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[RP] Dans l'enfer d'une rédemption perdue d'avance !!!

Jason_ludgaresvissac


Il est amusant de voir la gerce cracher sa bile dès qu'on la prend en défaut. Elle n'était même pas capable d'assumer son incompétence, couinant comme une truie que l'on saigne dès que l'on osait avoir un avis différent du sien. Mais que pouvait on attendre d'une gueuse n'ayant aucun respect et aucune once d'éducation. On ne pourrait pas lui reprocher d'avoir tenté de lui faire confiance et d'essayer de faire preuve de patience à son égard. Mais chassez le naturel il revient au triple galop, elle voulait le voir élever la voix elle allait être servie. Elle n'était qu'une belle de nuit insignifiante, mal éduquée et vulgaire ne méritant même pas qu'on lui prête plus d'attention qu'à la vermine qui grouille sur le corps des pauvres hères qui hantent les bas fonds.



Il prit le portrait qu'elle lui tendait et observa le visage de son fils sans un mot. Mel lui manquait bien plus qu'il ne l’avouerait jamais. Après un long moment il releva ses glaces sur elle, allait il à nouveau pouvoir lui faire confiance. La trahison avait été sévère, mais lui même n'avait il pas trahit une fois sans le savoir et encore aujourd'hui il en expiait le fait. Il connaissait que trop bien l'envi de pardon qui ne venait pas et qui ne viendrait sûrement jamais. Alors pourquoi lui ferait il subir ce que lui vivait depuis presque une année maintenant.
Il s'approcha de la jeune femme et l'entoura de ses bras


Je sais que tu ne veux pas m'acheter, et je ne suis pas à vendre. Laissons le passé là où il est et avançons à nouveau dans le même sens. Ne reparlons pas du passé, nous faisons tous des erreurs crois moi.

Il déposa ses lippes sur son front

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Aylin_elisabeth


Il y a des gens qui ont une grande habileté à vous mettre dans une fausse position, mais si fausse, qu'on ne peut en sortir sans faire une sottise : ce n'est pas qu'ils y entendent malice, c'est leur manière d'agir ; ils ne sauraient avoir une allure franche et aisée, tant ils sont habitués à biaiser. Pierre-Jules Stahl


Citation:
" - Je... je me suis permis de te faire dessiner cela... j'espère que le portrait de Mel et de Sébastien te fera plaisir, c'est un premier geste, non pas pour t'acheter mais pour te... " Elle s'interrompit, la gorge nouée, deux larmes coulants silencieusement le long de ses joues.


Isabelle n'était pas parvenue à achever sa phrase, eh oui, les trois personnes qui comptaient le plus pour elle en dehors de son frère bien entendu, se tenaient ou sur le parchemin au fusain ou devant elle, quoiqu'on puisse en penser, son beau-père était pour elle comme un guide, un ami précieux qui savait la guider, la conseiller, ne s'étant jamais trompé jusqu'ici... Et elle avait été idiote, ô combien idiote de croire en ces inepties ! Maintenant, elle comprenait le tout, les vérités, les conseils, ce qu'il avait souhaité lui faire comprendre et non, elle ne s'y ferais pas reprendre de si tôt.

Ce qu'elle voulait dans ses rêves ? Que son beau-père soit fière d'elle et qu'il lui dise un beau jour : " Non, finalement, tu étais bien une Vissac " car Vissac elle se sentait plus que jamais et Vissac elle resterait jusqu'à la fin de ses jours.

Ses larmes coulèrent à flots lorsqu'il la prit dans ses bras, lui disant :


Citation:
Je sais que tu ne veux pas m'acheter, et je ne suis pas à vendre. Laissons le passé là où il est et avançons à nouveau dans le même sens. Ne reparlons pas du passé, nous faisons tous des erreurs crois moi.


Elle balbutia :

" - Non, jamais je ne te trahirai, tu es le père dont j'aurais rêvé, l'exemple que je tente de suivre... " Elle versait trop de larmes, Isabelle ne parvenait plus à parler tandis qu'elle le serrait dans ses bras.
Jason_ludgaresvissac
Citation:
À Isabelle_de_vissac Date d'envoi Le 22 Février 1466 à 14h51
Objet ..... Expire le 25 Mars 2018 Bonjour


J'avais prévenu et là tu as été trop loin
Merci de quitter le clan et de ne plus porter le nom des Vissac, je n'admets pas les magouilles auxquelles tu t'es livrée et en nous prenant tous pour les lapins de 3 semaines. Tu as été beaucoup trop loin, et n'essaye pas de me convaincre par des réponses évasives.
Les erreurs on en fait tous, on tombe on se releve mais là c'est ... je ne trouve même pas de nom, tu t'es servie de tes amis et de moi et nous a roulés dans la farine.

