Gloria.fechter
Laspirante chevalier et la joueuse sétaient quittées en début de soirée pour mieux se retrouver un peu plus tard pour une activité des plus folkloriques. Dans le soleil déclinant, Gloria avait rejoint lauberge champenoise quelle louait pour faire sa toilette et pour cause, le thème de la soirée, et surtout Charline, lui demandaient dôter sa carapace métallique.
Elle revêtit pour loccasion une nouvelle tenue fraîchement acquise nommée par le tisserand Panoplie Honneur du duelliste. Le nom avait de suite plu à la Fechter sans compter le savant mélange des teintes cyan et carmine relevé de pointes de doré. Les étoffes étaient luxueuses et la coupe ergonomique, il nen fallut pas plus à la Nonne pour craquer et se loffrir.
Ce soir donc, la blonde étrennait cette nouvelle parure. Pour la coiffure, elle retoucha sa couronne tressée pour entrelacer les mèches claires de rubans rouges et bleus. Elle sobserva un instant dans le grand miroir de la chambrée puis satisfaite du résultat, repartit dans la chaleur du soir.
Les derniers rayons de lumière perçaient lhorizon quand la jeune femme bien parée rejoignit le lieu de rendez-vous. Alors quelle déambulait dans cette énième ville de Champagne, laspirant chevalier constata que les habitants étaient restés bien à labri de la chaleur étouffante même la nuit venue. Il y avait très peu de monde dans les rues ce qui linquièta un peu sur lambiance à venir. Cependant, plus elle sapprochait de lendroit convenu plus les visages se faisaient nombreux et souriants. Un attroupement de joyeux villageois chantant et riant devant un établissement rassura la Fechter dont les iris de jais se redressèrent sur lenseigne. Cétait donc là.
Jouant des épaules pour se faufiler à lintérieur de la bâtisse assez modeste en apparence, la blonde fut ravie de voir que la même atmosphère de fête régnait entre les murs et ce, malgré la température dans la vaste pièce. Laspirante chevalier, dans sa toilette, ne sétait pas mis en avance quand à lheure des retrouvailles. Ses pupilles charbonneuses observaient lanimation se jouer devant elle, la fête battant déjà son plein. Par chance ou non, Gloria était mince mais élancée, trop grande même. Ce qui lui permettait de surplomber les têtes à la recherche de la familière. Après un temps à la chercher, une main fine se glissa sur son épaule de cyan vêtue et les lippes rosées sétirèrent dun large sourire:
Pardonnez mon retard, Charline
Vous êtes toute pardonnée, ma chère Gloria.
Le sourire sétira également sur les lèvres de la chapardeuse. Et pendant que son acolyte se préparait, la patte de velours aiguisait ses griffes. Elle avait malgré tout pris le temps de se changer, elle aussi, mais de manière plus succincte. Une nouvelle chemise, verte foncée, pour sallier à ses yeux. Des braies sombres, ainsi quune paire de bottines. Lélégance nétait pas le fort de Charline, qui préférait laisser le chevalier soccuper de soigner les apparences. De toute façon, la féline ne possédait pas de tenue vraiment bien habillée ou de bonne qualité.
Ensuite, elle était revenue errer au travers de la foule, guettant son heure, attendant sa proie. Et tandis que Gloria tardait à se faire belle, Charline déambulait. Le peuple fêtait lété, et Charline fêtait les poches pleines laissées sans surveillance. De toute façon, il lui faudra bien quelques écus pour offrir à boire à la belle, non ?
Désormais, cest Charline qui a les poches pleines, mais rien ne lui appartient, ou presque. Les pattes de la voleuse se glissèrent dans celles, plus large, du chevalier qui la dominait par la taille.
Vous êtes magnifique, Gloria. Il ne vous manque quune seule petite, toute petite, touche Ne bougez pas
La féline fouilla un instant ses affaires, afin den sortir un écrin de velours quelle ouvrit, dévoilant aux yeux de la nonne une belle rose aux pétales noir. Ramassant la fleur, Charline la glissa ensuite dans la chevelure blonde, à travers les rubans. Enfin, elle adressa un sourire satisfait à son acolyte.
