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[RP]Mariage:Laure de Troy d'Orsenac & Namaycush Salmo Sa

Namaycush
Un officier sous la tourmente. Un officier n’est jamais dans la tourmente. Il fait front, accomplit le devoir comme la volonté.

Un homme sous la tourmente. Un homme debout n’est jamais dans la tourmente. Il est le roc sur lequel s’abattent toutes les vagues des océans. Il est le protecteur, le rempart de chair, de l’âme et de l’esprit.

Nerfs d’acier,
Cœur d’Or,
Homme d’Airain !


Un fils de Foy ne connaît pas la tourmente. Il trace imperturbable le chemin de sa destinée. Et la croisée de ce chemin est ici, ce jour, en ce moment, avec Laure, tant ils sont les acteurs majeurs de leur vie, au cry simple et réciproque : « Je suis, tu es, Noux sommes ! ».

Il a entendu les mots mauvais, les bonnes paroles, celles qui font du tort ou du bien, mais la sentinelle ne bronche pas, la sentinelle ne se distrait pas de la mission…

Main gauche levée, parole d’homme, parole de Carmin… parce que personne n’a pu dire que Carmin était menteur…



Au Nom de Dieu le Tout-Puissant,

J’épouse ce jour Laure, la femme qui m’a le plus aimé de ma vie. Je jure de l’aimer, je jure de la protéger et de la rendre heureuse tous jours que Dieu fait.

Je jure de la faire sourire, de lui réitérer mon amour quotidiennement, de prendre tous soucis et de lui offrir que les moments de bonheur.

Parce que je suis celui qui fait et qui le dit, celui qui le dit et le fait, que ce serment soit inscrit à jamais en nos mémoires et cœur.

Sans cesse, je remercierai le Ciel de m’avoir fait la rencontrer, ce qui m’a permis de goûter, au-travers des chocs qui ensanglantent périodiquement mon existence, à de courts instants de bonheur, de détente et de paix.

Et ainsi en sera-t-il !



Voix qui marque et qui résonne, voix d’autorité de l’officier, voix de l’amoureux, voix de marié…

Clignement de cils…. « Moi aussi, j’y pense, Talante. Moi aussi j’ai pas oublié. Mais ce n’était pas le moment. Préserve le cornichon… »

_________________
Princesselaure
Un regard à droite, un à gauche... Dans les faits ils étaient mariés et par la très Sainte Eglise Aristotélicienne... Mais... Oui car dans toutes les grandes histoires il y'a un "mais" qui se ramène ! Une voix forte ramena la blonde dont la bulle venait de littéralement péter dans les airs !

Par tous les Saints...

Dans un mouvement circulaire, la blonde tourne sur elle même, laissant dans son dos l'officiant... L'azur se noie alors devant l'homme ainsi devenu Chef de Famille au trépas du Royal Époux. Le dévisageant de la tête aux pieds... Les lèvres qui se font mordiller par une mâchoire nerveuse... Ne parlons pas ici de crainte mais bien de surprise... Hector... Battements de cils pour chasser les larmes qui se regroupent en masse, souffle léger... A la fin du discours, elle s'avança alors et s'aidant de ses mains sur ses avant bras, vint lui déposer une bise... Laure avait eu besoin d'entendre ces mots là... Pas de soutien mais de respect... Le respect juste de sa condition de "Mère"...

Merci.... Mon fils... Je... Merci d'être là... Et puis...

Caressant sa joue d'un revers de main pour essuyer les perles iodées, elle fut stoppée net par Marguerite qui s'opposa au mariage... Le regard reste droit, stoïque... Alors que la main droite ressert le tissus de sa main sans vergogne... "Elle a de la chance que l'on soit dans un lieu Saint... " Car pour le coup, la Princesse aurait giflé sa fille pour que les idées reviennent à leur place. un caprice de favorites... Une crainte d'un enfant... Quoiqu'il en soit ce spectacle ne devait pas avoir lieu le jour dudit mariage... Et quand on lui disait... Laure... Autant de sauvages à ton mariage ! Tu n'as pas peur ? Mais non.. La sauvagerie vient souvent de l'opposé ! Bingo ! Je gagne quoi du coup ?! Ne disant mot... Regardant alors Marguerite quitter la cérémonie... Cherchant à mordiller la peau de sa bouche... Nerveuse... Hargneuse ?! Possible... Après tout les chiens ne font pas des chats ! Ainsi donc... Il ne restait que présentement deux fils, un oncle et une nièce.. Glissant légèrement pour rejoindre Hector et le reste de la famille furtivement...

Bon... J'ai déjà eu deux affronts de la part de mes filles... Si je dois essuyer une nouvelle scène qu'elle ait lieue maintenant... Ulysse ? Elaena ?

Houla sale trogne... Elle a les yeux en face des trous ?! Puis... S'approchant de son oreille à ce Cardinal familial.

Mon Oncle?! Arffff... TONTON ! VOUS ÊTES BIEN LA ?! Orfff non laissez tomber...

