[RP] Cathédrale de Tarbes "Ste Nitouche"

* Son frère l'avait rejoint... Liuna aussi était présente, il était content de voir quelques personnes qu'il connaissait venir ici, on aurait dit que les baptêmes n'attiraient que très peu de monde.. Tans pis il n'avait pas besoin de monde pour cela, son désir d'embrasser la foy du Très Haut était le plus important avec ou sans personnes.
Il regarda Bourrike dans les yeux et écouta ce qu'elle venait de réciter, puis il prit la parole juste après elle pour assurer son allégeance en l'église Aristotélicienne... *

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de dieu et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.


* Après ses quelques mots, il regarda Dame Bourrike dans l'attente de la suite. *
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Ptit entra dans la nouvelle cathédrale et eut la surprise de tomber en pleine cérémonie de baptème.
All... ben voyons, il aurait pas pu le dire, le sacripan...
Elle sourit et l'office étant bien entamée s'installa sans bruit sur le banc du fond afin de suivre la suite.
L'athmophère était plus froide qu'à son habitude mais elle n'en avait que faire, un nouveau membre rejoignait la grande famille et c'était là le principal.
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Lieutenant en Chef de la Prévôté
Per lo Bearn

Une fois les cierges rallumés, L'Archidiacre demanda au parrain

"sire Eriadan, puisque vous êtes le parrain d'Alleaume, vous engagez-vous à être garant de la santé spirituelle de votre filleul et à toujours veiller à se qu'il ne s'écarte du droit chemin?"

Puis, ayant entendu la réponse, invita Alleaume à s'approcher des fonds baptismaux.

Le clerc pris alors un peu d'eau et en aspergea son front.

"Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité."

Elle tendit ensuite un cierge et une croix à Alleaume.

"Par ce cierge, Dieu t'exhorte à répandre la lumière de la Vérité autour de toi.

Par cette croix, tu pourras afficher ton engagement dans la religion aristotélicienne :"



"Vous pouvez aller en paix"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

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Un rapide passage par la sacristie afin d'y revetir une tenue de circonstances.
Puis l'accueil des mariés et de leurs invités sur le parvis.

Quelques mots habituels qui lui effleurent les oreilles "bourrike, bourricot, ayez crainte"

Le sourire qui lui vient habituellement lorsque ces qualificatifs lui sont attribués par jeu

"Ah mais j'assume, sachez-le"


Puis la remontée de la nef, afin que les mariés viennent s'installer en face d'elle, à la place qui leur est réservée. La mariée tellement resplendissante qu'elle mérite que tous puissent constater le rosissement qui lui sied si bien.

"Frères et Soeurs , Bienvenue


Oui bienvenue en cette Cathédrale de Tarbes ,
Nous sommes rassemblé au nom du Père, d'Aristote et de Christos. En ce jour, fêtons l'amour et le don de soi. Comme vous le savez tous nous allons unir dans quelques minutes deux fidèle de notre Eglise ici même.

Frères et Soeurs , prenons un instant pour penser et prier a l'unité de notre diocèse et a nos erreurs, nos doutes.

Disons ensemble le je confesse a Dieu :



Maintenant Frères et Soeurs, nous allons procéder au Mariage

L'archidiacre reprit sa respiration et reprit à haute voix l'énoncé des bans

Je déclare l'union de Ptitefleur2006 et Faross possible. Que si leur volonté est toujours aussi forte et que leur amour triomphe des difficultés, alors qu'ils se présentent devant nous et le confirment.

Se tournant vers les futurs époux :


Vous avez émis le voeu de vous unir a jamais dans le sacrement du mariage. Cette union je la célébre aujourd'hui et me fais la voix du très haut . Sachez que ce que Dieu à unis , seul Dieu peut le désunir.


Je vais procéder a la lecture des obligations mutuelle des époux :

Les epoux se doivent mutuellement fidélité , secours et assistance en toute circonstance et tout au long de leur vie.
Ensemble vous devrez assurez la direction morale et matérielle de la famille au sein d’une vie commune et vous devrez proteger et éduquer du mieux que vous le pourrez votre progéniture.

Que si quelqu'un doit s’opposer à cette union , qu’il parle maintenant sous le toit de cette église, ou se taise à jamais.
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Grincement de porte ... Regards courroucés des invités et fidèles qui se tournent vers l'inopportun retardataire responsable de ce couinement incongru au plein milieu de la cérémonie ...

AnacrOn rentre sa tête le plus possible entre ses épaules, et avance sur le pointe de pieds ... Comme si cette attitude grotesque allait le faire disparaître aux yeux de l'assemblée ! Il est rouge comme une pivoine, mais fort heureusement sa peau mate cache sa gêne !

Il s'en veut d'être en retard... et de déranger à ce moment si important, mais il n'aurait manqué pour rien au monde le mariage de sa Marraine.

Rapidement, il gagne le dernier banc et prend place ...
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Comme a son habitude elle avait tarder, toujours très occuper elle avait laisser encore passer l'heure. Aussi ce fut très très discrètement en essayant de pas faire de bruit qu'elle entra dans l'église. Elle sourit en voyant qu'Anacron avait loupé l'heure et cherchait à ce qu'on ne le voit pas. Décidément...

Elle pensa qu'elle ne serais sans doute jamais à la place de la marié mais bon encore une fois il fallait se faire une raison les hommes sont des inconstants. Un petit coup de cafard la pris vite vite chasser par un sourire.

Après tout son amie se mariait et c'était fête alors les regrets et les peines, il fallait les jeter au loin et oublier...
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Alors qu'elle arrivait à proximité de la cathédrale elle vit entrer une Dame avec ses enfants, elle trottina jusqu'à la porte afin de l'atteindre avant qu'elle ne se ferme. La discrétion était de mise, la cérémonie devait déjà avoir commencée.

Elle se faufila avec son gros ventre et prit place discrètement sur le banc du fond.
Elle fut parcourue d'un frisson en entendant la marche nuptiale résonner et ne put que penser à son mariage prochain.

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Avenir arriva prestement sur les marches de la cathédrale en secouant la poussière sur ses bottes et ses habits, puis discrètement il entra dans le magnifique édifice.
C’était la première fois qu’il pénétrait dans ce haut lieu et il en fut fort ému.

Il aperçu certains Lourdais venus pour la circonstance, Loupameth, Azilize, Messire Acar et son épouse, ainsi que quelques connaissances qu’il salua.
Sans bruit il se faufila auprès de son ami Valois et pris place près de lui. L’office avait commencé.