Adieu


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Jason_ludgaresvissac


Dans la vie tout a une fin et pour la sérénité de tous il fallait vraiment que cela cesse. La gueuse aux dents si longues qu'elles rayaient les parquets se pavanait en terrain conquis. Avec son timbre vulgaire aguichant outrageusement les mâles à qui pour sûr elle prodiguait ses faveurs entre deux portes, flattant celle de qui elle espérait une terre et crachant sans vergogne sa hargne sur ceux qui ne partageaient pas ses idées. Elle qui n'aspirait qu'à se sortir de la soue où elle avait toujours vécu, ne comprenait pas que les gourdes de son espèce resteraient à jamais d'infâmes belles de nuit que l'on abandonne à l'aube quand on n'en a plus besoin. Elle était bouffie de prétention et son visage aux traits ingrats fardés avec vulgarité inspiraient plus de dégoût que de compassion.
Il faut dire qu'elle n'avait pas de chandelles allumées à tous les étages, et comme tous ceux de son espèce elle pensait avoir de l'esprit alors qu'hélas elle n'avait pas plus d'intelligence qu'un huître avariée, dommage pour ces mollusques qui eux n'ont rien demandé.
Mais tout vient à point à ceux qui ont la patience d'attendre, la fin pour elle approchait et sous peu tous retrouveraient la paix et la sérénité.

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Jason_ludgaresvissac


La roue tournait et l'heure était venue. Le temps des fausses promesses était révolu. Deux mois de léthargie et d'ennuie et voilà qu'à l'horizon l'avenir encore plus sombre se profilait.
Mais ils avaient vue le coup se faire, il faut dire que ce n'était pas à eux qu'on allait conter des fables que même des enfants avec encore la morve au nez ne croiraient pas. Ce soir là ils étaient rassemblés dans le bureau de l'Aigle et ils y resteraient certainement jusqu'à l'aube.
Ce qui le mettait en rage n'était pas ce qui était en train d'arriver, mais juste le fait qu'il l'avait prévue, un peu comme une intuition qu'on a quand on se trouve face à un ennemi qui vous tend la main pour signer la paix mais qui par derrière n'attend que la première occasion pour vous abattre. C'est peut être pour ça qu'il était ce soir le seul à n'être ni rageux ni surpris.

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Jason_ludgaresvissac


Il est parfois des priorités qui pour les uns et les autres ne sont jamais les mêmes. Il faut parfois garder la tête haute et faire fi des coups bas et des donneurs de leçons qui se croyants plus forts vont venir vous faire la leçon. Les conseillers ne sont jamais les payeurs. Il est un temps où il faut arrêter de prendre sans jamais rien donner en retour.
Les promesses qui ne sont jamais tenues sont pléthores de la part des donneurs de leçons, et après ils s'étonnent que la confiance s'effrite. La confiance est un bien précieux, manquez y une fois et elle sera à jamais perdu. La vie est bien trop courte pour la perdre dans de stériles batailles.
Il avait appris à ne pas se retourner sur ceux qui aimaient à faire des ronds de jambes et qui passaient leurs temps à viser la lune sans se préoccuper du mal qu'ils faisaient aux autres. Les profiteurs et autres arrivistes ils les laissait pour ceux qu'ils étaient des beaux parleurs sans aucun intérêts. La vie lui avait appris qu'il ne fallait faire confiance en personne.

Ils étaient beaux les amis ou du moins se qui se qualifiaient ainsi mais qui hélas ne l'étaient que quand cela les arrangeaient. Regardez les se gausser et se moquer continuellement du moindre faux pas. Il ne fallait surtout rien leur dire, juste rire avec eux pour valoriser leurs egos démesurés.