Franchement... Les Groseilles et les Tuches n'auront rien à nous envier ! On est les Troy d'Orsenac ! Elle n'ajouta pas... Je vous ai à l'oeil... Car déjà ils étaient dans son dos mais les tigresses faisaient le boulot pour elle ! Remontant les marches, un discret sourire sur le minois tandis qu'Atalante était embarquée ! Arfff décidément ce mariage restera dans les annales... 2 N Laure ! deux ! ouch... Dans 10 ans il faudra dire " Mais oui j'y étais ! Et jusqu'à la fin en plus !" Retournant vers le Carmin, son époux ! Ne parvenant pas à entendre ce qui pouvait bien se dire dans la cathédrale... Un moment glisse alors que quelqu'un doit reprendre les ficelles car là on y fonce... Un raclement de gorge... Alléluia... Arffff moment d'échange des voeux ? Genre maintenant ?! T'fais chier Namay j'étais pas prête là ! Bon tu as de la chance... Ohhhhh c'est mignon... Gné ?! Un large sourire illumina le visage de la blonde, soulagée... Apaisée... Un duo Carmin/Catin comme dirait l'autre ! Plongée dans son regard volcanique... Lui le Gascon... Remarques des volcans chez un Gascon, du Montgascon en Auvergne... La boucle est bouclée...

Éclaircissant sa voix encombrée, entre l'émotion de l'instant, la défiance d'autres, la complicité... Bref tout y passe... Namay si t'as prévu un truc pour la nuit de noce ?! Moi aussi ! DO-RM-IR !!


Au Nom de Dieu le Tout-Puissant,



J’épouse ce jour Namaycush, Un Nom et un Mythe,

Je jure de l’aimer Sincèrement, Follement, Intensément aussi longtemps qu'il me sera permis de vivre sur cette Terre ! Je jure de le protéger ! Je jure de le tempérer aussi parfois !

Je m’engage avec l'homme solaire qui m’a séduite et me séduit encore.
Je m’engage avec l'homme tantôt soucieux tantôt furieux.
Je m’engage avec l' homme rieur sans cesse à l’affût d’un bon mot.
Je m’engage avec l'homme râleur.

Forts de nos passés nous construirons ensemble notre Avenir !! Nous tracerons notre chemin ! Celui que nous emprunterons... Celui que nous gagnerons !

Mais puisque Noux Sommes Laure & Namay, Noux Sommes Namay & Laure... Sans jalousie je te partage bien volontiers avec la Memento Mori, cette vaillante et valeureuse compagnie qui a su m'accueillir alors que j'étais imposée. Cette famille qui est la tienne est qui me plait chaque jour de côtoyer, d'aimer les tiens, comme j'aime les miens !
Sans rancœur je prend ton passé, nous vivons le présent là et demain... Noux Oé !

Je m’engage avec toi Namaycush Salmo Salar.

Mais puisque tout n'est pas si aisé, j'aime le Royaume de France plus que tout, j'aime sa Couronne et celui qui la porte ! J'aime ma famille même si parfois elle est odieuse, J'aime la vie ! et puisque tout est histoire de couleurs... Que le Vert de tes yeux soit mon Espoir ! Que le Rouge de ton coeur soit ma Passion ! Que le Bleu intense de France soit ma Vie !

Toi qui épouses cette femme au passé riche, Veuve de Roi, Mère de Fils et Filles de France et puisque je suis une femme amoureuse, passionnée... C'est mon droit de t'aimer !

Et qu'ainsi soit-il !




Un sourire sincère alors qu'elle va prendre ses mains dans les siennes... Regards qui fusionnent, moments complices... Instants magiques ! Revivant le chemin en arrière... Qu'est ce que l'on n'a pas fait pour en arriver là ce jour ! Ce que nous venons d'abattre... Personne n'a eu à le faire ! Jamais ! Soyons en fiers... Le reste n'est que détail d'amateurs...
_________________
Isabelle.sorel
Le 13 octobre à l’auberge.

Le bruit des pas sur le parquet, son amour approchait. Des mains sur ses hanches, un baiser au creux de son cou. Isabelle était la plus heureuse des femmes. Profiter de ce doux moment. Isabelle écoute son prince charmant qui lui donnait des précisions sur cette magnifique cathédrale.

Humm mon amour je ne savais pas tout cela ! Notre Dame est vraiment majestueuse. J’ai hâte de découvrir l’intérieur !
Elle se retourne et se pend à son cou et l’embrasse fougueusement.
Il est temps de nous préparer si nous ne voulons pas arriver en retard !
Après un petit déjeuner copieux, le couple se prépara pour la cérémonie. La blonde était vêtue d’une robe en satin bleu lavande. Cheveux dorés nattés, quelques bijoux discrets. Marc était très élégant lui aussi.

