Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, ..., 18, 19, 20   >   >>

[RP] La foret de Saintes

White.snow
A ses dires , Bella rigola et finit par lui dire :

Mon brave , il faut aller doucement sur la bière..

Puis elle entama le chemin du retour
_________________
Nannou
Comment tout avait commencé ?
Par quelques chopes en taverne bien sûr, ho à peine quelques unes, Spartacus qui remettait sur le tapis la soi-disant supériorité des hommes sur les femmes en ce qui concerne leur capacité à couper du bois.

Puis Nannou qui lance un "quand tu veux je te prouve le contraire" sur un air de défi.
Spart qui répond "demain"

Bref, ça avait commencé comme probablement tous les paris idiots, de l'alcool et deux obstinés convaincus d'avoir raison.

Puis il avait fallu se mettre d'accord sur la nomination d'un arbitre intègre et impartial. Mortemer et Divinit furent successivement écartés par l'une et l'autre partie. Fut donc choisit un pauvre hère qui passait pas là : Brenac.

Après quelques contretemps qui avait permis à Nannou de s'entrainer, le concours commençait enfin.
Mortemer
Mortemer passant par là, voit de loin cet entraînement intensif.

Un peu perplexe, il laisse, accroché à une branche un petit message:



Un seul hêtre vous manque et tout est dépeuplié
El.beau.rodrigo
El beau Rodrigo était TOUJOURS là caché dans le bois et N'observait plus sa bien aimé, mais observait les autres gens qui si promenaient.



N'y aura t'il pas aujourd'hui aucune proie, que je puisse entrainer avec moi dans les bois?
N'y aura t'il pas aujourd’hui aucune aucune prune, que je trouverai propice à ma prude proue?
N'y aura t'il pas aujourd'hui aucune prose, que je puisse glisser dans le fond de sa chose?
Spartacus60
Spartacus arriva dans l'après-midi après une grasse matinée bien méritée . Il traversa la forêt chargé d'une chaise et d'un sac .
En effet aujourd'hui c'était le premier jour du concours entre Nannou et lui .Spartacus savait pertinemment qu'il allait gagner ayant une technique infaillible pour gagner .

Il profita du chemin pour cueillir quelques fleurs sauvages dont le parfum délicat ravirait sûrement le nez de la demoiselle à qui il l'offrirait .
Spartacus arriva enfin à l'endroit qu'il convoitait tant et apparemment personne ne lui avait volé son coin .

Il s'agissait d'un point d'eau situé au beau milieu de la forêt . Il installa sa chaise au pied de l'arbre sorti quelques bouteilles de vin qu'il attacha solidement à une corde et les laissant tremper dans l'eau pour qu’elles soient au frais .
Il alluma ensuite un feu et mît à chauffer une belle pièce de viande qu'il laisserait rôtir tranquillement .Il installa ensuite un seau sous l'arbre afin de recueillir les branches de bois qui tomberait de l'arbre .

Spartacus s'assied ensuite dans sa chaise pour profiter du soleil sirotant un petit verre de Bordeaux .


Rhaaaa les concours de bucherons c’est vraiment épuisant .

Dit-il en riant pensant à la pauvre Nannou qui devait être en train de s'acharner sur un tronc d'arbre .
Divinit
Divinit avait entendu parler que le concours de bûcheron était commencer entre Spartacus et Nannou.
Elle décida de prendre le sentier de la forêt et aller encourager son amour et son amie.

Apercevant au loin Nannou qui s'entraînait activement, va la rejoindre pour la saluée et l'encourager.

Bonjour Nannou! .... Comment vas -tu? .... Tout se passe bien pour toi ?
J'espère que tu vas sauvé l'honneur des femmes.....


L'encouragea avec une petite tape sur l'épaule...... Je vais te laissé travailler tranquille.
Elle la salue et s'éloigne à nouveau pour aller dans la direction de Spartacus plus loin.

