[RP] Cathédrale de Tarbes "Ste Nitouche"

Braveheart

Mariage de Quasi et William

Ils étaient arrivé sur le parvis de la cathédrale. Quasi au bras d’Argheim était superbe dans sa robe. Il était néanmoins grand temps de se marier, son état de future maman commençait à se faire de plus en plus remarqué. William avait mis une belle chemise blanche à jabot, et bien sûr s’était drapé du Feileadh Mor des Wallace. Il donnait le bras à sa cousine Sémiramis. Elle avait revêtu une longue robe à col bleu nuit, décolletée en V mais pas trop. Si la robe était bien ajustée au buste, elle s’envasait amplement ensuite, allant jusqu’à frotter terre, et cachant ses pieds nus. Elle portait, le diadème, le torque, les bracelets et la ceinture d’or à saphir.

Bret avait revêtu son Feileadh Mor des Sinclair, il était magnifique, comme d’habitude, et Monny avait passé une robe que Bret avait baptisée bain de soleil, dégageant bien les épaules.

Allan et Dave, les jumeaux Mac Gregor étaient là, également. Ils pourraient faire office de cavaliers pour Lara et Mikiss. Mais qui choisirait Dave le barbu ?

Et bien il ne manque plus que Lara et Mikiss…
Et ceux qui veulent bien venir.

Soudain un doute envahit l’esprit de William, il manquait quelque chose. Il se mit à réfléchir très vite, quand soudain.

Oh ! My God !
Mon oncle !
J’ai…

William fut interrompu par un geste de son oncle Argheim.

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--Argheim

William ! ne jure pas s’il te plaît.

Argheim sorti le poing de sa poche, s’approcha de William et lui toqua le front par trois fois.

Petite cervelle d’oiseau…

Il ouvrit alors le poing révélant les alliances.

Et tache de ne pas te tromper dans les couleurs.

--Semiramis

Sémiramis sourit. Le beau couple que voilà. La première fois Quasi était venu sans dot, et voilà que William venait sans les alliances. Mais ils s’aimaient passionnément, tous ces protocoles devaient leurs passer au-dessus de la tête. Et ils avaient très bien su s’y prendre pour faire fructifier leur amour. Quasi le portait, et il ne tarderait plus à mûrir.

Père !
l’émotion sans doute…

Elle fit un grand sourire moqueur. Inconsciemment elle s’accrochait au bras de William, une petite angoisse l’étreignait, elle allait entrer dans une église pour la première fois.

Lara60

Les préparatifs allaient bon train, William était prêt et déjà parti à l'église, suivi de l'oncle Argheim et de Quasi.
Elle avait choisis une robe bleue, elle était magnifique.

Avant de se rendre à l'église, et tout en vérifiant les moindres petits détails sur la tenue de Quasi, Lara repensait à ce qu'elle devait dire en tant que témoin...
Elle avait plus d'une idée en tête, elle avait même préparé un petit discours mais avait décidé que, finallement, elle dirait ce qui lui passerait par la tête arrivé au moment clé.

Elle se mit en route, ce n'était vraiment pas le jour pour être en retard. William ne lui avait pas dit ce qu'il voulait qu'elle porte, ni quelle couleur, elle avait donc pris une robe rose, assez simple, pas de col ni bottes pour cette journée. Elle les avait échangées contre de jolies petites chaussures assorties à la robe.
Et puis, elle n'aurait, normalement, à botter les fesses de personne à un mariage !
Elle salua les personnes déjà arrivées devant l'église et les suivit.
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Navigius

L'Archevêque Métropolitain d'Auch arriva sur l'entrefait, sortant de la ruelle Saincte-Honorine où il avait visité de vieilles connaissance, le Boucher Leduc et sa femme. Arborant ses habits de cérémonie il se dirigea vers le parvis de la Cathédrale, claudiquant à l'aide de sa canne, saluant chaque passant avec affection.

- Bonjour Bonjour! C'est bien l'heure du mariage de Dame Quasi et Messire Braveheart n'est-ce pas? Avons-nous tout le monde?

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Lara60

L4archevêque était arrivé, il demandait si tous étaient là. Elle regarda autour d'elle. La famille de William était là, son témoin bon c'était elle, pas à chipotter... La mariée et le...témoin de la mariée ??? Mikiiiiiiiss !! Mais où était elle passée ??

Excusez moi un instant mon père, il semblerait que l'on ai perdu l'un des témoins en route... Je m'en vais de ce pas la quérir... Le stress sans doute !

Elle s'en alla discrètement chercher Mikiss afin de ne pas stresser davantage les futurs mariés.
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Faster83

Arrivé après les autres, Faster s’était fait le plus discret possible.
Sur le parvis, il s’était isolé et avait attendu que tout le monde rentre, pour pénétrer dans la cathédrale à son tour. Comme d’habitude dans ce genre d’occasion, les premiers rangs sont toujours les plus prisés. Le seigneur d’Abidos n’a que l’embarras du choix. A pas feutré, il se dirige vers un siège, ou il y pose délicatement ses fesses pour ne pas faire craquer le bois.
Légèrement penché en avant, il jette un coup d'œil par dessus l'épaule de celui qui est devant lui.
Son regard se porte aussitôt sur son amie. Elle porte une robe à la coupe particulière. Surement un de ces vêtements que les femmes portent lors des grande occasion dans le pays de William. Quand au futur époux, il affublé de cette tunique écossaise dont il a souvent entendu parler. Le Faster ouvre grand les yeux d'étonnement.
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Varden

Faster n'était donc pas le dernier ... Avisant le Seigneur d'Abidos, et peu jouasse à l'idée de se presser pour être tout devant avec les autres, Varden choisit sciemment de se mettre au même rang que ce dernier ...

Il le salua d'un sourire poli, et se concentra sur Monseigneur Navigius qu'il aurait grand plaisir à saluer, après la cérémonie ... Des mariages il en avait connu, il avait vécu le sien avec un bonheur immense quelques jours auparavant ...

Il venait d'ailleurs accompagné de Vanyel à ce mariage, comme l'avait proposé William dans sa missive ... Il présenterait son épouse à Faster plus tard ... Cela pouvait comporter quelques risques de le faire avec trop de hâte ...
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-> A modifier
Grand Audiencier
Comte d'Ossau

Caro68130

Départ dare dare de Mauléon...les mariages s'enchainaient, et aujourd'hui arrivait le grand jour pour Quasi et son fiancé. Missve j'avais reçu pour l'invitation.

Arrivant sur place du monde était déjà là mais apparemment je n'étais pas la dernière. Saluant discrètement toutes les personnes connues. Je croisais Lara qui avait l'air de chercher quelqu'un et qui semblait un peu inquiète... sans doute le stress de la préparation. Discrètement je prenais place....
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En cours de changements

Mikiss

Pas cette robe non
Ni l'autre
Et voila que Mikiss retrouve sa vieille robe
A quoi bon user une robe neuve pour ce mariage pourrait penser les mauvais gens
Mais Mikiss elle , voulait montrer à sa meilleur ennemie qu'elle était de nouveau la et encore plus ce soir
Donc elle entra en retard ,claquant des pieds en avançant
Un simple regard vers son ancien amour
Et sans sourire ni baisser les yeux elle se dirigea vers l'autel ou l'attendait Lara

Quasi

Elle avait fait retraite, comme exigé dans l'acte d'annulation qu'elle gardait précieusement chez eux. Enfin retraite..si retraite voulait dire se reposer pour réfléchir les nonnes avaient de drôles de méthode. Laver, repriser, cuisiner, jardiner...tant et si bien qu'elle était épuisée en sortant du couvent. Elle n'en était pas gênée, réfléchir à ce qu'elle allait faire ce jour là n'était pas de mise. Pas besoin de réfléchir quand on sait qu'on fait ce que notre cœur désire.

Au bras de l'oncle de William, elle avançait timidement. Étrange sentiment que d'être au bras de celui qui devenait un père pour elle alors qu'il ne devait pas pouvoir venir. Elle était heureuse, tout était parfait.

William accompagné de sa cousine lui fit peur un instant mais les alliances étaient bien là. Sémiramis, resplendissante comme de coutume se tenait au bras de l'écossais comme si elle craignait qu'il la laisse. Quasi savait les craintes de la druide et elle était bien résolu à ne laisser personne médire d'elle.

Quelques heures avant d'arriver elle avait réessayait sa robe, fendue par la faute de Lara et de ses cris. Devant l'autel elle ne cessait de baisser les yeux pour vérifier la solidité de son ouvrage. Une fois cul nu à l'église suffisait, inutile de réitérer l'action.

Elle regardai les gens présents. Caro était venu, seule. Dommage pensa l'avocate, j'aurai voulu mieux connaitre son prétendant. Puis son regard trouva Faster.

son ami de toujours, celui qu'elle aurait volontiers giflé les jours précédents, celui qui avait toujours était là pour elle, celui qui ne 'était plus pour son épouse..Elle se promit d'aller lui parler, le raisonner, une fois la cérémonie terminée.

Peu le savaient mais un mariage avait précédé celui ci. Un mariage selon les rites celtes anciens. Une union sous les étoiles, une union que personne ne pouvait détruire.

Aux cotés de Faster..Varden et sa très belle épousée. Quasi avait regretté de n'avoir pu être^présente pour lui. N'ayant pas reçu d'invitation elle n'avait pas pu prévoir le voyage vers son ancien village. Son état l'obligeait à faire preuve de prudence et partir ainsi du jour au lendemain n'était pas ce qu'on lui conseillait le plus. Mais revoir Varden, le savoir heureux, aimant et aimé, était ce dont elle avait souvent eu besoin.

Ses pensées s'attardèrent un instant encore sur l'ancien juge, revoyant le parcours qu'il avait entrepris depuis le jour où ils étaient devenus amis.

Navigius était parmi eux. Quasi lui sourit, ravie de le savoir officier en ce jour si important. Il y avait eu quelques contretemps mais le prélat avait réussi à venir.

Elle leva la main afin de saluer tous ses amis quand son geste resta en suspend. Des bruits de pas précédèrent la vision d'une Peste qui avançait d'un pas décidé.

Lara , plus belle que jamais se tenait près d'eux. La peste vint les rejoindre.

Tout bas Quasi murmura..

Et ben..vous en a fallut du temps pour faire entrer vos fesses dans cette super..cette espèce de robe que vous portez!

Mikiss

Un sourire vers la future épouse et elle se pencha vers elle

Mes fesses sont entrées aisément, c’est juste l’envie de venir assister à ce soit disant mariage qui me manquait

Puis Mikiss admira un instant la marié et son homme

Et vous vous croyez ou
Un mariage est une chose sérieuse
Et ce n’est pas un endroit pour vous montrer si belle
De plus je suis heureuse de remarquer que William est habillé aujourd’hui

Mikiss se redressa de nouveau, elle allait se faire remarque à murmurer ainsi
Se faire remarquer ?ben oui

Et dernière chose je n’ai pas réussit à coucher sur le papier de quoi faire un discours alors je serais brève na

Mikiss salua Lara et le futur époux
Puis souri à Navigius

Braveheart

Ils pénétrèrent dans la cathédrale, Quasi en tête, au bras d’oncle Argheim, William suivait avec Sémiramis, Bret et Monny, les jumeaux, Lara était reparti a la recherche de Mikiss. Juste avant l’autel Sémiramis l’abandonna, et alla se placer dans un coin tout en lui faisant un sourire d’encouragement. William regarda l’autel et marqua un temps d’arrêt. On y était, enfin.

Cette cérémonie que jusque là William avait considéré comme une formalité, prenait toute son importance. Il pourrait enfin clamer à la face du monde qu’il était l’époux de Quasi.

Leur histoire défila devant ses yeux. La rencontre, dans le bureau du cadastre de la Mairie de Mauléon. Les soirées passées ensemble dans ce bureau. Le départ de Quasi pour la Champagne, avec celui qui allait devenir un obstacle entre elle et lui. Le retour de Quasi, et le bureau secret. La blessure de Quasi au genou, son accident avec l’ours. La lettre. L’Amour de Quasi, qui avait fini par écouter son cœur. Les escapades dans les bois, les moments de douceur devant la cheminée. Leur union dans les bois, jamais il ne l’oublierait. Moment intense, magique, libératoire. Leur First Run. Le grand voyage vers la Normandie, et le retour par la Champagne. La confirmation que Quasi avait enfantée. La joie, le bonheur. L’installation a Pau. Et le mariage.

William revint à l’instant présent et avança jusqu’à l’autel. Lara était revenu et s’était placé a coté de lui. Elle portais une jolie robe rose et oh ! Miracle ! Elle avait enlevé ses bottes. William sorti les alliances et les posa sur l’autel. Celle avec la pierre bleue du coté de Quasi, celle avec la pierre rouge de son coté. Il regarda le prélat et lui sourit.

Votre présence nous honore Monseigneur !

Puis William se tourna vers Quasi. Elle avait revêtu la robe bleu, jumelle de la rouge. Le Lady Quasi Wallace Blue Tartan était à l’honneur. Un rayon de soleil vint auréolé ses cheveux, tel un ange. Un ange, oui, Quasi était un ange, Sweet Angel, il l’appelait parfois. Ange qui devenait tout de même démon quand…Ca, cela serait pour ce soir, cette nuit, toute la nuit, il avait promis. Son cœur se mit à battre plus fort, l’émotion le gagnait, il ne pouvait plus la quitter des yeux. Comme elle était belle. Sa raison de vivre.

Un fracas, William se retourna. Mikiss faisait sont entrée. Embrassant la nef du regard, William put voir Faster qui se cachait, Varden et son épouse, Caro aussi sans doute, il ne l’avait croisé qu’une fois en taverne. Mikiss rejoint Quasi. William se tourna vers l’officiant.

Et bien !
Les parties prenantes et les témoins sont présents.
Nous pouvons commencer sans doute.
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Faster83

Le Faster pensait être tranquille, caché derrière des convives, tout au fond de l’assemblée.
C’était sans compter sur l’arrivée de Varden.
Le comte d’Ossau, accompagné d’une superbe dame lui adresse un sourire et s’assoit juste à coté de lui comme pour le faire exprès.
Poliment, le seigneur d’Abidos se lève, puis s’incline avant de se rassoir.
Des bruits sourds le font se retourner vers l’entrée de l’édifice.
Son épouse, accompagnée par Lara, traverse la nef en vitesse. Les yeux des deux « Du Clos du Chesne » se croisent brièvement.
Faster sent comme un froid qui lui parcourt l’échine. Sensation semblable au regard porté par Mikiss.
Malgré cela, le seigneur d’Abidos continue à suivre le déplacement de la jeune femme, jusqu'à ce que celle-ci se retrouve aux cotés de Quasi.
L’homme se demande ce qu’il fait ici. Il avait pourtant écrit à William, qu’il ne viendrait pas à ce mariage. Peur de se sentir de trop, peur que cela fasse des histoires, pourtant il était venu pour son amie.
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Vanyel

Elle l'avait regardé avec un air intrigué quand il lui avait annoncé qu'elle était invitée avec lui au mariage de Quasi et William. Elle se doutait que ça devait être des amis à lui et avait sans surprise accepté. Etait-ce la saison qui voulait que les unions fleurissent? peut-être.

En pénétrant dans l'église à ses côtés, elle avait reconnu quelques têtes, des personnes présentes il y a quelques jours à leurs noces. Petit air absent, plongée dans ses souvenirs et réflexions. C'était étonnifiant le nombre d'églises qu'elle avait réussi à "visiter" en Béarn... Orthez d'abord, puis Mauléon, maintenant la cathédrale de Tarbes... reporter son attention sur le présent.

Varden avait pris place près du capitaine de l'équipe de soule de Mauléon. Elle le salua d'un signe de tête sans toutefois oser parler, il semblait étrangement que l'humeur soit au calme et taciturne pour une inconnue raison, à moins qu'elle ne perçoive les choses de façon particulière, ce qui n'était pas impossible non plus.

Son regard se porta vers l'avant, vers l'officiant et celle qui, à n'en pas douter, devait être Quasi, la future mariée.
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en cours de modification

Cathédrale de Tarbes "Ste Nitouche"

Faster83

Le mariage touche à sa fin. Après tant d’épreuves, Quasi et William étaient enfin marié.
L’épousée est épanouie. Au bas de son mari, elle est resplendissante dans sa robe bleue Wallace. L’émotion envahie la cathédrale quand soudain, on entend des cris provenant du parvis. Faster se tourne et voit deux personne identique l’une à l’autre, exprimer leur joie de manière plutôt inconvenante. Le seigneur d’Abidos reste fixé sur eux, quand son épouse lui fait face.
Il affronte quelques secondes son regard avant que celle-ci ne se penche sur lui pour venir lui chuchoter à l’oreille quelques mots. Le Faster sent la mâchoire se refermée sur son oreille et des canines se planter dans son oreille. Il sert les dents, encaisse la douleur sans repousser Mikiss. Elle se met face à lui, lui sucure encore une autre phrase et vient lui passer san langue sur ses lèvres.
Faster reste de marbre, sentant toute l’attention des gens présent se porter sur lui. Tel un courant d’air voilà qu’elle s’éclipse aussi rapidement qu’elle s’est approchée de lui.
Le Mauléonnais reste un instant sans bouger. Puis il salut ses voisins de rangs avant de ressortir à son tour de la cathédrale.
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Alleaume

* Son frère l'avait rejoint... Liuna aussi était présente, il était content de voir quelques personnes qu'il connaissait venir ici, on aurait dit que les baptêmes n'attiraient que très peu de monde.. Tans pis il n'avait pas besoin de monde pour cela, son désir d'embrasser la foy du Très Haut était le plus important avec ou sans personnes.
Il regarda Bourrike dans les yeux et écouta ce qu'elle venait de réciter, puis il prit la parole juste après elle pour assurer son allégeance en l'église Aristotélicienne... *

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de dieu et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

* Après ses quelques mots, il regarda Dame Bourrike dans l'attente de la suite. *
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--La.beste.sans.nom

Ainsi, un nouveau lieu de culte pour le Bien venait de sortir de terre et la Beste décida d'aller le visiter, pour en ressentir les émotions...

Le Béarn, terre d'incroyants, se dotait d'un édifice mais le lieu allait-il recevoir de vrais fidèles... Oui, cela avait de l'importance et sa froideur inonda le bâtiment de pierres.

Les âmes qui s'y trouvaient étaient bien mêlées... Troubles et faussetés se mélangeaient allègrement et l'Ombre avait plus que sa place, à n'en point douter.

Pour l'heure, compte serait tenu, jusqu'au bout de sa griffe d'ongle et tète couronnée, point ne porterait...