Comme ils étaient beaux les futurs époux le bonheur illuminait leurs visages. Fleur était rayonnante dans sa jolie robe blanche.
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cath arriva a la cathedrale avec du retard , monta les marches et entra.
alla s'installer sur un banc du fond sans faire de bruit , la cerémonie etait commencé.
elle appercue fleur , elle portait une magnifique robe blanche ,
ainsi que quelques lourdais , les salua d'un signe discret de la tete avec un sourire.
reconnue aussi quelques tetes familiere dont elle avait fait leur connaissance lors de son voyage .
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les diverses arrivées remplissaient l'église, provoquant salutations en tous genres.
L'archidiacre attendit que le silence revint avant de demander une nouvelle fois aux futurs époux de renouveler leurs voeux.

"Fleur, Faross, voulez-vous vous avancer et nous dire ici ce qui vous a plu chez l'autre, et nous confirmer que vous voulez toujours vous prendre pour époux, en respectant les engagements que je viens de lire?"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

doud arriva en retard comme a son habitude et il en fut peiné.
il s asseya sur un banc et ecouta le deroulement de la ceremonie.
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Liuna montait les marches de la cathédrale, souriante à l'idée qu'elle allait bientôt pouvoir être baptisée.

Elle venait à la rencontre de Dame Bourrike pour essayer de fixer une date avec elle car son retour au portugal approchait à grand pas.

La jeune femme poussa doucement les lourdes portes et les yeux encore éboulis par le soleil de dehors, elle mit du temps à réaliser qu'elle tombait en pleine cérémonie de mariage.

Légèrement confuse bien qu'elle n'avait pas fait grand bruit, elle s'installa sur un banc et attendit patiemment la fin.

Dame Bourrike était là ainsi pourrait-elle lui parler.
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mais de rien marainne qu'on soit tous la pour feter cette evenemnt important de la vie
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La céremonie etait trés émouvante , surtout lorsque les deux futurs époux declarérent pourquoi ils s'etaient choisis.
Mais Telya n'eut pas le loisir de se laisser submerger par l'emotion.

L'Archidiacre lui fit signe d'approcher avec les anneaux .
Elle se leva , prenant garde de tenir le coussin bien droit de peur qu'un des anneaux d'or ne roule au sol et que l'on soit obligé d'interrompre la cérémonie pour le chercher.

C'etait un cauchemar qu'elle avait fait la veille et elle en frémissait encore . C'est donc avec précaution qu'elle avança jusqu'à l'autel.
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vever tout joyeux de ce mariage que ce mariage se déroule si bien


c'est trop beau l'amour, non
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Les voeux venaient d'estre échangés et c'était plein d'émotions que j'écoutais quand soudain au moment où Monseigneur Bourrike devait les déclarer époux, la mariée semblait estre prise d'un étourdissement ? malaise ?

Que faire ? comment réagir ? m'avancer en tant que médicastre pour voir si la mariée allait bien ? ou alors peut-estre que ce n'était que le coup de l'émotion et qu'elle se reprendrait alors que je serai en train de courir dans dans l'église ? à cet instant je ne savais que faire ? j'hésitais
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En cours de changements

Il ne pouvait ne rien ressentir, ayant vécu le même traitement, celui de l'amour, prenant le dessus, sur le reste et vous trainant en ce lieu de lumière, pour briller, également.

Il se mit à sourire en repensant à son propre mariage avec l'être aimée, depuis tout ce temps, et toujours à son coté, bienheureuse.

Ainsi, ils devenaient unis, devers l'Éternel, et les voir donnait grand sourire à toute l'assemblée.

Il serra la main de son espousée...
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Damejeanne vient d'arriver à Tarbes. Elle n'aime guère trainer en taverne, seule et décide donc de faire le tour de la ville.
Son instinct la pousse à visiter la cathédrale. Son amie Bourrike est archidiacre de la belle ville et elle le sait, peut être va t elle avoir l'occasion de la revoir ?

Comme si le ciel répondait à ses voeux, l'église est remplie et là, au pied de l'autel, un jeune couple très ému échange des voeux devant une archidacre probablement un peu surprise de s'entendre nommer "monseigneur"
Jeanne ne peux s'empêcher d'émettre un petit gloussement amusé aussitôt stoppé par le regard furibond que lui lance l'homme auprès duquel elle vient de se glisser espérant prendre part à la cérémonie.
Elle murmure un petit "pardon..mais cet archidiacre est... une femme à en juger par ses attours !"
et prend aussitôt une pose recueillie , plus de circonstance en ces lieux saints.

La cérémonie pouvait donc reprendre.

Continuant la phrase interrompue :

"Maintenant, par les pouvoirs qui me sont conférés par la Sainte Eglise Aristotélicienne, je fais de vous mari et femme. Puisse votre amour rester pur de toute tentation extérieure, jusqu’à ce que Dieu vous rappelle à Lui. Que Dieu vous bénisse !"

Se tournant vers Dame Telya :

"Je Te demande, à Toi notre créateur de bénir à travers moi, ces alliances, signes du lien qui unira Fleur et Faross à travers le temps et la matière dans un même mouvement parfait vers l’Amitié vraie."

Le temps que l'échange des anneaux se fasse, la mariée semblait de plus en plus radieuse.

Un dernier signe de bénédiction puis "Vous pouvez aller en paix, je vous invite tous à venir féliciter les jeunes époux"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

mais de rien
c'etais une tre belle ceromonie
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11 ans, rebelle et fière...tout pour plaire.

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11 ans, rebelle et fière...tout pour plaire.

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11 ans, rebelle et fière...tout pour plaire.

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11 ans, rebelle et fière...tout pour plaire.

Bien qu’il eût affiché a la hâte sur la grande halle de Pau, William avait tout de même pensé à faire parvenir une annonce à l’évêque de Tarbes, avec un petit mot.

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Mariage de Quasi et William

Ils étaient arrivé sur le parvis de la cathédrale. Quasi au bras d’Argheim était superbe dans sa robe. Il était néanmoins grand temps de se marier, son état de future maman commençait à se faire de plus en plus remarqué. William avait mis une belle chemise blanche à jabot, et bien sûr s’était drapé du Feileadh Mor des Wallace. Il donnait le bras à sa cousine Sémiramis. Elle avait revêtu une longue robe à col bleu nuit, décolletée en V mais pas trop. Si la robe était bien ajustée au buste, elle s’envasait amplement ensuite, allant jusqu’à frotter terre, et cachant ses pieds nus. Elle portait, le diadème, le torque, les bracelets et la ceinture d’or à saphir.

Bret avait revêtu son Feileadh Mor des Sinclair, il était magnifique, comme d’habitude, et Monny avait passé une robe que Bret avait baptisée bain de soleil, dégageant bien les épaules.

Allan et Dave, les jumeaux Mac Gregor étaient là, également. Ils pourraient faire office de cavaliers pour Lara et Mikiss. Mais qui choisirait Dave le barbu ?

Et bien il ne manque plus que Lara et Mikiss…
Et ceux qui veulent bien venir.

Soudain un doute envahit l’esprit de William, il manquait quelque chose. Il se mit à réfléchir très vite, quand soudain.

