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[RP] Drugs & F-word

Lylie_blanche
    You and me baby making love like gorillas,
    Yeah I got a fistful of your hair
    But you dont look like you're scared
    Cause you know how I like it you's a dirty little lover
    If the neighbors call the cops, call the sheriff, call the SWAT we don't stop, we keep rocking while they knocking on our door.
    And you're screaming give it to me baby


    Baisers se perdent en surface, parsemant le haut d'un corps, le creux d'un cou, des lippes gourmandes quand plus bas, fièvre se fait mâle et envieuse. Coups de reins se perdent et cuisses arrimées à l'amant, se teignent de quelques perles nacrées. Mais murmure est avoué, indécent, provocateur, lui rappelant qu'ici lieu, les apparences sont trompeuses et que la plus délicate des fleurs, peut surprendre et se faire piquante.

    Gourmande, elle savoure la moindre de ses attentions, le moindre assaut jusqu'à ce que le corps gracile se voit retourné d'une main ferme. Aussitôt, Renarde se mue en un autre de ses congénères quand posture ne laisse aucun doute quant à la suite des événements. A quatre pattes, hanches sont reprises quand roideur de nouveau, revient saisir son fourreau pour s'y abandonner et s'y imposer. En cet instant, amante délicate, lascive et langoureuse devient, fièvre, qu'il abat, guide à chaque coup de butoir jusqu'à son bassin. Ondulations deviennent claquements, et danse délicate, enivrante, se mue en un ballet de coups de reins puissants et impérieux. Pourtant, aucune plainte ne s'échappe de ses lippes quand bien même roideur se ferait parfois douleur entre ses cuisses. Au contraire, Renard se laisse couler, échine se creuse, poitrine rencontre les étoffes alors que les phalanges s'arriment aux étoffes pour subir la tempête qui se perd à ses cuisses. Lippe inférieure est mordue, quand joue se plaque sur un amas d'étoffe rougeâtres. Enfer est épousé, adulé, quand regard se porte sur l'Amant pour en admirer les Abysses. Lippes entrouvertes, renarde couinerait presque alors que incandescence de la scène la rend plus envieuse encore.

    Garce brûlante redresse alors l'échine pour venir la plaquer contre le torse mâle. Le temps d'une caresse, d'une étreinte alors qu'une main mâle est saisit pour être plaquée contre sa propre mâchoire. Doucement, lippes gourmandes emprisonnent un pouce avant de guider les phalanges mâles jusqu'à la rondeur d'une gorge pour y affirmer une prise, la rondeur d'un mont à la pointe durcie et enfin, la rondeur d'un sexe creux, nappé de nacre. Là, doigts se lient aux siens, se font guide et plus encore, experts quand Mâle est invité à devenir maître d'une perle rosée dont elle lui avoue la sensibilité et le ballet. Ainsi, échine gracile se plaque contre son pilier massif, quand reins s'animent et que dextre se fait habile. Cuisses tremblent, lippes se font suppliantes et vague, ainsi narguée, taquinée, se fait violente...Nulle comédie. Plainte est avouée, gorge brûle d'un soupir lascif, d'un gémissement envieux qu'elle abandonne à l'oreille mâle...

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Misan
Le regard dévala la sublime cambrure, s'attacha à la vision licencieuse du séant malmené et rosissant, traîna jusqu'aux yeux brûlants de sa comparse. Jouvencelle encaissait avec le naturel des femmes qui ont enduré bien davantage que quelques furieux coups de reins.
Elle se redressa et, comme elle, le temps se suspendit.
L'amant la soutint dans l'exécution de sa courbure d'une senestre ancrée à l'un de ses orbes et de ses crocs enfoncés dans l'effilé de sa nuque. La démence fébrile succèda à la folie douce alors que la même paume brûlante rampait du sein à la gorge pour s'y enrouler sans violence, amant subissant malgré lui le besoin de la sentir assujettie aux desiderata de sa virile vigueur. Par chance, et pour son plus grand plaisir, la demoiselle semblait témoigner, à la faveur d'une armée d'oeillades et de soupirs, d'une certaine inclination pour les étreintes musclées où la sueur pointe avec les suppliques.

Sa main droite, quant à elle, veinarde paluche, fut sensuellement conduite par une jumelle féminine et inspirée, des quenottes adamantines jusqu'à la suave moiteur d'un sexe chaudement investi. Sa langue y avait déjà oeuvré et, sous le suc d'une salive dense, le bourgeon avait enflé, s'était déployé, et languissait depuis lors, à quelques caresses de l'éclosion en fleur et en plaisir. Ces dernières cajoleries furent prodiguées en duo, alliage de la précision féminine et de la largesse du pouce mâle. L'efficacité de la coopération fut prestement vérifiée quand, enfin, Lylie vint, avec véhémence, chant et transe.