Marchant d'un pas rapide elle aperçois un petit point d'eau au loin et Spart assis sous un arbre en train de boire et de se préparer un repas.
Je pouvais sentir l'odeur de la viande rôti, qui flottait dans l'air et apporté par le vent.
Je m'approche de lui et va l'embrasser tendrement.

Bonjour Spartacus! ...... Comment vas tu mon amour ?

Le serre dans ses bras et lui murmure à l'oreille .... tu me manquais.

Je suis venu t'encourager un peu pour ton concours.
Vous avez une très belle journée pour votre bûcheronnage.


Prend place prêt de lui sous l'arbre et discute un moment , tout en profitant du soleil et de la nature.
Mortemer
Mortemer pénétra dans la forêt en sifflotant. Il entendit non loin les coups de hache, les ''han ! Han !'' des bûcherons et les hurlements déchirants des arbres abattus.
Il ne portait pas une hache mais son violon et son archet.

Il passa près de Nannou, si belle pendant l'effort ! Il lui fit un petit signe de la main pour l'encourager, ne voulant la distraire. Il avait une tâche plus importante à accomplir !
Quelques pas plus loin, il vit Spartacus en train de préparer un petit en-cas et Divinit assise auprès de lui. Parfait ! L'instant était parfait pour commencer sa stratégie.
Saisissant violon et archet, il se mit à jouer un air endiablé tout en tournant frénétiquement autour de Spartacus. Il chantait à tue-tête :


-Écoute, bûcheron, arrête un peu le bras;
Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas;
Ne vois-tu pas le sang lequel dégoutte à force
Des nymphes qui vivaient dessous la dure écorce ?


Il tournait, tournait tel un derviche tourneur, ou sautait comme un acrobate, jouant et chantant, tout cela pour tenter de distraire Spartacus de sa tâche.
Oui, la mouche du coche, c'est ce qu'il voulait faire ! Pas tout le temps bien sûr, sinon il se serait fait botter les fesses, mais suffisamment pour que Nannou ait de l'avance.
Ainsi, quand il verrait Spartacus trop affairé à sa tâche, il apparaîtrait bondissant, sautillant, tournoyant autour de lui en lui hurlant :


-Sacrilège meurtrier, si on pend un voleur
Pour piller un butin de bien peu de valeur,
Combien de feux, de fers, de morts et de détresses
Mérites-tu, méchant, pour tuer nos déesses ?


Il y avait aussi cet objet maléfique, la hache préférée et affûtée de Spartacus. Mortemer l'avait repérée.
Si dans sa vie il ne s'était jamais servi d'une hache, il avait appris à les subtiliser.
Ce talent de prestidigitateur, qu'avait acquis jadis sur les foires, quand il était troubadour, allait lui servir. Et tout en chantant :


-Forêt, haute maison des oiseaux bocagers !
Plus le cerf solitaire et les chevreuils légers
Ne paîtront sous ton ombre, et ta verte crinière
Plus du soleil d'été ne rompra la lumière.

 
La hache ici ? Non, là ? Où par là ? Non, plus de hache ! Disparue ! Qui a commis ce crime ? Personne ! Surtout pas Mortemer qui a un violon et un archer en main !
--Chantecoucou
La forêt s'était tue. Aucun oiseau ne chantait, aucun insecte ne frissonnait, les fleurs baissaient leur tête, se cachant sous les feuillages
et même les esprits et le monde des invisibles qui occupaient ces espaces charmants semblaient avoir disparu.
Un silence de sépulture s'était installé.
Vidée de sa substance vitale, la forêt, inerte et impavide, s'abandonnait sous les haches humaines.
Seule une présence observait.

Il y avait aussi cet être sur deux pattes, sans poils ni plumes, portant un masque immonde et qui, en rut, folâtrait dans sa parade nuptiale.
Mais celui-ci, avec son gazouillis inepte, ne faisait de mal à personne, et les humains réglaient leurs affaires de procréations comme ils le pouvaient.

Résignée devant la folie humaine, la forêt s'offrait en sacrifice, sans doute la seule à connaître les enjeux d'une telle destruction et même participant à l’holocauste.
Prés de la bûcheronne, un érable abandonna son feuillage avant l'heure et la jeune femme se retrouva recouverte de feuilles dorées.
Non loin, une branche craqua, s’abattant aux pieds du robuste bûcheron, sans qu'il n'ait à la tailler.

