le même temps de grille de salaire pour protéger les plus faibles ?? De grille de prix pareil ?? Mais pour lui aillant vécu les grandes famines au début de sa province et n aillant ni l un ni l autre n en voit pas l intérêt. La culture il comprend mais de telle idée… pourquoi se battre alors que l économie va on ne peut mieux, c est dure au début oui mais si devenir tolteca était facile sa en perdrait sont statut… étrange idée que voila. Défendant la liberté des prix, le droit millénaire de l esclavage, il pendra sont mal en patience espérant que les gens comprennent une bonne fois que cette vois les mènera a leur perte.
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Définition: JEU
nom masculin
Activité physique ou intellectuelle exercée dans le but de se divertir

Batonnoir

[En place centrale de Cuauhtochco]

Au petit matin, un messager était parvenu jusqu'au QG des forces tlaxcaltèques pour apporter la réponse du conseil ; par la même occasion, un coucou provenant de la calpullec d'Acatic fut join aux morceaux de bois sur lesquels les aztèques gravaient leurs messages. Il lut bien attentivement chaque mot, afin de comprendre le sens visible et profond des messages, puis fit sonner la flute : un détachement de lamas s'organisait. Direction : la gargote.

La traversée avait été rendue périlleuse par la saison des pluies. Cette mousson infernale qui rend les chemins impraticables et ils n'arrivèrent à destination que dans l'après-midi. Là, des guerriers tenaient la place, malgré la résistance du conseil dans la pyramide. Mais que celà était bien peu important au final...un conseil ne faisait pas un peuple. Et Batonnoir fit faire de la place pour s'exprimer devant lui. Levant les mains au-dessus de sa tête, il s'entailla une veile et fit couler du sang. Puis, il prit la parole.

Gens aztèques et autres qui êtes-ici, écoutez-bien ce qui va suivre. La seigneurie de Tlaxcalla, bénie par les dieux, a répondu à l'appel à la guerre lancé par la traitresse Ayumi : c'est la raison directe de notre présence sur ce sol argileux et instable. Il ne faut pas bien savoir compter bien loin que lorsqu'on défi un royaume tribal, celui-ci rapplique en meute. Que vous soyez développés ou pas n'a pas grande importance : ne pas répondre au défi aurait été une forme de lâcheté de notre part.
Bref, nous sommes ici, et nous sommes en force. Mais je tiens à clarifier deux trois choses au préalable. Il n'y a pas véritablement de "culture aztèque" si ce ne sont des grilles de prix, des interdictions de pratiquer la chasse à l'homme ou de renverser "une personne élue par le peuple" sous pretexte que c'est interdit. Ces...allez, parlons volontier de déviances, se répandent peu à peu en Yohualtepec et Tepeyacac, et commencent aussi par toucher la tête de certains dirigeants de cette province. Ce qui, de notre point de vue, a facilité notre décision.
Que ce soit clair et net : Tlaxcalla combattra toute forme de régulations et nous n'accepterons pas que soit imposé un style de vie déviant aux frontières de la seigneurie. Donc, quand on parle de vouloir instaurer la liberté, dans le fond des choses, c'est exactement ça. Nous ne voudrions pas que les quelques personnes qui se sont arrachées à la seigneurie par soif de pouvoir - quand on dit se sentir mal quelque part, et qu'on est tlatoani ailleurs, c'est bien de celà dont il s'agit - se croient dieux et dieux capables de créer lois sur lois pour "protéger le peuple". Ca n'a strictement aucun sens. Le peuple n'a pas à être protégé par autrui, il doit se protéger lui-même. Et il n'y a qu'une seule chose qui puisse vraiment lui apporter la sérénité : satisfaire les besoins et volontés des dieux. Le reste n'a pas d'importance. Nous ne sommes pas sur cette terre pour développer l'universalité des droits de l'homme et compagnie : voilà des concepts qui provoquent cataclysmes sur cataclysmes. De votre point de vue, c'est le cas : vous parliez de choses similaires en gargote, et nous voilà.

Il prit une pulque qu'un esclave lui apporta, puis reprit la parole.

Bien, que comptons-nous faire alors que vos dirigeants, irresponsables, ont choisi la troisième option? Il faut dire que lorsqu'il y a un rapport de 10 contre 1, on choisit bien évidement l'affrontement, c'est d'une logique imparable. Le conseil n'a pas les moyens de mener ne serait-ce une reprise de clan et il veut aller au combat? Soit, nous acceptons malgré tout. Nous allons infliger à ces dirigeants une défaite mémorable et nous les sacrifierons par la suite, ainsi soit la volonté du dieu du feu. Les clans que nous avons conquit par la force et que nous tenons, nous allons les intégrer au Dominion par ce que j'appellerai le "droit de conquête". Ainsi, libertés de commerce, d'échange, de chasse à l'homme sur les noeuds, d'organisation militaire seront proclamées haut et fort, et il sera strictement interdit d'entrer dans un cycle de régulation. Ensuite, nous ne comptons pas administrer plus que celà vos clans, on n'a pas que ça à faire non plus.
Nous sommes conscients que beaucoup ici se sentent perdus, dans une culture qu'ils ne connaissent pas du tout. Pour remédier à celà, nous vous enverrons des prêtres qui vous exposeront les fondements de la culture tribal et polythéiste. Car un peuple sans culture, ou au moins sans bases profondes, n'est pas un peuple. Nous offrons donc aux clans où nous sommes présents cette liberté de manoeuvre et à la fois cette protection d'être vassaux de la Seigneurie de Tlaxcalla. Car faudrait-il rappeler à la tlatoani qu'on ne fonde pas d'accords réciproques entre un royaume et une province. Il y a nécessairement un lien de vassalité entre les deux.

Bien, le sang de vos dirigeants irresponsables va bientôt couler, et je doute qu'ils fassent machine arrière avant d'avoir la tête tranchée en haut de la pyramide. Que ce jour-ci soit un jour sanglant et que le soleil se teinte en rouge, en rouge sang!

Le vert est réservé à la censure.
Parnasse le 09/08
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Breiz

Breiz, comme les autres guerriers, avait suivi la caravane de lamas et de guerriers.
Elle avait entendu les rumeurs, comme tous les guerriers présents à tototlan, et s'était débrouillée pour ne pas rester au clan avec les guerriers de garde.
Elle écouta religieusement le chef qui s'exprimait en offrant son sang aux dieux, brandit haut ses couteaux de guerres dans la grande clameur qui clotura le discours.
Bras tendus vers le ciel, la guerrière nue défiait quiconque ici de se déclarer aztèque.
Elle le voyait dans leur traits, elle le voyait dans leur langue, les gens d'ici étaient de tlaxcalla.
Elle avait côtoyé les aztèques de bien trop près, elle savait ce qu'ils étaient.
Elle avait vu son clan périr, elle avait vu des hommes se voir offrir le droit du sacrifice aux dieux et d'autres se tuer à la tâche comme esclaves.
Elle l'avait vu, parce qu'elle avait été offerte au chef du clan.

Ceux d'ici n'étaient pas aztèques, et elle hurlait à l'astre divin qu'elle tuerait quiconque dirait le contraire.
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Adepte du "à poil way of life"

Achète esclave, pour garde rapprochée (contact par mp)

Vanille

[ Acatic ]

Aztatl la petite esclave aztèque était à l'affut de tout. Tant de bruits et rumeurs circulaient, elle ne comprenait pas tout et se faisant souvent envoyer sur les cactus quand elle demandait des explications. Cela l'avait mise en retard et elle se mit à courrir pour entrer en trombe dans le Calpulli au moment où Vanille en sortait et elles se retrouvèrent toutes les deux au sol.

Apeurée elle jeta un regard craintif en direction du Calpullec qui grimaçait sous le choc reçu. Les guerriers chargés de sa protection s'étaient précipités mais déjà toutes deux s'étaient relevées, Vanille le regard aussi noir que l'était sa longue chevelure fit signe à la petite de la suivre.

La tête baissée, Aztatl n'osait plus rien dire enfin pour un moment mais elle était tellement bavarde qu'elle ne pouvait rester longtemps sans parler et elle avait tant de questions à poser.

Dis dis Calpullec c'est quoi une grille de prix

Vanille surprise la regarda :

Où as-tu entendu cela ?

Là-bas certains disent que nous voulons une grille de prix.

Vanille éclata de rire :

Une grille de prix par tous les Dieux, pourquoi faire, une grille de prix fixe un prix mini et maxi à laquelle tu peux acheter ou vendre mais pffft on n'en a pas besoin pourquoi s'embêter avec ce genre de règles.

Dis dis Calpullec il paraît que l'on ne pourra plus entrer et sortir sans contrôle de notre clan, que l'on ne pourra plus se battre.

Vanille prit un air horrifié :

Ne plus se battre quelle horreur mais alors où trouverions du plaisir à vivre et devoir sans cesse être contrôlée autant mourrir tout de suite avant que de le faire d'ennui.

