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[RP] La place du marché, ses étals, la fontaine pas loin ...

Arwel
Arwel n'aimait rien tant que déambuler dans les rues de Dié, le matin, alors qu'elles commençaient à peine à s'animer.

A peine sortie du Bon Sens, elle prit la direction du marché. A cette heure matinale, il était encore très calme. Les marchands commençaient à peine à dresser leurs étals et les Diois sortaient seulement de leur lit. Quelques courageux commençaient à prendre possession des lieux.

Ce matin-là, Arwel était un peu mal à l'aise sur le marché, les événements qui s'étaient produits la veille marquaient encore son esprit. Elle espérait que l'inconnu qui l'avait suivie et qui avait pris en otage Plume n'était plus dans les parages. Elle ne s'attarda donc pas sur la place de Dié ainsi qu'elle avait l'habitude de le faire. Rapidement, elle prit la direction du parc.
Arwel
Sortie du parc, Arwel avait traversé la moitié de Dié pour rejoindre le marché. Malgré la nuit passée à veiller Plume, elle se sentait alerte et traversait la place d'un pas vif, toujours souriante, saluant au passage les Diois qu'elle rencontrait.

Elle jeta un rapide coup d'oeil aux étals et aux prix qui y étaient affichés, s'assura que tous les marchands étaient bien des Diois et en profita pour acheter quelques provisions, peut-être Plume à son réveil aurait envie de fruits ... Elle prit les plus beaux qu'elle trouva sur l'étal d'un maraîcher auprès duquel elle avait l'habitude d'acquérir ses provisions. Une fois ses achats réglés, la jeune fille continua son inspection du marché.

Comme elle s'apprêtait à prendre la direction du Bon Sens, son regard fut attiré par un marchand de poissons séchés qu'elle ne connaissait pas. Seule, après toutes les aventures qui lui étaient arrivées ces derniers temps, elle préféra ne pas aller voir cet homme pour l'interroger sur son identité, elle allait faire un détour par la maréchaussée, afin de demander à Marsaly si elle savait qui il était. Ses fruits dans les bras, Arwel poursuivit son chemin vers le poste de police.
Marsaly
Marsa se leva de bon matin ce jour. Elle était de très bonne humeur et c'est en sifflotant qu'elle se rendit sur la place du marché. Autant joindre l'utilise à l'agréable. Elle alla contrôler les prix que pratiquaient les boutiquiers, passant d'étal en étal. Elle s'arrêta devant un crémier et acheta quelques bouteilles de lait. Pffff une personne bien avisée lui avait dit que c'était très bon pour acquérir de l'intelligence.

*Comme si j'étais pô intelligente moi ... pis d'abord le lait c'est bon na*

N'ayant rien remarqué de spécial, Marsa s'en retourna chez elle mettre son lait à l'abri de la chaleur et repartit faire ses rondes
Bohort_de_tours
Bohort flânait dans les rues de Dié quand il aperçu le marché. il était quasiment désert a cette heure.

Il posa le bouquet qu'il venait de cueillir près de la fontaine.



A toi, amour que je n'ai pas encore rencontré.

Il reparti les bras ballants, le cœur et l'âme rêveurs.
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Arwel
[Une nuit sombre et déserte ...]

L'épée ceinte à la ceinture et le bouclier en main, le maire de Dié arriva sur la place du marché ... Après les récents événements qui avaient secoué la tranquillité du village, le silence qui régnait sur la place, en cette nuit profonde, lui semblait pesant ... Arwel savait que ce n'était guère prudent de se promener seule, en pleine nuit, en ces temps troublés, mais elle avait besoin de marcher afin de réfléchir. Moultes questions envahissaient son esprit et le doute s'insinuait peu à peu en elle ... Qui pouvait en vouloir à cette ville à ce point ? Etait-elle responsable de cette situation ? Seuls ceux qui avaient provoqué cette pagaille auraient pu répondre à ses interrogations, mais que pouvait-elle attendre de telles gens ?

Arrivée près de la fontaine, elle s'assit sur la margelle, le doux bruissement de l'eau rendait le silence de la nuit moins angoissant ... Le calme avant la tempête ? Quand cela s'arrêterait-il ? Malgré le soutien qu'elle recevait de nombreux Diois et même d'habitants des autres villes du Duché, elle était convaincue qu'elle ne pouvait partager le fardeau qui s'était abattu sur ses frêles épaules avec personne ... Le désespoir de ne pouvoir contrer les desseins malveillants qui visaient la ville s'empara d'elle brutalement, tel un rapace qui fond sur sa proie ... Elle se laissa alors glisser de la margelle pour s'effondrer sur le sol en sanglots, mettant ainsi en péril sa sécurité par manque d'attention ... Elle offrait un bien triste spectacle à quiconque serait passé par là à ce moment précis ...
Enguerande59
Enguerande ne trouvait pas le sommeil..l'absence de colchique commençait à lui peser alors elle sortit de l'atelier et se diriga vers la petite place du marché.

