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[RP] Même le diable fut un ange... (soirée Décembre 1467)

Eva.de.sparte
[Grand Salon, à proximité du bar avec Nicolas]

Mes traits s'étaient étirés dans un sourire mi amusé, mi provoquant alors que sa main s'attardait un peu trop autour de mes orbes. Ce soir rien n'était fait au hasard, chaque geste, chaque regard avait sans doute un peu pour but de déstabiliser l'autre afin que se poursuive ce petit jeu ou alors était-ce peut-être l'inverse?

Je l'avais observé intriguer alors qu'il avait déplié le petit parchemin pour en lire le contenu avant d'afficher une petite moue, ce petit sourire en coin ne présageait rien de bon, je connaissais assez mon sujet aujourd'hui pour le deviné aisément. Mes grands yeux avaient rejoint les siens, se plissant légèrement, voyant bien qu'il faisait exprès de prendre son temps pour me révéler mon gage. Je l'avais imité et m'étais délicatement saisi de mon verre sur la table afin d'y tremper mes lèvres, savourant le breuvage qui déjà réchauffait ma gorge puis, je l'avais poussé un peu sur le fauteuil pour me faire de la place et m'installé à nouveau à ses côtés.

Quand il s'était penché à mon oreille pour me faire part de mon gage dans un murmure, je m'étais mordu la lèvre inférieure, retenant un rire. Le voyant venir de loin alors qu'il avait glissé le billet dans ma main. Mes prunelles toujours posées sur lui, je l'avais envisagé l'espace d'un bref instant, prenant sur moi pour garder mon sérieux.


Pourquoi ai-je l’impression que vous tentez de vous attribuer mon gage? Vous connaissez le mien d'ailleurs peut-être pourriez-vous vous aussi me révéler le vôtre? Ainsi nous serions à égalité. Qui sait je pourrais peut-être même vous aider à le réaliser?

J'avais repris une gorgée de whisky puis m'était quand même décidé à vérifier ce qu'indiquait le parchemin, mon visage tentant de rester neutre. Lui comme moi savions que ça ne me ressemblait pas de faire ce genre de choses! S'il avait l'air de s'amuser là dans l'immédiat, il en serait peut-être tout autrement si je me décidais vraiment à tripoter toutes les paires de fesses de la soirée! Puis avec ma chance, j'allais choisir la personne à éviter et allais me ramasser une femme jalouse sur les bras! Ou pire!

Mon expression n'avait cependant rien révélé, repliant le papier, je lui avais à nouveau sourit puis m'était a mon tour pencher vers lui.


Il va falloir que vous vous levier juste un peu pour m'aider à réaliser mon gage .Sous votre masque je devine que se cache un vrai gentleman. N'est-il pas?

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Raquel.
[ Grand Salon, avec Mélissandre, Foulques et elle-même ! ]

Liane avait louvoyé parmi les invités, gracieuse, et d’un chaloupé de hanche rallié le bar. Susurrant quelques mots au barman, elle s’était vue dotée d’un plateau de belle taille ou trônaient mets et boissons divers et variés bien sur recouverts d’une serviette.
Pour Mélissandre, prune exigée. Pour Foulques et elle, une douceur, Hypocras de grande qualité, aux épices rares et parfumées.

Plateau déposé sur la table, Raquel apporta la coupe et la glissa dans les doigts de l’ange au loup envolé.


« Douceur du verger pour Son Altesse… »

Puis, après avoir offert un beau sourire à sa future suzeraine – du moins en l’instant – de se diriger vers Foulques et de s’agenouiller à ses côtés. Senestre se posa sur la hanche de son goûteur tandis que dextre enroula ses doigts autour de la coupe pour l’offrir à l’Altesse, à moins qu’il n’eut envie qu’elle ne le serve également avant que le jeu – du moins le gage – ne commence, jeu de séduction ayant débuté il y a quelques temps déjà.

« Grégoire ? Désirez-vous me laisser mimine libre afin de pouvoir trinquer avec vous ? » et de désigner du menton sa propre coupe « Ou bien voulez-vous que nous partagions ce doux breuvage ? »

Un bandeau trônait au-dessus du linge, destiné à dissimuler au regard émeraude la nature de ce qui serait gourmandise, ou pas. Regard qu’elle croisa, et qu’elle ne quitta pas en soufflant.

« Il me sera bien difficile de vous bander les yeux sous ce si magnifique loup. Désirez-vous que j’improvise pour garder secrète votre identité, Lobo, ou vous offrirez-vous à moi ? »

Andalouse, parait-il; alors il lui fallait apprendre la langue, l'utiliser et surtout un jour pouvoir donner le change à sa mère. Puis... Elle effaça la pensée funeste qui ne risquerait pas de traverser en tournant le visage vers Mélissandre pour lui sourire encore et continuer.

