--Falco.
Se laissant porter par une colonne d'air chaud, les ailes déployées, les rémiges distales légérement écartées, Falco tournoyait, ne perdant pas de vue le combat qui s'était engagé au sol.
Son ami humain était en prise avec un de ses semblables. Enfin, à vue de faucon, tels semblaient être la scène et ses protagonistes.
Soudain, un sifflement ...
A l'aide de quelques mouvements d'ailes de grande envergure, énergiques et cadencés, Falco, qui avait bien enregistré la position de l'agresseur de son ami humain, alla se placer pour la suite des événements. Ainsi, il disparut du champs de vision des terrestres.
Après être monté en altitude et avoir soigneusement choisi, quoique inconsciemment, son angle d'attaque, il entama une chute en piqué, les ailes rabattues en arrière et plaquées le long du corps. Afin de maintenir sa vitesse élevée et le silence du vol, il ne prit pas le risque de décaler sa tête légérement sur le côté. Vu la taille de sa proie, il pouvait se permettre de ne pas corriger l'angle de la chute.
Arrivé à quelques mètres de l'agresseur, il freina brutalement, déployant au maximum ses ailes, et bascula son corps en arrière afin que les serres fermées en poing atteignent la tête et encaissent le choc qui serait violent. Cette position avait également l'avantage de faire ressortir la griffe du doigt postérieur qui était maintenant pointée comme un poignard.
Il ne s'agissait pas, cette fois, de repartir avec une proie décapitée ou assomée, mais uniquement de la "buffeter", de la percuter.
Après avoir violemment heurté le crâne de l'assaillant, il entreprit une chandelle verticale. Après un virage très court, volontairement très bruyant, il reprit de l'altitude et enchaîna une série de piqués secondaires. Martelant la tête de l'étrange personnage de ses serres, laissant la marque de sa griffe à chaque passage.
La solidarité aviaire n'était pas une vague idée et d'autres avaient répondu à son appel. Ainsi, les vagues d'attaque se succédaient à un rythme effréné, dans une sorte de ballet aérien, improvisé mais efficace.
Falco savait bien que la bête était trop corpulente pour qu'ils puissent arriver à la mettre définitivement à terre et les yeux n'étaient pas accessibles. En s'y heurtant, il avait failli se retrouver à terre et ne devait son salut qu'à une pirouette dont il ne se savait pas capable.
Au moins, cela permettrait peut-être à Mortemer de donner le coup de grâce ou de prendre l'avantage sur son adversaire. quoiqu'il en soit, ils continueraient leurs vagues d'attaque jusqu'à un nouveau signal ou jusqu'à l'épuisement.
Son ami humain était en prise avec un de ses semblables. Enfin, à vue de faucon, tels semblaient être la scène et ses protagonistes.
Soudain, un sifflement ...
A l'aide de quelques mouvements d'ailes de grande envergure, énergiques et cadencés, Falco, qui avait bien enregistré la position de l'agresseur de son ami humain, alla se placer pour la suite des événements. Ainsi, il disparut du champs de vision des terrestres.
Après être monté en altitude et avoir soigneusement choisi, quoique inconsciemment, son angle d'attaque, il entama une chute en piqué, les ailes rabattues en arrière et plaquées le long du corps. Afin de maintenir sa vitesse élevée et le silence du vol, il ne prit pas le risque de décaler sa tête légérement sur le côté. Vu la taille de sa proie, il pouvait se permettre de ne pas corriger l'angle de la chute.
Arrivé à quelques mètres de l'agresseur, il freina brutalement, déployant au maximum ses ailes, et bascula son corps en arrière afin que les serres fermées en poing atteignent la tête et encaissent le choc qui serait violent. Cette position avait également l'avantage de faire ressortir la griffe du doigt postérieur qui était maintenant pointée comme un poignard.
Il ne s'agissait pas, cette fois, de repartir avec une proie décapitée ou assomée, mais uniquement de la "buffeter", de la percuter.
Après avoir violemment heurté le crâne de l'assaillant, il entreprit une chandelle verticale. Après un virage très court, volontairement très bruyant, il reprit de l'altitude et enchaîna une série de piqués secondaires. Martelant la tête de l'étrange personnage de ses serres, laissant la marque de sa griffe à chaque passage.
La solidarité aviaire n'était pas une vague idée et d'autres avaient répondu à son appel. Ainsi, les vagues d'attaque se succédaient à un rythme effréné, dans une sorte de ballet aérien, improvisé mais efficace.
Falco savait bien que la bête était trop corpulente pour qu'ils puissent arriver à la mettre définitivement à terre et les yeux n'étaient pas accessibles. En s'y heurtant, il avait failli se retrouver à terre et ne devait son salut qu'à une pirouette dont il ne se savait pas capable.
Au moins, cela permettrait peut-être à Mortemer de donner le coup de grâce ou de prendre l'avantage sur son adversaire. quoiqu'il en soit, ils continueraient leurs vagues d'attaque jusqu'à un nouveau signal ou jusqu'à l'épuisement.