Oh ! My God !
Mon oncle !
J’ai…

William fut interrompu par un geste de son oncle Argheim.

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Sémiramis sourit. Le beau couple que voilà. La première fois Quasi était venu sans dot, et voilà que William venait sans les alliances. Mais ils s’aimaient passionnément, tous ces protocoles devaient leurs passer au-dessus de la tête. Et ils avaient très bien su s’y prendre pour faire fructifier leur amour. Quasi le portait, et il ne tarderait plus à mûrir.

Père !
l’émotion sans doute…

Elle fit un grand sourire moqueur. Inconsciemment elle s’accrochait au bras de William, une petite angoisse l’étreignait, elle allait entrer dans une église pour la première fois.

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Arrivé après les autres, Faster s’était fait le plus discret possible.
Sur le parvis, il s’était isolé et avait attendu que tout le monde rentre, pour pénétrer dans la cathédrale à son tour. Comme d’habitude dans ce genre d’occasion, les premiers rangs sont toujours les plus prisés. Le seigneur d’Abidos n’a que l’embarras du choix. A pas feutré, il se dirige vers un siège, ou il y pose délicatement ses fesses pour ne pas faire craquer le bois.
Légèrement penché en avant, il jette un coup d'œil par dessus l'épaule de celui qui est devant lui.
Son regard se porte aussitôt sur son amie. Elle porte une robe à la coupe particulière. Surement un de ces vêtements que les femmes portent lors des grande occasion dans le pays de William. Quand au futur époux, il affublé de cette tunique écossaise dont il a souvent entendu parler. Le Faster ouvre grand les yeux d'étonnement.
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Départ dare dare de Mauléon...les mariages s'enchainaient, et aujourd'hui arrivait le grand jour pour Quasi et son fiancé. Missve j'avais reçu pour l'invitation.

Arrivant sur place du monde était déjà là mais apparemment je n'étais pas la dernière. Saluant discrètement toutes les personnes connues. Je croisais Lara qui avait l'air de chercher quelqu'un et qui semblait un peu inquiète... sans doute le stress de la préparation. Discrètement je prenais place....
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En cours de changements

Elle avait fait retraite, comme exigé dans l'acte d'annulation qu'elle gardait précieusement chez eux. Enfin retraite..si retraite voulait dire se reposer pour réfléchir les nonnes avaient de drôles de méthode. Laver, repriser, cuisiner, jardiner...tant et si bien qu'elle était épuisée en sortant du couvent. Elle n'en était pas gênée, réfléchir à ce qu'elle allait faire ce jour là n'était pas de mise. Pas besoin de réfléchir quand on sait qu'on fait ce que notre cœur désire.

Au bras de l'oncle de William, elle avançait timidement. Étrange sentiment que d'être au bras de celui qui devenait un père pour elle alors qu'il ne devait pas pouvoir venir. Elle était heureuse, tout était parfait.

William accompagné de sa cousine lui fit peur un instant mais les alliances étaient bien là. Sémiramis, resplendissante comme de coutume se tenait au bras de l'écossais comme si elle craignait qu'il la laisse. Quasi savait les craintes de la druide et elle était bien résolu à ne laisser personne médire d'elle.

Quelques heures avant d'arriver elle avait réessayait sa robe, fendue par la faute de Lara et de ses cris. Devant l'autel elle ne cessait de baisser les yeux pour vérifier la solidité de son ouvrage. Une fois cul nu à l'église suffisait, inutile de réitérer l'action.

Elle regardai les gens présents. Caro était venu, seule. Dommage pensa l'avocate, j'aurai voulu mieux connaitre son prétendant. Puis son regard trouva Faster.

son ami de toujours, celui qu'elle aurait volontiers giflé les jours précédents, celui qui avait toujours était là pour elle, celui qui ne 'était plus pour son épouse..Elle se promit d'aller lui parler, le raisonner, une fois la cérémonie terminée.

Peu le savaient mais un mariage avait précédé celui ci. Un mariage selon les rites celtes anciens. Une union sous les étoiles, une union que personne ne pouvait détruire.

Aux cotés de Faster..Varden et sa très belle épousée. Quasi avait regretté de n'avoir pu être^présente pour lui. N'ayant pas reçu d'invitation elle n'avait pas pu prévoir le voyage vers son ancien village. Son état l'obligeait à faire preuve de prudence et partir ainsi du jour au lendemain n'était pas ce qu'on lui conseillait le plus. Mais revoir Varden, le savoir heureux, aimant et aimé, était ce dont elle avait souvent eu besoin.

Ses pensées s'attardèrent un instant encore sur l'ancien juge, revoyant le parcours qu'il avait entrepris depuis le jour où ils étaient devenus amis.

Navigius était parmi eux. Quasi lui sourit, ravie de le savoir officier en ce jour si important. Il y avait eu quelques contretemps mais le prélat avait réussi à venir.

Elle leva la main afin de saluer tous ses amis quand son geste resta en suspend. Des bruits de pas précédèrent la vision d'une Peste qui avançait d'un pas décidé.

Lara , plus belle que jamais se tenait près d'eux. La peste vint les rejoindre.

Tout bas Quasi murmura..

Et ben..vous en a fallut du temps pour faire entrer vos fesses dans cette super..cette espèce de robe que vous portez!

Ils pénétrèrent dans la cathédrale, Quasi en tête, au bras d’oncle Argheim, William suivait avec Sémiramis, Bret et Monny, les jumeaux, Lara était reparti a la recherche de Mikiss. Juste avant l’autel Sémiramis l’abandonna, et alla se placer dans un coin tout en lui faisant un sourire d’encouragement. William regarda l’autel et marqua un temps d’arrêt. On y était, enfin.

Cette cérémonie que jusque là William avait considéré comme une formalité, prenait toute son importance. Il pourrait enfin clamer à la face du monde qu’il était l’époux de Quasi.

Leur histoire défila devant ses yeux. La rencontre, dans le bureau du cadastre de la Mairie de Mauléon. Les soirées passées ensemble dans ce bureau. Le départ de Quasi pour la Champagne, avec celui qui allait devenir un obstacle entre elle et lui. Le retour de Quasi, et le bureau secret. La blessure de Quasi au genou, son accident avec l’ours. La lettre. L’Amour de Quasi, qui avait fini par écouter son cœur. Les escapades dans les bois, les moments de douceur devant la cheminée. Leur union dans les bois, jamais il ne l’oublierait. Moment intense, magique, libératoire. Leur First Run. Le grand voyage vers la Normandie, et le retour par la Champagne. La confirmation que Quasi avait enfantée. La joie, le bonheur. L’installation a Pau. Et le mariage.

William revint à l’instant présent et avança jusqu’à l’autel. Lara était revenu et s’était placé a coté de lui. Elle portais une jolie robe rose et oh ! Miracle ! Elle avait enlevé ses bottes. William sorti les alliances et les posa sur l’autel. Celle avec la pierre bleue du coté de Quasi, celle avec la pierre rouge de son coté. Il regarda le prélat et lui sourit.

