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[RP]Mariage:Laure de Troy d'Orsenac & Namaycush Salmo Sa

Fauve_ebene
Ils sont là. Les hommes d'armes. Fiers. Et celui là. Droit en ses bottes comme il dit toujours.
Après les embrassades elle prend la suite de son époux. Comme à chaque fois qu'il entre dans un lieu saint plus rien d'autre ne compte au moment où il s'agenouille. Elle, jusque là dissimulée dans son dos, se retrouve face à une assemblée bondée. L'œil vif elle repère les rangs réservés à la famille.
D'un pas léger et discret elle double son mari pour aller se glisser parmi les siens. Fauve distribue les bisous avec chaleur et enthousiasme. Elle admire les sublimes tenues de ses cousines ou belles filles. Les hommes ne sont pas en reste.

Elle garde une place à côté d'elle pour Makcimus et attend calmement le début de la cérémonie.

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Présentation de L'Ordre Ne Craint Que Dieu

Et la porte, c'est par ici...
Constance..
L'Orsenac voit sa mère sortir du carrosse, elle est belle, à n'en pas douter. Elle a toujours trouvé qu'elle était la plus jolie des femmes, bon un peu plus marquée par la vie certes, mais en même temps ce n'est plus une jeunette non plus ! Mais elle est belle, elle semble heureuse, quoique que contrariée de la voir là en dehors de la cathédrale avec son fils Edouard. Celui ci d'ailleurs se jette sur sa « vieille » grand'mère « granma !! granma ! » Il aime sa mèmère – hihi - le petit, c'est normal !

Une légère bise est rendue à la joue maternelle. La couleur blanche fait froncer les sourcils à Constance, c'était la couleur de la robe de deuil pour le décès de Lanfeust. Est-ce un fait exprès ? Un oubli ? Pincement au cœur. Pour un beau mariage, il faut une couleur vive telle le rouge vif, ou le bleu roy, couleurs les plus onéreuses avec le noir car de nombreux bains de teintures étaient nécessaires pour obtenir la couleur parfaite. La robe est vraiment très jolie, mais la couleur est moins appréciée. Bon on discute froufrous et couleurs de tissus non recommandés pour un mariage ? D'accord !!


Bonjour Mère. Sais-tu seulement que le noir est une couleur très onéreuse pour un vêtement ? Ce n'est en rien une couleur triste, c'est un vêtement riche surtout velours et couleur noire associée. Ta robe est vraiment très belle dans sa réalisation, mais le blanc.... comme la robe de deuil lors de l'enterrement de Père. Cela me donne l'impression du deuil de te voir dans cette tenue... Saches que des couleurs vives et riches sont recommandées pour un mariage, pas la couleur que tu as porté pour le deuil de Lanfeust.

C'est peut-être un signe. Mariage voué à l'échec ? Mariage qui enterrera la réputation de sa mère ce héros ? - ah non, c'est autre chose ça ! - sa grande mère ! - mais non pas sa grand mère, vous suivez un peu ?! -

Bref, je ne suis pas là pour parler tissus avec toi.

Un pincement des carmines, l'azur qui scrute le visage de sa mère qu'elle aime tant. Elle lui présente l'article de la crypte doucement. Puis s'adresse à elle d'une voix neutre.

Est-ce lui qui a fait cela, je ne le sais. Mais cela ressemble à sa façon de faire. Il est imbu de lui même, impulsif et irrespectueux des valeurs qui sont nôtres, des valeurs que Père nous a enseigné.

Un soupir....


Et tu veux vraiment l'épouser ? Tu es prête à tout perdre pour cet homme là ? Tu sais que c'est ce qui finira par arriver tôt ou tard. Au fond de toi tu le sais et tu te caches la vérité à toi même. Pourtant... saches Mère que je ne m'opposerai pas à ce mariage, tu l'as choisi, quoique nous ayons pu dire, tu veux l'épouser tout de même. Soit, c'est ton choix, et je te veux heureuse même si je ne suis pas d'accord avec celui-ci.

