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[RP] Mais où sont les plumeeeees?

Chuichianoc
Aieuuu fit la petit voix dans sa tête. Ah oui juste dans sa tête parceque le garde il a été envoyé au tapis...

Mais reprenons le combat a l'aide de nos deux commentateurs préféré.
Chuichianoc est chaud comme un lapin angora des plaines de Tlaxcalla, il se lance sur Kalamite.
Kalamite riposte tel l'aigle, et lui colle un coupde massue: fulgurant et très efficace.

Chuichianoc... et non Chuichianoc est à terre entamant la danse du ver de terre en plein soleil quand Kalamite se décide a lui envoyer un coup de pied dans les côtes.
Oui magnifique tir pleine lucarne qui se termine au fond des filets. On peut dire que le match fut rapidement plié.
Oui Thierry, sur le papier, "Noc avait un léger avantage offensif mais la petite en face ne s'est pas laissé démonter. Elle a joué adroitement en associant pied et massue. Le centre à la fin fut de toute beauté.

Voila, match tribal c'est terminé pour ce soir, rendez vous la prochaine fois pour la suite de nos aventures.


Ouéoué?
déclara un Chuichianoc un peu à l'ouest (pour un oriental c'est pas de pot) en essayant d'ajuster ses mirettes (Kalamite en double c'est pas top.)
Ka'a? Ka'a c'est toi? Il est où euh... le plumé? Pas le dindon l'autre là...

Regard hagard tout autour de lui pour chercher l'insaisissable Plumocaxtla, et tentative désespéré de reprendre son souffle. Que ne ferait-il pas pour sa grande prêtresse, pas dis que celle-ci le lui rendait.

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Maitre d'Olintla: Clan offert à La Grande Prêtresse Kalamite pour le début de son règne.

Il semblerait que vous ne perceviez pas cette phrase: Pas de réponse au HRP dans les sujets RP
Kalamite
[Aube du jour 3]

Ah bah oui, c'est bien le Noc.
Tatloani agenouillée qui palpe le grand corps étendu pour vérifier l'étendue des dégâts. Une cote fêlée, au moins, elle a raté le foie de peu. La tête a reçu en touchant le sol. Heureusement pour lui, elle a visé pile au milieu. Un peu plus haut, elle pouvait dire adieu aux conseils avisés du Subtil, un peu plus bas, il parlait avec une voix de chapon, le reste de ces jours.

Le dindon, quel dindon?
Elle essaye distraitement de comprendre le délire du Noc. Faut dire que là, elle hésite entre le soulagement, le fou rire et la colère. Émotions qui s'entremêlent et se nourrissent les unes les autres. Pas possible ce genre de situations, ça ne peut arriver que chez les Orientaux. Elle se laisse aller au fou rire libérateur, soulagée de ne pas avoir cassé son conseiller préféré.
Elle pose une main légère sur le front et le caresse du bout des doigts.

Faut vraiment que t'arrêtes avec les dindes, tu vas finir par te faire mal...
Elle se relève à l'arrivée des autres gardes attirés par le bruit.
Grand blessé transporté au campement.
Dans la journée entre une cérémonie au temple et une demande en mariage d'un style particulier, elle ira régulièrement prendre de ses nouvelles et vérifier que tout va bien.

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Tlaxcallane avant tout
Pas de réponse au HRP dans les sujets RP
Arami_le_sombre
Misantla, jour 1, fin de soirée

Le brave guerrier se fatigue doucement de retenir le filet de cailloux. Ses mains, bien plus ensanglantées par les cordes que par la bataille qu’il à des quelques instant loupé. Même la cueillette de plume lui a totalement échappé, les arrières trains tout boursouflés sont déjà complètement dégarnis. De toute évidence, l’usage de la massue a été proscrit durant la prise de la bâtisse. Aucun corps broyer ni mutilé ne traîne sur le sol, même le sang se fait rare sur le bout de terre. Il arrive cependant juste au bon moment pour rassemblé les corps assommés en tas avant de nettoyer l’entrée du cappuli. L’hystérique déjà entrain de retourner les installations précaires psalmodie une chanson oh combien amusante pour plumer les dindon. Il lui faudra l’apprendre aux jeunes de son clan dés son retour chez lui. Il deviendra un hymne au plumage. N’ayant plus rien a faire là, il lâche ses cailloux qui surprit par la résistance disparue s’effondre en groupe, la tête dans la boue. Dans un premier temps, il lui vient l’envie de ramasser ses cailloux mais non, il les laisse se débrouiller. Il prend dans un chemin des plus boueux, à la recherche d’un des nombreux centres de picole dont les guerriers rentré au clan lui ont vanté les mérite.

Pff un peu de répit, vais me vider la tête, me reposer les pieds et enfin m’humidifier le gosier.

