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[RP]Mariage:Laure de Troy d'Orsenac & Namaycush Salmo Sa

Makcimus.
Prince Guiyom Bleizhmorgan...Namaycush Salmo Salar...Makcimus de Kersak.


La grande carcasse de saluer d’un signe de tête. Le fils de la Reine ? Ha mais oui il avait rencontré le jeune homme a Dreux, récemment.

Apres une séance de coup de boule et divers échanges …. Messieurs, A moi !


Avant l’heure, c’est pas l’heure…. Apres l’heure c’est trop tard.

Alors ils marchent… Lui, de sa lourde démarche, de celle qui permet de déplacer un quintal en mouvement.
De celle qui ne trompe personne lorsqu’il est en combat, de cette démarche qui ne dévie pas, celle qui permet quelques soit l’etat du terrain, meuble ou sec de maintenir le cap.

En arrivant, de constater que les siens sont bien la, ce jour ils ont troqué l’armure pour vêtements de fêtes. Car ce jour en sera un.
Aussi d’un sourire et d’un signe, il dira d’entrer. A son épouse, la plus belle femme des royaumes a ses yeux, il complimentera sur sa tenue. L’embrassera lui promettant de la retrouver des que possible.

Les marches du parvis, il grimpera et saluera la troupe du Carmin qui rendait les honneurs. De dextre sur le cœur, il répondra avec force et virilité. Ils avaient combattu ensemble, pas forcement ou toujours pour les mêmes raisons, mais ensemble. Ils étaient devenus frères d’armes.

S’apprêtant à entrer en le lieu saint, il marqua l’arrêt. Une génuflexion, et avec la ferveur qu’on lui connaissait, il se signa.

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Milly.
Le temps avançait et il était l'heure, bien que j'aurais aimé accueillir mon père et ces témoins, il nous fallait prendre place.

Au bras de mon compagnon, nous entrâmes pour rejoindre la place qui nous était destinée.

Coté droit, au premier rang réservé aux enfants et la famille. Sourire éclatant, je saluais ceux qui étaient déjà installés.

Regard curieux, je regardais partout à m'en dévisser la tête jusqu'à ce que ces dames les témoins de la marié arrivent, à peu de temps près , après le marié et ces témoins.

Et là m'sieurs dames, je les admirais. Qu'est-ce qu'ils étaient tous beaux et belles.
Mais bon, le mieux c'était le marié ...pour le moment car je ne doutais pas que l'Or nous éblouirait.

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Princesselaure
[ Dans la chambre Princière... Clap de fin !]



Ultimes moments de complicité avant le saut dans le grand bain... Un sourire se flanque sur le visage tandis qu'Elie s'approche pour une étreinte... Bon d'accord c'est Laure qui tire sur les mains d'Elienore... Quelques mots échangés alors qu'elle sent poindre des gouttes d'océan au coin des yeux... Cet échange se passe de commentaire, un pincement de lèvres pour unique réponse... Ne pas parler pour ne pas s’effondrer... D'ailleurs... Avaient elles vraiment besoin de se parler ces trois là ! Chacune ayant la possibilité de savoir quand l'une ou l'autre était en joie, en peine ou en détresse... C'est ça ! Les vraies amies ! Pas celles qui ne sont là que par prestige, à graviter autour et qui oublie votre nom dés le dos tourné... Elie, Sofie et Laure forment un trio... Le Trio d'Auvergne ! Mais non c'est pas un fromage ! Tsss... Elles sont unies par la force de l'amour, du respect et l'envie ! Elles sont ... Les Trois Grâces ! Oui faites gaffe à l'emplacement du "R" j'y tiens ! Coeur, Trèfle & Pique... Rouge, Bleue et Verte... Bon voilà... Soudée comme les deux doigts de la main mais à trois ! Puis Karyaan... Un soutien sans faille, une amie devenue... Une sacrément belle personne ! Les regardant s'éloigner alors que la porte s'ouvre sur un valet tenant ce qui semble être un pli. Un sourire à l'évocation de ce doigt... Fétiche ou... Bref...

