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[rp]Le Salon Pourpre

Fanch_vaillant


La, au comptoir, un jeune homme, il le regarde, le fixe, se lève discrètement et le suit en restant dans la pénombre.

Une bouteille, carrément, sa mère va être folle de le savoir avec une fille dans le Salon, et le grisonnant va surement s'en prendre une aussi, il fallait éviter que sa finisse en pugilat familiale.

Il entre dans une chambre, bizarre cette chambre n'est à aucune des filles, notre gestionnaire veut en avoir le cœur net.

Comme tout bon futur beau père, enfin dans sa tête, il écouta à la porte, entendit quelques bruits, des voix mais impossible de comprendre ce qu'ils se disent.

Il se dit à voix haute.

Bon je fais quoi, j'ouvre ou pas, si je le trouve dans une position délicate je fais quoi?
Il faut avant tout protéger Maïa.


Il inspira profondément et ouvrit la porte.

Et la c'est le drame, une jeune femme avait baissée les braies de Liam, Fanch se dit qu'il était vraiment dans une position délicate et quant il reconnu la jeune femme, il senti la colère monter en lui, la panique, la honte de les avoir surpris.

Liam, Elina que faites vous ici!

Il chope sa fille par le bras sans ménagement et la met debout mais la il voit les ... le... truc de Liam, il lâche sa fille et dit à Liam

Liam rhabille toi en vitesse, ce n'est pas le lieu...

Ne finit pas sa phrase car si c'était bien le lieu pour ça mais pas pour eux.

Enfin ce n'est pas ici qu'il faut que vous soyez.

Retourne sa fille pour qu'elle ne regarde pas.

Vous allez me suivre, il y a une porte derrière, personne ne vous verra sortir....

Les guide tous les deux vers la sortie arrière discrètement.

Rentrez chez vous et on en reparlera.

Plisse les yeux et se dit qu'il allait voir ce que Maïa pensait de cette excursion.

_________________
Liam.d.alaya
Oups !

Tout s’était enchainé si vite...

Ils étaient là, tout tranquilles à se siroter leur génépi comme ils avaient l’habitude de le faire en taverne, mais comme chaque fois qu’ils chahutaient un peu, les rires l’emportaient très vite, mais lorsqu’elle lui avait lâché son verre sur les braies, et presque dans l’instant, elle les lui avait baissées pour réparer son erreur avec hardiesse...

Mais pourquoi, pourquoi Aristote avait-il cru bon de choisir pile ce moment là pour faire entrer Fanch ?...


Enfin non, mais ce n’est pas ce que tu...… ...*crois...

Il n’avait pas eu le temps de finir sa phrase qu’Elina se faisait tirer par le bras, juste le temps pour lui de remonter ses braies encore trempées, mais le mal était fait semblait-il...

Liam ne comprenait pas du tout sa réaction envers Elina, elle était adulte pourtant, et elle n’avait rien fait de mal, enfin il semblait...

Le vieux les guida presque de force vers la porte arrière pour qu’on ne les voit pas, et leur demanda sèchement de rentrer chez eux avant d’en reparler plus tard, puis il disparut retournant à ses affaires en claquant la porte derrière eux pour bien leur faire comprendre que ce lieu n’était pas pour eux...


Pfiouuuuu !....

Liam regarde Elina l’air bête, encore sous le choc de la confrontation et ne comprenant toujours pas ce qui venait de leur arriver... Mais il vit très vite se dessiner un petit sourire plein de malice qui lui permit de tout de suite relâcher la pression...

Encore un instant et tous deux éclatent de rire...


On a dû y aller un peu fort cette fois-ci, j’ai l’impression

Le jeune homme restait un peu sur sa réserve malgré tout, et sachant la trempe qu’il risquait de se recevoir dans la foulée une fois rentrés, il se tourne vers Elina et lui tend son bras pour rentrer tous les deux.

Sinon j’ai autre chose à te proposer...
Plutôt que de rentrer.


Il se penche à son oreille pour lui chuchoter son idée, mais voyant le sourire se dessiner à nouveau sur le visage de son amie, il comprit tout de suite qu’elle venait d’accepter.

Et les voilà, disparaissant bras dessus bras dessous dans les rues de Chambéry...

_________________
Miss_tery


    J’accompagne le client jusqu’au comptoir, pas très grand il est vrai mais l’intérêt n’est pas qu’ils passent la soirée à picoler.
    Là, je fais le tour et sort un alcool local, le génépi, plutôt costaud histoire de le mettre bien à son aise.
    Je stoppe mon mouvement au dessus de son verre, la bouteille à moitié penchée, et je le regarde d’un petit air coquin.


