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[RP]Mariage:Laure de Troy d'Orsenac & Namaycush Salmo Sa

Amael
Les membres de la Ruine s'étaient rassemblés dans une auberge assez bien tenue et d'un prix raisonnable pour leurs bourses. Chacun avait trouvé une chambre à sa convenance.

Lui avait laissé ces dames pour prendre un bon bain, la servante avait rempli le baquet en bois d'eau bien chaude et il fut heureux de pouvoir se délasser tout en se récurant au gant de crin.

Puis après ce bon moment il se frotta le cou avec de l'eau de Cologne pour sentir bon, il se rasa avec son poignard acéré, et se brossa la tignasse. Il s'admira dans le miroir, ma foi il avait encore un corps musclé, et malgré ses cicatrices dues aux combats passés il se dit qu'il était toujours présentable.

Il sortit de sa malle le pourpoint et la tenue d'apparat qu'il avait spécialement fait confectionner par une couturière aux doigts de fée dans un satin du plus bel effet qu'il avait choisi lui-même. Ayant enfilé ses plus beaux habits il sortit sur le palier.

Un doux fumet vint chatouiller ses narines venant de la salle à manger, il se dit qu'il avait grand faim et son estomac commençait à gargouiller. Des rires joyeux emplissaient l'auberge, ses compagnons de la Ruine devaient bavarder tout en dévorant coqs au vin et poulardes farcies, il descendit quatre à quatre en espérant ne pas retrouver que des restes ...


- J'espère que vous m'en avez laissé, j'ai un creux à l'estomac, que dis-je, un gouffre !

Il alla s'asseoir près de Ceronnie, Charpente, et Mara, les bûches crépitaient dans la cheminée et une douce châleur régnait dans la pièce. Il se saisit d'une poularde qui lui tendait les bras, ne demandant qu'à être avalée. Pour ne pas tâcher son bel habit il avait pris la précaution de se nouer une grande serviette autour du cou, ce qui fit beaucoup rire l'assemblée.

Il ne manquait plus qu'un joueur de cithare pour donner une atmosphère encore plus festive en attendant l'arrivée de tous les membres de la Ruine. D'humeur joviale il se servit un plein pichet de bon vin de Bourgogne, qui accompagnait très bien la volaille.

Makcimus était avec Namaycush, en tant que témoin il était aux côtés du futur marié, les deux guerriers devaient se raconter leurs souvenirs, tous deux étaient de grands capitaines s'étant battus pour leurs convictions, et ce mariage était l'occasion de retrouver d'anciennes connaissances et d'en faire de nouvelles.

il se prit à rêvasser sur son avenir personnel, lui qui avait toujours été modeste et en retrait, il pensa en lui-même " pourvu que çà dure " ...



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𝕮𝖑𝖎𝖖𝖚𝖊𝖟 𝖎𝖈𝖎 !
Gropius
La veille du mariage, Paris, Palais Archiépiscopal



    Le Cardinal Arduino Della Scala, Doyen du Sacré Collège des Cardinaux et Prélat plénipotentiaire, avait passé quelques jours au Château de Villiers-le-Mahieu, invité du Cardinal de Monfort-Beaumont d'Autevielle.

    Il était à Paris depuis quelques heures, escorté par sa garde personnelle qui portait sur ses uniformes le double blason de sa Maison et du marquisat de Santa Marinella que le Saint-Père lui avait accordé.

    La délégation s'est arrêtée au palais archiépiscopal. Il a pris possession d'un appartement privé et a eu l'occasion de s'offrir le reste de la journée pour se détendre un peu. Il veillait à ce que ses vœux personnels pour le lendemain soient transmis aux futurs époux, ainsi que le cadeau qu'il avait apporté de Rome.

    Son fidèle serviteur, Francesco, le suivait comme une ombre, prêt à exécuter avec son zèle habituel les ordres qui lui étaient donnés.


Citation:
The day before the wedding, Paris, Archiepiscopal Palace


Cardinal Arduino Della Scala, Dean of the Sacred College of Cardinals and Plenipotentiary Prelate, had spent a few days at the Château de Villiers-le-Mahieu, guest of the Cardinal de Monfort-Beaumont d'Autevielle.