Bonne route, on se retrouve là bas.

Relevant d'une main un pan de robe, la faisant traîner sur le parquet, s'approche de la porte et venant libérer le valet de sa mission, saisit le billet dans un sourire.

Citation:
A vous, Laure de Troy d'Orsenac,
De nous, Lilly von Frayner de Wissocq,

Salutations & Paix,

    J'ai bien reçu votre invitation à votre mariage et je vous en remercie.

    Je viens de mettre au monde mon premier enfant. Cela m'a beaucoup fatiguée. Vous comprendrez aisément que je ne prends pas de risque à monter sur Paris peu de temps après cela. Je serai donc absente.

    Mais je me dois d'être franche avec vous. Après tout, vous avez eu un rôle de mère depuis mon accueil au sein de la Famille de Troy.

    Même en forme, je ne serai sûrement pas venue assister à cette union.

    Votre choix. Votre décision. Votre amour. Je le respecte.

    Le mien de ne pas venir assister à la cérémonie. J'espère que vous le respecterez tout autant.

    J'espère qu'il vous apportera le bonheur que vous attendez. Et j'espère ne pas lire d'annonce royale annonçant une triste nouvelle.

    Que ce jour soit pour vous et vos invités un jour de fête.

    Que le Très Haut vous garde.


Faict à Toulouse, ce 10éme jour d'Octobre 1467.



Lilly... Une relation pas toujours placée sous l'égide de l'entente entre les deux blondes, parfois complexe tantôt simple... Avant de lire, elle savait très bien le contenu... Ou presque ! L'azur glisse sur les mots, en savourant certains... Ainsi Lilly devenait mère à son tour... Une bonne chose mais n'est ce point là le destin de toutes femmes en soit... Les souvenirs de son arrivée à Souvigny... Cette petite tête blonde... Des années... Des siècles... Mais ce mot anodin... Posant alors délicatement la missive sur la table, elle y répondra... Assurément !

Sois assurée Lilly... Du respect de ton choix... Sois assurée...

L'azur perdu dans un recoin de la chambre, une voix vint faire trembler la blonde, la sortir de sa léthargie...

Votre Altesse... Il nous faut y aller !

Attrapant le bouquet au vol... Claquement de porte à la sauce Castelfortaine ! Autant dire ça fait un sacré vacarme !





[Jour du mariage ~ Parvis de Notre Dame de Paris... Quand tout le monde est installé ! Et que la Blonde se nomme "Désirée" !]



Au loin... "Jacqueline" bien joli nom pour une cloche... Non non la vraie... Celle en haut de la tour de Notre Dame... Annonce l'arrivée imminente de la mariée et l'invitation à tous de prendre place dans le sacro-saint lieu ... Imaginant alors le parvis aussi vide qu'un soir de couvre-feu.

Le carrosse tiré par quatre chevaux aussi blancs que la neige, aussi blancs que la pureté, aussi blancs que le paradis... La garde veille et bientôt le fer des roues sur les pavés n'est plus qu'un lointain souvenir ! Jouant de la mâchoire pour se déboucher les oreilles.

Tirant légèrement le rideau pourpre de son écrin d'ébène, une expiration intense en voyant la Cathédrale, celle qui entendra sous peu les échanges d'un second round, puis l'azur se trouve attiré comme un aimant par la silhouette d'une femme aussi blonde qu'elle, à faire rougir les blés... Silhouette gracieuse... Vêtue de noir... Accompagnée d'un garçonnet main plongée dans celle de la femme... Amusant comme scène.. Seront ils là ?!

Valentin ! Tu m'ouvres ou je dois casser la vitre ?! Tsss...


Enfin la portière s'ouvre et laisse la princesse retrouver la terre ferme... Suivie de prés par sa camériste du jour qui rectifies les plis, les lacets, les rubans ! Faisant de Laure, une interprétation de la perfection à cette heure... Tout du moins c'est que les mariées espèrent... Ne pas faire tâche...