Car la forêt sait !
La forêt n'a jamais refusé l'asile et l'ombre bienfaisante. Les princes envoient leurs bûcherons pour abattre les arbres car pour administrer un pays, la règle est de défricher.
Dans un royaume en ordre, la forêt est le dernier bastion de liberté à tomber !
La forêt sait ! Un jour elle leur servira de cercueil.
Nannou
Nannou salua Divinit

Bonjour Divi, tu ne participes pas?

Bah au moins elle va distraire Spart c'est déjà ça.
Puis elle vit passer Mortemer sans comprendre pourquoi il ne s’arrêtait même pas l'embrasser!
Mais le voyant faire son manège, elle rit en devinant ses intentions. Elle ne pu s'empêcher de s'interrompre pour le regarder faire son spectacle ralentissant légèrement sa production.
Mais Spart n'avait pas l'air de s'activer beaucoup non plus.

Puis elle se mit en quête de l'arbitre pour lui transmettre ses résultats de la veille, elle était fière de son résultat




Cher Brenac
08/08/1462 07:11 : Vous avez coupé 7 stères de bois.
Et n'oublie pas d'en enlever une car j'ai utilisé ma propre hache!
Nannou
Spartacus60
Spartacus qui roupillait tranquillement fût réveillé par des oiseaux qui chantait .

Rhooooo mais même en pleine forêt c'est possible de dormir non mais je vous jure .

Spartacus soupira et jeta un œil à sa pièce de viande qui était presque cuite , il sourit et remercia les oiseaux qui en vérité lui avaient bien été utiles .

Il jeta quelques miettes de pain pour les remercier .

Citation:
Bonjour Spartacus! ...... Comment vas tu mon amour ?


Il sourit attendant sa belle .

Salut mon cœur ça va et toi ?

Spartacus l'embrasse tendrement et la câlinant un instant .

Oui tu as vu ça , nous sommes chanceux , tu veux un bout, un morceau de viande mon cœur c'est presque cuit .

Tu préfères à point ou saignant toi ma belle ?


Spartacus jeta un œil à son sceau ou déjà 4 branches étaient tombées .



08/08/1462 02:32 : Vous avez coupé 4 stères de bois.
El.beau.rodrigo
El beau Rodrigo était toujours LAS d'être caché dans le bois et n'observait plus sa bien aimé, mais observait à présent la hache qu'il avait volé.



Oh quelle est belle la jolie Hache, Oh quelle est jolie!
Oh quelle est belle la jolie HAche, Oh qu'elle est bien polie!

Oh quelle est belle la jolie h A CHE, oh qu'elle aime le h A chis!


Petit petit petit, viens par içi... N'est pas peur!
Brenac
Brenac les regardait couper du bois en souriant. Et il ne put s’empêcher, en plus d'arbitrer, de commenter le concours en cours.

Avec une intonation de professionnel il hurlait:

Et Nannou l'exterminatrice de chênes qui maîtrise sa hache à la perfection telle un oiseau avec ses ailes !

Brenac continua d'observer la scène. Quelques instants plus tard il s'écria:

Oh Seigneur! Ne me dites pas que c'est la fabuleuse technique de bûcheronnage de la "Diagonale Céleste" ?! Si c'est ça ! Nannou prends de l'avance !

Brenac ( après avoir calmer ses ardeurs ) porta son attention vers Spartacus:

Le bûcheron municipal Spartacus alias le blondinet s'en sort avec brio! Il coupe les branches à une vitesse folle! Seulement certaine son mal coupées et empêchent le bûcheron municipal de gagner des points !

Brenac, quand le premier jour du génocide sylvain fut terminé,annonça:

Le premier jour du massacre est terminé chers amis ! Nannou termine sa journée avec 7 points et Spartacus avec 4 points.
Cepandant, Nannou utilisant sa propre hache perd 1 point. Ce qui nous donne le classement suivant.