He had been in Paris for a few hours, escorted by his personal guard who wore on his uniforms the double coat of arms of his House and of the Marquisate of Santa Marinella that the Holy Father had granted him.

The delegation stopped at the Archiepiscopal Palace. He took possession of a private apartment and had the opportunity to treat himself to the rest of the day to relax a little. He made sure that his personal wishes for the next day were delivered to the future spouses, as well as the gift he had brought from Rome.

His faithful servant, Francesco, followed him like a shadow, ready to carry out with his usual zeal the orders given to him.

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♝Il cielo e la terra♗
Lora1
Un messager avait apporté un pli depuis quelques jours déjà, ohhh pas un message habituel, non pour la première fois, je recevais un courrier directement envoyé de Paris.
Mais que me valait un tel un courrier ?

Fébrile, je m’empressais d’en prendre connaissance ? heureusement j’étais assise car la surprise fut grande en découvrant le contenu.

Le Carmin volait en justes noces et, moi Lora de Fleurisson, j’étais conviée à assister à ce mariage.

Les jours étaient passés, m’impatience grandissait et enfin le moment de prendre la route était arrivé.

Nous avions mon mari et moi calculé sur les cartes l’itinéraire à emprunter pour rejoindre la capitale et relevé soigneusement les auberges étapes où nous pourrions nous reposer et échanger nos montures.

Il n’avait pas voulu que je fasse seule un aussi long voyage il était donc décidé qu’il m’accompagnerait pour ce long trajet.

Les malles chargées, l’attelage avancé l’escorte prête aussi, nous pouvions prendre la route.

Le voyage dura de longs jours, changeant d’auberge tous les soirs afin de rallier Paris.
Il n’a eu pas grand-chose à faire que dire, papoter et regarder défiler le paysage qui changeait au fil des régions traversées.

L’automne installait doucement ses couleurs dorées et jaunes flamboyants.

Pour rien au monde je n’aurais voulu arriver en retard pour cette cérémonie.
Enfin la dernière étape, j’espère que le voyage ne m’aura pas trop fatiguée, je veux être resplendissante pour Honorer cet ami qui m’est cher

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Elaena
[Paris, jour des noces]

Décidément c'était la mode de se marier à Paris. La jeune Troy avait elle-aussi - et oui héhé - reçu son carton d'invitation pour Le mariage le plus en vogue de l'année : celui de la Princesse et du Carmin. Pour l'occasion la blonde avait revêtu une de ses robes qui lui avait coûté un bras d'un bleu couleur du temps, beau temps évidemment.
Depuis son appartement parisien la procureure avait arpenté les rues de la capitale, installée dans sa petite cabine à porteurs. Rapidement on arriva à Notre-Dame, perle architecturale parisienne qui s'érigeait en maîtresse au dessus des rues étroites et nauséabondes de la capitale renaissante, flamboyante au milieu du capharnaüm humain depuis déjà plus d'un siècle.

Alors qu'elle descendait, posant pied sur le parvis de la cathédrale, la jeune femme planqua avec une grâce sans pareille - parce que c'est une Troy - une flasque d'alcool dans son décolleté. Sait-on jamais si la messe de mariage s'avérait ennuyeuse.
Princesselaure
[Le dimanche à Notre ~ Dame... C'est le jour du Mariaaage !]


Alors que toutes les bonnes choses ont une fin... Moment câlin, moment taquin... Alors qu'elle prend le chemin du baquet pour faire "plouf" sur les ordres de la "wedding planner" avant qu'on ne sache tous parler anglois ! Ah tiens voilà la troisième... Qui joue à cache-cache ! Oh merde on a du faire fort quand même !

Hum... Ça fait beaucoup de foutre tout ça non ?!

Puis dans un éclat de rire en voyant la tronche de Kary, les cheveux à la sauce "rienafout" bon en fait tout est à la mode précitée... Tout y est à coup sur on fera sensation ... Ou ?! Ben au Bal des Morts !

Oh Mazette... Comtesse toi t'as... Morflé... On dirait qu'on t'a piétiné la tronche toute la nuit !

Se marrant encore avant de passer devant l'imposant miroir...

