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[RP]Mariage:Laure de Troy d'Orsenac & Namaycush Salmo Sa

Makcimus.
La réponse était celle qu’il attendait. Et ce mal de crane ne le lâchait pas. Un seul remède, fumer et boire à jeun, foutu pour foutu, autant en profiter.

Le temps de récupérer un cigare… Le temps qu’il se serve à boire et de s’installer confortablement pour voir arriver un homme qu’il n’a encore jamais rencontré.

Messire, je suis Raoul Comte du Périgord Angoumois...


La grande carcasse de se déplier, alors que l’azur de son regard fixe celui du comte, la voix rocailleuse s’élève…. Dominus Vobiscum Raoul Comte du Périgord Angoumois !

Il ne sait pourquoi… Mais de sentir que le courant devrait passer ...

Makcimus de Kersak ! Heureux de faire votre connaissance ! Justement… Je souhaitais vous entretenir… Profitant donc de l'occasionJ’ai pour projet de visiter le Périgord Angoumois en les prochaines semaines. Avant que l’on vous alerte sur un envahissement probable, je tenais à vous assurer de la bonne conduite des gens m’accompagnant, aucune mauvaise intention, je vous en donne ma parole!

Le jeune comte ne pouvait le savoir... Mais pour qui connaissait le de Kersak , les mots prononcés en l'instant avait plus de valeur que les contrats les mieux ficelés.

Aussi... Il lui fallait préciser par honnêteté ...

Certains hétérodoxes, disent de nous, que nous sommes Traitre à la couronne Reformée de France Regard brillant et gonflant la poitrine fièrement… Je puis vous garantir que cela est parfaitement exact !!

Et en attendant réponse de poser un regard désolé vers les apnées prolongées et le cigare hors de l'eau...
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Laureen
Depuis plus d'un mois déjà Pitt bull mon commis avait pris la route direction Paris.
Le chemin depuis la Bretagne était long et surtout le chargement de la charrette des plus fragile et des plus lourd.
Ce qui l'obligeait a rouler lentement afin de ne pas casser le cadeau que je destinais aux nouveaux époux.
Un cadeau magnifique qui n'avait pas son pareil qui dans le jardin de leur château ne manquerais pas de faire des envieux.

Quelques semaines Plus tard Pandragon et moi avions pris la route dans la même direction.

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Chacun a la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes. » ML -King-
Jiveli
La Rochelle, Clermont, Blois, Paris, il fallait vraiment être partout en ce moment. C'était vraiment pour Laure !! Je ne regrettais plus l'achat de mes bottes. Pourtant, je suis une bonne âme, avec toutes les boules de neige que j'avais reçu de sa part ! De plus, l'entreprise Jivebailloux , « l'entreprise qui marie tout », n'avait pas été chargée du contrat.

J'étais arrivée le matin même, pas le temps de traîner. Je n'avais certainement pas de quoi me payer une nouvelle tenue... à moins que j'en trouve une à 18 écus. Laure me pardonnerai, j'espère, quant à son mari futur, il s'y ferait, étant donné son curriculum, je le voyais mal s'offusquer des amis étranges de sa future épouse.

Je choisissais donc de décorer mon corsage de manière un peu festive, avec des fleurs. Pour cela, il me fallut me rendre dans une bibliothèque, consulter un ouvrage sur le symbolisme des fleurs et des couleurs. Il fallait à tout prix éviter les impairs. Déjà, Laure m'avait bien prévenue et je me répétais ses conseils comme un mantra :
« […] promets moi de ne pas agresser la reine... de rien lui voler et euh.. restes assez loin de ta marraine ce jour là je ne pourrai pas avoir l’œil sur vous deux... » 


Bon, la Reine, peu de chances que je l'agresse, sauf si elle avait l'audace de mettre une robe plus jolie que la mienne, dans ce cas, ma parade était prête, c'est par inadvertance que je me vautrerai violemment à ses pieds en lui arrachant sa jupe... Je me confondrai ensuite en plates excuses, tout le monde sera là pour lui assurer de ma grande bêtise, bref, un scénario huilé comme... euh, comme un savon.

La symbolique … gna gna gna … le bleu : sagesse, sérénité, vérité, loyauté , la rose : amour... pas mal ça !