Les catins mentent. C'est là ce qu'on leur demande et c'est pour cela qu'on les paie, bien davantage que pour l'orifice loué. La gourgandine qui, à la technique tout archaïque de sa corvée, mêle les arcanes de la simulation, élève son métier au rang d'art. Mais, même pour la plus talentueuse des prostituées, la mystification connaît les limites du corps : l'orgasme, pour qui le traque, pour qui le recherche chez l'autre et pour l'autre, possède des qualités inimitables. Il y a la course accablée du cœur, la tonalité presque déchirante des soupirs et, surtout, il y a ces soubresauts qui, nés du ventre, étirent leur crampe jusqu'à la pointe du plus long des tifs. Fiché entre ses chairs, tapi au centre de cette harmonie de spasmes et de vibrations, Dedieu put profiter de la violente beauté de l'extase intérieure en plus d'en vivre l'externe contemplation

C'en fut, d'ailleurs, trop pour lui.
D'une dextre suppliante il lui fit retrouver les abysses du tapis et, s'arrachant volontairement à la gangue incandescente de ses cuisses, se répandit sur sa croupe avec l'ornement musical d'un râle étonnamment sonore et expressif pour la poker face qu'il incarnait usuellement à la conclusion de l’exercice. A bien y songer, il se pourrait que quelques jurons et autres « Bondu » aient été largués sans que le calomniateur eut conscience de sa vulgarité. Cependant le réflexe concerné de minimiser les risques de maudite conception survivait toujours à la plus impitoyable des jouissances.

Puis il s'échoua sur la carpette comme au rivage de l'extrême félicité, bras en croix, le souffle et l'articulation incommodes :
J'crois....que j'aurais jamais aussi bien...dépensé mes écus.
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Ban by JD Eldearde.
Merci.
Lylie_blanche
    Plaisir s'offre, sans pudeur quand il est pourtant rare de jouir d'une manière si, sincère, dans les bras d'un client. Quand bien même, la majorité des courtisanes seraient expertes, la jouissance est un art parfois désinvolte, ingrat, surtout lorsqu'il naît d'un con. Alors, s'il est de coutume de simuler, de geindre, de se plaindre avec une tempo idéal, avec cette voix fluette et tremblante, ici lieu, courtisan n'avait pas eu besoin de simuler.

    D'ailleurs, à peine l'aveu abandonné, que quelques coups de reins se perdent avant de l'inviter à se pencher pour que semence se perdre au derme d'une croupe. Sourire s'étire alors, presque amusé devant la prudence faite par ces hommes qui craignent d'un bambin ne naissent de son con. En cela, heureusement ou malheureusement, Lylie en était épargnée car son ventre, malgré maintes assauts, demeurait aride. La fiole qu'on lui fît boire lors de sa première passe, l'avait condamnée, dès ses huit printemps à ne point engendrer d'enfant de putain.

    Puis, mâle se laisse aller à la couche. Usé, ravagé, épuisé mais visiblement satisfait et repu. Inquiète ou curieuse par ces moult maux et nom d'oiseau sortis des lèvres de l'artisan, une servante tire à peine le rideau comme pour s'assurer que la Renarde et le client se portent bien. Alors petit rire s'échappe des lippes de la courtisane avant de la rassurer d'un hochement de tête.

    Je crois que vos manières en ont intriguée, une autre. Doucement, courtisane s'empare d'un tissus pour essuyer délicatement l'échine quand, espiègle, elle récolte un peu de nacre sur la pulpe de son index avant de le porter à ses lippes.

    Sourire s'étire, complice, quand elle s'assoit à ses côtés, le temps de s'emparer de la pipe et des herbes. Bien que peu habituée par ce genre d'accessoire, Lylie avait néanmoins appris à user des herbes non pour les fumer ou s’enivrer, mais pour offrir à ses propres pâtisseries, un goût particulier ainsi qu'une certaine originalité. Bougie est prise, pipe allumée et quelques bouffées sont tirées pour qu'elle soit, à point, pour...Tiens, il ne s'était même pas présenté.

    Petite pause est marquée quand courtisane avait manqué à ses manières. Si pour certains, il était inutile de connaître le nom, pour celui-ci en revanche, elle aurait aimé le connaître. Qui sait, peut être aurait-elle la possibilité de le croiser de nouveau.

    Doucement, Renarde revient s'allonger sur les étoffes, se nichant contre le mâle pour mieux reposer son minois dans le creux d'une épaule. Main tend la pipe à opium à l'Amant quand, une fois, déchargée de cet objet, elle peut à loisir, laisser couler ses doigts sur le torse pour y dessiner des arabesques.

    Si vous cherchez..à le dépenser à nouveau, sachez que je m'appelle..Lylie...Et que ma compagnie se loue, aussi bien entre ses murs, qu'en dehors..lorsque je m'occupe, d'une clientèle..Que j'aime à..fidéliser.. Voix se fait mutine alors que corps lui, détendu, savoure la douceur d'une étoffe et d'une compagnie mâle contre laquelle, elle peut se reposer après une jouissance aussi, éreintante.

