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[RP] De Coincoin en Papilloxie

Layke
Dôle 29 janvier 1468


En soirée

Sa sirène couchée tôt se reposant avant un départ prévu, le blond c'était vite retrouvé seul au milieu d'une taverne de la capitale. Comme souvent maintenant. Que cela ne tienne. Cela allait bientôt faire trois jours que son amie avait pris une route différente de la sienne.Depuis le début de l'automne qu'il voyageait à ses côtés. Elle ne pouvait faire autrement que lui manquer. Trois jours à retenir sa plume. Et bien plus à retenir autre choses.

Enfin, le moment était bien choisi pour enfin lui offrir de ses nouvelles...






Bonjour Papilloxie ,





Oui c'est moi. Je sais, tu commences à peine à te remettre de ma présence et voilà déjà des nouvelles, sans doute fortement épuisantes. Mais tu sais, j'ai fait des efforts. Ça fait déjà deux jours que je me retiens de te narrer toutes mes palpitantes aventures sans ta compagnie. Comme par exemple, la fois où j'ai dit bonjour à la bibliothécaire de l'université. Bon, elle m'a simplement adressé un «aimable» chut. J'ai donc passé mon chemin sans câlin, pour ouvrir un livre. Mais le monde est tellement silencieux de nos jours. Je pense qu'il faudrait penser à supprimer cette règle étrange bien honnêtement.


La vie est franchement bizarre sans toi je l'admets.... On s'habitue à tout certes. Mais bon, ta présence était franchement appréciée et que je le veuille ou non, ta chaise restera vide. Et personne ne pourra l'enlever de la table. Ça fait franchement bizarre cela dit de partager mes fringales nocturnes à une table vide. Bref,tu me manques... Mais la vie continue hein?


Nous avons finalement quitté Dijon . Amaury va mieux. Et ce, sans que je n'aie eu l'occasion de l'ausculter. Je préférais y jeter un œil quand même, mais bon.. J'ai un peu de mal à le faire sortir de son vago. Je ne pense pas que je sois en position encore de forcer l'entrée. Peut-être un autre médecin plus expérimenté serait plus à même de le soigner aussi... à voir. En tout cas l'important c'est qu'il aille mieux et que personne d'autre ne semble malade.



Pour ce qui est d'Ambre, elle est toujours aussi heureuse.Comme moi, bien entendu. J'ai hâte de voir comment cela va se passer en Savoie cela dit. Mais pour l'instant nous profitons de ce qui se présente à nous. Ne nous en faisons pas avec ce qui vient.Nous planifions passer la fin de semaine qui vient sur Genève. Mademoiselle ma sirène espère croiser un peu de monde.. Nous verrons bien. Personnellement je préfère ne m'attendre à rien. Les villages et villes d'aujourd'hui sont franchement décevants. Il vaut mieux ne pas avoir trop d'attendre et profiter des heureuses surprises qui se dresse sur notre route non?..Et puis dans tous les cas, c'est à nous de cultiver notre bonheur!



J'espère en tout cas que pour toi tout se passe bien et que tes ailes guérissent petit à petit. Il me tarde de te refaire un câlin. Tien le compte et dit moi comment je t'en dois. Surtout que pour l'instant je n'ai vu que des gens franchement pas tactiles. Tu n'es pas remplaçable je te dis. Porte-toi bien. Moi je retourne à mes bêtises.Pendant que nous repassons au domaine, je vais voir si je n'arriverais pas à dégoter un rideau qui irait bien avec mon chapeau... il faut juste que je retrouve la pièce où je l'ai pris. En espérant trouver la sortie en suite!


Ton coincoin


p.s. Tu peux saluer Solveig de ma part aussi. Je lui ferai un câlin quand je la reverrai promis. Et j'espère qu'elle s'occupe bien de toi!

Eudoxie_

*Nancy, 03 Février 68*
Quelques mots d'une Papilloxie posée en Lorraine



Un moment pris au temps, un sourire franc animant ses lippes en répondant au grand blond, la petite brune couchant sur le vélin les quelques nouvelles de sa vie, une semaine après leur séparation, si court et si long après près de cinq mois de voyage commun.
Grattant le parchemin, la pensée du minois content d'avoir des nouvelles lui traversa l'esprit, l'animant d'un peu plus de ferveur, les mots glissant d'eux même sans y réfléchir.




    Mon coincoin,

    Je suis ravie d'avoir de tes nouvelles, je t'avoue je m'attendais pas à ce que tu tiennes si longtemps avant d'écrire, j'ai moi même contenu mon envie remarque, mais contrairement à toi je n'avais rien de fou à t'apprendre, en tout cas rien qui ne t'aurais inquiété alors je préférais attendre d'être en sécurité avant de prendre la plume.