Voilà. Parfait. Je vous loffre.
Et maintenant, montrez moi comment votre corps se meut. Une grande et fière chevalier comme vous doit savoir se déhancher, non ? Vous savez, beaucoup assimilent les combats à la danse. Ce nest pas mon cas, mais nous allons voir cela avec vous !
Et Charline entraina Gloria, sans la lâcher, près des joueurs de luth
La Fechter était conquise par la beauté du geste et du présent ornant maintenant sa chevelure. Main dans la main, les deux jeunes femmes se rapprochèrent de lespace dédié aux danseurs. Le groupe de musiciens poursuivait leur répertoire de mélodies plus entraînantes les unes que les autres. Les villageois se mouvaient en rythme, chorégraphie de groupe ou de couple selon le morceau entamé. Par chance, la première musique sur laquelle Charline et Gloria se déhanchèrent, était une chanson très populaire, en vogue dans tous les bals de village. La danse était simple à exécuter et facile à retenir. Tout le monde en cercle bras dessus bras dessous, un pas vers la gauche, deux pas vers la droite, un claquement de main sur le bruit du tambour et les filles passent au partenaire suivant vers la gauche. La Nonne ne se départissait pas de son sourire et son oeillade jonglait entre ses bottes et la présence rassurante de son acolyte. Sen suivit une seconde farandole bruyante dont les pas étaient un peu plus brouillon. Perdant du public face à la complexité des mouvements à reproduire, les musiciens se hâtèrent vite dachever lair pour repartir sur un chant damour, invitant les couples à se former. Laspirante chevalier se fit rapidement mandé par un cavalier et voyant que Charline navait pas autant de succès, déclina la proposition. Timidement et sans un mot, tandis que les premières notes résonnèrent, la blonde offrit sa paume à la patte de velours.
Apprenez-moi à danser, tendre Charline.
Cha rigola, de voir Gloria se perdre dans la danse et de manquer quelques pas. Et elle rigola plus encore de la voir se faire aborder aussitôt le chant intime annoncé. Il y en a qui ne doutent de rien. Voler une voleuse ! Parce que, oui, ce soir, Gloria est SA partenaire, et en ce sens cet homme venait de tenter de la voler. Aussi, le regard perçant du chaton prit le temps de parcourir lindividu des bottes aux cheveux, histoire de graver son visage et sa silhouette dans sa tête. Pour sûr quil lui arrivera quelques bricoles en sortant dici.
Mais pour lheure, la danse était de mise, et Charline mêla ses doigts à Gloria. Puis le reste du corps vint se coller à celui de la blonde, alors que son visage affichait un sourire moqueur. Charline jouait assurément avec la gêne de son acolyte, un peu plus réservée vis à vis de la proximité avec une autre femme. Le chevalier dominait la voleuse par la taille, ce qui ne gênait nullement Cha qui enlaça Gloria, enroulant son bras encore libre autour des hanches de lingénue.
Mais avec plaisir. Enlacez moi, très chère. Vous êtes plus grande et plus forte. Enlacez moi comme si jétais à vous. Enlacez moi comme si vous vouliez me protéger et me retenir.
Etait-ce nécessaire? Surement pas. Mais avouons que la féline adorait mettre la blonde dans lembarras.
Et lorsque la musique démarrera, suivez mes pas. Desserrez votre étreinte, que vos doigts effleurent mon dos comme sils touchaient la chose la plus précieuse au monde. Comme si vous aviez peur quau moindre contact, je tombe en poussière.
Et puis, lentement, Charline l'entraîna. Elle tourna avec Gloria, tout en se déplaçant dans la pièce, entre les divers couples. Peu à peu, elle prenait de lassurance, et alors les pas gagnèrent en rythme. Dun simple câlin tournoyant, elle passa à quelques chose de plus dynamique. La féline invita Gloria à la suivre encore, puis elle commença à virevolter, faisant parler son agilité acquise à force de courses poursuites dans les rues et sur les toits.
