Opaline.
Enfant du voyage
Ton lit c'est la mer
Ton toit les nuages
Eté comme hiver
Ta maison c'est l'océan
Et voilà, de nouveau sur le Refuge Volant, la blonde redécouvre la vie à bord avec ses inconvénients et ses joies, ses corvées et ses petits plaisirs. Une semaine que la blonde essaie de trouver une espèce de routine et surtout son rythme de vie pour les semaines, voir mois à venir car pour linstant elle se sentait fatiguée chaque soir au point de sendormir bien trop rapidement a son goût.
Habillée de braie, de gants et dune chemise seulement, pieds nus bien souvent et les cheveux tressés ou en chignon comme a son habitude, cachés sous un foulard pour quils ne blanchissent pas au soleil, la blonde se sentait presque aussi a laise que les hommes. Il faut dire quelle connaissait ses tâches journalières maintenant. Même si certains inconvénients comme les nausées matinales et le manque dintimité lui posaient souci parfois sans oublier la fraîcheur des nuits maintenant. Mais malgré cela la blonde est vraiment heureuse et joyeuse. Elle savoure chaque instant quelle passe sur ce bateau.
Levée tôt, la première heure est passée à contrer cette fichue nausée qui l'indispose après une nuit passée allongée. A croire que son estomac ne supporte pas d'être bercé quand elle dort. Heureusement pour elle, cela ne dure pas et après un bon petit déjeuner, la blonde est d'attaque pour la suite de la journée. Et si elle sen est plainte les premiers jours maintenant elle nen fait plus cas espérant que cela passera rapidement. Dailleurs, elle avait rendu le petit pot mentholé à Laizzi.
Les matinées sont occupées à prendre soin des poules et de Biquette avec Fy. Récupérer les ufs par la môme pendant quelle-même trait la chèvre, nettoyer le poulailler et lenclos et nourrir les bestioles, puis laisser Fy s'amuser pendant que la blonde filait dans la cuisine pour préparer de quoi manger pour la journée. Ainsi chacun pouvait manger quand il en a le temps ou l'envie. Car cest loin dêtre simple avec les quarts de chacun pour manger tous ensemble à heure fixe.
Les après midis, elle était de quart jusqu'à complies. Elle pouvait profiter du vent, du soleil, et l'air iodée. Excepté une journée de houle qui la rendu malade au point quelle a préféré dormir sur le pont plutôt que dans la cabine, le beau temps les accompagnait et cétait un vrai plaisir de grimper dans les haubans et voir loin lhorizon infini qui lui donne cette impression dêtre perdue et insignifiante.
Ton amour est un bateau
Qui te berce dans ses voiles
Mais n'oublie pas pour autant
Que l'on t'attend
Mais ils ne sont pas seuls et voir lautre bateau qui bien souvent les précède au loin le lui rappelle, et alors la frimousse ségaie dun sourire immense tandis quelle lève les bras et les secoue en criant joyeuse :
Ohééééé du bateau !!
Quelle soit entendue et vue nest pas assurée, loin de là, vu les vents contraires et la distance, mais peu importe au final, la blonde est heureuse et naurait pas voulu être ailleurs que sur le Refuge auprès de ceux quelle aime. Son regard pétillant de joie, fouille autour delle pour voir où se trouve les autres et son sourire sagrandit en voyant Fy laver le pont, Richard allongé a larrière surement à faire la sieste plutôt que surveiller les lignes de pêche. Vu l'heure Archi devait être dans sa cabine a préparer la suite du voyage ou se reposer tout comme Jesse qui est de quart bien souvent le soir aussi. Elle ne voit pas Laizzi ni Jorgen mais se doute bien qu'ils devaient être par là.
Enfant du voyage
Ton coeur s'est offert
Au vent, aux nuages
Là-bas sur la mer
Et la blonde de se pencher dangereusement pour mettre ses mains en porte voix et dhurler a son amour de frère.
Richard ! Cest pas en roupillant que tu attrapera des poissons !
Oui elle le nargue parce quelle avait réussi à en attraper plus que lui depuis leur départ. Un comble pour celle qui naime pas manger du poisson. Rieuse, elle commence la descente faisant attention où elle pose les pieds pour ne pas glisser et risquer la chute. Cest quand elle nest plus qua un bon mètre du sol quelle lâche prise et saute sur le pont souplement.