Les cierges s'éteignirent...

Ptitmec13

Ptit entra dans la nouvelle cathédrale et eut la surprise de tomber en pleine cérémonie de baptème.
All... ben voyons, il aurait pas pu le dire, le sacripan...
Elle sourit et l'office étant bien entamée s'installa sans bruit sur le banc du fond afin de suivre la suite.
L'athmophère était plus froide qu'à son habitude mais elle n'en avait que faire, un nouveau membre rejoignait la grande famille et c'était là le principal.
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Lieutenant en Chef de la Prévôté
Per lo Bearn

Liuna

Liuna se retourna pour voir entrer une jeune dame et vit par la même occasion que les cierges étaient éteinds.

Sans doute le courant d'air avec l'ouverture et la fermeture des portes de la cathédrale par l'arrivante - se dit-elle.

La rouquine se leva discrétement et alla rallumer chaque cierge un à un pendant que la célébration suivait son cours.

Elle ne perdait pas une seconde les 2 frères des yeux... émue par ce qui se déroulait en ce lieu d'amour.
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Bourrike

Une fois les cierges rallumés, L'Archidiacre demanda au parrain

"sire Eriadan, puisque vous êtes le parrain d'Alleaume, vous engagez-vous à être garant de la santé spirituelle de votre filleul et à toujours veiller à se qu'il ne s'écarte du droit chemin?"

Puis, ayant entendu la réponse, invita Alleaume à s'approcher des fonds baptismaux.

Le clerc pris alors un peu d'eau et en aspergea son front.

"Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité."

Elle tendit ensuite un cierge et une croix à Alleaume.

"Par ce cierge, Dieu t'exhorte à répandre la lumière de la Vérité autour de toi.

Par cette croix, tu pourras afficher ton engagement dans la religion aristotélicienne :"

"Vous pouvez aller en paix"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Ptitefleur2006

Fleur se rendit à la Cathédrale, le jour J étant arrivé. Elle avait fait une couronne pour l'occasion, afin d'accueillir leurs invités. Elle était rayonnante, nerveuse mais tellement heureuse.

Elle alla à la rencontre de Monseigneur Bourrike pour lui remettre la couronne.

Bien le bonjour Monseigneur,
Comment allez-vous? J'ai confectionné cette couronne pour accueillir nos invités pour la cérémonie.

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Faross

Faross arriva sur le parvis de l'église. Il aperçu Fleur et entra pour la rejoindre

Bonjour mon ange, tu es ravissante....

Puis il salua respectueusement monseigneur Bourrike

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Myrddhin

Myrddhin et Laïla arrivèrent en la cathédrale!

Il n'y avait point trop de monde encore, le soleil éstant haut, il ardroissait qui piétonnait par la place jusque vers la bâtisse religieuse!

Malgré tout la fraîcheur de la cathédrale, en hiver tant décriée était parfaite en ce jour de joliettes épousailles.

Elles se signèrent et allèrent près de la future.

Fleur était superbe, ce jour lui seyait à merveille.

Myrddhin s'approcha quiètement de sa marraine et l'embrassa sur la joue!

Bien le bon jour chère marraine!
Je vois que l'affection de ton futur époux te rosit les pommettes et étire tes lèvres en un profond sourire de bonheur!
Je suis heureuse de voir que tu te portes le mieux du monde et viens me joindre à tous pour vous fêter!

Enchantée d'enfin vous encontrer messire Faross, dit-elle en l'embrassant!
Je gages que le bonheur en votre maisnie siéra.

Au fait, dit-elle comme en secret, un main cachant ses lèvres, Bourrike est "une archidiaconesse", "une bourrique", non point "un bourricot"; se tournant vers dame Bourrike, pardonnez l'outrecuidance de mon exemple dame, les jeux d'esprits sont mon amusement et celui-ci éstait aisé, il est vrai, mais point fait pour foler votre personne, ce ne sont que coquardies!

Myrddhin et Laïla prirent place sur un banc et attendirent la suite!
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VIVE LA PÊCHE ET LES POISSONS VOLANTS!!!!

Leslou_1

Leslou n'aurait oublier pour rien au monde, sa tenue pour le mariage de Fleur dans ses males lors de sa venue à Pau.

Elle passe du temps à se préparer et se rend à la Cathédrale pour participer à ce merveilleux moment qu'est l'union de ses amis.

Elle entre dans l'édifice au bras de son fiancé et ils se dirigent discrètement pour s'asseoir ni trop près n'étant pas de la famille, ni trop loin pour ne rien rater de la cérémonie.

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Telya

La chambriére fit tomber un pot d'onguent et Telya lui jeta un regard exaspéré.

Ma pauvre fille , décidément je me demande pourquoi je vous garde à mon service . Vous avez deux mains gauche!

La femme de chambre baissa la tête et s'empressa de ramasser les morceaux du pot en grés ainsi que la créme répandut sur le sol.

Laissez cela , j'ai entendu les cloches ... Finissez donc de me coiffer . Vous nettoyerez plus tard .

Les mains expertes ne mirent pas longtemps à torsader la coiffure . Une fois apprêtée , La duchesse se rendit à l'église où une foule nombreuse se massait déjà.
Elle pénétra dans l'édifice et salua les personnes présentes . Aristote en soit loué , la cérémonie n'avait point encore commencée.

Elle avait revetue pour le mariage de son amie , une de ses plus belles toilettes . Elle tenait à lui faire honneur et avait donc choisie une robe de soie couleur or et une sur robe de velours noir bordée d'hermine .

L'encolure carré degageait sa gorge et ses epaules et la couleur faisait ressortir la blancheur de son teint.

Elle s'approcha des mariées pour les saluer .

Quel grand jour !!! Tu es merveilleuse Fleur , puis se tournant vers Faross, vous aussi trés cher , vous etes trés élégant .
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Ptitefleur2006

Fleur voit s'approcher son futur époux à qui elle sourit, suivi de sa charmante filleule et de la petite Laïla qui a bien grandi.

Bonjour ma douce, tu es resplendissante, ta fille grandit si vite. Je suis ravie que tu te joignes à nous pour ce grand jour.
Comment va ta vie à Tarbes? J'avoue ne pas y aller trop souvent, travaillant dans mon échoppe paloise. La pêche me manque un peu, mais fabriquer de la farine demande une certaine présence pour nos boulangers.

Puis voyant Leslou entrée, elle lui fit signe de se joindre à eux.

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Acar

Acar et son espouse arrivèrent en l'antre de lumière pour la célébration de mariage...

Moult visages familiers apparurent pour cette union, à venir. Il salua ainsi, ceux qui faisaient vivre cette région, qui l'animaient avec cœur, qui donnaient de leurs personnes pour le Bien avant le reste et de cela, il était fier des les connaitre.

La fraicheur du lieu s'abattit sur ses espaules....
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Bourrike

Un rapide passage par la sacristie afin d'y revetir une tenue de circonstances.
Puis l'accueil des mariés et de leurs invités sur le parvis.

Quelques mots habituels qui lui effleurent les oreilles "bourrike, bourricot, ayez crainte"

Le sourire qui lui vient habituellement lorsque ces qualificatifs lui sont attribués par jeu

"Ah mais j'assume, sachez-le"

Puis la remontée de la nef, afin que les mariés viennent s'installer en face d'elle, à la place qui leur est réservée. La mariée tellement resplendissante qu'elle mérite que tous puissent constater le rosissement qui lui sied si bien.

"Frères et Soeurs , Bienvenue

Oui bienvenue en cette Cathédrale de Tarbes ,
Nous sommes rassemblé au nom du Père, d'Aristote et de Christos. En ce jour, fêtons l'amour et le don de soi. Comme vous le savez tous nous allons unir dans quelques minutes deux fidèle de notre Eglise ici même.

Frères et Soeurs , prenons un instant pour penser et prier a l'unité de notre diocèse et a nos erreurs, nos doutes.

Disons ensemble le je confesse a Dieu :

Maintenant Frères et Soeurs, nous allons procéder au Mariage

L'archidiacre reprit sa respiration et reprit à haute voix l'énoncé des bans

Je déclare l'union de Ptitefleur2006 et Faross possible. Que si leur volonté est toujours aussi forte et que leur amour triomphe des difficultés, alors qu'ils se présentent devant nous et le confirment.

Se tournant vers les futurs époux :

Vous avez émis le voeu de vous unir a jamais dans le sacrement du mariage. Cette union je la célébre aujourd'hui et me fais la voix du très haut . Sachez que ce que Dieu à unis , seul Dieu peut le désunir.

Je vais procéder a la lecture des obligations mutuelle des époux :

Les epoux se doivent mutuellement fidélité , secours et assistance en toute circonstance et tout au long de leur vie.
Ensemble vous devrez assurez la direction morale et matérielle de la famille au sein d’une vie commune et vous devrez proteger et éduquer du mieux que vous le pourrez votre progéniture.

Que si quelqu'un doit s’opposer à cette union , qu’il parle maintenant sous le toit de cette église, ou se taise à jamais.
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Caro68130

Une robe, il me fallait choisir une robe mais laquelle ? le temps passait à vive allure et déjà les cloches se faisaient entendre. Bougre de bougre... et je n'étais pas prête. Je me hâtais au mieux et ce qui devait arriver arriva. Le mariage venait de commencer lorsque j'entrais en la Cathédrale.

Sans faire de bruit je m'avançais vers un banc au moment où Monseigneur Bourrike prononçait la phrase "si quelqu'un doit s’opposer à cette union , qu’il parle maintenant sous le toit de cette église, ou se taise à jamais."

J'espérai que le fait que je sois debout ne prête pas à confusion et sans plus attendre m'installais
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En cours de changements

Anacron

Citation:

Que si quelqu'un doit s’opposer à cette union , qu’il parle maintenant sous le toit de cette église, ou se taise à jamais.

Grincement de porte ... Regards courroucés des invités et fidèles qui se tournent vers l'inopportun retardataire responsable de ce couinement incongru au plein milieu de la cérémonie ...

AnacrOn rentre sa tête le plus possible entre ses épaules, et avance sur le pointe de pieds ... Comme si cette attitude grotesque allait le faire disparaître aux yeux de l'assemblée ! Il est rouge comme une pivoine, mais fort heureusement sa peau mate cache sa gêne !

Il s'en veut d'être en retard... et de déranger à ce moment si important, mais il n'aurait manqué pour rien au monde le mariage de sa Marraine.

Rapidement, il gagne le dernier banc et prend place ...
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Loupameth

avec un peu de retard Loupameth arrive a la cathédrale , pour le mariage de Dame Fleur et Messir Faross .
Avant d'entrer il enlève la poussière accumuler pendant le voyage et pénètre discrètement , s'installe sur le coté droit sans faire de bruit la cérémonie étend commencé .
Il jette un regard circulaire il aperçoit Dame Telya qui trône dans une superbe robe qui la met en valeur , puis vois aussi Messire Anacron qu'il salue de la téte , son ami acar avec qui il a eu un entretien important .
Il ce demande ou est azi pourtant elle devrait être la ...!
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Azilize

Comme a son habitude elle avait tarder, toujours très occuper elle avait laisser encore passer l'heure. Aussi ce fut très très discrètement en essayant de pas faire de bruit qu'elle entra dans l'église. Elle sourit en voyant qu'Anacron avait loupé l'heure et cherchait à ce qu'on ne le voit pas. Décidément...

Elle pensa qu'elle ne serais sans doute jamais à la place de la marié mais bon encore une fois il fallait se faire une raison les hommes sont des inconstants. Un petit coup de cafard la pris vite vite chasser par un sourire.

Après tout son amie se mariait et c'était fête alors les regrets et les peines, il fallait les jeter au loin et oublier...
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Valois

Valois n'avait pas vu l'heure passer, assis sur un banc à la bibliothèque de l'université, en train d'étudier les institutions... quand il regarda l'heure, il ne prit même pas la peine de ranger ses affaires, et courut à la cathédrale pour le mariage de sa soeur...
Lorsqu'il arriva, tout le monde était déja la quasi, et les seules places qui restaient, étaient relativement loin bien sur... mais il eut quand même le bonheur d'apercevoir sa soeur, sublime dans sa belle robe blanche... le futur mari n'était pas mal non plus dans son genre...

Ptitefleur2006

Fleur vit entrer son amie, Telya, duchesse d'Harlegnan, elle était resplendissante. Elle s'avança vers sa demoiselle d'honneur sans hésiter pour la saluer.

Bonjour chère amie, merci d'être présente pour ce grand jour, je te confie le coussin avec nos joncs. Tu sais que tu es resplendissante, ta robe est de toute beauté. Ton époux doit être aux anges.

Après que chacun prit place dans le lieu saint, la cérémonie commença.
Faross se tenint bien droit près de l'autel où il attendait en compagnie de Monseigneur Bourrike.
Au son de la Marche nuptiale, elle remonta l'allée toute souriante, heureuse de devenir l'épouse de ce charmant gentilhomme près de l'autel. Sa demoiselle d'honneur suivait en compagnie de son époux. Un grand jour s'écrivait et elle n'en était pas peu fière.
Fleur se plaça aux côtés de son fiancé, face à l'autel où se tenait Monseigneur Bourrike. Un grincement de porte se fait entendre mais elle n'y prête guère attention, sachant qu'un de ses amis était sans doute en retard mais présent et cela lui mettait du baume au coeur. Qu'importe le retard, la présence de chacun était pour elle un cadeau et elle remerciait intérieurement tous ses amis d'être là.

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Princessaud

Princess rentre discrètement dans la cathédrale et s'assoie sur un des bancs du fond en attirants ses enfants pour s'assoir a coté d'elle et en leur disant de pas faire de bruit.
Beldeuch le parrain de fleur ferme la marche ....

chut les enfants il ne faut pas faire de bruit regardez comme la mariée et belle
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Phoebee

Alors qu'elle arrivait à proximité de la cathédrale elle vit entrer une Dame avec ses enfants, elle trottina jusqu'à la porte afin de l'atteindre avant qu'elle ne se ferme. La discrétion était de mise, la cérémonie devait déjà avoir commencée.

Elle se faufila avec son gros ventre et prit place discrètement sur le banc du fond.
Elle fut parcourue d'un frisson en entendant la marche nuptiale résonner et ne put que penser à son mariage prochain.

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Melenia

Mélénia arriva seule à la cathédrale Ste Nitouche. Un mariage... elle était déjà allée à celui de son ami Ylanis, et cette pensée remua quelques souvenirs. En cet endroit, il était certainement là en pensée.
La jeune femme voyait que quelques uns étaient arrivés et se posta dans le fond comme à son habitude. Elle pouvait voir sans être vue...
Elle observa Fleur et Faross dans leurs beaux habits et se dit que peut-être un jour se serrait son tour.
Mélénia s'assit tranquillement en regardant Aud qui retenait ses enfants sur le banc.

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Icarionnoste

Il avait bouclé sa journée de travail à la Mairie, il avait été convié au mariage de Fleur et de Faross, Baron de Quingey, le jeune Palois avait en estime la noblesse Paloise, il savait qu'elle était source de connaissances et que c'est aussi avec elle que Pau avancerait.
Mais s'il se rendait à la Cathédrale c'était pour répondre à l'invitation envoyée par Fleur, l'une des deux membres avec l'Harlegnan du duo économique Palois.

Sa belle était partie en avance, le jeune Maire avait un peu appréhendait de la laisser partir seule mais il n'avait pas vraiment le choix, beaucoup de papiers à remplir.

Ica entra dans l'église, la cérémonie était déjà bien entamé, discrètement sans qu'elle ne s'en rende compte il se faufila juste aux côtés de sa belle, et lui prit la main sans coup férir, amoureusement ...

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Eriadan

Eriadan avait décidé de remettre au lendemain la tonne de travail qui l'attendait. Préparer la campagne, s'occuper de la Prévôté, gérer les devoirs de conseillers, supporter les humeurs de certains prenaient pas mal de temps, mais il s'en sortait plutôt bien et oeuvrer pour le Béarn lui plaisait.
Toutefois cela faisait longtemps qu'il n'y avait pas eu de vraies festivités au Comté et le mariage de Fleur s'annonçait.
Meme s'il avait eu quelques accrochages avec elle, il ne souhaitait pas qu'elle croit qu'il en avait après elle. D'ailleurs, d'une certaine manière, il l'avait défendu.
Il se rendit donc à l'église et s'installa à côté d'Icar sans un mot.
Présence valait mieux que silence.

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Faross

Faross regarda tendrement fleur et serra un peu plus fort sa main dans la sienne.
Puis il regarda l'officiante , attendant que celle-ci continue

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Ptitefleur2006

Personne ne semblait s'opposer à leur union, elle en était ravie.
Elle sentit la main de Faross serrer la sienne un peu plus fort et leurs regards se croisèrent. On pouvait y lire tout l'amour qui les liait déjà et d'un signe entendu, elle invita Monseigneur Bourrike à poursuivre la cérémonie.

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Icarionnoste

Son ami et colistier Eri l'avait rejoint également, ils aimaient à se chamailler les deux, deux sales caractères à dire vrai, c'était de bonne guerre.
La cérémonie se déroulait sous les yeux captivés de sa belle, Ica un petit peu plus distrait, et pas forcement très familier de ce genre de cérémonie commença a parler à voix basse à son voisin.

-"Tu as vu All' aujourd'hui?"

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Alleaume

* Lui aussi avait reçu une invitation pour le mariage de Fleur, il s'y rendit aussitôt, saluant un peu tout le monde présent, il vit son frère et Icar, le maire Palois un peu plus devant lui, il s'installa à leurs côtés en attendant le début des festivités.
Lui aussi pensait un jour à se marier avec la femme qu'il aimait, la femme qu'il désirait, il faudrait certainement un peu plus de temps avant qu'il lui en face la demande, mais cela viendrait...*
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Eriadan

Eriadan n'eut guère le temps de répondre que son frère se présenta dans l'église s'installant rapidement à côté de lui.

Quand on parle du loup...

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Kiyo

Sans bruit, Kiyo était entrée dans l'église,
Sans bruit, la jeune Paloise se laissait bercer par cette douce atmosphère,

Le mariage de Fleur ...
Elle ne connaissait pas Faross et le découvrait pour la première fois,
mais de ce qu'elle connaissait de Fleur, lui suffisait à se douter qu'il était quelqu'un de bien.
Qu'ils étaient beaux ... comme fait l'un pour l'autre ...

Sans bruit, elle les admirait
Sans bruit, elle participait à ce grand moment ...