    T’as de l’argent pour t’offrir tout ca, n’est ce pas ?
    Tu voudrais pas que mon patron me vire dès le premier jour.


    Je remplis son verre et m’en sert juste une goutte, pour l’accompagner, mais je dois garder toute ma tête pour la suite. Puis je refais le tour pour venir près de lui et lui tendre le verre d’un petit mouvement langoureux.
    Ma main effleure la sienne, un doigt s’attarde à glisser sur les siens. Et finalement je viens choquer légèrement mon verre sur le sien.


    Jessie *, ça me plait bien. Moi j’suis Tery. Tery la terrible, je te laisse découvrir si c’est vrai.
    Tu veux qu’on aille s’asseoir dans une alcôve ? Ou tu préfères qu’on monte tout de suite ?


    Oui, faut pas croire, je ne vais pas passer la soirée à boire avec lui. Le temps c’est de l’argent, et ce temps là je dois le mettre à profit.
    Pour l’aider à se décider, je porte le verre à mes lèvres, sans boire vraiment, juste pour humecter la partie rose et charnue avant de venir y passer subtilement la pointe de ma langue.


    *[ndlr : oui ! je l’ai reconnu ]
G6_piqueman


Il était impressionné par sa maitrise, le ton de sa voix, ses gestes doux, l’effleurement sur sa peau, elle tournait autours de lui comme pour lui donner le tournis, avant même de passer aux choses sérieuses.

Tery la terrible hein ?... Ça me plait... A cet instant il aurait voulu la mordre juste pour vérifier son affirmation, mais se contenta de retrousser un babine avant d’y passer sa langue...

Puis il s’approcha de son oreille pour la rassurer sur sa solvabilité.


Et j’ai les moyens de te garder avec moi... toute la nuit... si je le souhaite...

Oh bien sûr ce n’était pas son pognon, il aurait à rendre des comptes pour cette soirée mais il n’en avait cure, l’oseille ça va ça vient, ça change de main et la mort reprend tout quand elle vient vous chercher, alors autant brûler la chandelle par les deux bouts.

Monter ? Non, pas tout de suite, j’aime profiter, prendre mon temps. L’alcôve m’ira très bien, je te laisse me guider.

Il lui décrocha un sourire en coin avant de la laisser le tirer par la main jusqu’à son petit coin, il ne se garda pas non plus de regarder le dessin de sa silhouette fine et appétissante, il en avait totalement délaissé son verre à moitié bu sur le comptoir, une autre soif lui asséchait la gorge, et il comptait bien se désaltérer.

Ils s’installèrent tous deux dans la pénombre, sur une banquète bien confortable surchargée de coussins. Elle le guida avec ses gestes entrainants pour le mettre tout à son aise, tandis que lui, finit par lui agripper la hanche, l’incitant à s’assoir sur sa cuisse droite. Sa main gauche venant déjà se balader sur ses cuisses, tout en admirant sa vue plongeante sur son décolleté.


Je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux.
Les_voisines
Mesdames, je m'appelle Alexander. Que faites-vous ici ? Ce n'est pas un endroit pour des femmes telles que vous voyons, vous avez bien trop de classe pour ça.

À ses paroles, les deux petites vieilles eurent l'impression de rajeunir de 40 ans, elles rougirent et gloussèrent en cœur comme deux jeunes mariées. Cunégonde prit la parole la première.

Oh vous savez, on nous a teeeeellement parlé du salon qu'il fallait bien qu'on le découvre !

Gertrude renchérit :

Et puis à nos âges, on n'a plus trop l'occasion de voir d'Ôssi belles choses de près !

C'est vrai qu'un temps, elles s'étaient bien rincé l'œil en observant leur jeune voisin, se baignant peu vêtu, dans la rivière en contrebas. Mais il avait dû remarquer leur manège et s'était fait installer un baquet.

Terminé !
Rideau !
Fin du spectacle !

Alors elles étaient un peu frustrées les commères !

Cunégonde reprit:


Oui voyez! Nous, ce que nous aimerions, ce serait un effeuillage en bonne et due forme !

Devant l'air indécis du bel homme, Gertrude ajouta :

Nous pouvons payer vous savez !

Et elle lui montra une belle bourse bien pleine en souriant de toutes ses dents, enfin du moins celles qu'il lui restaient !