Mais va t'en trouver une rose bleue toi !!!


Le bibliothécaire me regarda d'un air mauvais, son nez coulait et il se léchait avidement la lèvre supérieure. Je sortis donc désespérée. Les rues de Paris comportaient encore assez d'espaces suffisamment mal entretenus pour laisser pousser quelques pissenlits, j'en ramassais par poignées en tentant de me souvenir d'une quelconque symbolique à ce sujet : … « Survivre à tous les défis et les difficultés , bonheur durable et joie rajeunissante,... Jaune : fête, joie, ego, puissance, voilà qui conviendrait bien à nos nouveaux mariés... traîtrise, mensonge, tromperie » Bon en cas de questions désagréables je dirai que j'ai pas eu le temps de terminer le livre !

Je devais rejoindre l'agent K a une auberge où il avait pu trouver une chambre, nous avions déjà économisé nos écus de cette façon en Espagne et au Portugal. Killian était bien un auvergnat, pour lui, un sou est un sou ! Quant à moi, c'est simple, les sous, je n'en ai jamais.

La veille


Je trouvais enfin, l'auberge, vérifiais que mon lit ne contenait pas... trop... de vermine et me préparer à m'endormir en pensant au travail de décoration de robe qui m'attendais le lendemain.

Agent J ?

Hum ??

Va y avoir une tonne de gens qu'on connait pas. Et j'pense qu'on verra de tout. Je propose qu'on se fasse discret avant de se goinfrer au buffet et de filer.

Hum !!

La discrétion ne me posait pas de problème... je ne répondis pas...un peu vexée, j'avais beau l'expliquer à tous, JE suis la discrétion faite femme, que je ne voyais pas l'intérêt de relever. Quant au reste, c'était une évidence. Mariage signifie ripaille et avec tout ce beau monde, j'allais pouvoir me remplir l'estomac pour un mois !


Au cours de la nuit, j'entendis Killian s'agiter de manière étrange dans son lit en grognant et gémissant. Entre les histoires et leçons de ma marraine Sofie et de ma presque-mère Andrea, je me doutais qu'il s'agissait là d'une situation où, au cas où, il vaut mieux ne pas se faire remarquer. Bref, dans le doute, je m'enfonçais au fond du lit, les couvertures sur la tête.

Jour J

J'avais laissé Killian partir, il semblait normal, autant que faire ce peut... chez un homme, la normalité est toujours une option possible. Je me préparais donc pour la Cathédrale.

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--Gaubert_


Air pincé et attitude stoïque dans sa livrée, Gaubert toise la soldatesque.

T'es un gros futé toi. Je le devine comment que c'est l'un des vôtres? A ce que je sache ce n'est pas gravé sur son front....Encore qu'avec la dégaine qu'il a, il aurait dû s'en douter...Votre patron a dit de filtrer. Je filtre qui ne montre pas patte blanche. Point ma faute si le vôtre a autant de civilité qu'un porcher des Flandres.

Pour sur celui là avait été engagé pour ses muscles et non sa subtilité.

Quant à ma soeur, elle pisse bleu royal, t'as quelque chose à faire teindre? Cela te changera du cramoisi.

Se désintéressant du bulot de service, l'huissier reprend son poste. Il laisse passer une soutane puis un visage connu d'Auvergne, le frère de sa Grâce flamboyante Sofie.
Guiyom
[quelques jours avant la cérémonie]

L'invitation l'avait laissé songeur. Une invitation, du Carmin, pour son mariage.
Pantoise perplexitude fut coite attitude.
Les mondanités? J'aime pas.
Le Carmin? j'aime pas....mais pas moyen de savoir pourquoi. Transmission familiale, rumeurs, quelques conflits dans des camps opposés, mais finalement, le pourquoi...était indécis, impalpable. Intangible donc?

Un ami commun avait du jouer les entremetteurs, car l'invitation, si impersonnelle fusse-t-elle, soulignait un point essentiel. Ils ne se connaissaient pas.