Oh Merde... Bon ben le troupeau a aussi aimé ma trogne ! Tu fais tartir Valmonte faut qu'à chaque fois tout dégénère... Genre on pouvait pas nous contenter de boire une coupe ! UNE ! Et manger deux trois biscuits ! Non... On sort les fûts, les bouteilles, les carafes et ... Le chanvre ! Prochaine fois que je me marrie je demande à une femme sérieuse, honnête, sage... Aristotélicienne d'organiser la dernière soirée !

Secoue alors la tête devant ce reflet, balançant la caboche de droite à gauche pour voir les boucles rebondir et s'en amuser. Tandis que la noiraude s'affale dans le fauteuil et pique un p'tit somme ! Faut dire que la journée fut intense... Quoi on est que le matin ?! Arfff... Se laissant faire, plongeant le corps entier dans l'eau bouillante; frémit sous la douceur des essences florales.

Les fleurs... C'est la vie ! Ah non... Mais moi j'aime pas la tisane ! Par contre So il restait pas un fond de Vouvray ? J'en vouvray bien une tite goulée tiens ! Ah non ?! Pffff

Boudeuse, elle se pince le nez et plonge la tête, lâchant des bulles de temps en temps histoire d'assurer aux autres qu'elle est encore en vie ! Glouglouglou.

Reprenant sa position alors qu'on vient lui frotter le dos et les pieds, les mains se posent sur les rebords... Jouant des doigts le tempo... Gardant les yeux clos... Euh... Genre elle écoute de la musique là ? Ben Elie est venue avec des saltimbanques non ?! Ah ben non... Bon ben ce sont ces neurones qui carillonnent ! Oé les deux... Ou trois ! Tssss guignol !

Laisse donc Sun profiter encore de sa vie de Dinde Libre veux tu... Elle a déjà évité de justesse de finir sur ma cape de plumes ! Bon je sors... On parle dinde et là je sens le thym... L'impression qu'un amant de Sofie va débarquer pour me rôtir !

Se levant, faisant glisser sur sa peau pâle l'arôme... " Prête pour le coup le plus génial, prête pour le plus beau scandale ! " Prenant la main tendue, elle enjambe et se fait enrouler dans le drapé... On aurait pu faire une comédie musicale tiens ! Se faisant pousser jusqu'au siège, les actions sont réalisées...Purée pour tirer ça tire !

Euh... Vous pensez que c'est du crin ? Non 'fin doucement... Si je peux éviter d'être chauve là maintenant, tout de suite, ça me convient aussi !

Boit une gorgée de tisane, pas mal pour l'haleine aussi ! Alors qu'on dompte les boucles d'or, plongées dans un filet, on lisse et on tire encore... Souffrant le martyr comme pour l’apaiser on y colle une fleur de lys dans la tignasse. Joues pincées et lèvres colorées... Parfumée à outrance de violette et de rose ! On lui flanque des perles aux oreilles... Point de couronne ce jour ! Point de collier... On lui ajoute une chemise longue avant de l'emmener vers le mannequin de bois...

Ainsi donc... La voilà les filles... La robe du jour ! Bon on a le truc neuf... Je peux aisément faire la vieillerie hein... Par contre pour le bleu ? J'ai rien de visible mis à part le sang qui nourrit mes veines ! Et mes yeux !

L'azur qui pivote vers Elie alors qu'on commence à boutonner le corset et que la robe ne vienne épouser sa silhouette. Les attaches d'or sont fermées sur le devant de sa toilette... Prenant une grande respiration alors qu'elle glisse son pied dans ses souliers qu'elle voulait pointus et talonnés pour accentuer l'effet sonore dans la cathédrale. Un regard vers les filles qui commencent à ressembler toutes deux à des témoins...

Bon... Je crois que nous y voilà... Elie... Tu valides ? Les filles vous êtes prêtes ou on demande un délai d'une semaine ?

C'est alors que la porte s'ouvre... Une dame entre avec le bouquet de roses... Rouges ! Sans doute les dernières de cette saison 1467 ! Un sourire en reniflant gracieusement les fleurs... Une vie d'envies... Un jeu d'enjeux...

Sofie... Point de choses à redire ou à ajouter... Pas une vieille coutume ? Non ?! Bon !