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Merci Ica

Icarionnoste

Et béh, quand on parle du loup, la bête arrive.
Son ami All' arriva de derrière et vint s'assoir à côté de son frère et du jeune Palois, triumvirat au complet, ravi d'avoir sa belle et des amis à ses côtés l'Icarion aspirer à voir les festivités débuter un bon coup, de la détente ne ferait pas de mal, et puis ... ça ferait un entrainement pour le Grand Bal de Pau.

Se penchant maintenant vers son ami rouge,

-"Content de revoir les frangins, moi qui pensais franchir les portes de la cathédrale en dernier, heureusement que je peux compter sur vous."

Il sourit largement, toujours ravi de pouvoir vanner ses camarades.

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Alleaume

* Lorsqu'il fu enfin assit, et que sa cape eu été retiré, il se tourna vers Icar lorsqu'il interpella Alleaume et son frère. Il lavait rencontré avec Constant lors d'une discussion en pleine nuit chez Constant. Il le savait intelligent, malgrès qu'il puisse être parfois décrier ici ou ailleurs, il n'en restait pas moins quelqu'un de bien... *

Et bien il faut prendre un peu de repos parfois, même si la maison du Très Haut n'est certes pas le lieu le plus indiquer pour prendre du repos, mais participer à un mariage est une joie forcément importante.

* Dit il a Icar avec un léger sourire, il avait hâte à ce que la cérémonie commence enfin *
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Avenir1

Avenir arriva prestement sur les marches de la cathédrale en secouant la poussière sur ses bottes et ses habits, puis discrètement il entra dans le magnifique édifice.
C’était la première fois qu’il pénétrait dans ce haut lieu et il en fut fort ému.

Il aperçu certains Lourdais venus pour la circonstance, Loupameth, Azilize, Messire Acar et son épouse, ainsi que quelques connaissances qu’il salua.
Sans bruit il se faufila auprès de son ami Valois et pris place près de lui. L’office avait commencé.

Comme ils étaient beaux les futurs époux le bonheur illuminait leurs visages. Fleur était rayonnante dans sa jolie robe blanche.
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Melian

C'était la première apparition de Melian en gargote depuis sa démission après 11 mois de bon et loyaux services en temps que diaconesse, à gérer pendant plus de six mois six puis sept paroisses seule avec Monseigneur Bourrike. Une repos forcé mais bien mérité lui avait été accordé, et elle avait continué à travailler pour l'Eglise comme pour Lourdes à un rythme bien plus à propos pour une femme enceinte pour la seconde fois.

Conseillère municipale de Lourdes depuis 7 mois, médicastre de l'Hospital Béarnais, et nouvellement Intendant de l'Ordre des Chevaliers Francs, membre de l'Etat Major des Sanctes Armées, et écuyer du Chevalier Acar de Ventoux, elle œuvrait dans l'ombre, et s'y sentait bien plus à sa place plutôt que de devoir affronter continuellement le mépris et la médisance de certains Béarnais passablement ingrats à la mémoire très courte.

C'est donc après un voyage en voiture, sur ordre du médicastre de la branche de la famille impériale qu'étaient les Ventoux qu'elle arriva. Reposée, sa délicate peau blanche avait retrouvé son éclat et ses lèvres roses arboraient à nouveau son légendaire sourire doux. Ses longues boucles noires avaient été tressées et étaient retenues par une résille dorée. Par dessus, sa guimpe . Elle portait une houppelande bleu lavande aux ourlets brodés d'entrelacs floraux bleu marine.

Dans ses bras, leur fils Olivier. Âgé de dix mois, il avait pour sa part revêtu braies, chemise bas, chausses et un petit mantel. Petit garçon modèle quoi. Elle s'était avancée au bras de son époux comme à l'accoutumé, après révérences pour saluer les personnes présentes. Elle était heureuse de voir le saint lieu si remplit.

Ils allèrent prendre place et elle salua au passage dame Fleur et son fiancé, les remerciant pour leur invitation qui lui avait fait grand plaisir. Elle adressa un large sourire à Monseigneur Bourrike, avec un pincement au cœur de ne pas avoir été capable de supporter l'impiété Béarnaise et les langues de vipère plus longtemps.

La célébration de l'amour qui liait dame Fleur et le Baron Faross commença alors, et Melian récita la confession, yeux clos, mains jointes, son fils assit à côté d'elle. Il ne bougeait pas, familier des églises qu'il était, des plus petites chapelles à Nostre Dame de Paris elle-même. Il tournait la tête à droite à gauche, et observait le lieu comme les gens.

Assise à côté d'Acar, elle prit sa main et la serra doucement. Que de doux souvenirs cela faisait-il revenir...
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Cathdu80

cath arriva a la cathedrale avec du retard , monta les marches et entra.
alla s'installer sur un banc du fond sans faire de bruit , la cerémonie etait commencé.
elle appercue fleur , elle portait une magnifique robe blanche ,
ainsi que quelques lourdais , les salua d'un signe discret de la tete avec un sourire.
reconnue aussi quelques tetes familiere dont elle avait fait leur connaissance lors de son voyage .
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Icarionnoste

Son ami rouge s'approcha et lui répondit en souriant.
Ica était réellement distrait, habitué à gambader entre mairie et taverne, et son chez soi aussi, avec sa belle, à ses côtés, de l'autre côté, elle paraissait pourtant si calme, elle.

Toujours sur le ton de l'humour et craignant que son ami et ne s'endorme.

-"Et mon grand, t'endors pas hein! tu gâcherai la cérémonie avec tes ronflements."

Sourire aux lèvres il arrêta tout de même ses âneries pour regarder face à lui et tendre la main à sa belle.

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Bourrike

les diverses arrivées remplissaient l'église, provoquant salutations en tous genres.
L'archidiacre attendit que le silence revint avant de demander une nouvelle fois aux futurs époux de renouveler leurs voeux.

"Fleur, Faross, voulez-vous vous avancer et nous dire ici ce qui vous a plu chez l'autre, et nous confirmer que vous voulez toujours vous prendre pour époux, en respectant les engagements que je viens de lire?"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Ptitefleur2006

À la demande de l'archidiacre, Fleur s'avança pour conter ce qui lui a plus chez le baron de Quingey et renouveler ses voeux de le prendre comme époux. Elle sentit ses joues rosir, car évoquer ce qui lui plaisait tant chez cet homme lui prendrait sans doute des lunes mais de le dire devant le Très-Haut et devant tous leurs amis, elle ressentait comme une explosion d'émotions dans son coeur.

Monseigneur, mes chers amis, je vous remercie du fond du coeur d'être présents aujourd'hui, cela me va, nous va droit au coeur. Que vous dire sur cet homme que je n'ai point dit avant? Comment vous décrire ce qui m'a tellement plus chez Faross? Cela me prendrait sans doute des lunes pour décrire ce qui me plait, me comble, me sécurise en lui.
J'ai fait la connaissance de cet homme merveilleux alors que j'étais maire de Tarbes. Faross m'avait contacté pour devenir marchand ambulant pour la ville et exporter les denrées que nous n'arrivions pas à écouler au sein de notre Comté en faisant jouer ses connaissances. Je dois dire qu'il m'a même impressionné, l'aura qui se dégageait de lui, sa force m'ont tellement saisi que j'ai accepté sa proposition. Au fil du temps, nous avons été appelés à nous revoir assez souvent et l'amour naquit entre nous sans que nous n'y prenions garde. En tant que maire, je lui ai donné mission de vendre des centaines de poissons en bourbonnais-auvergne... À son retour, voulant me retrouver au plus vite, il fut attaqué par une armée et se retrouva gravement blessé. On le transporta à Cahors. N'ayant point de ses nouvelles, j'envoya un pigeon sachant que oeil de lynx serait près de lui. J'appris alors son état et je remuais ciel et terre, c'est le cas de le dire, pour obtenir réparation du préjudice subi par un de nos villageois et je m'apperçus alors que j'aimais cet homme. Mon seul désir était de partir le soigner mais ma charge de maire m'en empêchait. J'ai donc attendu la fin de mon mandat pour partir le rejoindre. Arrivé à son chevet, je le soignais et nous nous sommes avoué notre amour mutuel. Faross, baron de Quingey, est l'homme le plus charmant, le plus attentionné, le plus brave que je connaisse et devant vous tous, je proclame mon amour pour lui. Voici un petit texte qui reprend son doux prénom, enfin c'est plus une série de choses qui sont réelles pour moi le concernant :

Facile à vivre
Amour éternel
Rires garantis
On vivra d'amour et d'eau fraîche
Sécurité promise
Sans trahison ni mensonges

Je renouvelle donc devant vous mes chers amis et devant le Très-Haut mes voeux de prendre Faross, Baron de Quingey, comme légitime époux.
Je lui promets fidélité, loyauté, secours et assistance en toute circonstance et tout au long de notre vie. Je m'engage devant vous à ce nous assurions à nous deux la direction morale et matérielle de notre famille au sein de la vie commune et de nous protéger et éduquer du mieux que nous le pourrons notre progéniture.

Fleur se tut, le coeur battant la chamade, rouge comme une rose, mais tellement heureuse.

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Doud5454

doud arriva en retard comme a son habitude et il en fut peiné.
il s asseya sur un banc et ecouta le deroulement de la ceremonie.
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Ikaz

Ce fut avec Affolement et déception que Ikaz fit son apparition, ouvrant brusquement les grande porte de la cathédral, il avait peur de rater ce grand évènement, en plus ce n'était pas le mariage de n'importe qui , pour rien au monde il n'esperait rater le mariage de sa soeur...
Il ne fut pas surpris de voir autant de monde à l'interieur du lieu saint, il fut alors rassuré de savoir qu'il n'était pas arrivé en retard, la cérémonie n'était pas encore terminé, avançant vers l'avant, Ikaz salua d'un hochement de la tête et sourir gai les regard des personnes qu'ils connaissaient... et cherchant un place dans l'un des bancs du devant, il voulait pas assister à ce grand évènement de loin, il parvint à la fin à trouver une place comme il l'avait esperé, il s'installa alors confortablement et approta son regard vers sa soeur ... un large sourir se déssina sur ses levres admirant sa beauté et son rayonnement dans sa magnifique robe, ses yeux brillaient de joie, quel bonheur se dit il de voir sa soeur franchir la grande porte du bonheur, quelques souvenirs lui frolerent l'esprit , surtout une danse qu'il avait fait avec elle un soir en taverne ... un souvenir qui est resté et restera à jamais gravé dans son coeur... La voici maiontenant dans sa robe de mariée plus belle que jamais , c'est avec un coeur joyeux et fierté infinie qu'il va assister à cette grande grande cérémonie , impatient qu'elle se termine pour aller féliciter les nouveaux mariés ...

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Signature en construction ^^

Liuna

Liuna montait les marches de la cathédrale, souriante à l'idée qu'elle allait bientôt pouvoir être baptisée.

Elle venait à la rencontre de Dame Bourrike pour essayer de fixer une date avec elle car son retour au portugal approchait à grand pas.

La jeune femme poussa doucement les lourdes portes et les yeux encore éboulis par le soleil de dehors, elle mit du temps à réaliser qu'elle tombait en pleine cérémonie de mariage.

Légèrement confuse bien qu'elle n'avait pas fait grand bruit, elle s'installa sur un banc et attendit patiemment la fin.

Dame Bourrike était là ainsi pourrait-elle lui parler.
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Faross

Faross écouta fleur parler.Il lui caressa tendrement le visage de la main puis prit la parole.

Il etait vrai que nous avons vécu des moments forts,des moments de souffrances et de bonheur.et c'est de la que sont nés nos sentiments, sinceres, profonds, indestructibles.

Puis regardant sa bien aimée.

Ton doux regard m'est apparu
Un matin ou je ne m'aimais plus
Cela fait bien longtemps maintenant
Et je benie ce doux moment
Puis tu t'es donnée sincerement à moi
Mettant tous mes sens en émoi
Ce poeme juste pour te remercier
De ta présence, de ton amour, d'exister
Je ne veux que ton bonheur mon ange
et en aucun cas ne veux que tu changes
Mes bras et mon ame seront toujours la
pour te porter quand cela n'ira pas
Je veux ce jour que tu deviennes ma femme
de tout mon corps, de toute mon ame

Je t'aime.

Je renouvelle donc devant vous toutes et tous, devant le Très-Haut mes voeux de prendre Fleur comme légitime épouse.
Je lui promets fidélité, loyauté, secours et assistance en toute circonstance et tout au long de notre vie. Je m'engage devant vous à ce nous assurions à nous deux la direction morale et matérielle de notre famille au sein de la vie commune et de nous protéger et éduquer du mieux que nous le pourrons notre progéniture.

Puis Faross regarda sa douce et caressa tendrement sa main

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Vever

mais de rien marainne qu'on soit tous la pour feter cette evenemnt important de la vie
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Bourrike

les futurs époux ayant confirmé leurs voeux, l'archidiacre reprit poursuivit par une lecture du livre des vertus qui, selon ellen représentait le mieux l'engagement pris lors des épousailles.

Citation:

En ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.

Lecture suivie d'un instant de silence, afin de faire comprendre aux auditeurs que ce qui suit n'est plus de la lecture mais les commentaires, adressés tout spécialement au couple qui se présente aujourd'hui devant le Très-Haut.

"Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos."

"Récitons maintenant ensemble le credo"

Le temps que tous répètent et elle fit signe à la personne porteuse des anneaux de s'approcher.
puis se tournant de nouveau vers le couple :

"A présent, devant tous ici présents et devant le Très-Haut, vous allez unir vos vies pour toujours. Le mariage entre deux personnes consentantes impose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos."

Vers elle

"Fleur, est-ce bien ainsi que tu veux vivre?"

Puis vers lui

"Faross, est-ce bien ainsi que tu veux vivre?'
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Telya

La céremonie etait trés émouvante , surtout lorsque les deux futurs époux declarérent pourquoi ils s'etaient choisis.
Mais Telya n'eut pas le loisir de se laisser submerger par l'emotion.

L'Archidiacre lui fit signe d'approcher avec les anneaux .
Elle se leva , prenant garde de tenir le coussin bien droit de peur qu'un des anneaux d'or ne roule au sol et que l'on soit obligé d'interrompre la cérémonie pour le chercher.

C'etait un cauchemar qu'elle avait fait la veille et elle en frémissait encore . C'est donc avec précaution qu'elle avança jusqu'à l'autel.
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Vever

tro belle cette cérémonie
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Ptitefleur2006

Fleur écouta attentivement Monseigneur Bourrike et récita le credo en choeur avec tous ceux présents en la Cathédrale.

L'archidiacre fit signe ensuite à Telya de s'approcher avec les anneaux.
Au moment où Monseigneur Bourrike lui demanda si elle souhaitait vivre ainsi selon les écrits d'Aristote sur le mariage.

Fleur répondit sans hésiter, prenant soin de plonger son regard empli d'amour dans les yeux de son fiancé :

"Oui je le veux!"

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Faross

Faross se retourna legerement vers Fleur. son regard croisa celui de sa tendre et ce qu'il y lu le remplit de bonheur.

'' Oui, je le veux!''

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Ptitefleur2006

Fleur entendit son charmant fiancé prononcer les paroles magiques à son coeur. Le bonheur total l'immergea... avant qu'elle ne puisse se retenir à quoi que ce soit, de se rendre compte de quoi que ce soit, elle sentit le sol se dérober sous elle... l'émotion était si intense... pourtant, elle sentit un bras solide la retenir...

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Bourrike

et l'archidiacre de reprendre

"Je vous déclare donc..."

Lorsque ...pfiou, le couple vient de se réduire à une seule personne, la deuxième se trouvant dans une situation peu confortable.

Le temps pour Bourrike de s'assurer que c'est bien réel, que la fatigue ne lui donne pas d'illusions d'optique, puis son regard qui se porte sur le futur époux, attendant de lui une réaction qui semble avoir des difficultés à venir.

Les pensées qui s'entremêlent : l'eau du bénitier? pas l'eau du bénitier? une naissance à venir? une claque? non! ben alors, il fait quoi le fiancé?
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Vever

vever tout joyeux de ce mariage que ce mariage se déroule si bien

c'est trop beau l'amour, non
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Ikaz

La phrase tant attendue furent prononcé par les deux mariés, Bourrike les déclara alors officiellement mari et femme, les yeux d'Ikaz se mirent alors à briller de milles feux comme s'il était lui qui s'était marié il fut fou de joie et eu une immense envie de s'exprimer à haute voix combien il fut heureux pour sa sœur, il est impatient pour aller la saluer ainsi que son époux et fêter le plus beau des évènements...

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Signature en construction ^^

Caro68130

Les voeux venaient d'estre échangés et c'était plein d'émotions que j'écoutais quand soudain au moment où Monseigneur Bourrike devait les déclarer époux, la mariée semblait estre prise d'un étourdissement ? malaise ?

Que faire ? comment réagir ? m'avancer en tant que médicastre pour voir si la mariée allait bien ? ou alors peut-estre que ce n'était que le coup de l'émotion et qu'elle se reprendrait alors que je serai en train de courir dans dans l'église ? à cet instant je ne savais que faire ? j'hésitais
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En cours de changements

Faross

Faross sentit Fleur fléchir et d'un geste rapide et tendre , enserra sa taille et la ramena contre lui. Il regarda alors monseigneur bourrike et lui dit d'une voix calme et appaisante

Ce n'est rien mon seigneur, mon ange est aussi sensible que brave quand il le faut . c'est une femme des extremes et c'est ainsi que je l'aime, dans un instant elle ira mieux.

Il la fit asseoir pret de l'autel, prit son visage entre ses mains , effleura ses levres d'un doux baiser et lui dit

Reviens à toi mon ange, la cérémonie n'est pas finie.... je suis la....

Fleur ouvrit alors les yeux et croisa son regard

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Acar

Il ne pouvait ne rien ressentir, ayant vécu le même traitement, celui de l'amour, prenant le dessus, sur le reste et vous trainant en ce lieu de lumière, pour briller, également.

Il se mit à sourire en repensant à son propre mariage avec l'être aimée, depuis tout ce temps, et toujours à son coté, bienheureuse.

Ainsi, ils devenaient unis, devers l'Éternel, et les voir donnait grand sourire à toute l'assemblée.

Il serra la main de son espousée...
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Telya

Tout le monde se réjouissait pour Fleur et Faross. Soudain Fleur sembla se trouvait mal. Telya eut un mouvement pour la retenir mais son époux , rapide comme l'eclair , la rattrapat et la serra contre lui .

L'emotion etait sans doute trop forte et elle même , se souvint comme elle tremblait le jour de ses epousailles.
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Faross

Fleur se releva tout doucement, aidée et soutenue par les bras de son aimé. Elle posa alors sa tete contre son épaule, son doux et si beau visage rayonnait.