Si pour toi revenir à la roture pour lui n'est pas un problème, si tu l'aimes à ce point là, alors vas-y, épouse le. Mais tu ne pourras pas dire que tes enfants n'ont rien fait pour empêcher cela. Aussi, je te demande de contacter l'hérauderie, sauves ce qu'il nous reste de Père avant que ce ne soit trop tard. Je n'ai aucune confiance en lui. En toi ? Toi tu es trop aveuglée par ton amour pour être rationnelle. Alors fait ce qu'il faut, et nous verrons s'il t'aime toujours après cela.

Je veux ton bonheur Mère, de tout mon coeur. Mais je ne peux assister à cette union que je n'approuve pas, ce serait te mentir. Je t'ai toujours soutenue et défendu de tous, quand Père était Roy, et que tout le monde porter des accusations dans ton dos, je suis la seule qui t'ai défendu alors que tout le monde t'abandonnait. Donc Mère, sois heureuse, et fais ce qu'il te plait.


Une légère bise sur la joue de sa mère avant de s'écarter avec son fils alors que des boucliers viennent protéger Laure de la pluie. Elle laisse sa mère là, se diriger vers le sombre destin qu'elle a choisi, c'est ce que Constance croit en son fort intérieur. Quant à elle, elle reprend la direction de son hôtel de Petite Bretagne, histoire de pleurer une dernière fois sa peine, à l'abri des regards.
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--Gaubert_


On se pressait à présent pour prendre place dans Notre Dame. Gaubert remplissait son office avec célérité, adressant un sourire poli à tout un chacun. Certains passaient juste en montant le carton d'invitation, d'autres prenaient le temps de s'arrêter pour se présenter. a ceux là il leur indiquait avec déférence les places qui leur étaient destinées.

Dame Ceronnie von Jungblut, de la Ruine, les places pour les invités de messire Salmo Salar sont à l'avant sur votre droite.

Petit à petit le parvis s'était vidé, ne laissant que la garde pour rendre hommage à la mariée dès son arrivée. Gaubert entra lui aussi dans l'édifice religieux. Il aurait cette fois la tâche de fermer les portes après l'arrivée de la princesse.
Princesselaure
Alors que la pluie fine d'automne commence à s'inviter, humidifiant les cheveux dorés de la castelfortaine... Un sourire adressé à Constance.

Je le sais en effet... Ce choix de couleur n'est en rien dû au hasard, et puis elle n'est pas blanche mais écrue en soit très claire je te l'accorde... Les plumes sont blanches elles... Il s'agit là de mon troisième mariage et dernier je l'espère... Je ne pense pas qu'il soit judicieux de porter le rouge à outrance comme une jouvencelle.


L'azur qui glisse sur le parchemin tendu ne relevant pas...

Constance d'Orsenac... J'ai bien compris que tu n'acceptais pas l'homme tout comme tes sœurs et tes frères quoiqu'Hector ait préféré le silence. Pourquoi serais-je prête à tout perdre comme tu dis... Qui sait si je ne vais pas au contraire tout gagner...

Une pause légère alors que la garde s'approche pour couvrir la blonde d'un drôle de chapeau ...

Nos valeurs dis tu... Celles du pardon, du partage , d'amour... Constance ... Avec tout l'amour que j'ai pour vous cinq je ne puis entendre vos remarques... et bref... Je suis Laure de Troy d'Orsenac à l'entrée et Laure Salmo Salar d'Orsenac à la sortie... Rien d'autre ce jour ne changera !

L'orage gronde tout à coup....

Ta place était dans cette Cathédrale ... Si tu avais encore une once d'amour pour celle que je fus et celle que je suis... Tu serai à l'intérieur pour faire front à la médisance et la petitesse d'esprit... Tu es malmenée par le chagrin, la vengeance ou l' orgueil... Ce jour je suis pour la toute première fois déçue de mon aînée ! Alors non je ne ferai rien car avant d'être votre père... Lanfeust fut mon époux... Et cela jamais personne ne me le reprendra... Personne... Je resterai à jamais la veuve d'un Roy de France.

