Trystan.
Saintes... Démon...
Quoi de mieux pour lui que de s'être installé ici.
Quel pied de nez merveilleux!
Pour sa plus grande déception, il n'y a bien que lui qui peut goûter la cocasserie de la chose.
Le fait de ne pouvoir le crier sur les toits est toutefois compensé par le sourire constant qu'il affiche.
Moqueur.
Tonton Trystan veille sur sa "nièce".
Où donc est-elle d'ailleurs?
Il se promène au travers les pièces de l'appartement, sans la trouver.
Sans doutes en train de confesser les habitants.
La haute silhouette finit par se découper devant une fenêtre tandis qu'il lance un il torve au clocher de l'église.
Il est persuadée qu'elle fait cela juste pour les faire bisquer.
Agacé, Trystan abandonne son poste d'observation.
Il a envie de déguster de ces confiseries que l'on trouve sur les étals du marché.
Voilà bien une idée fabuleuse qu'ils ont eu là!
Donner à des douceurs leurs noms.
Ouh qu'il s'en réjouit.
Devant le choix qui s'offre à lui, il ne sait trop que décider.
Déguster ces divines poires confites, parfaitement parfaites?
Toutes à son image.
A moins qu'il ne morde avec délectation dans les nougats de Bélzebuth, imaginant par là croquer le Frère Avare.
C'est qu'il se rappelle d'une fourchette traversant allégrement le plat de la main d'Avarice, et il recommencerait bien avec plaisir.
Étrangement, les prunes de Léviathan ne lui font guère envie...
Pour peu qu'elles soient aussi sèches et crâpies que les vraies...
Il a bien du mal à réprimer une grimace et secoue la tête pour en éloigner l'idée.
Yeurk.
Lucifer? Asmodée? Satan?
...
Il opte finalement pour se déguster lui même.
Le plat de poires est saisi, et il vient s'asseoir sur un siège, avant de s'y balancer doucement.
La vie est paisible.
Hmmmmmmmmmmmm.
Quel délice.
La jouissance est presque palpable tant il se régale.
Le Sans Nom bénisse le créateur de cette petite chose.
Peut-être demandera-t-il à le trouver plus tard tiens. En voilà une bonne idée.
Il se laisse aller à la renverse sur le dossier de la chaise.
Il est seul.
Il peut bien se laisser aller un peu à la détente parfaite.
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Quoi de mieux pour lui que de s'être installé ici.
Quel pied de nez merveilleux!
Pour sa plus grande déception, il n'y a bien que lui qui peut goûter la cocasserie de la chose.
Le fait de ne pouvoir le crier sur les toits est toutefois compensé par le sourire constant qu'il affiche.
Moqueur.
Tonton Trystan veille sur sa "nièce".
Où donc est-elle d'ailleurs?
Il se promène au travers les pièces de l'appartement, sans la trouver.
Sans doutes en train de confesser les habitants.
La haute silhouette finit par se découper devant une fenêtre tandis qu'il lance un il torve au clocher de l'église.
Il est persuadée qu'elle fait cela juste pour les faire bisquer.
Agacé, Trystan abandonne son poste d'observation.
Il a envie de déguster de ces confiseries que l'on trouve sur les étals du marché.
Voilà bien une idée fabuleuse qu'ils ont eu là!
Donner à des douceurs leurs noms.
Ouh qu'il s'en réjouit.
Devant le choix qui s'offre à lui, il ne sait trop que décider.
Déguster ces divines poires confites, parfaitement parfaites?
Toutes à son image.
A moins qu'il ne morde avec délectation dans les nougats de Bélzebuth, imaginant par là croquer le Frère Avare.
C'est qu'il se rappelle d'une fourchette traversant allégrement le plat de la main d'Avarice, et il recommencerait bien avec plaisir.
Étrangement, les prunes de Léviathan ne lui font guère envie...
Pour peu qu'elles soient aussi sèches et crâpies que les vraies...
Il a bien du mal à réprimer une grimace et secoue la tête pour en éloigner l'idée.
Yeurk.
Lucifer? Asmodée? Satan?
...
Il opte finalement pour se déguster lui même.
Le plat de poires est saisi, et il vient s'asseoir sur un siège, avant de s'y balancer doucement.
La vie est paisible.
Hmmmmmmmmmmmm.
Quel délice.
La jouissance est presque palpable tant il se régale.
Le Sans Nom bénisse le créateur de cette petite chose.
Peut-être demandera-t-il à le trouver plus tard tiens. En voilà une bonne idée.
Il se laisse aller à la renverse sur le dossier de la chaise.
Il est seul.
Il peut bien se laisser aller un peu à la détente parfaite.
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