Dis dis Calpullec et si quelqu'un réussissait à prendre ta place le pouvoir ne te manquerait pas, c'est pas interdit dis dis

Vanille réfléchit un peu :

Ma foi non cela ne me manquerait pas et cela me ferait du repos, chacun a le droit s'il le juge bon de prendre le calpulli d'ailleurs entre nous avant d'être élue je l'ai fait aussi et heureusement que ce n'était pas interdit.

Aztatl songeuse comprenait de moins en moins :

Dis dis Calpullec pourquoi alors ils nous font la guerre si nous vivons ainsi n'est-pas ce qu'ils font aussi chez eux.

Vanille soupira :

Je ne sais pas petite, ils avaient certainement voulu cela dès le départ et parfois la déraison rend certains sourds et aveugles.
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Oulaup

Après sa garde, La Fouine… Nouveau surnom dont venait l’habiller Amitola…

C’est pas assez féroce la Souris, la Fouine ça te va mieux

avait dit la Grenat, avait dit ou prononcé quelque chose dans ce genre là, la Souris-Fouine ne se souvenait plus exactement… mais ça voulait dire ça…

Donc, après sa garde, la Fouine voulant se dégourdir un peu les jambes avait suivit la Rouquine de loin…

Au milieu de la foule Oula écouta attentivement les paroles du grand chef tout en observant Breiz du coin de l’œil…

Pourquoi lève t-elle ainsi les bras en brandissant ses couteaux et en criant?

La curiosité de la Souris aidant, elle s’approcha de la jeune femme et planta son regard dans le sien…

Pourquoi fais-tu ça, la Rouquine… pourquoi cries-tu comme ça ? Qu’est-ce que t’as ?... Tu peux m’dire ?
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NK c'est NK et les RR's sont les RR's! NK n'est pas les RR's. Ne pas confondre!

Breiz

Pourquoi fais-tu ça, la Rouquine… pourquoi cries-tu comme ça ? Qu’est-ce que t’as ?... Tu peux m’dire ?

Sourire farouche aux lèvres, la Braise rengaina ses couteaux dans sa ceinture, son seul et unique vêtement.

Bin, comme tous les autres, Oula... Parce que quand un chef harangue ses guerriers et termine par "Que ce jour-ci soit un jour sanglant et que le soleil se teinte en rouge, en rouge sang!
" tu sais que tu vas aller au combat. ça me fait bouillir le sang, moi, ça. Tuer de l'Azteque.

Petit sourire dépité de la guerrière nue, et:

Mais ils sont pas aztèques ici, regarde les. Ils sont comme nous et ils se réclament de l'Aztéquoisie. Pfff ils parlent même pas aztèque!

Elle haussa les épaules et caressa machinalement les manches de ses couteux de guerre, avant d'ajouter:

Quoique, je me demande si ce n'est pas pire, en fait, renier son passé, ses origine, ses dieux et sa culture pour se ralier à l'ennemi!

Dressant haut le menton, crispée, machoire contractée, elle jeta un dernier regard au chef qui avait fini sa tirade.
Puis elle salua la coyote :

Au revoir Oula, je vais au Temple. Je dois offrir mon sang aux dieux.

Et elle se dirigea d'un pas décidé vers le dit temple.

hrp: en retraite jusqu'à mercredi/hrp
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Adepte du "à poil way of life"

Achète esclave, pour garde rapprochée (contact par mp)

Totophitopec

nous somme une province Aztéque avec nos traditions de liberté, les grilles de prix, les procés et autres ne sont pas de mon vocabulaire

Je ne suis pas pour ces lois là, je me serai battu autant que je me bat contre vous contre ces lois castratrice.

Je trouve la communication et la diplomatie de vos dirigenant trés limité, vous n'étes pas de grand stratéges, juste des guerrriers en nombre et bien entrainé.

J'admire votre force de frappe mais déplore votre manque de diplomatie.

Et vous croyiez vraiment que je vous allez prendre Olintla comme ça, je suis Le Caïman...

Gros muscle mais petite cervelle c'est Tlaxcaléques ~rigole~

Bontedivine

Une esclave du nom de Bonté écouta Toto, elle s'était terrée en silence le plus loin possible du clan, sa faiblesse ne le permettait pas de fournir une quelconque aide armée, puis elle prit doucement ses forces, elle s'est nourrie de racines, de figues de barbarie, puisant son énergie dans le jus de maguey qu'elle savait recueillir sans l'aide de personne.

Puis vint le jour où ses jambes ont pu la porter à nouveau, elle décida de visiter les tavernes partir à la rencontre de ses frères et soeurs. Ce qu'elle y vit fut désolant, à en gerber.
Des femmes qui se dévorent littéralement à chaque heure de la journée en toute impudeur, sans respect aucun, le sang si précieux bu à toutes les occasions, des moeurs plus légères que leurs paroles.

Soudain une rage sourde naquit en elle, elle qui allait se laisser mourir plutôt que dadopter leur moeurs, la rage de combattre des guerriers aussi imbus d'eux mêmes. Certes certains étaient aimables et déblateraient pour se donner bonne conscience un discours appris par coeur "Nous sommes là pour vous aider blablabla"
Elle n'en pouvait plus la Bonté, qu'ils partent ou qu'ils meurent, les esclaves comme elle qui pensaient la même choses étaient nombreux, même des guerriers partagent leur avis sur la vulgarité ambiante.

Le regard fier lançant des éclairs, la voix portant loin et la rage secouant ses entrailles, elle s'adresse à ceux qui les dirigent après s'être approchée d'ame fêline, Mezcal, Batonnoir, Zumo, et d'autres, ignorant les femelles qui copulent entre elles tout le temps dans les tavernes : Sothaca, Amitola, Saphira et d'autres.

-Vous êtes fiers de ce que vous avez fait? Vous avez récolté suffisamment de plumes pour flatter votre égo surdimensionné? Vous avez fait mumuse en faisant votre camaxtli? Vous avez balancé soit disant de la nourriture pour vous donner bonne conscience?...

Elle s'approcha d'eux, grinçant des dents, les yeux lançant des flammes

Alors partez ou je passerai ma vie à vous traquer, déchiquetant vos chairs avec mes dents, faisant couler votre sang pour arroser nos terres et nos dieux!

Amitola

Amitola regarde la jeune esclave s'enerver et arque un sourcil. Elle la reconnait. C'est cette jeune femelle ignorante qui ne connait rien des Dieux ou de leurs demandes. Ses soeurs lui ont rapporté certains des dires de l'esclave.....

Pudeur ? Dans une contrée ou un cache sexe suffit à se proteger des morsures de serpents et des épines ?
Vulgarité ? Euh, c'est quoi, la vulgarité ? *
Tiens, elle en prononce un autre... Ego... Qu'est-ce donc que ce mot d'une langue étrange ?
Elle se tourne vers ses compagnons d'armes et leur glisse en souriant...

Encore une de ces folles, aux principes venus d'un autre monde... Elle parle comme ces hommes à la peau blanche que certains jurent avoir vus, s'encombrant de vêtements inutiles et insultant les Dieux en reniant leur sensualité. Ces hommes couleur de lune qui ne jurent que par un seul Dieu, quelle horreur...

Voilà la jeune fille qui les menace et Amitola ne peut retenir un éclat de rire.

Une esclave qui vient affronter toute une horde de guerriers entrainés et armés... Tu as donc tant envie de mourrir, petite fille ? Offre toi plutot en sacrifice aux Dieux..

Amitola est assez tentée de sortir sa massue et de faire taire l'illuminée d'un seul coup bien senti... Mais elle est d'humeur à pulquer, pas à écraser une petite fourmi. En plus, ce serait du gâchis....Le sang d'un esclave vaut tout de meme quelque chose à offrir aux Dieux... Juste au dessus de celui d'un Pécari.

Grogne donc, tu nous amuses.. Tu peux crier aussi ? T'arracher les cheveux comme un animal ? Tu n'es pas assez forte pour grignoter ma chair ou celle d'aucun de nos guerriers, alors la déchiqueter...

Je t'ai vue en taverne... Tu sembles choquée de nos caresses...Renierais-tu Tlazolteotl, Déesse de la Sexualité ? Bon courage avec ça... Je te souhaite de ne pas périr sous son courroux.

Amitola lui sourit nonchalamment..... Un de ces sourires supérieurs qu'on a quand on fait partie intégrante et respectée d'une societé bien établie, avec ses codes et ses moeurs, instaurées depuis des millénaires.

Si tu avais deux sous de jugeotte, petite, tu te tairais pour vivre, pour manger, pour apprendre à te battre. Et tu ne viendrais nous cracher au visage qu'une fois de taille à nous affronter...

Amitola crache au sol, toujours un demi sourire aux lèvres, et s'offre une gorgée de pulque.