    Je vois que le ressenti est identique de ton côté quand à ce manque de ne plus t'avoir à mes côtés... bizarre oui en quelque sorte, une sensation étrange comme un bout de soi qui fait défaut, ou quelque chose comme ça.
    Mais nous savions bien qu'un jour nos routes se sépareraient ne serait-ce que momentanément, depuis l'annonce de la venue de Chandra, depuis que les règles ont changés, depuis que ton coeur s'ouvrait vers d'autres horizons.
    Sans doute à ta façon m'as-tu fait comprendre, qu'il faut savoir avancer parfois, se jeter à l'eau quand il est temps, pour ne pas se nourrir de remords.
    Et puis tu l'as dit, on s'habitue à tout, on s'habituera à un peu de distance non ? Et ça nous donnera une raison de plus de s'adonner à nos câlins tiens héhé

    J'ignorais que vous aviez prévu d'aller à Genève, j'aurais bien aimé y aller avec vous pour le coup, ce ne sera que parti remise, moi quoi qu'il advienne j'y passerais en Mars pour aller au tournoi, seule ou accompagnée je ferais cette marave helvête. Hors de question que je n'y sois pas.
    Je n'arrive pas à savoir si Zilo compte la faire ou pas, il esquive subtilement le sujet à chaque fois, je n'insisterais pas.
    Nous sommes arrivés à Nancy depuis quelques jours, nous y passons de délicieux moments, en route le renard n'a pu s'empêcher de tenter de piquer la caisse d'une mairie, il a échoué mais fort heureusement sans conséquence, personne ne l'a vu, et non je ne l'ai pas empêché, il est ainsi et je ne veux pas le voir changer sous prétexte de notre relation, je ne sais toujours pas trop où elle ira, mais je me sens bien à ses côtés, j'avoue.

    J'ignore si nous repartirons chacun de notre côté après Nancy, ou si nous repartirons ensemble, l'idée me serre un peu le ventre je... je dois réussir à régler certaines choses avant de me projeter pleinement dans cette envie de construire quelque chose de stable avec lui, mais oui, l'envie est là, mais pour l'instant entre ce que je veux et ce que je peux.... il y a l'ombre de Soren que je dois réussir à glisser dans un coin de mon coeur pour choyer son souvenir sans qu'il n'entrave mes pas pour réussir à vivre sans lui.
    Compliquée n'est-ce pas... je ne saurais te dire si mes ailes guérissent mais j'essaie de les voir se redresser pour qu'elle resplendisse en tout cas.

    Je suis ravie d'apprendre que le p'tit bouchon va un peu mieux, et que vous alliez tous bien, une contagion est si vite arrivée. J'ose espérer que ça avance un peu entre vous deux et qu'il se laisse aller à te faire une petite place dans son espace, mais je sens bien que ce n'est pas gagné.
    Alhena sera sans doute moins complexe à apprivoiser, même si comme je te l'ai dit, ma princesse est du genre capricieuse, mais tellement douce quand on sait comment la prendre, ça fait déjà un moment que je ne l'ai pas vu elle a dû tant changer.

    Je transmettrais à Solveig ton câlin elle en sera ravie je pense, je crois que ne plus vous avoir dans son quotidien toi et Auguste la rend méfiante, elle commence à s'attacher à Zilo je crois, et il lui arrive de rester à son appartement parfois depuis qu'on est à Nancy ou même nous deux, comme ce week-end et hier matin elle m'a demandé si il était parti, alors j'ai demandé au renard qu'il vienne dormir chez moi cette fois, que Solveig puisse se rassurer.
    Pas toujours évident de gérer les attachements des uns et des autres quand les routes divergent un temps ou longtemps malheureusement, mais comme tu dis à chacun de travailler à son bonheur.

    Je vais cesser pour ce jour et tu es déjà en dette de huit câlins minimum mon doux dingue.
    Embrasse tout le monde pour moi et câline tout fort ma princesse dès que tu le pourras.

    Prend soin de toi, je te câline et t'embrasse tendrement.

    Ta Papilloxie

_________________
Layke
05 Février 1468
Genève


Arrivé sur Genève maîtrisé, après quelques turbulence non prévu, le blond trouva quelques instant pour s'attabler à une table pour enfin prendre le temps de répondre à L'ébène. Malgré le brouhaha de la ville plutôt vivante et les quelques tracas qui pouvaient l'accompagner, Il ne pouvait faire autrement que sourire en prenant la plume pour son papillon.




Chère papilloxie,

Même si je ne peu plus t'entendre ni te serrer dans mes bras, je peux encore au moins te lire.Tous les sens sont importants pour apprécier une personne.Et je t'avoue que je n'ai jamais été aussi content d'avoir deux yeux et de savoir lire!

Tu vas rire, après je t'ai envoyé ma première missive, j'ai appris qu'Auguste se sentait mal lui aussi.... malheureusement contagions il y a eu.. Nous avons dû rester un jour de plus sur Saint-Claude pour qu'il puisse se remettre. Mais tout va bien maintenant. Tout le monde est debout et en pleine santé. Enfin, je touche du bois. J'espère qu'Amaury ne sera pas la cause d'une épidémie mortelle....Mais avec le temps froid qu'on a .. Normal que la maladie court un peu!

