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[RP]Mariage:Laure de Troy d'Orsenac & Namaycush Salmo Sa

Zhuyanzhang
A peine arrivé sur Paris,le De Nanjing prit la direction de la cathédrale, il devait voir le Sergent Major Carminoir pour savoir exactement sa mission, s'avançant , il le vit au loin et surtout l'entendit..................


Citation:
Détachement, à moi !

Appel !





Se présentant...............


Zhuyanzhang de Nanjing sur la demande de votre maistre artilleur, a vos ordres sergent!!!!!!!
Lim_de_vandimion
Taverne de................là bas...............



Tronche en huit le vieux émergeait, après une nuit de saoulerie au whisky, a danser sur les tables jusqu'a pas d'heures, mais là fallait être a l'heure.................ça c'était une autre paire de manche, mais pas impossible.................................

Le vieux avait la tête dans le cul, mais comme on dit faut soigner le mal par le mal, donc ptiot déjeuné au whisky, avec quelques poissons et travers de porcs, histoire de remettre le cerveau en marche, oh que c'est dur!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Un ptiot brun de toilette avant d'enfiler sa tenue de maistre artilleur, puis d’enfourcher son cheval direction Notre Dame et fissaaaaaaaaaaaaaaaaaa

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Princesselaure
{Quand tu te prends une murge à 20 ans, le lendemain tu vas courir... A presque 40... Tu te retrouves au pieu avec une Rousse pas si inconnue... Quelle chiasse !}


Que restera t'il comme souvenir de cette soirée entre filles... A rire, à chialer... A parler ou à médire... A refaire le monde... Pis un moment ou tout allait pas si mal... Une des comparses qui sort un truc qui se renifle, vestige d'Auvergne, une petite bourse avec de la poudre... Comme un certain loup qui reniflait cela les soirs ou la lune semblait vouloir crever l'obscurité, à hululer dans la nuit, hurler ?! Idem! Ça fait chier les voisins ! Au final peu d'effet avec la farine... Mais c'est alors qu'on se dit qu'il ne faut pas mourir idiotes ! On va fumer le chanvre ! Dans la chambre ?! Oé t'as raison... Ouvrez les fenêtres ! Non ! On va se cailler ! Oé t'as raison pis ça va atténuer les effets !! Remarquez tout de même la qualité des dialogues du quatuor ! Du duo... Trio ?! Merde Sofie... On était combien hier ?

Mouaaahahahahaaaaaa


"Trou Noir"

C'est comme le trou normand mais en plus glauque, oui en moins classe... Juste le souvenir d'une licorne qui vient flirter avec un chimpanzé ! Un poney qui sort du.. enfin de son... Pauvre singe ! Des fleurs... partout ! Des anges aussi et ... Sofie... C'est quoi le truc avec une trompe immense ?! Ben c'est Maximus ! Mais non.... Rooohhh... L'animal, Ah un goéland... C'est pas un bec ?! ... Oé... Une coccinelle ! Pffff dors !

" Trou Mauve"

Un songe alors que les effets s’évaporent peu à peu ou du moins on l’espère fermement et plus que tout ! C'est là dans ce trou que l'on se retrouve dans le lit avec Valmonte, nos amies sont parties... Elle seule est restée ! Ptet qu'elle avait pas ailleurs ou aller... Ptet qu'elle voulait juste profiter de sa Laure... Ptet que... Quand avec des "si" on devient paranos et complètement abrutis !

" Trou Carmin "

Dormant paisiblement dans ce lit moelleux, coussin rembourré à souhait, couverture aussi euh couvrante qu'escompté ! Là on est bien ! Les ronflements... La bave... Les yeux qui collent... L'azur princier parti sur une autre planète ! 'Tin Laure tu crains... Tenter des expériences la veille de ton mariage c'est gonflé ! Ohhh Comme Vahiné ?! Oups....