Un sourire vers Karyaan se demandant si elle arrive à la voir ou si elle l'éblouit...
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--Jaiden
Dehors il y a encore la garde d'honneur.
Ce soldat il approche son oreille , il ecoute au loin la ceremonie
Sofie.de.valmonte
Chambre de Laure , en train de retrouver un aspect humain


Puissent mes yeux s’ouvrir…Alors quelques sortilèges nécessaires pour maquiller le cœur et farder les yeux. La dernière nuit aura été celle des excès, elle entend encore les rires avant que la gerbe prenne le dessus.
Quelques soupirs échangés, ils proviennent du foie et non de la foi. Il est venu le jour, ou elle le sait, elle perdra aussi Laure tout comme Elie s’en est allée. Le mariage est une voie qu’elle assimile aux fleurs d’autrefois et les choses changent.
D'ailleurs Elie prend tout en main, apparats et petites mains, vont réparer les affres de la nuit et elle pouvoir grogner qu'on la touche.

La dentelle vole et s’éparpille, la journée ne fait que commencer que l’empressement suit à la douceur des vapeurs de chanvre. Culottes et volants s’affriolent seules, des couleurs de pastels qui vont et viennent, autant que le ciel sera clément ce jour. Les cloches de notre dame n’auront pas la primeur de pouvoir éblouir de leurs fracas le tout paris. Arranger ses cheveux restait la tâche la plus ardue, mais les caméristes avaient fait des merveilles, ses mèches ressemblaient à des soldats bien rangés, pas une ne dépassait dans les rangs et le coup de clairon annonciateur n’allait pas les faire trembler. Ce mariage sera celui de la réussite et du triomphe. La mariée sera belle et elle en sera témoin, ce jour sera noté sur les édifices de l’histoire. Dans sa poche un mouchoir glissé, nul besoin d’oignon elle en était certaine.

Dans le miroir son reflet, les essences de fleurs font des merveilles et effacent bien des traces.

Un très long soupir s’échappe de ses lèvres pâles. Entre inquiétude et soulagement…
Tout est toujours si ambigu avec elle.


Les filles je prends le doigt fétiche ? C’est un peu grâce à lui que tout commença….

Sinon je valide , malgré que dans ma tête résonne encore des cris de hier soir..
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Iaudas
Une journée à peine s'était écoulée depuis la nomination du nouvel archevêque de Paris, installé à quelques centimètres seulement de Notre-Dame aux pieds des gargouilles, le Cardinal avait passé sa première nuit dans l'Archevêché. La veille, l'homme d'Église se fit hôte du jour en accueillant le Doyen du Sacré-Collège et le reste de sa suite. Après tout, rien d'anormal à donner le gîte à une délégation mandatée par le Saint-Père ! Il est probable que l'endroit devait paraître de toute beauté et confortable au Doyen, à l'inverse des rues adjacentes puant une sale odeur de porcherie mêlée à celle des cadavres putrides. D'ailleurs, il n'entrait pas dans les habitudes du vieillard de respirer une telle odeur nauséabonde, si bien qu'il était désormais contraint de s'armer d'un mouchoir à l'agréable fragrance de lavande, chose fort bien utile pour chasser en temps normal les mauvaises odeurs. Sans doute avec le temps, ses narines s'habitueraient aux odeurs fétides de la vie parisienne. De toute façon, il le fallait bien. Pour ce jour des noces, le prélat espérait que le service d'autel de Notre-Dame eut la main lourde sur l'encens, au moins le Nanteuil n'aurait pas à coller son mouchoir soyeux sur son nez pendant toute la durée de l'office. L'odeur de la mort résistait peu au parfum de la divinité.

Inutile de dire que le grisonnant italique apprécia recevoir l'invitation de Laure. Il est vrai, le futur époux n'occupait guère une place privilégiée dans son coeur, toutefois Laure faisait partie d'un riche passé datant du vivant de Lanfeust. L'aïeul en gardait un bon souvenir, une sympathie mutuelle perdurait même si le temps continuait à s'écrouler. On se comprend entre vieilles branches, c'est en tout cas ce qu'il dirait. À présent, elle se devait de refaire sa vie aux côtés d'un nouvel époux. Ce peu importe l'approbation ou non de la famille, cela restait son propre choix, ils devaient le respecter quoiqu'il en soit.