Je t'avoue que je suis un peu inquiet avec cette histoire de prise de mairie. Je veux bien que Zilo soit Zilo, mais je n'aimerais pas que par le hasard des choses tu sois forcé de l'accompagner dans un destin funeste. Tu sais parfois la justice est facile et rapide. Ils auraient tôt fait de faire des rapprochements qui n'ont pas lieu d'être. Je te vois mal passer quelques jours en geôle. Tu es maitre de ton destin, mais j'aimerais bien ne pas avoir à te faire un câlin en prison.

Cela dit il faut que tu sois heureuse avant tout. Et si ton bonheur est là, il faut que tu y restes. Parfois c'est vrai que pour avancer il faut régler certaines choses, oui. Mais n'oublie pas que si tu veux construire un avenir, si c'est toi qui en conçois le plan, il yaura toujours au moins quelqu'un pour clouer une planche ou tenir une pierre.


Dans tous les cas, nous, nous sommes sur Genève. Je t'avoue que je ne savais pas au début que nous allions passer par ici. Je connaissais seulement la destination. J'ai l'impression qu'on va séjourner là quelques jours de plus. Shelby est en ville.. Je ne veux pas m'attarder sur elle trop longtemps, mais je serais heureux de boire une bière avec elle depuis le temps...

Mais surtout c'est que Ambre veut me présenter son père. Si si. Je t'avoue que le stress est présent. Elle a beau me rassurer, et je sais que c'est une étape à laquelle je ne puis pas échapper , mais c'est quand même son père. Un père noble qui plus est. Elle m'a parlé d'une bouteille de vin à offrir.Enfin, je vais bien voir. Je ne vais pas me défiler...

Oh ah j'oubliais elle m'a aussi glisser un mot au sujet de fiançailles. Ne t'inquiète pas, rien n'est fait et rien ne sera fait pour l'instant. Mais je trouve ça amusant que cette fois ce n'est pas moi qui en parle en premier. Pour une fois que j’essaie de faire les choses bien...Peut-être que j'essaie trop parfois.Il faut que je laisse couler les choses. Nous verrons bien. Surtout qu'il est rare qu'on m'aime autant...

Pour ce qui est du tournoi cela dit je ne sais pas moi-même. C'est que j'évite le plus possible de me projeter dans le futur. Je ne veux pas m'engager dans quelque chose dont je ne suis pas certain de pouvoir honoré. Surtout que je dois aller chercher un chiot sur Limoges moi.. Enfin, j'ai bien envie d'essayer.. J'essaierai de voir avec Ambre aussi...Mais il faut déjà qu'on se rende en Savoie... on à des gens qui nous attendent... même s’ils ne le savent pas encore!

Et puis il va falloir qu'on se revoie plus vite, sinon ma dette sera impossible à rembourser.. Déjà que je te dois tellement...

Allez je te laisse là-dessus, il faut que je me prépare, j'ai une grande rencontre qui m'attend..

Bises de coincoin,


Layke
Eudoxie_

*Le Mans, 21 Février 68*
Papilloxie en vadrouille



Prendre le courrier et se rendre compte, se rendre compte du temps qui passe sans qu'on n'y prete attention... presque un mois que les routes avaient pris chemin différent, un mois que le canard ne venait plus agrémenter son quotidien de ses âneries, un mois que chacun vivait sa vie.
Il lui manquait, et pas qu'un peu, leur délire et cette façon de se conseiller l'un l'autre sur tout et rien, de se demander de quoi serait fait demain, de rêver en duo à l'Eudopie, ce monde qui n'appartenait qu'à eux, crée une longue nuit à discuter près de trois ans en arrière.
Alors fusain se posa sur le parchemin, avec une hésitation, avant de glisser en liés et déliés, comme si elle cherchait à partager un de leurs fameux câlins.




    Mon coincoin,

    Le temps file plus vite qu'on ne le voit passé, déjà près de quinze jours écoulés depuis ton dernier courrier, sauras-tu ne point m'en vouloir toi qui réponds si vite à chacun de mes envois ?
    Mais je vais bien, soit en rassurée, je me porte très bien même, Zilo prend grand soin de moi, je crois qu'il n'aimerait pas te voir en colère en fait, outre le fait qu'il est fou de sa Doudouxie bien sûr.
    Mais tu sais on dit de se méfier de l'eau qui dort, alors je crois que même moi je n'aimerais pas te voir en colère, je n'ose imaginer quel genre de cataclysme tu peux devenir dans ces cas là, oulà.

    Ici nos pas s'égarent au gré de notre quête d'appartement, de Nancy nous sommes allés vers Reims puis Rouen où Zilo n'avait pas d'appartement, et là nous voilà au Mans pour un de ceux me manquant.
    Je pense qu'un jour peut-être en me débrouillant pas trop mal je pourrais le rattraper, le seul truc c'est que là, mes fonds vont commencer à manquer, et oui ça coute cher ces p'tites bêtes là mine de rien.