« Désirez vous jouer ma Suze ? Je puis aller chercher un bandeau pour vous faire goûter à vous également ce que l’on m’a concocté… »

Jeu à trois, pourquoi pas ? La soirée réserverait sans nul doute au couple lupin un moment d’intimité ; Mélissandre serait pour sûr sollicitée pour une danse, un jeu, un gage ?Elle était d'amusante compagnie, et aimait à deviser. Adorable somme toute.
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Avec l'amour je peux tout faire, avec la haine je peux mieux faire encore
Repeat after me : It's Just A Game
Foulques_de_malemort
[ Grand Salon, avec Mélissandre, Raquel et Foulques]

Le plaisir occupe, et laisse le temps nous échapper sans que l’on puisse l’en empêcher. Alanguis sur le sofa, les verdoyantes glisses de sa sœur au comptoir, dans l’attente du retour de la vassale. Un charmant sourire ne dépérit de ses lèvres, continuant de profiter des vues et des corps offerts dans l’attente d’un abandon total à la luxure, comme le dis si bien le proverbe, tout ne devient intéressant qu’après deux heures du matin, à l’instant où les pensées et les carapaces se délient dans les abandons absolu et total. À deux heures, le monde sombre dans les vices. Mais revenons à l’Andalouse qui manie le plateau avec doigté, et qui s’installe avec cette indécence si plaisante.

Damoiselle, il serait bien plus plaisant que nous partagions ensemble ce doux breuvage. Une manière aussi de me rendre entièrement esclave de vos désirs.


Puis de la dextre ôter son masque, quel intérêt avait-il de continuer à garder secret son identité, quand il savait pertinemment qu’elle avait déjà percé la vérité de son identité comme un nombre certains de personnes, et puis celle pour qui le masque avait été mis, avait disparu dans le dédale du temple des plaisirs. Et de son regard émeraude de détailler le visage de la jeune femme, ne dissimulant nullement ses yeux glissés le long de la gorge jusqu’à la naissance de la poitrine.

Ne sera-t-il pas plus aisé, d’enlever seulement le loup. Une manière de me soumettre que d’avantage à votre bon plaisir.


Laissez la main maîtresse à la jeune femme, lui laisser l’impression de dominer, de prendre la manche à son compte, tellement plaisant et d’avantage excitant. Jouons ma douce, jouons à mon jeu, de vous montrer la faiblesse, d’ouvrir la défense, pour qu’elle s’y engage avec cette assurance, cette certitude, qui ne la fera que d’avantage sombrer dans sa couche.

Lobo… S’offre à vous ! Et penche légèrement la tête et que signifie lobo ?


Puis de tourner une fois de plus le regard vers sa sœur, attendre sa réponse, et voir si sa sœur sera joueuse ce soir ou pas ?

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Jehan_
[L’enfumée, avec… Tout le monde]

Silence de mort, pour accueillir la proposition d’Etienne.

Résumons.
Le Duc d’Anjou -ce qui n’est déjà pas un gage de finesse, de tact et de diplomatie- avait retrouvé, quelques jours auparavant, la frêle rouquine qui grattait actuellement à la porte, inconsciente, souillée, et gravée d’un “M” à l’aine, ainsi que d’une entaille au flanc. Une agression comme tant d’autres aux Miracles. Comme tant d’autres, si ce n’est un léger détail : l’homme fou de rage et ivre de vengeance qui l’avait ramassé, pansé, lavée, c’est justement le Duc d’Anjou. La mentalité d’un Léodagan très, très remonté, et derrière lui tout l’arsenal angevin, et la folie furieuse d’un Pique. Mélange détonnant s’il en était.

Le hasard les a mené à recroiser, hélas pour lui, l’agresseur-tatoueur occasionnel. Qui écopa d’une droite ducale, en même temps que le tenancier des lieux -ce dont le Duc se foutait totalement.

Histoire de calmer le scandale à venir, ledit tenancier a traîné tout ce beau monde dans un salon. Cela fait mauvais genre, de jouer du poing en pleine soirée dans le bordel le plus huppé de la capitale. Un ex-collègue pour ceinturer le Duc, et la situation aurait pu se calmer. La tête du coupable contre la promesse de ne plus remettre les pieds ici. Mais, non.
Un gus, vite fait croisé durant ses services ici, en plus de l’inviter à se plaindre à la justice -il ignorait sans doute qu’en Anjou la justice était… Comment dire… Pique-, tenta de couvrir la fuite du courtisan-pointeur-futur schlassé - ; en clair, c’est reparti pour un tour.

Alors, à la proposition de se battre à la loyale, le sourire se fait franchement mauvais. Bien sûr, Duc, Angevin, et Pique, ça fait trois bonnes raisons de passer la moitié de sa vie à taper sur tout ce qui bouge ; mais celui qui avait osé souiller sa compagne ne méritait pas tel honneur.