Ronnnnnnnnnnnpccchhhhhhhhhh

Puis vint alors le moment de sentir la fraîcheur caresser son corps au fur et à mesure que les draps glissent... Lentement ! "J'ai un peu froid... Regardes MOIIIIII... Je suis à TOIIII" Puis un hurlement à faire claquer bien des cœurs !! S'asseyant sur le lit en mode revenante... Les boucles blondes ne sont que lointain souvenir, le teint porcelaine est plus... Enfin moins pale... Mal de crâne terrible ! L'azur qui papillonne.

Gné ?! Mais ça va pas d'hurler comme ça ! On est... On a...

Se touche instinctivement la poitrine... Souffle de réconfort ! Palpant son corps comme le ferait le maréchal vicieux de Montpensier !

C'est bon... On n'est pas nue ! Regardes on a nos robes ! Oh... Mazette... T'arrêtes de faire flipper pour rien ! Oh ma tête....

Tandis que la voix d'Elie vient rompre ce moment si... burlesque ! S'étire de tout son long avant de s'affaler dans l'oreiller tandis que la rousse ouvre la porte de la chambre. Tête dans les plumes...

Tsssss... J'ai enkendu... Achpect humain... T'abujes...


Puis les mots d'Elie sonnent comme la messe... Laure tu es réveillée ? C'est le grand jour... Ton Jour ! Hummm... Carmin... Namay... Toi et Moi contre le monde entier... Toi et Moi pour le Noux... Toi et Moi... A cet instant ne voulant que ses bras... Pensées furtives et vagabondes... Toi l'homme aux mille et une conquêtes militaires ou de couches... Toi qui sera mien dans une heure ou deux... Toi... pour l'éternité ! C'est le grand Jour !

C'est mon Jour ! Le grand jour ?! Berdol de mouise ! Qu'est ce que je fais encore pas lavée, pas poudrée, pas habillée !

Sautant du lit, manquant de se viander en se prenant le pied dans la peau, courant à droite et à gauche ! La robe là ! Les bijoux là ! Les plumes ! là ! Merde c'est Sun ! Pauvre bestiole !

Les filles... C'est mon jour ! Notre Jour ! Mais ne restez pas plantées là... C'est Mon jour !


Éclatant de rire, retrouvant alors sa gaieté qui fait d'elle une femme de vie ! Une femme d'amour ! L'azur aussi pétillant qu'une bouteille de Vouvray... S'approche du duo, de la rousse et la brune ! Les serrant contre elle... A les étouffer tellement elles font partie d'elle même ! Tellement elle a besoin d'elles ! Tellement... Puis alors la confusion et le sentiment étrange, sa vie d'antan refait surface, les enfants, abandonner un nom auquel elle a tenu durant des années, une vie riche, une vie passée... Sentant une caresse dans le dos... Et comme un murmure... "Sois heureuse Laure surtout et laisses du temps aux enfants... Notre amour fut si intense... Tu m'as vu en BA... Je veille sur toi... Carmin saura te protéger à son tour... Sinon... Allez ma chérie... Il est tard, ne perds pas de temps, sauves toi vite, la fête t'attend, ries, amuses toi... Danses... Sois gaie! Files et deviens Laure Salmo Salar d'Orsenac !"

Euh... Mais... Vous avez entendu ? Non rien laissez... Mince ou est Kary ? Quelqu'un l'a vu ? Non Sofie je me doute que tu ne l'as pas vu toi...

Clin d'oeil complice... Hey oé les gars... Vous bavez hein ?! Moi j'ai réussi à mettre Valmonte dans mon lit ! Hey oé ! Bon... Est ce un gage de qualité... Plus le temps de faire la pitre, direction le baquet... Puis la table... Puis le mannequin de bois... Vite le temps presse !
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Maethor
Convocation ou invitation ?

Ce mariage était l'occasion de retrouver de vieilles connaissances, les combats ont l'art de rapprocher. Mais surtout, l'italien pourrait retrouver Caméliane. Il en profita pour passer un peu de temps avec leurs enfants.