Un sourire radieux illuminait son visage. Charline prenait du plaisir, ce soir, et pour une fois rien nétait feint. Elle était vraiment heureuse de se retrouver là.
Le teint cramoisi par lintime proximité entre elles, la Fechter prit au mot la danseuse. Dabord, le maintien se fit puissant et possessif puis quelques pas de danse suivant, les paumes blanches du chevalier effleurèrent délicatement les courbes de Charline comme si elle était cristal ou porcelaine. Elle jongla entre ses deux étreintes le long de la musique se faisant forte ou tendre selon les notes. Les iris de jais se perdirent dans les traits de la brune. Gloria navait dyeux que pour la femme virevoltant au creux de ses bras dans une grâce infinie. Son coeur se pinça démotion devant tant de beauté et le rouge perdura encore sur ses joues laiteuses. La Nonne retenait tant bien que mal son souffle salourdissant dans sa poitrine. Elle découvrait lagilité de la belle entre ses paumes en détaillant ses gestes de loeil charmé, la menant du bout des doigts dans ses arabesques chorégraphiés. La salle disparut alors de son champ de vision, la musique se tut à ses oreilles. Il ny avait plus que Charline et le coeur tendre de Gloria qui battait pour elle.
Trop vite, le chant prit fin et la réalité reprit son cours. Le brouhaha des rires mêlé aux notes des instruments la sortit de son rêve éveillé en même temps que lagitation se faisant sur la piste de danse. Quelques bousculades plus tard, les voilà reparties de bon coeur sur des chorégraphies endiablées. Entre deux danses, un verre vidé, histoire de se rafraichir et le rythme fut tenu ainsi jusque très tard dans la nuit. Les deux fêtardes sortirent au petit matin, les jambes courbaturées mais le coeur léger. Elles regagnèrent lauberge champenoise en chantant et dansant encore et toujours. Elles avaient passées là une très bonne soirée. Une soirée dont le coeur de laspirante chevalier se souviendrait tant il avait tambouriner!
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Elle revêtit pour loccasion une nouvelle tenue fraîchement acquise nommée par le tisserand Panoplie Honneur du duelliste. Le nom avait de suite plu à la Fechter sans compter le savant mélange des teintes cyan et carmine relevé de pointes de doré. Les étoffes étaient luxueuses et la coupe ergonomique, il nen fallut pas plus à la Nonne pour craquer et se loffrir.
Ce soir donc, la blonde étrennait cette nouvelle parure. Pour la coiffure, elle retoucha sa couronne tressée pour entrelacer les mèches claires de rubans rouges et bleus. Elle sobserva un instant dans le grand miroir de la chambrée puis satisfaite du résultat, repartit dans la chaleur du soir.
Les derniers rayons de lumière perçaient lhorizon quand la jeune femme bien parée rejoignit le lieu de rendez-vous. Alors quelle déambulait dans cette énième ville de Champagne, laspirant chevalier constata que les habitants étaient restés bien à labri de la chaleur étouffante même la nuit venue. Il y avait très peu de monde dans les rues ce qui linquièta un peu sur lambiance à venir. Cependant, plus elle sapprochait de lendroit convenu plus les visages se faisaient nombreux et souriants. Un attroupement de joyeux villageois chantant et riant devant un établissement rassura la Fechter dont les iris de jais se redressèrent sur lenseigne. Cétait donc là.
Jouant des épaules pour se faufiler à lintérieur de la bâtisse assez modeste en apparence, la blonde fut ravie de voir que la même atmosphère de fête régnait entre les murs et ce, malgré la température dans la vaste pièce. Laspirante chevalier, dans sa toilette, ne sétait pas mis en avance quand à lheure des retrouvailles. Ses pupilles charbonneuses observaient lanimation se jouer devant elle, la fête battant déjà son plein. Par chance ou non, Gloria était mince mais élancée, trop grande même. Ce qui lui permettait de surplomber les têtes à la recherche de la familière. Après un temps à la chercher, une main fine se glissa sur son épaule de cyan vêtue et les lippes rosées sétirèrent dun large sourire:
Pardonnez mon retard, Charline
Vous êtes toute pardonnée, ma chère Gloria.