‘Coute moi bien, toi.


Le “toi” en question étant Etienne.


C’simple. On arrête -presque- les frais pour c’soir. Par égard pour Helvalia.


C’est que, maintenant que l’adrénaline n’explose plus à tes tempes, le souvenir de la rousse, seule, te reviens. Et t’impose de la mesure.

Il va rester ici, à ta garde. J’reviendrai lui régler son compte un aut’ jour, quand j’serai seul. Mais pas à la Fosse. J’suis Duc, pas l’égal de ce salopard. Et si jamais il trouve moyen d’se barrer, c’est toute l’Aphrodite qui payera. Brissel n’est pas loin.


Jais se rivent dans les yeux du patron.

Mais j’ai une dette, envers-lui. Il a gravé sa marque sur ma compagne. Donne-moi une dague.
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Bannière par Mélissandre de Malemort
Vladimir_kriev
[En route vers la Mystique, avec Nejma]

Tu connais peu de choses, à vrai dire, aussi enivrantes, aussi douces que ces jeux, vils, de séduction entre deux êtres. L'instant ou chasseur et proie sont impossibles à départager, ou les doigts s'effleurent avant que les corps ne s'échauffent, ou les regards observent, un peu, pour imaginer, beaucoup.

Le contact des doigts fins aux tiens t'arracher un léger frisson qui remonte le long du poignet, du bras. Chat et Panthère, deux félins lancés dans un indécent ballet, délicate langueur qu'il convient d'étirer, de faire durer. Non seulement pour le plaisir de la chasse ; mais pour faire couler l'amer poison de la jalousie aux tempes d'une autre courtisane, celui de la vexation à celles d'une Malemort. Alors, ton corps souple prend son temps avant de se déployer. Le temps de savourer le breuvage, en connaisseur. Les alcools forts, fins, sont sans doute avec le tabac les seuls vices créer par ta récente richesse. Le temps de chercher à accrocher des aigues-marines familiers.


Je suis là, Lylie. Plus pour longtemps. Bientôt je partirai, et Vladimir mourra. Nul ne le pleurera.

Regard en coin, sous le masque, est jeté vers la courtisane.

Malemort payera.

Heureusement pour toi que cette dernière ne t'entend pas. Aveu, promesse pour la courtisane, comme l'ultime raccroc à une réalité. Elle est là pour être payée, et quelle que soit l'ivresse du stupre, quel que soit l’intérêt du jeu de la séduction, elle reste là pour cela. Déjà, sous Vladimir pointe Kriev, comme la première pousse perce le manteau neigeux, quand hiver se fait trop tardif, traîne son voile blanc, étouffe tout. Vladimir aurait refusé la passe, Kriev l'aurait accepté, comme une renaissance. Toi, pour l'heure, tu es balloté dans un entre-deux.

Enfin, le corps se déploie, et sourire, fin, est adressé à la courtisane.


Les bains, je te prie. J'aime leur atmosphère.

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Melissandre_malemort
Lune s'assombrit. Fugacement. Annonce fraternelle ne l'illumine pas comme cela devrait. Malaise que Foulques nourri lui empoisse solidement le coeur. Elle soupire, gémit sourdement, détourne frèle museau et lèvres se séparent finalement dans un "Soit" résigné. Raquel semble piquée. Mélissandre tolère, sans encourager. Elle les aime tous les deux, luxe pour elle même oublié.

Si réponse manque d’enthousiasme, Malemort n'en dépose pas moins un baiser sur tempe fraternelle. Et lève noble séant pour traverser la pièce jusqu'à hauteur d'un Chat - Gras qui sonne le glas d'une amitié prometteuse. Col est saisi à deux mains pour le pencher à sa hauteur, et lèvres princières s'écrasent sur celles du marlou. Les quenottes succèdent à la langue pour tirer une petite seconde sur sa lippe inférieure avant de mordre. Un peu trop fort, pour faire perler le sang félin et parfumer le reste de la soirée de rancune lunaire. De quoi sursauter de douleur, et gâter tout jeux buccaux à venir. Le libère ensuite, sur ultime baiser fougueux imposé. Essuie d'un revers de main sa petite bouche rougie d’hémoglobine, épinglant Chaton de prunelles trop noirs et trop frangés. Dédaigne catin favorisée et s'échappe du salon surchauffé pour chercher de l'air frais.

Il est rare de trouver joli coin de verdure dans cette ville maudite, et Princesse se laisse glisser le long du mur pour aspirer grande goulée d'air, jetant au loin masque de galante et enivrement coquin. L'envie de s'engluer d'Opium est si vive qu'elle en tremble presque, saisissant à cinq doigts de marbre poignée frissonnant. Crâne appuyé sur le mur, lune offre au firmament minois céleste. Epilogue serein d'une soirée enflammée.
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Nejma
    [ Avec Vlad, en route vers la mystique puis vers les bains ]


Les onyx l'observent, un sourire félin sur les lèvres, se délecter de l'ambre Ecossais, verre jumeau au sien. Jeux d'effleurements, de caresses du bouts des doigts, ou de regards, elle voyait sous le loup le chat chercher du regard un ailleurs, ou une, sûrement présente dans la pièce. Elle n'était pas le but, mais pour le moment, il était avec elle.