La calèche prête et les embrassades terminées, ils se retrouvaient face à face. Le lieu était clos mais non austère. Avec un peu d'imagination il était possible d'y accomplir quelques merveilleuses associations qui feraient rougir une nonne ! Même les bosses et nids de poules sur la route trouvaient dans leur remue-ménage une utilité. Oui, il est toujours élégant de bien secouer sans éclabousser partout évidemment.

Tenue sombre et sobre, Maethor arborait le mantel offert par Camy. La Réforme invitait à un retour aux sources chassant l'artifice. Le forgeron était-il devenu sage ?

Sans savoir ce qui fut fait ou pas fait, le voyage qui les mena à Lutèce se passa bien.
La cité était étendue sans toutefois perdre son côté totalement sauvage. La zone des marais encore en friche prendrait surement de la valeur dans le temps.

Une dame ou une demoiselle lui avait offert une rose rouge longtemps après la fête des amoureux. Mariée ou plus, l'affaire était encore un peu trouble. Un petit air de "je t'aime, moi non plus" ou alors "d'un reviens-y".

Devant l'édifice religieux avant que deux êtres se jurent fidélités jusqu'à la mort ou plus facilement lassitude d'une duelliste, ils attendaient patiemment. Un général Namay sans armure, la curiosité de la chose avait intimé un si grand voyage. La future épouse était-elle rousse ? Il fallait tirer cela au clair.

Sans réfléchir, il laissa ses doigts caresser ceux de Caméliane pour s'y lier...

Carminoir
Et non, le rire du sergent ne résonnerait décidément pas ce jour. Ce n’était pas commencé que le valet de pieds se faisait déjà valet de chambre. A crier comme une poule…

Décidément, sale gueule, le sergent… tout proche de Gaubert…



    Tout doux !

    Shendar, un des nôtres. Il passe. Dis donc, pendant que je te tiens. T’aurais pas une sœur qui crie comme toi ? Parce que déjà pour rien cela gueule, alors je n’ose pas imaginer si…



Reprend vite attention aux gens à l’arrivée… la vilaine… décidément le Carme avait de ces fréquentations à faire se retourner tous les éventrés dont il avait cloué les entrailles sur un poteau avant de les faire flamber vif.

Bordel, il faillit oublier… le comte du Périgord…



    Monsieur le Comte, les témoins du marié c’est là, tout droit, premier étage, porte à gauche, la première. Pouvez pas vous tromper, il n’a pas l’habitude de dormir dans des maisons, la porte sera ouverte. Et puis, si jamais, soit il ronfle, soit vous sentez l’odeur de l’étron ¨ !



Lui aussi dit étron, parce qu’il ne connaît pas le nom cigare…


Putain de journée vraiment. Quatre gardes sur vingt-et-un et un qui se croit invité…
Namaycush
En la vicinité hôtelière




Du bruit, des pas qui massacrent des marches. Le bois de troisième vie grince et supplie, allègrement foulé par un poids qu’il devine comme étant encore un échec de Milly dans ses tentatives d’imposer régime à des masses combattantes.

L’homme sans portes, l’homme qui en força mille, s’égaie dans sa pataugeoire comme un saumon dans l’eau dans le plus normal des états lorsque l’on se nomme Salmo Salar…

Il s’est rasé d’une rapière dont le fil aurait coupé un papillon s’il s’y était posé. Il sera le parfait, il l’a juré, non pour lui, pour elle. Il a la tête sous l’eau, fait des bulles, qu’il préfère faire faire à Laure, lorsque Mackcimus entre, tenant le cigare hors de l’eau.

Tête qui émerge, s’ébroue… animal sauvage, il restera.



    Ah te voilà toi ! Nous avons failli être en retard. C’était le moment.



Joyeux bordel de chambre, un pot gascon d’armagnac moitié renversé dont il reste le tiers, des cigares de tous les côtés.