Merci...


L'azur qui monte vers les cieux, non pas en quête de courage mais juste voir si on trouve un nuage ou pas à l'horizon... Car Mariage Pluvieux... Mariage Heureux ! Alors que les pas foulés la mène un peu plus vers son choix, sa vie de demain... Premier obstacle ? Encore quelques pas... Quelques marches... La silhouette est toujours là... L'azur se plisse alors... Le menton se relève... Doucement... Sur l'enfant d'abord... Puis sur... La mère... Sa fille ! Plus que deux marches et voilà que sa main droite va se poser sur la joue d'Edouard, lui souriant tendrement. Avec toute l'affection d'une grand mère... A moins que cela aussi soit remis à l'ordre du jour. Mais en attendant... Une bise sur la joue de son aînée.

Constance... Quelle surprise... Non pas que tu sois là mais ... Ici ! Enfin si... En fait surprise de te trouver à Paris et ici... Mais tu ne devrais pas être à l'intérieur ? Sur le tout premier banc... Mais juste ciel, Constance... Ton secrétaire a du trop lire la rubrique nécrologique... Bien que tu sois lumineuse au naturel... Tu aurais pu garder cette robe sombre pour l'hérit... Enfin mon enterrement !

Pincement de lèvres, ne sachant plus au final comment agir avec ses propres enfants, jonglant de reproches en désillusions, de critiques à foison dans tous les sens... Laure n'avait su gérer, le voulait elle au fond ? Fuyait elle ou alors vivait-elle pour elle justement pour la 1ére fois ? Puis la cloche revint de plus belle ! Pressant alors les deux blondes... Mais la présence sur le parvis vint "contrarier" la matriarche...

Constance... Es tu là pour offrir à ta mère la joie de vous avoir ton fils et toi à son mariage ou alors de tenter en vain une quelconque manœuvre afin de me faire entendre des choses qui n'ont pas leur place devant cette cathédrale ?

Le ton est calme, presque serein... La messe est dite... Le mariage aura lieu... Baissant alors légèrement la garde pour réconforter l'enfant, homologues plongés l'un dans l'autre... Azur en puissance... On ne devrait jamais se quereller devant des gosses... Jamais... Remontant alors... Priant dans son fort intérieur... Constance ne m'oblige pas à être désagréable ce jour... Pas là... Pas maintenant... Jeux d'azur... Patientant... Écoutant...

Je vais devoir entrer maintenant...




_________________
Guiyom
Hotel Première à Gauche

Citation:
Carmin m’ira tout autant bien. J’ai à faire, aussi si vous dégagiez de ma chambranle, je vous en serais reconnaissant. Nous nous verrons éventuellement plus tard.


cela avait raisonné comme un coup de fouet. L'homme serait parti. Non pas pour obtempérer; mais parce que les hommes se devaient caresser ou tuer, comme l'aurait dit un penseur italien. Le prince ne pouvait cependant pas; honorer le titre...et partir ne serait en rien de l'honneur...ou peut être, la définition était si...volage.

Citation:
Prince Bleizhmorgan. Dans la vérité la plus absolue, tu es mon neveu. Que tu le veuilles ou non. Eloigné, certes. Soudain, si proche.


De défi, le regard se fait plus surpris. La porte, puis cela...les deux aussi déroutant, que de bon sens quelque part. De facto

S'en suivent deux histoires qui ramènent au Bleizh les pieds sur terre, avant de l'expédier à nouveau dans les nuages; suivre le Carmin, source de ravage

Bon prince, ou excellent,
La chose se dit avec le temps
Mais ce coup du témoin;
V'là qu'en bouche un coin.

Une réflexion rapide. Témoin du Carmin...dans genre....sa première intervention "mondaine".
Donner sa première fois au Carmin, c'est pas banal
Le jour de son mariage, s'en est presque bancal !
Et pourtant...pourquoi pas. Le geste pouvait faire politiquement jaser. Il y a peu, il n'aurait osé.

