Vran
Ça fait du bien, quand même. Découper l'objet de sa frustration. Mika -pas ouf comme blaze- et Marcel sont désormais sur le banc des décédés, et Vran s'en trouve déjà plus serein. C'est à ce moment qu'il se dit qu'à l'occasion, ça serait bien de mettre la main sur une masse d'arme. Ça a quand même l'air d'être un tout autre type de fun que l'épée. Quand on frappe avec il paraît que ça fait schrock ou un truc dans le genre, et au lieu de trancher ou de faire des petits trous, ça transforme directement la cible en substance type purée. Avouez que ça envoie du rêve. Non? Vous savez pas ce qui est bon.
Pendant que Vran rêve de broyer son prochain, Déa négocie les braies du dernier vieux contre sa liberté. Un léger sourire sinistre apparaît sur le visage du malandrin, parce qu'il sait bien que c'est mort. Il va claquer ici, Andréa a juste peur de tacher les braies en question en mettant des coups de lames. Dommage qu'il s'en est déjà chargé en se faisant dessus. Le sourire s'élargit. Ça fait moins rire Déa par contre. Vran comprend pas trop, lui. Il aurait pensé qu'une femme n'aurait jamais accepté d'enfiler des braies de vieux, imbibée de pisse ou pas. Faut croire qu'il avait tort. Ou peut-être que son erreur c'est de considérer Andréa comme une femme. Non. Non c'est pas possible. Pas avec cette obsession flagrante pour les fringues. C'est bien la première fois qu'il voit quelqu'un faire une coupe avec ses mains pour récolter du sang et éviter que ça tâche des braies qu'elle porte même pas. Sérieusement, fallait la jouer celle-là. Sauf si vraiment le type porte des trucs très stylés, Vran pensera plutôt à prendre le pognon pour s'acheter ce qu'il veut. Ou si il est grave dans la merde. En hiver on fait pas la fine bouche.
Vran avait profité du moment pour poser son arbalète sur le guichet, histoire de pas l'oublier en repartant. Ça serait dommage.Et il préfère pas la prendre à l'étage, ça ne serait pas très propice. Mais c'est pas tout de suite que ça va arriver, puisqu'il se retrouve avec tout le bordel de Déa sur les bras. Sans même un mot avant de disparaître. Ce qui tend à lui déplaire. Si il n'y avait pas eu Mike -c'est vraiment nul en fait- et Marcel pour le détendre, il aurait sûrement balancer tout ça quelque pars d'inapproprié. Mais il est calme. Alors ça sera plus vicieux. Ça tombe bien, visiblement Andréa a décidé de prendre le temps de monter un petit campement dans ce qui pourrait très bien être le placard à balais. Il se déleste de quelques trucs histoire d'avoir un peu de liberté de mouvement, découpe un doigt au gros Marcel, et le planque au fond de la besace.
Satisfait, il récupère tout et se remet exactement où il était. Certains diront que la vengeance est un plat qui se mange froid. D'autres feront les malins en disant qu'ils le préfèrent chaud. Vran, lui, pense que la vengeance est un plat qui se mange. Les détails, c'est secondaire. Et là en l'occurrence tout ce qui compte c'est qu'à un moment, peu importe lequel, Andréa retrouvera ce doigt. Même si dans ce contexte il faut avouer que le plus tard sera le mieux. Histoire que le doigt boudiné de Marcel ait subit les affres du temps. Eeet la voilà qui ressort. Elle fait la maligne, lâche même un baiser dans le vide. Tu rigolera moins tôt ou tard, et il y a même de grandes chances pour que tu comprenne vite d'où vient ce doigt. Alors vas-y, récupère tes merdes et passe devant.
Une fois en haut, Déa donne l'occasion à tout le monde de venir se faire nettoyer sans se donner en spectacle. Mais ça marche pas. Rien de surprenant, si ils ont entendu le bordel en bas.
Y sortiront pas... Faut casser les portes. J'prend la rangée d'gauche, j'te laisse la droite.
ET BAM! Grand coup d'pompe, porte explosée....... personne. La prochaine sera la bonne.
Pendant que Vran rêve de broyer son prochain, Déa négocie les braies du dernier vieux contre sa liberté. Un léger sourire sinistre apparaît sur le visage du malandrin, parce qu'il sait bien que c'est mort. Il va claquer ici, Andréa a juste peur de tacher les braies en question en mettant des coups de lames. Dommage qu'il s'en est déjà chargé en se faisant dessus. Le sourire s'élargit. Ça fait moins rire Déa par contre. Vran comprend pas trop, lui. Il aurait pensé qu'une femme n'aurait jamais accepté d'enfiler des braies de vieux, imbibée de pisse ou pas. Faut croire qu'il avait tort. Ou peut-être que son erreur c'est de considérer Andréa comme une femme. Non. Non c'est pas possible. Pas avec cette obsession flagrante pour les fringues. C'est bien la première fois qu'il voit quelqu'un faire une coupe avec ses mains pour récolter du sang et éviter que ça tâche des braies qu'elle porte même pas. Sérieusement, fallait la jouer celle-là. Sauf si vraiment le type porte des trucs très stylés, Vran pensera plutôt à prendre le pognon pour s'acheter ce qu'il veut. Ou si il est grave dans la merde. En hiver on fait pas la fine bouche.
Vran avait profité du moment pour poser son arbalète sur le guichet, histoire de pas l'oublier en repartant. Ça serait dommage.Et il préfère pas la prendre à l'étage, ça ne serait pas très propice. Mais c'est pas tout de suite que ça va arriver, puisqu'il se retrouve avec tout le bordel de Déa sur les bras. Sans même un mot avant de disparaître. Ce qui tend à lui déplaire. Si il n'y avait pas eu Mike -c'est vraiment nul en fait- et Marcel pour le détendre, il aurait sûrement balancer tout ça quelque pars d'inapproprié. Mais il est calme. Alors ça sera plus vicieux. Ça tombe bien, visiblement Andréa a décidé de prendre le temps de monter un petit campement dans ce qui pourrait très bien être le placard à balais. Il se déleste de quelques trucs histoire d'avoir un peu de liberté de mouvement, découpe un doigt au gros Marcel, et le planque au fond de la besace.
Satisfait, il récupère tout et se remet exactement où il était. Certains diront que la vengeance est un plat qui se mange froid. D'autres feront les malins en disant qu'ils le préfèrent chaud. Vran, lui, pense que la vengeance est un plat qui se mange. Les détails, c'est secondaire. Et là en l'occurrence tout ce qui compte c'est qu'à un moment, peu importe lequel, Andréa retrouvera ce doigt. Même si dans ce contexte il faut avouer que le plus tard sera le mieux. Histoire que le doigt boudiné de Marcel ait subit les affres du temps. Eeet la voilà qui ressort. Elle fait la maligne, lâche même un baiser dans le vide. Tu rigolera moins tôt ou tard, et il y a même de grandes chances pour que tu comprenne vite d'où vient ce doigt. Alors vas-y, récupère tes merdes et passe devant.
Une fois en haut, Déa donne l'occasion à tout le monde de venir se faire nettoyer sans se donner en spectacle. Mais ça marche pas. Rien de surprenant, si ils ont entendu le bordel en bas.
Y sortiront pas... Faut casser les portes. J'prend la rangée d'gauche, j'te laisse la droite.
ET BAM! Grand coup d'pompe, porte explosée....... personne. La prochaine sera la bonne.