    Bah oui, on fume ! Sers-toi !



Geste laconique…trouve quoi…et du même ton serein qu’il lui avait répondu en Rouergue…


    Qu’ils viennent ! Et je leur pisse à la raie ! Ou je les invite !



Encore dix minutes quoi… dix minutes… et replonge la tête sous l’eau…dix minutes...
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Charpente
Sa décision est sienne et il en avait assez discuté avec son épouse. Il lui accordait le droit d'aller à ce "mariage" qu'à une condition, qu'elle ne lui parle plus de venir avec elle.

Comme convenu, il avait disposé dans la chariotte les malles pour sa belle, quatre en tout.

En les mettant, il en avait presque rit, se disant que décidemment les femmes étaient vraiment une race à part quand il s'agissait de se faire la plus belle.

De toute façon qu'elle soit nue ou recouverte de la plus belle robe du monde, peu importait, il l'aimait pour elle avant tout.

Les enfants étaient sous bonne garde, il pu donc prendre la route jusqu'au point de rendez-vous, aux portes de Paris. Le trajet fut un peu long, pluie, vent, grosse tempête ont ralenti les chevaux et c'est avec deux jours de retards qu'il arriva enfin dans ce gîte tenu par un ancien ami rouennais.

Point d'épouse, elle devait être avec Mara et les autres à visiter les tavernes de Paris ou autre. Son ami le reçu comme il se devait entre normand et il pu enfin réchauffer son corps glacé par le voyage en prenant un bon bain dans un baquet rempli d'un bon mélange de calva et autre potion de son pays.

En attendant son épouse, et à part ce bain revigorant, il avait étalé toutes les toilettes de Madame avec soin, les faisant défroissées par la lingère du coin. Il la soupçonnait d'ailleurs de ne pas defroisser que cela en la voyant reluquer son ami.

Un petit tour dans les alentours avant de revenir attendre sa femme.
Bertuccio
Paris.

C'est beau Paris. C'est tout en dentelles et froufrou. C'est plein de biscuits et de parfums. Je répondais à l'appel, comme presque toujours. Mais c'était différent cette fois. C'est pas dit qu'on se taperait pas quand même, mais c'était pas le thème, disons. Et puis je voudrais bien pas me saloper. Faire bonne figure. Je suis bon à ça. Malgré tout le reste.

C'est pas pareil Paris. Ca sent pas la cambrousse, ça respire pas pareil. Ca sent pas la pluie, ici. Je saurais pas dire si ça me convient ou pas. Je sais plus dire ce qui me convient ou pas. Je traverse. J'attends. Je temporise.

T'aimais bien, toi, Paris. Pas les mêmes endroits, mais j'y ferai un tour, pour sûr. Tu m'as pas dit ce que t'aimais là, toi. Je suis un peu perdu. Pas une adresse, pas un nom. Personne pour me parler de toi. Encore une fois t'as bien pensé qu'à toi. Et je galère. Mais ça c'est pour après. C'est pas toi qui me sort de l'université et des embarcations des fortunes pour apprendre la mer. Pas l'aventure non plus. Pas encore du moins.

C'était le Capitaine. Le Général.

Ca allait pas être ma place. Je le sens. J'aime pas bien la compagnie des gens qui me sont inconnus. Ca ressemblait à un traquenard. J'avais pris de quoi faire le garde si c'était nécessaire. Personne s'attendrait à ce que je parle comme ça. Je penserai à toi comme ça. Comme tous les jours. Comme chaque minute.

Je voulais juste être là. Il me l'a demandé. Mais aussi parce que je veux le voir aussi heureux qu'on dit qu'il est.

C'est peut-être ça, Paris : on veut pas y être, mais on en ressent le besoin quand même.
Raoul_acheron
Planté là à faire des ronds de fumée, il saluait de loin non sans avoir félicité Junior sa carmine filleule accompagnée de son vert galant, pour sa toilette des plus...Affriolante.