Un regard vers le Carmin, se grand machin qu'il avait surpris au bain. Cette farce du destin, dont il allait prendre la main, et escorter un cours chemin


Alors ainsi soit-il...Oncle.
Et je vous offre ma première en prime...



Citation:
Messieurs, A moi!


Et un coup dans les côtes de la part du Comte pour marquer le propos du Carmin.
ya trop de "que(eues?)" dans cette phrase


Et tout le monde se met en branle. le marié, le Comte, le Kersack qu'il salue au passage après l'avoir honteusement oublié dans cette histoire de témoin à brûle pourpoint.

Et ils marchent, et il marche avec eux. L'histoire prenait un gout de marivaudage, entre double inconstance et seconde surprise de l'amour, ça restait encore à voir.

Opposés aux fronts.
Aux portes de l'affronts
Apposés du front
et là...unis dans l'effront?

Un signe en franchissant le parvis. Un nouvel acte attendait cette pièce

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Erell.
Gwenwed suivi celle qui avait son cœur, dans la cathédrale. Elle savait visiblement mieux que lui où ils devaient s’asseoir. C'était le premier mariage princier auquel il assistait.
N'ayant point eu le plaisir de voir son parrain, il espérait que celui-ci n'était point malade.
Il vit les témoins arriver, puis Namay, celui qui, dans un temps qui se rapprochait, allait avoir la plus douce des cordes autour du cou. Cette pensée lui donna envie de prendre la main de sa cavalière, ce qu'il fit.

LE mariage allait commencer. Il restait debout depuis l'arrivée du Carmin, se tenant droit, posture de soldat. Laure arrivait sur le parvis, beaucoup de têtes se tournèrent vers l'entrée de Notre Dame, Gwenwed fut de ceux là.

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Laureen
JOUR DU MARIAGE

L 'heure était venue d'y aller, quelque minutes de marche nous séparaient de la somptueuse Cathédrale bâtie sur l’île de la cité.

Beaucoup de monde s'engouffrait déjà dans l édifice, il nous suffisaient de suivre le mouvement.




Avions nous une place réservée ou était ce juste prérogative de la noblesse?

Mais peu importe après avoir fait un petit signe en guise de bonjour a Elienore ma douce et jolie cousine, j''aperçu des visages connus un peu comme une "délégation Gascogne" Herra, Lora et Anzy .
Apres tout Namay en avait été le Duc pendant toute une année.

Entraînant Pandragon a ma suite je vins les saluer et prendre place a leurs cotés.


Je vous présente Pandragon qui désormais partage ma vie.
Comment allez vous? Que deviens la Gascogne ?


Bon ça c'était peut être la question qui fâche.
J observais discrètement la grande porte pour voir si Estebaiy allait lui aussi entrer avec un carton d'invitation.

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Chacun a la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes. » ML -King-
Ceronnie
La jeune femme traverse la foule d’invités lorsqu’elle entend des cuistres offusqués de se trouver parmi des gens de moins haute naissance… Levant les yeux au ciel… pense qu’il vaut mieux entendre cela que d’être sourde.

Jetant un bref regard froid et dégoûté à ceux -ci, elle ne s’attarde pas sur ce qui ne mérite pas une seule de ses pensées. Tout ce qu’elle a eu, a été obtenu par le mérite, par son bras armé qui n’a pas eu peur de se lever, tout ce qu’elle a donné c’est par la profondeur de ses convictions et la force de sa foi. Elle n’accorde à personne le droit de juger qui que ce soit.

L’ex Chevalier Teutonique se souvient… les escortes… les guerres saintes… les années d’études pour arriver au sommet. La paume de sa main se rappelle à son souvenir… la marque des teutoniques… indélébile… témoin de l’ordalie par le feu. Ah qu’elle aimerait voir les grands de ce monde tendre la main pour recevoir la terrible épreuve… rester debout pour prononcer un serment alors qu’ils souffrent jusqu’au tréfonds de leur âme.