Dans la Cathédrale

Le couple arriva sur le parvis de la cathédrale, ils se frayèrent un passage pour pénétrer dans l’édifice. Isabelle présenta son invitation, et oui les langues de vipère pouvaient avaler leur venin. La blonde avait été conviée alors elle est venue. Quand elle se mariera elle enverra elle aussi des invitations mais certainement pas à ceux qu’elle déteste. Elle était comme cela et se moquait bien de ceux qui perdait leur salive pour pas grand-chose.
Isabelle et Marc s’installèrent à l’endroit désigné par la personne qui filtrait les arrivées. La cérémonie n’allait pas tarder à commencer. Le futur époux rentra le premier et se dirigea vers l’autel. Puis se fut l’entrée de la mariée qui était somptueuse. Un sourire aux lèvres, un regard amoureux à Marc, qui lui a redonné l’envie de

*Apprendre à rêver
À rêver pour deux
Rien qu'en fermant les yeux
Et savoir donner
Donner sans rature
Ni demi-mesure
Apprendre à rester
Vouloir jusqu'au bout
Rester malgré tout
Apprendre à aimer ….


Le Cardinal commença la cérémonie, Isabelle et Marc main dans la main, écoutèrent ses paroles ainsi que celles de la Mariée et du Marié, il n’y avait aucun doute ils étaient bel et bien amoureux….

• Savoir aimer, Florent Pagny, Paroliers : Lionnel Florence / Pascal Obispo

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Jiveli
Les vœux étaient échangés, et j'étais présente.

Ce mariage était le premier auquel j'assistais. Je n'avais pas du tout imaginé cela comme ça.
Cela ressemblait à une épreuve dont tous attendaient le dénouement.

Pendant longtemps, la tension avait été si épaisse qu'elle en était respirable, qu'elle gênait la respiration, comme une fumée malsaine.

Tout le monde semblait craindre quelque chose, Sofie et Elie étaient tendues comme des arcs, Laure avait l'air d'osciller entre l’exaltation et la crise d'hystérie. Je lui fis un sourire, lorsqu'elle remontait l'allée, mais son regard était déjà parti trop loin pour me remarquer parmi la foule... pourtant, avec mes pissenlits!

Les trois sœurs du Bourbonnais étaient bien belles...

Le marié, quant à lui, avait l'air prêt à l'attaque, paré à pourfendre le premier qui s'avancerait sur son chemin.

La dame à ma droite pleurnichait dans son mouchoir, l'homme à ma gauche grinçait comme une armure rouillée, j'écoutais tout ces bruits en grattant consciencieusement la cire du banc devant moi, j'attendais...

Des gens étaient entrés, des gens étaient sortis, des gens avaient crié. J'avais fait semblant de ne rien voir et de ne rien comprendre. L'ineptie est la meilleure de mes armes, elle me cache aussi bien qu'une montagne et me rend insensible à la méchanceté, je ne la comprends pas.

Enfin, ils avaient dit oui.

Il était enfin l'heure d'aller boire pour fêter l'événement.

J'allais tenter de sortir en avance, je resterai sinon coincée dans la foule parfumée.
J'hésitais, la Dame au mouchoir avait de si gros seins qu'il me semblait difficile de passer sans les prendre dans la figure. Je poussais délicatement le monsieur en m'excusant platement du dérangement:


- Pardon, poussez-vous... mais poussez-vous enfin, c'est pas possible d'être si empoté!!!
Quoi? Tu sais ce qu'elle te dit la gueuse?? Ben, il ne vaut mieux pas!! On a pas idée d'être si peu galant!


Je me retrouvais enfin sur le parvis, j'appelais Ping-Pong et confiais à mon merle un message pour Laure, elle le recevrait plus tard... Un poème, c'est bien un cadeau de vagabond ça!



Ma chère Laure,

Tu sais que je suis rarement très à l'aise financièrement. Ma marraine m'avait conseillé de t'offrir du tilleul, c'est vrai que ça sent bon le tilleul.

Mais bon, j'ai cherché, je le jure, je n'ai trouvé que de la sauge et du céleri. du coup, ça fait un peu ragoût de porc et potage, comme cadeau de mariage, c'est étrange.

Alors, je t'envoie juste un poème, qui n'est pas de moi mais qui représente ce que je ressentirais si je venais de me marier ... Eurk!

J’ai laissé dans des flaques de larmes
L’acier de mes armes
Des sombres vents
D’avant
N’en reste que poussières furtives
À jamais captives,
Du passé
Trépassé…
Car tu m’as ouvert la porte du bonheur
Cet unique seigneur
Lumière
Bannière
En Face duquel, les autres dieux ne sont rien
Que dogmes incertains
Que relents
De sang.
Dors mon ange
Le futur nous lange
Les nuits prochaines seront nôtres
La sérénité en sera l’apôtre
Je m’arrime là
A côté de toi…*


Je souhaite sincèrement que ton bonheur dure toujours. Je t'embrasse,
Jiveli


* Christophe Bregaint

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Olivia_w.
Olivia suivait cérémonieusement cette magnifique cérémonie, où chaque personne était plus belle que la précédente. Olivia fut émerveillée par la Princesse qui était resplendissante dans sa robe. Olivia dut se mordre l'intérieure de la joue pour ne pas s'exclamer à haute voix. Elle était subjuguée quand la fille de la mariée se donna en spectacle, c'est à ce moment précis qu'Enduril arriva en retard et se mit à lui parler.

En effet, ce n'est pas la honte qui l'étouffe pour se donner ainsi en spectacle en tentant de voler la vedette à sa mère. Si elle ne voulait pas être présente, elle n'avait qu'à pas venir plutôt que de mettre ainsi sa mère dans l’embarra.