Votre présence nous honore Monseigneur !

Puis William se tourna vers Quasi. Elle avait revêtu la robe bleu, jumelle de la rouge. Le Lady Quasi Wallace Blue Tartan était à l’honneur. Un rayon de soleil vint auréolé ses cheveux, tel un ange. Un ange, oui, Quasi était un ange, Sweet Angel, il l’appelait parfois. Ange qui devenait tout de même démon quand…Ca, cela serait pour ce soir, cette nuit, toute la nuit, il avait promis. Son cœur se mit à battre plus fort, l’émotion le gagnait, il ne pouvait plus la quitter des yeux. Comme elle était belle. Sa raison de vivre.

Un fracas, William se retourna. Mikiss faisait sont entrée. Embrassant la nef du regard, William put voir Faster qui se cachait, Varden et son épouse, Caro aussi sans doute, il ne l’avait croisé qu’une fois en taverne. Mikiss rejoint Quasi. William se tourna vers l’officiant.

Et bien !
Les parties prenantes et les témoins sont présents.
Nous pouvons commencer sans doute.
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Elle l'avait regardé avec un air intrigué quand il lui avait annoncé qu'elle était invitée avec lui au mariage de Quasi et William. Elle se doutait que ça devait être des amis à lui et avait sans surprise accepté. Etait-ce la saison qui voulait que les unions fleurissent? peut-être.

En pénétrant dans l'église à ses côtés, elle avait reconnu quelques têtes, des personnes présentes il y a quelques jours à leurs noces. Petit air absent, plongée dans ses souvenirs et réflexions. C'était étonnifiant le nombre d'églises qu'elle avait réussi à "visiter" en Béarn... Orthez d'abord, puis Mauléon, maintenant la cathédrale de Tarbes... reporter son attention sur le présent.

Varden avait pris place près du capitaine de l'équipe de soule de Mauléon. Elle le salua d'un signe de tête sans toutefois oser parler, il semblait étrangement que l'humeur soit au calme et taciturne pour une inconnue raison, à moins qu'elle ne perçoive les choses de façon particulière, ce qui n'était pas impossible non plus.

Son regard se porta vers l'avant, vers l'officiant et celle qui, à n'en pas douter, devait être Quasi, la future mariée.
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en cours de modification

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"Quasi, regrettes-tu sincèrement tout tes péchés, ceux commis comme ceux futurs, afin d'entrer en saint mariage avec Braveheart?"

En une seule question le prélat avait déjà semé le trouble. Avait elle des regrets ou bien seulement des remords..souvent elle s'était posé la question.

Quand il y a des regrets on répare ses erreurs. Ou bien elles n'en sont pas et les regrets n'ont plus lieu d'être.

Les remords eux vous rongent insidieusement. Regrettait elle d'être devant celui qu'elle considérait plus qu'une connaissance,Navigius, enceinte de façon ostensible? non..pourtant elle, la diaconesse, avait péché.

Regrettait elle ses actes ou pensées cachés? non...regrettait elle le mensonge qui suivrait pour que le mariage se déroule comme il le devait? oui un peu..envie d'être sincère mais peur de choquer...elle mentirait, enfin..elle esquiverait la question.

"Quasi, regrettes-tu sincèrement tout tes péchés, ceux commis comme ceux futurs, afin d'entrer en saint mariage avec Braveheart?"

Elle baisse la tête avant de répondre..repense à leur mariage celtique, un mariage sans contrainte, un mariage fait uniquement de réalité, de vérité.

Oui Mon père, Monseigneur. Je regrette les péchés que je n'ai pas réparé par une autre action et je regrette ceux à venir si jamais ils viennent un jour. Je veillerai à ce qu'il ne m'atteignent plus.

Mots sans sens aucun..on ne commet que ce que l'on souhaite, ainsi était la liberté, leur liberté. Ils avaient choisi de s'aimer en toute liberté et ils respecteraient cela, se respecteraient l'un l'autre.

[Dans une auberge béarnaise]

Le voyage avait été long pour arriver jusqu’au Béarn et surtout mouvementé. Le couple ducal avait dû rester un peu plus longtemps dans le comté de Toulouse afin de régler une stupide histoire due à l’incompétence du conseil en place. Maltea avait décidé de reprendre la route rapidement. En effet, une missive lui était parvenue du Béarn, Quasi se mariait…. Etrange qu’elle se marie aussi rapidement, serait elle grosse de son amant ? Maltea le découvrirait bien assez tôt… A moins que ce ne soit le batard de son époux qu’elle portait en son sein… La duchesse de Brienne secoua la tête violement. Voilà que sa jalousie remontait à la surface alors qu’au fond d’elle, elle savait que jamais son amie et son époux n’avaient eu de relation autre qu’amicale. Décidément, dès qu’elle pensait à quasi, c’était toujours la même histoire.
De toute façon, il n’aurait pu en être autrement. Son époux et elles étaient inséparables, de plus elle le fatiguait assez pour qu’il ne puisse honorer d’autres femmes qu’elle. On lui avait toujours dit que pour garder un homme il fallait être douée en cuisine et avoir un savoir faire érotique. La cuisine étant chez elle une catastrophe, elle avait donc réunis tous ses efforts pour le satisfaire sur la couche, ou ailleurs d’ailleurs… et d’après ce qu’elle pouvait constater, cela fonctionnait on ne peut mieux.

Tout en se préparant pour la cérémonie, elle hésitait encore entre la robe noire, la bleue ou encore la rouge.

Et pourquoi pas la blanche ? Enfin c’est tout de même risqué, une tâche est si vite arrivée…
Tu comptes provoquer un de mes anciens amants en duel ? Non pas que cela me dérange mais en le sachant bien avant je pourrais choisir en ayant toutes les données en main, la couleur de la robe que je compte mettre pour la cérémonie. Remarque tu as de la chance, il ne doit y en avoir qu’un tout au plus deux donc je pense que ça ira.
Ceci dit je vais surement mettre la noire. Ce n’est pas une couleur très gaie pour un mariage mais j’aime cette couleur. Ou je peux mettre la bleue, pour te faire plaisir. Oui voilà je vais mettre la bleue, même si cette couleur ne plait guère vu qu’elle est associée à feu ton père, mais tant pis. Que ne ferais-je pour toi !