Faross regarda alors monseigneur bourrike et dit:

Vous pouvez continuer monseigneur, la douce princesse fleur que je vais prendre pour épouse a repris ses esprits et j'aime à voir son doux regard nous montrant son bonheur.

Faross déposa un tendre baiser sur son front puis, serrant un peu plus Fleur contre lui, remercia alors telya du regard pour sa présence, et attendit que monseigneur reprenne la parole

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Loupameth

Loupameth qui regardait la scène compris tout de suite le pourquoi de l'évanouissement , il comprenait les raison penser donc ce n'est pas rien un mariage , prendre un engagement à vie c'est pas une mince affaire sa vous remue l'intérieure .
Etant persuadé que ce n'était que passager il ce mit à pensée , lui aussi ,dans quelques mois il ce présenterait a l'église avec sa tendre et douce aimé pour faire le même engagement ,il soupir et attend ce grand moment qui sans nul doute sera la aussi très fort en émotions .
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Damejeanne

Damejeanne vient d'arriver à Tarbes. Elle n'aime guère trainer en taverne, seule et décide donc de faire le tour de la ville.
Son instinct la pousse à visiter la cathédrale. Son amie Bourrike est archidiacre de la belle ville et elle le sait, peut être va t elle avoir l'occasion de la revoir ?

Comme si le ciel répondait à ses voeux, l'église est remplie et là, au pied de l'autel, un jeune couple très ému échange des voeux devant une archidacre probablement un peu surprise de s'entendre nommer "monseigneur"
Jeanne ne peux s'empêcher d'émettre un petit gloussement amusé aussitôt stoppé par le regard furibond que lui lance l'homme auprès duquel elle vient de se glisser espérant prendre part à la cérémonie.
Elle murmure un petit "pardon..mais cet archidiacre est... une femme à en juger par ses attours !"
et prend aussitôt une pose recueillie , plus de circonstance en ces lieux saints.

Ptitefleur2006

Fleur sentit le bras de Faross la retenir... L'émotion avait été trop forte. Elle rouvrit les yeux souriante et posa sa tête sur l'épaule de son fiancé. Sentant les regards tournés vers elle, elle se ressaisit au comble du bonheur et adressa ces quelques mots.

Mes chers amis, ce n'est rien, juste une petite faiblesse dûe à la grande émotion que me procure la joie de devenir la femme de cet homme merveilleux. J'avoue que si un plus grand bonheur devait arriver, je ne saurai à quoi il ressemble... tant cet instant présent est magique pour moi.

Puis se tournant vers l'archidiacre, Fleur continua :

Monseigneur, je suis désolée de vous avoir fait des frayeurs, mais je me sens beaucoup mieux, vous pouvez continuer.

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Bourrike

La cérémonie pouvait donc reprendre.

Continuant la phrase interrompue :

"Maintenant, par les pouvoirs qui me sont conférés par la Sainte Eglise Aristotélicienne, je fais de vous mari et femme. Puisse votre amour rester pur de toute tentation extérieure, jusqu’à ce que Dieu vous rappelle à Lui. Que Dieu vous bénisse !"

Se tournant vers Dame Telya :

"Je Te demande, à Toi notre créateur de bénir à travers moi, ces alliances, signes du lien qui unira Fleur et Faross à travers le temps et la matière dans un même mouvement parfait vers l’Amitié vraie."

Le temps que l'échange des anneaux se fasse, la mariée semblait de plus en plus radieuse.

Un dernier signe de bénédiction puis "Vous pouvez aller en paix, je vous invite tous à venir féliciter les jeunes époux"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Faross

Faross prit alors tendrement le visage de son épouse dans ses mains et déposa un doux baiser sur ses levres.

Il se sentait bien, heureux d'etre pres d'elle .

''Merci pour cette cérémonie monseigneur, c'était parfait !''

Et merci à vous toutes et tous de votre présence, cela nous touche au plus haut point !

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Vever

mais de rien
c'etais une tre belle ceromonie
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Ptitefleur2006

Fleur était radieuse, nul doute ne se faisait dans l'esprit de tous ceux présents en la Cathédrale. Aux mots prononcés par Monseigneur Bourrike les déclarant mari et femme et après l'échange des joncs, Faross vint déposer un baiser sur ses lèvres.
Elle lui murmura : "Je t'aime mon ange..."

Se tournant vers l'assistance :

Mes chers amis, je vous remercie une nouvelle fois de votre présence ici, en ce jour magnifique, empli d'amour et de joie. Cela nous touche énormément. Nous vous convions tous en notre demeure pour continuer cette fête.
Monseigneur, je vous remercie de nous avoir uni. Nous ne manquerons pas à nos devoirs aristotéliciens ^^.

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Clemenceii

[En d'autre temps mais même lieu]

Une idée venue comme ça...qui la turlupine depuis un moment et aujourd'hui, Clémence a décidé d'enfin se rendre à la Cathédrale pour obtenir une réponse.
La Cathédrale, c'est plus important qu'une Eglise...donc il doit forcement y avoir quelqu'un tout le temps et pas seulement pour les cérémonie...enfin c'est ce qu'elle pense et espère.
Arrivée, la petite baisse la tête et va s'assoir un instant sur les bancs et récite le crédo avant de prier pour sa famille -éparpillé et pour certain sans nouvelle depuis des mois- comme chaque soir et puis un peu pour le Béarn aussi qui semble aller de pire en pire chaque jours.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Je précise...cette action n'a pas lieu en même temps que le mariage, pour cela que j'ai balisé au début.

Bon jeu!

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11 ans, rebelle et fière...tout pour plaire.

Bourrike

tentative de réponse à Clem, je supprimerai s'il faut

L'archidiacre était dans la chapelle latérale, plongée dans une méditation reposante en ces périodes troublées.
Sortant de son état mi-léthargique, elle aperçoit une silhouette miniature sur un des bancs dans la nef.

S'approchant, elle reconnaît la demoiselle qui fut la première à se rappeler de la nécessité de discuter du concordat, damoiselle Clémence donc.

Sans bruit, aussi furtive que possible, elle s'approche et s'assied à l'autre bout du banc, la laissant prier tranquille, prenant le temps d'attendre, chose qu'elle fait d'ailleurs remarquablement bien, la patience étant la première chose enseignée dans le clergé.
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Clemenceii

Alors en pleine réflexion, sur une idée qui vient de lui tombé dessus en rapport à une politique économique -oui aucun rapport avec le reste, mais peut-être une inspiration soufflé par le Très Haut?- Clémence ne vit pas de suite Bourrike.
Les front plissé de concentrations, elle tourne et retourne l'idée dans sa tête avant de lever les yeux et voir l'autre bout du banc du coin de l'oeil.

Adishatz! un large sourire..à croire qu'elle ne s'est pas trompé et qu'il y a toujours quelqu'un dans la cathédrale de Tarbes

Vous allez bien? se laisse aller contre le banc, après tout du temps elle en a, elle est venu sur Tarbes pour plusieurs jours, d'abord la cathédrale ensuite prendre son courage à deux mains et aller voir sa mère...3 semaines qu'elles n'ont plus aucun contact. Coupure étrange...incompréhension...peur des retrouvailles, mais il lui faut savoir.

Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais j'ai apporter deux modifications au concordat que Varden à rédiger et la proposition a été faite à notre Evêque...j'espère que nous arriverons à achever ceci...et surtout que cela plaise aux Béarnais.

Ce n'est pas la raison de sa venu, mais il lui semble normal d'informer la personne avec qui elle a relancé la discussion du concordat...Surtout sur certains points important.

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11 ans, rebelle et fière...tout pour plaire.

Bourrike

avec Clémence

L'enfant semble vraiment absorbée dans ses pensées. Ou alors le credo la passionne, mais peu de chances que ce soit cela, le texte a beau avoir fait l'objet de plusieurs versions commentées, rares sont les fidèles qui connaissent celles-ci.

"Bien le bonjour ma petite soeur"

Vi, l'archidiacre ne peut s'empêcher de se dire que même si la religion les fait soeurs, là, la différence d'âge n'en est pas moins présente.

Citation:

Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais j'ai apporter deux modifications au concordat que Varden à rédiger et la proposition a été faite à notre Evêque...j'espère que nous arriverons à achever ceci...et surtout que cela plaise aux Béarnais.

"Ah, et bien tant mieux si cela permet de faire avancer les choses, tant mieux, espérons que ce sera une bonne base pour donner naissance à une relation fructueuse entre l'église et le comté"

Instant de recueillement commun, puis :
"mais, je suppose que ce n'est pas pour m'annoncer cela que te voilà ?"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Clemenceii

Ah, et bien tant mieux si cela permet de faire avancer les choses, tant mieux, espérons que ce sera une bonne base pour donner naissance à une relation fructueuse entre l'église et le comté

Ce qu'espère bien la petite également...l'église est bien trop prise pour une entreprise à baptême et mariage à son goût..alors qu'il y a bien plus derrière tout ceci.
Marquer l'alliance entre l'Aristotélicisme et la Comté d'un concordat arrivera peut-être à changer tout ceci.

mais, je suppose que ce n'est pas pour m'annoncer cela que te voilà ?

Non, en effet....
met un moment à chercher comment elle pourrait dire et finit par se jeter à l'eau

J'aimerai savoir si à part la pastorale et les séminaires, il existe autre chose pour étudier et comprendre l'Aristotélicisme.
J'ai bien lu certaine partie du livre des Vertus, comme le Livre 2 qui parle de la vie d'Aristote et de Christos, mais il y a des fois je ne comprend pas ce qu'il faut comprendre. Les personnes qui pourraient m'aider ne vivent pas avec moi...pensant à son père et son frère, baisse légèrement la tête, une pensée pour eux avant de poursuivre sur un ton plus énergique, la curiosité et soif de connaissance prenant le dessus sur sa tristesse -et puis elle aura tout le temps d'être triste plus tard.

Et puis les séminaires tout le monde peut y aller? Même moi?

Et puis aussi, c'est difficile la voix de l'Eglise? Enfin...les cours sont difficile à comprendre et retenir?

Et puis....petite hésitation...il existe quelque chose pour les poney? Je veux dire...c'est Dieu qui a crée la Vie...cette même Vie qui a pris différente forme dont les chevaux et sans eux le travail et le voyage des Hommes serait bien difficile et puis....j'aime bien mon poney, il est gentil, je lui raconte tout...mais les chevaux est ce qu'ils peuvent être possédé par la bête Sans nom? Parce que j'ai pas envi que mon poney le soit et j'aimerai le protéger si il y a un moyen.

Bien que la question puisse paraitre étrange, la jeune fille est des plus sérieuse. Des rumeurs peu rassurante se font entendre un peu partout et elle n'a pas envi de perdre son confident et ami de tout les jours. Qui sait? Peut-être est ce lui qui est à l'origine de tout ce qui c'est produit dans sa famille depuis avril...

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11 ans, rebelle et fière...tout pour plaire.

Bourrike

Un instant de réflexion quant au poney. parce qu'il semble être le plus important dans la réflexion de la petite. Un peu comme Jules pour elle, sauf que Jules est un ours. Son ours.

"Si tu veux étudier, tu peux bien sur choisir un séminaire, tu peux même choisir le même que moi et nous pourrions y réfléchir ensemble, ici, dès mon retour. Je t'aiderai pour tes devoirs si tu le veux."

Vite, vite, la réflexion sur le poney, comment lui expliquer?

"Quant à ton poney, il faut que tu saches que, lors de la création, Dieu a élu la race humaine parce qu'elle était le plus digne d'être élue. il lui a demandé de l'aimer, ce qu'il n'a pas demandé aux poneys parce qu'ils étaient, comment dire...."

Difficulté immense, pas question d'oser lui dire que les poneys ont parfois leurs cousins qui finissent en repas pour les autres animaux, ou même pour la race élue de Dieu.

"enfin, je ne crois pas que la beste sans nom puisse s'intéresser non plus à ton poney, même et surtout s'il est gentil, tu sais. Les gentils n'intéressent pas la bête sans nom. Lui il choisit les véhéments, les méchants, ceux qui lui ressemblent en fait"

Voilà, le pieux mensonge a réussi à se former. La petite devrait être rassurée, et le dogme rien qu'un peu contourné.
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Clemenceii

Clémence écoute sérieusement tout ceci et voit bien les quelques difficulté que les questions ont apporté. Donc son poney ne crains rien, puisqu'il est gentil....pourtant.

Vous dites que les gentils ne craignent rien...mais il y a parfois des gentils personnes qui font des méchantes choses. Et puis, tout le monde a des vices, puisque personne n'est parfait, mais nous devons tous tendre vers la perfection...donc tout le monde est un peu méchant non?
Du coup, même un gentil peut intéressé la Bête sans nom.

Mais par contre, la Bête sans nom s'intéresse seulement à ceux que le Très Haut à élu...c'est pour ca que mon poney ne l'intéressera pas?

Hop une petite aide à l'archidiacre sans le faire exprès, avant de poursuivre sur un ton plus enjoué.

J'aimerai bien suivre le séminaire en effet et que vous m'aidiez à tout comprendre. Il se passe où? Il commence quand?

Large sourire sur le visage de la jeune fille...apprendre, toujours un peu plus, marchant sur les traces de son père et son frère.

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11 ans, rebelle et fière...tout pour plaire.

Eriadan

Alors que la journée par laquelle Eriadan avait fait ses faux aveux et fut confronté à nombre de Béarnais survoltés s'acheva, il décida d'aller passer la nuit s'apaiser et prier dans le calme et la fraicheur de la cathédrale de Tarbes où il était allé à cheval galopant afin de se changer les idées.
Il laissa le cheval à l'extérieur puis entra alors, déposant son épée sur le réceptacle prévu à cet effet avant de se signer avec l'eau bénite.
Eriadan leva alors les yeux vers les impressionnantes voûtes de la Cathédrale, observant avec une admiration apaisante les vitraux par lesquels filtraient la lumière du crépuscule provoquant un jet de lumières colorées dans cette ambiance sombre et taciturne.

Eriadan se dirigea alors vers les bancs des premières rangées et s'y installa devant, genoux contre la planche de bois et joignant alors ses mains, yeux rivés sur le vitrail principal, représentant le Très-Haut dans une judicieuse matérialisation divine.

Se concentrant alors sur les détails de sa journée, Eriadan ferma les yeux et commença à chuchoter sa prière en cette fin de journée, en ce début de nuit...

Je confesse à Dieu Tout Puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup pêché,
en pensée, en paroles, en actions.

Je supplie tous les Saints
Et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.

Que le Très-Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Eriadan resta dans cette position sans un mouvement, concentré, apaisé, réfléchissant, récitant intérieurement, et se lavant peu à peu, de cette journée épuisante.

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Braveheart

Bien qu’il eût affiché a la hâte sur la grande halle de Pau, William avait tout de même pensé à faire parvenir une annonce à l’évêque de Tarbes, avec un petit mot.

Citation:

Monseigneur,

veuillez trouver ci-jointe l’annonce de nos fiançailles. Je l’ai affiché hier sur la grande halle de Pau, mais la savoir également afficher aux portes de votre église ne peut sans doute pas nuire.

Salutations.

William Wallace.

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Loupameth

Avant de reprendre le chemin du retour Loupameth , pose le parchemin sur la porte de la Cathédrale .

Puis monte sur son cheval et part au galop retrouvé sa cher fiancée .

Pour poster cliquer sur ce lien.

http://archeveche-auch-rr.forumpro.fr/la-cathdrale-de-tarbes-f21/16-07-1457-fiancailles-de-cathdu80-et-de-loupameth-de-chamloup-t1076.htm
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Braveheart

--Argheim

Et tache de ne pas te tromper dans les couleurs.

--Semiramis

Lara60

Navigius

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Lara60

Faster83

Varden

-> A modifier
Grand Audiencier
Comte d'Ossau

Caro68130

En cours de changements

Mikiss

Quasi

Mikiss

Braveheart

Faster83

Vanyel

en cours de modification

Navigius

Le prélat italien avait descendu l'allée quelques minutes avant l'arrivée de la mariée, rassurant le futur époux sur le bon déroulement de la cérémonie. Tout avait en effet été préparé avec minutie, aucun détails imprévu n'allait perturber la cérémonie. C'est donc avec enthousiasme qu'il débuta par son discour d'ouverture.

- Fratelli e Sorelle! Frères et soeurs. Nous voici ici assemblée en cette magnifique Cathédrale, sise en la ville de Tarbes afin de célébrer et de festoyer, bref, afin de nous donner l'amour en partage, en l'honneur du Très-Haut ainsi qu'en l'honneur de nos amis, Dame Quasi et messire Braveheart. Comme vous le savez tous, puisque présent en cette cérémonie, ces deux estimées personnes désirent unir leurs vies et leurs destinées devant le Très-Haut ainsi que vous tous. Nous célébrons donc aujourd'hui l'essence du message d'Aristote, c'est à dire, l'amour. Un amour infini, puissant et débordant, qui saura à la fois leur procurer du bonheur, attirer sur eux la félicité, et rayonner en exemple pour nous tous. Sans plus tarder, débutons cette célébration par les recommandations de prières.

L'italien s'avança vers un petit pupitre sur lequel était déposé un petit feuillet, finement relié et enluminé. L'on pouvait lire sur la couverture que le parchemin avait été rédigé pour le mariage d'un certain Cristoforo Di Carrenza, il y a de celà plusieurs années. Ouvrant le petit pamphlet avec soins, le prélat débuta les intentions de prières.

- À la fin de chaque intention de prière, répétez en coeur : "Seigneur, éclaire nous de ta lumière"
- Afin que notre Roy, Sa Très Aristotélicienne Majesté Lévan III, puisse vivre des jours sereins, prospères et heureux, Seigneur, éclaire-nous de ta lumière.
- Afin que nos fils et filles déployés sous l'oriflamme puissent rentrer dans leurs foyers et familles sains et saufs, Seigneur, éclaire-nous de ta lumière.
- Afin que par ton exemple, nous construisions un monde meilleur et plus juste pour tous, Seigneur, éclaire-nous de ta lumière.
- Afin que nos amis, Dame Quasi et Messire Braveheart puissent vivre des joueurs heureux et nombreux, emplis de joie et de bonheur, Seigneur, éclaire-nous de ta lumière.

L'italien marqua une pose avant de se diriger vers les deux futurs époux, qui furent invités à s'agenouillés sur les pries-dieux disposés au centre de l'allée, vénérables meubles datant d'une autre époque, authentiques instrument de torture. Il leur sourit de façon bienveillante avant de prendre son faciès sérieux, celui des sermons et de la morale.

