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[RP] La bataille

Raymond_de_petrus
[Pas loin du tumulte, dans le camp des vainqueurs, parce qu'il le vaut bien]

Raymond renifla, alors qu'il était tranquillement en train de lire un rapport de la Surintendance, non loin du cahot qui régnait devant la mairie de Périgueux.

Tiens, ça sent le cochon grillé !

Il agita un petit fanion à destination des révoltés, ou on voyait marqué "Périgueux Libéré" pour les soutenir moralement, estimant que s'agglutiner à 50 derrière la porte de la mairie n'était pas très efficace et qu'il ne serait pas très utile.

Il entendit des pleurnicheries non loin, et certaines voix connues qui réclamaient des prêtres. Dommage pour eux.

Quel doux son à l'oreille !

Raymond sourit largement, et reprit sa lecture.
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Sofie.de.valmonte
Aveuglée, nulle conscience ne persiste, Shawie pourrait mesurer deux mètres et avoir des poignes d'acier, qu'importe. Nulle douleur aussi, presque étouffée , le souffle peu à peu diminue et voile ses yeux mouillés. Désire t'elle encore vivre , se battre pour un idéal, espérer pour un monde autre, croire en l'avenir ..Elle ne sait plus vraiment. Vie de merde qu'elle répète sans cesse, pour qui, pour quoi avancer, personne ne l'attend, la mort serait pourtant une défaite dans la douceur, alors elle reprend un souffle qui s'inspire dans un mince trépas.

Regardez autour d'vous bordel ! C'est finit. Vous avez tout perdu. Pour qui ? Pour une bande d'illuminée qui vous ont manipulé. Vous avez tout perdu. Retournez vous et vous verrez lé visage des assassins dé votre ami. C'est eux PUTAING !


Elle connait ses assassins, ils portent des noms et ne sont pas que des visages , ils portent la perfidie et ils ne sont que des dos voutés à force de se plier en courbettes devant la grossièreté de la reine. Ils sont difformes et bossus à force de marcher la tête basse. Si la vie n'est que soumission, alors autant en finir et ce maintenant , par la volonté du très haut qui doit pleurer des larmes de sang à voir ses fidèles suivre la perfidie.


Le choc est rude, est ce ainsi que la mort survient...Avec cette impression de passer sous des chevaux dans un piétinement de ruade. Son corps n'est que cabossé, mais sa respiration est pleine, sa vue est trouble et contre Raoul elle entend le repli.

Toi tu ne bouges plus une oreille ou par la Malemort je t'assomme pour de bon.

Bouger, elle ne le peut plus même si elle le désire, un fétu de paille sera plus alerte qu'elle , même un souffle lui arrache de la douleur, avec cette impression de respirer des morceaux de fers qui arrachent ses poumons et ses entrailles. Juste pour rassembler quelques forces et dire encore son nom..

Wilhem..

Raoul lui offre la vie , le destin a emporté celle de son ami, comme un éternel recommencement.
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Lady.fae
Le marmoréen porta Meliade pour la mettre à l'abri. Etais-ce vraiment utile? Ce sang sortant de sa bouche, ses yeux... Elle vit son amie partir ainsi portée telle une poupée de chiffon. Pas Meliade non pas Meliade. Assise elle resta là ne pouvant se lever, ne pouvant partir. Elle aurait aimé que cette jeune fille devienne sa fille bien que comme elle le disait elle-même, elle était grande. Mais elle ne l'avait jamais fait de peur de la brusquer et de la perdre... Et là...
Fae se souvint de cette soirée où Meliade se sentit adulte car elle avait éteint une bougie...
Cette chanson pour l'aider à se calmer quand elle sentait quelle allait devenir "agitée"...
Cette façon qu'elle avait d'appeler son parrain "Monsieur Otto"..
La première fois qu'elle avait accepté de lui faire la bise, une de ses peurs envolée...
Sa façon de s'asseoir au sol qui en surprenait plus d'un...
Son goût pour le vin rouge uniquement...
Ses "pardon" alors qu'elle ne faisait jamais de mal...
Son retour récent alors qu'elle s'était égaré, sa joie quand elle comprit que le cadeau était pour elle.
Sa lettre si pure à la Reyne...
Jamais plus elles ne rentreraient le soir les deux dans la modeste chaumière, jamais plus elle ne la verrait écrire à la lumière du feu en plissant les yeux...

Ses pensées tournaient en boucle dans la tête de Fae, le sang sur ses genoux... Meliade était partie, il ne restait que cette tâche rouge sombre que Fae fixait. Les larmes coulaient, la gorge se faisait de plus en plus serrée...

