Heimdal
Sur les terres de Jalenques, un simple homme se mettait à boire par dépits et désespoir.
Cela faisait plusieurs heures qu'il était enfermé dans son bureau. Il reniflait de temps en
temps une étoffe appartenant à son épouse, afin de se rappeler de sa présence.
Le Duc ne savait plus très bien où il était. Le temps avait été perdu dans les méandres de l'alcool.
Heimdal était en train de boire un verre de vin. Il avait trop bu et n'était pas dans son état
Naturel. Il avait écrit une lettre à l'une des anciennes languedociennes pour demander des excuses.
Ce n'est pas sûr que cette dernière répondra, mais le duc avait la certitude que pas.
Il ne savait plus si cela avait été avant ou après que son épouse lui faisait le reproche d'un certain manque
de réaction ou plutôt de préférer une autre qu'elle. Au lieu de la défendre selon ses dires, il défend une autre.
Les pensées allaient pour son épouse. Cette femme avait pris son cur et qu'il chérit depuis qu'il la connaissait.
Heimdal était meurtri dans son cur. Il remplit à nouveau le verre et bu à nouveau une gorgée. Il n'arrive pas à
dormir et le temps s'écoulait pour lui trop lentement ou bien peut-être trop vite maintenant.
Tout s'écroule autour de lui, il faut dire que ce n'était pas la première fois. Mais là, il sentait que cela était bien plus
grâve. Il se leva de son fauteuil, mais y retomba très vite. La faiblesse de ses jambes due à l'alcool cumulé à la fatigue
l'obligea à rester dans ce foutu siège rembourré.
Le sens des mots n'avait pas trop d'importance pour lui, mais pour deux autres personnes s'étaient autres choses.
La joie du groupe qu'ils formaient avaient volé en éclat. La rancune, la jalousie ou même autres choses rendait
compliquer la situation.
Heimdal reprit un verre et le bu en une seule fois et renifla aussi cette étoffe précieux à son cur.
Pourquoi il cherchait des réponses pourquoi est-on arrivé là ? Il pensa soudainement aux sourires de son épouse
et la joie qu'il a eu avec elle. C'est sûr qu'il était nostalgique. Le sourire se crispa et il pensa alors à la situation
qui a empiré depuis leur arriver dans ce comté.
Il essaie de comprendre mais n'arrivant pas il porta son verre à la bouche et boire à nouveau une gorgée. C'était
vraiment une situation nouvelle pour lui. Il regarda le sol et se demanda où il a commis une erreur, si erreur il y a.
Une guerre de parole qui débuta selon ses souvenirs avant le début du dernier mandat de Koslov.
Une simple demande de la part du futur régnant et boum Certaines personnes pont pris cela comme pour une
attaque personnel et d'autres quelques choses de tout à fait normal. On constate que le niveau du curseur n'est pas le même
pour tout le monde. Il serra ses mains, il était un peu énervé par cette situation. Il en avait oublié que le verre était
Encore dans sa main droite. Ce dernier éclata pour lui ouvrir la peau et le sang coula. Le duc ne ressentit rien
l'alcool devait lui faire un effet d'antidouleur.
Il ferma les yeux quelques instants et vit le visage de son épouse. Il aimerait trop lui caressée la joue et lui montré
son amour. Les gouttes de sangs tombaient une à une sur le sol sans que personne ne réagisse. Normal, il était tous seul dans ce bureau.
Courtomer était de nouveau parti dans ses pensées. Les mois se sont écoulés et les mots devinrent plus durs. La vérité de l'une
et interprété malaxé par une autre. Les faits sont aussi interprété et jugé afin de prendre un ascendant sur l'autre. Mais
c'est l'entourage qui trinque. Un truc qui arrive et c'est la faute de l'autre .
Le duc alla chercher un nouveau verre sur la table en le prenant avec sa main ensanglanté et le remplis pour boire directement.
Il était perdu ça, c'est sûr. Il ne voulait plus parler à son épouse qui lui retournera toute manière ses paroles et dira comme
à nouveau à la fin qu'elle est la méchante. Non, elle n'est pas méchante. Elle a un gros non un immense cur. Elle aide les
personnes, beaucoup de personnes. Certes, elle défendait toutes les personnes qu'elle appréciait et particulièrement lui.