[hrp = * la vulgarité c'est les mots crus, qu'aucune femme coyote n'emploie à ma connaissance. Si ton personnage trouve les filles s'embrassant entres elles vulgaires et "à gerber"... Alors ton personnage est homophobe. Libre à toi, mais fais très attention et renseigne toi sur les moeurs de ces peuples pour éviter un dérapage HRP en ce cas....toute forme de racisme, homophobie etc. étant interdite. Et si tu maintiens un RP homophobe, aies la délicatesse d'utiliser des termes un peu moins choquants à lire pour les joueurs homosexuels. Ah, et ce serait gentil de rectifier ton RP = Y a pas eu de "copulation" ni de "dévorage" en taverne (hétéro ou homosexuelle) c'est interdit par la charte... Bon jeu.]
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Batonnoir

[Près de Tototlan]

Un arbre. Une cible accrochée à l'arbre. Quelques hommes étaient réunis à proximité de Tototlan afin de s'entraîner au maniement de l'arc. Batonnoir était là, et c'était le moins doué de tous. La cible? Un plan du clan de Tzilacaapan, celà suffisait à le motiver, même si presque tout le monde ignorait bien sur la raison de cette motivation. Pam!Premier coup à côté.

Il s'essaya encore quelques minutes, sans davantage de succès. Quant il fit venir un messager, pour écrire à la tlatoani papouela. Fallait bien continuer à papoter entre personnes un peu folles, ma foi! Au moins un trait commun avec papouela, se disait-il... Batonnoir se demanda également si elle pourrait un jour intégrer son harem, et ne savait pas répondre à la question de savoir si elle accepterait...ou pas. Bah, elle avait choisi la guerre, et il aimait ça. Peut-être fallait-il l'impressionner pour qu'elle cède.

Il rédigea son message, car dans toute guerre il faut savoir aménager des portes de sortie. Une fois le messager parti, il se posa un instant sur un rocher et médita. Une poignée de personnes retardaient l'inévitable, et il pensa à quels désastres pourraient encore frapper cette province par le futur? Il savait déjà que certains voulaient revenir plus tard et tout piller quand la province se sera davantage développée. Certes, c'était une perspective joyeuse pour une province qui refuserait l'entrée dans le Dominion ; mais ce dernier représentait un système politique viable néanmoins, quoiqu'on en dise. Car les coutûmes de Tlaxcalla ont été bel et bien adoptées par ayumi, comme la loi orale de Quetzacoatl ou la coutûme de Quicoatl...

Le vert est réservé à la censure.
Le 09/08 Parnasse
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Vanille

[Acatic]

Au coeur de la Province de Cuauhtochco, Acatic se dressait au milieu de champs qui se multipliaient grâce à un travail acharné qui avait eu son lot de victimes.

Une nuit comme les autres, peut-être pas tout à fait, Vanille s'était écroulée, ivre de fatigue à défaut de pulque, la taverne ne voulant une nouvelle fois pas s'ouvrir pour elle, les Dieux certainement ne souhaitaient pas que son esprit soit embrumé par les vapeurs de l'alccol.

Son jaguar feula et la réveilla signe certain d'un danger imminent, le jour pointait à peine mais il était temps pour elle de quitter son adobe pour rejoindre le Calpulli où tant de travail l'attendait encore et auquel elle sacrifiait bien des plaisirs.

Des bruits à l'extérieur, des cris alarmés, ils étaient là ceux qui menaçaient son clan.

Accompagnée de quelques guerriers elle sortit pour aller à leur rencontre, elle fit signe à ses fidèles défenseurs de rester un peu en retrait et attendit, impassible.
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Mittys

[Olintla]

Le matin revenait sur la pleine désertique et semi aride de la province aztèque. Le vent de la nuit appelait l'homme à combattre face à la toute puissance tlaxcalèque , le Seigneur allait arriver reprendre son du. L'horizon donnait ses premier signe de vie , les cactus sortaient leur dernière aiguille , le sol regardait le sable virevolté par de ci , par de la , les hordes orientales étaient en marche pour venir tenir main forte à leurs frères.

Nul doute que aujourd'hui était sans conteste le dernier jour ou les aztèques auraient l'espoir de pouvoir garder le clan de Olintla , Mittys était venu pour faire tomber les derniers espoir d'une défaite pas trop amer , il allait annoncer la sentence qu'il resservait aux hommes et aux femmes qui ne se soumettraient pas au pouvoir des êtres supérieurs que sont les tlaxcalèques . mais avant ceci , il était de son devoir de prendre le pouvoir dans le clan , que nul malin ne saurait déjouer pour garder un pouvoir éphémère qui de toute façon tombera dans quelque lune tel que promettait les plans d'expansion territorial du demi Dieu.

Et le voila qui apparait soudain , entre sable et soleil qui venait enfin de quitter l'horizon , on ne voyait que les ombres se profiler , la lueur ardente du jour ne pouvait donner l'identité des guerriers , mais on savait qu'ils étaient mené par l'infâme despote de Huiloapan. Peu à peu ils approchèrent et l'on commença à distinguer le maitre , les plumes aux vents , cinq plumes , de cinq couleur différente , symbole de la toute puissance qu'il incarne , ses deux massues qu'il tient de chaque main , ainsi que son bouclier tenu sur le flanc de son pagne . Il était prêt à reprendre ses droits dans un clan qui serait bientôt lavé des être inférieurs , ils avait bien entendu prévu une plus belle fin pour les habitants de ce lieu que pour toutes les huttes voisines qui seraient soumis à la mort pur et dur , si ils ne voulaient pas accepter le régime de Dominion que avait proposé son père . Car Mittys , au contraire de Batonnoir , n'est pas un grand fervent de l'idée de faire de cette province un serviteur du Tlaxcala , il ne voulait que la détruire , et massacrer tout les sous-êtres jusqu'au dernier , afin de montrer son attachement à la suprématie dont il est le meneur.

Maintenant il est à Olintla , ce jour il prendra le pouvoir , demain il fera comprendre aux aztèques que l'heure du glas final rapproche dangereusement et que le Monde ne tardera plus à se prosterner à ses pieds. Tel Jules César qui aura fait tomber Carthage , Mittys fera tomber le Ve monde.
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Égocentrique , machiavélique , égoïste , acharné , haineux , stratège , perfide , arrogant , surréaliste , mégalomane , fanatique , tortueux , impénétrable , grande gueule , secret , animal politique ... Tout simplement Mittys est exceptionnel.

Totophitopec

Et bientot le soleil se couche...

Eclate de rire en voyant la tête de ces tlaxcaléques.
Il alla prier les dieux puis se reposa quelques heures avant la nouvelle révolte, toujour le sourire aux lévres...

Houplahoupe

[misantla]

Houpla était resté en retrait, écoutant les dires et conseils de ses envahisseurs qui encore une fois avaient la langue d'un serpent..

Elle avait rejoint son clan dans la nuit, profitant de la lune, elle devait rejoindre sa hutte, pour récupérer certaines choses avant de partir.

Elle se dirigea vers la taverne du calpulli afin de pouvoir se restaurer, mais quelle ne fut pas sa surprise de voir que l'inventaire était vide... Elle passera encore un jours sans manger... Elle fut surprise car ceux qui se disaient les sauveurs de la province , ceux qui criai haut et fort que le peuple aztèque étaient des vulgaires sous hommes, ceux qui avaient promis abondance et encore bien des choses, tout se qu'elle put voir ,son peuple était horrifier et crevait encore plus de faim...

Elle se dirigea avant de sortir du clan vers le calpulli ou elle pouvait lire les dires du nouveau calpullec, elle se mit à rire et ne pu s'empêcher de prendre la pierre qu'elle brisa pour en récupérer un bout, juste se qu'il fallait pour faire voir à son peuple que ses chiens ne savaient que mentir, ceux qui interdisait des prix fixe...

Avec fierté elle décida de mettre se morceaux de pierre avec elle, et prit de nouveau sa torche et se mit à le relire.

Citation:

Je cherche des tortillas a un prix décent soit max 9.5 pour revendre celles-ci au même prix dans la taverne du cappuli (on y en vend déjà plus de 10 par jours) ainsi que des haricot pour le même principe.

Elle rangea son texte avec précaution et repartie dans la jungle, prenant soins d'éteindre sa torche et de disparaitre...Elle fit la promesse de revenir, la patience sera son meilleur atout...
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Vanille

[Acatic]

La bataille avait été rude mais les valeureux guerriers aztèques présents à Acatic avaient vaincu les tlaxcaltèques.

Vanille n'avait aucun ressentiment à leur égard et respectait ses adversaires qui n'avaient fait qu'obéir aux ordres de leurs chefs qui leur avaient déclaré la guerre sous un prétexte fallacieux mais pouvait-il en être autrement de ceux qui ne respectaient aucune de leurs promesses et ne suivaient même pas leurs propres lois.

Elle se disait qu'en fait cette Province Aztèque de Cuauhtochco était un bien meilleur exemple de leur idéal de liberté qu'ils revendiquaient tant.
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Mittys

[Olintla , seconde victoire]

Encore un jour se lève sur la planète Tlaxcala , ça fait bien longtemps que les aztèques ont abandonné toutes chances , la grandeurs de la race supérieur faisait entendre son écho et son cri perçait toutes les armures aztèques se mettant sur leurs routes. Et la nuit dernière , le nouvelle offensive des unités orientales avaient mis à bas le calpullec acerbe des aztèques pour laisser place à l'extraordinaire Mittys. Les combats ne furent pas des plus virulents , les attaquants étant très largement plus nombreux que les défenseurs du clan qui ont mangé une patté de Dieux dans leur face.

