Psyche
Psyché n'avait pas eu le temps de profiter de la douceur du sourire d'Hima que des cris se firent entendre à l'autre bout de la pièce, des cris de douleur et d'effroi pour ceux qui émanaient d'une gorge féminine, de colère et de haine quand aux voix plus masculines
Le bruit mat dun corps que lon cogne.. ce bruit elle le connaissait ! les coups à répétition les supplications, elle les savait Ô combien inutiles voir provocant davantage les coups puisque ces coups étaient destinés non seulement à assouvir un rage mais surtout à humilier !
Psyché serra les poings tellement forts que ses ongles entrèrent dans sa chair,ses dents ne laissaient plus entrer aucun air tels des étaux vissés à bloc.
Puis elle vit Hima se lancer au secours de la pauvre femme au sol qui ne régissait même plus aux coups que lhomme, ou plutôt la bête sauvage continuait de faire pleuvoir .
Tout alla si vite, le reflet de la lumière sur le métal de la lame, cette matière si dure qui entre dans le corps dHima, si facilement
Psyché voyait cela , sans réagir, ne pouvant simplement pas comprendre ce qui se passait réellement, narrivait pas à établir un pont entre ce quelle voyait et elle-même , comme séparée delle-même dans un instinct de survie, refusant définitivement daccepter ce qui ce passait sous ses yeux .
Le corps dHima glissa doucement au sol, y glissa pour nen jamais se relever, poupée spoliée d élan vital, enveloppe vidée de tout souffle, à jamais
Elle restait là , figée, elle même dénuée maintenant de toute force, au sourire dHima sachant que cétait fini , que le monde serait désormais froid et dur, voyant des gens courir vers elle, tenter limpossible et elle restait là , froide, sans même émettre le moindre son , ne ressentant plus rien.
Psyché voyait le monde autour delle sembraser, indifférente, voulant lêtre.
Puis elle sentit quon lemportait.
Le bruit mat dun corps que lon cogne.. ce bruit elle le connaissait ! les coups à répétition les supplications, elle les savait Ô combien inutiles voir provocant davantage les coups puisque ces coups étaient destinés non seulement à assouvir un rage mais surtout à humilier !
Psyché serra les poings tellement forts que ses ongles entrèrent dans sa chair,ses dents ne laissaient plus entrer aucun air tels des étaux vissés à bloc.
Puis elle vit Hima se lancer au secours de la pauvre femme au sol qui ne régissait même plus aux coups que lhomme, ou plutôt la bête sauvage continuait de faire pleuvoir .
Tout alla si vite, le reflet de la lumière sur le métal de la lame, cette matière si dure qui entre dans le corps dHima, si facilement
Psyché voyait cela , sans réagir, ne pouvant simplement pas comprendre ce qui se passait réellement, narrivait pas à établir un pont entre ce quelle voyait et elle-même , comme séparée delle-même dans un instinct de survie, refusant définitivement daccepter ce qui ce passait sous ses yeux .
Le corps dHima glissa doucement au sol, y glissa pour nen jamais se relever, poupée spoliée d élan vital, enveloppe vidée de tout souffle, à jamais
Elle restait là , figée, elle même dénuée maintenant de toute force, au sourire dHima sachant que cétait fini , que le monde serait désormais froid et dur, voyant des gens courir vers elle, tenter limpossible et elle restait là , froide, sans même émettre le moindre son , ne ressentant plus rien.
Psyché voyait le monde autour delle sembraser, indifférente, voulant lêtre.
Puis elle sentit quon lemportait.