La voyant qui file tirant par la main son fils...

Edouard... Constance...


Cet heritage ... Celui qui faisait leur force et leur malheur... Soufflant légèrement... Elle monta les quelques marches arrivant sous la voûte de la grande porte.... Attente du signal pour remonter la nef jusqu'à l'estrade... Vers son destin... Mains croisées sur le giron... Elle marche doucement... Le cœur s'apaise alors que les regards s'abattent sur elle, Elle la Princess le de France... Veuve de Roy.... Mère de fils et filles de France... allait convoler en justes noces ! Avec ou sans l'assentiment collectif d'ailleurs elle ne laurait jamais eu.. Même avec un autre que lui... Un regard sur la gauche ou siègent ses invités... Deux de ses enfants... Un sourire dans leur direction... Au final les plus jeunes étaient la...

Tendant alors la main à Namay qui se tenait devant elle... relanchant de fait la doublure de sa robe.
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Paysans01


Albert suivie les autres gardes jusqu’à la cathédrale-il ses places ou on lui a dit de ses placer il vie son mais maitre le soldat Paysans il trouva bien changer il avais prie une apparence d’un hommes plus sur de lui-il ses dis que le général namuy savais traité les hommes à leurs juste valeurs que s’était un bon chef
Paysans01
Paysans étais toujours la sur place qui étais a face de la cathédral il voit le général et sa promise arriver paysans n’étais guère un experte en matière de mode ou vêtement mais il trouva que le général et sa promise étais élégant dans leurs habit de cérémonie

Il fessais la qu’eut pour pouvoir ses faire recenser comme invité du général namuy


Bonjours Messire
Je me Nomme Paysans Petite Cours EX Seigneur de Auvers-sur-Oise
et je suis Soldat de Line de Gerfault, et de Namaycush

Et je suis invité du général Namaycush Salmo Salar
lui montre son Invitation


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Elienore
[Notre Dame de Paris ~ La Belle et la Bête]


Histoire éternelle, qu'on ne croit jamais,
De deux inconnus, qu'un geste imprévu, rapproche en
secret...
Et soudain se pose, sur leurs coeurs en fête,
Un papillon rose, un rien pas grand chose, une fleur
offerte....

Rien ne se ressemble, rien n'est plus pareil,
Mais... comment savoir la peur envolée que l'on s'est
trompé...

Chanson éternelle, au refrain fané,
C'est vrai c'est étrange, de voir comme on change, sans
même y penser...

Tout comme les étoiles, s'éteignent en cachette,
L'Histoire éternelle, touche de son aile,
La Belle et la Bête.


Le regard confiant de Sofie la rassure et elle sourit ,fortement amusée par ses dernières paroles.

Ah ça...

Si pour enterrer sa vie de célibataire Laure avait bénéficié d'une "Nuit d'ivresse "et plus si affinité, il en avait été tout autrement pour Elie qui avait eu droit à "Chair et sang". Moralité, évitez de laisser le soin à Sofie pour l'organisation des fêtes en tout genre.

La brune restait attentive. Doucement la Cathédrale se remplissait tant à droite pour le marié qu'à gauche pour la future épousée. Le temps coulait sans que Laure n'apparaisse. Elie faisait des signes de têtes en guise de salut, un sourire, un regard qui s'attarde sur une jolie robe ou une barbe bien taillée puis à nouveau vers les portes où aucune agitation ne se manifestait.


Mais que fait-elle?