Olivia reporte son attention sur la cérémonie qui continuait pour admirer ce nouveau cette somptueuse robe, qu'elle n'aurait même pas imaginé dans ses rêves les plus fous. Émotive et sensible, la jeune femme laissa des larmes perlés sur ses joues tellement les voeux échangés étaient profonds et romantiques. Elle espérait qu'un jour aussi quelqu'un l'aime d'un si bel Amour.
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Gropius
    Il a brouillé les yeux, courbé le nez, fait une grimace de dégoût et s'est dit: O mio Dio! Cos'è questo circo? Ô mon Dieu ! C'est quoi ce cirque?

    Quand ils ont fini de cancaner, la cérémonie a continué.

    Le Cardinal se tourna vers les jeunes mariés:


    Mes fils, unissez vos mains droites. Et puis il a continué:

    Ego conjúgo vos in Matrimónium, in Nómini Altíssimi, et Sanctæ Ecclésiæ Ejus.

    Et il les aspergea d'eau bénite.

    Encore une fois, il s'est tourné vers l'homme et la femme devant lui:


    Il est temps de bénir les anneaux.


Citation:
He blurred his eyes, bent his nose, made a face of disgust and said to himself: O mio Dio! Cos'è questo circo? Oh, my God! What the hell is going on?

When they finished gossiping, the ceremony continued.

The Cardinal turned to the newlyweds:

My sons, unite your right hands. And then he continued:

Ego conjúgo vos in Matrimónium, in Nómini Altíssimi, et Sanctæ Ecclésiæ Ejus.

And he sprinkled holy water on them.

Once again, he turned to the man and woman in front of him:

It is time to bless the rings.

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♝Il cielo e la terra♗
Boutefer
Invité ? Il ne l'était pas.
Mais cathédrale est maison d'Aristote et il en est le fils. Nul ne saurait donc lui en interdire les portes.
Pourquoi était-il là ?

Non pour venir réclamer partie de dès promise.
Non pour voir la Divine épouser le gascon.
Non pour troubler ce mariage que la Divine semblait souhaiter de tous ses voeux.

C'est une affaire des plus discrètes qui l'avait conduit à Paris et c'est là qu'il avait appris le mariage décrié. Lui n'en avait chaut. Un mariage ici-bas ne dure que ce que vivent les roses, c'est à dire le temps de pondre un ou deux mouflets, de se balancer les cadeaux de mariage à la trogne avant de s'aventurer dans d'autres couches et, de mémoire, les deux avaient déjà quelques heures de vol en la matière. Que la Divine épouse l'ordinaire, que princesse de France épouse félon, comme l'on dit dans les campagnes, là où l'amour se pose, l'étron prend odeur de rose et ce n'est pas mariage princier qui en ferait un roy de France. Dommage d'ailleurs, car l'errant aurait ainsi sans doute trouvé à se caser pour combattre.
Non, s'il était là, c'était un peu par désœuvrement, un peu par curiosité aussi, il fallait bien l'avouer et peut-être pour pouvoir raconter ce qu'il avait vu. Car même si être prince, fils de prince, fils de France était désormais d'un commun à pleurer tant il en pleuvait à chaque règne, il n'en restait pas moins que la Divine était.... divine ! Il la voyait, au bout de la nef, plumes frémissantes comme il devinait sa gorge. Houlà mon bonhomme, c'est pas ton heure là. Mais Ô combien belles lettres eurent pu être écrites avec tant belles plumes !

Il s'était toutefois attendu à plus de monde, mais la Haute avait boudé l'événement. Pardi ! Bien fou qui oserait se commettre avec le Carmin quand le billot attendait sa tête. Quelques compagnons d'armes du capitaine de la Memento, les fidèles de la Divine mais peu de grands noms ce qui ne présageait rien de bon pour les prétentions royales du gascon.

L'errant avait pris place tout au fond de la cathédrale, choisissant de rester debout contre le mur d'enceinte, position stratégique s'il en fut qui lui permettrait de déguerpir avant les effusions tout en gardant une vue parfait sur un dos non moins parfait.
La Divine lui devait une partie de dès. Il en avait oublié l'enjeu d'ailleurs. De mémoire elle voulait lui coller une auvergnate entre les jambes quand lui avait d'autres intentions. La partie de dès ne serait qu'un prétexte et elle le savait. Rien ne pressait. Partie aurait lieu, demain ou dans un mois. Un sourire alluma le visage buriné.

Il reconnut quelques visages dans l'assistance. Fort peu, il est vrai, de par sa position. Davantage lorsque l'officiant intimait l'ordre de s'asseoir et que sa haute stature lui permit alors de dominer quelques têtes jusqu'aux premiers rangs. Quelques retardataires vinrent troubler la cérémonie comme la maire de Montpensier, toujours aussi élégante et le fils prime né de la Divine qui ressemblait tant à son père que ça aurait pu paraître magie et qui venait bénir l'union de sa mère, ou une jeune donzelle qu'il ne reconnut pas tout d'abord comme étant l'une des dernières engendrées par le séant Divin et qui manifesta son amour à son beau-père en quittant la cathédrale après un 'JE M'OPPOSE',  aussi efficace que le mariage de Namay pour accéder au trône de France... C'est dire !

