Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2   >>

[RP - Joutes Septembre 1467] Campement

Fanch_vaillant




Comme Ă  leurs habitudes, ils n'allaient pas Ă  un endroit sans l'autre ou le moins souvent possible.
En tout cas le concubin de la Vicomtesse était content, sa premiÚre joute, il allait voir ce que ça donne et en plus il était avec elle, quoi de mieux.

Dans la tente, il fallait qu'elle se prĂ©pare, le quadra Ă©tait quand Ă  lui trĂšs anxieux, il aurait tant prĂ©fĂ©rer prendre ce risque Ă  sa place mais il avait une peur bleue des chevaux, de plus, il n'Ă©tait pas noble car Ă  priori, il fallait l'ĂȘtre pour jouer Ă  ces jeux.

Pendant qu'elle s'harnachait, lui inspirait et expirait pour se détendre, il avait vu les autres concurrents et décidément, ils étaient plutÎt balaise surement parce qu'ils aimaient la fraise.

Et la elle sortie, ben en fait il savait pas que c'était elle, tellement elle était méconnaissable. Et la question qui grince:

Je te plais ?

Un grand sourire charmeur et il répondit.

Quoi que tu fasses, quelques soient tes vĂȘtements, tu me plairas toujours mon amour.

Il est fort, vraiment trĂšs fort, enfin il le pensait.

Puis un petit conseil qui laissait pointer une once d'inquiétude.

Tu seras prudente hein, ne me fait pas peur.

Il la prit dans ses bras comme il pu et colla un baiser sur le casque.

_________________
Lockh


La vie prend parfois des détours insoupçonnés. La vie de Lockh ne déviait pas cette route inaltérable. Il avait beau tenir son dextin dans le creux de sa main et le serrer aussi fort qu'il lui pouvait, rien n'y faisait. Les choses, chaque élément, chaque maillon se nouait avec une rigueur implacable. De Moscou à Marseille, il avait terminé sa route à Dole. Rien ne semblait l'y prédestiner. Pourtant, il en était bien là lorsque, au petit matin, il mettait la touche finale à sa tenue toute de cuir.

EpĂ©e sur le cĂŽtĂ©, il avait fait son apparition au campement de l'Irissarri. A son arrivĂ©e, il avait reçu l'honneur de plusieurs propositions. Allez savoir pourquoi, il posa son le gant de son choix sur celui du blond. Avait-il dĂ©celĂ©, chez lui, un quelconque avenir prometteur ? Lui-mĂȘme n'avait pas la rĂ©ponse Ă  cette question. Il Ă©tait simplement dit qu'il entrerait Ă  son service et qu'il Ă©voluerait Ă  ses cĂŽtĂ©s, vaille que vaille. Serment valait force de loi.

Lockh fit ses premiers pas dans l'enceinte d'un campement dĂ©diĂ© aux joutes. Un nouveau monde s'ouvrait Ă  lui. Au-delĂ  de ces joutes, c'Ă©tait tout une transformation qui s’opĂ©rait en son sein. Pourquoi avoir acceptĂ© la proposition du blond ? Pourquoi ne convoiter que cette jeune femme en qui il semblait dĂ©celait, lĂ  encore, des particularitĂ©s qui le dĂ©tournait de tant d'autres femmes ? L'avenir lui donnerait raison ou bien tort. Lui se contentait d'avancer d'un pas dĂ©cidĂ© sur le chemin cahoteux de cette vie nouvelle.

Fier de cette nouvelle condition sociale, et soucieux de faire coĂŻncider les deux images de ce qu'il Ă©tait et de ce qu'il souhaitait devenir, le jeune homme se tint Ă  cinq pas de celui qu'il espĂ©rait ĂȘtre son futur suzerain. De la taverne, il ne verrait que peu. Son regard se portait alentour, dĂ©vouĂ© Ă  la protection d'un jeune homme en qui il plaçait une partie de ses espoirs.
Lysiane3

Campement du Chevalier de Brabant


Lysiane n'avait pas vraiment de cavalier ou tout du moins l'attrait d'en avoir un. Elle elle avait mieux, elle avait un cousin/chaperon/confident . Depuis quelle avait été évincé de l'église de Dole la jeune Ormerach/Sparte était morose. Ce jour serait l'occasion de sortir un peu.
Elle avait revĂȘtu la mĂȘme robe que lors des joutes prĂ©cĂ©dentes. Une robe sombre et Ă©lĂ©gante, d'un noir parfait dĂ©licatement agrĂ©mentĂ©e de galon d'or.
Faisant un tour, elle trouva rapidement le campement de Belegor et entra dans la tente. Trouver Nicolas a moitié nu la derniÚre fois ne lui avait apparemment pas servi de leçon.
Elle s'approcha de Belegor, le saluant d'un chaleureux sourire. Puis dénouant un ruban doré de ses cheveux tressés, la brune le nous au poignet de son cousin.


-J'ai lu ça dans un roman et j'ai eu envie de le faire. Puisse ce gage vous porter chance mon cousin.

Elle ne savait pas encore que non, elle ne lui porterait pas chance, bien le contraire. La poisse appelle la poisse.
Quoi qu'il en soit elle lui sourit prĂȘte Ă  elle l'encourager dans les gradins.


Action réalisée sur Belegor avec l'accord du jd.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2025
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)