- Quasi et Braveheart. Vous désirez aujourd'hui lier vos destinées par le mariage sous le regard bienveillant de notre père, le Très-Saint Seigneur. Il s'agit d'une nouvelle vie qui débute pour vous, vous n'en n'êtes qu'aux premiers balbutiements de la plus grande aventure de votre vie. Ce que vous êtes appelés à devenir, mari et femme, est une complémentarité bien plus grande que la somme de vos deux êtres. Ainsi donc, vous devez faire la paix avec votre passé, afin de pouvoir embrasser les nouvelles opportunités de la vie conjugale. Ainsi donc, il nous faut confesser vos âmes, afin de les rendre pures à la présence de Dieu.

- Quasi, regrettes-tu sincèrement tout tes péchés, ceux commis comme ceux futurs, afin d'entrer en saint mariage avec Braveheart?

- Braveheart, regrettes-tu sincèrement tout tes péchés, ceux commis comme ceux futurs, afin d'entrer en saint mariage avec Quasi?

Laissant un petit répit aux époux pour répondre, l'italien se fit à l'écoute de leurs paroles, tout en parcourant la foule du regard, cherchant furtivement toute trace de tonnelet dissimulé pour alléger sa cérémonie.

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Leslou_1

[dans l'appartement]

Leslou attend son fiancé qui devait venir la rejoindre pour participer aux noces de son amie, mais elle va devoir y aller seule. Son fiancé n'a pu venir, d'ailleurs, elle se demande même si son mariage aura bien lieu, dans quelques jours ... Depuis déjà quelques jours elle se pose de nombreuses questions, mais en aucun cas elle laisse paraitre quoi que se soit. Elle n'a pas envie de faire part de ses doutes à quiconque.

Elle se prépare donc un peu triste, et prend la direction de l'église.

[avant la cérémonie]

Elle entre dans l'édifice, les pensées tournées vers Leconteur. Elle aurait aimé entrer dans cette église, à ses bras, cela aurait été un peu comme une répétition, mais la vie est ainsi faite. Elle s'avance et s'installe discrètement sur un banc aux côté de Faster. Elle le salut, et salut aussi Varden assis juste à côté. Elle se tourne vers l'autel et aperçoit Quasi, merveilleusement belle, radieuse et lui sourit. Quelle merveilleuse journée que l'union de ses amis. Quelle merveilleuse journée de la savoir enfin heureuse, elle le mérite tant. Et lui n'est pas mal non plus.

[pendant la cérémonie]

Elle écoute attentivement, et sort même un mouchoir de son petit sac, elle sent les larmes de joies monter.

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Godevin

j'étais désolé d'arriver en retard au mariage de quasi ma chère cousine avec messire braveheart n'ayant pu assister a l'office religieuse je me joignais aux festivités qui battaient son plein et voyant ma cousine lui souhaitait beaucoup de bonheur ainsi qu'a messire braveheart et trinquait avec eux

Quasi

"Quasi, regrettes-tu sincèrement tout tes péchés, ceux commis comme ceux futurs, afin d'entrer en saint mariage avec Braveheart?"

En une seule question le prélat avait déjà semé le trouble. Avait elle des regrets ou bien seulement des remords..souvent elle s'était posé la question.

Quand il y a des regrets on répare ses erreurs. Ou bien elles n'en sont pas et les regrets n'ont plus lieu d'être.

Les remords eux vous rongent insidieusement. Regrettait elle d'être devant celui qu'elle considérait plus qu'une connaissance,Navigius, enceinte de façon ostensible? non..pourtant elle, la diaconesse, avait péché.

Regrettait elle ses actes ou pensées cachés? non...regrettait elle le mensonge qui suivrait pour que le mariage se déroule comme il le devait? oui un peu..envie d'être sincère mais peur de choquer...elle mentirait, enfin..elle esquiverait la question.

"Quasi, regrettes-tu sincèrement tout tes péchés, ceux commis comme ceux futurs, afin d'entrer en saint mariage avec Braveheart?"

Elle baisse la tête avant de répondre..repense à leur mariage celtique, un mariage sans contrainte, un mariage fait uniquement de réalité, de vérité.

Oui Mon père, Monseigneur. Je regrette les péchés que je n'ai pas réparé par une autre action et je regrette ceux à venir si jamais ils viennent un jour. Je veillerai à ce qu'il ne m'atteignent plus.

Mots sans sens aucun..on ne commet que ce que l'on souhaite, ainsi était la liberté, leur liberté. Ils avaient choisi de s'aimer en toute liberté et ils respecteraient cela, se respecteraient l'un l'autre.

Braveheart

William s’agenouilla sur le prie-dieu qui n’était guère récent, se demandant si celui-ci allait tenir le choc, ou s’il ne valait pas mieux s’agenouiller carrément par terre, avant qu’il ne s’effondre. L’objet ayant tout de même émit quelques craquements sinistres. Mais la pierre est froide. Le prélat avait ouvert la cérémonie, et il allait falloir se conformer a quelqu’une de ses exigences. William commença donc par la première, tout en s’accrochant au prie-dieu vacillant.

Je regrette sincèrement tous mes péchés, ceux commis comme ceux futurs afin d’entrer en saint mariage avec Quasi.

Enfin certainement pas d’avoir forniqué avec Quasi, et de l’avoir engrossé.Pensa t'il.
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Maltea

[Dans une auberge béarnaise]

Le voyage avait été long pour arriver jusqu’au Béarn et surtout mouvementé. Le couple ducal avait dû rester un peu plus longtemps dans le comté de Toulouse afin de régler une stupide histoire due à l’incompétence du conseil en place. Maltea avait décidé de reprendre la route rapidement. En effet, une missive lui était parvenue du Béarn, Quasi se mariait…. Etrange qu’elle se marie aussi rapidement, serait elle grosse de son amant ? Maltea le découvrirait bien assez tôt… A moins que ce ne soit le batard de son époux qu’elle portait en son sein… La duchesse de Brienne secoua la tête violement. Voilà que sa jalousie remontait à la surface alors qu’au fond d’elle, elle savait que jamais son amie et son époux n’avaient eu de relation autre qu’amicale. Décidément, dès qu’elle pensait à quasi, c’était toujours la même histoire.
De toute façon, il n’aurait pu en être autrement. Son époux et elles étaient inséparables, de plus elle le fatiguait assez pour qu’il ne puisse honorer d’autres femmes qu’elle. On lui avait toujours dit que pour garder un homme il fallait être douée en cuisine et avoir un savoir faire érotique. La cuisine étant chez elle une catastrophe, elle avait donc réunis tous ses efforts pour le satisfaire sur la couche, ou ailleurs d’ailleurs… et d’après ce qu’elle pouvait constater, cela fonctionnait on ne peut mieux.

Tout en se préparant pour la cérémonie, elle hésitait encore entre la robe noire, la bleue ou encore la rouge.

Et pourquoi pas la blanche ? Enfin c’est tout de même risqué, une tâche est si vite arrivée…
Tu comptes provoquer un de mes anciens amants en duel ? Non pas que cela me dérange mais en le sachant bien avant je pourrais choisir en ayant toutes les données en main, la couleur de la robe que je compte mettre pour la cérémonie. Remarque tu as de la chance, il ne doit y en avoir qu’un tout au plus deux donc je pense que ça ira.
Ceci dit je vais surement mettre la noire. Ce n’est pas une couleur très gaie pour un mariage mais j’aime cette couleur. Ou je peux mettre la bleue, pour te faire plaisir. Oui voilà je vais mettre la bleue, même si cette couleur ne plait guère vu qu’elle est associée à feu ton père, mais tant pis. Que ne ferais-je pour toi !

Elle le regarda, tentant de garder son sérieux. Elle était euphorique ce jour, ne sachant trop pourquoi. La joie de revoir de vieux amis qui lui manquait peut-être, ou encore de savoir que sa suzeraine était elle aussi dans ce comté. Et puis Quasi qui se mariait c’était tout un évènement. Pas autant que pour elle mais pas loin. Elle avait hâte d’assister à la cérémonie, cela pourrait être marrant…

Une fois vêtue, elle quitta l’auberge avec son époux et prirent la direction de la cathédrale sainte-nitouche. Elle ne put retenir un gloussement en se souvenant d’une discussion au conseil champenois. Bourmont avait choisi de fêter la duchesse de Brienne le jour de la fête de cette sainte. Donc cette cathédrale était un peu la sienne et son amie avait bien choisi l’endroit.
Le seul petit bémol était le futur époux. Il plaisait à son époux mais pas trop à elle. Rien à voir avec la vie sentimentale mouvementée de Quasi mais plutôt de sa suffisance. Maltea avait horreur qu’on essaie de la ridiculiser et le « lordy » avait essayé plus d’une fois. Ce n’était pas pour lui déplaire, au moins elle pouvait le piquer impunément, elle avait des excuses.

Elle sourit en pensant à sa première rencontre en Champagne avec le fiancé. Elle n’avait pas été très gentille, mais bon, elle ne l’était que très rarement avec les inconnus et même avec ses amis de toute façon…

[La Cathédrale]

Le couple pénétra dans la cathédrale. Elle remarqua l’officiant se disant qu’elle l’avait vu quelque part mais ne se souvenant plus où, elle passa rapidement à autre chose.
Elle regarda autour d’elle et vit sa pestouille. Elle avait toujours sa carrure de bucheronne, pour les genoux, Maltea ne pouvait juger s’ils étaient toujours aussi cagneux vu la robe les recouvrant et pour les palmes lui servant de pieds, et bien là non plus, elle ne pouvait voir de si loin. Elle se promit de vérifier à la fin de la cérémonie.
Elle prit place sur un banc. La cérémonie allait commencer. Un regard à l’officiant qui prenait la parole et elle fut subjuguée en entendant quelques mots de sa langue natale. Cela faisait bien trop longtemps qu’elle n’avait plus entendu quelques mots d’italien. Elle détailla un peu plus l’archevêque… Quel dommage pour la gente féminine que cet homme ait choisi la voie de l’église, elle se dit que beaucoup devaient être en pamoison devant l’archevêque. Elle glissa son regard jusque Lara qui était témoin et se dit qu’elle allait devoir se concentrer plus que de raison. Elle connaissait suffisamment sa pestouille pour savoir qu’elle aimait ce genre d’homme. La cérémonie risquait de surprendre avait lara pour témoin et Quasi dans le rôle de la mariée…sans parler de cet homme en jupe ayant de faux airs de Macmotor. Voilà ce qui avait dû attirer Quasi. Elle avait toujours aimé les hommes en jupette.
Elle se pinça les lèvres lorsque l’officiant demanda aux futurs mariés de regretter leurs pêchés.
On allait en avoir pour des heures… elle aurait mieux fait de se confesser avant le mariage. Maltea avait fait cela et au moins n’avait plus rien à regretter sauf peut-être les nuits agitées avec son fiancé avant de se marier mais comme elle ne les avait jamais regrettée, elle n’y avait pas fait allusion lors de la cérémonie de son propre mariage.
Elle posa son regard sur Quasi et un sourire malicieux vit le jour sur ses lèvres en voyant le ventre rebondit de la future épouse, se disant qu’ils avaient eux aussi bien des pêchés à se faire pardonner, ou tout du moins à réparer avant que cela ne se voit de trop. Elle avait donc raison, la vieille Quasi (pas pu me retenir^^) attendait famille d’où l’officialisation du couple…
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Quasi

La JEUNE Quasi, enfin au yeux de certaines personnes clairvoyantes, sentait déjà que la cérémonie allait être nettement plus longue que celle dans la clairière quelques temps plus tôt.

Prendsurtoimafille, son troisième prénom, allait pouvoir intervenir à sa guise pour lui éviter tout faux pas.

L'église était immense et le nombre de leurs amis restreint. Cela lui permit de pouvoir contempler chacun d'eux avant que l'italien reprenne la parole. Elle était reconnaissante de son calme et de sa présence et s'était promis de tenir William calme.

La dernière fois, en Champagne, elle avait du éviter que la mère supérieure ne tienne compte de quelques mots flatteurs mais déplacés prononcés à la fin de son baptême.

Elle regardait ses amis, leurs amis pour la plupart, quand elle vit Maltéa et Richard présents. Un sourire vint les accueillir. Leur dernière rencontre avait été des plus mouvementé et Maltéa et son incomparable caractère avaient animés le moment.

Histoire de ne pas la chagriner mais de saluer tout de même le fils de kurt elle lui adressa un sourire et une légère révérence. Voila pour toi, Duchesse. Une révérence juste pour mon ami.

Elle savait que Maltéa ne doutait ni de son mari ni d'elle mais ne pouvait s'empêcher d'être jalouse.

Elle se retourna vers Argheim pour lui faire un clin d'œil.

Dans sa robe travaillée et retravaillée, elle espérait que le bébé n'était pas trop visible. Mais pas visible ne voulait pas dire calme et les coups qu'elle commençait à recevoir lui arrachèrent un petit cri de surprise.

Navigius

La cérémonie se déroulait à bonne allure, ce qui n'était pas pour déplaire au prélat italien. Les mariages pouvaient parfois prendre des tournures imprévues et surtout soporifiques, mais ce n'était évidemment pas le cas ici-lieu. Les deux futurs époux avaient fait preuve de contrition morale afin de faire confession, l'Archevêque pouvant lire leur attitude dans leurs regards. La confesse était toujours un moment privilégié entre les croyants et Dieu, c'est donc pourquoi l'ecclésiaste fit durer le moment un peu plus longtemps, ne doutant pas que le futur marié avait une longue vie d'histoires romanesques à se remémorer. Lorsqu'il le jugea opportun, le prêtre passa ses mains au dessus des têtes des futurs époux.

- Quasi et Braveheart. Vos coeurs et âmes sont celles de dévoués croyants, ainsi donc, nous ne saurions vous tenir rigueur de vos fautes passées ou futures. Le pardon terrestre vous est octroyé avec joie et reconnaissance, mais sachez qu'ultimement, le Très-Haut sera votre juge, et qu'il jugera votre coeur jusqu'aux tréfonds de votre âme.

D'un large signe de croix, l'absolution fut donnée et la cérémonie repris son train avec l'une des portions favorites de l'officiant. Il se tourna vers la foule assemblée, tout en mandant les époux de se relever un instant.

- Futurs époux. Vous savez que la route du mariage est emplie de joies et de peines, de bonheur et de difficulté. Afin de vous épauler et de toujours vous garder dans le droit chemin, vous avez choisis des personnes de grande qualité à vos yeux afin de témoigner pour vous de votre amour en tout temps. Que l'on appelle les témoins et plus encore, que l'on motive leur choix succinctement.

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Ricw

Richard finissait par perdre le compte des cérémonies où il s'était rendu... Mariages, fiançailles, hommages, et autres assemblées plus stupides les unes que les autres, et qui surtout, l'obligeait à se montrer, et à se montrer patient. Et puis, n'être qu'un invité, parmi tant d'autres, voilà qui ne collait guère à l'image qu'il avait de lui. S'il devait sortir parmi les gens, c'était pour qu'on le voit, lui, et pas d'autres. Et surtout pas pour que lui passe son temps à regarder d'autres qui étaient le centre d'attention.

Duc, Juge, Porte-Parole, voilà qu'elles étaient ses postes de prédilection... vu qu'il en avait terminé de manière irrémédiable avec sa carrière politique, il ne lui restait plus qu'à être seigneur majestueux de Brienne, où il pouvait décider de la vie et la mort de ses gens, pour satisfaire à ses envies.

Seule sa femme arrivait à le faire changer d'avis, ceci dit, mais elle était son égale en tout, cela facilitait les choses. Et il savait qu'elle tuerait probablement sans hésiter pour lui, tout comme cela ne le gênerait pas autre mesure de faire la même chose pour elle...

Il secoua la tête. Voila de curieuses pensées à avoir dans une église, au mariage d'une de ses amies. Car, oui, malgré tout, il avait des amis. Et les plus proches semblaient lui venir de son père, ses femmes qu'il avait réussi à captiver, et qui aujourd'hui trouvaient en sa compagnie un réconfort à sa disparition prématurée. Aylla sans doute, était de celles-là. Et donc Quasi probablement aussi.

Et celle-ci se mariait. Avec un homme qui n'avait probablement que très peu de rapport avec son père, des récits qu'il en avait entendu. Mais s'il n'avait pas le raffinement de feu Kurt, de toute évidence, il en avait la noblesse. Il l'avait remarqué, à Brienne. Son futur mari était fier, et visiblement cela comblait Quasi de joie d'avoir cette montagne de virilité à ses côtés. Il ne put s'empêcher de sourire en songeant que la personne la plus virile ici portait une jupette... Comme quoi l'habit ne faisait décidément pas le moine...

Il répondit au sourire de Quasi par une inclinaison de la tête. Il gardait d'ailleurs les yeux fixés sur le prêtre et les deux futurs mariés - ainsi que sur son épouse, bien entendu. Après tout, il ne connaissait personne par ici, et n'était pas dans les meilleures conditions de sociabilisation. Son personnage de noble hautain avait souvent du bon, dans ce genre de cérémonies : il permettait de les abréger au plus vite pour lui. Et, pour une fois, il ne devrait pas avoir d'honneur féminin à défendre. Normalement.
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Caro68130

Quasi était magnifique et le bonheur pouvait se lire sur son visage. Je n'avais pas eu l'occasion de la voir depuis fort longtemps, seuls quelques échanges par mésange et une missive m'invitant au mariage. Je la savais heureuse là était pour moi l'essentiel.

Tout en suivant la cérémonie je jetais un discret regard circulaire aux bancs alentours. Mon ami Faster ne semblait pas aller au mieux et l'arrivée de Mikiss n'étonnait pas quand on la connaissait. Varden et Vanyel semblaient aux anges. Normal quand on est jeunes mariés. Lara, mon amie Lara, aurai-je un jour l'occasion de la voir à la place de Quasi ? léger sourire... avec Lara on ne sait jamais....

Un regard vers mon opposé pour y faire de gros yeux. Je ne m'attendais pas à voir Maltea et le fils de Kurt... quoi que en y songeant je savais le couple relativement proche des Brienne. Etrange impression de revoir ces personnes ici dans le Bearn.

Reposant mon regard sur Monseigneur Navigius je me concentrais à nouveau sur la cérémonie
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En cours de changements

Quasi

"Que l'on appelle les témoins et plus encore, que l'on motive leur choix succinctement.