Berdol ! ça promet les repas de famille. Il ne sut retenir un sourire en quinconce. Ces interventions avaient eu l'avantage de faire se retourner la Divine séléne. Dieu qu'elle était belle, gorge palpitante sous l'effet de l'émotion, puis peut-être de la colère. De là où il était, il ne pouvait qu'imaginer la veine où coulait le sang chaud sur laquelle maintes lèvres s'étaient posées. C'était le tour du Carmin d'y mordre sans vergogne. L'errant n'avait nulle prétention de ce genre mais il aimait le beau. Morceau de roy n'était pas pour lui même si la belle n'était pas farouche. Bien sûr, il aurait eu matière à la satisfaire, qu'on n'imagine pas qu'il était castra, sa voix à elle seule pouvait en témoigner mais c'est d'une partie de dès qu'il était question pour le moment, pas d'une partie de jambes en l'air. Partie qui déciderait ou pas de mystères dévoilés. Il avait attendu longtemps pour cela. C'est qu'après l'allégeance en Bourbonnais-Auvergne, il avait dû quitter Clermont urgemment, repoussant par là-même sa promesse de se rendre à l'hôtel de Troy.

Alea jacta est, les voeux furent échangés. Il remarqua quelques similitudes déjà entendues dans ceux du Carmin mais ne s'y arrêta guère, plutôt surpris par la forme que prenaient ses voeux. A l'entendre on aurait pu croire qu'il n'épousait la Divine que parce que cette dernière l'aimait. Maladresse sans doute bien que tout un chacun connaisse l'ego démesuré du capitaine et sa propension au 'moi je'.  Malgré tout figure de l'Histoire passée et surement en devenir. Quant à savoir lequel... Il est probable que le grippeminaud n'en avait cure pour l'instant, épousant tout et son contraire pour peu que ça l'aide dans ses projets. Et là c'était mariage princier qui l'aiderait à gravir ce que les urnes lui avaient toujours refusé. Après tout, le trône valait bien une messe. D'autres en useront et non des moindres.

Ne restait plus que l'échange des anneaux. Un instant il hésita à attendre la sortie des époux. Aurait-il l'occasion de glisser les dès prévus comme présent nuptial dans la main de la Divine ? Non, probablement pas. Il les lui ferait porter sans mot d'explication en espérant que sa mémoire ait souvenance de la rencontre. Il avait tergiversé lors de l'achat. On n'use pas de dès quelconques pour une partie si importante. Las des dès de bois ! Restaient l'option de ceux taillés dans l'astragale d'un quelconque cadavre ou, plus onéreux, deux jolis dès d'or de petites tailles enfermés dans une minuscule cage du même, que l'on pouvait porter en pendentif. Mortecouille ! Avec la somme demandée il aurait pu faire restaurer son vieux castel.
Ses doigts se refermèrent sur la cage. Temps était venu pour lui de quitter Notre-Dame pour se rendre au Louvre où il était attendu, non pas dans l'un des innombrables salons dont il ne foulerait sans doute jamais le marbre mais dans une alcôve dissimulée aux yeux de tous où il avait ses entrées. Moins classieux mais bien plus jouissif.

Un dernier regard, une dernière pensée pour la Divine. Sois heureuse.

Déjà ses bottes claquent sur le parvis de la cathédrale. Le vent s'est levé. Froid. Interlude dans la vie de l'errant, le mariage est relégué dans un recoin de sa mémoire. Il a à faire d'importance.
Armenos
Il est des invitations qui ne se discute pas et même qui s'honore, sans concertation ou réflexion. Celle de Carmin par exemple. Malgré la surprise et l'inattendue attention qu'elle représente, la participation à un mariage est forcément une occasion joyeuse et festive. Aussi, l'Aquitain, à cette fin s'est dignement apprêté : toilette intégrale, ganté et botté de cuir, miséricorde au flanc, dans un tenue de soldat impeccable mais sans appartenance aucune.

Son avis est qu'il n'est nul besoin de lui pour témoigner de l'union. Aussi, il préfère rester à l'entrée de l'édifice, avec les gens d'armes en rang d'oignons, pour constater la sortie du futur nouveau couple, qui sera alors fraichement uni.

_________________
--Sunny..



{ Quand le mot "Anneaux" devient le code d'une mission... }



Quelle idée de me laisser à l'entrée de la Cathédrale, je vais choper un rhume avec ces portes qui s'ouvrent et qui se ferment, c'est pas une église mais un moulin !!

Tranquillement installée dans ma caisse de transport dernier cri entre picorer du grain, lisser mes plumes ou encore couver les alliances, je passe le temps quoi ! Attendant sagement le nom de code, celui d'une mission que seule une âme de confiance peut avoir !

Je vous le dis, j'ai passé la soirée avec le clan des dames, ben c'était pas joli / joli et quand je suis montée dans le coche des hommes ben clairement j'ai eu encore moins confiance qu'avec les femmes ! Ça fume, ça boit, Ernest le dindon de Clermont a quand même plus de classe ! Son fin pelage, sa voix apaisante, son parfum! Un vrai dindon de compétition !

