Victoria.d.alaya
Victoria, en tant que maire, avant engagé la parole municipale dans la construction de cette maison close. Elle sétait engagée à ce que la sécurité et la santé soient primordiales, autant pour les habitants de la ville que pour les travailleurs du Salon Pourpre.
Lendroit serait surveillé, entretenu, géré, et jamais, tant quelle serait en vie, il ne deviendrait un lieu malsain et mal famé, aucun trafic ne sy ferait.
Le bâtiment avait été construit loin du centre ville, à louest près des remparts, et aménagé avec minutie.
Ni trop luxueux, ni trop démuni, il offrait au rez-de-chaussée lapparence dune taverne assez confortable où se dissimulait quelques alcôves pour les rendez-vous qui se voulaient discrets. A larrière du comptoir, une cuisine sommaire permettait au personnel de prendre les repas sur place.
A létage se répartissaient quelques chambres, aménagées également avec simplicité, et qui seraient attribuées personnellement à chaque travailleur. Il serait dans leurs taches de tenir leur chambre propre et rangée afin dy accueillir les clients.
Au sous-sol, en dehors des réserves et caves, avaient été installées des étuves chaudes afin de proposer des bains et des massages.
Bien évidemment, il restait encore beaucoup à faire pour que le lieu soit vivant, et en premier lieu, il fallait recruter des travailleurs.
Victoria, accompagnée de Fanch et Phaco, jeta un dernier coup dil au Salon Pourpre.
Messires, jai respecté ma part du marché, voici le Salon Pourpre prêt à ouvrir.
Cest à vous, à présent, de tout faire pour lui donner vie.
Elle leur donna chacun un trousseau de clés quelle avait fait faire en plusieurs exemplaires.
A moins dune question de vie ou de mort, je ne devrais pas remettre les pieds ici.
Je vous souhaite une bonne chance pour cette aventure.
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Lendroit serait surveillé, entretenu, géré, et jamais, tant quelle serait en vie, il ne deviendrait un lieu malsain et mal famé, aucun trafic ne sy ferait.
Le bâtiment avait été construit loin du centre ville, à louest près des remparts, et aménagé avec minutie.
Ni trop luxueux, ni trop démuni, il offrait au rez-de-chaussée lapparence dune taverne assez confortable où se dissimulait quelques alcôves pour les rendez-vous qui se voulaient discrets. A larrière du comptoir, une cuisine sommaire permettait au personnel de prendre les repas sur place.
A létage se répartissaient quelques chambres, aménagées également avec simplicité, et qui seraient attribuées personnellement à chaque travailleur. Il serait dans leurs taches de tenir leur chambre propre et rangée afin dy accueillir les clients.
Au sous-sol, en dehors des réserves et caves, avaient été installées des étuves chaudes afin de proposer des bains et des massages.
Bien évidemment, il restait encore beaucoup à faire pour que le lieu soit vivant, et en premier lieu, il fallait recruter des travailleurs.
Victoria, accompagnée de Fanch et Phaco, jeta un dernier coup dil au Salon Pourpre.
Messires, jai respecté ma part du marché, voici le Salon Pourpre prêt à ouvrir.
Cest à vous, à présent, de tout faire pour lui donner vie.
Elle leur donna chacun un trousseau de clés quelle avait fait faire en plusieurs exemplaires.
A moins dune question de vie ou de mort, je ne devrais pas remettre les pieds ici.
Je vous souhaite une bonne chance pour cette aventure.
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