Elle le regarda, tentant de garder son sérieux. Elle était euphorique ce jour, ne sachant trop pourquoi. La joie de revoir de vieux amis qui lui manquait peut-être, ou encore de savoir que sa suzeraine était elle aussi dans ce comté. Et puis Quasi qui se mariait c’était tout un évènement. Pas autant que pour elle mais pas loin. Elle avait hâte d’assister à la cérémonie, cela pourrait être marrant…

Une fois vêtue, elle quitta l’auberge avec son époux et prirent la direction de la cathédrale sainte-nitouche. Elle ne put retenir un gloussement en se souvenant d’une discussion au conseil champenois. Bourmont avait choisi de fêter la duchesse de Brienne le jour de la fête de cette sainte. Donc cette cathédrale était un peu la sienne et son amie avait bien choisi l’endroit.
Le seul petit bémol était le futur époux. Il plaisait à son époux mais pas trop à elle. Rien à voir avec la vie sentimentale mouvementée de Quasi mais plutôt de sa suffisance. Maltea avait horreur qu’on essaie de la ridiculiser et le « lordy » avait essayé plus d’une fois. Ce n’était pas pour lui déplaire, au moins elle pouvait le piquer impunément, elle avait des excuses.

Elle sourit en pensant à sa première rencontre en Champagne avec le fiancé. Elle n’avait pas été très gentille, mais bon, elle ne l’était que très rarement avec les inconnus et même avec ses amis de toute façon…

[La Cathédrale]

Le couple pénétra dans la cathédrale. Elle remarqua l’officiant se disant qu’elle l’avait vu quelque part mais ne se souvenant plus où, elle passa rapidement à autre chose.
Elle regarda autour d’elle et vit sa pestouille. Elle avait toujours sa carrure de bucheronne, pour les genoux, Maltea ne pouvait juger s’ils étaient toujours aussi cagneux vu la robe les recouvrant et pour les palmes lui servant de pieds, et bien là non plus, elle ne pouvait voir de si loin. Elle se promit de vérifier à la fin de la cérémonie.
Elle prit place sur un banc. La cérémonie allait commencer. Un regard à l’officiant qui prenait la parole et elle fut subjuguée en entendant quelques mots de sa langue natale. Cela faisait bien trop longtemps qu’elle n’avait plus entendu quelques mots d’italien. Elle détailla un peu plus l’archevêque… Quel dommage pour la gente féminine que cet homme ait choisi la voie de l’église, elle se dit que beaucoup devaient être en pamoison devant l’archevêque. Elle glissa son regard jusque Lara qui était témoin et se dit qu’elle allait devoir se concentrer plus que de raison. Elle connaissait suffisamment sa pestouille pour savoir qu’elle aimait ce genre d’homme. La cérémonie risquait de surprendre avait lara pour témoin et Quasi dans le rôle de la mariée…sans parler de cet homme en jupe ayant de faux airs de Macmotor. Voilà ce qui avait dû attirer Quasi. Elle avait toujours aimé les hommes en jupette.
Elle se pinça les lèvres lorsque l’officiant demanda aux futurs mariés de regretter leurs pêchés.
On allait en avoir pour des heures… elle aurait mieux fait de se confesser avant le mariage. Maltea avait fait cela et au moins n’avait plus rien à regretter sauf peut-être les nuits agitées avec son fiancé avant de se marier mais comme elle ne les avait jamais regrettée, elle n’y avait pas fait allusion lors de la cérémonie de son propre mariage.
Elle posa son regard sur Quasi et un sourire malicieux vit le jour sur ses lèvres en voyant le ventre rebondit de la future épouse, se disant qu’ils avaient eux aussi bien des pêchés à se faire pardonner, ou tout du moins à réparer avant que cela ne se voit de trop. Elle avait donc raison, la vieille Quasi (pas pu me retenir^^) attendait famille d’où l’officialisation du couple…
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Quasi était magnifique et le bonheur pouvait se lire sur son visage. Je n'avais pas eu l'occasion de la voir depuis fort longtemps, seuls quelques échanges par mésange et une missive m'invitant au mariage. Je la savais heureuse là était pour moi l'essentiel.

Tout en suivant la cérémonie je jetais un discret regard circulaire aux bancs alentours. Mon ami Faster ne semblait pas aller au mieux et l'arrivée de Mikiss n'étonnait pas quand on la connaissait. Varden et Vanyel semblaient aux anges. Normal quand on est jeunes mariés. Lara, mon amie Lara, aurai-je un jour l'occasion de la voir à la place de Quasi ? léger sourire... avec Lara on ne sait jamais....

Un regard vers mon opposé pour y faire de gros yeux. Je ne m'attendais pas à voir Maltea et le fils de Kurt... quoi que en y songeant je savais le couple relativement proche des Brienne. Etrange impression de revoir ces personnes ici dans le Bearn.

Reposant mon regard sur Monseigneur Navigius je me concentrais à nouveau sur la cérémonie
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En cours de changements

En retard, toujours en retard...pourtant le coq avait chanté fort tôt en cette magnifique journée...clopin clopan oli entra en la cathédrale, ou la cérémonie avait déjà commencée.

cherchant du regard quelques visages connu, oli tenta de se frayer un chemin au travers de la foules qui faute de place étaient restés debout...

plusieurs personalités bien connue se trouvaient là, mais il cherchait autre chose...

enfin son visage s'illumina quand il l'aperçut enfin... caro, toujours aussi resplendissante, se tenait non loin de là... il s'approcha aussi discretement que possible, pour ne point troubler la cérémonie, lui prit la main et lui dit à mi voix

mes respects madame! je suis à la recherche de ma douce... auriez vous pu l'appercevoir tantot?

sans attendre de réponse, il lui déposa un baiser dans le cou, en lui prenant le bras.....

se reprenant pour ne point géner la cérémonie, il regarda le couple qui s'unissait devant aristote, et pouvait sentir le bonheur qui emmanait de leur voeux...
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Cet homme, ce prêtre quel messire admirable
Jamais Mikiss n’aurait pensé à cela pour agacer son ennemie
Elle allait devoir expliquer le pourquoi de son choix
Mikiss dévisageait Quasi avec un large sourire
Mais hélas celle-ci fit de même
Qu’allait-elle lui dire, qui la rende si joyeuse
Mikiss écouta parler l’agaçante

Dame D’Abidos, elle l’avait fait exprès

Une robe ridicule ????Mikiss sourit pensant à celle qu’elle a faillit porter

Et Lara déjà prise, ben cela elle lui rappellerait à l’occasion que Lara fut prise par son époux

Témoin de sa vie …..

Une multitude d’images, de claquement de voix et de portes, de plaisirs partagés d’insulte échangés ...revinrent en mémoire

Témoin de sa vie, voila que cette détestable venait encore de toucher son cœur en lambeaux

Et sa meilleure ennemie, si Mikiss ne croyait plus en rien, elle savait toutefois qu’une ennemie ne se perd pas facilement, et jamais Quasi ne sera autre chose que son ennemie pour ne jamais la p….