    En parlant de p'tite bête, ta complice de mission se porte comme un charme, elle fait des bêtises avec son copain renard, en attendant d'en refaire avec son copain canard, elle parle de toi à chaque fois qu'on mange du fromage hihi, je crois que c'est foutu votre mission fromage t'y as associé à vie, elle t'appellera tonton ou copain fromage canard jusqu'à la fin de tes jours maintenant. Héhé.

    J'espère que tout s'est bien passé avec Alhéna, que le contact s'est fait avec plus d'aisance qu'avec Amaury, mais la princesse est plus petite ça a dû se passer avec moins de soucis, elle est plus souple sur l'amoureux de sa maman. Embrasse là fort pour moi, j'ai hâte de pouvoir la revoir même si ça risque de ne pas être tout de suite, tout de suite.
    Avec le tournoi qui approche je pense que l'Helvétie sera notre prochaine destination si on vous rejoint en Provence, où vous devez déjà être depuis le temps, je ne saurais être à temps pour les festivités.
    Est-ce que tu sais si vous irez ?

    Sinon et bien j'avance, je me laisse porter par le vent de la tendresse, par ce que mon renard m'offre, et si on a parfois des incompréhensions il est d'une patience infinie avec moi, plus d'un aurait sans doute rendu les armes je pense, je suis maladroite par crainte de souffrir encore, ou de faire souffrir, ou je ne sais pas.
    Et toi mon coincoin, comment tout va avec notre nymphe ? Ca a été avec papa Léonin ?

    Donnes moi donc un peu de vos nouvelles et vos projets, votre route, tout ce qui fait que nous pourrions nous rejoindre, croiser, que tu me paies ta dette de câlins qui ne cesse de croître mon coincoin, hihi.

    Je t'embrasse tout tendrement, fais attention à toi.

    Ta Papilloxie.

    Eudoxie

_________________
Layke
*Aix, 4 mars 1968*
canard en Convalescence


Installé au coin de d'une table dans l'appartement, encore à grimacer quelque peut et à faire des mouvements de poignet pour chasser la douleur, Le canard pouvait enfin répondre au Papillon. Bon la douleur était présente encore, mais son papillon avait déjà assez attendu. Il ne pouvait pas la faire attendre plus longtemps non. Oui, pour elle il allait surmonter la douleur eh! Attrapant sa plume, il appuya faiblement la pointe sur le vélin, autant que son poignet lui permettait. Outch..Elle risquait d'être longue à écrire cette lettre...




Chère papilloxie,

Désolé d'avoir mis un peu de temps à te répondre, disons qu'il nous est arrivé une mésaventure et j'ai pris un ou deux jours de plus pour me remettre. Ne t’inquiète pas plus qu'il ne le faut, tout le monde va bien et en un morceau c'est l'essentiel.


Cela dit il faut que tu saches qu'on a un peu beaucoup traîné en chemin. On vient tout juste de mettre les pieds en Provence. J'apprends avec le temps que les voyages sont souvent prolongés quand on voyage avec Ambre. Bon ce n'est pas en mal, je continue de profiter d'elle, et je ne me presse pas, mais du coup Il ne faut pas trop se fier aux planning de voyage, je crois.. D'ailleurs on s'est même perdu de vue une journée entière ! Une histoire de porte de Vago qui se refusait d'ouvrir. Mais bon cela c'est bien terminé on s'est retrouvé!

En fait le plus désagréable dans tout ça, comme je t'ai écrit plus haut , c'est qu'on a fait la connaissance de joyeux brigands sur la route qui ont décidé de nous dépouiller de nos économies. Au moins ils sont sympathiques. Ils nous laisser tous nos autres biens... Bon enfin tout va bien.Je me suis fait mal au poignet mais rien que le temps ne pourra pas guérir. Auguste à été un peu plus touché, mais il devrait s'en sortir, tout comme les autres aussi! Foi de Layke médecin!

À parce que oui je ne t'ai pas dit , mais j'ai enfin terminé mes études de médecine. Si si j'ai réussi. Pas trop tôt. C'est bon tu peux tomber malade maintenant je saurai te soigner, je t'y autorise! Enfin. Si tu n’es pas trop loin..!

Tien d'ailleurs. Après Marseille il est fort probable que moi et ma douce Sirène nous nous séparions quelque temps. Nous allons déposer monsieur le Poète sur Dijon et ensuite, il semble qu'elle est un besoin très pressant de rejoindre la Bretagne. Je n'ai pas compris exactement pourquoi, elle m'a dit que c'était sa famille qui la demandait. Sans plus d'explication. Mais dans mon cas. Depuis le temps que j'entends parler du tournoi de Marave, j'aimerais bien aller y faire un tour avant d'aller en Bretagne. Ne serait-ce que pour regarder si je ne puis participer! Tu auras bien besoin d'encouragement non? Bon nous verrons bien . Dans tous les cas, je n'ai pas envie de creuser plus qu'il faut. Si elle a temps besoins de se pressé pour aller en Bretagne je l'accepte.. Bien que du coup je me demande pourquoi on a pris autant notre temps pour le voyage. M'enfin bon! C'est ma Sirène après tout. On survivra à ça, il le faut. Je trouverais bien un cadeau Souvenir à Genève pour elle et Alhena. Sinon une boite de douceur . C'est vraiment efficace. Et je t'assure que pour approcher la princesse, il n’y avait pas mieux! Tout se passe bien d'ailleurs avec elle. Je pense que je vais pouvoir lui apprendre quelques bêtises en Bretagne. Bon par contre me demande pas de lui faire des tresses... je ne sais déjà pas me coiffer moi-même.. J'ai tenté une fois. Une catastrophe. Je laisse ça à sa mère elle est plus douée c'est certains..!