Ou le prêtre était taquin à l'extrême où il ne connaissait pas les rapports qui unissaient la Peste à la jeune, si si j'insiste encore, mariée.

Succinctement serait le mot clé. Elle s'était enfin redressée et ses genoux lui hurlaient une désapprobation certaine. Enfin debout elle regardait Mikiss , imaginant sa jubilation aux mots de Navigius.

Elle ferma les yeux un instant, invitant son bébé à naitre de suite pour lui éviter de devoir dire la vérité sur Mikiss et leur parcours ensemble. Mais bien sur, aussi têtu que son père, bébé n'en fit rien. Ça devait bien l'amuser lui aussi.

Bon deux phrases et ça devrait suffire. Elle se tourna vers Mikiss et lui fit un sourire assez grand pour l'agacer une bonne semaine. Et son amie avait bien besoin de ça depuis que son époux avait décidé qu'
Idiot serait un bon second prénom pour lui.

J'ai choisi Mikiss , Dame d'Adibou ou..de l'autre bout, on sait plus trop. Pourquoi elle plutôt qu'une autre? parce que j'avais espoir de lui faire porter une robe assez ridi..jolie pour qu'on en parle un bon mois.

Quasi sourit en pensant que Telya n'aimerait pas sa façon de faire. Un nouveau regard sur l'assistance lui permit de constater l'absence de son amie. Elle l'avait pourtant invité..elle serait en retard donc.

Ah oui, je l'ai choisi aussi parce que..Lara était déjà prise.

Elle ne quittait pas Mikiss des yeux.

Et accessoirement parce qu'elle est le témoin de ma vie depuis de longues années. A se demander si elle ne passe pas son temps à me suivre d'ailleurs.

Enfin, pour conclure ces deux..trois..enfin quelques phrases, je dirais qu'il n'y a pas meilleur témoin que sa meilleure ennemie. Elle sera obligée de venir me rappeler ce jour si jamais je venais à l'oublier. Et rien que pour cela...

Discrètement elle prit la main de Mikiss un instant avant de la lâcher.

Oli13

En retard, toujours en retard...pourtant le coq avait chanté fort tôt en cette magnifique journée...clopin clopan oli entra en la cathédrale, ou la cérémonie avait déjà commencée.

cherchant du regard quelques visages connu, oli tenta de se frayer un chemin au travers de la foules qui faute de place étaient restés debout...

plusieurs personalités bien connue se trouvaient là, mais il cherchait autre chose...

enfin son visage s'illumina quand il l'aperçut enfin... caro, toujours aussi resplendissante, se tenait non loin de là... il s'approcha aussi discretement que possible, pour ne point troubler la cérémonie, lui prit la main et lui dit à mi voix

mes respects madame! je suis à la recherche de ma douce... auriez vous pu l'appercevoir tantot?

sans attendre de réponse, il lui déposa un baiser dans le cou, en lui prenant le bras.....

se reprenant pour ne point géner la cérémonie, il regarda le couple qui s'unissait devant aristote, et pouvait sentir le bonheur qui emmanait de leur voeux...
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Caro68130

Sourire aux lèvres, Quasi savait toujours trouver les mots qui illumineraient sans aucun doute un visage fermé... soudain une main se glisse dans la mienne, des mots susurés à l'oreille.

Tournant légèrement ma teste je sentais mon coeur se mettre à battre tel un cheval au galop et un sourire de bonheur arborer mon visage. Serrant ma main dans la sienne au moment du baiser, serrant si fort de peur que la seconde d'après il ne se soit volatilisé

Bien le bonjour... votre douce ? je ne sais trop, fort possible... je vous aiderai à la chercher à la fin de la cérémonie si vous voulez...

Petit clin d'oeil, avant de me concentrer à nouveau sur la cérémonie.. quelle joie de l'avoir à mes côtés.. je n'avais osé espérer..
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En cours de changements

Mikiss

Cet homme, ce prêtre quel messire admirable
Jamais Mikiss n’aurait pensé à cela pour agacer son ennemie
Elle allait devoir expliquer le pourquoi de son choix
Mikiss dévisageait Quasi avec un large sourire
Mais hélas celle-ci fit de même
Qu’allait-elle lui dire, qui la rende si joyeuse
Mikiss écouta parler l’agaçante

Dame D’Abidos, elle l’avait fait exprès

Une robe ridicule ????Mikiss sourit pensant à celle qu’elle a faillit porter

Et Lara déjà prise, ben cela elle lui rappellerait à l’occasion que Lara fut prise par son époux

Témoin de sa vie …..

Une multitude d’images, de claquement de voix et de portes, de plaisirs partagés d’insulte échangés ...revinrent en mémoire

Témoin de sa vie, voila que cette détestable venait encore de toucher son cœur en lambeaux

Et sa meilleure ennemie, si Mikiss ne croyait plus en rien, elle savait toutefois qu’une ennemie ne se perd pas facilement, et jamais Quasi ne sera autre chose que son ennemie pour ne jamais la p….

La main de Quasi serrant la sienne la fit quitter ces pensés

Il était rare que l’une ou l’autre se touché, tout du moins physiquement

Mikiss hésita un instant puis se pencha vers Quasi

Je vous déteste de tout mon cœur
Mais j’attendrais par politesse que l’étranger dise ce pourquoi il a pris Lara
Ensuite j’apprendrais à tout le monde la dragonne que vous êtes
Et pour cela je n’aurais besoin que de peu de phrases

Mikiss se redressa souriante juste pour agacer Quasi

Elle n’attendait pas par politesse, mais juste car depuis la destruction de sa vie, elle n’était plus capable d’exprimer ne serais ce qu’en parole un quelconque amour
Et pourtant dans quelques minutes, elle allait devoir parler

Anacron

[Sur la route entre Pau et Tarbes ...]

Tu vas avancer bête idiote ... fichu bourricot, imbécile de mule ! Plus vite, par Aristote ... PLUS VITE !

Sur le dos d'une vieille mule à la carcasse fatiguée, AnacrOn se démène comme il peut pour faire avancer sa monture ! Cette dernière n'a pas l'air très coopérative et ce ne sont pas les quelques coups de cravache assenés , ni les talons qu'elle reçoit en ses flancs qui vont la décider à aller plus vite !
La mule est têtue, nul ne l'apprend aujourd'hui ...
Et pourtant le Procureur est parti à l'heure ... Il a même fait l'effort de revêtir un vêtement acheté spécialement pour l'occasion « Ce bleu royal sied parfaitement à votre teint halé » avait affirmé la vendeuse ... Il n'était pas persuadé que le compliment fut sincère mais il se devait d'être élégant pour le mariage de Quasi et William ; outre l'amitié et le respect qu'il éprouvait pour la Bâtonnière, il représenterait également le Comté à la cérémonie et il se devait de bien paraître !

S'agiter sur une mule en plein mois de juillet sur les petites routes poussiéreuses du Béarn quand la température grimpe à des sommets accablants n'est pas la plus riche des idées quand l'on a revêtu ses plus beaux vêtements ...
Le Procureur souffre, le Procureur sue sous l'épaisse étoffe bleutée ... et c'est le visage dégoulinant et le vêtement froissé, humide et recouvert d'une fine couche de poussière qu'AnacrOn franchit les portes de la ville, direction la cathédrale ...

VITE, VITE, VITE ... sale bête !

Enfin arrivé ... AnacrOn pose pied à terre, attache sa mule épuisée à l'abreuvoir où elle se met immédiatement à boire avidement ! Le procureur s'époussette à l'aide de son chapeau qu'il frappe énergiquement sur ses vêtements, dégageant autour de lui un nuage de poussière impressionnant ...
Son visage ruisselle, il a piètre allure mais il n'est plus temps de réfléchir à sa parure ... Un coup d'eau de l'abreuvoir sur le visage et dans son épaisse tignasse noire et frisée et en avant vers la cathédrale !

[Cathédrale de Tarbes – Mariage de Quasi et William]

Surtout ne pas entrer par la porte principale ... Utiliser l'une des petites portes latérales sera bien plus judicieux pour une entrée discrète et plus que nécessaire quand on arrive avec tant de retard !
Ouf, celle-ci n'a pas été fermée et en plus elle ne grince pas , merci Aristote !

L'intérieur de la cathédrale est frais et contraste agréablement avec la chaleur accablante de l'été béarnais – Frais et assez sombre ce qui ravit AnacrOn qui va pouvoir rejoindre les invités en espérant ne pas se faire remarquer !
Mais c'est sans compter sur les chausses à semelles que lui a fait acheter la vendeuse « Un gentilhomme ne peut dignement porter un tel vêtement avec de simples chausses Monseigneur ... il vous faut des chaussures » avait-elle affirmé avec détermination ! Fichtre ... Quelle horreur que ces instruments de torture ! Outre qu'ils vous enserrent les pieds comme en des étaux vous donnant l'impression de passer à la question ... les semelles de bois claquent sur les larges plaques de pierre qui recouvrent le sol de la cathédrale, comment donc certains Seigneurs peuvent-il porter ceci aux pieds ? ...Déjà quelques têtes se retournent vers le mécréant qui osent ainsi déranger la cérémonie ! Pour la discrétion c'est raté !

Il ne reste plus qu'à se reprendre et à assumer ... AnacrOn relève la tête et avance le plus dignement possible vers l'hôtel puis se glisse parmi les invités des derniers rangs ...
A quelques mètres devant lui se tenaient Quasi, ravissante, resplendissante même ; à ses côtés William. Ce dernier portait un vêtement qu'AnacrOn n'avait jusqu'alors jamais vu – Etrange habit pour un homme, pensa le Procureur – Et pourtant le tissu habillement plié, enroulé et ceinturé bien qu'ayant l'aspect d'une robe ou d'une tunique n'avait rien de féminin et William le portait avec beaucoup de prestance ! Sans doute une coutume issue du lointain pays d'origine du marié ...

Devant eux, Monseigneur Navigius avait commencé à officier ... La cérémonie était en cours ! Chacun mesurait l'émotion du couple , l'on pouvait également deviner les profonds sentiments qui animaient Lara, Mikiss et les différents témoins et invités présents ...

AnacrOn se laissa bercer par l'ambiance ... Ces quelques instants de bonheur et de calme contrastaient avec la lourde ambiance du château et du Conseil. Qu'il était bon de revenir à des choses simples, aux petits bonheurs et aux grands événements du quotidien !
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Braveheart

Ah ! Voilà qu’il fallait justifier du choix de son témoin, en voilà d’une idée. L’agacement le gagna, mais cela n’allait pas faire avancer les choses. William réfléchit, puis prit la parole.

Et bien…
Il n’est pas toujours facile lorsque l’on est un étranger de se faire accepter par une communauté.

La première personne qui m’as fait confiance, s’il elle avait été là, aurait sans doute été mon témoin. C’est en partie grâce à elle que j’ai rencontré celle qui consent à me prendre pour époux aujourd’hui.

La seconde…

William regarda Quasi.

La seconde m’as accordé plus que sa confiance. Aujourd’hui je suis devant l’autel avec elle.

Puis William se rapprocha de Lara et lui passa le bras autour des épaules.

La troisième…
La troisième, bien qu’elle est souvent menacée l’arrière-train de ma personne, de ses bottes, qu’elle ne porte pas aujourd’hui. Fait exceptionnel !
La troisième ici présente, a été le témoin, des quelques difficultés que nous avons rencontrées pour arriver devant vous aujourd’hui. C’est en partie grâce à son aide, qu’un regard échangé dans le bureau d’un cadastre, est devenu une grande histoire d’amour.

Voilà !
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Maltea

Dieu qu’elle détestait les mariages… jamais rien de bien intéressant se passait sauf peut-être aux siens. Enfin quand on dit ses mariages, il y en avait eu deux qui avaient été avorté rapidement. Le premier, le fiancé avait disparut de la circulation et n’était réapparu qu’en soirée pour baratiner la jeune Maltea (sans accent bon sang !!! ) qui comble de l’idiotie lui avait pardonné cet affront. Le second c’est elle qui avait fuit tous jupons relevés en hurlant un non retentissant à la question du curé. Pauvre curé d’ailleurs et là c’est le fiancé rejeté qui avait été un idiot fini… et le troisième fut le bon. Elle savait que des paris avaient été pris sur celui là et ils avaient tous perdu, les deux promis s’étant dis oui et le mariage était des plus solide. L’exploit en lui-même était la fidélité de la blonde. Depuis une sombre soirée en taverne et une promesse à son fiancé de l’époque, plus jamais elle n’avait mis son pied de travers.
Elle surprit le sourire et la révérence de la future mariée à son époux mais détourna vite son regard vers l’archevêque qui était de loin le plus intéressant de l’assemblée. Elle laissa son esprit vagabonder et sans s’en rendre compte, elle regardait partout dans la cathédrale. Elle surprit un échange intéressant. Ainsi donc le baron d’Autry était cornard et ce à la vue de tous… intéressant tout de même ce voyage. La Champagne étant loin, on ne savait ce qui se passait chez la noblesse exilée. Ceci dit c’était peut-être convenu entre les époux, genre on reste marié comme ça tu restes baronne mais on fait ce qu’on veut chacun de notre côté… Une chose était certaine, Maltea ne pourrait absolument pas vivre comme ça. Le jour où elle n’aurait plus de sentiment pour son époux, elle ne porterait plus son titre et se débrouillerait pour divorcer et aimer une autre personne sans devoir rendre des comptes. Un peu plus loin, elle reconnu Varden accompagné d’une jeune femme et elle se souvint des rumeurs de mariage. Il avait fini par trouver la bonne… Force était de constater qu’ils formaient tout deux un joli couple, elle ne manquerait pas de les féliciter à la fin de la cérémonie, enfin si elle y pensait encore vu sa mémoire à la hauteur de sa blondeur.

Elle ne put s’empêcher de pousser un long soupir d’ennui. Décidément la cérémonie tirait en longueur. Elle se demanda si les invités s’étaient autant ennuyés au sien. Elle était pratiquement certaine que c’était le cas, mais elle ferait tout comme eux bonne figure. Et puis elle devait bien cela à son amie. Elle lui en avait fait voir de toutes les couleurs à leur dernière rencontre…
Elle arriva à maitriser un bâillement, cela ne se faisait pas de bailler en pleine cérémonie.
Le marié parla de son témoin et tout en regardant Lara, elle repensa au baptême du fils de Xav et elle se mordit les lèvres en voyant le confessionnal non loin d’eux. Un flot de souvenirs remonta en mémoire. Lara se retrouvant dans les bras du parrain, le diacre voulant faire réciter le credo à un bébé babillant à peine, Xav…un confessionnal en mouvement… décidément, tout ce qu’elle voulait oublier refaisait surface un jour ou l’autre. L’eau avait coulé sous les ponts depuis, sa vie avait changé, était elle plus heureuse ? Cela elle ne pouvait le dire. Certes la vie avec son époux était tout ce qu’elle avait souhaité mais le reste…. Elle posa sa main sur celle de Richard et sonda son regard comme pour y trouver une réponse. Elle devait avouer que ce voyage était la meilleure chose qui lui était arrivée depuis longtemps et ce même si elle avait dû laisser en Champagne leur nouveau-né qui était bien trop fragile pour ce long voyage.
Rafaella était entre de bonnes mains. Elle avait à ses côtés sa vassale Florence et sa dame de compagnie et amie la fidèle Ananke sans parler de la nourrice d’Isaline qui ne lâchait pas les enfants d’une semelle, enfin elle l’espérait.
Rester en Champagne aurait signé son arrêt de mort, elle était bien trop souvent opposée aux décisions des ducs en exercice et elle aurait fini avec la tête coupée ou oubliée dans une geôle puante. Ou pire encore, en tête d’une liste pour ennuyer son petit monde.

Elle sortit de ses pensées et laissa échapper quelques mots à voix basse à son époux.

La torture va bientôt prendre fin tu penses ?
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Ricw

Richard sentit la main de son épouse se frayer un chemin dans la sienne, et il quitta aussitôt ses pensées. Celles-ci ne méritaient de toute façon pas qu'on y passe du temps. Les "exilés" - il préférait ce terme aux autres plus péjoratifs employés en Champagne, comme les lâches, ou les traitres - faisaient après tout ce qu'ils voulaient dans leur nouveau duché, et s'ils désiraient fouler à pieds joints l'institution du mariage, ce n'était pas à lui de le juger. Et il avait autre chose à faire que prévenir un héraut de la situation. Il pensait à ce qu'il avait lu dans les derniers écrits de son père quand son épouse le fit revenir à la cérémonie.

Les mariés étaient en train d'expliquer pourquoi ils avaient choisi leur témoin. Nouveau sourire, et nouvelles vagabondes pensées... Petit-Mesnil, où la fidélité incarnée. Ou comment un farouche adversaire peut devenir l'homme sur le lequel on pouvait toujours compter, y compris sur sa vie, et celle de sa femme et de ses enfants. Et même la vertu de son épouse, d'ailleurs... Parfois, il le voyait vraiment comme le père qu'il n'avait pas connu...

Il se pencha vers son épouse, et lui répondit tout aussi doucement :

Je peux toujours faire le spectacle pour t'amuser, tu sais, mais si le futur marié est susceptible, je vais peut-être perdre plus qu'un doigt, cette fois ci...
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Vanyel

Observer ceux qui arrivaient après eux, avec un peu de curiosité. Certains visages lui disaient quelques choses, mais ce n'était pas la règle.

C'était inévitable, elle faisait des comparaisons. Déjà comparer l'architecture de la cathédrale à celle de l'église, et chercher la statue de Saint Valentin.. où se cachait-il ?

Ensuite c'était monseigneur Navigius et non Ermi qui pilotait la cérémonie. Le marié portait.. une robe ? pas tout à fait, une jupe ou quelque chose qui y ressemblait furieusement mais il lui semblait avoir déjà vu ce genre d'habit en toulousain... un truc de clan qu'elle n'avait pas vraiment chercher à comprendre, passons.

* Etape 1 - se repentir de ses pêchés l'option: anticipation avant cérémonie n'ayant sans doute pas été cochée.
Examen réussi avec mention
* Etape 2 - dire pourquoi on avait tel témoin.
Examen passé également. Elle y prêta une attention particulière, ils en avaient eu une autre eux.
* Etape 3 - ?? dire oui ? d'abord se donner les alliances ? autres ?