Malemort? Bien. De réputation , elle savait que des Malemorts étaient des habitués. Certainement sous les loups, ils étaient présents, et si le Chat disait Malemort, il avait certainement reconnu l'un d'entre eux voire les deux. Peu importait, tant que la note était payée, ma foi... Elle fit un signe du menton au serveur, qui ajouterait le whisky à la note des Malemort. Puis, alors que sous le masque perce l'indécision au sein des iris bleu-vert, peut être chance pour la reine du désert de ne pas jouer une partie perdue d'avance. Quand bien même perdue d'avance, la panthère ne rechignait jamais devant un défi, car si à gagner sans péril on triomphe sans gloire, l'inverse était d'autant plus vrai.
Le regard de biche, d'onyx savamment maquillé de khôl accrocha celui du chat, et qu'il parla des bains, un sourire de ravissement transfigura ses traits. Elle aussi adorait les bains, leur ambiance.
Changement de direction opéré, toujours accrochée au bras de Vlad, au plus près de lui. Mais l'Ange-elfe à leur hauteur, qui s'arroge le chat l'arrachant à la patte de la reine du désert, comme pour marquer son appartenance, sa marque, sur un homme l'ayant dédaignée. Avant de s'enfuir forfait réalisé, sous l'oeil indifférent de la panthère, qui, ennuyée par une esclandre qui avait plus un air de caprice enfantin, l'elfe si petite et si menue comme une frêle adolescente qui cassait un jouet qu'elle ne pouvait obtenir.
Regard de velours vers le Chat, pour quêter approbation pour reprendre leur escapade vers les bains. La pièce des bains était éclairée d'un halo subtil, crépusculaire lueurs de bougie parsemées ça et là, dans une ambiance éthérée, et vaporeuse, fragrances multiples des huiles de massages et parfums subtilement égayés par les petits vases brûle-parfums.
Panthère s'étire, elle est dans son éléments, lui rappelant les bains Alexandrins de la propriété d'Anwar. Elle lui désigna une couchette, d'un geste lascif.


Installe toi, je te prie, je vais te choisir de quoi te détendre.
Soare
[ L'Enfumée avec les mâles ]

Toujours installé sur l'un des tricliniums, le brun reste concentré sur sa main qui prend des allures plus que douteuse. Le con, il a réellement réussit à la casser ? Chiasse. Le nouveau parle Tribunal comme si ce genre de choses se réglaient par des hommes comme eux de cette manière là. Ajouté à ça voila que Monty tombe à genoux comme une vulgaire lopette. Bordel il mériterait 3 paires de baffes pour reprendre de l'aplomb et se montrer digne de son nom, sa réputation et d'être un homme. Quand on merde, on assume, on tombe pas à genoux comme une fillette pour attendre que le couperet tombe. Heureusement il y en a encore un là dedans qui a du plomb dans la cervelle et qui prend les choses en main à défaut que ce soit une bagarre générale où rien de bon en serait ressortit. Le patron - qu'il découvre enfin - parle et les autres écoutent. C'est bien, c'est très bien, la proposition est même correct sauf que ça ne semble pas convenir au vieux barbu. Comme si y'avait quelque chose pour lui plaire à celui là de toute façon.

Si j'peux m'permettre, d'où t'as une dette ? C'est Helvi qu'en a une envers lui, pas toi. C'pas ta mère, ta soeur, ta fille ou ta femme. C'pas non plus une d'tes nobles à qui tu dois protection. Helvi a eu plus d'une fois l'occas' de s'barrer des Miracles et elle l'a pas fait, elle a r'fusé. Elle a joué, elle a perdu.

CQFD.

D'ailleurs au lieu d't'occuper d'lui tu f'rais mieux d't'occuper d'elle. Une catin reste une catin même si tu lui colle une belle robe sur l'dos et j'paris* qu'y'en aura bientôt un pour vouloir s'la faire et crois moi pour l'avoir pratiqué longtemps c'pas une farouche et elle dit facil'ment oui. Après à toi d'voir si tu préfère perdre ton temps ici et la laisser à un autre ou sortir et t'en occuper.

Haussement d'épaules du brun de quasi moitié plus jeune que le Pique. Il avait dit ce qu'il avait à dire et si l'Ours préférait rester là à s'exciter sur Monty, lui il irait bien retrouver sa rouquine en l'honneur du bon vieux temps, pas si loin que ça d'ailleurs.. Postérieur se lève du triclinium, main blessée disparaît dans son dos et carcasse se dirige vers la porte pour sortir de cette pièce qui est loin de lui mettre les sens en émoi.