Oh et pour le beau père.. On m'a soufflé à l'oreille qu'il m'aimait bien. C'est bon signe non?


Je ne sais pas exactement quand est-ce je pourrai te refaire un câlin, mais j'espère bien que je vais pouvoir t'en faire un avant qu'on se tape dessus à Genève..! En espérant que ta maladresse me laisse gagné cette fois...!


À bientôt mon papilloxie.


Ton Coincoin
Layke
-17 Avril 1468, Maçon-


Dans sa chambre à l'auberge, le blond canard s'affairait d'une fébrile à écrire à son amie. Il avait passer la journée à tenter de se calmer car il s'avait fort bien qu'il était du genre à s'emporté. Et pour le coup il y avait matière. Mais cette fois c'était différent. ça concernait son papillon. Et il s'inquiétait. Oh à avait bien essayé de le rassurer plus tôt, mais se ne fut pas assez efficace. Il avait passé le reste la journée à tenter de s'aérer l'esprit à l'extérieur, se dire que ce n'était rien mais c'était peine perdu. Cela dit au prix d'un effort insurmontable il avait réussi à écrire une lettre qu'il croyait plus que potable. Et puis de toute façon il ne pouvait pas attendre. Il avait besoin qu'elle l’éclaire...




Bonjour Eud,


Je ne sais pas exactement ce qui se passe. Enfin si. J’ai une petite idée. J’ai pris un peu de temps avant d’écrire cette lettre. J’aurais pu écrire tout et n’importe quoi sinon. J’exagère tout le temps. Tu me connais bien. Sache juste que tout ça m’inquiète un peu. J’ai la forte impression que tu t’es éloignée d’Eudopia. Je puis comprendre, j’imagine. Je ne puis que m’occuper du jardin en attendant, je crois. Mais sache juste que si tu as besoin d’un chauffeur. Je suis là. Je t’amènerai où tu voudras.

J’aimerais juste un signe. Quelque chose. J’ai l’impression qu’il me manque une saison là, voire une lumière pour me guider. Où alors peut-être que c’est juste à mon tour de le faire?

J’espère que tu ne pleures pas trop. Que Solveig te fait plein de câlins.

Tu sais que tu comptes énormément pour moi.

Fais-moi signe s’il te plait.

Prends soin de toi.

Ton coincoin Layke.


Lettre envoyé donc. cela dit ce n'était pas pour le calmer plus. La nuit allait être longue, beaucoup plus qu'à l'ordinaire et probablement pas très apaisante. son étoile ne brillait plus.
_________________
Eudoxie_

*Quelque part, fin d'après-midi du 18 avril 68*
En tête à tête avec soi-même


La tourmente... voilà d'où la bestiole écrivait... l'avant veille avait vu une discussion dont les lames acérées de certains reproches avaient profondément blessée la brune, un surtout, qu'elle tairait à quiconque demanderait ce qui l'avait poussé à partir, parce que oui... la blessure était si profonde que le coeur et la tête s'étaient mis en accord, ou pas, peut-être plus l'un que l'autre qui avait poussé la bestiole à partir.
Toujours était-il que cela n'était pas sans conséquence, pour elle, pour eux, et les missives avaient vite rejoint sa petite roulotte,après sa brune à qui elle avait répondu le soir même, c'était son coincoin qui avait écrit mais là aucune réponse n'avait été donnée, si Carla comprendrait son besoin d'éloignement, lui en revanche.... c'est donc le lendemain en fin d'après-midi que la plume fut saisie, pour tenter d'expliquer sans en dire trop, sans dire qu'il était autant qu'elle l'objet d'un courroux provoqué par les langues de vipère d'un tournoi qu'elle commençait à haïr.




    Bonjour Layke,

    Je suis désolée d'être partie ainsi, je ne voulais pas t'inquiéter, ni aucun de vous, je n'ai pas réfléchi, ou peut-être trop, je ne sais pas.
    Je suis perdue, j'ai mal et j'avais juste envie d'être seule, de réfléchir, de m'isoler.
    Je n'ai répondu qu'au courrier de Carla hier, j'espère qu'elle aura su te rassurer qu'il ne m'était rien arrivé.
    Ne m'en veux pas de ne pas t'avoir répondu mais, je ne savais pas quoi dire pour que tu ne t'inquiètes pas plus, je ne le sais pas plus maintenant, mais je ne veux pas que tu penses que je suis fâchée contre toi.