Mené par un serviteur sur sa chaise roulante, bijou fétiche des moqueries de Laure -parce qu'une certaine flemme l'empêchait de marcher-, Iaudas fit une halte sur le parvis en apercevant l'une de ses jeunes nièces, Elaena, visiblement en grande beauté dans une toilette hors de prix. Il la salua d'une bise et après avoir défroissé les plis de sa mosette, son mouchoir vint cacher son nez des odeurs.


Par tous les diables, comptez-vous rester encore longtemps dans cette odeur de rats mors ? Rentrons ma chère, si vous tenez à rester en vie ! s'exclama t-il en pressant son serviteur de le pousser vers la destination pointée par sa canne.

Et on le fit entrer dans la cathédrale, beaucoup de personnes aux visages méconnus commençaient à prendre place à l'intérieur, en ôtant le mouchoir face à son nez, il se rendit vite compte d'une odeur pas encore tout à fait normale.

Encore cette odeur désagréable, quelle puanteur ! pensa le bonhomme à haute voix en grimaçant.


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Albert.du.chemin


Comment convenue Albert s’étais lever au aurore et alla ses préparé il ses lava ses se rasa et il arriva devant l’hôtel particulier ou loger le General Namaycush et sa promis il ses posta a la droit et un autre garde étais a gauche de cette porte principal qui donné a la fois sur la route et de l’autre le parc de cette magnifique hôtel

Mais 1 heurs après sa prise de garde il voit une tète malheureux bien que nu des Tourangeaux la Nesty dit la vilaine ou plus simplement la vermine il ses dit est bien je croiée la capital immunisée contre la vermine mais ses pas le cas pauvre France ses disais t’il au temps lévan le 3ème sa serais jamais arriver
Paysans01
- Bonjour Paysan ! Je vais très bien et il me semble que toi aussi

Oui je vais bien merci

Bonjour Paysan, content de te revoir, tu n'as pas changé, toujours en pleine forme à ce que je vois

Moi je vais bien je suis moi même ravie de te revoir je vais bien merci eux tu deviens quoi ??

Bonjour Paysan, bonjour Shen.



Paysans vois arriver d’autre tète amie

Bonjours Ongwhu comment aller va tu ???
Bonjours Fauve_ebene comment aller va tu ???
Bonjours Messire Amanieu comment aller vous ???
Bonjours Dame Cameliane comment aller vous ???


Pays Il voit au loin une tète qu’il aura préfère ne plus jamais voire Le vermine ici a la capital pauvre Capital d’un ci jolie pays

Il vie le père Clodeweck qui étais chef de l’église de D’Aristote

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Marguerite...
    Le sol de l'appartement d'apparat au Louvre était arpenté de long en large sous le regard impuissant de Bathilde et d'Ysolde. Ce jour était le jour de l'union de sa mère avec un homme qu'elle n'aimait pas. Elle était certaine qu'il n'était pas assez bien pour l'épouser, qu'il ternirait sa réputation. Sa mère, faite reine consort grâce à son royal paternel, s'était éprise d'un félon, et la jeune blondinette en éprouvait une profonde tristesse. Elle ne comprenait pas le choix de sa mère, passer d'un Roi à un félon « défélonisé » et à l'essai en plus. Elle repense aux annonces de l'AAP et du dernier « Chaumières & Chouineries » qui accusaient indirectement le Carmin d'être l'auteur de la destruction partielle de la crypte royale de Keyfeya dans un lieu saint, la cathédrale de Périgueux.. Telles étaient les rumeurs publiques. Vrai ? Faux ? Elle n'en savait rien.

    La jeune Princesse était certaine que sa mère faisait une lourde erreur en épousant un homme détesté de tous. Elle se demandait si les nobles français seraient présents à cette union. Minérales s'orientèrent sur l'extérieur, par la fenêtre de sa chambre, le temps n'était pas au soleil, mais à la tristesse. « Que faire.. Que faire.. » La jeune femme ne cesse de se répéter ces mots. Elle enrage intérieurement contre Namay, elle peste même contre sa mère face à ce choix qu'elle leur impose. Un autre homme aurait été plus apprécié par la jeune femme.. Bien que cela ne soit pas certain, aucun homme n'arrivait à la cheville de père disparu. Le sang bleu qui est le sien bouillonne dans ses veines, de colère, de tristesse, d'impuissance.