Il savait au fond de lui qu'elle l'aimait. Le duc aimait son épouse particulièrement plus que tout. Cependant en les
Défendant de manière impulsive, elle s'expose et les retours de manivelles font mal très mal. Mais elle n'est pas
la seul à être ainsi. On peut dire qu'elle avait une sur jumelle. La même impulsivité et on pourrait dire
les réactions avec moins de paillettes. Moins jolie, c'est sûr aux yeux du Baron. Mais aussi, elle prend moins
de dentèles.
Heimdal soupira et regarda sa main en sang. Il devrait soigner sa blessure, mais il s'en fout. Il voulait vivre la femme
de sa vie, même si elle croit ou aime croire qu'il préfère défendre une autre. Il remplit son verre et bu une nouvelle
gorgée pour soigner sa blessure intérieures.
Il avait une grosse carrure, il savait utiliser ses muscles et maniait très bien l'épée. Par contre, au niveau de la langue
de Molière s'était moins le cas. Il faut dire que sa langue maternelle n'était pas le français et cela ne l'avantageais pas.
Il repensa à son épouse belle et sublime et de leur première rencontre. Il avait alors les yeux qui se mouillèrent afin
de former une larme coulant le long de sa joue.
Le Duc aime aussi aider comme son épouse. Il fait son travail jusqu'au bout sans qu'une émotion vienne le perturber.
Ses sentiments sont refoulés très profondément qui lui permet d'être factuel et moins émotif.
Mais, jusqu'à qu'en il peut le faire. Quand il n'arrive plus à assumer sa tâche, il préfère se retirer comme celui de recteur.
Heimdal imagina les nuits de folies qu'il avait passé avec son épouse pas quelques une mais énormément. Il resoupira
pour les moments agréables.
La guerre des mots a été déclenchée entre ces deux femmes, chaque fait est épié pour attendre l'erreur de l'autre. Mais est-ce vraiment
une erreur ? Chaque personne a sa vérité avec son vécu et ses choix .Personne a raison, mais personne à tords. Cependant, il est passé
de mauvais côté selon son épouse et pourtant il n'a rien fait de mal.
Alors pourquoi on est arrivé
POURQUOI !!!!!????????
Le Duc balança le verre contre la vitre qui se fracassa une mille morceau .le duc faisait peine à voir et s'écroula sur le sol.
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Cela faisait plusieurs heures qu'il était enfermé dans son bureau. Il reniflait de temps en
temps une étoffe appartenant à son épouse, afin de se rappeler de sa présence.
Le Duc ne savait plus très bien où il était. Le temps avait été perdu dans les méandres de l'alcool.
Heimdal était en train de boire un verre de vin. Il avait trop bu et n'était pas dans son état
Naturel. Il avait écrit une lettre à l'une des anciennes languedociennes pour demander des excuses.
Ce n'est pas sûr que cette dernière répondra, mais le duc avait la certitude que pas.
Il ne savait plus si cela avait été avant ou après que son épouse lui faisait le reproche d'un certain manque
de réaction ou plutôt de préférer une autre qu'elle. Au lieu de la défendre selon ses dires, il défend une autre.
Les pensées allaient pour son épouse. Cette femme avait pris son cur et qu'il chérit depuis qu'il la connaissait.
Heimdal était meurtri dans son cur. Il remplit à nouveau le verre et bu à nouveau une gorgée. Il n'arrive pas à
dormir et le temps s'écoulait pour lui trop lentement ou bien peut-être trop vite maintenant.
Tout s'écroule autour de lui, il faut dire que ce n'était pas la première fois. Mais là, il sentait que cela était bien plus
grâve. Il se leva de son fauteuil, mais y retomba très vite. La faiblesse de ses jambes due à l'alcool cumulé à la fatigue
l'obligea à rester dans ce foutu siège rembourré.
Le sens des mots n'avait pas trop d'importance pour lui, mais pour deux autres personnes s'étaient autres choses.
La joie du groupe qu'ils formaient avaient volé en éclat. La rancune, la jalousie ou même autres choses rendait
compliquer la situation.
Heimdal reprit un verre et le bu en une seule fois et renifla aussi cette étoffe précieux à son cur.
Pourquoi il cherchait des réponses pourquoi est-on arrivé là ? Il pensa soudainement aux sourires de son épouse
et la joie qu'il a eu avec elle. C'est sûr qu'il était nostalgique. Le sourire se crispa et il pensa alors à la situation
qui a empiré depuis leur arriver dans ce comté.
