Tilda
N'aura assez 'vec ça d'sang pour r'décorer la baraque d'l'aut' con ? Quand qu'on y va ? Chuis chaude moi !
Un regard plissé vers le bestiaux qu'avait ramené le danois. Espérant secrètement pouvoir s'incruster chez eux au diner, chose qui sera faites en forçant un peu.
Ja c'parfait! Bientôt... Avant j'ai deux trois trucs à finir. Mais t'inquiète pas on va aller dessiner sur son mur à l'autre connard.
Un crachat au sol de mépris pour les traitres avant d'écouter la conversation chiffon, plus ou moins concentrée sur les paroles des deux chiffonnières. Hochant la tête quand elle était d'accord, ou regardant dans le vide intersidéral quand elle se sentait de côté.
Quand la proposition d'armure sophistiquée d'Ysaure fait surface, elle grommèle un mécontentement. Elle allait vraiment lui piquer son travail là? Un des moyens de subvenir aux besoins des enfants du camp? Ce qui était sûre, c'est qu'elle se mettrait au boulot aussitôt son tour de garde terminé, pour prouver qu'elle aussi elle pouvait faire des choses belles, mais surtout pratique au combat. Et pas des trucs bons à jeter aux premières gouttes de pluie, ça non.
Au signe de la duchesse, un petit "R'voir" blasé sortit du bec blond. Puis c'était la fin de son tour, Ronan prenant le relais du gardien de prison.
La géante s'occupait maintenant de la brigandine souhaitée par Enigma. Elle avait noté les mesures rapidement au fusain sur un bout de vieux parchemin usé et déchiré. S'employant à délimiter le patron sur le cuir de cheval, posé sur le sol herbeux à côté de sa forge miniature.
Puis...ALERTE! ALERTE! ALERTE!
LES BATÂRDS ! INTRUSION !
L'asperge se redresse et attrape sa lance dans un mouvement véloce, ne cherchant pas à réfléchir au pourquoi du comment, tel un chien bien dressé accourant au goulet qui servait d'entrée au camp. Position de combat, fer de lance pointé vers l'homme qu'elle ne connait pas, aux côtés du frère d'arme. Les dents pointues se font féroces. Puis viennent les menaces, toujours les mêmes, elle était habituée. Dire qu'il pue alors qu'il se lave tous les dimanches, bordel! Bon...Il a peut-être confondu l'odeur des piques avec celle du vieux, c'est pardonnable. Mais les menaces de mort, ça non! Puis revient la duchesse pour calmer le jeu.
Un grognement suivit d'un souffle de déception presque puérile. L'action qu'elle souhaitait n'aboutissant pas. Ils allaient encore poireauter ici en attendant la guerre, et les nerfs commençaient à vouloir exploser au moindre chatouillement.
Alors elle retourne à ses activités plus...calmes. En zyeutant les deux tourtereaux au dessus des barricades au passage. Un "Té..." de surprise mélangé à un dégoût du genre "mais qu'est-ce qu'elle fout avec ça?!" en remarquant l'embrassade.
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Un regard plissé vers le bestiaux qu'avait ramené le danois. Espérant secrètement pouvoir s'incruster chez eux au diner, chose qui sera faites en forçant un peu.
Ja c'parfait! Bientôt... Avant j'ai deux trois trucs à finir. Mais t'inquiète pas on va aller dessiner sur son mur à l'autre connard.
Un crachat au sol de mépris pour les traitres avant d'écouter la conversation chiffon, plus ou moins concentrée sur les paroles des deux chiffonnières. Hochant la tête quand elle était d'accord, ou regardant dans le vide intersidéral quand elle se sentait de côté.
Quand la proposition d'armure sophistiquée d'Ysaure fait surface, elle grommèle un mécontentement. Elle allait vraiment lui piquer son travail là? Un des moyens de subvenir aux besoins des enfants du camp? Ce qui était sûre, c'est qu'elle se mettrait au boulot aussitôt son tour de garde terminé, pour prouver qu'elle aussi elle pouvait faire des choses belles, mais surtout pratique au combat. Et pas des trucs bons à jeter aux premières gouttes de pluie, ça non.
Au signe de la duchesse, un petit "R'voir" blasé sortit du bec blond. Puis c'était la fin de son tour, Ronan prenant le relais du gardien de prison.
La géante s'occupait maintenant de la brigandine souhaitée par Enigma. Elle avait noté les mesures rapidement au fusain sur un bout de vieux parchemin usé et déchiré. S'employant à délimiter le patron sur le cuir de cheval, posé sur le sol herbeux à côté de sa forge miniature.
Puis...ALERTE! ALERTE! ALERTE!
LES BATÂRDS ! INTRUSION !
L'asperge se redresse et attrape sa lance dans un mouvement véloce, ne cherchant pas à réfléchir au pourquoi du comment, tel un chien bien dressé accourant au goulet qui servait d'entrée au camp. Position de combat, fer de lance pointé vers l'homme qu'elle ne connait pas, aux côtés du frère d'arme. Les dents pointues se font féroces. Puis viennent les menaces, toujours les mêmes, elle était habituée. Dire qu'il pue alors qu'il se lave tous les dimanches, bordel! Bon...Il a peut-être confondu l'odeur des piques avec celle du vieux, c'est pardonnable. Mais les menaces de mort, ça non! Puis revient la duchesse pour calmer le jeu.
Un grognement suivit d'un souffle de déception presque puérile. L'action qu'elle souhaitait n'aboutissant pas. Ils allaient encore poireauter ici en attendant la guerre, et les nerfs commençaient à vouloir exploser au moindre chatouillement.
Alors elle retourne à ses activités plus...calmes. En zyeutant les deux tourtereaux au dessus des barricades au passage. Un "Té..." de surprise mélangé à un dégoût du genre "mais qu'est-ce qu'elle fout avec ça?!" en remarquant l'embrassade.
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