Une vraie trogne de Lansquenet s'approcha...
Citation:
Monsieur le Comte, les témoins du marié c’est là, tout droit...

Fort bien sergent...Dites...J'attends un prince...Le GuiYom de Bleizhmorgan...Vous pouvez pas le rater...Si vous le voyez envoyez le nous rejoindre...Une surprise pour le Carmin.
Un salut des plus militaire et il file tout droit,premier étage, porte gauche...
Le Carmin dans son bain...Un grand gaillard modèle Teuton d'élite à ses cotés.
Carmin...Nom d'une putrelle sort de ton baquet...
Refrénant un éclat de rire il s'adresse au géant
Messire, je suis Raoul Comte du Périgord Angoumois...
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Clodeweck
Si un jour on m'avait dit ça.
Si un jour…
Une invitation au mariage du carmin, manquerait plus que le fantôme de Falco vienne aussi !
Il faut lui reconnaitre une chose à ce sacré Namay, il sait générer les amitiés.
Il étouffait un rire en entrant dans l'édifice, pas trop en retard.
Les Montfort avaient tenu à en étre, une invitation ne se refuse jamais, question de respect, ceci étant ils avaient décidé de rester discrets.
Durant la cérémonie, on reste calme ce n'est pas l'endroit des retrouvailles, embrassades et autres manifestations d'amour plus ou moins feintes.
Bien entendu, Clodeweck n'était pas venu seul, "Madame Clode" était là cela va sans dire.
Il se pencha vers elle
.

Namay et le Pape copain comme cochon, qui aurait cru voir ça un jour ? Quoi que…

Mieux valait se taire.

Bon, tu connais quelqu'un là dedans, toi ?

Dans ce genre de manifestation, les choses sont bien réglées, il restait à se laisser guider, venir de si loin, ce ne sont quand même pas les derniers mètres qui feront peur
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Quand on a plus rien à prouver, rien à perdre, rien à gagner, on peut parler vrai. (Cloclo 1°)
Nessty_la_vilaine
A l'entrée de la cathédrale.

L'bon ou l'mauvais jour ! J'suis la Grande Vilaine et j'viens pour voir une Vieille Canaille s'faire mettre par le Pape.. Toussotements... s'faire mettre la corde au cou...
    On espère qu'il soit bon ce jour.
    Je vous en prie madame, prenez place sur les sièges des invités personnels.

En voyant le maigrichon, Nessty n'avait eu qu'une envie : lui tripoter le pif en forme de bistouquette. Lorsqu'il s'inclina devant elle, elle découvrit un désert capillaire tout aussi intriguant. Tellement accoutumée à ce qu'on lui offre dans un confessionnal des séants velus, son premier reflex fut de porter sa main vers la fesse de bébé présentée. Un geste dont elle freina la puissance parce qu'on l'avait gratifié du titre de "madame" et surtout afin d'éviter de faire verser le gaillard sur le parvis, la zigounette faciale en avant. De petites tapes douces sur la tonsure, la Vilaine remercia l'huissier.

Sourire moqueur pour les gardes et leur cible. Comme quoi, un peu de bienséance, même quand on n'était rien qu'un gueux, cela aidait. La Grande Vilaine qui montre l'exemple, et le bon, c'est vraiment jour de fête !


Puis Nessty se dirigea vers le siège qui lui était attribué, d'un pas si guilleret qu'elle provoqua une symphonie nuptiale tout en Meuh. Un siège, avec un petit coussin pour son Vilain popotin, le truc réservé aux les invités de marque. Quel honneur pour une gueuse Made In Vilaine. Le croupion rachitique l'avait bien dit : un siège. Un siège donc ce serait. Pas le banc tout dur que l'on pourrait faire grincer en gigotant savamment afin de dissimuler le bruit d'une flatulence, pas la chaise en paille toute pourrie qui craquait sous le poids des bigotes à la croupe hottentote, pas le coin des pouilleux que l'on obligeait d'habitude à rester debout derrière les piliers. Un siège, un vrai ! Et un siège depuis lequel elle verrait tout de près, à commencer par ce fameux pape qui avait laissé un diocèse romain finir entre les mains de pintades. Avec un peu de chance, la Vilaine pourrait même vérifier en zyeutant sous son chasuble d'apparat que ce dernier n'était pas pourvu de roubignoles comme on le prétendait en Limousin.