Il essaie de comprendre mais n'arrivant pas il porta son verre à la bouche et boire à nouveau une gorgée. C'était
vraiment une situation nouvelle pour lui. Il regarda le sol et se demanda où il a commis une erreur, si erreur il y a.
Une guerre de parole qui débuta selon ses souvenirs avant le début du dernier mandat de Koslov.
Une simple demande de la part du futur régnant et boum Certaines personnes pont pris cela comme pour une
attaque personnel et d'autres quelques choses de tout à fait normal. On constate que le niveau du curseur n'est pas le même
pour tout le monde. Il serra ses mains, il était un peu énervé par cette situation. Il en avait oublié que le verre était
Encore dans sa main droite. Ce dernier éclata pour lui ouvrir la peau et le sang coula. Le duc ne ressentit rien
l'alcool devait lui faire un effet d'antidouleur.
Il ferma les yeux quelques instants et vit le visage de son épouse. Il aimerait trop lui caressée la joue et lui montré
son amour. Les gouttes de sangs tombaient une à une sur le sol sans que personne ne réagisse. Normal, il était tous seul dans ce bureau.
Courtomer était de nouveau parti dans ses pensées. Les mois se sont écoulés et les mots devinrent plus durs. La vérité de l'une
et interprété malaxé par une autre. Les faits sont aussi interprété et jugé afin de prendre un ascendant sur l'autre. Mais
c'est l'entourage qui trinque. Un truc qui arrive et c'est la faute de l'autre .
Le duc alla chercher un nouveau verre sur la table en le prenant avec sa main ensanglanté et le remplis pour boire directement.
Il était perdu ça, c'est sûr. Il ne voulait plus parler à son épouse qui lui retournera toute manière ses paroles et dira comme
à nouveau à la fin qu'elle est la méchante. Non, elle n'est pas méchante. Elle a un gros non un immense cur. Elle aide les
personnes, beaucoup de personnes. Certes, elle défendait toutes les personnes qu'elle appréciait et particulièrement lui.
Il savait au fond de lui qu'elle l'aimait. Le duc aimait son épouse particulièrement plus que tout. Cependant en les
Défendant de manière impulsive, elle s'expose et les retours de manivelles font mal très mal. Mais elle n'est pas
la seul à être ainsi. On peut dire qu'elle avait une sur jumelle. La même impulsivité et on pourrait dire
les réactions avec moins de paillettes. Moins jolie, c'est sûr aux yeux du Baron. Mais aussi, elle prend moins
de dentèles.
Heimdal soupira et regarda sa main en sang. Il devrait soigner sa blessure, mais il s'en fout. Il voulait vivre la femme
de sa vie, même si elle croit ou aime croire qu'il préfère défendre une autre. Il remplit son verre et bu une nouvelle
gorgée pour soigner sa blessure intérieures.
Il avait une grosse carrure, il savait utiliser ses muscles et maniait très bien l'épée. Par contre, au niveau de la langue
de Molière s'était moins le cas. Il faut dire que sa langue maternelle n'était pas le français et cela ne l'avantageais pas.
Il repensa à son épouse belle et sublime et de leur première rencontre. Il avait alors les yeux qui se mouillèrent afin
de former une larme coulant le long de sa joue.
Le Duc aime aussi aider comme son épouse. Il fait son travail jusqu'au bout sans qu'une émotion vienne le perturber.
Ses sentiments sont refoulés très profondément qui lui permet d'être factuel et moins émotif.
Mais, jusqu'à qu'en il peut le faire. Quand il n'arrive plus à assumer sa tâche, il préfère se retirer comme celui de recteur.
Heimdal imagina les nuits de folies qu'il avait passé avec son épouse pas quelques une mais énormément. Il resoupira
pour les moments agréables.
La guerre des mots a été déclenchée entre ces deux femmes, chaque fait est épié pour attendre l'erreur de l'autre. Mais est-ce vraiment
une erreur ? Chaque personne a sa vérité avec son vécu et ses choix .Personne a raison, mais personne à tords. Cependant, il est passé
de mauvais côté selon son épouse et pourtant il n'a rien fait de mal.
Alors pourquoi on est arrivé
POURQUOI !!!!!????????
Le Duc balança le verre contre la vitre qui se fracassa une mille morceau .le duc faisait peine à voir et s'écroula sur le sol.
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