Oui mais voilà, je suis une dinde princière ! Ma maîtresse est bonne et veille à mon bien être. Quand certaines ont des chats, des chiens, des perroquets ou des mésanges, Moi ? Je suis tout à la fois et dinde de surcroît ! Ça en jette dans un CV de Basse Cour je vous en cause même pas !

Des mois que Laure, Sofie et Elienore me font répéter l’exercice, Sofie me tient le cou ou alors elle me caresse le poitrail, je me méfie d'elle quand même, elle est étrange et pourtant ce fut ma mère pendant mes premiers instants de vie, Laure prononçait au loin le mot "Anneau" mais parfois elle lâche le mot "Alliance" si déjà elles, elles ne savent pas comment je fais moi pour comprendre ! Et enfin Elienore, la douceur enfin quand j'arrivais à faire sinon elle faisait genre de partir en hurlant pour me coller un coup de poulaine dans le croupion ! Et bien sur à la fin on vous dira qu'aucun animal n'a été blessé pendant le tournage... Baliverne ! Mais bon, je les aime bien et ma vie aurait pu être pire !

GLOUGLOUGlOU !

La porte ! Merci ! Il se croit ou le grand baudet là ! Bon j'en étais ou moi ? Ah oui, une vie de luxe, vous ai-je dis que je dormais dans un panier au pied du lit de l'Altesse ? Non ? Hey bien j'ai un joli panier, je fiente sur du papier et je mange dans une assiette en or ! Alors le clébard on fait moins le malin !

Glouglouglouuuuuu !

Non pas la porte mais je m'emmerde alors je le manifeste !

Citation:
Il est temps de bénir les anneaux.


Blablabla mais qu'ils sont longs ces... Hein ? Merde ! Il vient de dire le mot ! Sunny au galop ! Ah oui j'ai oublié de vous dire ! Moi c'est Sunny, la dinde de compagnie de Son Altesse Royale Laure ! Allez j'y vais ! A plus tard mon mignon !


GLOUGLOUGLOUGLOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU


Poussez vous ! Attention Dinde en Mission ! OHHHHH ASSIS CRÂNE D’ŒUF !! Pardon Madame ! Scusez Mon Seigneur ! Hop Hop... Elle court, elle court la Sunny ! La Sunny du Bois Joli ! La voici qui remonte la nef en courant vers sa môman, le cœur en émoi, la larme à l'oeil ! Oui je suis émotive et sensible. Le nœud qui me fouette le bec, les alliances tenues par un ruban de soie qui flotte dans les airs, je vais finir par me casser la gueule ! Quelle idée d'ailleurs ! Dernières foulées, mes ailes m'aident à remonter mes jupes, enfin mes plumes ! Vivement que je rentre, que je me foute dans mon lit et que je chante ma berceuse pour me détendre ! En bouffant mon maïs et sirotant ma cervoise !

GLOUGLOUGLOUGLOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU


Mais en attendant je finis ma course en passant entre les jambes du marié, et contourne l'autel et me voilà aux pieds du prélat avec les alliances ! Alors Mon Seigneur ?! On s'emmerde pas au pays des Gaulois hein ?!
Arnaud_giboint
[A Brethencourt le 8 octobre 1467]

Un après-midi d’automne comme il en est tant d’autres à l’extérieur du manoir les arbres commencent à se parer de couleurs allant du jaune au brin et perdent leur feuille une à une annonçant l’arrivée prochaine de l’hiver. Arnaud de son bureau peux entant le crissement des gravillons sous les sabot d’un cheval, et relève la tête, de son bureau de travail il peut voir la cour d’entrée et constate qu’un cavalier vient de mettre pied a terre. sans doute un coursier dont Hector se chargera, il se replonge donc dans l’étude de son dossier quand quelques instant plus tard Hector apparait dans l’embrasure de la porte après avoir toquer à celle-ci.

« Un plis pour vous sir Comte »

Arnaud prend le vélin le décachette et lit la missive qui n’est autre qu’une invitation au mariage d’un vieil ami et d’une princesse. Un sourire se dessine sur les lèvres d’Arnaud, ainsi donc le Carmin allait de nouveau convoler, et l’invitait à l’événement. Il fallait donc prévenir Lexya de l’événement, regardant Hector qui attendait i s’enquit du bien être du messager en premier lieu.

Parfait Hector, je pense que vous avez pris soin d’offrir victuailles et boisson au messager, ceci dit savez-vous ou se trouve mon épouse pour le moment ?

Sir Comte je sais juste qu’elle à demander à ce qu’on lui serve un thé au petit salon

Très bien ce sera tout je vais aller la réjoindre, dites au messager qu’il n’y aura pas de réponse pour l’heure.


Repoussant son fauteuil Arnaud se leva et prit la direction du petit salon dans lequel il entra.