Elle commençait à s'inquiéter. Laure les suivait, il n'y avait aucune raison pour qu'elle ne soit pas déjà présente. Un enlèvement sur le trajet? Une cheville foulée en descendant du coche? Le bouquet de la mariée envolé ? Son imagination allait bon train déjà prête à aller aux nouvelles, engageant même le mouvement de se lever quand enfin un murmure se fait entendre. Enorme soupir de soulagement et elle se lève en l'honneur de la mariée comme toute l'assemblée. Belle et majestueuse pour rejoindre celui qui n'est qu'une bête pour certains, un héros pour d'autres, celui qu'elle a choisi...Histoire éternelle.
Rackam
Peu de gens du sud, enfin de sa connaissance…. Le comte barbu observe le parvis, admire les jolies tournures de dames ….

L’arrivée de Laure arrête son attention, magnifique comme toujours …. Elle est en conversation avec une jolie jeune femme blonde.

Rack interroge un voisin …..


Qui est cette dame qui cause avec la princesse de Troy ?


L homme le regarde comme si il sortait d’une caverne ….


Mais enfin voyons Monsieur, c’est sa fille Constance d’Orsenac, comtesse de sainte Suzanne…


L’homme le regarde d’un air interloqué…. Comment ne peut on connaitre Constance d’ Orsenac, a tout les coups il a affaire a un péquenot de province ….. il s’éloigne non sans jeter un regard condescendant sur le rustre.

Sa fille ? j’ignorais …

Son regard s'attarde encore un instant sur les deux femmes

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Namaycush
Il y eut la candidate aux royales…
Il y eut la reine consort…
Il y eut l’amante…
Il y eut la souffrance…
Il y eut la princesse à genoux devant une reine méchante pour son félon…

Puis il y eut une boule de neige vite devenue avalanche…
Poupée de salon dont la démarche est une danse…

Et il y eut Laure…dont il était devenu amoureux.



Yeux brillant de mille feux, s’il ne l’avait pas déjà fait, il la dévore de l’émeraude chatoyante teintée d’ambre… Femme parmi toutes, elle devient la sienne par l’accomplissement de leur volonté, devant Dieu et les hommes, face à l’adversité et aux voleurs de bonheur.

Altière, elle s’offre dans ce choix qui est le sien, ce choix qu’elle désirait il y a longtemps, déjà. Elle l’avait choisi devant mille adversités, pour lui, elle avait combattu sans jamais fléchir, malgré les doutes et les pressions, contre vents mauvais.

Alors elle l’avait touché, cette sale bête si décriée, ce général si impitoyable, cet officier de mille cambrousses, cet animal vivant sans jamais survivre.

…Qui pourtant connaissait les protocoles et les prédicats, sachant se comporter en dandy hors pair, sans fautes ni défaillances, afin de la protéger du quolibet…

Trois marches qu’il descend pour s’agenouiller, bras gauche derrière le dos, main droite tendue, paume ouverte à la verticale afin qu’elle s’appuie dans le symbole du pilier de la terre qui à jamais l’accompagnera.

Chevalier d’autrefois, il est le parfait dans l’ainsi accompagnement de trois marches d’autel… alors que les paupières s’entrecillent… : « Putain, que je t’aime ! ».

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Malcomx01
Quelques temps avant en mer d'Iroise



Barre fixée par une corde en direction du Nord-Ouest, l'albatros fendait les flots en direction de Brest avant de rejoindre son port d'attache à Saint-Brieuc. Pendant ce temps, en cette après -midi d'Automne, j'étais sur le pont accoudé au bastingage à coté de ma petite femme qui pêchait, du moins qui tentait d'attraper quelque chose quand une mouette vint se poser.

Regarde chéri ! comme elle est belle cette mouette et elle à un drôle de parchemin accrochée à sa patte...

Regard circonspect sur la bestiole...

voyons ça...

je détache la missive, et ouvre la lettre contenant un carton d'invitation. lecture en biais, la mes yeux s'écarquillent...

Nom de dieu !

Ainsi donc Caro... était restée... Sur le carreau.  ainsi va la vie...