    Quand à ce qui se passe et bien, Carla a usé de courrier pour me dire qu'elle ne viendrait pas en taverne, pour que je discute avec Zilo, qu'il fallait qu'on se parle, je l'ai écouté, j'ai ouvert une nouvelle porte de communication, et certaines choses ont été dites, nous avons discutés.

    Eudopia est à mille lieues de moi actuellement, je ne sais même pas si j'en connais encore le chemin, je l'ai cru un temps et là je ne suis plus certaine de rien...
    Comme je te l'ai dit je suis perdue et bien d'autres choses sans doute, mais que je préfères taire. Je vais physiquement bien.

    Solveig a été un ange hier, même si elle s'est demandé ce qui se passait je pense, mais m'avoir pour elle seule à sembler combler ses interrogations. J'espère que Juliette saura l'occuper pareillement en mon absence. J'ai besoin de me retrouver vraiment seule un peu... de renouer avec moi-même, de je ne sais pas, je sais pu en fait.
    J'ai donc décidé de partir en les laissant à l'auberge, me ressourcer dans la nature, peut-être trouverais-je une grotte.

    Tu comptes beaucoup aussi, tu as été là dans les bons moments comme dans les très durs pour moi, gardant pour toi le dernier de mes secrets, alors que tu pensais que j'aurais dû le lui dire, qu'il avait le droit de savoir, mais à quoi bon le faire souffrir pour un bébé dont j'ignorais tout autant que lui la présence, et qui ne verra jamais le jour.
    Et quelque part, je me demande quel cataclysme aurait provoqué ce petit être si Morat ne me l'avait pas arraché, juste lui rappeler de mauvais souvenirs sans doute.

    Je me perds moi même dans mes pensées, je... j'ai... je ne sais plus... peut-être ne suis-je plus capable d'aimer comme il faut, ou mal, que mon coeur est trop abimé...

    J'ai besoin de temps... je crois... et j'ignore si partir était le bon choix, j'ai peut-être tout détruit... mais je ne sais plus où j'en suis, il m'a blessé... j'avais besoin de digérer, de m'isoler, de me protéger, et Solveig avec moi.
    Que je souffre est une chose, elle je refuse, Zilo est mon choix, mais elle aussi fait partie de cette vie que j'espérais avec lui.

    Je...

    Je vais arrêter d'écrire, ce n'est pas une bonne idée, j'avais raison.

    Prend soin de toi et des autres, reste qui tu es, et si les autres ne te comprennent pas tant pis, ils ne savent pas ce qu'ils perdent. Ne s'attarder qu'à la surface est l'erreur du genre humain.
    Je l'ai vu pour toi, pour Zilo, pour bien d'autres... mais peut-être que je veux voir le positif là où il n'y en a plus, peut-être oui...

    Je transmettrais tes baisers à ta petite disciple quand je la verrais.

    Câlin.

    Papilloxie



Se relisant, la petite brune hésita un temps, l'envoyer ou pas, reparler de tout ça, expliquer autant, ou juste ré-écrire juste un "je vais bien ne t'inquiète pas" auquel il ne croirait pas et qui le pousserait à la chercher encore plus.
Non... non... ce n'était pas l'idée mais juste la rassurer et lui faire comprendre son besoin de solitude, en espérant que tout irait bien, le silence se faisant salvateur pour certaines réflexions, pour s'apaiser, et la nature en solitaire voilà où elle était désormais.

_________________
Layke
****Dans la nuit du 18 avril 1468, Maçon, mais plus pour longtemps***


La soirée fut brève. Mais le canard à tout su ce qu'il voulait savoir. Vu ce qu'il voulait voir. Après avoir reçu une réponse de sa papilloxie il voulait en avoir le cœur net. Pour lui maintenant c'était clair.IL n'avait pas traîné non. ça n'aurait servi à rien. rien du tout. D'abord en colère, puis désabusé juste, il avait tôt fait de prendre la plume, histoire qu'elle sache, qu'elle soit rassurée. Elle ne méritait pas ça non. Et il serait là quand elle voudrait bien.. mais pour l'instant d'où il était .. il ne pouvait guère faire plus que d'écrire ces mots:



Bonjour Eud,

Je suis franchement heureux d'avoir de tes nouvelles. Même si elles ne sont pas bonnes. Au moins j'ai une piste. Sache que je ne peux pas t'en vouloir. Non. Jamais. Tu es une personne tellement formidable. Je sais je t'ai souvent louangé, mais là je crois que tu as besoin de l'entendre et de le lire. Pour moi ça ne change rien. Tu es ma papilloxie mon printemps mon soleil tout ça tout ça. Bon peut être que tu rayonnes un peu moins, mais qu'importe, ça ne change rien.Les orages ne sont pas infinis.