Le regard froid, la tête haute, la jeune femme se présente à l’entrée de la Cathédrale


- Ceronnie von Jungblut, de la Ruine, invitée du Carmin !

Elle entre dans ce lieu chargé d’émotion où règne une douce pénombre, un rayon de soleil traverse un des vitraux, la grâce de l’instant la pénètre en profondeur. L'esprit enfin apaisé, se signe devant le Très-Haut avant de rejoindre ses compagnons en attendant l’arrivée des époux.


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𝕮𝖑𝖎𝖖𝖚𝖊𝖟 𝖎𝖈𝖎 !
Amael
L'ex-Ritter suivit sa soeur, comme elle il avait été offusqué par les remarques de certains, ils n'avaient pas à rougir de leurs actes et de leur passé glorieux, et leurs corps portaient les marques de tous leurs combats au service de la foi aristotélicienne.

Comme l'époux de Ceronnie ne viendrait pas il entra avec elle et lui tendit son bras, ils allèrent s'asseoir près des autres membres de la Ruine, pour la plupart ex-Teutoniques comme eux.

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𝕮𝖑𝖎𝖖𝖚𝖊𝖟 𝖎𝖈𝖎 !
Bertuccio
On s'était calé à l'entrée de la bâtisse. Derniers entrés, premiers sortis.

A chaque fois, on ferait honneur. Il y avait pas grand bruit. Un calme d'avant-bataille. Tous bien concentrés, tous bien préparés, tous prêts à suivre le Capitaine. T'aurais bien aimé que je sois au pas comme ça avec toi. Pas le même rapport.

Alors il apparu. Tu aurais vu ça ! Tous les bustes se sont gonflés alors, ce qui avait été pensé ou ressenti s'est évaporé aussi sec. On n'était là que pour lui. Il était beau, il était fier, il savait qu'il pouvait compter sur nous autres. D'un geste, on rasait Paris ! Mais il était pensif. Je l'étais aussi, pensif, quand on s'est marié. J'avais peur, et pas du mariage. Mais de ta compagnie. J'avais peur comme jamais avant que je te perde. L'ironie.

La main au coeur, il recevait notre amour. Est-ce qu'on pouvait parler d'amour ? C'est pas bien des choses qu'on dirait, non. Tout aussi réel qu'il soit cet amour, parce qu'il laissait pas des indices, il se laissait lire sur le visage de toutes les brutes ou moins brutes du corps qu'on formait. Comme j'étais ni le plus grand, ni le plus costaud, j'ai eu à le voir de mes yeux qu'eux tous masquaient.

Dressé sur la pointe des pieds, je l'aperçue encore. Alors, puisqu'amour ça ne doit pas être, reçois ma fidélité, Général.

Et puis reçois mon amour, aussi.

On s'était calé à l'entrée de la bâtisse. Premiers à le voir, derniers à ses côtés.
Medusee
Medusee rentra discrètement en cherchant des yeux ses amis. Elle vit Milly qui avait l'air occupée, elle lui parlerait tout à l'heure.

Elle reconnu également Sophie.de.Valmont de loin.

Medusee chercha sa place et s'installa la cérémonie était sur le point de commencer.

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Charpente

[Bien avant le départ de mon épouse pour la cathédrale]



Oulla, il failli oublier deux choses importantes pour que la journée et la soirée de son épouse se passent fort bien pour elle.

La première fut de préparer la toilette de sa belle, lui étaler sa belle robe rouge, demander à Jeannette de lui donner un coup de fer rapide. Ranger l’autre tenue qu’il réservait pour une autre occasion bien plus importante que ce « mariage », puis d’étaler sur la table tout ce qui lui servirait à se faire encore plus belle à la sortie de son bain, à savoir, maquillages, brosse, bijoux, parfums.

Il se mit une grosse claque sur le front, leva les yeux au ciel et alla prendre dans le sac de voyage une belle boite couverte de velours rouge et la déposa bien en évidence au milieu des fioles de parfums.