Le sourire sétira également sur les lèvres de la chapardeuse. Et pendant que son acolyte se préparait, la patte de velours aiguisait ses griffes. Elle avait malgré tout pris le temps de se changer, elle aussi, mais de manière plus succincte. Une nouvelle chemise, verte foncée, pour sallier à ses yeux. Des braies sombres, ainsi quune paire de bottines. Lélégance nétait pas le fort de Charline, qui préférait laisser le chevalier soccuper de soigner les apparences. De toute façon, la féline ne possédait pas de tenue vraiment bien habillée ou de bonne qualité.
Ensuite, elle était revenue errer au travers de la foule, guettant son heure, attendant sa proie. Et tandis que Gloria tardait à se faire belle, Charline déambulait. Le peuple fêtait lété, et Charline fêtait les poches pleines laissées sans surveillance. De toute façon, il lui faudra bien quelques écus pour offrir à boire à la belle, non ?
Désormais, cest Charline qui a les poches pleines, mais rien ne lui appartient, ou presque. Les pattes de la voleuse se glissèrent dans celles, plus large, du chevalier qui la dominait par la taille.
Vous êtes magnifique, Gloria. Il ne vous manque quune seule petite, toute petite, touche Ne bougez pas
La féline fouilla un instant ses affaires, afin den sortir un écrin de velours quelle ouvrit, dévoilant aux yeux de la nonne une belle rose aux pétales noir. Ramassant la fleur, Charline la glissa ensuite dans la chevelure blonde, à travers les rubans. Enfin, elle adressa un sourire satisfait à son acolyte.
Voilà. Parfait. Je vous loffre.
Et maintenant, montrez moi comment votre corps se meut. Une grande et fière chevalier comme vous doit savoir se déhancher, non ? Vous savez, beaucoup assimilent les combats à la danse. Ce nest pas mon cas, mais nous allons voir cela avec vous !
Et Charline entraina Gloria, sans la lâcher, près des joueurs de luth
La Fechter était conquise par la beauté du geste et du présent ornant maintenant sa chevelure. Main dans la main, les deux jeunes femmes se rapprochèrent de lespace dédié aux danseurs. Le groupe de musiciens poursuivait leur répertoire de mélodies plus entraînantes les unes que les autres. Les villageois se mouvaient en rythme, chorégraphie de groupe ou de couple selon le morceau entamé. Par chance, la première musique sur laquelle Charline et Gloria se déhanchèrent, était une chanson très populaire, en vogue dans tous les bals de village. La danse était simple à exécuter et facile à retenir. Tout le monde en cercle bras dessus bras dessous, un pas vers la gauche, deux pas vers la droite, un claquement de main sur le bruit du tambour et les filles passent au partenaire suivant vers la gauche. La Nonne ne se départissait pas de son sourire et son oeillade jonglait entre ses bottes et la présence rassurante de son acolyte. Sen suivit une seconde farandole bruyante dont les pas étaient un peu plus brouillon. Perdant du public face à la complexité des mouvements à reproduire, les musiciens se hâtèrent vite dachever lair pour repartir sur un chant damour, invitant les couples à se former. Laspirante chevalier se fit rapidement mandé par un cavalier et voyant que Charline navait pas autant de succès, déclina la proposition. Timidement et sans un mot, tandis que les premières notes résonnèrent, la blonde offrit sa paume à la patte de velours.
Apprenez-moi à danser, tendre Charline.