Quoi ?!

je suis inviter à un mariage princier à.. Paris !

ah qui ca ?

Namay ! "le vilain" comme je l’appelle.. avec Laure.

Je comprends rien... ah Laure la dame que l'on a vue en B.A.?

Je t'explique mon cœur...


Grands gestes en racontant...

Namay a été duc de Gascogne et... blablabla... Ducales... Rouergue... blablabla.. Labrit....

Hochements de tête de ma moitié...

Et tu veux y aller ?

Grattage de tête en règle...

Tu connais pas Paris... oui on y va alors.. direction Rouen et on remonte la seine jusque l’île de la cité.

Depuis qu'elle avait rencontré Malcom et que celui -ci avait conquis son cœur elle voyageait aux 4 coins du royaume à ses côtés. Paris...ville fantastique et intimidante à la fois. Tout le bon monde s'y montrait, Perline y trouverai t-elle sa place ? Elle ne voulait pas ternir l'image de son homme en ne suivant pas le protocole de la noblesse et sa cour. Elle se dit qu'elle copierai son amie Laureen qui étant une ex baronne devait connaitre tous ces trucs là.Ainsi rassurée elle offrit un large sourire à Malcom.

Je file faire les bagages et en route mon tigrou!!

Le jour du mariage




Ahhh !! La Seine

Accostage sans encombre sur l’île de la cité. qui plus est venus avec notre nave, nulle besoin de trouver une auberge, notre refuge ou plutôt notre nid flottant nous suffisait.

vite ! vite !

Rooohh on vas être en retard !

M'enfin faut dire que la fameuse mouette avait du se paumer en route... ou plutôt au dessus des vagues..

Pas le temps de s'attarder autour des atours et atouts de ma chérie afin d'éviter de n'être encore plus en retard... Parcours du combattant enjambant au trot l’embarcadère, traversée de quelques rues guidés par les deux tours de notre Dame...

Dans la Cathédrale


Au Parvis, a peine le temps de lever nos têtes pour admirer l'édifice, main dans la main on s’engouffre dans la nef cherchant une place...



Fiouu le peuple !

Les visages connus, des moins connus, des inconnus... et pour certains, assurément venus jouer au le bal des faux-culs... On se calme et ne pense qu'à l'instant présent e d'attendre la cérémonie tout en regardant autour de nous...
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Alain.therieur
Dépêché de toute urgence a Paris par la rédaction générale de " VOILA" afin de commenter un événement d'importance qui titreras


"le mariage du siècle"


Mariage qui déplaceras des foules, qui retentiras jusqu'au plus éloigné des villages jusqu'au tréfonds des forets et peut être même au delà des mers, mariage dont certain dirons avec jalousie " L'union de la belle et la bête"



Notre Dame de Paris 13 Octobre 1467


Juché dans un équilibre instable sur le toit d'un immeuble nous observons l'arrivée des invités et même celle des évités qui sur le parvis de l'église, se pressent et ce congratulent.
Les attelages se suivent et se ressemble pas forcement ils vont du clinquant au plus modeste, nous croyons même voir passer une brouette.

Quelques Gascons et ex Gascons amis du futur époux se tiennent ensemble et la a notre grande surprise un attelage aux armes du Balourd d'Ustaritz.
C'est que la dame ne manque pas d'audace quand elle peux se faire voir.

Après avoir a maintes reprise traité le futur de traître et félon,
L'avoir berné a plusieurs reprise ,la voilà avec toute l' hypocrisie qui la caractérise assister a son mariage, peut être profite elle de l'occasion pour faire prendre l'air a son carrosse.

Le monde commence a pénétrer dans la Cathédrale tandis que d'autres arrivent encore...
Nous attendons l'arrivée de la mariée

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Maylodie
C'était le grand jour, qui aurait pu penser que Laure allait se marier un jour, il ne manquerait plus que Sofie pour que la boucle soit boucler et les trois Grasces soient caser.