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Matthieu_maurin

    Matthieu Maurin était un garçon très chanceux. C'est du moins ce qu'il se disait à la veille de la reprise de Périgueux par les forces royales. Il avait à peine dix-neuf ans, mais sa vie se profilait sous le soleil, et, certes, un peu le labeur. Il n'y avait pas une semaine qu'il avait réclamé la main de l'aînée Vimeney, une famille d'artisans. L'entrée dans cette famille signifiait une ascension sociale, mais ce n'était pas ce qui le motivait. La jeune fille avait de grands yeux bleus, ses cils étaient longs et fournis, et sa chevelure chatain rendait son teint adorable, particulièrement en été. Matthieu devait fêter la chose comme il se devait.

    C'était ses cousins, avec qui il devait fêter ses retrouvailles, que Matthieu cherchait en cette fin d'après midi. Comme le voulait la tradition familiale, il devait passer un certain nombre d'épreuves. La chose n'était qu'une formalité aux yeux de tout le monde, car les épreuves n'avaient rien d'insurmontable. Mais pour le jeune Maurin, c'était son futur mariage qui prendrait tout son sens. A l'épreuve du caillou dans le noeud coulant, il ne flancha pas. Ne riez pas ! La chose était loin d'être aisée, et feu Maître Maurin, le regretté père de Matthieu, aurait été fier de son garçon. Il ne flancha pas non plus quand il du traverser l'Isle sans s'arrêter une seule fois. Pas même lorsque le courant menaça de l'emporter loin. Non, il se contenta de se montrer fort, car c'était ce qu'on lui demandait.

    Matthieu n'était pas le garçon le plus futé de la région. S'il n'était pas en dernière position pour autant, il se montrait récalcitrant aux études que l'on considérait alors sérieuses. Lui, ce qu'il aimait, c'était passer ses journées à regarder la fille du meunier (son second choix, qui avait longtemps été le premier), ou à faire le joli-coeur devant sa promise. Passer de longues heures à regarder s'écouler la rivière lui plaisait beaucoup. Matthieu Maurin, vous l'aurez compris, n'était qu'un ramassis de fénéantise, bien qu'il savait parfois se montrer de bonne volonté.

    Il trouva ses cousins adossés au tronc de l'arbre qui tenait la corde. Antoine, le fils du frère cadet de son père, était un grand gaillard, avec déjà une barbe plus fournie que les autres jeunes adultes. Paul, son frère, avait hérité du côté maternel, avec ce tout petit nez tordu et ces yeux de fouine. Et on voit venir les mauvaises langues qui accusent de stéréotypes et d'un manque d'imagination. Rassurons-les: Antoine et Paul étaient aussi cons l'un que l'autre, et personne ne dirigeait. C'étaient de mauvais garçons, dans l'ensemble, et on pouvait prédire qu'ils tourneraient mal. C'était la principale différence entre eux et Matthieu. Mais ils s'étaient souvent vus (la famille était plutôt étendue, avec quatre garçons et sept filles qui s'étaient eux même activement reproduits pour ce médiocre résultat de: Matthieu, Paul et Antoine et Cie.) et au fur et à mesure du temps, ils s'étaient trouvé des affinités. Par exemple, c'étaient eux qui avaient appris à Matthieu qu'une fille à qui on donne un peu d'alcool fort a les jupes plus légères. Aussi, il était naturel que ce soient eux qui soient témoins, entre autre, de ses actes de bravoure.
    Ils s'amusèrent longtemps. Matthieu eût mal au ventre si bien à force de rire qu'à force de se dépenser à ses épreuves. Alors vint le soir. Il faisait frais et c'était bon.
    A côté d'eux, quelque part ailleurs à Périgueux, d'autres vies se déroulaient. Et ils n'y prêtèrent guère attention. Ni à la Reyne qui était arrivée hier, ni à ses escortes, ni aux gens d'ici, ni aux étrangers. L'alcool faisant son affaire, Antoine et Paul devinrent plus vulgaires, et entraînèrent Matthieu rapidement.

    Des bruits se firent entendre de l'extérieur. Les quelques âmes présentes se levèrent pour aller jusqu'aux fenêtre et être témoins des torches qui illuminaient le devant de la mairie.
    On devinait plus ou moins deux camps. Certains étaient bien équipés, d'autres moins. Il y avait toute sorte de personnes. Un groupe s'approchait de la mairie et intimida les présents pour les faire fuir. Il y avait du vacarme, et Matthieu ne vit pas grand chose avant que Paul ne le tire en arrière.

    -Viens, on y va !

