Tilda
Elle allait repartir, elle voulait repartir. Mais voilà que son lieutenant lui fait comprendre qu'il a encore besoin d'elle. La Bannière Brune étant aussi spécialisée dans le dialogue grommelant, le grognement lui signifiait bien qu'elle devait se bouger et rester attentive. Alors elle fit demi-tour, la lance à bout de bras. Ne prêtant pas attention aux multiples piques verbales de chaque côtés des murs, encore un mesurage de pénis inutile.
Le carreau était partit, l'homme n'avait rien fait pour protéger son cheval, et il était visiblement entrain d'agoniser, son souffle chaud et sa souffrance s'en allant petit à petit. Le regard de la géante blonde s'éternise sur l'animal, elle avait une fascination pour la mise à mort de ses grandes bêtes, et c'était seulement le deuxième qu'ils tuaient en un mois. Puis le cri de guerre de son époux la fit sursauter et reprendre ses esprits.
Hör auf damit, Tilda !
L'homme n'avait pas sortit son épée, et s'était là son erreur. On ne sous-estime jamais un ennemi, et surtout on ne le provoque pas. Même si celui-ci était aussi allié dans une certaine mesure, ici et maintenant ce n'était qu'un ramassit de chair qui craché en direction de la compagnie de mercenaire. Toujours est il que ce Maël n'avait pas l'air d'être venu ici pour se battre, mais n'avait pas l'air d'avoir conscience de l'affront fait à de simple soldat comme eux.
Le bellâtre trop occupé a reluquer la trogne de la duchesse, la géante s'avance d'un pas rapide, le manche de la lance vers l'avant, le fer vers le haut. Elle arrive derrière lui, puis vient piquer d'un mouvement circulaire la jambe de l'homme pour tenter de le faire tomber.
D'jà tu viens sans prév'nir avant et là tu nous chie d'ssus avec tes paroles d'merde?! T'vois pas qu'on est en guerre?! Bordel! C'pas l'moment, ni l'endroit pour courtiser ta donzelle, même si c'est un soleil! Un regard vers Ysaure, ne voulant pas la froisser elle.
A son tour de déverser le fiel, et retenir son attention en jouant de la lance.
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Le carreau était partit, l'homme n'avait rien fait pour protéger son cheval, et il était visiblement entrain d'agoniser, son souffle chaud et sa souffrance s'en allant petit à petit. Le regard de la géante blonde s'éternise sur l'animal, elle avait une fascination pour la mise à mort de ses grandes bêtes, et c'était seulement le deuxième qu'ils tuaient en un mois. Puis le cri de guerre de son époux la fit sursauter et reprendre ses esprits.
Hör auf damit, Tilda !
L'homme n'avait pas sortit son épée, et s'était là son erreur. On ne sous-estime jamais un ennemi, et surtout on ne le provoque pas. Même si celui-ci était aussi allié dans une certaine mesure, ici et maintenant ce n'était qu'un ramassit de chair qui craché en direction de la compagnie de mercenaire. Toujours est il que ce Maël n'avait pas l'air d'être venu ici pour se battre, mais n'avait pas l'air d'avoir conscience de l'affront fait à de simple soldat comme eux.
Le bellâtre trop occupé a reluquer la trogne de la duchesse, la géante s'avance d'un pas rapide, le manche de la lance vers l'avant, le fer vers le haut. Elle arrive derrière lui, puis vient piquer d'un mouvement circulaire la jambe de l'homme pour tenter de le faire tomber.
D'jà tu viens sans prév'nir avant et là tu nous chie d'ssus avec tes paroles d'merde?! T'vois pas qu'on est en guerre?! Bordel! C'pas l'moment, ni l'endroit pour courtiser ta donzelle, même si c'est un soleil! Un regard vers Ysaure, ne voulant pas la froisser elle.
A son tour de déverser le fiel, et retenir son attention en jouant de la lance.
SVP les JDs, on a tous des contraintes HRP, alors la prochaine fois attendaient les actions des gens participant. Ça bloque leur jeu, et le fun. Du coup prenait en compte mon post, ou pas, mais c'est pas cool...
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