Lexya nous avons une invitation pour un mariage tu vas devoir réfléchir a ce que tu voudras porter à cette occasion, c’et un vieil ami à moi qui épouse une princesse A Notre Dame de Paris, une occasion de faire un saut dans la capitale, ainsi tu pourras en profiter pour faire quelques boutiques.

Se disant il lui tend la missive, attendant sa réponse.
Après le repas de midi, Lexya profitait de la sieste de Théo pour aller s'occuper des roses au jardin. Le soleil était encore bien chaud en cette saison automnale et elle eut envie de se reposer un peu dans la fraîcheur de la vieille bâtisse...
Elle buvait tranquillement un thé au citron lorsqu'elle vit son mari entrer dans la cuisine...


Coucou mon coeur... Oh mais c'est une bonne nouvelle ça et qui sont les mariés ?

Mon vieil ami Namaycush Salmo salar qui épouse une princesse Laure de Troy, qui l’eut cru ? Parait même que le mariage sera béni par le Pape en personne si j’en crois la rumeur.
EN attendant tu vas pouvoir faire charger tes malles, pour ma part je vais de suite envoyer un messager pour nous réserver une chambre dans une auberge où j’ai l’habitude de descendre quand je me rend au palais c’est à deux pas de la cathédrale. Comme cela nous pourrons partir demain et tu pourras faire les boutiques dans la capitale.
D’accord ?


Ce sera un grand mariage alors ? Bien je vais faire préparer mes malles et tu pourras envoyer un serviteur les prendre en fin de journée...

Toute heureuse de cette invitation qui va les emmener à Paris où ils pourront à la fois assister à un beau mariage et faire les boutiques pour s'acheter une nouvelle tenue, Lexya se mit à chantonner en sortant ses vêtements de l'armoire et en les rangeant au fur et à mesure dans la malle... Elle n'emmènerait pas trop de choses mais elle avait aussi les affaires de Théo à emmener... Ce serait leur première grande sortie avec leur fils, il ne fallait rien oublier et puis... Lexya se disait que ce serait l'occasion d'acheter quelques vêtements pour Théo aussi à Paris, il grandissait si vite...

[deux jours plus tard]

On s’était levé tôt au manoirafin de ne pas retarder le départ, et les gens de Brethencourt s’affairaient pour charger les malles de la famille car vu la nature du mariage princier il n’était pas question de se pointer dans la cathédrale en tenu de route, d’autant plus qu’Arnaud avait réservé deux chambre dans une auberge de luxe à deux pas de l’édifice religieux, ce qui leur permettrait de passer la nuit précédant le mariage de façon confortable et d’être présentable pour la cérémonie. Pour la circonstance on avait sorti le carrosse aux armes de la famille c’était là une rae occasion de faire le voyage de façon soit disant plus confortable qu’à cheval, ce dont doutait fortement Arnaud ; c’est donc à l’aube, aube tardive vu la saison automnale, que la famille avait embarqué dans le carrosse et pris la route de Paris, Theo dont c’était la première vrai sortie s’émerveillait tout au long du voyage du paysage, et fut quelque peu impressionner en arrivant dans la capitale de voir autant de monde dans les rue , et c’est donc sans encombre qu’il parc vinrent jusqu’à l’auberge située en bord de Seine à deux pas de la cathédrale dont ils pouvaient admirer la majesté depuis le balcon de leur chambre, le reste de la journée fut mise à profit par Lexya pour visiter les boutiques parisiennes en compagnie de son fils tandis qu’Arnaud lui restait dans la chambre étudiant le dossier du procès qu’il avait en cour.

[Jour de mariage ]
On y était c’était le grand jour, et c’est après une collation fort appréciée qu’ils montèrent se changer et prirent le chemin de la Cathédrale il leur fallut peu de temps pour arriver jusqu’au pied de l’ édifice devant lequel la foule se pressait,



Et là bon dernier comme à chaque fois qu'il assistait à ce genre de cérémonie Arnaud entrainant femme et enfant à l'intérieur de la cathedrale, s'arrêta dés le premier rang libre au fond de l'édifice pris place avec son fils sur la droite tandis que Lexya elle trouvait une chaise sur leur gauche, ben oui on mélange pas les hommes et les femmes à l'intérieur, peut être qu'un jour on en finira avec cette ségrégation consistant à séparer les couple on nom d'un dieux qui prêche en principe le rapprochement, comment voulez vous vous rapprochez quand on vous sépare, un peu ridicule tout cela, voilà ce que pensait Arnaud en cet instant, En fait ils arrivait presque à la fin de la cérémonie puisque ce qui devait sans doute être un cardinal était en train de bénir les anneaux nuptiaux, tant mieux pensa Arnaud au moins ils auraient moins longtemps à attendre pour saluer et présenter ses voeux à son vieil ami et sa dulcinée.
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Ceronnie
La cérémonie se déroulait dans le plus grand calme lorsqu’elle fut perturbée par ceux-là mêmes qui les regardaient avec condescendance… sans respect pour le lieu, les religieux et les invités… à croire que le fait d’être né du bon côté donne tous les droits…