Lentement, elle regardait autour d'elle...tout semblait si calme...c'était presque apaisant pour enguerande qui était plus habituée aux tavernes du village.

Elle entendit le bruit de l'eau de la fontaine et elle observait cet endroit qui semblait plus grand que lorsque les machands y avaient pris place. Son regard s'arreta sur une forme recroquevillée sur elle même. Ce quelque- chose ou ce quelqu'un portait un vêtement dont la couleur ne lui était pas inconnue. Elle s'approcha alors doucement et cru entendre des sanglots...elle en était maintenant sure...il s'agissait bien de sa filleule. Enguerande chercha dans les alentours si un éventuel agresseur tentait de s'échapper mais rien..alors, d'un pas rapide, elle alla aux côtés d'Arwel et s'agenouilla:

Arwel...que se passe t'il? que fais tu ici toute seule?

La voyant désemparée et les yeux rougis par les larmes qui ne semblaient pas vouloir cesser de couler..Enguerande la prit dans ses bras et lui caressa lentement le dos pour la calmer en lui murmurant:

Chut....calme toi....tout va bien..je suis là....

Puis elle lui dit:

Dis moi ce qui te met dans cet état...je remuerais ciel et terre pour retrouver ceux qui te rendent aussi triste. Dis moi si je peux faire quelque chose... tu sais que tu peux compter sur moi.

Elle attendit qu'elle se calme et continua de la bercer doucement.
Arwel
Les sanglots la secouaient tellement qu'Arwel n'eut conscience de la présence de sa marraine que lorsqu'elle la prit dans ses bras et qu'elle commença à lui parler. Elle était incapable d'articuler la moindre parole tant ses pleurs étaient intarrissables. Elle se laissa alors aller dans le réconfort des bras de Engue qui la berçait comme une enfant ... En quelques instants, les larmes se firent moins abondantes, les secousses des sanglots plus espacées ... Lentement, Arwel retrouvait son calme, même si son désarroi restait encore diffus en elle ... Elle parvint à articuler une réponse aux interrogations de sa marraine qui continuait de s'occuper d'elle avec la patience qu'elle avait toujours eue envers sa filleule :

Oh Engue ... marraine ... Je suis au bout de mes forces ... La tentative de prise de la mairie ... Tu crois que j'ai fait quelque chose de mal ? ... Combien de temps est-ce que ça va encore durer ? ... Je veux rentrer chez moi ... Avoir une nuit de sommeil ... Etre un peu avec Mirandor ... C'est trop demander que d'avoir un peu de tranquillité ? ...

La jeune fille fixait ses yeux verts encore humides des larmes qui venaient d'en tomber en abondance sur sa marraine, espérant qu'elle aurait au moins un semblant de réponse à ses questions ... Son regard était le reflet de tous les doutes qui l'habitaient, de toute la fatigue qui s'était accumulée ces derniers jours.
Tenebreux
Ténébreux qui faisait ses tour de garde répété depuis la prise de la mairie passa par la place du marché de Dié.La nuit était sombre et humide et une petite brise soufflait.Au début il n'aperçut rien puis il entendit des sanglots dans la nuit.Ténébreux se mit alors en état de défense et approcha discrètement du lieu ou on sanglotait.Il vit alors Arwel et Enguerande assis sur la fontaine et lut le désespoir d'Arwel.Il décida de ne pas déranger les deux femmes et s'en alla continuer son tour de garde.Il ferait tous son possible pour que cette ville retrouve sa sécurité de jadis.
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Enguerande59
Enguerande gardait sa filleule contre elle...et la berçait doucement. Arwel semblait se calmer doucement et enfin...elle avoua ce qui la tourmentait au point de la rendre si malheureuse.

Enguerande essuya les larmes sur les joues de sa filleule et, d'une voix douce et calme, elle lui répondit:


Ma chérie...ne te tourmente pas ainsi...tu n'as rien fait de mal...c'est juste un mauvais moment à passer. Pour ce qui de la tanquillité...sois patiente. Dié redeviendra un village tranquille mais pour cette nuit...rentre chez toi...il y a bien assez d'hommes volontaire pour défendre la mairie. Prend un peu de temps pour toi car il vaut mieux une mairesse en pleine forme qu'à bout de forces.

Elle se leva, attrapa les mains d'arwel:

Allez viens...je te ramène...