Premier jour:
Nannou 6 points
Spartacus 4 points


Brenac salua le public et conclu:

C'est tout pour aujourd'hui! C'était Brenac votre commentateur et arbitre barbu préférer! A demain et espérons que nos champions n'aient pas la gueule de bois !

Brenac rigola un bon coup et rentra chez lui
Divinit
Citation:
Nannou salua Divinit.......
Bonjour Divi, tu ne participes pas?

Elle répondi à Nannou avant de reprendre la route.

Non Nannou je participe pas pour l'instant, le concours était déjà commencer et je suis trop déborder au moulin.

Après avoir répondit à Nannou, Divinit avait reprit la route pour retrouver spart. Une fois arrivé la bas prêt de lui.

Elle regarda Spart finir de cuire son morceau viande et lui répondi après avoir répondu à son baiser

Hmm oui j'en veux bien un morceau. Je vais le prendre saignant pour ma part.


Le regarde avec les yeux rempli d'amour et lui dépose un baiser sur ces lèvres pour le remercier de partager un morceau avec elle.

Elle regarde Mortemer qui arrive tout prêt d'eux avec son violon, qui se met à jouer et chanter devant Spart et moi.
Elle lui sourit et l' écoute attentivement. Divinit se doute bien de se qui a l'intention de faire avec cette petite stratégie.

Plus loin elle aperçu Brenac qui était en train de faire les comptes des stères de Nannou et de Spart.
Spartacus60
Citation:
Hmm oui j'en veux bien un morceau. Je vais le prendre saignant pour ma part.


Spartacus sourit découpa une belle tranche de viande pour sa belle et la déposa dans une assiette qu'il lui tendit .

Voilà mon cœur , si sa te dit y a des petits légumes qui cuise dans la petite poêle sur le feu .

Spartacus attendit un peu lui préférait sa viande à point .Après quelques instants il se servit également agrémentant son plat d'un peu de sel .

Tu veux un peu de Bordeaux ma belle ou de l'eau fraiche ?

Il sourit voyant tomber six branches d"un coup dans son sceau .



09/08/1462 02:39 : Vous avez coupé 6 stères de bois.
El.beau.rodrigo


Dante a indiqué :
« La volonté ne consent au mal que par crainte de tomber dans un mal plus grand. »


------------------------------------

Depuis quelques jours ils suivaient, quelques inconscients qui se croyaient dans la forêt comme à leur petite maison de village.
Ces derniers, n’imaginaient nullement à quel point ces endroits puissent être dangereux. Les forets sont bien souvent le refuge des plus pauvres, des plus recherchés, des plus misérables des créatures, que le monde ait pu fabriquer.
Elles sont aussi de rare fois, les endroits où les criminels les plus dangereux si cachent. Et particulièrement quelques tueurs à chapelet.

La foret à cette époque est encore une vaste « terra incognita », soulignée dans les belles cartes se trouvant dans les châteaux fermés à la population,
la villénaille, le peuple….
Ces belles cartes indiquent clairement que le monde n’est pas connu réellement et que dans certains endroits, au delà des terres aristotéliciennes,
se trouve des forets, et d’autres pays, que peu d’explorateurs ont visité, qui sont particulièrement dangereux pour la civilisation…

Elles sont dangereuses pour l’espèce humaine.
Ceux qui si aventure sont donc dans deux catégories à classer : Les inconscients, ou les connaisseurs.
Chacune de ces catégories ayant des traits particuliers qui se croisent entre l’une et l’autre. Ainsi, les inconscients, ou les gentils, sont parfois poète ou érudit.
Mais il arrive que dans la deuxième catégorie on trouve aussi des poètes, des musiciens, connaissant un peu les forets obscures.
Bien souvent, ces derniers aiment à tenter le diable.