Pour la seconde chose, il devait descendre voir le tavernier. Mais avant il demanda deux trois choses à Jeannette qui était entrain de donner le sein à leur fille.

Il alla ensuite en cuisine demander à ce qu’on prépare un bon repas pour sa femme, leur amie Mara et surement moult amis.

Satisfait de lui, il s’installa au fond de la taverne, un œil sur les cuisines et affuta Durandal. A un moment il eut un doute et posa la pierre à aiguiser. Durandal bien en main, il entra dans le chaudron, constata que le repas demandé, était prêt.

Il secoua la tête, s’approcha du cuistot, le regard noir, l’iris en forme d’amande, d’un vert soutenu, une pupille presque nulle et posa Durandal sur son nombril.


Faut-il que je te perce le ventre pour que tu comprennes que ceux que tu vas nourrir ne sont pas tes parisiens pouilleux mais de vrais guerriers, alors soit tu te mets enfin à tes fourneaux et tu me fais un repas digne d’une Reine, soit je te découpe en rondelle et donne tes chairs à manger aux cochons.


Point besoin d’en rajouter plus. Le temps de faire un fil parfait à Durandal, le bougre avait sorti tout ce qu’il avait pour satisfaire le plus féroces des appétits.

Il alla le féliciter de son travail, lui donnant une grande claque dans le dos puis retourna en la chambre où sa fille dormait à poings fermés après son bon repas à elle.

Il venait à peine de lui déposer un baiser sur le front qu’il entendit des pas au dehors. Il ouvrit la porte avant même que sa belle ne le fasse et l’entraina, elle et Mara dans la taverne pour y manger sans attendre.

Durant ce bon repas, entouré de leurs amis, il expliqua à sa femme qu’elle n’avait plus qu’à se prendre un bain, se changer et aller s’amuser avec la Ruine. Une fois encore il se frappa la tête de la main. Il rajouta qu’elle trouvera une boite de velours rouge, à n’ouvrir qu’une fois assise dans Notre-Dame.

Le repas fini, il la laissa avec Mara et de son coté fila au dehors. Il avait dit à sa douce qu’il avait à faire à la périphérie de Paris. Des « amis » à voir ou revoir.
Namaycush
Il pleut.

Une bruine légère, bruine d’automne. Sans agressivité, certainement bienveillante, non pas les larmes du bon Dieu, assurément de l’eau bénite. Loin plus loin, le soleil force le passage nuageux, timidement à l’instant.

Alors il est là le neveu si éloigné, le neveu à présent si proche. Il a rejoint le pays des hommes. Il a rejoint ceux qui font, ceux qui jamais ne subissent. Il en est fier, l’oncle. Il ne le lui dira pas, ne le montrera pas, ne se retournera pas.

Dans le fonds, cette capacité innée de fédérer, comme le disait souvent Mackcimus, prenait toujours l’ami ou l’ennemi par surprise. Vie d’un rouge à l’écarlate de sentiments.

Dernier Commandeur de la Croisade, dernier protecteur laïc de la Foi, relevé de l’injuste excommunication par la volonté d’un pape hors du commun mais surtout par l’insistante force de conviction de celle qui devient sa femme ce jour, femme de valeur et d’honneur, ayant su combattre pour son amour sans trahir ses valeurs, il franchit le porche de cathèdre sans s’agenouiller. Il rejoint la maison du Père, ses pas marquent le passage, ses pas font l’homme entouré des siens.

Devant l’autel, il s’agenouille et se signe de la croix. Fier et droit, sans regret aucun, force de vie et de passion, prenant position de repos, mains derrière le dos, regard de lynx, bien évidemment, puissant de minéralité d’émeraude à la scrute du Tout qui l’importe, en ce jour à eux deux, accompagnés des leurs…

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Carminoir
Enfin, elle vint…

Elle est la vedette de ce jour. Elle est la loyale, la grande, l’honnête et la juste. Elle est symbole de noblesse, droite et franche, royaliste de nature, féodale devenue.