Elle se demanda vaguement combien d'étapes il y aurait, tout en serrant sans s'en être rendu compte la main de Varden.
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en cours de modification

Mikiss

Mikiss écouta Brave puis s’avança

Elle reprit un feuillet ou trois lignes étaient inscrites
Le posant elle regarda William

Tu m’as dit que tu aimerais que cette cérémonie soit brève

Mikiss regarda Quasi retrouvant son envie de se montrer elle-même

Et bien sans doute le sera-t-elle mais certainement pas grâce à moi
Je suis ici témoin de se mariage

Se tourne vers la salle

Témoin de toutes ces personnes qui se sont déplacés
Pourquoi ?
Je vois dans cette salle des personnes qui ne croient en rien
Je vois des personnes infidèles qui excusent leurs lâchetés sous des prétextes ridicules
Je vois des tueurs prenant plaisir à leurs actes
Je vois des voleurs, des menteurs, des nobles avec le cœur et l’esprit aussi étroit que leurs sourires
Voila ce que m’inspire cette assistance

Mikiss se tourna vers Quasi en souriant

Alors que faites vous ici
Voir ces deux la ce marier
Pourquoi ?
Vous ne croyez en rien ?
Sauf si ????
Un miracle Aristote à réussit à vous faire voir ce qui est bon en l’homme ?

Mikiss regarde Navigius

Je sais que c’est votre rôle de le croire
Mais moi je doute que toutes ces personnes aient entendu Aristote
Alors qu’a-t-il pu arriver pour que tous ces pécheurs se retrouvent en ce lieu saint ?

Mikiss se tourne vers William

A cause de se messire ?
Si ce messire est en cause, ce n’est que pour très peu
Comme il vient de le dire il n’a connu ici que peu de gens
Etranger qu’il est

Mikiss sourit regardant Navigius

Il à des manières d’étranger je vous assures

Non ce n’est pas à cause de lui, mais bien d’elle

Mikiss montre Quasi du doigt

De sa faute que nous voici réunit ici
Si vous m’en voulez pour mon discours
Je vous demande de vous rappeler que c’est par sa faute que je le fais
Alors pourquoi sommes-nous-la ?
Et bien sans doute avons-nous tant de raisons différentes
Certains sont ici par obligation car on les force à venir
D’autre à cause d’une amitié lointaine
D’autre encore pour s’assurer que cette dame épouse se messire, pour ne plus redouter d’elle l’emprunt de son époux
D’autre encore c’est juste pour se montrer au milieu des autres

Mikiss baissant son doigt sourit à Quasi

Tous sont la car une fois ou cent fois dans leurs vies cette dame fut importante
D’une manière détestable ou alors amusante
Cette dragonne impossible maniant sa langue en douceur pour honorer les verbes
Que cette dame aime ou que cette dame déteste une chose est certaine c’est que nous sommes la pour elle
Messire Navigius
En tant que témoin je suis persuadée que Dame Quasi et ce Messire sont faits pour s’aimer
Car la dragonne ne sait pas mentir sur ce sujet
Pour plein d’autre si, ne vous en faite pas vous pourrez la confesser
Et je suis fière de pouvoir être le témoin de leur union
Je tacherais de rappeler à l’un et l’autre le mal que l’on peu faire à trahir son partenaire
Cela peut le tuer

Mikiss tourna son regard vers Faster, puis retourna son attention à la mariée

Je n’ai plus rien d’autre à dire

Mikiss sourit

Pour l’instant

--Argheim

Argheim ferma les yeux, laissant son esprit vagabonder. Ah ! Margareth ! Si tu voyais ton fils. Se marier dans une cathédrale, par un archevêque, avec tout ce beau monde. La mariée a des relations des mieux placés. Et toi Malcom ! Mon défunt frère, tu dois bien être fier de ton garçon. Guardian of Scotland ! Qui aurait imaginé qu’un Wallace arrive un jour aussi haut.

Il rouvrit les yeux, et s’attarda sur le prélat. L’archevêque, un Italien. Argheim était déjà allé a Rome. Les Italiens avaient tendance à en faire trop. Comédianté ! Tragédianté ! Si la cérémonie traînait en longueur, William risquait rapidement à se mettre à bouillir. Présentation des témoins quelle foutaise !

Celui de Quasi était arrivé avec fracas, et c’était lancé dans une diatribe amère, comme si elle avait des comptes à régler. Celui de William ne s’était pas encore exprimé. En le présentant William avait laissé parler son cœur, et avait brièvement évoqué le soupirant éconduit. Argheim connaissait l’histoire, et il savait que Quasi et William s’unissait librement, en libre consentement.

On attendait donc maintenant le speech de Lara. Belle blonde en robe rose, dont le décolleté laissait présager des jolis fruits à cueillir. Argheim se dit qu’il irait bien la courtiser un brin après la cérémonie.

Lara60

Lara fut surprise par le plaido…témoignage de Mikiss, ce qui la décontenança quelque peu.
Elle attendit qu’elle ait terminé et que le silence revienne dans la cathédrale avant de prendre la parole à son tour.

Bien, en tant que témoin de William, je devrais sans doute faire son éloge ainsi que celui de Quasi, de leur couple etc., etc…Cependant, je préfère faire simple et rester réaliste !
William est un véritable …sauvage ! Avec un caractère de cochon ! Petit sourire amusé en regardant les mariés Cependant il faut bien avouer que s’il a un nombre...certain…de défauts, il a au moins tout autant de qualités.

Sous ses airs de rustres se cachent, ben vi faut creuser m’enfin ça vaut la peine de le faire, quelqu’un de généreux et surtout, surtout, une personne sur laquelle on peut compter, chose rare en ce bas monde.

Je ne vais point faire étalage des qualités et défauts de William, mais il me semble clair que s’ils sont là en ce jour, s’ils ont réussis à surmonter tous les obstacles qu’ils ont rencontrés, c’est bien parce que leur amour a été plus fort que tout et ceux qui les côtoient peuvent voir que celui-ci continue à se renforcer à chaque seconde qui passe.

Elle ne voulait pas faire un long discours, juste quelques mots, sortis comme ça, sans préparation aucune. Elle parla un peu plus bas, juste pour que les mariés et Mikiss entendent, peut-être l’archevêque aussi, étant donné qu’il n’est pas loin et que Lara et Discrétion ont du mal à s’entendre :
C’est maintenant qu’on se met tous à poils comme le veut la coutume écossaise ? Dit elle, affichant un petit sourire taquin, tout en faisant mine de laisser glisser une des bretelles de sa houppelande sur une de ses épaules.
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Braveheart

William se pencha vers Lara et lui souffla ces quelques mots.

Sémiramis n’est pas loin…

Une petite incantation et…

Tous a poil…
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Quasi

Pendant les trois minutes où Lara avait fait ce qui pouvait sembler être l'éloge de son époux, bon oui elle a bu avant de venir alors les mots se sont embrouillés certainement, Quasi avait prié avec ferveur pour que les gargouillements de son estomac vide ne se fassent pas entendre.

Pendant les dix minutes suivantes elle inversa la prière pour implorer Aristote d'augmenter le volume sonore de son estomac pour couvrir les paroles de la Peste.

Quasi la regardait sans ciller. Chaque mot était certainement vrai . Chaque phrase ressemblait à de la colère et pourtant la future maman n'entendait que le chagrin d'un vide qui chaque jour se creusait.

Comment lui faire entendre raison quand Raison n'était plus? Quasi avait espéré que ce jour là, juste celui là, Mikiss oublierait un instant son cauchemar. Son regard allait de son témoin à Faster, essayant de comprendre sans y parvenir.

Enfin elle termina..mais le " Pour l'instant" ne laissait augurer rien de bon.

La mine faussement courroucée elle dit tout bas

Dites donc vous!! vous n'avez pas eu le temps d'insulter vos voisins ce matin que vous venez agacer mes amis avec vos vér..sottises??

Le grondement repris et de nouveau prière muette pour inverser le sort. Pourquoi fallait il que chaque événement important lui coupe l'appétit pour ensuite la laisser affamer aux moments les plus inopportuns?

Elle lança un regard à Richard , espérant voir enfin à ses cotés Gabriel. Par deux fois elle l'avait rencontré, par deux fois elle avait faillit mourir d'inanition. la troisième risquait d'être la bonne.

Se retournant à nouveau vers l'officiant, elle fut arrêté par..sa robe. Quelque chose l'empêchait de se mouvoir normalement . La peste sans doute devait tenir son gros pied sur le bas de la robe écossaise. Un regard lui montra qu'il n'en était rien. Elle continua donc à se retourner, forçant sur ce morceau de tissu qui voulait lui résister.

Si uni devant le Très Haut ils allaient être, unis devant les tartans écossais ils étaient. La robe de Quasi était accrochée on ne sait comment au Kilt de Brave.

elle le comprit une seconde trop tard.

Lara60

Lara se mit à rire en entendant les propos de William, cela ne le ferait peut-être pas si une druide se mettait à utiliser un quelconque pouvoir en pleine église aristotélicienne. Elle se demandait cependant si elle pouvait vraiment faire cela et imgina la scène ce qui eut pour effet qu'elle continua à rire toute seule.

Bien, les témoignages étaient faits, il était surement l'heure pour l'archevêque de demander aux époux s'ils consentent à cette union.

Chacun reprennait sa place lorsque Lara remarqua comme une gêne chez Quasi. Sa robe semblait accrochée quelque part.
En regardant bien, elle se rendit compte qu'elle était agrippée au kilt de William. Elle tenta de tirer discrètement dessus afin de le décrocher de la robe.
C'est qu'il résistait le bougre ! Et si elle tirait trop fort, il risquait de se retrouver avec son felah en bas des genoux !
Voilà une bataille qu'elle n'était pas sûre de remporter sans dégats !

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Braveheart

On ! Ne ! bouge plus !

William attrapa Quasi par le bras pour qu’elle arrête de tirer. Il n’y avait qu’un endroit, et Quasi avait trouvé le moyen de s’y accrocher avec sa robe. Son épingle de kilt. A croire qu’elle l’avait fait exprès. Lui ne risquait rien, son Feileadh Mor était bien coincé a sa taille par son large ceinturon, il ne bougerait pas. Mais la robe bustier de Quasi elle…Surtout qu’elle ne devait rien porter en dessous, et il n’était pas nécessaire plus que cela, de révéler son état de future maman, cela se voyait bien assez. Une chance que le prélat officiant n’est pas fait de remarques là dessus. Une mariée enceinte, son témoin qui balance une diatribe a tout va. Lara était resté stoïque, et Sémiramis…Ou était donc Sémiramis ? William revint à son problème immédiat. Il dégrafa l’épingle libérant la robe, puis la remit en place. Il regarda alors l’archevêque, et lui sourit.

Vous voyez Monseigneur…
Nous sommes très accroché…

Vous plairait il de poursuivre ?
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--Semiramis

Sémiramis s’était réfugié dans l’ombre d’une arcade. Elle détailla l’assistance, le discours du témoin de Quasi n’avait pas été pour lui déplaire. Toutes ces belles Dames et ces beaux Seigneurs empanachés, que cachaient ils sous leurs soieries et leurs dorures ? Une fesse molle ? Un sein flasque ? Une difformité disgracieuse ? Ou quelques pratiques fétichistes, tatouage, épilation, ou bijoux intimes ? S’ils perdaient d’un coup d’un seul tous leurs vêtements combien fuiraient ventre a terre ? Elle sourit, puis frissonna.

La pierre était froide sous ses pieds nus, froide comme la maison de ce Dieu, froide comme cette religion, comme leur clergé, qui était toujours a vous bonnir de la repentance. Repentez vous de ci, et de ça. C’est d’ailleurs bien, ce qui avait été demandé en premier aux futurs époux. Et ce prêtre, il devait avoir le cœur bien froid, pour renoncer aux plaisirs de la chair, aux plaisirs de caresser une peau douce et chaude, de se perdre dans la moiteur de la féminité. Pourtant il était bel homme. Il devait avoir peur des femmes !

La femme ! Il n’y avait bien que les celtes pour la respecter, dans leurs us et coutumes comme dans leur religion. Mais pour combien de temps ? L’ombre d’Aristote s’étendait partout, même les Mac Gregor avaient changés. Etonnante facilité de l’homme à se priver de liberté. Mais William n’en était pas ! Pro Libertate ! Il respectait Quasi, la considérait comme son égal, elle et toutes les autres. Mais William Wallace n’était pas n’importe qui, il était…

Braveheart !

Navigius

L'italien acquiesça lors des descriptions des qualités des témoins. Voyant les témoins au devant de la Cathédrale, le prélat invita les mariés à s'agenouiller à nouveau sur les pries-dieux, conscient de l'honneur que représentaient le fait de pouvoir poser genou sur des meubles à l'historique si royale. Quant à la torture... l'imbécilité crasse achète la paix d'esprit.

- Témoins. Votre rôle dans cette cérémonie est crucial. En acceptant d'agir comme témoin envers ces deux époux, vous vous engagez lourdement à accompagner leurs vies. Vous devrez chausser la botte qui saura cogner leur postérieur dans leurs moments de doute, vous devrez être la voix de la raison dans leurs moments de tristesses, l'ami véritable pendant leurs joies et bonheurs. Le serment du mariage est sacré et ne saurait être défait, vous devrez être les gardiens du serment qu'ils s'apprêtent à prendre, et le défendre de tout votre art, votre persuasion et vos conseils. Si vous acceptez ce rôle, posez vos mains sur les épaules de l'époux respectif que vous assistez.

L'italien fit un signe de la tête à l'intention de son secrétaire, Frère Christophe, posté à l'arrière de la Cathédrale. Ce dernier s'empressa d'en ouvrir les portes, laissant une brise salvatrice balayer l'assistance.

- Que quiconque s'opposant à l'union de Braveheart et de Quasi se fasse entendre où bien qu'il se taise à jamais!

Un lourd silence tomba sur la Cathédrale, alors que plusieurs convives observaient leur entourage, le suspens d'une quelconque objection rendant toujours fébrile l'assistance. Profitant du silence, l'italien enchaîna.

- Que l'on apporte les anneaux.

[Petite pause pour laisser le temps à un quelconque objectionnaire de se manifester]
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Mikiss

Et voila l’instant tant attendu, son ultime promesse

Mikiss souffla soulagée d’avoir tenu jusque la

Et voila que le prêtre expliquait à présent le rôle de témoin
Accompagner leur vie cela elle l’avait déjà fait
Un coup de pied cela n’était que plaisir
La voix de la raison dans leur moment de tristesse
Jamais elle ne serait capable de cela aussi bien que son propre témoin
L’ami véritable ?
Jamais elle ne serait ce que cela pouvait être
Le mariage ne pouvant être défait même quand l’amour n’est plus, a quoi bon cela
Un gardien de serment, alors que de sa vie ce serment n’a pas tenu

Mikiss posa sa main tremblante sur l’épaule de Quasi

J’ai tenu ma promesse me voila à vos cotés
Je ne vous dois plus rien, ni à vous ni aux autres
Et je serais prend la responsabilité d’être votre témoin
Jusqu'à ce que la mort nous sépare

Mikiss sans bouger la main regarda l’assistance prête à éventrer le premier qui s’oppose à ce mariage

Braveheart

Et bien, on était bien embarqué ! Mikiss et Lara qui devaient accompagner leurs vies. Côté bottes, c’est sûr, on était bien garnis. Côté raison, oh la la, avec les deux follettes…Part contre c’était bien de vraies bonnes amies.

Quiconque s’oppose, il voudrait voir cela. De toute façon Allan et Dave étaient postés aux portes avec le nécessaire si besoin était.

Les anneaux ! Mince ! Il les avaient bien posés sur l’autel, mais avait oublier de préciser à l’archevêque que la pierre bleue était pour Quasi et la rouge pour lui. Bon Quasi portait une robe bleue, lui un kilt rouge ce devait être une bonne indication.

Attendant que le prélat reprenne, William se demanda qui pouvait être les témoins de Mikiss et Faster. Il faudrait qu'il le demande a Quasi.
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Lara60

Oh ben ne vous en faites pas pour les coups de bottes il en reçoit déjà quand...
Elle s'interrompit et laissa l'archevêque terminer, rouge de honte d'avoir parlé aussi fort dans l'église et qui plus est, pour sortir une jolie betise.

Elle posa sa main sur l'épaule de William comme demandé et jetta un oeil dans la salle quand celui ci demanda si objections il y avait. Elle n'avait pas ses bottes, pour une fois, mais si quelqu'un venait perturber cette cérémonie, son arrière train souffrira tout de même !
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Navigius

Le silence qui régnait sur l'assemblée était palpable. Personne n'oserait faire de mauvaises blagues et il était bien rare de rencontrer une objection en pleine cérémonie, les bans permettant de faire ce type de choses bien avant l'arrivée en chapelle. L'italien observa la petite fillette qui apportait les anneaux, non sans démontrer un petit sourire paternel, avant de reprendre la cérémonie.

- Quasi et Braveheart. Ces anneaux que vous vous apprêtez à vous échanger ne sont pas de simple pièces d'orfèvrerie. Ils seront désormais le rappel constant de votre amour l'un pour l'autre. Ils sont fait sous la forme du cercle, car le cercle est infini, il n'a ni début ni fin, comme l'engagement de votre amour. Vous devez comprendre que nous nous apprêtons à passer le point de non retour. Votre engagement l'un envers l'autre sera sanctifié par le Très-Haut et ne saurait être brisé sans apporter l'infortune et la honte sur vos personne.

Il s'approcha des deux époux, toujours agenouillés, pour prononcer les paroles rituelles :

- Braveheart, veux-tu prendre Quasi pour épouse, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?

- Quasi, veux-tu prendre Braveheart pour époux, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?

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Quasi

Alors que le rouge lui montait aux joues en imaginant sa robe se déchirer, elle pensa à la première, et souhaitons le la dernière, fois où elle s'était retrouvé cul nu dans une église. C'était des mois auparavant, lors du baptême de Génépy, à Mauléon.

Un combat acharné entre la fine étoffe et son fessier vit l'étoffe céder et laisser toute liberté à son adversaire. Heureusement, une âme charitable, et certainement jalouse du regard des autres sur les fesses "diaconales", lui avait fourni de quoi cacher sa Quasi nudité. Cette âme était celle de son son fiancé Aimelin.

Aimelin qu'elle avait quitté quelques mois après cet incident pour celui qu'elle épousait ce jour. Elle savait que jamais il ne serait venu au mariage et pourtant elle l'avait espéré. Toute leur vie ensemble il n'avait souhaité que son bonheur. De lui elle gardait le souvenir d'une vie douce remplie d'amour. Il resterait à jamais son ami, un ami très cher et spécial, même si elle savait que jamais William et lui pourrait s'entendre.

trop de rancœur dans le cœur des deux hommes qui pourtant ne souhaitaient qu'une chose, son bonheur à elle.