Oui tu as raison mon ange, hâtons nous sinon nous serons en retard.

Ils se trouvaient au lieu dit. Ils commençaient à avoir du monde, cela changeait beaucoup de leur petit Auvergne calme et paisible.

Gabriell salua une personne qu'il connaissait, elle le laissa faire les présentation et le salua à son tour.


Bonjour et enchantée messire.

Maylodie ne pu s'empêcher de sourire quand Gabriell s'excusa afin qu'ils puissent rentrer enfin surtout pour que l'ébène puisse s'asseoir. Elle ne manqua pas de lui chuchoter tu sais mon ange ne t'inquiète pas je vais bien et le bébé aussi je t'assure.

A ces mots elle lui déposa une bise sur sa joue comme pour le rassurer, mais puisque Gaby voulait qu'elle se repose c'était avec le plus grand plaisir qu'elle s’exécutait, ainsi il était moins soucieux.

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Sofie.de.valmonte
Et enfin....

Enfin elle arrive, remontant l'allée de sièges d'un pas princier, enfin c'est le moment, tant de nuits à l'entendre parler de son "prince", tant de nuits et de soupirs qu'il lui semble irréel ce pas dans la cathédrale. Le moment est fragile, elle aperçoit quelques connaissances , certains affirment une volonté de renouveau par leurs présences, d'autres sont venus en curieux. Mais Notre-Dame affiche complet.

Au fond près des portes qui vont se refermer, ce sont deux silhouettes chères qui sont dans l'attente, Jiveli et Killian qui se ressemblent tant et qui pourtant sont si différents. Plus tard elle devra leur parler, affirmer et se montrer convaincante, plus tard elle ira les voir et leur expliquer ce qu'elle même n'arrive pas à comprendre.


C'est le moment Elie..

Mais pour l'heure les regards sont tournés vers Laure, sa robe écru symbolise le calme, la sérénité, la simplicité et l’harmonie. Il est vrai que le couple est atypique, il est vrai que Namay n'est pas de tout repos, mais l'amour surmonte tout et ce jour en la voute du Très-Haut, l'amour se montre à la vue de tous.

Elie et elle, vont pouvoir souffler, la confier aux mains de Namay, lui dire juste un Au revoir, lui affirmer qu'elles seront toujours présente, lui laisser l’intimité de la nuit de noce... Peut être, mais dés demain...

Le trio est séparé, les terres sont vastes, du domaine royal au Périgord, puis elle même qui voyage en eaux troubles, qui rame sur des lacs immenses, qui regarde les falaises d'un œil brillant et s'approche parfois de trop prés.

Les pensées surgissent et s'affolent, des visages apparaissent en son esprit et celui d'un homme traverse ses idées, d'enchanteur il s'est transformé en déserteur, ses promesses ont tenues le temps demi morne saison, il voulait l'épouser et franchir main dans la main les obstacles de la vie, il est parti au bout de quinze jours tel un voleur rejoindre des jupons autres.

D'autre souvenirs surviennent, plus gais, plus burlesques, le mourir noblement enseigné à ses amies, la meilleure façon de tomber au sol en tirant la langue car mourir c'est moche, mais le pli dans le jupon doit rester impeccable , nul froissement ne peut. Puis elle revoit Laure à quatre pattes dans la forêt de Clermont, nappée de boue pour aller surprendre les gitans . Elle est certaine que cette histoire fut contée hier soir, lors de leur soirée.... Agitée, peut être même que la scène fut rejouée, autrement c'était quoi ces cris poussés?


Elle arrive!

Et ce doigt.... Ce n'était rien qu'un doigt coupé, il avait parcouru tant de comtés , il venait de si loin, pour finir dans un corsage princier. Juste un doigt! Ensanglanté, juste un doigt perdu qui doit se morfondre à présent de ne plus être au centre de monts mais de trôner dans les reliques des souvenirs.