*Parole d'Alexandrie Alexandra de Claude François
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Ton lit c'est la mer
Ton toit les nuages
Eté comme hiver
Ta maison c'est l'océan
Et voilà, de nouveau sur le Refuge Volant, la blonde redécouvre la vie à bord avec ses inconvénients et ses joies, ses corvées et ses petits plaisirs. Une semaine que la blonde essaie de trouver une espèce de routine et surtout son rythme de vie pour les semaines, voir mois à venir car pour linstant elle se sentait fatiguée chaque soir au point de sendormir bien trop rapidement a son goût.
Habillée de braie, de gants et dune chemise seulement, pieds nus bien souvent et les cheveux tressés ou en chignon comme a son habitude, cachés sous un foulard pour quils ne blanchissent pas au soleil, la blonde se sentait presque aussi a laise que les hommes. Il faut dire quelle connaissait ses tâches journalières maintenant. Même si certains inconvénients comme les nausées matinales et le manque dintimité lui posaient souci parfois sans oublier la fraîcheur des nuits maintenant. Mais malgré cela la blonde est vraiment heureuse et joyeuse. Elle savoure chaque instant quelle passe sur ce bateau.
Levée tôt, la première heure est passée à contrer cette fichue nausée qui l'indispose après une nuit passée allongée. A croire que son estomac ne supporte pas d'être bercé quand elle dort. Heureusement pour elle, cela ne dure pas et après un bon petit déjeuner, la blonde est d'attaque pour la suite de la journée. Et si elle sen est plainte les premiers jours maintenant elle nen fait plus cas espérant que cela passera rapidement. Dailleurs, elle avait rendu le petit pot mentholé à Laizzi.
Les matinées sont occupées à prendre soin des poules et de Biquette avec Fy. Récupérer les ufs par la môme pendant quelle-même trait la chèvre, nettoyer le poulailler et lenclos et nourrir les bestioles, puis laisser Fy s'amuser pendant que la blonde filait dans la cuisine pour préparer de quoi manger pour la journée. Ainsi chacun pouvait manger quand il en a le temps ou l'envie. Car cest loin dêtre simple avec les quarts de chacun pour manger tous ensemble à heure fixe.
Les après midis, elle était de quart jusqu'à complies. Elle pouvait profiter du vent, du soleil, et l'air iodée. Excepté une journée de houle qui la rendu malade au point quelle a préféré dormir sur le pont plutôt que dans la cabine, le beau temps les accompagnait et cétait un vrai plaisir de grimper dans les haubans et voir loin lhorizon infini qui lui donne cette impression dêtre perdue et insignifiante.
Ton amour est un bateau
Qui te berce dans ses voiles
Mais n'oublie pas pour autant
Que l'on t'attend
Mais ils ne sont pas seuls et voir lautre bateau qui bien souvent les précède au loin le lui rappelle, et alors la frimousse ségaie dun sourire immense tandis quelle lève les bras et les secoue en criant joyeuse :
Ohééééé du bateau !!
Quelle soit entendue et vue nest pas assurée, loin de là, vu les vents contraires et la distance, mais peu importe au final, la blonde est heureuse et naurait pas voulu être ailleurs que sur le Refuge auprès de ceux quelle aime. Son regard pétillant de joie, fouille autour delle pour voir où se trouve les autres et son sourire sagrandit en voyant Fy laver le pont, Richard allongé a larrière surement à faire la sieste plutôt que surveiller les lignes de pêche. Vu l'heure Archi devait être dans sa cabine a préparer la suite du voyage ou se reposer tout comme Jesse qui est de quart bien souvent le soir aussi. Elle ne voit pas Laizzi ni Jorgen mais se doute bien qu'ils devaient être par là.
Enfant du voyage
Ton coeur s'est offert
Au vent, aux nuages
Là-bas sur la mer
Et la blonde de se pencher dangereusement pour mettre ses mains en porte voix et dhurler a son amour de frère.
Richard ! Cest pas en roupillant que tu attrapera des poissons !
Oui elle le nargue parce quelle avait réussi à en attraper plus que lui depuis leur départ. Un comble pour celle qui naime pas manger du poisson. Rieuse, elle commence la descente faisant attention où elle pose les pieds pour ne pas glisser et risquer la chute. Cest quand elle nest plus qua un bon mètre du sol quelle lâche prise et saute sur le pont souplement.
*Parole d'Alexandrie Alexandra de Claude François
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