Un regard vers son époux, heureux certainement de ne pas voir sa femme déculottée en public ce qui pourtant aurait eu pour effet d'animer la cérémonie. Si celle de la clairière avait été entourée de magie et de surprise, celle ci était comme le voulait le culte, sérieuse et calme.

Un regard à son amie, sa cousine, Sémiramis puis à Argheim. seuls membres directs de leur famille présents pour eux. Accompagnée d'un oncle en qui elle voyait souvent un père, elle avait affronté la cérémonie avec sérénité.

L'archevêque posa la question rituelle. La main de Mikiss sur son épaule provoqua un frisson. Rares étaient les moments où les deux femmes étaient arrivées à s'exprimer l'une envers l'autre mais il était des moments dans leurs vies où elles avaient su se trouver. Ce moment en était un.

Le silence régnait. Chacun attendant probablement de son voisin un "je m'y oppose" , un renversement de situation, un scandale a narrer à son retour au village.

Mais personne ne prit la parole et Quasi chercha la main de William pour se rassurer. Elle murmura à Mikiss

La mort va nous séparer bientôt si vous continuez a ne pas sourire à mon mariage!

Les anneaux , enfin. Elle ne s'était occupée de rien, pas même de celui de William. Argheim semblait avoir veillé à tout.

Agenouillée depuis un bon moment, elle était épuisée. La main de la Peste lui donnait la force de tenir mais son ventre commençait a lui faire mal. En plus de la faim, bébé semblait lui aussi vouloir retrouver la chaleur de leur foyer.

"Ils sont fait sous la forme du cercle, car le cercle est infini, il n'a ni début ni fin, comme l'engagement de votre amour. "

elle sourit malgré elle quand les mots voulurent franchir ses lèvres..

Oui enfin, c'est surtout parce qu'en triangle c'est plus dur à passer au doigt.

Elle attendait que William réponde avant de prendre la parole. Chassant ses sottises qui ne cessaient de lui embrumer l'esprit elle essayait de se reprendre pendant les quelques secondes qui lui restaient avant de répondre.

Braveheart

Braveheart, veux-tu prendre Quasi pour épouse ? La bonne blague.

Tout ce qu’il avait fallu endurer pour en arriver là. Apprendre la patience. Voir Quasi tourmentée par un malotru, qui se moquait de son bonheur, et ne pensait qu’à sa petite personne, se croyant le nombril du monde, et ne rien faire. Ne pouvoir aller lui broyer la main, pour qu’il ne puisse plus écrire d’inepties. Ne pouvoir lui arracher sa langue perfide et fourbe.

Arriver au moment temps attendu et reculer ? Pas lui !

Et puis, Quasi était déjà son épouse depuis maintenant cinq lunes, devant le Dagda, Rigantona et Cernudos. Mais cela l’archevêque ne pouvait le savoir. Hé ! hé ! Un archevêque, une cathédrale, rien que pour eux. Délicieuse revanche ? Même pas, ce n’était pas dans la nature de William. Il allait donc exprimer clairement sa volonté, puis Quasi en ferait autant, de son libre consentement.

Et pourront en témoigner Mikiss et Lara bien sûr, mais aussi Varden et Vanyel, Caro et Oli, Maltea et Richard.

Il regarda l’archevêque dans le fond des yeux, et dit d’une voix forte et claire.

Oui ! Je le veux !
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Mikiss

La mort vite arrivé si je ne souris pas ?

Mikiss n’en croyait pas ces oreilles
Cette dame, cette agaçante dame, cette horripilante dame, cet impossible dame, sa merveilleuse ennemie osée la menacer en ce lieu

Elle ne put maîtriser un éclat de rire

Puis elle serra plus fortement l’épaule de Quasi
Tout en se penchant vers elle

Vous savez que je vous adore quand vous me parlez ainsi
Me menacer moi frêle comme vous êtes

Mikiss se tourna vers le prêtre

Bon je sais que tout doit être fait dans les règles
Mais mon amie ici présente
Cette dame dont je suis le témoin
Cette dame qui est enc….

Un moment d ‘hésitation voilà encore que ses mots allaient trop vite et étaient irréfléchis

….qui est enjouée de ce mariage ! est aussi très faible sur ces jambes
Sans doute son grand age
Alors si vous permettez messire Navigius ou mon père

Mikiss lâcha l’épaule de Quasi et alla chercher un siège, après avoir débarrassé de celui ci une paire de fesse importune

Elle posa le siège plus confortable que le prierais
Et attrapant Quasi elle la mise assise
Reposant sa main fermement sur l’épaule de la marié, elle sourit de nouveau au prêtre

Ben à présent vous pouvez prendre votre temps
Moi j’aime me recueillir ici

Et voila que Brave disait oui je le veux
Que voulait-il ?
Se recueillir aussi ben étonnant tout de même

Faster83

La cérémonie avance. Peu à peu, Faster arrive tant bien que mal à se mettre à l’aise. Concentré sur ce qui se passe devant, il en oublie ce sentiment d’être épié et jugé.
Il se tourne même de temps à autre en direction de Leslou en lui adressant quelques sourires timides.
Un moment de silence s’installe dans l’édifice. Ce moment bien que traditionnel, se veux toujours un peu anxieux.
Faster, machinalement tourne la tête vers l’entrée.
Il s’imagine un court instant voir le boulanger faire irruption dans la cathédrale pour interrompre ce mariage.
L’idée ressortie de sa caboche aussi vite qu’elle y était entrée, l’ancien officier reporte de nouveau son attention sur les fiancés. Le boulanger n’aurait jamais osez venir s’opposer à cette cérémonie. Il aurait fallut pour cela qu’il est le courage d’affronter le colosse écossais et sa claymore.
Ses yeux se baladent entre Quasi et Mikiss. De nouveau, en regardant son épouse, l’homme à l’impression que tous les regards sont braqués sur lui.
Qu’était t’il venu faire la, lui qui avait trahit les liens sacrés du mariage ?
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Quasi

. Alors qu'elle relevait la tête , Mikiss prit la parole. elle avait prévenu mais même dans ces cas là, une femme avertie n'en vaut pas deux.

Son discours avait été spontané et elle en avait même oublié de dire ennemie au lieu d'amie. Par contre elle n'avait pas oublié de dire "enceinte". enfin on n'avait eu droit qu'au début de la phrase mais entre ça et son ventre arrondi, Quasi se doutait bien que NAvigius ne serait pas dupe.

Elle vit Mikiss se diriger vers une pauvre dame que Quasi ne reconnaissait même pas. Ainsi l'infortunée se vit délester sans ménagement. L'avocate hésitait entre éclater de rire ou crier après Mikiss.

Elle ne fit ni l'un ni l'autre mais quand celle ci revint elle murmura:

Mer..enfin vous savez. La plus inconfortable je suppose!!

le Oui tonitruant de son époux ne laissait aucun doute sur sa volonté de l'épouser et cela fit sourire la jeune mariée.

Enfin assise, elle pouvait respirer correctement .

Sous sa robe elle avait le courrier reçu le matin même d'Aimelin. Elle avait voulu le montrer à son époux mais savait son aversion pour son ancien rival et n'en fit rien. Elle la lui montrerait ensuite, se promit elle.

C'était à elle de prononcer le OUI qui devait l'engager aux yeux de tous. A ses propres yeux, elle était déjà l'épouse de l'écossais depuis une nuit étoilée. La venue du bébé avait précipité les formalités religieuse mais le plaisir était là.

L'épouser encore, dire oui encore.

Oui mon père, je veux tout ça. et si je puis ajouter une chose, je ne veux que la continuité de ce que j'ai déjà avec mon é..avec William.

Oui je le veux pour époux.

--Juste_un_souffle

Il s'était installé en haut de la nef, ne manquant d'ici aucune miette de la cérémonie. Installé, c'était tout de même beaucoup dire, puisqu'il n'avait pas à proprement parler de corps... Simplement, un esprit, qui était là. Et qui avait toujours un coeur. Et des amis. La mort n'a jamais empêché les sentiments de se perpétuer chez les vivants, après tout, alors pourquoi serait-ce différent chez les morts ?

En tout cas, il était là. Pour elle. Il ne pouvait décemment pas ne pas être là en ce jour. Il n'était pas sur qu'elle lui pardonne son absence, même s'il n'y avait aucune chance qu'elle l'apprenne... Mais avec les femmes, sait-on jamais. Surtout avec celle-là. N'avait-elle pas un don pour trouver la vérité quand elle le cherchait ? Il savait bien qu'il n'aurait pas du s'approcher d'une avocate...

Bref, il était là, et il souriait. La cérémonie se déroulait exactement comme prévu, avec ce grain de folie qui la caractérisait. Cela lui rappela la sienne, il y a si longtemps... Un autre sourire lui vint quand il parcouru l'assistance, ce qui lui rappela un autre point de désaccord avec la mariée... Il y avait des choses qu'il ne comprendrait jamais...

Il était là, souriant, et elle se mariait, à l'homme qu'elle aimait, liant sa vie à la sienne, devant Dieu et les hommes ... et sous ses yeux. Littéralement, d'ailleurs, vu où il se trouvait. Et elle était heureuse. Nerveuse, mais heureuse. Elle avait fait le bon choix, quoi qu'elle pense. Si tant est qu'il y ait réellement eu un choix à faire. Mais dans tous les cas, elle avait pris la meilleure décision. Il était digne d'elle. Différent de l'amateur de chèvres, le seul à égaler l'Argonnaute, mais digne tout de même. Bien plus que les autres, en tout cas. Et quoi qu'elle en dise, au moins autant que lui, surtout maintenant.

Las, les instants s'écoulaient, et il lui fallait revenir à ses tâches célestes, sans même pouvoir voir la cérémonie s'achever. Il quitta donc son promontoire, et s'éclipsa, non sans avoir fait glisser quelques mèches de ses cheveux vers son visage, caresse aussi légère que l'air - et qui passerait, aux yeux de tous, pour un léger déplacement d'air. Mais elle saurait.

C'était juste un souffle, mais c'était suffisant... Ca leur était suffisant.

Quasi

D'un geste instinctif les doigts voulurent faire leur office et remettre la mèche en place quand ils stoppèrent en chemin. Pas un courant d'air, pas un faux mouvement..juste un souffle.

un souffle qu'elle connaissait bien, niché dans son coeur depuis si longtemps. Ainsi il avait promis de veiller sur elle et il le faisait.

Il ne faisait aucun doute pour la jeune épousée que ce souffle était là pour elle, peut être même pour eux deux, eux trois.

un bonheur nait d'un bonheur..voila ce qu'était sa vie. Certaine de sa venue, certaine de ressentir sa présence, elle aurait été peinée de l'imaginer ailleurs, loin d'elle en ce jour important.

Les yeux vers le haut de l'église elle sourit et un souffle vint à la rencontre du premier..merci

--Semiramis

Sémiramis frémit, elle regarda son père, il l’avait sentie également. Une âme était passée, et dans un souffle avait déplacé quelques mèches de cheveux de Quasi, comme l’aurait fait un frère.

Quasi avait donc un ange gardien.

Etait il intervenu dans les dilemmes de Quasi ?

Va savoir…

--Angesetsouvenirs

Il aurait aimé être là, vraiment là.
Il aurait aimé être celui qui, fier, tenant la main de la mariée posée sur son bras, l’ aurait menée à l’ Autel et à son futur époux.
Il aurait aimé …. Mais il n’ était plus. Il n’ était plus de chair et de sang.
Il était, comme sa mère, poussière redevenue poussière. Ils étaient là tous les deux. Et s’il n’ avait Quasi à son bras, il s’enorgueillissait d’y sentir sa mère. L’ Aura de ces deux âmes, à peine perceptible, où se mêlaient encore et à jamais, flammes pour elle et sang pour lui, se frayait doucement un passage jusqu’à approcher le jeune couple.

Sa mère souhaitait se manifester la première. Il la laisse donc glisser.

Elle aurait aimé être là, vraiment là.
On dit que la mort peint sur les visages les traits de l’ éternité et fige à jamais dans les cœurs l’image de celui qu’elle emporte. Quasi devait donc la voir comme … hier, comme il y a des années déjà, comme quand le feu avait tout fait cesser.
Il lui était donc facile de se rappeler à son amie, sa sœur.
Une main qui effleure le visage aimé et glisse jusqu’aux rondeurs de vie en promesse.
Nul ne prêtera attention. Nul ne verra, l’infime trace blanche sur les joues et le ventre de la mariée. Nul, sauf elle, l’ ancienne boulangère, qui l’espace d’un minuscule moment pourra sourire à la meunière.

C’est à lui maintenant.
N’ être qu’un esprit donne des avantages.
Lentement il se glisse entre le prie dieu et les genoux de Quasi. Il se tortille comme avant, comme quand enfant elle le prenait sur ses genoux en taverne.
Nul ne prêtera attention. Nul ne la verra, ou juste le marié, réprimer une envie de se gratouiller les genoux. Glissant à nouveau vers sa mère, il la regarde. Nul, sauf elle, douce marraine, pourra l’espace d’un minuscule moment lui sourire.

Ils la quittent pour cette fois. Car à chaque grands moments ils sont là.
Et des grands moments il y en aura d’autres, on peut faire confiance à Quasi !

--Semiramis

L’âme s’en était allé, dans un souffle. Sémiramis sourit, heureusement que l’archevêque n’avait rien vu, il aurait crié a quelques diableries, comme les disciples d’Aristote appelaient cela, comme toutes choses échappant a leur compréhension. Mais ce n’était pas fini, deux autres spectres s’avançaient, Sémiramis les voyaient très distinctement, une femme et un jeune garçon. Elle ne les connaissait pas, elle se concentra, deux noms lui apparurent à l’esprit, Lyris ! Yvain !

Ce n’était pas un ange gardien qu’avait Quasi mais toute une armée. Preuve qu’au-delà de la mort, ses qualités d’âme étaient reconnues. Car Quasi était une âme bien née, en d’autre temps, elle aurait été un grand Druide. Et elle aurait appris à distinguer amour et compassion. Cette compassion, cette pitié même, qui avait failli lui coûter l’amour de sa vie. Tout cela était bien fini. Sémiramis les avaient unis devant Dagda, il s’unissait devant Aristote, et elle savait que le cœur de Quasi ne battait que pour William, comme celui de William ne battait que pour Quasi.

Navigius

- Par les pouvoirs qui me sont conférés par la Saincte Église Aristotélicienne et Romaine, je vous déclare donc, mari et femme! Embrassez la mariée!

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Braveheart

William prit Quasi dans ses bras, et l’embrassa longuement. Un instant d’éternité, pour un amour qui allait durer une éternité. Les consentements avaient été échangés, les anneaux aussi. L’archevêque avait entériner le tout, en les déclarant mari et femme.

Allan et Dave, qui se trouvaient a l’entrée de la cathédrale, lancèrent leur bonnet en l’air, en manifestant bruyamment.

Hourra ! Hourra ! Hourra !

Uallas ! Uallas ! Uallas !

Puis s’apercevant qu’il ne déclanchait guère d’enthousiasme se turent. William sourit. Il regardait l’assistance, tout en glissant sa main dans celle de Quasi, et mêlant leurs doigts.
Son oncle Argheim lui souriait. Sa cousine Sémiramis restait dans l’ombre. Son oncle, sa cousine, son épouse, et l’enfant qu’elle portait. La famille était là. Le Clan était assemblé. Une pensé pour ses défunts père et frère. Ils auraient aimés être là. Sa mère…Sans doute aurait elle préférée le voir à la place de l’archevêque.

Une nouvelle vie commençait, librement consenti de part et d’autre. Une vie de respect mutuel et d’amour indicible. Il était devenu chef du Clan et avait fait de Quasi sont égal. Ainsi, lui avait été enseigné les traditions celtes, qui ne découlaient que du bon sens. On ne pouvait regarder celle que l’on aimait que comme son égal, et William aimait Quasi plus que tout. Le regard gris acier, croisât le joli noisette. Il n’était rien besoin de dire, ils se comprenaient. Ils se mirent en marche vers les portes grandes ouvertes, pour la vie qu’ils avaient choisit ensemble, pour cette valeur qui leur était commune, qu’ils défendaient, qui était leur devise.

Pour la Liberté !

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Quasi

Les jumeaux avaient légèrement oublié qu'ils n'étaient ni dans la clairière ni en Écosse et leurs cris firent sursauter celle qui était maintenant une jeune épousée officiellement.

Il prit sa main et c'est ainsi que leur vie allait maintenant se conjuguer. Ils allaient rentrer chez eux, inviter tous leurs amis certainement (mais non, on va être sympa c'est l'été^^) et continuer à construire les fondations de leur avenir à trois .

Un sourire empreint de sentiments sincères pour le prélat avait pour but de le remercier de s'être déplacé. Si ce mariage n'avait été en somme qu'une formalité pour le couple, la présence de Navigius en ce jour était très importante. Elle avait été prête a reculer la cérémonie si il n'avait pas été là.

Dans sa robe reprise par la belle Money Quasi commençait à se sentir à l'étroit.

Elle s'était attendue a une effusion de mots doux après les dernières paroles du prêtre mais seuls les trois mots qui avait été le combat de la vie de son époux furent audible.

Pour la liberté!

Librement ils s'étaient choisis, librement ils s'étaient unis. Elle avait encore sur elle le courrier d'Aimelin. Un ancien fiancé qui souhaite bonheur a la nouvelle mariée, voila ce qu'était l'amitié.

Heureuse, elle serait la main de William. son regard cherchait Argheim et Sémiramis pour qu'ensemble ils rentrent chez eux. Elle tourna la tête vers Mikiss qui se tenait près d'elle.

Allez, encore un effort, il y a surement des gens a insulter chez nous, venez!

Mikiss

Un sourire à l’épouse dite Lady Wallace

Si c’est pour agacer vos amis vous pouvez compter sur moi
Mais pourquoi donc attendre d’être chez vous pour le faire ?

Passant devant Quasi

Mikiss se dirige vers la sortie, mais au fond de l’église elle se tourne vers son époux et se dirige vers lui

Passant devant les personnes présente sans ménagement ni demande d’excuse, elle arriva devant lui
Et se pencha lentement à son oreille

Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Cela signifie mon époux
Que tu n’en as pas fini avec moi !
Car pour cela il te faudrait mourir ou me faire assassiner

Mikiss se redressa après avoir laissé ces marques de dent sur une oreille saignante

A bientôt mon époux

Passant sa langue sur ces lèvres appréciant le goût de sa morsure
Mikiss sortit de l’église aussi discrètement qu’elle y était entrée

Faster83

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[RP] Cathédrale de Tarbes "Ste Nitouche"