Les deux tourtereaux étaient sans nul doute, à classer dans la première catégorie : celles des proies faciles, qui s’offrent naïvement, à leur propre tragédie.
Le monde est ainsi fait de gens qui meurent par erreur, par méconnaissance de la réalité. Par unique soucis d’apparence de leur égo.
De leur imperfection dans le mal, qui surement ravi le Créateur, mais les rende si imparfaits aux lois de la nature humaine profonde qu’est le vice, l’orgueil et le meutre.

… Quand au propriétaire de la hache volée, nul doutes qu’il connaissait les lieux.
Il était peut-être inconscient ou tout simplement suicidaire, ou encore les yeux remplie de drogue en train de chercher à s’auto liquidé,
car, il aurait du savoir, qu’un criminel, aimant le sang, et la peur dans les yeux de ses victimes, revient toujours vers la proie qu’il a testé. Il apprendrait, qu’on ne tente pas la diabolique pensée de ce dernier aux idées narcissiques, sans douleurs immenses.

En parlant de test, à présent, El beau Rodrigo, allait s’occuper du couple.
Le passage serait bref, sans douleur ni violence, et sa rapidité dans les bois serait-telle que les prochaines victimes ne sauraient le retrouver.
D’un côté le bucheron du dimanche, de l’autre la femme à l’allure d’un paon, sans la beauté qui va avec.

Car plus loin se trouvait, dans une zone montagneuse le repère d'« El beau Rodrigo », impraticable même par des bêtes, ou les chèvres ne si aventurent même pas.
Seuls des hommes aguerris à la traque aurait pu le suivre jusque là, mais pour l’heure il n’en avait croisé aucun, dans le lieu, ni dans le village,
qu’il fréquentait également sous les traits d’un honnête homme sans histoire.

Repère qui permettait à ce criminel, de s’enfuir si le besoin se faisait sentir, vers d’autres lieux du comté, voire du royaume de France.
L’esprit torturé l’avait rendu paranoïaque, le criminel, commence toujours par savoir, par où il pourra fuir, pour commettre un délit, un crime sans se faire attraper.

Il observa encore, ses futurs jouets, qui ricanaient sottement de leur vie sans aucun intérêts à ses yeux.
Tour à tour échangeant, les plus plates banalités, qu’un couple puisse inventer, pour se suicider l’âme et l'envie.



Spartacus60 a écrit:


Voilà mon cœur , si sa te dit y a des petits légumes qui cuise dans la petite poêle sur le feu .


« Je t’en foutrais plein le croupion jusqu’à ce que ça déborde par la bouche de tes légumes, si tu savais ! »

Puis, toujours l’esprit méchant, il commenta encore une autre horreur dans son esprit…



Citation:

Tu veux un peu de Bordeaux ma belle ou de l'eau fraiche ?


« …Du miel, elle veut que tu la recouvres d’un miel délicieux, mais tu n’as invité aucun de tes amis, pour l’honorer ! Je devrai le faire moi-même dans ce cas.»

Après ces quelques perversions sortit de son esprit malade, il passa à l’action..
Il se mit donc à foncer, vers les insécables amoureux, …
D’un seul bond dans le sens de la pente et du vent, prit leur gamelle de bouffe, qui chauffé là, ainsi que la bouteille de vinasse, tout en criant un cri effroyable,
qui aurait fait peur au meilleur des chevaliers du Royaume…


Déééééééééééééééééééééééééééé
ééééééééééééééééééééééééééééééééggggggg
gggggggggggggggggggggggggaaaaaaaaaaaaaaa
aaaaaaaaageeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !


….Et, se faufilant dans des épineux, qui frottaient tout le long de son corps rattrapât une draille connue de lui seul, que les sangliers du secteur avaient façonné, au fil des chasses comtales.

En un éclair, le scélérat, c’était fait connaitre et avait disparu de l’endroit même. Il aurait été impossible de le suivre, même à cheval.

« Je repasserai… » Se dit –il,…. simplement, tout en ricanant sadiquement de son effet,… « Ils voulaient faire un concours de bucheronnage, ils n’auront réussi qu’à exister mon envie de boucherie ! .... Voir où en est le musicien, voilà ma nouvelle envie…!»
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, ..., 18, 19, 20   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)