    Elle repense à la décision de sa mère de se porter garante pour le félon, sans même les avoir avertis qu'elle mettait en jeu leur héritage, TOUS LES souvenirs de leur père ce héros, souvenirs de ce couple qu'elle formait avec Lanfeust.. Ils furent laissés dans l'ignorance jusqu'à apprendre la chose par une annonce royale, avant que leur mère ne se souvienne qu'elle doit prévenir ses enfants. Et cela, la jeune femme ne l'a toujours pas digéré.
    Elle repense à l'annonce royale. Si l'enquête annoncée par la Reine démontrait qu'en effet Namay était l'auteur des coups de canon, elle perdrait ses fiefs, ses titres et prédicats, son honneur, et tous leurs souvenirs de Lanfeust.. Déjà qu'ils n'avaient plus de père, comment avait elle pu leur faire ça.. Sans parler des deux autres femmes qui perdraient tout également. Il s'en serait donc pris à un lieu saint, redeviendrait-il excommunié ? Fort probable, on ne s'en prenait pas à coups de canon à une église ! Est-il vraiment coupable ? Un nœud dans le ventre lui fait penser que oui.. Mais la Princesse n'a rien mangé. Alors, allez donc savoir.


    - Mais que fait-elle avec lui ?!?!!! Le regard triste perlé de larmes de déception reste tourné vers le paysage extérieur sans le voir.
    - Votre Altesse Royale.. Votre mère est amoureuse, et ne se rend pas compte de son erreur.. Soyez juste là pour elle. Bathilde.. qui parle si bien.. Pourtant elle déteste le Carmin.
    - C'est ça.. Je dois la raisonner.. Oui, elle n'a entendu que ce qu'elle veut entendre, le mot erreur. Elle ne peut l'épouser, ce n'est tout simplement pas possible.. Habillez moi, Nous partons !!

    Et voici super Marguerite -ou sainte Marguerite comme vous voulez- qui revêt sa plus jolie robe pour ce mariage qu'elle rejette.. Elle aime sa mère, mais comment la raisonner ? L'assommer si elle ne veut pas entendre raison ? Dans la cathédrale cela serait mal vu. Elle doit lui parler. Une fois prête, l'ordre fuse.

    - Bathilde, nous partons .. De suite !!

    D'un pas décidé, elle prend la direction de la cour du Louvre. Le coche aux armes royales Troy-Orsenac est rejoint, et elle s'y engouffre, suivie de Bathilde. Ses gardes à cheval entourent la voiture. Durant le cour trajet, elle se demande qui sera présent à ce mariage. Est-ce que Constance viendra ? Ulysse ? Hector ? Lilly ? Les autres membres de la famille ? Les nobles viendront ils ? Des questions en pagaille se bousculent en sa tête. Elle voudrait que son père adoré soit là, celui qu'elle vénérait tant, qui fut le plus grand des hommes pour elle. Il lui manque tant le défunt roi Lanfeust, son père ce héros..

    A destination, elle quitte le coche, suivie de Bathilde. Elle ne prend même pas le temps de lisser les pans de sa robe. Ses gardes la précèdent, et restent devant l'entrée de la cathédrale. Les armes étant interdites au sein d'un monument saint. Une odeur nauséabonde flotte dans l'air ambiant.

    Minérales aperçoivent alors Elaena et son grand oncle Iaudas, alors qu'elle se signe. Ces personnes tendres à son cœur lui font naitre un léger sourire, mais la tristesse est là, plus forte. Puis les présents sont détaillés, est-ce la cour des miracles ? Où sont les nobles ? Est-ce cela les invités de celui qui veut s'unir à sa mère ? Un mouchoir aux essences de violette est porté sur le nez délicat, elle n'est pas rassurée. Elle regarde son Oncle et sa cousine, l'inquiétude est présente, au point qu'elle en oublie de les saluer.


    - Qui sont tous ces.. individus ? Est-ce cela le mariage princier ?

    La Princesse Royale se demande si elle se trouve à la foire d'empoigne ou dans une cathédrale pour un mariage de haute noblesse..



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Namaycush
La vie, la mort, l’amour…

La vie, putain d’envie. La mort, tu perds toujours. L’amour, tu combats.
Non, tu ne tombes pas amoureux. Tu le deviens.

Bleu, je te veux !