Il ne restait vraiment plus grand chose des résistants du coin , les cultivateurs et les éleveurs étant déjà plus ou moins acquis à la cause tlaxcallane , il faut dire que le marché est encore assez abondant pour ne pas mourir de faim , et que le verger est toujours ouvert . C'est vrai quoi , ils auraient put poster des guerriers à l'entrée de celui-ci et laisser mourir la population , mais non , ils avaient tout bien tenu pour faire comprendre que ce clan serait bientôt entièrement annexé sous le giron des deux provinces sœur.

Le soleil se lèverait se matin encore , et les Dieux découvriront une fois de plus que leur plus belle création accomplit son devoir sans rechigner , et d'ailleurs il était temps pour ces hommes de faire leur offrandes afin de remercier les divins d'ainsi les accompagner jusqu'à la victoire.
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Égocentrique , machiavélique , égoïste , acharné , haineux , stratège , perfide , arrogant , surréaliste , mégalomane , fanatique , tortueux , impénétrable , grande gueule , secret , animal politique ... Tout simplement Mittys est exceptionnel.

Saphira

[Acatic]

Dès le début de l'attaque du calpulli, les guerriers tlaxcalèques savaient qu'ils n'arriveraient pas à bout des defenseurs en vu de leur nombre, mais ils ne s'étaient pas découragé pour autant.
Ils sétaient acharnés sur leurs ennemis afin de les blesser aux mieux pour que le lendemain, ils soient plus facile à abattre.

Saphi avait demandé qu'on lui laisse Johnny. Elle voulait la tête du répunant mazapathèque qui avait abondonné son clan pour rejoindre les aztèques.

Ce n'était même pas de vrais Aztèques comme ceux qu'elle avait rencontré à Etaplan quelques semaines plus tôt. Ils ne parlaient même pas leur langue!

Depuis qu'ils étaient arrivés à Acatic, une nouvelle energie l'habitait, alors qu'à Tototlan, elle avait été plutôt prise d'une grande fatigue.
Elle utlisait cette énergie pour faire le plus de dégas possible sur leurs ennemis, eux qui ne craignaient même pas les dieux. Ils devaient capituler ou mourir, car les tlaxcalèques avaient décidé d'avoir leur calpulli... et ils l'auraient! Ils étaient bien plus fort et plus nombreux, la prise n'était qu'une question de jours.

Le lendemain matin, après avoir pris les ordres au près de Sacha, la jeune blonde décida de se confectionner une vrai arme, son baton ne coupant pas assez à son goût.
Après s'être renseignée au près de quelques guerriers, elle décida de se faire un huitzauhqui. Pour cela elle avait besoin d'obsidienne.
Elle piocha quelques petits morceaux de ceux de son mandat en se disant qu'elle cacherait ça tant bien que mal en le rendant à Ate, et se mit à l'ouvrage.
Assise au campement, Sothaca près d'elle, elle s'affaira à attacher une pointe d'obsidienne au bout de son baton et ensuite à faire incruster des morceaux très coupantsur le tranchant, impatiente de le finir et de l'utiliser.
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Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d'y rester

Sothaca

Sothaca admirait l’habileté de Saphira dans la confection de son arme. Elle la regardait, machouillant un brin d’herbe nonchalamment.

Elle, n’avait que ses mains, et cela suffisait bien. A voir les aztèques rencontrés en taverne, un petit coup dans la nuque, bien placé suffirait pour beaucoup d’entre eux…un morceau d’obsidienne que Saphira avait laissé là, par terre, Sothaca le ramassa et fit une entaille sur son bras. Oui l’obsidienne était bien tranchante. Sothaca rit :

.-Ma guerrière, avec ça au bout de ton huitzauhqui., le sang coulera plus que sur mon bras. Elle fit pression sur la plaie, la suça et s’allongea près de Saphira pour un repos mérité..

Oulaup

[Acatic, quelques heures plus tard...]

Les guerriers qui défendaient vaillamment leur clan étaient bien supérieurs en nombre…La révolte des coyotes avait été un échec…. Et pourtant…

Ils n’avaient pas à baisser la tête… ils s’étaient battus bravement, sans relâche ils avaient traqué l’ennemi aztèque, combattants coyotes et autres guerriers venus en renfort n’avaient jamais faibli…

Au côté de son guerrier, et fière d'y être, Oula avait frappée sans hésiter… jambes véloces, aussi rapides que son bâton… bien ancré dans la main, le faisant tournoyer au-dessus d’elle…elle l’assénait sur l’adversaire, sans attendre… Un premier coup pour stopper l’élan, un deuxième l’atteignant au front… les craquements d’os qu’elle avait pu entendre lors de ses attaques, ne lui laissaient aucun doute sur la force de ses coups… elle avait tenu ainsi ses assaillants en échec une grande partie de la journée …

La nuit commençait à tomber quand la massue, qui la heurta derrière la tête, la laissa sur le sol pendant un long moment… Sonnée, le crâne et le visage en sang elle perdit connaissance… Elle n’avait pas vu celui ou celle qui l’avait frappée… le choc était arrivé par derrière sans lui laisser aucune possibilité de parade…

Quand elle reprit ses esprits, le soleil brûlait déjà la peau, l’air chaud et moite devenait irrespirable… Des corps blessés, mutilés gisaient autour d’elle, des râles de douleurs fusaient de toutes parts… Se remettant sur son séant, la jeune guerrière, le sang séché lui maculant le visage, la tête à la limite de l’explosion … d’un œil hagard chercha Sacha du regard…

Les jambes flageolantes, elle réussit à se relever et commença à errer entre les morts où les laissés comme tels.., frères ou ennemis… Son homme, ni aucun de se ses frères ne se trouvaient parmi ceux qui l’entouraient… Elle se dirigea lentement vers la petite rivière où, le guerrier coyote et elle, avaient établi leur campement…

S’immergeant lentement dans l’eau, elle lava son visage, massa doucement le sommet de sa tête… la fraîcheur de l’onde apaisa les nombreuses contusions qui bleuissaient sa peau… Trouvant un coin d’ombre, espace relativement rare dans cet endroit désertique, recroquevillée sur elle-même, elle s’installa pour dormir…

Il me faut prendre du repos… une nouvelle révolte aura bientôt lieu, j’en suis presque sûre… Ils ne croient tout de même pas que les Tlaxcaltèques vont s’avouer vaincus de la sorte… pensa t-elle rapidement avant de sombrer… le visage de Sacha dans les yeux…
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NK c'est NK et les RR's sont les RR's! NK n'est pas les RR's. Ne pas confondre!

Sothaca

[ Campement des guerriers tlaxcallèques le soir]

Les guerriers s’étaient regroupés dans leur campement après la bataille. Chacun avait aidé l’autre à soigner les quelques blessures infligées. Le soir était tombé, tout était calme dans le campement, tout le monde se reposait ou parlait doucement comme pour préserver la nuit des tempêtes…
Les feux éparpillés éclairaient des visages volontaires.

Saphira assise auprès d’un feu, Sothaca à ses côtés, et Philboy se remémoraient leurs journées passées là.
Sothaca avait décroché du huitzauhqui de Saphira les lapins frais et sanguinolants que celle-ci avait chassés.
Tenant un des lapins par les pattes arrière, d’un coup de couteau fit une incision vers la tête, et vida les entrailles.
Se tournant vers Saphira et Phil qui sirotaient leur pulque :

-Dire que ces chefs ici affament les leurs en croyant nous affamer nous...Sothaca rit doucement. Ils ne connaissent donc pas l’art de la chasse ?
Elle fit le contour des cuisses avec son couteau et ôta la peau petit à petit, de l’arrière à la base de la tête. Elle découpa les morceaux et le posa sur les braises.
S’asseyant entre les jambes de sa guerrière, elle sortit des fruits de sa besace.

-Tiens Phil, chose promise, mais pas de banane ce soir !
Ils attendirent là que le lapin grille, la fièvre au cœur, mais n’en laissant point paraître, calmes au dehors, bouillonnant au-dedans, savourant cette nuit si calme.

Kiana

[campement à Acatic]

La nuit commençait à tomber, Kiana avait reçu des ordres pour la journée. Elle s'installa dans un coin un peu à l'écart des autres guerriers, elle était d'une humeur massacrante depuis un moment sans doute le faite de ne recevoir aucune nouvelle comme elle le voulait, ce qui lui tapait sur les nerfs.

En plus Mots faisait des allusions au sujet de certaines choses dont elle ne comprenait rien, peut -être il devait fumer trop de feuilles de chamane comme disait Ligia.

Kiana écoutait les autres guerriers discuter, elle avait pris un pot de pulque en passant du groupe avant de s'isoler. Elle le sirotait comme à son habitude, elle s'avait qu'il ne fallait pas trop en abuser ce soir au cas ou si il y aurait de l'action dans la nuit, on ne sait jamais une attaque était si imprévisible mais elle aurait été la bien venue pour défouler Kiana.