La main de Quasi serrant la sienne la fit quitter ces pensés

Il était rare que l’une ou l’autre se touché, tout du moins physiquement

Mikiss hésita un instant puis se pencha vers Quasi

Je vous déteste de tout mon cœur
Mais j’attendrais par politesse que l’étranger dise ce pourquoi il a pris Lara
Ensuite j’apprendrais à tout le monde la dragonne que vous êtes
Et pour cela je n’aurais besoin que de peu de phrases

Mikiss se redressa souriante juste pour agacer Quasi

Elle n’attendait pas par politesse, mais juste car depuis la destruction de sa vie, elle n’était plus capable d’exprimer ne serais ce qu’en parole un quelconque amour
Et pourtant dans quelques minutes, elle allait devoir parler

Ah ! Voilà qu’il fallait justifier du choix de son témoin, en voilà d’une idée. L’agacement le gagna, mais cela n’allait pas faire avancer les choses. William réfléchit, puis prit la parole.

Et bien…
Il n’est pas toujours facile lorsque l’on est un étranger de se faire accepter par une communauté.

La première personne qui m’as fait confiance, s’il elle avait été là, aurait sans doute été mon témoin. C’est en partie grâce à elle que j’ai rencontré celle qui consent à me prendre pour époux aujourd’hui.

La seconde…

William regarda Quasi.

La seconde m’as accordé plus que sa confiance. Aujourd’hui je suis devant l’autel avec elle.

Puis William se rapprocha de Lara et lui passa le bras autour des épaules.

La troisième…
La troisième, bien qu’elle est souvent menacée l’arrière-train de ma personne, de ses bottes, qu’elle ne porte pas aujourd’hui. Fait exceptionnel !
La troisième ici présente, a été le témoin, des quelques difficultés que nous avons rencontrées pour arriver devant vous aujourd’hui. C’est en partie grâce à son aide, qu’un regard échangé dans le bureau d’un cadastre, est devenu une grande histoire d’amour.

Voilà !
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Richard sentit la main de son épouse se frayer un chemin dans la sienne, et il quitta aussitôt ses pensées. Celles-ci ne méritaient de toute façon pas qu'on y passe du temps. Les "exilés" - il préférait ce terme aux autres plus péjoratifs employés en Champagne, comme les lâches, ou les traitres - faisaient après tout ce qu'ils voulaient dans leur nouveau duché, et s'ils désiraient fouler à pieds joints l'institution du mariage, ce n'était pas à lui de le juger. Et il avait autre chose à faire que prévenir un héraut de la situation. Il pensait à ce qu'il avait lu dans les derniers écrits de son père quand son épouse le fit revenir à la cérémonie.

Les mariés étaient en train d'expliquer pourquoi ils avaient choisi leur témoin. Nouveau sourire, et nouvelles vagabondes pensées... Petit-Mesnil, où la fidélité incarnée. Ou comment un farouche adversaire peut devenir l'homme sur le lequel on pouvait toujours compter, y compris sur sa vie, et celle de sa femme et de ses enfants. Et même la vertu de son épouse, d'ailleurs... Parfois, il le voyait vraiment comme le père qu'il n'avait pas connu...

Il se pencha vers son épouse, et lui répondit tout aussi doucement :

Je peux toujours faire le spectacle pour t'amuser, tu sais, mais si le futur marié est susceptible, je vais peut-être perdre plus qu'un doigt, cette fois ci...
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Mikiss écouta Brave puis s’avança

Elle reprit un feuillet ou trois lignes étaient inscrites
Le posant elle regarda William

Tu m’as dit que tu aimerais que cette cérémonie soit brève

Mikiss regarda Quasi retrouvant son envie de se montrer elle-même

Et bien sans doute le sera-t-elle mais certainement pas grâce à moi
Je suis ici témoin de se mariage

Se tourne vers la salle

Témoin de toutes ces personnes qui se sont déplacés
Pourquoi ?
Je vois dans cette salle des personnes qui ne croient en rien
Je vois des personnes infidèles qui excusent leurs lâchetés sous des prétextes ridicules
Je vois des tueurs prenant plaisir à leurs actes
Je vois des voleurs, des menteurs, des nobles avec le cœur et l’esprit aussi étroit que leurs sourires
Voila ce que m’inspire cette assistance

Mikiss se tourna vers Quasi en souriant

Alors que faites vous ici
Voir ces deux la ce marier
Pourquoi ?
Vous ne croyez en rien ?
Sauf si ????
Un miracle Aristote à réussit à vous faire voir ce qui est bon en l’homme ?

Mikiss regarde Navigius

Je sais que c’est votre rôle de le croire
Mais moi je doute que toutes ces personnes aient entendu Aristote
Alors qu’a-t-il pu arriver pour que tous ces pécheurs se retrouvent en ce lieu saint ?

Mikiss se tourne vers William

A cause de se messire ?
Si ce messire est en cause, ce n’est que pour très peu
Comme il vient de le dire il n’a connu ici que peu de gens
Etranger qu’il est

Mikiss sourit regardant Navigius

Il à des manières d’étranger je vous assures

Non ce n’est pas à cause de lui, mais bien d’elle

Mikiss montre Quasi du doigt

De sa faute que nous voici réunit ici
Si vous m’en voulez pour mon discours
Je vous demande de vous rappeler que c’est par sa faute que je le fais
Alors pourquoi sommes-nous-la ?
Et bien sans doute avons-nous tant de raisons différentes
Certains sont ici par obligation car on les force à venir
D’autre à cause d’une amitié lointaine
D’autre encore pour s’assurer que cette dame épouse se messire, pour ne plus redouter d’elle l’emprunt de son époux
D’autre encore c’est juste pour se montrer au milieu des autres

Mikiss baissant son doigt sourit à Quasi

Tous sont la car une fois ou cent fois dans leurs vies cette dame fut importante
D’une manière détestable ou alors amusante
Cette dragonne impossible maniant sa langue en douceur pour honorer les verbes
Que cette dame aime ou que cette dame déteste une chose est certaine c’est que nous sommes la pour elle
Messire Navigius
En tant que témoin je suis persuadée que Dame Quasi et ce Messire sont faits pour s’aimer
Car la dragonne ne sait pas mentir sur ce sujet
Pour plein d’autre si, ne vous en faite pas vous pourrez la confesser
Et je suis fière de pouvoir être le témoin de leur union
Je tacherais de rappeler à l’un et l’autre le mal que l’on peu faire à trahir son partenaire
Cela peut le tuer

Mikiss tourna son regard vers Faster, puis retourna son attention à la mariée

Je n’ai plus rien d’autre à dire

Mikiss sourit

Pour l’instant

Lara fut surprise par le plaido…témoignage de Mikiss, ce qui la décontenança quelque peu.
Elle attendit qu’elle ait terminé et que le silence revienne dans la cathédrale avant de prendre la parole à son tour.