Après tergiversation, le "nouvellement" Prince du reconnaître qu'il avait une certaine curiosité à voir le personnage, qui plus est sous d'autres atours que ceux que la rumeur lui donnait



[devant la cathédrale]

Tenue sobre, sans l'apparat qu'il s'imaginait des princes, mais auquel il avait le plus grand mal à se faire à l'idée, Guiyom arriva sur les lieux du mariage, cherchant des visages connus. Surtout un en fait, celui de son suzerain d'ami, ou était-ce l'inverse? de Comte du Périgord.

Des Nobles. Des domestiques. Surement quelques hérauts, des roturiers, le parvis semblait brasser du monde...à défaut de bière.


Fichtre, ça ferait une place parfaite pour une charge de cavalier...Noces Pourpres pour le Carmin, ça en jetterait comme pamphlet.

Un sergent. Vieux réflexe, de tout ce beau monde, c'était encore avec les gens d'arme qu'il se sentait le plus à l'aise, et il se dirigea vers cette "trogne de Lansquenet" pour se faire guider si possible

Sergent? Prince Guiyom Bleizhmorgan....je recherche le Comte du Périgord, Raoul d'Acheron. Il pousse souvent la chansonnette basque, doit être le témoin du marié et...

levant les yeux pour observer la façade de la cathédrale...

J'admets être quelque peu...dérouté.
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Clodeweck
Devant l'huissier qui semblait ébahi par ce qu'il se passait Montfort exhibe le document .



Voilà mon fils.

Où devons nous aller ?


Puis en aparté à Nesty

Ne bouge pas Vilaine fille, nous avons à causer un peu avant de nous installer
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Quand on a plus rien à prouver, rien à perdre, rien à gagner, on peut parler vrai. (Cloclo 1°)
Millysande
Depuis des mois que je fréquentais les salles de classe de l'université.
Le calme et la sérénité des lieux me plaisais.
Cela m'avais également permit de faire le deuil de mon époux. Presqu'un an déjà qu'il avait été porté a son dernier repos dans la discrétion qu'il avait désiré.

Lorsqu'une invitation me parvint, je fus assez étonnée et mit quelques temps avant d'en prendre connaissance. Je mis encore plus de temps à réfléchir sur la réponse a donner.

Et puis, décision fut prise, il était temps et de toute façon, je devais me rendre à Paris.
Autant joindre l'utile à l'agréable.

La préparation fut beaucoup plus rapide maintenant que la décision était prise et je pris la route vers ce drôle de périple.

J'arrivais plusieurs jours à l'avance et pu explorer la ville en toute quiétude.
Le jour dit, parée sobrement , je me rendis vers la Grande Dame.


Il y avait foule et pourtant, bien peu de personnes connues, sinon des gens croisés voilà longtemps , plus des connaissances que des amis.
Je me glissais donc discrètement dans cette foule , curieuse de voir les futurs mariés arrivés. Quelques signes de tête distribués ici et là, l'attente débuta.



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en suspend
Nortimer
Le Chef allait se marier ... Tout les membres de Mémento avait reçu l'invitation pour venir ici ... pour s'amuser en l'honneur de leur chef

La joie quoi, on allait retrouver tout les amis ici... et on allez pouvoir faire la fête, une grosse fête.

Il y avait déjà beaucoup de monde, et il y en aurait certainement beaucoup plus...

Nort se mis à l'écart, dans un renfoncement pour attendre ses vieux amis qui ne tarderait certainement pas
Milly.
Mon parrain parti jouer son rôle de témoin. je discutais tranquillement avec mon cavalier tout en observant les invités qui arrivaient encore.

Mon attention fus soudainement attirée sur un couple et aussitôt je levais un bras enthousiaste pour signaler ma présence.
Je glissais quelques mots a mon compagnon.


C'est ma soeur et son époux qui arrivent !

Excitée comme une puce, je trépignais sur place, n'osant pas filer à sa rencontre.
Fichu protocole .... Elle m'a vu ? J'espère bien qu'elle m'a vu !
Chouette chouette chouette....

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--Belzelor
Car le songe de la nuit l'avait réveillé dans son travail de fossoyeur... La voix entendu était venue jusqu’à lui. Il avait pu fermer les yeux et percevoir le visage juvénile, il avait pu toucher la chevelure du jeune brun, Killian le nom était une évidence... Déjà il se léchait les lèvres , son nom prononcé trois fois, il était temps il était l'heure de venir à sa rencontre...