Elle mangea quelques baies qu'elle avait ramasser en chemin puis elle pensa a ses soeurs qui lui manquaient beaucoup et surtout à certaines recommandations que lui avait donner Zily avant son départ il y a quelques jours déjà ...
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Amitola

[Tototlan]

Restée en arriere pour proteger le calpulli, Amitola s'ennuyait. Mezcal au temple, Sothaca et Sengir partis se battre...Elle se retrouvait sans chaleur la nuit. Heureusement que Nemesis et la Toute Nue venaient de temps à autres partager un pulque.

C'etait d'ailleurs cette dernière qui lui avait suggéré de prendre un esclave, et à sa grande surprise, Amitola n'eut même pas à en déclarer un "prise de guerre", voilà qu'il se proposait de lui même à la suivre.

Bon, le fait qu'il veuille quitter cette province, et qu' elle ait accepté de lui apprendre l'art de la guerre et de l'affranchir avait certainement joué. Peut-être un jour ferait-il un bon coyote, l'avenir le dirait.

Toujours est-il que d'etre appelée "maitresse" par un joli esclave etait la seule chose qui lui remontait le moral, cela valait bien quelques haricots pour le nourrir et sa protection. Et puis il etait intelligent, avait du potentiel. S'occuper de quelqu' un d'autre manquait à la guerrière sans meute.

N'empêche, elle n'en pouvait plus de l'inaction. Rentrer ou se battre, mais faire quelque chose, par tous les Dieux !
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Saphira

[Acatic- Campement]

Comme il fallait se nourrire et que, empecher les naze-thèques de le faire était tentant, Saphi s'était amusé à chasser les lapins qui trainait non loin des champs, surement qu'ils sortaient jouer.
Elle en avait profité pour les embrocher.

Au moins ils auraient de la viande grassouilette à manger pour le soir.
Installée près du feu, à contempler Blondine entrain de préparer le repas, à embeter le gorille, qui contrairement à son habitude était de bonne compagnie, elle buvait un peu de pulqué.

Bah c'est même pas des vrais Azthèques ... à mon avis ils savent pas faire grand chose d'autre qu'insulter et menacer.
Tiens en y pensant... tu trouve que je pue la vermine toi, Phil?

La remarque la fit sourire. Ils étaient a peine arrivés depuis quelques heures que les habitants des environs avaient trouvé à insulter la Vent Pire.
Pourtant elle n'avait pas encore été méchante.
Haussement d'épaules.

La viande commençait a cuir, le gorille enrobé de muscles de goinfrait de fruits.
Saphi regardait le campement et les guerriers s'affairer à leurs occupations, à discuter entre eux joyeusement ou en haussant le ton.
Elle aimait bien cette ambiance, elle lui rappelait le campement pendant le premier rituel du guerrier à Zotoluca.
Certes ils étaient moins nombreux, mais la voix crillarde de la blonde qui ne s'arrêtait jamais était facilement comparable aux voix qui animaient le campement des guerriers.
Il y avait aussi des mangeurs de haricots, comme Pocca, et des chauves en sandales, comme Rico.
Puis Kiss et Breiz...
Soupire.

Ils lui manquaient et pourtant cela faisait à peine une semaine qu'elle ne les avait pas vu.
Une soudaine tristesse s'empara d'elle tandis qu'elle reportait son attention sur le feu qui crachotait.
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Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d'y rester

Philboy

[Acatic- Campement]

Le gorille se retrouvais avec les deux blonde, les regardant chassé les lapins du coin et préparé la viande, se disant que les fruits ces plus simple a préparé. Cette expédition lui avait permis de rencontré des gens, c était un bon point.
Vit sothaca préparé le repas se dit qu’elle ferait une bonne cuisinière, enfin attend de gouter pour en être sur :

Bien laissons cuir sa pour voir… tu parlerais moins tu serais la compagne parfaite

Sourit à ces mots.
Puis vu saphi qui pestait contre les aztèques, sourit a sa question il répondit.

A non tu ne sens rien de spéciale, enfin je me suis pas pencher sur la question en faite.

Sourit se disant qu’il doit mesurer c’est parole elle pourrait se rapprocher. Partageant le repas avec elle en les narguant avec ces idées sexiste, il fini et les laisse voulant faire quelque pas pour digère se repas, le trop de fruit manger avant lui pesait sur l estomac.
Passant plus loin il voit kiana avec une tête bien noir, ne s en approche pas se disant que l’éloignement et l’ambiance ici commence a pesé bien lourd a tous. Espérant que les dieux mettrons tous le monde sur la voie de la raison au plus vite.
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Définition: JEU
nom masculin
Activité physique ou intellectuelle exercée dans le but de se divertir

Kiana

[Acatic le lendemain]

La nuit avait portée conseil, semblerait-il et la bataille avait été rude mais ce fût un échec. Le fait d'avoir eu un peu d'action avait ravie Kiana, malgré quelques coups reçus. Elle avait même repensée aux discutions qu'elle avait eu la veille : chasser se dit-elle mais chassé quoi elle fouilla dans sa besace ce qui pouvait lui servir d'appât et elle en sorti des bananes ... bah voyons chasser cette bête là ... hmmm pourquoi pas l'embêter tant qu'à faire et puis Zily m'a dit de prendre soin de lui enfin facon de parler ... il en a pas trop besoin l'animal, bon tentons de faire quelque chose quand même.

Elle posa les bananes sur un rocher bien en évidence au cas ou si Phil passait par là il serait forcement tenter de les prendre, mais après elle ferait quoi elle le laisserait partir avec les bananes ou lui sauter dessus enfin essayer vu sa taille ça risquerait d'être bien difficile.
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Vanille

[Acatic]

Après une journée de répit où chacun avait pansé ses blessures une nouvelle bataille vit s'affronter Aztèques et Tlaxcaltèques, ces derniers malgré des renforts et la présence de Batonnoir parmi eux subirent à nouveau la défaite, le nombre de prisionnniers faits dans leur rang grandissait, leur sort dépendant désormais des négociations qui semblaient s'amorcer.

Vanille espérait que la voie de la raison permettrait de mettre un terme à cette folie guerrière et qu'une issue satisfaisante pour tous puisse être trouvée afin de préserver diversité et valeur commune.

Tous restaient cependant en état d'alerte pour continuer à défendre le clan.
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Batonnoir

[Acatic]

Le sang avait coulé encore cette nuit, la bataille fut rude mais les assaillants ne purent obtenir la victoire. Batonnoir remarqua que tous les groupes de conscrits de la province avaient été dépêchés à acatic, alors que les autres clans n'eurent pu en bénéficier lorsque les Tlaxcaltèques avaient entamé leur marche : il nota ce fait sur une tablette, et regagna le quartier aux mains de ses guerriers.

La journée avait été difficile, surtout la rencontre diplomatique en taverne. Les dés étaient lancés, reste à savoir quels numéros sortiront désormais. La balle était dans le camp du conseil désormais.

Les lances étaient aux abois de tout débordements ou toute incursion des groupes de conscrits. Il espérait cependant que tout celà prendrait fin rapidement et que le destin se mettrait en marche. Non pas celui de provinces isolés plan-plan, mais bel et bien d'une Seigneurie et de provinces unies dans un Dominion qui partiront ensemble à la conquête du monde...

Le vert est réservé à la censure.
Je suis de retour pour jouer des mauvais tours.
parnasse le 09/08
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Houplahoupe

[Acatic]

Houpla avait fait le déplacement a la demande sa sœur vanille, et s’est avec fierté qu’elle avait prit le chemin de Acatic, laissant son clan qui était diriger par un coyote des plus incapable , laissant le peuple crever de faim , elle aurai voulu resté les aider, mais comment ?

La première nuit fut calme, les assaillants attendant des renforts, elle avait prit place dans la hutte de Vanille regardant l’ennemi se préparer !!!

La nuit enfin tomba, la lune brilla, et la révolte commença, elle n’avait pas grand chose pour se défendre, une simple lance quelle avait brûlée au bout pour la durcir et une fronde avec des noyaux d’avocat ramassés le long du chemin, mais elle savait que cela était efficace !!!

La nuit fut des plus longue, râle et douleur se succédèrent, elle du se battre à main nu avec un assaillant plus fort qu’elle, mais grâce à son agilité avait pu se défaire de lui , vu le nombre de conscrits, il du prendre la fuite… blessé et en sang elle continua à se défendre jusqu’au petit matin…

Le jour se leva , un horizon de rouge sang illuminai le ciel, les assaillants avaient reculés sous le nombre, certains du clan avaient été blessés, il fallait maintenant panser les plaie et se reposer, une nouvelle nuit reviendrai avec son lot de mort et blessé, l’assaillant était encore debout…

La matinée passa dans le calme,chacun dans son coin à se surveiller. Elle décida de se rendre à la taverne du calpulli, et fit connaissance de Batonnoir, elle pu enfin savoir les raisons de sa venue ici !!!