Jeu, enjeu, histoire dans laquelle faut toujours un « Je » parce que si tu n’y crois pas, personne n’y croira.


Le destin tu l’écris, mais la fatalité tu la combats. Le pape, convoqué par le Très-Haut, se doit de retraiter, mais son fidèle cardinal Gropius se présente. Rome a tenu parole sacrée et tant pis pour les vilains, les jalouseurs et les voleurs de bonheur.

Ton témoin s’est limbé de nostalgie, tant pis pour lui. Le bon Dieu a mis sur ta route un prince.
A vent mauvais, Cœur Carmin…

Sourire à la carnasse soudaine…



    Prince Bleizhmorgan. Dans la vérité la plus absolue, tu es mon neveu. Que tu le veuilles ou non. Eloigné, certes. Soudain, si proche.



Pogne sur son épaule. Front contre le sien…


    Et te voilà faire partie de mes témoins !



Etrange reflet dans ses yeux…


    Et tu ne seras pas bon prince, mais excellent prince !



Chevaucheur de vent ou roc, frange à contre-courant, il combat…rit, dresse sa carcasse…


    Messieurs, A moi !



Cavalcade de marches d’infanterie, surtout pas d’artillerie. Il n’y connaît rien… Tout le monde le sait…




Premières marches du Parvis…





Sont-ils deux ou trois, il ne s’est pas retourné.

Ils sont les montagnes combattantes, force de féodalité, de foi et de conviction. Ils sont des masses en mouvement.

Deux d’entre eux ont construit l’histoire de ce royaume et l’ont irrigué de torrents de sang. Des Leurs. Ils sont les hommes fiers de hier, qui bâtissent demain. Ils ne connaissent pas le compromis, ils sont les entiers, ils aiment ou n’aiment pas, ils sont, tout simplement.

Il marche. Il voit sans les voir la garde et les gens, les gentils et les méchants, les amis comme les frères, les mesquins ou les apeurés. Il est celui qui, toujours, est aimé ou détesté de la même manière, avec rage et passion.

Il marche… Le pas fait l’homme, la volonté la conviction. Il a rendez-vous avec la vie…celle de « Noux »…

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Ulysse_joseph
Venir... Pas venir... voilà une question qui trotait dans la tête du prince depuis un petit bout de temps déjà... C'était une situation vraiment pas facile.. d'un coté, il en voulait terriblement à sa mère pour les choix qu'elle leur imposait et pour ce qu'elle avait fait dernièrement mais en même temps elle restait sa mère et il aimait sa mère quoi qu'elle fase.

Rhaaa il lui en voulait pour l'avoir mis dans une telle situation de doute.
Après un long moment d'hésitation, il avait fini par se dire qu'il irait et advienne ce qui arrivera. Peut être que sur place, le jeune prince arriva à disuader sa mère de commetre l'iréparable même s'il en doute fortement. De toute façon, le mal était déjà fait.. si Namay commétait la moindre connerie, Laure tomberait également..
Quel idée lui était-elle passé par la tête de se porter garant pour un tel homme...

Bref l'heure n'était plus à la réflexion, il lui fallait partir. L'avantage qu'il avait, c'était qu'il n'était jamais très loin de Paris de par ces fonctions et donc il arriva assez vite sur les lieux.
Seulement, une fois sur place, un nouveau doute s'installa en voyant les personnes présentes.. il en connaissait certains par réputation et leur réputation n'éait pas forcément bonne.. Que faisait-il ici lui le prince et officier royal parmi ces personnes.. et voilà qu'il en voulait encore un peu plus à sa mère que de l'obliger lui le prince a se méler à tout ce bas monde.

Se frayant un chemin parmi la foule, il remarqua sa soeur,son oncle et sa cousine. Se dirigeant vers eux, il les interpela.

Marg, mon oncle, Elaena quel bonheure de vous voir ici. Je dois avouer que je me sentais un peu exclu parmi ces personnes. Est-ce là les invités pour le mariage?


Cela promettait si c'était le cas..
Gabriell
Quelques jours avant le mariage.

Il est des évènements qui ne se ratent pas. La mariage de Laure en était un.
Quand ils avaient reçu l'invitation, le jeune couple fit préparer leurs bagages pour partir sur Paris. Quand il était huissier, il avait eu l'occasion de connaitre la ville. Il trouva une auberge, pour qu'ils restent quelques jours.