Gloria_dite_la_tornade


Son potentiel client semblait figé. Peut être avait-elle été un peu fort encore une fois, la Tornade ! Quand elle vit la bourse des deux mémés et Alexander qui hésitait, elle alla le rejoindre de sa démarche ondulante. S'accoudant d'une main à l'épaule du jeune homme, elle lui murmura à l'oreille :

Si tu veux, je te viens en aide, nous leur donnons un spectacle grandiose tous les deux et on partage les bénéfices !

Elle se mordilla la lèvre inférieure tout en plongeant ses yeux brillants dans les siens.
Miss_tery


    Une fois certaine que mon joli a de quoi s’offrir ce dont il désire, je me pends à son cou, l’enlaçant de mes deux bras.

    Voila un homme comme j'les aime. Pas une brute pressée de finir sa besogne.

    Ma main glisse le long de son bras et vient agripper ses doigts. Je l’entraine dans une des petites alcôves qui permettent quelques caressent provocantes, donnant un avant-gout aux voyeurs du salon de tous les plaisirs qui les attendent s’ils se décident à choisir une des filles du Pourpre.

    Légère, je pose mes fesses sur sa cuisse, alanguie contre lui, le laissant promener ses mains ici et là.


    L’ange est déjà loin, je sens que le démon approche. Et s’amuser, on est là pour ca, mon joli.

    Penchée en avant, je le laisse fourrer son nez dans mon décolleté. Je ne porte pas de parfum capiteux, trop cher pour mes moyens, simplement une eau de violette, fraiche et passe partout.

    Je relève une jambe et la pose à l’horizontal sur sa cuisse, relevant mon jupon jusqu'à dévoiler la limite charnelle d’un bas de facture modeste mais moulant une cheville, un mollet et une cuisse aux contours parfaits.


    Dis-moi ce qui te ferait envie, Jessie.

    Mes mots s’accompagnent d’un effleurement de mes lèvres sur les siennes.
    Ma main glisse sur sa cuisse en se dirigeant lentement vers l’intérieur. Je sens que plus elle remonte et plus ses muscles se tendent.

    Et puisque c’est bien suffisant pour les voyeurs, je tire le petit rideau qui nous sépare momentanément du reste du salon.
    L’alcôve est baignée d’une pale lumière diffusée par une petite bougie. Le jeu des ombres flotte sur les parois.
Alexander1er
Il pensait s'en sortir, oui vraiment. La flatterie ça marche assez bien d'habitude, non ? Il fallait croire que non en effet, pour cette fois en tout cas. Dans son fort intérieur, il espérait qu'elles lâchent prise. Mais c'est que les deux mémés étaient tenaces !

Un effeuillage qu'elles voulaient ? Bon, si ce n'était pas que ça ... Il pouvait le supporter ! Mais c'était sans compter l'aide de la magnifique Tornade qui s'approcha d'eux dans une démarche pouvant rendre dingue le plus vierge des vierges.

Il la regarda, esquissant un sourire. Son offre était plutôt intéressante. Il lui murmura à son tour, en en profitant pour admirer son magnifique décolleté :


D'accord pour le spectacle grandiose, je t'en réserve un autre en privée quand tu veux ma belle .. On peut quand même se faire plaisir entre nous ...

Puis il se tourna vers les deux vieilles :

C'est d'accord pour l'effeuillage Mesdames, mais à condition que ma jolie collègue se joigne à moi ...

Les_voisines

Moment d'hésitation ! Les deux mémés craignaient de devoir sortir une autre bourse pour la donzelle. Quand elles comprirent qu'il n'en était rien, la chose fut vite entendue et la belle bourse glissa vers des mains plus jeunes.

On leur proposa un rafraîchissement au bar.


Un génépi s'il-vous-plaît !

Je prendrai volontiers un petit verre de vin blanc ! Merci bien

Rechauffées par l'alcool, elles se sentaient excitées comme des puces et étaient même prêtes à déshabiller l'appolon là tout de suite maintenant et à leur façon.

Fort heureusement les deux jeunes gens prirent chacune d'entre elles par le bras. Gloria emmenait la chétive Gertrude et Alexander se chargea de la costaude Cunégonde.

Dans la chambre spacieuse, ils les firent s'installer confortablement sur une banquette moelleuse. Les rideaux filtraient la lumière du jour et des bougeoirs disposés ci et là donnaient à la chambre une atmosphère propice à la sensualité du lieu.

Le spectacle pouvait commencer !
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