Maintenant il lui fallait rendre le contrer rendu à sa tatloanie Papouella , elle seule pouvait décider du sort de la province….
Encore une fois il fallait faire des concession face a l’ennemi, houpla n’était pas prête à cela, négocier n’était pas sa force majeur..

Elle prit la direction du temple afin de prier les dieux, se recueillir pensant à son père…Elle décida de mettre le couleur de sa famille, sereinement elle rentra dans le temple….

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Mittys

[Olintla]

La paix régnait . Les derniers effort de défense aztèques avaient volé en éclat , plus personne n'avait vraiment envie de se bouger les fesses pour des dirigeants d'une province qui ne pensent que à une ville qui est celle de Acatic. A quoi bon se mouiller si c'est pour se faire écraser ? C'est l'impression que Mittys avait vis à vis des gens qu'il croisait et qui franchement avait une large préférence pour des tlaxcaltèques qui leur apportait les privilèges que eux mêmes avaient dévellopé tel que les plans économique ou pour la façon de gérer le verger. Bien sur , ils étaient limité en stock pour alimenter le marché , mais ils faisaient un effort pour arriver à ravitailler le plus vite possible afin de garder la population en meilleur forme . Et il le fallait bien , tel que les intentions de la Seigneurie était dirigé dans le but de totalement rallier ce clan ancestrale tlaxcalèque à la province oriental de celle-ci.

Le reste deviendrait le dominion , que les aztèques le veuillent ou non , que Acatic soit prit ou non . Car bien évidemment , Tlaxcala n'avait pas encore mis ces plus gros poids de guerre en route pour cette campagne . Quand on connait le but de départ de cette visite et victoire sans conteste en terre de Cuauhtochco , on savait très bien que les moyens développés resteraient assez minime vis à vis de la réalité de la puissance des frères supérieur.

Enfin voila que Olintla vivait doucement au rythme de la Seigneurie dont elle serait bientôt membre à part entière et active , espérons le pour elle. Un clan qui avait compris que un avenir aztèque était loin d'être la meilleur chose , et qui commençait à comprendre la chance qu'ils avaient vis à vis de leur futur ancien frère.
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Égocentrique , machiavélique , égoïste , acharné , haineux , stratège , perfide , arrogant , surréaliste , mégalomane , fanatique , tortueux , impénétrable , grande gueule , secret , animal politique ... Tout simplement Mittys est exceptionnel.

Tlatelolco

[Misantla]

Plus de quatorze heures après le lever du soleil, au début de la nuit, Misantla s'endort en paix. Depuis longtemps les habitants ont rallié la cause tlaxcaltèque. Sans ménager leur peine, les conquérants se sont fait civilisateurs : ils ont tracés des routes, reconstruit le temple en ruines, creusés des irrigations et de nouveaux puits. Les tlaxcaltèques orientaux organisèrent naturellement une permanence, afin d'instruire chaque esclave qui sortirait de sa cachette. Des semences furent distribuées à pertes, chacun s'organisa de son mieux pour rationner la nourriture qu'il parvenait à trouver... et la distribuer aux habitants qui semblaient les plus intelligents, ou les plus dévoués au clan.

La politique agricole commençait déjà à porter ses fruits. La politique militaire avait doté la horde locale de conscrits d'un symbole tutélaire et les entrainements avaient commencé. Quant à la politique sociale et culturelle, entre le jeu de pelotte, les tavernes continuellement occupées et animées et les nombreuses heures passées à expliquer à chacun le fonctionnement de la société civilisée... elle rencontrait un succès immense. Conquis par le dynamisme des tlaxcaltèques, des natifs de plus en plus nombreux avaient pris leurs responsabilités pour faire partager la culture nahua. Cà et là, on donnait des noms, on indiquait les responsables, et les diverses personnalités susceptibles d'aider ou d'avoir besoin d'aide.

Tout simplement, dans leurs bagages, les Fourmis de Calpan avait apporté l'entraide. Quant aux autres guerriers nord-orientaux, chacun apportait sa pierre à l'édifice, qui pour la défense, qui pour l'approvisionnement. Arami le Sombre, dit aussi le Chauve, Calpullec de Misantla, avait réussi à remplir les caisses de la trésorerie, enrichissant plus le clan en dix jours que les précédents dirigeants en plusieurs mois.

Remis de la forte fièvre provoquée par une morsure de serpent, le Tiachcauh de Misantla et de Calpan observait les premières huttes en pierre qui se pressaient près du temple et du calpulli. Près de lui dormait son esclave, un natif capturé auquel il s'était attaché. A voir son sourire, il devait probablement rêver à cette jolie femelle rencontrée dans la soirée.

Tlatelolco ferma les yeux. La douceur du soir se levait peu à peu, contrastant avec la chaleur moite de la journée. Qu'il était bon de veiller sur son clan, de se sentir à nouveau chez soi.
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Tiachcauh de Calpan et de Misantla
~ Les fourmis ne sont pas ce que l'on pense. ~
Partagé entre deux clans, déchiré entre la polygamie et l'amour.

Kiana

[Acatic]

Le coup des bananes qu'avait mis Kiana n'avait pas marché pas une bête n'était passé par là et encore moins de gorille...

Elle rangea les bananes en grognant mais en pris une du lot qu'elle éplucha puis commençait a la manger, quand un perroquet arriva avec un message, sans doute des nouvelles du clan ou les ordres du jours.

Kiana se mit dans un coin et lus son message tout en mangeant la banane ...

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Ixchella

Acatic - les jours passent et se ressemblent

*Mode exagération, la blonde s'imagine être cro forte!*

Un jour nouveau se levait sur un champs de bataille en pagaille. La blonde (faudra vraiment qu'on m'explique un jour le pourquoi de cette blondeur...) se tenait devant un des chiens qu'elle avait mis à terre à l'aide de sa magnifique lance au bout très pointu. Un vrai bijou cette arme. Non seulement elle servait à décorer sa hutte en temps de paix, mais elle pouvait servir à la chasse, à la pêche (c'est mieux que d'attraper les poissons avec les mains) et aussi contre les indésirables. Ça si elle pouvait même dormir avec, sûr qu'elle le ferait!
Un coup d'pied au derrière du chien qui s'enfuit en courant, et la blonde, pas peu fière d'elle-même, décida d'aller chercher un peu de repos avant de reprendre une nouvelle journée.

Quelques heures plus tard, alors que le dieu du soleil avait levé haut son astre dans le ciel, Ixchella se rendit en taverne, histoire de se détendre un peu. Tout en marchant, elle repensa à ce qui s'était passé depuis son arrivée à Ahuilizapan. Si elle avait su ce que serait sa vie depuis qu'elle avait quitté son frère... que les dieux en prennent bien soin... elle ne l'aurait probablement jamais cru. Elle aimait le clan. Voilà ce qui l'étonnait. La blonde n'était pas vraiment du genre à se soucier d'autre personne qu'elle même, et la voilà prête à donner tout ce qu'elle pouvait pour sauver son clan. Son peuple comme elle se disait.Qu'est-ce qui se passait dans sa p'tite tête de piaf pour avoir changé de la sorte? Peut-être le fait qu'elle avait donné pas mal de son temps pour essayer de faire vivre au maximum le clan. P'tète ben. Mais le résultat était là. Et elle ne laisserait pas ces saletés de chiens lui ôter ce qui lui appartenait si facilement!
Un dominion qu'elle avait entendu dire. Accepter une alliance. Si ils avaient usé d'autres moyens, la blonde n'aurait peut-être pas été contre. Après tout, ça aurait fait des alliés. Mais étaient-ce des méthodes, de virer le calpullec pour prendre sa place, promettant de laisser les élections se poursuivre et de partir une fois les dieux ayant pris leur décision de faire élire un nouveau guide, pour ensuite revenir sur leur parole et virer ze blonde d'Ahuilizapan? Difficile de faire confiance à présent.

Arf, si elle pouvait faire partie du conseil... Au moins elle saurait ce qu'il se disait en temps réel. Et pas obligée d'aller à la pêche aux informations. Faudrait qu'elle voit ce qu'il fallait faire pour avoir un siège au conseil tient, pas une mauvaise idée.
Bon, en attendant... Aller dragouiller. Longtemps qu'elle a pas eu l'occasion. Et ça détendra un peu l'atmosphère. Pour ceux qui savent apprécier. Les autres... bah... tant pis!