Ses amies sont mariées, d'autres aventures seront, d'autres guerres, d'autres souvenirs naîtront. Ses amies sont mariées, elle a soudainement l'impression d'avoir loupé des passages, peut être qu'il est temps d'ouvrir ses portes et de ne plus grogner au moindre sentiment. Vers Elie elle se penche pour lui dire.


T'as prévu des mouchoirs?
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Constance..
Dans le carrosse qui la ramène vers son hôtel proche du Louvre, l'Orsenac repense aux paroles échangées. Sa mère n'a rien compris, prenant les paroles sincères pour des attaques. Elle a changé, il fut un temps - que les moins de vingt ans.... oups non c'est autre chose ! - elle aurait compris son geste d'amour pour elle, mais plus depuis qu'elle est avec l'autre.

Là où elle y voit un affront que sa fille ne soit pas témoin de cette union scandaleuse, la jeune femme y voit le cadeau qu'elle fait à sa mère de ne pas s'opposer au mariage en pleine cérémonie. Car oui elle l'aurait fait, et peut-être que son frère ou sa soeur le feront à sa place elle n'en sait rien. Juste qu'ils n'acceptent pas non plus. Sa présence dans cette cathédrale signifierait qu'elle donne sa bénédiction à ce mariage, mais il n'en est rien du tout. Jamais elle ne donnera sa bénédiction à cela. Sa mère aurait pu épouser n'importe qui d'autre elle aurait été très heureuse pour elle, mais pas lui.

Elle a toujours défendu sa mère, la portant sur un piédestal, et aujourd'hui le piédestal est vide, mais elle aime toujours sa mère, mais ne le défendra plus comme une tigresse, comme elle l'a toujours fait avant. Constance fut la seule à toujours la soutenir, même ses amies ne l'ont jamais soutenue et défendue autant qu'elle.

Non loin de Petite Bretagne, quelques larmes se déversent en silence sur les joues de la fille incomprise, qu'elle essuie rapidement pour ne pas inquiéter son fils. Ce n'était pas un adieu, juste les paroles d'une fille aimante voulant sa mère heureuse. Incompréhension maternelle, rejet maternel, le coeur en peine elle rentre pour s'isoler, pendant que Margot servira le repas d'Edouard.

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Marc_franchimont
13 octobre 1467

Ainsi, les voilà à Paris! Marc n'y avait plus mis les pieds depuis un moment. Il se souvient que quelques années plus tôt, il était parti à la recherche de son cousin dans les dédales de la Cour des Miracles. Il y avait presque perdu son âme dans ce lieu. Aujourd'hui, voilà que c'était tout autre chose. Un mariage. Sans le savoir, Marc regardait sa belle avec un air étonné. Elle dormait encore.

Paris s'agitait sous la fenêtre de leur chambre. Sa fiancé se réveilla, elle se blotti contre lui puis vient la meilleure partie du matin, le doux baiser du réveil
.

Bonjour à toi mon amour... Elle se leva, Marc resta couché. Il ne voulait pas qu'elle voit son étonnement qui le rongeait tout autant.

Un déjeuner de commander, la voilà au bord de la fenêtre à contempler Nostre-Dame. Marc s'approcha d'elle, glissa ces mains sur ces hanches et vient les croiser sur son ventre. Coller contre elle, il déposa un baiser au creux de son cou.

Est-ce que tu savais mon amour, que même si les deux tours carrés semblent jumelles, mais elle ne le sont pas. La tour nord (à gauche) a été construite entre 1235 et 1250 alors que la tour sud a été construite de 1220 à 1240. On peut remarquer la différence...

Marc pointa du doigt un balcon sur l'Église...

Cette différence se trouve au niveau de l’étage du balcon de la Vierge situé sur la façade, une largeur nettement plus importante du contrefort nord de la tour nord par rapport au contrefort sud de la tour sud.
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Marc de Franchimont
Fiancé d'Isabelle Sorel du Labourd d'Ustaritz
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