Il était las de toutes ses belles paroles vides et de ces fausses promesses redondantes faites juste pour le museler. Celui qui le ferait taire n'avait pas encore vue le jour. Il savait ce qu'il en coûtait de parler et il avait depuis trop longtemps pris l'habitude de dire ce qu'il pensait pour s'arrêter aujourd'hui. Il n'avait aucun regret il resterait à jamais fidèle à lui même et n'avait cure de plaire à ceux qui ne venaient à lui que parce qu'il allait pouvoir leur servir de marche pied.
Sa traversée du désert il l'avait faite, entouré d'une poignée de vrai amis, eux ils se comptaient sur les doigts de la main. Ensembles ils avaient surmontés les épreuves sans faillir et en sortaient tous grandis aujourd'hui. Ils ne devaient rien à personne sauf à leur pugnacité.
Il était de retour et avait une soif de vengeance....


Ce matin là dans son bureau il observait le soleil se lever. Il avait été absent depuis un long mois, il allait devoir se remettre doucement dans le bain. Tout serait difficile il le savait, son absence ne lui serait pas toujours pardonnée mais il était des imponderables qu'il ne pouvait éviter même s'il le voulait. Certains ne l'avaient pas compris, dommage mais il n'avait pu en être autrement. Il avait appris par un gamin qui lui avait remis un plis dès l'aube que ses cousins avaient enfin passés la frontière, il espérait enfin les voir, tout avait été préparé. La famille allait enfin être réunie à nouveau et rien qu'à cette idée il se sentait renaître.

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Fbx18256531
Ils étaient enfin arrivée en Alençon après avoir voyager durant quelques semaine, ils avaient décider de se rapprocher de leur famille afin qu'ils soient tous réunis bien que toute la famille n'était pas encore entière mais cela ne tarderais pas.

Depuis son arrivée, il avait eu le temps d'observer et de connaître un peu plus le Duché où il va désormais vivre, bien qu'il avait longuement discuté Politique et de la Province avec l'un des membres du groupe dont il faisait parti pour rejoindre L'Alençon qui fût pour lui très constructif, ces journées se répéter de la même façon, il travailler pour la Diplomatie Royale, il aussi rejoint les entrées de la Diplomatie provincial afin d'apporte de son aide et de ses connaissances, espérant aussi voir son cousin en taverne afin de pouvoir parler plus en détail de l'Alençon.

Jason_ludgaresvissac



Dans cette chambre sordide au premier étage d'une taverne on entendant le souffle régulier d'une respiration. Les rayons de la lune caressent un corps à demi couvert endormi, épuisé par les ébats passés de la nuit. l'amant de passage s'en est allé sur la pointe des pieds, poursuivant sa route. Ils se croiseront à nouveau , ou peut être pas, instants volés qui laissent un goût sucré sur les lèvres. Le goût de l'interdit aux épices de l'inavouable. Qui pourrait parler, personne ne les connait, et puis ils savent être discrets, c'est le prix à payer pour s'aimer.
Au rez de chaussé la salle s'éveille, un nouveau jour commence.....
Les gaupes et les marles prennent quelques repos ayant passé la nuit à s'affairer de concert avec les galopines et l'herbe qui croît dans la main dévoilant les fraises dans la mousse, Il règne dans les pièces des relents d'huile de reins et de nénuphars flétris. Tant de fois les couleurs ont été dressées, et ils se sont employés à faire mousser le créateur, à faire glisser l'archer entre les cordes. Les parties de criquon-criquette se sont succédées jusqu'à potron minet. Désormais les livraisons de bois sont devant les portes à la vue de tous, alors que l'ami des fauteuils et le confident des coussins est retourné se cacher dans les tréfonds des pièces de chanvre. Certaines perles auront même prié à l'abbaye du verso avant de goûter à la corne d'abondance et d'autres ont communié sous les deux espèces alors que les marchandes d'ails faisaient reluire leurs étals.
Dans la salle obscure du fond , les tables sont jonchées de cadavres, souvenirs des libations nocturnes. Certains après avoir ourdis quelques complots néfastes ou élaborés les plans d'une quelconque vengeance stérile gisent sur le sol, dans les flaques où se mêlent dégueulis et pissat. Triste image de la nature humaine, ceux là même qui plus tard iront se pavaner avec leurs oripeaux de soies et de brocards, usant d'un langage mielleux aux accent vitriolés.