Bien, en tant que témoin de William, je devrais sans doute faire son éloge ainsi que celui de Quasi, de leur couple etc., etc…Cependant, je préfère faire simple et rester réaliste !
William est un véritable …sauvage ! Avec un caractère de cochon ! Petit sourire amusé en regardant les mariés Cependant il faut bien avouer que s’il a un nombre...certain…de défauts, il a au moins tout autant de qualités.

Sous ses airs de rustres se cachent, ben vi faut creuser m’enfin ça vaut la peine de le faire, quelqu’un de généreux et surtout, surtout, une personne sur laquelle on peut compter, chose rare en ce bas monde.

Je ne vais point faire étalage des qualités et défauts de William, mais il me semble clair que s’ils sont là en ce jour, s’ils ont réussis à surmonter tous les obstacles qu’ils ont rencontrés, c’est bien parce que leur amour a été plus fort que tout et ceux qui les côtoient peuvent voir que celui-ci continue à se renforcer à chaque seconde qui passe.

Elle ne voulait pas faire un long discours, juste quelques mots, sortis comme ça, sans préparation aucune. Elle parla un peu plus bas, juste pour que les mariés et Mikiss entendent, peut-être l’archevêque aussi, étant donné qu’il n’est pas loin et que Lara et Discrétion ont du mal à s’entendre :
C’est maintenant qu’on se met tous à poils comme le veut la coutume écossaise ? Dit elle, affichant un petit sourire taquin, tout en faisant mine de laisser glisser une des bretelles de sa houppelande sur une de ses épaules.
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Pendant les trois minutes où Lara avait fait ce qui pouvait sembler être l'éloge de son époux, bon oui elle a bu avant de venir alors les mots se sont embrouillés certainement, Quasi avait prié avec ferveur pour que les gargouillements de son estomac vide ne se fassent pas entendre.

Pendant les dix minutes suivantes elle inversa la prière pour implorer Aristote d'augmenter le volume sonore de son estomac pour couvrir les paroles de la Peste.

Quasi la regardait sans ciller. Chaque mot était certainement vrai . Chaque phrase ressemblait à de la colère et pourtant la future maman n'entendait que le chagrin d'un vide qui chaque jour se creusait.

Comment lui faire entendre raison quand Raison n'était plus? Quasi avait espéré que ce jour là, juste celui là, Mikiss oublierait un instant son cauchemar. Son regard allait de son témoin à Faster, essayant de comprendre sans y parvenir.

Enfin elle termina..mais le " Pour l'instant" ne laissait augurer rien de bon.

La mine faussement courroucée elle dit tout bas

Dites donc vous!! vous n'avez pas eu le temps d'insulter vos voisins ce matin que vous venez agacer mes amis avec vos vér..sottises??

Le grondement repris et de nouveau prière muette pour inverser le sort. Pourquoi fallait il que chaque événement important lui coupe l'appétit pour ensuite la laisser affamer aux moments les plus inopportuns?

Elle lança un regard à Richard , espérant voir enfin à ses cotés Gabriel. Par deux fois elle l'avait rencontré, par deux fois elle avait faillit mourir d'inanition. la troisième risquait d'être la bonne.

Se retournant à nouveau vers l'officiant, elle fut arrêté par..sa robe. Quelque chose l'empêchait de se mouvoir normalement . La peste sans doute devait tenir son gros pied sur le bas de la robe écossaise. Un regard lui montra qu'il n'en était rien. Elle continua donc à se retourner, forçant sur ce morceau de tissu qui voulait lui résister.

Si uni devant le Très Haut ils allaient être, unis devant les tartans écossais ils étaient. La robe de Quasi était accrochée on ne sait comment au Kilt de Brave.

elle le comprit une seconde trop tard.

On ! Ne ! bouge plus !

William attrapa Quasi par le bras pour qu’elle arrête de tirer. Il n’y avait qu’un endroit, et Quasi avait trouvé le moyen de s’y accrocher avec sa robe. Son épingle de kilt. A croire qu’elle l’avait fait exprès. Lui ne risquait rien, son Feileadh Mor était bien coincé a sa taille par son large ceinturon, il ne bougerait pas. Mais la robe bustier de Quasi elle…Surtout qu’elle ne devait rien porter en dessous, et il n’était pas nécessaire plus que cela, de révéler son état de future maman, cela se voyait bien assez. Une chance que le prélat officiant n’est pas fait de remarques là dessus. Une mariée enceinte, son témoin qui balance une diatribe a tout va. Lara était resté stoïque, et Sémiramis…Ou était donc Sémiramis ? William revint à son problème immédiat. Il dégrafa l’épingle libérant la robe, puis la remit en place. Il regarda alors l’archevêque, et lui sourit.

Vous voyez Monseigneur…
Nous sommes très accroché…

Vous plairait il de poursuivre ?
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L'italien acquiesça lors des descriptions des qualités des témoins. Voyant les témoins au devant de la Cathédrale, le prélat invita les mariés à s'agenouiller à nouveau sur les pries-dieux, conscient de l'honneur que représentaient le fait de pouvoir poser genou sur des meubles à l'historique si royale. Quant à la torture... l'imbécilité crasse achète la paix d'esprit.

- Témoins. Votre rôle dans cette cérémonie est crucial. En acceptant d'agir comme témoin envers ces deux époux, vous vous engagez lourdement à accompagner leurs vies. Vous devrez chausser la botte qui saura cogner leur postérieur dans leurs moments de doute, vous devrez être la voix de la raison dans leurs moments de tristesses, l'ami véritable pendant leurs joies et bonheurs. Le serment du mariage est sacré et ne saurait être défait, vous devrez être les gardiens du serment qu'ils s'apprêtent à prendre, et le défendre de tout votre art, votre persuasion et vos conseils. Si vous acceptez ce rôle, posez vos mains sur les épaules de l'époux respectif que vous assistez.

L'italien fit un signe de la tête à l'intention de son secrétaire, Frère Christophe, posté à l'arrière de la Cathédrale. Ce dernier s'empressa d'en ouvrir les portes, laissant une brise salvatrice balayer l'assistance.

- Que quiconque s'opposant à l'union de Braveheart et de Quasi se fasse entendre où bien qu'il se taise à jamais!

Un lourd silence tomba sur la Cathédrale, alors que plusieurs convives observaient leur entourage, le suspens d'une quelconque objection rendant toujours fébrile l'assistance. Profitant du silence, l'italien enchaîna.

- Que l'on apporte les anneaux.

[Petite pause pour laisser le temps à un quelconque objectionnaire de se manifester]
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Et bien, on était bien embarqué ! Mikiss et Lara qui devaient accompagner leurs vies. Côté bottes, c’est sûr, on était bien garnis. Côté raison, oh la la, avec les deux follettes…Part contre c’était bien de vraies bonnes amies.

Quiconque s’oppose, il voudrait voir cela. De toute façon Allan et Dave étaient postés aux portes avec le nécessaire si besoin était.