    Alors Matthieu, à la vision presque fixe, se laissa entraîner et déposer entre les mains une épée qu'il trouva fort jolie. Elle était affreuse, mal aiguisée, et tordue. La suite? Il ne s'en souvenait pas vraiment. Son souvenir le plus ancien à part ça, c'était de se retrouver avec cette épée fichée dans le ventre de ce garçon. Ses yeux s'étaient arrondis, et il s'en fallut de peu pour qu'il ne dégueule pas. L'épée tomba, et c'était de nouveau Paul qui, dans un rire macabre, tapait l'épaule du jeune homme et le tirait déjà ailleurs.

    Un homme était mort ce soir, et le Matthieu s'en trouverait coupable toute sa vie. Etait-il destiné à tuer un inconnu? Lui qui n'avait jamais songé à être un soldat? Lui qui n'avait jamais vu de combat? Il en retiendrait que l'alcool et les cousins ne devraient jamais aller de paire. Il le leur dirait, les mains moites et les dents qui claquent, que cette soirée n'était qu'un cauchemar. Mais si Matthieu avait la conscience encombrée, Antoine et Paul n'avaient pas le même problème. De la même manière qu'ils s'étaient amusés à voir le garçon mort, ils s'amusaient à rouer le cousin de coups en le sommant de se taire.



Edit: Encart HRP ici pendant que le topic de régul est en nettoyage: Le PS appartient à JD Jurgen. Et je serai ravie que le jeune Matthieu assume (ou qu'on le force à assumer) les conséquences de ses actes en RP ! Me contacter en MP
Yeleyna
La bataille qui n'en n'est pas une n'en déplaise aux menteurs...



Yeleyna n'avait jamais trouvé que la violence résolvait les problèmes qu'il pouvait y avoir. Quand on est noble du PA et que l'on est née à quelques rues de là, quand on a partagé des mandats avec un actuel félon à la couronne, on ne peut pas rester dans son coin et se laver les mains du péril vécu par le Périgord-Angoumois. Elle avait espéré que Theo ouvrirait les yeux et se rendrait compte qu'il ne pouvait cracher sur la terre qui l'avait accueilli il y a une année environ, ainsi que sa sœur d'ailleurs. La jeune fille avait espéré qu'il ouvre enfin les yeux sur le fiel que le félon déversait dans ses oreilles.

Alors avant d'obtempérer, elle s'était fait expliquer les choses afin d'être sûre de ne blesser aucun Périgourdin ou Angoumoisin venu se perdre au son des belles paroles du serpent. Tout avait été clair, il ne pourrait y avoir blessé ou mort puisque tout se jouerait à celui qui réussirait à se faufiler, piquer la clé et placer les couleurs du PA, les vraies, sur le porte-étendard de la mairie de Périgueux.

Empêcher que certains se mettent quelques gnons aurait été utopique étant donné le nombre de semaines voyant les passions se déchainer. Après tout, se foutre sur la gueule, que ce soit à coups de poiscaille ou de poing défoulerait les plus excités et pendant ce temps y'en a une qui tirerait son épingle du jeu, celle qui se montrera la plus douée cette nuit là, Chimera.

Quand la Romanova apprendrait le lendemain que les caisses de la mairie avaient été vidées, comme celles du Comté ou de l'Évêché, sûr que la brunette commencerait à entrevoir la toile tissée entre les religieux du Limousin, de Guyenne et du PA. Pour le moment, elle en est juste à surveiller son frère et la petite Rose qui s'éclatent avec leurs poissons, miel et autre trucs plus douteux les uns que les autres. Les remparts avaient été occupés sans même sortir une lame, comme les rues, le marché, les alentours de ce qui avait été une cathédrale et sa crypte. Ce coin là, elle avait préféré le laisser à une autre unité, ils furent tellement nombreux cette nuit là que le fer ne se croisa pas, les armes furent déposées sans effusion de sang.

Le lendemain matin, quelle ne fut pas sa surprise d'apprendre qu'il y aurait eu des morts alors que l'In Gratibus commande au Res Parendo comme le veulent le Très Haut et les lois royales. Yeleyna fronça les sourcils et demanda des explications. Ce fut un soulagement d'apprendre que les personnes soit disant mortes, ne l'étaient pas de la main de l'un des leurs. Sans doute des règlements de comptes entre scélérats, histoire de femme, d'alcool, de drogue... allez savoir... Toujours est-il qu'à leur retour au manoir dans la capitale, elle avait veillé à ce que les enfants soient baignés, pas question de répandre une odeur de poisson dans la bâtisse. Elle-même se trouve dans son bain à cet instant.