Je te comprends même, tu sais, je connais que trop bien ce besoin de solitude. Ne fait juste pas la même erreur que moi. Prends tout le temps dont tu as besoin. Et quand tu seras prête, tends-moi la main. Je viendrai te relever. Oui, parce que tu n'as pas à être seule. Tu mérites mieux. Tu mérites le mieux même. Ne t'inquiète pas pour moi.Ça ira. Cela dit j'espère que tu comprendras que je ne peux pas rester sur Maçon. Il m'irrite littéralement. Il ne fait rien. Il ne fera rien. Je l'ai vu, je l'ai senti.Tout ce que tu as fait. Je ne le comprends pas. Je doute le comprendre un jour.Enfin je m'en fiche. Il vaut mieux que j'écrive sur autre chose.

Bref, sache que je vais partir cette nuit. Seul. Carla était déjà prise, et puis de toute façon avec Elyza je préfère autant tracer mon propre chemin. Je ne sais pas exactement où je vais, j'erre un peu sans toi. Ça fait bizarre je t'avoue. Depuis que je suis sorti, c'est la première fois que je ne sais pas. Ta présence était quand même rassurante, apaisante. Mais je trouverai bien en t'attendant.


Là, il faut que tu penses à toi. Guéri bien, ton médecin te l'ordonne.D'ailleurs si tu as besoin d'un diagnostic. Je serais là. D'ailleurs je suis toujours là. N'oublie jamais. En attendant, je compte sur Solveig. Je lui ai enseigné quelques trucs. J'ai encore plein de trucs montrés d'ailleurs.

Allez prend une grande respiration.Un pas à la fois. Mets un peu d'ordre dans tout ça.Je t'aiderai quand tu en auras besoin. On retrouvera Eudopia ensemble. Promis. C'est une certitude.Dès que tu seras prête.

Câlin à toi,

Coincoin


Il regarda le pigeon disparaître dans les cieux, puis sans plus attendre attrapa sa cape et sa besace. Départ sans sa boussole. Par où aller maintenant..ça.. il ne sait plu d'un coup..
Layke
**Le 21 Avril 1468 , Guéret, au matin**


Cette fois si deux jours étaient passés. Le canard comprenait. Elle avait besoin d'un peu de temps il ne voulait pas l'assaillir. La laissé respirer.Et puis lui aussi en avait besoin sans doute. Cela dit il n'allait pas se laisser sombrer non. Et surtout pas la laisser sombrer .Ça jamais. Aussi au matin arrivé à Guéret, il s'était attablé pour lui écrire. Et cette fois si en imposant un ultimatum. Le blond ce croyait magicien, peut être que cette fois s’il allait avoir besoin de plus qu'un tour de magie pour lui faire retrouver le sourire, mais qu'importe. Elle allait revenir, il allait s'en assurer. Et ce par tous les moyens s’il le fallait.La rassurer oui,la comprendre, la lire, mais la secouer doucement aussi, avec le sourire.Est-ce que ça allait suffire?Commençons comme ça... Il verrait la suite..



Bonjour Eud,

Je sais je sais, je t'écris beaucoup trop. Mais je me dis que tu as besoin de savoir que quelqu'un tient à toi. Tu sais, tu n'es pas obligé de me répondre de suite. Ni demain. Mais après... tu n'auras pas le choix non. Parce que dans deux jours si je n'ai pas de nouvelle je vais commencer à faire afficher des avis de recherches. Si si. Et tu me connais , je suis entièrement capable de le faire.Je comprend que tu as besoin de solitude, mais il ne faut pas que tu perdes contact. Solveig à besoins de sa maman. J'ai besoin de toi. Alors, donne-moi des nouvelles. Même si c'est cours. Même si ça ne dit rien. Ce n'est pas grave. Ne fais pas comme moi. Tu sauras te relever. Et si tu as besoin tu sais que je serai là..

Et honnêtement je pense que ça me ferait du bien aussi. Je ne dis pas que je vais mal. Tu me connais je vais toujours bien.J'essaie de me changer les idées, rencontrer de nouvelles personnes.Comme tu m'as suggéré. Tu te souviens?Ça marche assez bien, tu sais.Bon j'ai un peu le vague à l'âme. Mais voilà, même si ce n'est que l'espace d'une discussion, ça fait du bien. Hier j'ai même croisé une vieille connaissance. Bon ça ne change rien au fait que tu me manques, que j'ai un peu l'impression de marcher de travers sans ta présence à mes côtés. Mais ça va. je me rééquilibre. Je sais que quand tu seras prête tu reviendras.

Ce soir je vais me poser et regarder les étoiles. Toi aussi essaies, comme ça je me dis que d'une certaine façon tu ne seras pas seule cette nuit.