La luxure - Faire au moins 5 paris sur tout et n'importe quoi. 3/5
1- Finir la soirée avec Monty
2- Ne pas finir émasculé et empalé en haut d'un château
3- Helvi se fera draguer voir *bip* pendant la soirée

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Une idée de RP mais pas de lieu RP pour le faire ? Cliquez ici.
Nicolas.u.m
[Grand Salon, à proximité du bar avec Eva]

La brune avait décidé d’être assez joueuse ce soir et cela ne pouvait que plaire à Nicolas. Si le blond était plus ou moins sage en public, et même plutôt conventionnelle en privée, cette fois-ci, il se sentait pousser des ailes. Que ce soit l’endroit, les autres autours d’eux, le fait d’avoir des masques et surtout de voir sa fiancée se lâcher de la sorte l’aidait à se découvrir un peu plus et à prendre des risques et agir d’une façon qu’il ne ferait pas habituellement. Après lui avoir rendu son gage, il la détailla pour essayer de détecter ses micros-expressions, pensant voir de l’hésitation ou de l’angoisse. Mais rien de tout cela. Il se mordille légèrement la lèvre pour cacher sa surprise avant de prendre son verre de whisky et d’en boire une longue gorgée. Les yeux du blond se faisaient à nouveau dévorants et inquisiteurs, profitant du mieux qu’il pouvait de ce que lui offrait la robe de son acolyte.

Je suis un gentleman et oui je peux me lever. Après tout, j’ai déjà un peu touché, alors ça me semble assez équitable de vous offrir la possibilité de faire de même.

Sur ces paroles, Nicolas se leva, puis, se pencha vers elle, profitant ainsi de sa position pour regarder dans son décolleté pendant quelques instants avant de venir glisser son propre gage entre ses seins, tout en les caressant du bout des doigts. Il se redressa ensuite, lui tourne le dos pour regarder vers le bar avant de rajouter.

Techniquement, pour que mon gage soit validé, je dois être carrément assis au bar. Vous venez ?

Elle avait eu assez de temps pour toucher si l’envie lui prenait donc il se retourna vers elle avant de lui offrir sa main pour l’aider à se relever alors qu’un sourire mystérieux apparaissait sur son visage

Et techniquement aussi, vous devriez caresser d’autres séants que les miens. Enfin, pas que les miens en tout cas. En seriez-vous capable ?

Il plonge son regard dans le sien, la défiant clairement, ne sachant toujours pas si elle serait capable de relever un tel défi mais ayant envie de la pousser dans ses retranchements. Il attendit qu’elle accepte son invitation puis se dirigea vers le bar, non sans avoir récupéré les deux verres auparavant. Il profita pour lancer un regard vers le salon et l’entrée pour voir comment se passe la soirée des autres. Il y avait apparemment moins de tensions, ce qui était une bonne chose en soit. Le blond remarqua aussi l’arrivée de deux nouvelles femmes, blondes apparemment. Elles avaient quelque chose de familier. Il les regarda pendant quelques instants puis secoua la tête et concentra son attention sur sa fiancée à nouveau. Il se penche vers elle et lui murmura, en la taquina

Je n’aurai jamais imaginé me faire caresser par une inconnue aussi belle, cinq minutes après l’avoir rencontrée.

Il profita pour déposer sa main sur le bas de son dos, la guidant vers le bar, avant de faire descendre sa main encore plus bas.
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Dacienhissy
[Enfumée, Enfumée. Quand la clique masculine devient de trop....]

Un soupir. Net. Précis. Un œil qui suivait l'Androgyne se déplacer pour arriver aux devants de la scène, pénétrant l'hémicycle qui se déjouait dans cette atmosphère restreinte et de ne pas bouger le petit doigt. A quoi bon. Dacien voyait bien le mépris de l'Autre, le ressentait dans toute sa splendeur, sans jamais émettre quoi que ce soit afin d'endiguer tout cela. Montparnasse avait au moins la conscience d'avouer ses crimes. Il détenait au minimum cette respectuosité d'affronter ses péchés. Au moins l'un d'entre eux. Et de le voir, défaillant, genoux à terre, main apposée au torse quand la cadence respiratoire ne semblait pas normale. Le Ligny lui somma de se relever. Il entonnait déjà le prochain dernier lieu que le Courtisan risquait de quérir, le voir refuser par un ancien collègue et d'entendre l'homme ayant laissé tomber Montparnasse quelques secondes plus tôt qui prenait position contre le Duc. Tout ceci semblait bien trop s'entremêler à la perfection pendant que le collègue tentait certainement de retrouver ses esprits. Un autre soupir alors qu'une dextre sortit de sa poche, prenant le bras de Montparnasse et de déclarer simplement.