EDIT : tite faute
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Oulaup

[Acatic]

A peine remis des blessures de la veille, les coyotes et leurs alliés, le soir même, avaient repris l’affrontement…
Face à des aztèques acharnés et très motivés, la nuit avait été longue et sanglante…
La fatigue des corps meurtris se faisait ressentir à la force des coups… moins précis, plus lents… dans les deux clans, l’œil était moins vif, les membres engourdis, la dextérité des mains et l’agilité des pieds tournait au ralenti… La vigilance était moins présente…
Même l’ennemi avait faibli… sauf ses miliciens qui, pour la plupart, étaient en grande forme… facile… Ils devaient, en partie, se renouveler chaque jour…

Mais dans les yeux de tous les guerriers, qu’ils soient d’une province ou de l’autre, continuait de briller une lueur identique à tous les braves…
Celle du courage…

Le sang neuf de la milice adverse… les Tlaxcaltèques en nombre insuffisant…
- le départ au temple de beaucoup d’entre eux, et pas des moindres, ayant érodé leurs effectifs-… avaient fait la différence…
Pas un de plus que la veille n’avait rejoint leur troupe…

C’est en sachant que la défaite les attendait, pour sûre, au bout de leur combat, que ceux de la meute et leurs partenaires entrèrent dans la bataille… Mais un ordre est un ordre et on ne discute pas les ordres des chefs… même si parfois l’envie en démange … Coûte que coûte, il fallait reprendre le calpulli… coûte que coûte ils allaient essayer…

Retour au campement des plus pénibles, se soutenant mutuellement… les uns blessés… les autres à demi inconscients… le combat avait été dur et ses effets s'en faisaient ressentir…
Echec… Défaite… Les mots résonnaient dans la tête de la Fouine …
A ssise au milieu de ses sœurs, la jeune femme attendait le retour de Sacha. Auprès de BN il s’était rendu pour discuter de la marche à suivre… Rester ? Rentrer ? L’organisation devait être sans faille…

Quand, le sourire aux lèvres, il revint en courant, Oula compris de suite et lui sauta au cou…
On rentre ?
On rentre ! Cria t-il en riant… La soulevant de terre, il se mit à tournoyer avec elle, la couvrant de baisers…
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NK c'est NK et les RR's sont les RR's! NK n'est pas les RR's. Ne pas confondre!

Batonnoir

[QG]

Il était posé quelque part en train de relire la missive de la tlatoani. Quand un guerrier vint le voir pour l'informer des dernières nouvelles. Ame feline qui aurait donné l'ordre de la révolte...Batonnoir pensa à une tentative de désinformation de l'ennemi. Ensuite, montage de liste dans la province, prônant sécurité etc...

Suite à l'ouverture des négociations, les troupes Tlaxcaltèques avaient quitté Acatic comme preuve de bonne volonté. Après tout, il n'y aurait pas eu de négociations s'ils ne s'étaient pas rendus dans ce clan. Le conseil devait être en train de discuter de l'intégration de la province dans l'Empire tlaxcaltèque en qualité de première province du "Dominion". Plissant un sourcil, il fit le rapport avec ce que certains badauds appellaient "sécurité".

Hors de Tlaxcalla, point de sécurité.

Ai-je encore besoin de préciser ?
Le 10/08 par Parnasse.
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Vanille

[Acatic]

Les bruits de la guerre s'estompaient, Acatic avait résisté à plusieurs jours de combats acharnés dans lesquels les guerriers des deux camps avaient mis toute leur énergie. Des négociations avaient débutées pour touver une issue au conflit.

Hier des préparatifs de départ et ce matin un semblant de vie reprenait, la plupart des guerriers de Tlaxcalla étant partis.

Des perspectives nouvelles s'offraient, il était temps de se remettre à construire et aller de l'avant. Il y avait encore beaucoup à faire mais en s'unissant les Aztèques avaient montré leur détermination et leur valeur.

Vanille remercia les Dieux de les avoir protégés mais la tristesse l'envahit en songeant à la souffrance que ce conflit avait engendrée dans tous les clans de la Province et au temps qu'il faudrait pour réparer le mal causé.
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Tlatelolco

[Misantla]

Encore une fois, le soleil se couchait. Mais cette fois, peu de sang avait coulé pour sa course : la guerre lui en avait déjà donné beaucoup. A présent, il ne réclamait que celui des sacrifices.

La rénovation du temple était achevée et deux stèles avaient été dressées. L'une instruisant les enfants du panthéon des dieux, l'autre en l'honneur du renouveau du clan, instauré par la conquête tlaxcaltèque.
Un réseau de canaux irriguait des plantations et desservait des bassins. De nouveaux puits avaient été creusés et, sur les routes pavées, nulle boue ne dévalait plus. Dans les tavernes et les maisons de plaisirs, les nahuas, débarassés de la tutelle aztèque, jouïssaient du plaisir de la paix retrouvée.

Nul ne se prétendait plus aztèque en ce clan où tous parlaient nahuatls et le savaient. Les dialectes sauvages, que les aztèques avaient introduits afin de diviser et d'affaiblir les nahuas, avaient été pourchassés. Le haut langage était enseigné à tous et des mots comme "texia", "iactopé", "manos" ou "famos" étaient ridiculisés... tant il était ridicule, ce dialecte inventé de toute pièce par les aztèques.

Le clan s'était doté d'un dieu tutélaire et avait choisi un symbole totemique. Il s'était placé sous la protection de la déesse Malinalxochitl, reine des serpents, des scorpions et des créatures du désert... mais aussi soeur de Huitzilopochtli, le dieu tutélaire de tous les aztèques, leurs ennemis. Ainsi, ils ne reniaient pas leur passé mais mettaient en exergue leur volonté de se séparer de ces mexicas qui ne parlaient pas leur langue et avaient voulu affaiblir leur culture. Le crotale mocassin avait été désigné comme symbole de la horde du clan. Bientôt, la case de la horde en serait décorée.

Une hutte en pierre se dressait, entre le tlatoani et la case de la horde. Ressemblant à une petite pyramide à deux étages, elle servait tout à la fois de bibliothèque, encore vide, et de demeure pour le Tiachcauh.
Sur le toit de cette demeure, un homme observait, debout les mains nouées dans le dos, jambes légèrement écartées, le soleil qui se couchait peu à peu.

Le faciès de cet homme était clairement étranger. Ni aztèque, ni metztitla, ni vraiment nahua, il s'agissait de toute évidence d'un métis maya. À ses oreilles percées, pendaient des obsidiennes faiblement teintées de notes vertes. Une plume rouge, une autre bleue et une troisième blanche étaient accrochées à ses cheveux d'un noir bleuté.
Il sourit, dévoilant deux rangées de dents limées en pointes acérées. Ses yeux tranquilles trahissaient de la malice, mais aussi une part de douceur tranchant avec la violence de ses peintures de guerre. Faites de lignes noires, bleues, vertes et rouges, elles lui donnaient vaguement l'air d'un jaguar. Impression que renforçaient ses dents et son comportement.

Dors, Misantla. Dors, mon peuple.
Ton avenir est assuré, je n'ai pas ménagé ma peine pour te voir grandir.
Pourtant... tu devras bien grandir loin de moi. Mais je reviendrai veiller sur toi. Quiconque te fera du tort, s'aliénera Calpan et les clans nord-orientaux.

Il soupira, trahissant la fatigue qui le minait. Son teint terne semblait témoigner qu'un mal l'avait rongé, ce que seule la marque à sa cheville pouvait expliquer : le venin du mocassin l'avait brûlé, mais il y avait survécu.

Il faudra bien que je parte, puisque je dois fonder une famille ailleurs. Tu as déjà faillis me coûter ma femme. Mais ne t'en fais pas, Misantla. Dors en paix : je te laisse mon meilleur esclave, un ami cher à mon coeur et un autre nahua vaillant à ses côtés. Ils sauront te protéger en mon nom... malgré les folies des dirigeants, et la soif de pouvoir de certains hommes. Qu'ils se prétendent aztèques, qu'ils veuillent les servir ou qu'il ne soit même pas encore arrivés... ils viendront un jour ou l'autre. Mais tu leur survivras.

Tu es devenue belle, Misantla. Et je vais te confier un secret.
Ma femelle pense que je l'ai trompé en son absence. Que je l'ai volontairement éloignée. Mais elle ne se trompe qu'à moitié.

Je n'ai pas choisis de l'éloigner... et je suis heureux qu'elle ait accepté de me représenter à Acatic.
La vérité, c'est que je t'aime, Misantla.
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Tiachcauh de Calpan et de Misantla
~ Les fourmis ne sont pas ce que l'on pense. ~
Partagé entre deux clans, déchiré entre la polygamie et l'amour.

Mittys

[Cactus occidental , Olintla]

Le Seigneur tout puissant devait s'en aller de Olintla et retrouver la hutte huiloapanèque ou les tortuesques l'attendaient. Il avait d'ailleurs bien des affaires à réaliser une fois rentrer reprendre son train de des plus banals ... celui d'un Seigneur quand même , mais un de ceux qui sont plutôt fainéant par moment , et il était de ceux la ... par moment , encore une fois.

IL venait de sortir de Olintla , devant lui la pampa qui le mènerait à Xaloztoc et ces guerriers d'une lucidité extrême. Il se retourna sur le clan qu'il avait une seconde fois fait tombé sous son joug , et il savait qu'une troisième prise du calpulli viendrait dans les prochaines semaines , mais que cette fois-ci ça serait la dernière qu'il ferait pour la conquête. Il regardait les huttes , les tavernes , celles qu'ils venaient de quitter quelques minutes auparavant sur un énervement intérieur sans précédent . Il savait qu'il aurait à parler rapidement à la Tlatoani Oriental , que son comportement commençait à lui sortir par les trou du nez , des oreilles , du c...