Les anneaux ! Mince ! Il les avaient bien posés sur l’autel, mais avait oublier de préciser à l’archevêque que la pierre bleue était pour Quasi et la rouge pour lui. Bon Quasi portait une robe bleue, lui un kilt rouge ce devait être une bonne indication.

Attendant que le prélat reprenne, William se demanda qui pouvait être les témoins de Mikiss et Faster. Il faudrait qu'il le demande a Quasi.
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Braveheart, veux-tu prendre Quasi pour épouse ? La bonne blague.

Tout ce qu’il avait fallu endurer pour en arriver là. Apprendre la patience. Voir Quasi tourmentée par un malotru, qui se moquait de son bonheur, et ne pensait qu’à sa petite personne, se croyant le nombril du monde, et ne rien faire. Ne pouvoir aller lui broyer la main, pour qu’il ne puisse plus écrire d’inepties. Ne pouvoir lui arracher sa langue perfide et fourbe.

Arriver au moment temps attendu et reculer ? Pas lui !

Et puis, Quasi était déjà son épouse depuis maintenant cinq lunes, devant le Dagda, Rigantona et Cernudos. Mais cela l’archevêque ne pouvait le savoir. Hé ! hé ! Un archevêque, une cathédrale, rien que pour eux. Délicieuse revanche ? Même pas, ce n’était pas dans la nature de William. Il allait donc exprimer clairement sa volonté, puis Quasi en ferait autant, de son libre consentement.

Et pourront en témoigner Mikiss et Lara bien sûr, mais aussi Varden et Vanyel, Caro et Oli, Maltea et Richard.

Il regarda l’archevêque dans le fond des yeux, et dit d’une voix forte et claire.

Oui ! Je le veux !
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La cérémonie avance. Peu à peu, Faster arrive tant bien que mal à se mettre à l’aise. Concentré sur ce qui se passe devant, il en oublie ce sentiment d’être épié et jugé.
Il se tourne même de temps à autre en direction de Leslou en lui adressant quelques sourires timides.
Un moment de silence s’installe dans l’édifice. Ce moment bien que traditionnel, se veux toujours un peu anxieux.
Faster, machinalement tourne la tête vers l’entrée.
Il s’imagine un court instant voir le boulanger faire irruption dans la cathédrale pour interrompre ce mariage.
L’idée ressortie de sa caboche aussi vite qu’elle y était entrée, l’ancien officier reporte de nouveau son attention sur les fiancés. Le boulanger n’aurait jamais osez venir s’opposer à cette cérémonie. Il aurait fallut pour cela qu’il est le courage d’affronter le colosse écossais et sa claymore.
Ses yeux se baladent entre Quasi et Mikiss. De nouveau, en regardant son épouse, l’homme à l’impression que tous les regards sont braqués sur lui.
Qu’était t’il venu faire la, lui qui avait trahit les liens sacrés du mariage ?
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Sémiramis frémit, elle regarda son père, il l’avait sentie également. Une âme était passée, et dans un souffle avait déplacé quelques mèches de cheveux de Quasi, comme l’aurait fait un frère.

Quasi avait donc un ange gardien.

Etait il intervenu dans les dilemmes de Quasi ?

Va savoir…

L’âme s’en était allé, dans un souffle. Sémiramis sourit, heureusement que l’archevêque n’avait rien vu, il aurait crié a quelques diableries, comme les disciples d’Aristote appelaient cela, comme toutes choses échappant a leur compréhension. Mais ce n’était pas fini, deux autres spectres s’avançaient, Sémiramis les voyaient très distinctement, une femme et un jeune garçon. Elle ne les connaissait pas, elle se concentra, deux noms lui apparurent à l’esprit, Lyris ! Yvain !

Ce n’était pas un ange gardien qu’avait Quasi mais toute une armée. Preuve qu’au-delà de la mort, ses qualités d’âme étaient reconnues. Car Quasi était une âme bien née, en d’autre temps, elle aurait été un grand Druide. Et elle aurait appris à distinguer amour et compassion. Cette compassion, cette pitié même, qui avait failli lui coûter l’amour de sa vie. Tout cela était bien fini. Sémiramis les avaient unis devant Dagda, il s’unissait devant Aristote, et elle savait que le cœur de Quasi ne battait que pour William, comme celui de William ne battait que pour Quasi.

William prit Quasi dans ses bras, et l’embrassa longuement. Un instant d’éternité, pour un amour qui allait durer une éternité. Les consentements avaient été échangés, les anneaux aussi. L’archevêque avait entériner le tout, en les déclarant mari et femme.

Allan et Dave, qui se trouvaient a l’entrée de la cathédrale, lancèrent leur bonnet en l’air, en manifestant bruyamment.

Hourra ! Hourra ! Hourra !

Uallas ! Uallas ! Uallas !

Puis s’apercevant qu’il ne déclanchait guère d’enthousiasme se turent. William sourit. Il regardait l’assistance, tout en glissant sa main dans celle de Quasi, et mêlant leurs doigts.
Son oncle Argheim lui souriait. Sa cousine Sémiramis restait dans l’ombre. Son oncle, sa cousine, son épouse, et l’enfant qu’elle portait. La famille était là. Le Clan était assemblé. Une pensé pour ses défunts père et frère. Ils auraient aimés être là. Sa mère…Sans doute aurait elle préférée le voir à la place de l’archevêque.

Une nouvelle vie commençait, librement consenti de part et d’autre. Une vie de respect mutuel et d’amour indicible. Il était devenu chef du Clan et avait fait de Quasi sont égal. Ainsi, lui avait été enseigné les traditions celtes, qui ne découlaient que du bon sens. On ne pouvait regarder celle que l’on aimait que comme son égal, et William aimait Quasi plus que tout. Le regard gris acier, croisât le joli noisette. Il n’était rien besoin de dire, ils se comprenaient. Ils se mirent en marche vers les portes grandes ouvertes, pour la vie qu’ils avaient choisit ensemble, pour cette valeur qui leur était commune, qu’ils défendaient, qui était leur devise.

Pour la Liberté !


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Un sourire à l’épouse dite Lady Wallace

Si c’est pour agacer vos amis vous pouvez compter sur moi
Mais pourquoi donc attendre d’être chez vous pour le faire ?

Passant devant Quasi

Mikiss se dirige vers la sortie, mais au fond de l’église elle se tourne vers son époux et se dirige vers lui

Passant devant les personnes présente sans ménagement ni demande d’excuse, elle arriva devant lui
Et se pencha lentement à son oreille

Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Cela signifie mon époux
Que tu n’en as pas fini avec moi !
Car pour cela il te faudrait mourir ou me faire assassiner

Mikiss se redressa après avoir laissé ces marques de dent sur une oreille saignante

A bientôt mon époux

Passant sa langue sur ces lèvres appréciant le goût de sa morsure
Mikiss sortit de l’église aussi discrètement qu’elle y était entrée