Une silhouette enveloppé d'une cape le visage dissimulé sous sa capuche, quitte les lieux discrètement. Qui est il, d'où vient il comment le savoir ? Peut être est ce un de ces oiseaux de nuit qui se complaisent à ourdir quelques complots ou un amant quittant la couche encore chaude avant l'arrivée du mari ou du compagnon régulier. A cette heure tout n'est que fourberie et leurre. A demi mot dans un coin embrumé par la fumée les informations se sont échangées, des écrits compromettants pour les uns ont changé de main. Mais seront ils bien utilisés, ne vont ils pas servir à d'autres desseins. Il est des personnes qui n'aspirent qu'à pouvoir asseoir leur toute puissance, et que leur importe qui ils feront tomber pour y arriver. Mais tout cela n'est que guerre stérile au sein de laquelle il n'y aura pas de vainqueurs, juste des cadavres et encore des cadavres qui jonchent les chemins du pouvoir.
Ceux qui hier encore riaient ensembles n'étaient plus, les gerces avaient lentement œuvré. Le fiel qui les habitaient avaient lentement fait leur oeuvre, perfides Succubes elles avaient rallié autours d'elles les incubes qui buvaient leur venin comme d'autre le lait maternel. Que n'avaient ils pris garde à leurs airs rogues qui n'étaient que façades protectrices de toutes les turpitudes qui emplissaient leurs âmes noires. Ecoutez les chuchotis des gaupes et des marles, ils s'en délectent comme d'une friandise qui roule sur la langue. Ils distillent leur venin car ils n'ont rien d'autre à faire. La peur se lit sur leurs visages et les déforme mais leur couardise n'a d'égale que leur bêtise. Ils sont pathétiques tellement ils tentent de se creuser l'esprit à trouver de nouvelles fausses vérités. Mais de l'esprit hélas ils n'en ont pas, les porcs et les vermines qui grouillent sur le dos des pauvres ères en ont bien plus qu'eux sont bien mieux lotis.
Tellement attachés à leurs privilèges et à leurs fausses richesses matérielles ils se roulent dans la fange, foulent au pied le peu d'honneur qu'ils auraient pu avoir, car c'est un mot qu'ils ne connaissent pas.
Ce sont des morts en sursis qui se raccrochent tant bien que mal à un semblant de fausse gloire gagné dans des couches nauséabondes lors de bacchanales données à leurs gloires.
Ecoutez la rumeur qui gronde et qui enfle, colportée par delà les sentes elle vole de foyers en foyers, s'introduit sous une porte, s’immisce dans une alcôve, se chuchote à confesse. Serait-ce ces précieuses là qui l'ont lancée par un après midi d'ennuie, à moins que ce ne soit cette avorton qui fait commerce de ce qu'elle apprend en écoutant aux portes. Personne ne la remarque car elle est là depuis si longtemps, dissimulée par une tenture elle écoute, mais des voix étouffées par les brocards ne lui arrivent que des bribes, alors dans son cerveau malade les mots s'assemblent en phrases déformées qu'elle ira colporter et amplifier. Elle en fera ressortir des fausses vérités assassines parfaites pour servir ses noirs desseins. Telle la bile que l'on vomit elle s'empresse, se pavane, se rend indispensable alors qu'elle n'est pareille à une vessie de porc gonflée d'air que les gamins se disputent au pied. Pour donner plus de crédit à ses médiocres médisances la nuit elle ouvre sa couche et offre son corps contre quelques informations de plus échangées. Il paraîtrait même que ceux qui n'y viennent pas de leurs propres chefs elle les y attire par quelques bourses d'écus bien garnies. Elle s'allie avec les maritornes qui hantent notre province, s'y installant un temps afin d'en devenir notable puis de s'enfuir sévir plus loin, dès que les masques tombent, pour un temps avant de revenir terminer son oeuvre

Vous les connaissez bien, vous les admirez peut être et si vous n'y prenez garde il se pourrait qu'elles vous soutirent quelques confidences à coup de fausses vérités. Qui pourrait succomber à leurs voix parfois enjôleuses, parfois plaintives de pauvres victimes. Elles feraient venir les larmes à une statue de marbre et parfois même se battre les montagnes tellement leur perfidie et leur avidité n'a d'égale que leur soif du pouvoir. Elles ont une armée de pantins sorties de l'ombre un beau matin, créatures éphémères dont tel des marionnettistes elles tirent sur les ficelles pour les faire agir et quand ils ne leur sont plus d'aucune utilité ils seront abandonnés au détour d'un chemin et d'autres prendront leur place pour un temps.
Regardez les ces paragons de vertu, se draper dans une dignité de vierges outragées quand certains tentent de remettre de l'ordre et de faire disparaître leurs finasseries. Elles deviennent alors redoutables, défendant becs et ongles leur organisation de l'ombre.

Tout n'est qu'un éternel recommencement.

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