Et hop, test du coussin pour vérifier la qualité du rembourrage avant que le bébé pingouin s'en charge pour elle. Et hop, les bottes qui s'étirent sous les sièges devant elle, envoyant au passage le bébé pingouin valser dans l'allée centrale. Et hop, la flasque de schnaps qui se déverrouille pour fêter cela et attirer le bébé pingouin à nouveau vers sa maitresse. Et hop, pourquoi pas un petit roupillon, si confortablement installée avec le bébé pingouin sur les genoux, pour attendre l'arrivée de la Vieille Canaille et cette pauvrette qui allait devoir subir ses assauts conjugaux pour le reste de sa vie. Qui sait, de cette union naitront peut être plein d'autres petits pingouins aux couleurs du Carmin. Un rêve, un cauchemar ou les conséquences d'une gueule de bois.


Il suffirait que d'autres chiasses connues et reconnues en ce Royaume se présentent pour dégoupiller la Grandeur de la Vilaine. Et l'une d'elle était vraisemblablement en train d'arriver...

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Karyaan
Un grognement se fait entendre derrière un fauteuil à haut dossier. Gémissement plaintif et main aux doigts fins, tâtonnant, s'accrochant comme elle peut telle une alpiniste au bout de l'effort.
De nouveau un grognement et un BOUM quand la main se dérobe.
Derrière le dit fauteuil, d'une voix pâteuse.


Par le foutre de tous les dieux... humpf...

Encore la main, plus ferme, qui s’agrippe.
Une tignasse ébène ébouriffée à faire peur un épouvantail d'halloween.
Un regard baignant encore dans les différents alcools sifflés un peu trop vite, un peu trop tout en fait.
Et une mine déconfite, pâle comme un cul de pape, joues flasques, poches sous les yeux aussi volumineuses que l'orgueil d'un Salar.
Elle se redresse comme elle peut, la Sorcière qui, vu le tableau qu'elle offre, porte bien son surnom à l'instant.
Bouche pâteuse, elle fait craquer sa nuque.


Chuis là, chuis là, pas besoin de beugler...

Comment ça il n'y a pas eu un seul cri, ou peut-être un... ou deux...
Se massant les tempes, elle s'approche en titubant, encore bien imbibée. Plissant les paupières en essayant de suivre de son regard embrumé, la Laure qui s'agite telle une pucelle qu'on va marier. Bon... de mariage il y aura... quant à la pucelle... bref bref bref...

C'est donc une Karyaan dans un état proche de l'Ohio qui fini par se vautrer sur le fauteuil qui lui avait servit de cachette. Agitant mollement une main vers elles, yeux fermés, essayant visiblement de reconnecter les quelques neurones encore capable de rouler droit... si tant est que cela eut été possible...


J'arrive, j'arrive... commencez sans moi j'veux pas vous...

Et un ronflement sonore retentit, la bave aux lèvres, la comtesse replonge telle une ivrogne calée entre deux poubelles de rue.
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Clodeweck
Par les saintes burnes du pape !
Enfin non... ça dépend lequel... Innocentius il en a .
Le Sixtus ?
Bah on va lui faire une chanson.

Dom eunuque nuque nuque
S'en allait tout simplement
Fayot, rampant gaiement....

On oublie, aucune importance, juste un incident de la vie que de croiser cet asticot qui sent le moisi et le retour d'outre tombe.