Elle lui sourit avec tendresse en pensant qu'elle veillerait toujours sur sa filleule.
Marsaly
Marsa à peine rentrer en sa belle ville, courait déjà dans tous les sens, passage à la prévôté, un p'tit tour dans sa chaumière histoire de se débarasser de la poussière des chemins. En se rendant au poste de police pour voir les dossiers en cours et récupérer Porcinet, elle décida de faire un ti tour au marché

*rhooo ben je suis gâtée, même pas le temps de poser mes gamelles et mes bidons que déjà je me coltine une infraction*

Marsa poursuivit son chemin jusqu'au poste se demandant déjà ce qui l'attendait
Arwel
Arwel goûtait à ses quelques journées de liberté. Depuis qu'elle n'était plus maire, elle flânait... Ses pas la conduisirent sur la place du marché où elle ne s'était pas rendue simplement pour le plaisir depuis longtemps.

Munie d'un immense panier, elle parcourut les différents étals. Elle avait une petite idée derrière la tête et il lui fallait trouver quelques victuailles... La douce Arwel, sourire enfantin sur les lèvres et cheveux lachés sur les épaules, se soulevant au gré du vent, observait d'un oeil vigilant les marchandises proposées par les marchands... Elle voulait trouver les meilleures produits, peu lui importait ce que cela lui coûterait, son projet demandait moults préparatifs, ingrédients et épices... Elle acheta donc viandes, légumes, fruits et épices... Son panier devenait très lourd et elle peinait à le transporter... Elle jeta un regard sur son contenu et estima que c'était suffisant, il ne fallait pas exagérer tout de même !

Ayant trouvé tout ce dont elle avait besoin, elle se dirigea vers le Bon Sens. Quelques fleurs auraient été les bienvenues, mais elle n'avait ni le temps, ni l'envie de prendre la clé des champs avec son chargement pour aller en cueillir dans les champs et les bois qui environnaient le village. Elle s'y rendrait si ce qu'elle comptait organiser lui en laissait l'occasion...
--Krax



Krax encapuchonné arrive sur cette place du marché qu'il connait tant.
Il regarde à droite et à gauche, observe chaque passant.
Il tente de garder en mémoire chaque visage.
A plusieurs reprise il se cache dans l'ombre de petits passages
Ou fait mine de s'intéresser à des étales, pour ne pas être reconnu.
Sa quête n'en serai que plus difficile s'il était vu.
Ce qu'il s'apprêtait a accomplir ne devrait s'ébruiter.
Sans quoi il pourrait faire une croix sur son projet.
Presque tout était prêt, à par quelques exceptions.
S'il est sorti, c'est pour achever cette préparation.

Ca ne serait à coup sur pas apprécié.
Mais il devait tout achever, observer.
Il évite soigneusement les miliciens en train de patrouiller.
Il profite de sa rapidité et de son agilité pour se déplacer.
Silencieux, véloce, on peut à peine le repérer.
Il repère rapidement une dame joliment vêtu, qui se promène avec un petit panier.
Il l'observe faire ses achats et s'approche, alors qu'elle est intrigué par un montreur d'ours.
Il sort alors son poignard effilé et la déleste de sa bourse.
Il plonge ensuite la main dans les provisions de la femme, et en sort une prune.
Puis il reprend son chemin, avant de s'arrêter à l'abri et compte sa fortune.
Une bonne vingtaine de belles piécettes étincelante.
heureux de cette prise, il quitte la foule, espérant cette somme suffisante.

Il pousse alors la porte d'un magasin.
Il vient y acheter une corde de crin.
Une dizaine de coudée fera l'affaire.
Une fois le prix annoncé, il regarde son compère.
Il regarda vite fait autour de lui, saisi son gourdin d'un air innocent.
Il demande alors un autre article au brave artisan.
Une fois le dos tourné, il abat sa trique violemment sur son crane.
Il rattrape le vieux, le pose délicatement au sol et jette sur le comptoir sa petite manne.
Il enroule la corde autour de lui avant de sortir.
Il disparait ensuite dans la foule, partant comme il a pu venir.


Arwel
La jeune fille réfléchissait en marchant vers le Bon Sens, finalement, il vallait mieux qu'elle achète des fleurs tant qu'elle était près du marché, car, une fois dans ses préparatifs, elle risquait de ne pas avoir le temps de revenir... Elle chercha donc du regard un étal où se trouvaient des fleurs fraîchement cueillies et mises en bottes. Un sourire vint fleurir sur ses lèvres, des fleurs des champs... ce serait parfait...