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Misan
Avachi de tout son long sur un imbroglio de tapis et d'étoffes, l'homme hautement satisfait comatait, pacha de ces quelques minutes post-jouissance. Détendu jusqu'à la douce torpeur, la servante curieuse fut à peine aperçue quand le client aurait pourtant pu dérouler la liste des gestes effectués par son amante du soir, objet d'une contemplation sereine. Déjà pimpante, la demoiselle plus fraîche que jamais trouva encore le moyen de péter les scores de l'érotisme en se faisant goûteuse de la liqueur séminale échouée à la courbe de son dos. Si son corps et son escarcelle le lui avaient permis le jeune homme se serait rembarqué pour Cythère dans la seconde.

Comble du délice, le dévouement d'une catin appliquée étant sans limite, Vénus lui concocta de quoi parachever l'éveil de ses sens après un orgasme dont l'intensité lui chatouillait encore la plante des pieds. La pipe tendue n'était pas à opium et Misan, davantage coutumier de la traditionnelle boulette et de l'aiguille, se trouva donc surpris de déceler, mêlé au goût familier du chanvre, celui du pavot. Cet ancêtre du joint impérial fut évidemment savouré avec la lenteur que l'on accorde aux plaisirs rares. Les effets du détonnant mélange ne se firent pas attendre et le tailleur déjà malmené des restes d'un coït débridé se vit fauché par un extase jubilatoire, les nerfs à la détente soudain complète jouant les accords d'un fou-rire.

La bouffarde entre les dents, fumée copieusement échappée des naseaux, Dedieu rabattit un bras sur la frêle silhouette couchée dans son giron et, au milieu du brouillard jouissif qui abusait ses perceptions, la pressa plus étroitement encore contre son flanc. Le prénom était d'une pureté qui jurait avec la dure condition de sa porteuse. Misan brûlait de savoir s'il s'agissait du petit nom dont l'avaient baptisée ses parents ou du pseudonyme imposé par ses proxénètes, mais il renonça bien vite à la question. Etrange que cette pudeur accordée au commun d'une appellation lorsque, quelques instants plus tôt, ils partageaient jusqu'aux profondeurs de leurs carcasses furieuses.

J'm'appelle Misan et j'ai aucun doute sur l'fait qu'on se reverra, ici ou ailleurs.

Il ignorait alors que cela surviendrait plus rapidement qu'escompté ou que la régularité de ses assauts et des nuits achetées la ferait sous peu intimement connue de lui. Pour l'heure il se shootait au parfum d'abricot que sa chevelure diffusait, l'Enfumée et ses tentures disparaissant peu à peu au profit d'un verger que l'été gorgeait de lumière.
Mais, pour des raisons fumeuses et ignorées de lui, Dedieu s'interdit ce paisible songe estivale déployé par la mèche rousse et s'accrocha à la réalité d'une vénale quoique naturelle pensée.

Combien j'te dois, douce Lylie ?
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Ban by JD Eldearde.
Merci.
Lylie_blanche
Reput. Elle l'est également et ce, sans avoir à jouer, à tricher, à duper l'Amant qui se tient à ses côtés et qui enserre d'avantage sa prise. Regard azur se perd alors sur les tentures quand de temps à autre, fumée échappée des lippes mâles viennent à se muer en nuage apaisant. Si elle n'était pas friande de ce genre de vapeurs, de toxines, tant elle craignait de perdre ses moyens et de devenir poupée de chiffons auprès d'un homme, ici lieu, nichée contre lui, elle acceptait d'en inhaler quelques fragrances.

Misan.. Joueuse, elle avoue ce nom comme un murmure, un soupire qu'elle pourrait être amenée à avouer dans les semaines à venir, dans le creux de son oreille après encore d'autres ébats.

Promesse est donc faite, de la revoir. Flatteur, à n'en pas douter et agréable. Après tout, mieux vaut un client qui sait donner du plaisir, désintéressé, qu'un client qui attend que son office soit fait et petite morte offerte sans concession.

Puis prix est demandé et réponse, omise juste le temps d'un baiser qu'elle vient porter dans le creux d'un cou et d'une caresse qu'elle niche le long de son torse. Échine se redresse légèrement, visage surplombe le sien, quand chevelure désormais plus bouclées et sauvages, se fait rideau intime.

Toute bonne chose à un prix et ce dernier, elle le murmure dans le creux de son oreille, comme s'il s'agissait d'une chose inconvenante. Comme si, cela ne devait être su que du client et non des oreilles indiscrètes. Après tout, ici lieu, tous avaient des prix différents, des prestations distinctes. Le prix était chose pudique bien qu'assumée.


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