Par les burnes... donc, que voici que voilà, pas loin et même très près ? L'ancienne groupie du camériste du Stote ! Ventre Saint Gris si ce mariage ne devient pas pire que la cour des miracle ce sera miracle. C'est,en fait, la cour des miracles avec trois fois...Dix fois...Et même d'avantage...Plus de panache.
Sacrebleu, on commence à voir des tronches connues. Dans peu de temps ont va voir arriver les empourprés péteux, tellement contents de voir disparaître un problème majeur. Le carmin ne risque plus de leur piquer leurs sacro-saints écus.
Hypocrisie, aboulie, acédie, avarice, vertu...Cherchez l’intrus.

Le bonjour belle dame

Et de se fendre d'un méchant sourire enjôleur en direction de la vilaine.
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Quand on a plus rien à prouver, rien à perdre, rien à gagner, on peut parler vrai. (Cloclo 1°)
Killian.
Le fromager auvergnat était à Paris depuis deux jours pour assister aux noces de Belzebut. Ce monstre blond au regard si effrayant avait donc ( enfin ) trouvé quelqu’un d'assez dingue pour l'épouser. Le jeune homme profita de l'occasion pour visiter vite fait la grande ville, mais entre les odeurs, le bruit, et les voyous, sa campagne lui manquait déjà.

Auberge - Nuit précédent le mariage :

La chambre prise par Killian était on ne peut plus modeste, un écu est un écu !! Et puis il n'avait pas vraiment les moyens de faire mieux avec ses études en cours. Sans compter l'énorme investissement réalisé lorsqu'il rejoignit son dernier clan. Jiveli partageait la chambre avec lui, en tout bien honneur, la pièce étant équipée de deux lits bien séparés.

A la lueur de chandelles, Killian était installé sur son lit avec son livre de médecine "emprunté" à l'université du Bourbonnais Auvergne. L'occasion d'en apprendre un peu plus sur les remèdes, à distance de sa maison il étudiait toujours mieux. Surement parce qu'il était moins dissipé. Il avait également embarqué un ouvrage sur l'économie et le prestige, là aussi beaucoup de boulot pour tout comprendre et tout maîtriser...


Agent J ?


Il tourna la tête vers Jiveli...

Va y avoir une tonne de gens qu'on connait pas. Et j'pense qu'on verra de tout. Je propose qu'on se fasse discret avant de se goinfrer au buffet et de filer.

Léger soupire, il reprit sa lecture jusqu'à s'endormir lorsque la lueur de la chandelle vint à faiblir...



Rêve nocturne :

Killian se trouvait en pleine forêt par une nuit sombre. Perdu il n'avait pour lumière que celle offerte par la lune. Il marchait et marchait encore jusqu'à s'arrêter devant une pierre hors norme. Un immense roch dressé face à lui au centre d'une clairière. Alors qu'il toucha cette pierre des torches s'allumèrent tout autour de lui. Il leva les yeux et découvrit en haut du rocher Belzebut en personne : laure. La blonde avait son visage fourbe et vicieux, celui qui donnait des frissons au jeune auvergnat. Cette bête se dressait ainsi face à lui avec un regard accusateur..


L.. au.. re ? ? ?


La bête blonde rit à s'en rompre le cou, tête en arrière, ce qui est très effrayant. Oui les gens qui mettent la tête en arrière pour rire sont étranges, curieux, ils mettent l'auvergnat mal à l'aise.


Qu.e.. me... veux tu ?


L'infame beute blonde se métamorphosa, des cornes sortirent de ses cheveux ( à moins qu'elles ne soient déjà là !! et que les cheveux les masquaient juste !! ), ses yeux se changèrent en flammes , et elle lui répondit du tac au tac...

Toiiiiiii ... Je te veuuuuuuuuux.... Tu es à moiiiiiii


Une immense queue sortit des fesses de la bête blonde et cette immense chose s'enroula autour de kiki en lui titillant les fesses, là où ça chatouille..