D’un geste rapide, il vérifie la contenance de sa bourse. Les ordres sont claires et précis : pas de pillage tant que l’ordre ne lui est pas donné. On aide pour l’instant la population, tant qu’on n’est pas fixé sur les intentions de la gouvernance de la province atzeque. Dés lors, c’est ses économies en mains qu’il s’avance dans le premier encadrement pour arriver devant des tonneaux de pulques protégé par un paysan.
Aussitôt qu’il s’est rendu compte de l’état totalement vide des barriques, il passe à la suivante, puis à la suivante et encore une de plus. Les guerriers ont déjà vidées les tonneaux de la plus part des exploitants qui se gargarisent de leur revenu de la journée. Tous se plaisent des revenus intéressants que l’armée taxcallane leur ramène.
Déjà , il croisent les troupes qui distribue les tortillas à la population affamées par une sécheresse un peu étrange ainsi que par une province dont les dirigeant parle de leur bien être mais pas de celui de ces pauvres frères. L’tata Mite ne perd donc pas la moindre seconde. La fierté de servir son tatlaoni lui gonfle la poitrine vite refroidie par son manque d’utilité, trop occupé avec des cailloux très lourds et suffisamment rond pour l’empêché de graver une colline. Dés lors, l’aire un peu morose, il trouve enfin l’objet de son désire, une barrique pleine à un prix fort attractif. Il y noie ses pensées dans une multitude de bols.
Une fois bien entamé, il rejoint le campement, pour vérifier si ses cailloux sont bien la. Sans même prendre la peine de leur porter un regard, il sens la présence de ceux-ci a leur odeur de pied au combien caractéristique. Il en est presque malade mais s’écroule sur le lit avant de sombrer sur le tas de tissus sensé le protégé des éléments et qui lui servira de paillasse pour la nuit étoilée.

Misantla jour 2

Le soleil se lève, et chatouille un bout de joue exposé en dehors de la masse de fourrure traînant sur le sol.

Déjà l’matin ! pfff peut pas éteindre les bougie nan ça cogne dans l’tête !

Malgré tout il sort sa tête, les coutures de sa paillasse de fortune imprimé sur le visage. Il se lève, maugréant toutes sorte d’insanité incompréhensible pour les autres tant la brume qui recouvre son esprit et épaisse. Il a bien trop forcé sur le pulque alors que son ventre n’avait pas été rempli comme il le fallait. Ses yeux cherchent ses cailloux et déjà une exaspération s’étend dans son corps raidi. Déjà des questions idiotes aux réponses évidentes. La journée s’annonce ainsi relativement longue encore une fois.
Il se dépêche à effectuer un brin de toilette avant de prendre la direction du clan ainsi soumis. Les tâches, bien qu’il ne doive pas garder le cappuli aujourd’hui, sont nombreuses. Ses premiers pas le pousse à la rencontre des guerriers déjà à l’œuvre dans la mise en place des canaux de drainage pour assécher les ruelles du clan. Malheureusement, les cailloux sont là. Il faut leur montrer comment utiliser les outils afin de creuser ses canaux et la chose se complique à chaque démonstration. Leur esprits sont de plus en plus confus et leur compréhension de plus en plus étroite. Vous avez déjà essayer d’apprendre a creuser à un cailloux, oui alors on se comprend. Cependant, les taches se font, ralentie par moment par une agression d’un guerrier ennemi ayant oublie que le capulli, il fallait le défendre la veille pour ne pas qu’il soit prit.
Vers la fin de la journée, il part à la conquête des plumes pour l’jeune chieuse qui court encore par ci par la a la recherche d’une nouvelle coiffe a exhibé. Faudra bien qu’el paye quelques bols pour faire passé ses caprices qui ne se doivent d’aucune justification au vu de son rang.
Le soir recouvre de nouveau sa toile noire sur le clan encore animé. Un de ses cailloux
manque à l’appelle, un autre lui indique la direction qu’il a prit. Ni une ni deux, les trois
cailloux sont bien attaché pour éviter toute bêtise et ara s’encourt vers le capulli. Le caillou ne sait même pas rendu compte que la prise du capulli avait eut lieux la veille et s’en est allé à la conquête d’un bâtiment qu’ils possèdent déjà.
Arrivé sur les lieux un peu tard, c’est un guerrier dont le visage est boursouflé par les baffes qu’il a prit, qu’il retrouve allongé sur le bord du chemin. Il avait essaye d’affronte les gardiens du capulli qui ne l’avait pas reconnu et s’en était donné à cœur joie.
Décidément ! Que vais-je faire de mes cailloux moi je désespère.

Misantla, jour 3

Le repos enfin gagné, le guerrier se lève alors que l’agitation règne en maître dans le clan. On cherche quelques guerriers pour garder l’entré du capulli. Ara saute sur ses pieds. Si ses guerriers veulent prendre des baffes, autant que ce soit en étant utile, il décide donc de les proposer. Le soutient du premier groupe, lui est confie et sans attendre une seconde, il se dirige vers le bâtiment pour un bon bout de temps de garde.
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