Y a pas d'armes ici. T'as déjà oublié?

Les mémoires devenaient de plus en plus courtes pour certains. Et quand la porte s'ouvrit, la femme qui trônait dans l'ouverture, attendant patiemment le dévoilement de cette entrevue, Dacien regarda Jehan.

'Cupes toi donc de ta compagne. Il a b'soin de prend' l'air.

Le demi-tour fut fait, patientant que le Montparnasse fasse de même, tentant de l'emmener dehors de cette pièce, dehors de ce Bordel, éprouvant lui aussi cette envie de s'échapper de cette mascarade. Ils n'avaient qu'à régler les derniers détails entre eux puisqu'il en serait ainsi de toute manière. Joyeux Noël Dacien.
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Merci Châton et Chérichou!
Sabaude
[ Au milieu du grand salon, seul, à entrechoquer deux plateaux pour faire un tapage de tous les diables et attirer l'attention sur sa recherche : une femme intalienne et enceinte. ]


L’astre argenté avait repris sa révolution dans l’espace douillet où les voix feutrées étaient rumeurs et les lumières tamisées éclats mystérieux aux yeux des invités dispersés par des rencontres et affinités dont Messey ne savait rien. Renard perdu en pays de chats.

Un instant, son regard posé au dos princier et bercé mollement par le lénifiant déhanchement doux de Melissandre, il gouta à l’indicible solitude des séparations qui n’en ont que l’air et le parfum. Son crâne fourmilla du passage des doigts fantômes et résonna des paroles prononcées, tandis qu’un baiser abandonné s’attardait à sa mâchoire. Petite Sélénée, à sa façon l’avait charmé.

Comme signal d’un nouveau départ vers un autre repli du ventre chaud de l’Aphrodite, Sabaude chiquenauda la jarre, défiée d’un œil réprobateur et d’un soupir bref.

De la coupe proposée à son arrivée il n’avait bu qu’une promesse de rafraichissement de trop dans sa journée imbibée de vins, liqueurs, plantes et épices, mais le fin brouillard somnolait encore entre ses tempes. De sa première rencontre de la soirée il n’avait retenu qu’un joli minois et un départ hâté. Du sang italien et du ventre rond, l’œil ducal n’avait, lui aussi, rien remarqué.

Chercher, ouvrir des portes, découvrir des corps imbriqués, présenter de vives et plates excuses, trouver un lit et s’y étendre pour ne se réveiller qu’au matin et laisser entendre à son homme de main qu’il avait passé la nuit à se divertir ? Il secoua la tête à toutes les possibilités envisagées, puis il prit deux plateaux qu’il débarrassa de leur contenu avec force sourires rassurants pour leurs porteurs. Il ne ferait pas un scandale, il serait un scandale, auditif.

Renard a l’air digne, tête de file d’un cirque invisible, entrechoqua les plateaux une dizaine de fois, puis par-dessus le silence retrouvé, percha sa voix claire et forte.


Je cherche une femme. Italienne. Enceinte.

Bras levés et toujours encombrés, il menaça de recommencer son ramdam, si on ne lui livrait pas rapidement le fruit convoité.
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Montparnasse.
      [Enfumé - Blablabla]


    L'air. Il ne pense qu'à cela. Les propos des uns et des autres flottent au dessus de lui, le laissant d'une indifférence de marbre. Étienne le releva. Poupée de chiffon entre ses mains il se laissa faire, n'écoutant rien du dialogue qui suivit. Il laissait les autres programmé sa mort avec indifférence. Ce n'est pas comme si c'était une première pour lui. Pendaison a part. Il portait toujours les stigmates de vengeance musculé et de viole collectif. Non pas qu'il était blasé par tous cela, mais il avait en vrai bien d'autres priorités pour le moment. Notamment celle de trouver de l'air. Aussi quand il comprend que Dacien veut l'emmener à l'extérieur, il le suis sans se faire prier. Il ignore complémentement qui il est mais à l'heure actuelle il a un goût de meilleur ami.


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Amelliane
[Dans le grand salon - en compagnie de Leng à la recherche d’un gage pour elle même]

A la proposition de Leng, la brune haussa les épaules légèrement après tout il n’avait pas tord elle était là pour s’amuser même si elle était enceinte jusqu’aux yeux. Puis quand on est enceinte on peut toujours profiter de certaines choses ou alors bien plus tard aussi.

Amelliane plongea donc la main dans le pot pour ressortir le fameux papier ou sera noter son gage.

Elle espérait qu’il y aurait un peu de piquant ce soir et que la chance serait au rendez vous, rien de mieux que de bousculer un peu les codes et coutumes ou tout le monde se tenait droit dans leur botte enfin tant qu’on ne lui demandait pas de se dévêtir devant l’assemblée normalement tout pourrait lui convenir mais parfois le très haut joue des tours donc il faut être prudent par moment.