Eux sont soldats, là pour servir et combattre, protéger et soutenir.

Le Carmin, ne l’a pas imposée. Par sa gentillesse et ses attentions, elle les a conquis, tous. Jusqu’à ce qu’ils la rencontrent, eux, routiers, soldats vaillants, n’avaient pas l’habitude que l’on soit gentil envers leur personne.

Alors ils l’ont aimé, alors ils l’aiment. A leur manière.

Lorsqu’elle franchit le parvis, ils donnèrent le salut militaire sincère, s’agenouillant dans le mouvement de cuirasses qui claquent.

Et le sergent donna un ordre que jamais il n’aurait pensé donner pour une princesse de France.



    Détachement.
    A mon commandement !

    A la Carmine,
    Hommages !



Aucun n’a osé la regarder lorsqu’elle foulait les marches. Respect à la dame.

Tandis qu’il pleut.

Il pleut sur Notre-Dame, il pleut sur le détachement, il commence à pleuvoir sur Laure… alors ces soldats devenus les siens par la force des choses l’entourent, la protègent et hissent leurs boucliers à plat sur sa tête, parapluies d’infortune, à grande valeur ajoutée…
Alric.de.rochebaron
BLURP !!!!!!! un rot sonore sort sans pouvoir le cacher .

Il faut dire que pour etre à Paris pour la premiere fois,il en avait profité le meunier ...Un estaminet rempli de pochtrons en suit un autre puis un autre et un autre encore . A chaque fois,les pichets se suivent sans se ressembler .Cela va du vinaigre au bon gros rouge buvable .
Lorsque le jour semble se lever Alric ne sait plus ou il est et ce qu'il est venu foutre ici
.

DIDIOU MAIS OU CHUI ??????????????

Apres avoir bu un autre pichet plus infecte que les précédents,il se souvient qu'il est invité aux épousailles de son amie de longue date avec le Carmin .

Il demande ou se trouve la cathédrale à des catins qui cherchent les gogos en goguette !!!

T'ES SURE QUE C'EST PAR LA !!!! FAUT QUE J'ARRIVE A L'HEURE !!!!!

Chemin faisant il arrive alors que tout le monde semble déjà etre entré .Caché derriere une colonne ,de loin il reconnait son Comte

PSSSSSSS !!!! PSSSSSSSS!!!!PSSSSSSSSS !!!! RAOUL !!!!!!! PSSSSSSS !!!!
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Berthine_de_bracieux
C'est le moment !

Les portes s 'ouvrent , l'air s'engouffre dans l'antre de la cathédrale . Il est pourvu d'excitation , de curiosité , de bonheur mais surtout , l'attente en est le principal ingrédient . Les mariés vont-ils bientôt faire leurs apparitions pour soulager les multiples visages qui noircissaient le parvis ?

Malgré tout ce monde , elle reconnut la Val de Mourre à laquelle , elle envoya un sourire puis quelques instants plus tard , elle aperçut rapidement Lora et dame Herra .
Ont-elles fait le voyage ensemble ? Berthine tenta un signe de la main mais trop tard , elles avaient disparues dans la foule dense .

Certains profitèrent des portes ouvertes pour entrer tout simplement .

C'est le moment ou Berthine montra patte blanche en présentant l'invitation du Carmin . Si un jour , on lui avait dit qu'elle serait présente en ce lieu pour un tel événement , elle ne l'aurait pas cru un seul instant !






Elle s'engouffra également et s'installa en retrait à proximité d'un retable . Le moment était choisi pour prier pour les futurs mariés .
Tandis que la populace prenait place , les invités s'invitèrent en première ligne pour être au plus près de la bataille qui allait commencer entre deux êtres .

Une bataille ardue pour l'amour quotidien d'un homme et d'une femme . Un combat constant , sans relâche pour profiter chaque instant du bonheur que le Tout-Puissant a mis sur leur route .
Ne serait-ce pas là , la plus dure des batailles pour le Carmin ?



- Amen !


.
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