Le jour J

Après une bonne nuit de repos, le jeune homme ouvrit un oeil, puis l'autre. Il était temps de se préparer et de faire honneur à celle qu'il appelait affectueusement "belle maman". Elle n'aimait pas trop, mais avec le temps elle avait fini par ne plus raler. Lasser, ou appreciait elle ? ça nul ne le saurait. Sauf se mettre dans le tête de la princesse et ça ... valait mieux pas s'y trouver.

Mon ange ! Il est l'heure de se préparer pour le mariage de Laure.

Ni une, ni deux, il fit préparer tout le nécessaire pour être présentable.

Lavé, habillé et coiffé, le jeune couple était pret pour se rendre sur le parvis de Notre Dame..
Une voiture les emmena, il y avait foule alors ils se glissèrent au milieu des invités et parmis eux ... un languedocien qu'il connaissait bien.


Lo bonjorn Rackam mon ami. Comment vas tu ? Toi aussi tu es venu au mariage de l'année ?
Je te présente mon épouse Maylodie.
C'est Rackam, un ami languedocien, tu ne le connais peut être pas, ma chérie.

Tu nous excuseras mais mon épouse est un peu fatiguée en ce moment, on va se chercher une place pour s'assoir.
Tu viens avec nous ?


Le jeune homme se dirigea vers ce brave Gaubert.

Bonjour Gaubert. Comment allez vous ?
Pensez vous que nous puissions entrer, vous savez que Maylodie est un peu fatiguée et je préfererais qu'elle ne reste pas trop debout.
Lilly_
    Toulouse, avant le mariage.

    Le carton tournait dans les doigts de Blondie. Elle berçait de l'autre main le berceau de son nouveau-né. Son fils né depuis une dizaine de jours l'avait beaucoup épuisé. Elle avait dû gardé le lit après sa naissance pendant six longues journées. Aloys avait failli lui faire perdre la raison. Mais tout revenait dans l'ordre depuis quelque temps.

    Laure épousait donc son Carmin. Elle avait fait le déplacement pour discuter avec elle de sa décision. Elle avait été présente au Conseil de Famille. Elle n'avait pas été convaincue. Elle redoutait les retombées d'une telle union. Mais elle respectait une chose. Son amour pour lui.
    Lilly été revenue sur Toulouse sans avoir donné de réponse à Laure. Son état ne lui permettait pas de se rendre à Paris. L'aurait-elle fait si elle l'avait pu. Possible que non.

    Sa famille était maintenant ici. Sa vie aussi. Elle avait un amour fraternel pour ceux qui sont ces frères et sœurs, mais la vie apporte son lot de décisions et d'opportunités. Lilly en était convaincue. Elle avait ses choix. Ils feraient les leurs.

    Son fils assoupi, elle prit la direction du secrétaire pour répondre à Laure.


    Citation:
    A vous, Laure de Troy d'Orsenac,
    De nous, Lilly von Frayner de Wissocq,

    Salutations & Paix,

      J'ai bien reçu votre invitation à votre mariage et je vous en remercie.

      Je viens de mettre au monde mon premier enfant. Cela m'a beaucoup fatiguée. Vous comprendrez aisément que je ne prends pas de risque à monter sur Paris peu de temps après cela. Je serai donc absente.

      Mais je me dois d'être franche avec vous. Après tout, vous avez eu un rôle de mère depuis mon accueil au sein de la Famille de Troy.

      Même en forme, je ne serai sûrement pas venue assister à cette union.

      Votre choix. Votre décision. Votre amour. Je le respecte.

      Le mien de ne pas venir assister à la cérémonie. J'espère que vous le respecterez tout autant.

      J'espère qu'il vous apportera le bonheur que vous attendez. Et j'espère ne pas lire d'annonce royale annonçant une triste nouvelle.

      Que ce jour soit pour vous et vos invités un jour de fête.

      Que le Très Haut vous garde.


    Faict à Toulouse, ce 10éme jour d'Octobre 1467.


    Elle donne le pli sceller à un valet de la demeure. Elle lui donna la consigne de le faire porter directement à Son Altesse Royale Laure de Troy d'Orsenac.

    Puis, une fois fait, elle reprit la place aux côtés de son fils.

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