Cha rigola, de voir Gloria se perdre dans la danse et de manquer quelques pas. Et elle rigola plus encore de la voir se faire aborder aussitôt le chant intime annoncé. Il y en a qui ne doutent de rien. Voler une voleuse ! Parce que, oui, ce soir, Gloria est SA partenaire, et en ce sens cet homme venait de tenter de la voler. Aussi, le regard perçant du chaton prit le temps de parcourir lindividu des bottes aux cheveux, histoire de graver son visage et sa silhouette dans sa tête. Pour sûr quil lui arrivera quelques bricoles en sortant dici.
Mais pour lheure, la danse était de mise, et Charline mêla ses doigts à Gloria. Puis le reste du corps vint se coller à celui de la blonde, alors que son visage affichait un sourire moqueur. Charline jouait assurément avec la gêne de son acolyte, un peu plus réservée vis à vis de la proximité avec une autre femme. Le chevalier dominait la voleuse par la taille, ce qui ne gênait nullement Cha qui enlaça Gloria, enroulant son bras encore libre autour des hanches de lingénue.
Mais avec plaisir. Enlacez moi, très chère. Vous êtes plus grande et plus forte. Enlacez moi comme si jétais à vous. Enlacez moi comme si vous vouliez me protéger et me retenir.
Etait-ce nécessaire? Surement pas. Mais avouons que la féline adorait mettre la blonde dans lembarras.
Et lorsque la musique démarrera, suivez mes pas. Desserrez votre étreinte, que vos doigts effleurent mon dos comme sils touchaient la chose la plus précieuse au monde. Comme si vous aviez peur quau moindre contact, je tombe en poussière.
Et puis, lentement, Charline l'entraîna. Elle tourna avec Gloria, tout en se déplaçant dans la pièce, entre les divers couples. Peu à peu, elle prenait de lassurance, et alors les pas gagnèrent en rythme. Dun simple câlin tournoyant, elle passa à quelques chose de plus dynamique. La féline invita Gloria à la suivre encore, puis elle commença à virevolter, faisant parler son agilité acquise à force de courses poursuites dans les rues et sur les toits.
Un sourire radieux illuminait son visage. Charline prenait du plaisir, ce soir, et pour une fois rien nétait feint. Elle était vraiment heureuse de se retrouver là.
Le teint cramoisi par lintime proximité entre elles, la Fechter prit au mot la danseuse. Dabord, le maintien se fit puissant et possessif puis quelques pas de danse suivant, les paumes blanches du chevalier effleurèrent délicatement les courbes de Charline comme si elle était cristal ou porcelaine. Elle jongla entre ses deux étreintes le long de la musique se faisant forte ou tendre selon les notes. Les iris de jais se perdirent dans les traits de la brune. Gloria navait dyeux que pour la femme virevoltant au creux de ses bras dans une grâce infinie. Son coeur se pinça démotion devant tant de beauté et le rouge perdura encore sur ses joues laiteuses. La Nonne retenait tant bien que mal son souffle salourdissant dans sa poitrine. Elle découvrait lagilité de la belle entre ses paumes en détaillant ses gestes de loeil charmé, la menant du bout des doigts dans ses arabesques chorégraphiés. La salle disparut alors de son champ de vision, la musique se tut à ses oreilles. Il ny avait plus que Charline et le coeur tendre de Gloria qui battait pour elle.
Trop vite, le chant prit fin et la réalité reprit son cours. Le brouhaha des rires mêlé aux notes des instruments la sortit de son rêve éveillé en même temps que lagitation se faisant sur la piste de danse. Quelques bousculades plus tard, les voilà reparties de bon coeur sur des chorégraphies endiablées. Entre deux danses, un verre vidé, histoire de se rafraichir et le rythme fut tenu ainsi jusque très tard dans la nuit. Les deux fêtardes sortirent au petit matin, les jambes courbaturées mais le coeur léger. Elles regagnèrent lauberge champenoise en chantant et dansant encore et toujours. Elles avaient passées là une très bonne soirée. Une soirée dont le coeur de laspirante chevalier se souviendrait tant il avait tambouriner!
RP à quatre mains avec JD Charline_
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