Il soufflait , il n'en pouvait plus des affronts qu'elles osaient émettre à son rang , à ne plus écouter son guerrier de père , à vouloir s'émanciper de tout , même des Dieux. Il voulait la remettre sur le droit chemin divin , elle n'était pas prêtresse pour des cocos non plus , et l'élu qu'il était avait besoin d'elle au près de lui pour l'aider dans sa tache de mettre le cinquième monde au pieds du pouvoir ultime qui est celui de Tlaxcala la magnifique . Mais pour l'heure , il allait retourner en Orient , mettre en place une des premières grandes pierres qui feraient de sa Seigneurie le phare du monde connu.
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Égocentrique , machiavélique , égoïste , acharné , haineux , stratège , perfide , arrogant , surréaliste , mégalomane , fanatique , tortueux , impénétrable , grande gueule , secret , animal politique ... Tout simplement Mittys est exceptionnel.

Oulaup

[Acatic]

Acatic la grande, comme la nommait ses habitants… Une des villes les plus civilisées de cette province de haute altitude, où les roches gigantesques en accentuaient le côté désertique et aride…

Acatic témoin de leur défaite… De leurs blessures tant physiques que morales… De leur rage de ne pas avoir été assez nombreux…

Acatic était enfin loin derrière eux…
Comme la plupart de ses frères et sœurs de combat, Oula ne supportait plus cette ville… Aussi, quand l’ordre fut donné de se mettre en route, elle hurla de joie…

TOUS A CALLI !

L’écho que lui renvoya le massif montagneux amplifiant sa voix, elle se mit à rire très fort pour le faire résonner en retour… le jeu était trop amusant pour qu’elle s’arrête ainsi… renouvelant plusieurs fois son plaisir, elle termina en hurlant :

JE T’AIME MON GUERRIER !!!!!

A grandes enjambées elle rejoignit sa lance accompagnée par cette dernière phrase que lui reflétait la montagne…

[Totolan]

Après un voyage harassant, au petit matin, ils étaient arrivés à Totolan… Les coyotes devaient s’y rassembler pour rentrer au plus vite… Cuamantzingo avait besoin d’eux… Leur propre village était en danger… Ceux qui bafouaient les lois du Tonalamatl voulaient prendre le pouvoir… Les étales du marché étaient vides… Le clan affamé attendait leur retour…

Quelques jours dans cette "bonne ville de Totolan" avaient finis de ruiner le moral, dèjà bien terne, de la Fouine… Cueillette de fruits, vente de la récolte pour l’achat de haricots… Jusqu’au retour de Sacha, la journée lui laissait le goût amer de l’ennui…
En dehors de ces rares occupations, la jeune femme déambulait dans le clan, s’en éloignant parfois pour s’enfoncer dans la végétation si différente de celle de sa province…

Aujourd’hui, elle avait aperçu un homme qui, dévalant la colline, hurlait :

Tototlan, je suis revenu !

A mesure qu’il se rapprochait d’elle, les yeux perçants de la Fouine le dévisageaient…

Elle l’avait vu à Acatic, elle en était certaine… Un guerrier aztèque… Agilité d’un tigre… coups précis… force à toute épreuve… Jetant un rapide coup d’œil pour juger de ceux qui l’entouraient, son regard avait croisé l’homme…
Bien que ne l’ayant vu que de profil, le dessin de son front, la ligne de son nez, l’angle de sa bouche avaient marqués son esprit…

Elle eut envie de crier à son tour: Totolan je te hais!

Mais avant qu’il ne soit qu’à quelques pieds d’elle, elle tourna les talons… cueillant au passage un des rares brins d’herbe qui semblait égaré… elle le porta entre ses lèvres, en mâchouilla l’extrémité pour en extraire la sève…
En traînant le pas, elle repris son chemin…
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NK c'est NK et les RR's sont les RR's! NK n'est pas les RR's. Ne pas confondre!

Saphira

[Tototlan, avec les derniers]

Les journées chaudes et seches s'enchainaient dans la province.

Saphi, habituée a vivre au bord de l'eau, que ce soit une rivière dans son enfance, ou le lac de Mazapa, avait du mal à supporter le climat de Tototlan.
Apart un petit court d'eau, de deux pieds de longueur, elle n'avait trouvé aucun endroit où se rafraichir.

Le manque d'eau n'aurait pas été si pesant si au moins elle s'occupait à une tâche, seule ou à plusieurs.
Seulement sa blessure à la cuisse ne lui permettait pas de faire grand chose. A peine un geste vif, et la plaie la tiraillait.

La lassitude et la fatigue s'étaient installées en elle. Surtout depuis que les coyotes avaient pris la route pour rentrer chez eux, la laissant attendre les retardataires.
Elle n'avait même pas eut le courage de les regarder partir.
Elle aurait tant aimé partir avec eux pour rentrer plus vite chez elle, à Mazapa, là où ses amis l'attendaient. Mais elle avait choisit de rester.
Rester attendre que Breiz revienne du temple après avoir finit son enquete sur l'empoissonement de leur chauve barbu, rester tenir sa promesse et prendre soin de celui-ci, rester pour rentrer avec Ame et la défendre sur le chemin.

Si au moins elle trouvait Kiss pour s'occuper de lui, même s'il prétendait aller au mieux malgré le poison qu'il avait avalé. Il disparaissait en début de journée et ne revenait parfois que pour l'emmener au verger ou pour dormir.

Ce matin là aussi, la natte était vide au reveil, et elle se retrouvait encore seule. Elle commençait à prendre l'habitude ... elle retrouvait sa solitude avec douceur, elle lui permettait de réfléchir, de se rememorer...
Même si elle regrettait la présence de Sothaca qui l'avait tant réconforté lorsqu'elle avait eu des doutes, et lorsqu'elle avait appris la mort de celui qui aurait du devenir son époux. Au fil des jours, elle avait ouvert son coeur à son amie, avait partagé toutes ses craintes et ses envies, comme elle le faisait avec sa soeur avant que celle-ci ne décide de se sacrifier pour le bien de la famille un cycle lunaire plus tôt.

Avec un soupire triste, elle regarda dans la direction qu'avait pris les guerriers quelques jours avant.
Les autres aussi commençaient à lui manquer.

La perspective de la journée ne l'enchantant que très peu, elle se recoucha après avoir manger un fruit dans l'espoir de se reveiller au bord du lac, sa main dans celle de Cuh, et de constater qu'elle n'avait fait que rever.
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Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d'y rester

Breiz

Amaigrie, hagarde, la jeune femme sortit du temple. Difficile de la reconnaitre au premier coup d'oeil. Parce que les yeux verts clignent sans discontinuer tant la lumière lui semble aveuglante au sortir du temple obscur. Parce que la peau d'albâtre dont elle était si fière était grisâtre, striée de poussière. Parce que les cheveux flamboyants étaient collées en mèches oranges. Et, surtout, parce qu'elle tenait dans ses mains ensanglantées ses lames d'obsidienne noire.

On ne s'en prenait pas impunément au seul guerrier qu'elle aimait.

La traque avait été longue. Plus que ce qu'elle imaginait. Près de dix jours pour remettre la main sur l'empoisonneur.
Dix jours à se faufiler dans les dédales du Temple. A faire semblant de prier parfois, la journée. Pour utiliser ses nuits à ramper dans les lieux les plus sombres du l'édifice. Ecouter aux portes. Suivre les esclaves dans la fange. Se faire passer pour esclave parfois.
Dix jours à ne se nourrir que de ce qu'elle trouvait. A chercher. A recouper ses maigres informations.
Dix jours sans savoir si le guerrier était remis de son empoisonnement. Sans savoir si la guerrière s'était remise de sa blessure à la cuisse. Dix jours sans aucun contact avec l'extérieur. Dix jours à esquiver les contacts désirés par certains prêtres.
Dix jours à ne penser qu'à venger son guerrier.

Quand, enfin, elle avait retrouvé le coupable... Un prêtre de la pire espèce, ayant tourné le dos aux Dieux pour servir les êtres de l'ombre...
Elle l'attendit, simplement, au détour d'un couloir sombre. Un couteau d'obsidienne dans chaque main. Quand il était apparu, seul, elle avait bondit, silencieusement, et lui avait tranché la gorge. Sans lui laisser le temps de se débattre. Le regardant dans les yeux alors que le sang coulait à flots du cou. Un regard de pure haine. Et quelques mots glissés au mourant. Qu'il meure en sachant pourquoi.

Puis elle se redressa, les mains crispées sur ses couteaux, et s'éloigna d'un pas vif, laissant l'homme se noyer, seul, dans son propre sang.

On ne s'en prenait pas impunément au seul guerrier qu'elle aimait.

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Adepte du "à poil way of life"

Achète esclave, pour garde rapprochée (contact par mp)

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[RP]Le soleil se lève au Levant...