( un ptit gage pour ma brune s’il vous plaît et bonne année ;) )
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.elle

~~Jardins dérobés de l'Aphrodite et du Pacte d'Orphée~~ Elle seule... ou pas... Alaynna
    Blancheur opposée à noirceur, ying contre yang, Ombre contre Lumière, l'âme en perdition et le corps au bord de l'explosion...
    Trop en trop peu de temps, sentir cette autre que tout le monde réclame, cette façade que tous connaissent lui échapper du bout des doigts alors que la femme a plus que jamais besoin d'Elle en ces instants de tourment...
    Regard émeraude relevé vers les cieux, la prière se fait muette quelques minutes, quand flocons de neige venant mourir à la chaleur de sa peau lui font clore les paupières dans une inspiration lente, volutes vaporeux de l'expiration se distillant en douceur alors que le visage s'abaisse...

    Comment tout avait pu dégénérer ainsi en si peu de temps ? Non pas ce qui pouvait se passer pour son ami et confident, non, quoique, aussi... mais non, comment se retrouvait-elle seule derrière le bureau de la gérance... loin de lui sans nouvelles autres que cette lettre pire qu'un couteau enfoncé au creux de ses entrailles avec ces quelques mots portés au vélin "Je ne sais pas si je reviendrai"...
    Il ne savait pas, qu'avait-elle cru au fond, catin un jour, catin toujours, même quand son passé était tout autre...
    Mais pour l'heure, l'urgence était de retrouver celle en gage de son contrôle, cette carapace que les récents évènements avaient éprouvés durement, celle qui offrait bien trop de ses pétales ces derniers temps et celle qui allait venir briser sa recherche de quiétude n'allait en rien arranger les choses.

    Mouvement à peine ébauché en entendant quelqu'un s'introduire dans le jardin privatif du personnel de l'Aphrodite, et une fragrance que la rose n'avait que trop peu cotoyé pour reconnaître, l'accent italien en revanche, il n'y en avait pas trente six au coeur du temple, et s'il en était une qu'elle n'aurait voulu voir pour rien au monde, c'était bien l'engrossée.
    Lentement les iris herbacées ourlés de khöl filèrent vers la brune souffleteuse sur son banc, visage aux traits fins et silhouette sylphide pivotant de concert pour faire face à la brune qui venait d'ouvrir la bouche.

    Ce qu'elle avait dit ? Oui la florale l'avait entendu.
    L'avait-elle compris ? Comment eut-il pu en être autrement.
    Comment recevait-elle l'info ? A votre avis ?

    Lentement, le pas avança sur la neige, légère, poudreuse se faisant balayer par la robe sombre, étoffe s'imprégnant d'un léger liseré blanc en approchant la ritale sans un mot, la détaillant, visiblement en souffrance, et Rose de se figer devant la parturiente.
      La grossesse ne semble pas vous réussir.

    De la compassion ? Le ton dénué de tout sentiment, aussi blanc que la neige qui les entourait ne laissait planer aucun doute sur l'absence de ce ressenti.
    Elle la voyait encore l'italienne à se faire sauveuse d'un Dacien en perdition, à l'entrainer hors de l'Aphrodite en se gardant bien de dire, à qui que ce soit, où pouvait bien se trouver le galant depuis des semaines complètes. Un temps la florale lui avait laissé le bénéfice du doute, peut-être n'en savait-elle pas plus que les autres, peut-être que Dacien avait pris la tangente, peut-être l'ire dirigée contre le médecin n'avait pas lieu d'être.
    Mais ce qu'elle venait de dire annihilait toute cette porte ouverte à l'innocence, elle savait... depuis le premier jour et l'avait laissé, sans nouvelles, sans un mot... et pour lui dire quoi ? Qu'il était ici... ce soir... soit disant pour elle.
      Je ne doute aucunement que vous en ayez été informée. Il est ici chez lui, tout et autant qu'Etienne soit accorte à cela. Mais m'est avis que Dacien saura le convaincre à... sa façon.
      Quand à moi... nul masque à mon visage, s'il est ici pour moi, comme vous semblez le prétendre, il m'aura vu, la réciproque n'est pas vrai en revanche.

    Que dire de plus qu'évoquer l'évidence, ici pour elle selon la brune mais sans venir à elle, chercher la logique de raisonnement, aucune, et au fond était-ce une bonne chose ou non ? Rien ne saurait dire comment une confrontation se passerait entre les deux gérants et encore moins vu l'état actuel de la rose.
    Mais pour l'instant, une voix connue semblait vouloir attirer à renfort de tintamarre l'attention de l'assemblée, le ramdam parvenant jusque dans l'alcôve de verdure gelée, verts se posant sur Alaynna.
      A priori on vous demande, la description vous sied en tout point, Dame de Valassi.