Fait attention à toi, et ne t'enterre pas dans une grotte,


câlin,


Ton coincoin

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Layke
**24 avril 1468, Limoges**


Le blond souperait. légèrement ensevelie sous ses craintes. Il avait espéré que sa dernière missive soutire un sourire à sa son amie, mais passé son ultimatum, forcé de constaté que ça n'avait eu aucun effet. ça lui faisait peur certes. Mais il n'allait pas lâché non. Il ne pouvait pas. Il allait la retrouver. D'une manière où d'une autre. Et quand bien même ses mots restait lettre morte, il allait continuer à lui écrire oui. Juste pour qu'elle sache.




Bonjour Eud,

J'avoue je commence à avoir un peu peur. J'avais espéré que ma lettre te fasse sourire un peu, t'amène un peu de réconfort. Mais Il semble que ça ne suffit pas. En même temps je ne sais pas trop pour qui je prend. J'avais espéré croiser ta route sais-tu.. mais j'ai l'impression que je n'ai pas pris la bonne. Tu sais j'ai lu ta lettre à plusieurs reprise. J'essais de voir si y'aurait pas un sens caché un indice. Je sais que tu as besoins de t’éloigner un peu, mais à ce point. Juste un mot juste un mot s'il te plait. Permet moi de t'aider. Je me fiche bien du restes. Je t'attendrai autant qu'il le faut.Mais aide moi a dormir ce soir. Je continue à te chercher. J'aimerais tellement te retrouver. Juste pour un câlin. Ça sera long je sais, mais je veux être là pour toi. Qui sait, te ramener à Eudopia?

Tu me manques.


Coincoin inquiet


p.s. Au cas où tu serais dans le coin.. Là je te cherche sur Limoges...

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Layke
4 Mai 1468, Dax


Un moment déjà que le blond avait décidé, en se faisant lutte, de laisser son amie respirer. Pas pour autant sinon qu'il avait baissé les bras. Même la nuit, il rêvait de nouveaux moyens de la retrouver. Il avait concocté une affiche déjà. Et qu'importe les mésaventures qu'il croisait sur les routes, parce que oui, il en avait croisé, il ne s'arrêtait pas. Qu'importe la fatigue, qu'importe les débâcles, il se reposerait lorsqu'il pourrait la voir. Cette fois, il avait décidé de rivaliser d'originalité pour la sortir de sa cachette.Surtout qu'il lui avait laissé beaucoup de temps là!

Une lettre pour sa fille. Estampillé à son nom même! Il s'imaginait au moins que son visage sourirait l'espace d'un souffle. Juste le temps qu'elle brille un peu dans le noir pour lui donner une direction. Enfin. Mais peu importe, réponse ou non. Il la retrouverait.




Bonjour Eud,

Plusieurs jours, sans nouvelles. Je comprends que tu as besoin de temps et tout.Mais je t'avoue que ça m'inquiète pas mal. Parfois j'imagine le pire des scénarios. Mais je ne sais que tu ne ferais pas ça non? Parce que tu n’es pas seule, tu sais. Moi je te cherche toujours. Enfin. Dans l'optique où je veux que tu te reposes un peu et que tu prennes tout ton temps pour toi. La suite de la lettre je l'ai écrite pour Solveig. Donc si tu veux bien lui passer s'il te plait. Merci. Je te fais quand même un câlin. Parce qu'un câlin c'est toujours reposant.

Layke.


Coucou Solveig.


Comment vas-tu? C'est Layke ton copain canard qui t'écrit. J'espère que tu mènes à bien ta mission toujours hein? Ta mère surtout en ce moment a besoin de tous tes câlins. Alors, n'hésite pas, dès que tu peux, fait lui un câlin. Promis dès qu'on se revoit je t'amènerai en ballade. Rien que toi et moi. On ira taquiner le poisson. Où mieux, chasser des papillons. Ou encore, cueillir des pissenlits. C'est le printemps, tu sais. Un beau bouquet de fleurs, ça ferait plaisir à ta maman, je pense.Je sais que ça fait longtemps qu'on ne sait pas vu tous les deux, mais c'est parce qu’en fait, je ne sais pas si tu savais, mais en ce moment on fait une grooooossssseee partie de cache-cache.

Oui oui. Moi je vous cherche depuis des jours. Demain j'entame mes recherches sur Orthez, tu sais. Je compte bien aller fouiller ta maison et celle de ta mère de font en comble. J'approche du but tu crois? Tu pourrais me donner un indice peut-être? Allez si tu m'en donnes un je te ramène un bout de fromage. Tu en dis quoi?Ce n’est pas vraiment de la triche. C'est de l'entraide entre copains. Promis si tu me dis, je dis rien à ta mère promise. Et puis ça lui fera une surprise. Après ça sera à toi de me trouver. Mais à mon avis t'es plus douée que moi. Il faudra que je trouve une excellente cachette hein. En tout cas j'ai hâte de vous trouver moi. Il m'est arrivé une bricole en vous cherchant, tu sais. Mais je te raconterai quand je te retrouverai! En attendant, je te fais d'énormes bisous et un gros Câlin. Et t'en feras un à ta mère aussi de ma part. Tu veux bien? Merci!


À bientôt princesse D'Eudopia,


Layke le jardinier.

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