Elle se dirigea donc vers l'étal où se trouvaient ces fleurs, en demanda deux bottes au marchand et chercha sa bourse pour lui donner les quelques piecettes qu'il lui réclamait... La panique s'empara d'elle lorsqu'elle ne la trouva pas... Mais elle reprit rapidement son calme, tout son maigre pécule ne s'y trouvait pas, fort heureusement, cependant, cela contrariait ses projets d'achat. Elle fit un sourire désolé à l'homme qui la fixait d'un air ironique et lui avoua d'une voix douce :


Veuillez me pardonner... Je...je ne puis acheter vos fleurs en fait, il semblerait que j'aie égaré ma bourse... Je... je reviendrai polus tard...

La douce Arwel était bien embarrassée de cette situation et reprit son chemin rapidement, se demandant comment elle avait pu égarer cette bourse alors qu'elle se trouvait accrochée au poignet du bras qui tenait le lourd panier de victuailes... Enfin, ce n'était pas si important que cela, elle préférait une plaie d'argent à toute autre chose...

Cette fois, elle se dirigea rapidement vers le Bon Sens, au mois, là-bas, pas de risque de perdre quoi que ce soit...
Emilie_la_belle
Elle arrivait du parc dans lequel elle n'avait pas réussi à entrer. S'il avait été là, il aurait sûrement su la réconforter, il l'aurait accompagné et elle se serait sentie en sécurité ....

Le marché était toujours aussi bien rempli. Elle voulait faire quelques provisions pour la route, mais pas trop. Sa mule était déjà bien assez chargée. Elle avait écrit au maire pour savoir si elle pouvait vendre deux trois petites choses mais il n'avait pas daigné répondre à son courrier. Tant pis, elle s'installa dans un coin à l'ombre et déposa quelques poissons qu'elle avait pêchés à Valence avant de partir, ainsi que des sacs de farine qui lui restaient sur les bras depuis que sa boulangerie ne tournait plus. Ainsi, si elle arrivait à vendre un peu, elle aurait un peu d'argent pour acheter quelques légumes et pourquoi pas un beau morceau de viande, et surtout sa mule lui en serait sûrement reconnaissante.

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Chanterelle
"Quelle ville tranquille! " se dit Chanterelle qui déambulait nonchalamment dans les rue de Dié. Elle avait toujours du vague à l'ame.
Elle longeait les murs des habitations comme un fantome en quete de repos. Carressant les murs de sa presence presque invisible. Regardait sans voir vraiment, les gens passant dans la rue, parfois l'effleurant d'une épaule à leur passage. Donnait en marchant, de tant à autre, un coup de pied dans une pierre pour la faire rouler comme si rien de plus pourrait aujourd'hui l'occuper.
Elle arriva sur place et le bruit se fit plus insistant et plus sonore. Elle leva la tete, se trouva face au marché.
Comme elle était la, autant faire un tour meme si ca lui est deja arrivée d'aller y querir quelques nourritures. Mais toujours rapide avait été sa venue, toujours pour y faire sa corvée et repartir avec son dut. Elle passa et s'arreta devant l'étale des fruits et legumes. Pris le temps d'en admirer la qualité et la fraicheur. Saisis une belle pomme, l'amena à son nez et en respira son merveilleux parfum. Saisi ensuite un autre fruit et fit de meme. Tout à coup, elle sentit une tape dans son dos. Se retourna et vis la marchande beugler apres elle. Chanterelle, encore dans ses senteurs ne compris traitre mots à ce qu'elle bablait. "calmez vous!!calmez vous!!" lui dit-elle. La pauvre femme insitait. Chanterelle la regardait éberluée puis se retourna et s'apercu que tout le monde la regardait avec de gros yeux. Elle ne comprenait rien. Ce qu'elle n'avait pas vu ,chanterelle, c'est que dans sa reverie de fruits, elle avait fait tombé par inadvertance un sac de pomme de terre qui avait lui fait tomber la planche qui soutenait l'étale ou se trouvait les poules et les oeufs. Se rendit compte de sa maldroitesse, rougit, baissa la tete et fut honteuse. La marchande continuait de crier car les portes de la plupart des cages en tombant s'étaient ouvertes. Les poules ainsi libres volaient à droite, à gauche. Chanterelle décida de rattrapper sa bévue et se mit à courir betement apres les poules sans penser que les oeufs s'étaient brisés. Evidemment que ce passa t'il? Elle glissa sur les oeufs, tomba en arriere, voulu se rattrapper à l'étale de fruits. Et....? Hé!!oui!! Pas la peine d'etre devin pour savoir ce qu'il s'est passé apres. Tout! oui! tout! se retrouva par terre. L'étale entier avec tout ce qu'il contenait. Chanterelle, elle se retrouva les quatres fers en l'air dans une purée de fruits, de légumes et d'oeufs en omelette. Heureux pour elle, n'avait point de robe mais des braies. Ainsi s'épargnant une nouvelle honte, certainement pas trés utile dans cette ville accablée par sa malchance!!!.

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