    Nouer le premier contact entre les deux brunes ne semblait pas être pour ce soir, entre l'ombre de Dacien planant au-dessus de leur échange et Sabaude qui brayait à tout va après l'engrossée.
      Après vous.

    L'enjoignant à cesser là sa pause, la rose s'approcha de l'italienne pour lui tendre une main, pas inhumaine quand même, afin de l'aider à se relever avant de rejoindre la porte donnant sur le vestibule du couloir des voyeurs pour l'ouvrir à la médicastre, profitant encore un court instant de la fraicheur pour reprendre pied avant de rejoindre la soirée.

~~L'initiée~~ Elle/Alaynna
    Rapidement, la rose constata que la porte ouverte pour Monty l'était encore, sans doute pas d'échappatoire ou un autre moyen, au final elle n'y pouvait plus rien de toute façon, sa cause serait plaidée autrement si elle en avait l'opportunité.
    La Valassi l'ayant rejoint c'est dans le cliquetis d'une porte dérobée que la châtine et la brune s'éclipsèrent par chemin identique à l'aller vers le grand salon, un bruit attirant l'attention de la florale au moment où elle ferma la porte, comme... un ressenti étrange, mais les affres du bal demandait à être pris en compte.
    Portant son regard sur l'engrossée, main délicate se posa sur la porte de l'initiée, une once de compassion traversant les émeraudes.
      Ca ira ? Reposez-vous un peu ici au besoin.

    Pourquoi cette attitude ?
    Parce qu'elle restait femme et... peut-être avait-elle déjà connu cet état ?
    Au fond qui connaissait vraiment la rose ici ? Peut-être... Peut-être pas...
    Ouvrant la porte donnant sur le grand salon, l'italienne fut saluée sans plus de formalisme, alors que le port de tête se remettait en place, tout comme la stature et la prestance alors que la florale rejoignait la fosse aux lions, plus tard d'aucun dirait "le spectacle doit continuer", Elle reprenait sa place parmi les artistes en balayant la pièce pour faire un rapide tour d'horizon.


    Edition de la fin du post

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Merci JDMonty
Dacienhissy
[Enfumée. Avec ceux déjà cités. S'en suivra un couloir avec Montparnasse. Puis un jardin. Toujours avec Montparnasse.]

Dacien l'observa un court instant. Androgyne qui savait se faire détester. Peut-être encore plus que lui. Un qui voulait lui trancher la tête avant de, éventuellement, le taillader à l'aide d'une dague. L'Autre assurant ses affaires quand celles-ci se sentaient à plein nez. Et le troisième. Il ne savait pas très bien comment le juger. Un coup, il aidait le nouvel employé du Bordel. Un autre, il le laissait tomber à son propre sort pour, finalement, dénigrer la compagne d'un Duc, Angevin de surcroît, détenant la lame facile. Bien. Dans cette pièce, on pourrait se demander s'il existait encore des gens censés, dénués d'un certain sens qui aurait pu se mettre en branle. Mais non. Chacun voyait midi à son heure quand Dacien comprenait que le nouveau manquait vraiment d'air. De toute façon, ils n'avaient aucunement besoin du gars pour discuter encore de l'éventualité du comment il allait bientôt passer trépas.

Ce fût ainsi que le Gérant du Bordel prenait le couloir réservé aux voyeurs, filant comme il pouvait en poussant devant lui Montparnasse tout en le soutenant afin d'avancer, le mieux possible et d'atteindre enfin la sortie tant méritée. Pas un ne valait l'autre quand on y repensait. Chacun prenant en compte sa propre stature, n'y voyant que son compte personnel alors qu'il serait indéniable de constater que la cible pouvait mourir sous leurs yeux, sans coups de lame, sans tranchant de gorge, sans coups dans le visage, mais juste à cause d'un manque certain d'inspiration propre. On ne prenait pas le temps de s'agenouiller et de se tenir la poitrine parce que l'on devenait la plus miséricordieuse personne. On ne prenait pas le temps, au milieu d'une foule se discutant le gras, de se poser en victime. On ne prenait pas le temps d'invoquer supplique quand cela n'était pas nécessaire. Bande d'abrutis. La seule pensée qui vint se disposer entre ses tempes.

La porte fût poussée. Quelques flocons qui virevoltaient dans l'air. Dacien le fit avancer encore de quelques pas et de le déposer comme un vulgaire chiffon au sol. Il soupira, resta silencieux alors qu'il entendit le cliquetis de la porte donnant sur le grand salon qui venait de se refermer, sans voir qui venait de partir, sans vouloir y prêter attention. Il resta debout, de tout son tenant et de secouer la tête.


'Tain mais quand on viole, on s'fait pas voir!
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Merci Châton et Chérichou!
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