Cela suffit à faire sortir Killian de ce cauchemar. OUF. Il se réveilla en pleine nuit avec le cœur qui battait à plein régime, et fort heureusement ses fesses ne le grattouillait pas. Bon sang que cette laure le faisait flipper !!!!



Jour J - Cathédrale :


Il avait insisté au petit matin pour quitter rapidement la chambre de l'auberge, habillé de beaux vêtements propres et blancs. La pauvre Jiveli avait à faire face à un Kiki tendu comme une ficelle de paupiette sans qu'il ne puisse en expliquer la raison. Le rêve de la nuit avait peut être un poil jouer sur son humeur. Arrivé devant la cathédrale, l'auvergnat observait l'édifice avec un très grand interêt. Il regarda ensuite les quelques invités déjà présents. Ça sentait la canaille à plein nez, mais avec une sœur comme sofie on s'en accommodait assez facilement. Le jeune homme s'installa dans le fond de la cathédrale près de la sortie, sait on jamais que la rencontre entre belzebut et le pape fasse des étincelles...
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Killian de Montfort-Balmyr
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Nessty_la_vilaine
Dans ce qui était en passe de devenir le big bistrot du Stote : Notre Dame ou Votre Drâme.
    Le bonjour belle dame

Impossible que cela s'adresse à une telle Gueuse, planquant sa vesture cradingue faite de cuir sous une cape en peaux de rats mais... mais... une voix, la voix, cette voix...

Et la goupille qui saute ! Laissant peu de secondes avant que n'explose la bombasse qui se tenait pourtant sage avec son bébé pingouin sur les genoux.
Et la Gueuse Impétueuse qui bondit ! Laissant peu de chances à la bestiole assoupie de s'agripper à autre chose que de l'air et à ceux qui se trouvaient sur son chemin de se pousser.
Et à la Vilaine de péter un tonitruant :
Tudieu, Mon Pater à moi ! ! Laissant peu d'issue possible quant à la rencontre entre l'un des pires ennemis et la plus vilaine des invités du futur marié.

Et... ce fut l'anéantissement tous les voeux de silence et de bonne tenue de l'une comme de l'autre. Le naturel de la Donzelle revenait au galop, tout comme ce pauvre bébé pingouin. Le sourire du Vieux en disait trop, tout comme les mégères aux alentours.


Raaaaaaaaa mais que béni soit Oui-Oui ! Quelle joie de partager avec vous ce moment historique pour Rome.
Manque plus que d'la cervoise et des bretzels pour que l'on s'croit dans l'bistrot du Stote !


Alors que le Clode était l'un des rares devant qui Nessty avait jusqu'alors fléchi genou et embrassé la bagouze cléricale, elle choisit de lui sauter au cou et de lui coller un bisou sur la joue. Ouais, carrément pathétique... Surtout connaissant cette Vilaine peu encline à des démonstrations d'affection. Mais tout aussi rondement mené qu'à Rome quand elle avait imposé sa volonté de défendre les dindons aristotéliciens ainsi que le retour de l'ancien camerlingue excommunié devant un prélat avec des pompons rouges sur les chausses.

Ah, si cette vieille Canaille de Namay avait été présente, le carmin colérique lui serait probablement monté à la trogne face une telle vision. Mais quelle idée aussi d'inviter de telles chiasses... La Vilaine serait toujours là pour lui faire payer la bizarrerie d'une décision et, ça, il le savait déjà.

Après avoir relâché le seul cureton à qui elle accordait le droit au titre paternel, la Vilaine s'inclina respectueusement devant la compagne du patriarche des Montfort, en balançant magistralement sa cape sur le côté,


Dame Clode, j'suppose... D'puis l'temps que j'rêve de rencontrer celle qui supporte avec autant d'sagesse l'un des plus prestigieux caméristes du Stote... Recevez mes plus Vilaines et respectueuses salutations.
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