- Je ne comprends pas qu'ils aillent dans le mensonge à ce point là... Tout le monde sait très bien qu'il n'y a pas eu besoin de sortir nos épées cette nuit.
- Le Sans Nom les guide Mademoiselle, faut pas vous biler pour ça
- Je hais le mensonge, les tricheurs et les voleurs. En arriver à voler leur propre Comté, leur mairie !
- Quand l'engeance s'installe, elle fait des petits. C'est toujours plus facile de suivre ceux qui détruisent plutôt que de se retrousser les manches.
- Cela ne me console pas pour autant. C'était si gai ici avant, que l'on ait les mêmes opinions ou pas, on s'appréciait et on travaillait ensemble. J'espère que les indécis et les influençables ouvriront enfin les yeux.
- Certains ou certaines ont le charme du serpent, ils se font bien voir pendant quelques semaines et ensuite leurs proies deviennent sourdes et aveugles.
- Quand je pense à ce qu'a dû subir Mel... Lui dévoué depuis des années sans jamais rien demander pour lui. Désolée mais là, les aveugles et les sourds, j'ai du mal à leur trouver des excuses.
- Bon, il suffit ! Vous êtes toute nouée ! C'est vraiment une mine chafouine que vous voulez montrer aux enfants à leur réveil ?
- ...


Les hommes et les femmes des terres romanoviennes avaient toujours eu à coeur de prendre soin de leurs régnants, même si il fallait pour ça parfois hausser le ton.
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Spoiler:
Dragonet
Y a t'il des révoltes pacifiques..? On sait que les manifestations pacifiques contiennent souvent des extrémistes et des dérapages, même si souvent les manifestants le nient, et que les opposants l'amplifient. Il en est de même des revoltes, et quand cette révolte est fait en se gonflant dans ses rangs de d'hérétiques, de tyran, de criminel aguerris, de mercenaires et de nobles rompues aux armes contre pour la plupart des populations inexpérimentées mais prêt à se sacrifier, il est impossible qu'il n'y ai pas de victime et de mort. L'affrontement entre Sofie et Yeleyna n'étaient qu'un exemple , ce gamin qui frappait un autre enfant était un autre exemple, sans compter les prédateurs sexuel de Lotx qui devaient être dans le coin. Même si certains préférait se mentir, le Sans Nom s'abattait et imposait sa domination, il était impossible qu'il n'y ai aucune victime*

Faisait signe à Raoul , il désigna la chapelle, havre de paix, pour y déposer les corps des deux enfants, en son sein. Une cérémonie serait organisé pour les deux martyrs, combien d'autres inconnus étaient déjà mort pour la cause. La résistance n'oublierait pas ses martyrs. Pour Meliade, même si il espérait encore la sauver et s'y employait, il n'y croyait plus et se voyait devoir annoncer ça à la jeune Ann', elles s'estimaient. Quel gâchis.


Nous ne t'oublierons pas.

* Si l'IG et le RP doivent souvent être lié, bien que pas toujours, un joueur peut choisir comment il meurt et JD Willem et Meliade ont décidé de mourir pour une cause. C'est leur choix et il leur appartient, mais bien sur ils vont aussi mourir I.G (et perso, je trouve ça très classe, même si perdre des bons joueurs est rageux). Matthieu Maurin a tué qui on veut, mais aucun des deux, puisque ça ne correspond pas à la façon dont les joueurs ont décidé de mourir et à la cause. Il continuera a vivre avec sa seule conscience.

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Citation:
LEYAH:Les poneys. Ah pour sur , vous les détestez. Moi aussi
Nannou
L'ordre donné à Ewylan, sa fidèle garde du corps avait été clair! Protéger en priorité sa fille Rose.
Sans compter que Arthur aussi devait être suivi par ses gens, Nannou était rassurée, ou presque. Mais elle avait tenu à accompagner son ami, difficile de l'en empêcher.

Nannou jetait un œil de loin tout de même, et fut vite rassurée, les enfants se défoulaient. Les royalistes progressaient, très nombreux, presque trop, on se marchait sur les pieds. Les anti résistaient, imbéciles, il arrive un moment où il faut comprendre qu'il est temps d lâcher l'affaire. Il arrive un moment où quand on veut protéger ses hommes, on leur ordonne de battre en retraite au lieu de les lancer vers une mort inutile.

Visiblement les épées avaient été tirée, alors que ce n'était pas prévu.
Il y eut des cris, des appels affolés. De loin ils comprirent que la situation avait dégénérée.
Nannou et son mari auraient pu essayer de porter secours, mais visiblement il était trop tard et l'ennemi se repliait au château. Dire que la prochaine bataille serait sans doute pire.

Enfin, la situation était sous contrôle, la mairie reprise, le couple se dirigeât vers les enfants, espérant qu'ils n'avaient rien vu.


Vous allez bien? Vous vous êtes bien amusés?
C'est quoi tous ces couverts? Vous avez trouvé ça où?


Elle pensa qu'elle aurait sans doute quelques personnes à rembourser!


Allez, on rentre chez Yelena, la bataille est terminée.

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