Sur les marches de Notre-Dame le grand frisson fut contrôlé, il n'était pas le moment de baver en grognant, il était la pour lui et ignora le ballet de nobles et de coches qui passaient pour se montrer ou se baffrer au banquet, il était la pour lui... au fond de la Cathédrale vers la porte, sur le banc assit, il l'attendait..

Quand il posa son séant à coté de Killian il grogna de plaisir et se pencha vers lui pour lui murmurer


"Je t'ai entendu cette nuit... Je suis la pour toi, nous sommes la pour toi..."
Amanieu
Amanieu était pressé, il allait être en retard il n' avait aucun doute là dessus.

Il y avait déjà beaucoup de monde devant Notre Dame, mais tout le monde n'était pas eoncre arrivé.

D'un coup d'oeil rapide il réussi à voir où Nortimer s'était caché.

Il se fit un plaisir de le rejoindre vite afin de pouvoir participer ensemble à la suite des événements
Erell.
Il discutait calmement avec sa cavalière, lorsque les yeux de celle ci se mirent à briller de joie. Il se retourna et ne sut qui exactement elle regardait.
Elle sauta sur place mais resta devant lui.


Tu ne peux aller vers eux c'est ça? Tu dois attendre? Tu me montres qui est ta sœur et son époux? Il y a tant de monde que je ne connais point.
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Raoul_acheron
Un hochement de teste façon...Teuton.

Dominus Tecum Makcimus de Kersac !
Un sourire carnassier ponctue son salut.
Il écoute Makc attentivement, religieusement dirait un Carmin qui batifole dans son baquet.
Les hommes d'honneur et de Foy et sont les bienvenus en Périgord Angoumois.
Ils sont devenus denrée des plus rare... Et rien ne me réjouira autant que vostre...Invasion.

Et de sourire en l'entendant dégoiser son amour pour l'hérésie.
Nostre Comté est une atrocité...Nous sommes fidèles aristotéliciens Romains et la patrie du plus grand Roy que ce royaume est connu.
Le regard se perd,le verbe s'enflamme...
J'aime l'odeur de l'hérétique carbonisé au petit matin...
Et de secouer la teste...Retour sur terre...
Par la Malemort, Carmin Tu te maries...tu te souviens ?


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Lim_de_vandimion
Le Maistre artilleur arrivait, un coup d’œil a droite et a gauche, voyant des têtes connues, inconnues ou méconnues, du monde quoi...................


Il vit au passage la ptiote Milly et son cavalier, un clin d’œil du Tonton la poudre noire, puis reconnu ce bon vieux Mackcimus discutant avec le Comte Raoul, qu'il saluèrent de la main, la grande famille de le Ruine présente......................

Prenant sa pipe il vit ses frères d'armes, Nortimer et Amanieu, ce bon vieux Paysans, Shendar et Bertuccio...........................


Le vieux prit sa boule_tanche pour s'enfiler une bonne rasade avant de continuer son ptiot tour furtivement....................

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Carminoir
C’était pas le rire du sergent, c’était la st sergent oui. Non mais il se prenait pour qui le laquais là qui se faisait tapoter la tonsure par la vilaine… retenue et discipline avait dit le vieux. Oé… bon… et tout à fait discrètement…


    Peut-être que ta sœur pisse bleu, mais toi, t’es un pisse-court !



Pas le temps d’élaborer qu’il file, le chevalier du protocole, pas le temps de le croquer en jambe qu’on l’interpelle encore. Un prince à présent, un royaliste encore. Ceux-là à défaut de se reproduire comme des lapins, le faisaient encore plus rapidement qu’un pet de lapereau à l’allaite d’hase.


    Bleizmorgnan, vous dites, mon bon Prince.



Pas franchement aimable le regard…


    Pour les témoins, c’est à l’hôtel en face, premier étage à gauche. Ce sera ouvert, le Carmin croit que les portes servent à donner des coups de pieds dedans. Vous y trouverez votre bon Comte, mais faites attention à ce qu’il ne vous règle pas le vôtre, parce qu’il est pas toujours d’humeur, le vieux.



Salut d’un doigt sur tempe…bon à qui le tour…

Et le détachement toujours pas complet…heureusement qu’il ne se marie pas souvent, le vieux…
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