Un retardataire entra dans la cathédrale, sa silhouette lui parut familière … un fantôme du passé… soudain des souvenirs affluèrent… elle l’appelait Army à l’époque… il était là lorsque Vald, leur ami commun, avait fondé la première école de navigation… ils en avaient fait du chemin tous ensemble… ils avaient combattu côte à côte… puis un jour le petit groupe d’amis s’était disloqué pour une raison inconnue … ainsi va la vie…

La messe touchait à sa fin et le Cardinal allait bénir les alliances, la jeune femme s’adressa au Très-Haut, le priant de ne jamais l’abandonner … Une prière importante pour elle lui traversa l’esprit, celle de sa veillée d’armes …


Si tu veux être un exemple un jour,
Pense à ceux qui te seront confiés,
Si tu ralentis, ils s’arrêteront.
Si tu faiblis, ils flancheront.
Si tu t’assieds, ils se coucheront.
Si tu critiques, ils démoliront.

Mais…
Si tu marches devant, ils te dépasseront.
Si tu donnes la main, ils donneront leur peau.
Et si tu pries, alors, ils seront des saints.




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𝕮𝖑𝖎𝖖𝖚𝖊𝖟 𝖎𝖈𝖎 !
Alric.de.rochebaron
Les vapeurs de mauvais alcool s'étant dispersées ,Alric ,toujours derriere son pillier ,avait assisté aux divers cris,aux mots sacrés de la ceremonie,aux pleurs et rires et enfin aux OUI qui unit .
A petits pas,en se fondant dans la foule,il s'approche lentement du nouveau couple qui semble baigner dans le bonheur .Il marche un peu courbé afin d'échapper au regard de la garde qui les entourent .
Il se retrouve ainsi tres proche de Laure .A regret,il n'ose pas la bisouiller comme au bon vieux temps Auvergnat .Il incline donc la tete de maniere déférente .

Mes respects et felicitations Altesse et maintenant épouse du Cap'tain !!!!! Tu es comme toujours resplendissante !!!! Tu ne changeras donc jamais . Il serait peut etre temps que tu me présentes ton mari .

Il releve la tete en regardant son amie .Dans son esprit,se melangent des images enchevetrées !!!! d'une brouette municipale à des matchs de soule en passant par sa présence ici meme
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Carminoir
Sur le parvis quand tu fais la garde, c’est rigolo.

Il y a des courants d’air qui passent, qui vont et viennent, entre trois gouttes de pluie. Les éthérés passent la muraille de vieux routiers, bénissent ou maudissent ou tentent de s’arroger, quoi dans le fond…

Qu’ils passent…

Du retardataire, il en a vu d’autres le sergent. Mieux vaut tard que jamais, qu’ils passent eux…

Et puis, un autre soldat, pas forcément toujours du même bord, mais soldat venu ici en personne, sans flamboie ni tabard, peut-être venu dire salut au vieux copain carmin.

Sourire complice du sergent qui ouvre la porte à l’Armenos… en bienvenue…
Laureen
Mais qu'est ce que je faisais là? Quel était la pantomime qui ce jouait a grand cris de je suis pas d'accord, arrêté tout !!! ?

J'étais venue pour un ami pour Laure aussi même si je la connaissais peu, je faisais confiance a Elie qui savait discerner les gens bien et si Namay avait choisi Laure, je ne doutais pas quel en fut.
En mon fort intérieur je leur souhaitais un mariage heureux a tout les deux et tant pis pour ceux qui ne pensent qu'a leurs héritage.

Les consentement étaient échangé, les anneaux allaientt être béni, il ne restais plus au opposants de faire contre "mauvaise fortune bon cœur"

Tout ce temps sans parler , je craignais bien que ma langue ne finisse paralysée
et avec ça je commençais a avoir sérieusement faim d'ici là que mon estomac se mette a crier famine.

Oh! mais tien qui voilà !!! sourire ironique a l'adresse de la femme qui entrait
Me pencher un peu pour voir si elle avait emmener son panier de pommes, serrer un peu plus la main de Pandragon afin qu'il m'écoute et lui dire a l'oreille.


Tu vois la femme là celle qui pense a s'en démonter les méninges car jamais elle n'auras le courage d'émettre ses pensées a voix haute, c'est d'elle dont je te parlais en venant " l'insipide" sans personnalité sans idées personnelle.
Une vrai couleuvre.
Je crois qu elle me déteste et je doit dire que cela m arrange car je lui rends bien


Un signe a Ceronie et Amael en guise de " venez donc prendre place près de nous "
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Chacun a la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes. » ML -King-
Namaycush
… devant l’autel aussi, à défaut d’être étrange, c’est particulier…

Histoire de Gaule à surprendre Cardinal nonce de sainteté, église sans frontières, foi immortelle, une dinde, toute enguirlandée, se fait dame de l’anneau…

Tandis que lui le fait fondre, cet or serti d’émeraude, passant l’alliance à l’annulaire gauche de celle qui est désormais sa femme. Sang sous la peau, eau sur le feu.

Symbole parmi tous, ils n’en ont pas besoin, ils le savent, mais que l’anneau l’affirme en vue de tous.



    « Noux » nous sommes promis. Soyons à présent !

    Monseigneur, bénissez !



Fleur de feu et d’émotion, Laure nous y voilà…
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