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[RP] Eglise de l'Air de Castres - Volume 2

Penthagruel
Dimanche matin, en l'église de l'air :


Pentha entra dans l'église en baillant. Il s'était levé tôt et espérait préparer une belle messe. Il s'installa dans la sacristie avec un petit verre de vin de messe, et se plongea dans la lecture. Après plusieurs heures d'un travail assidu, il leva la tête, relis ses notes, et, satisfait du résultat, regarda par la fenêtre.

Les premiers rayons de l'âstre luminescent dardaient leur lueur blanchâtre sur la brume matinale, la rosée sur les rempart brillait de mille feux, et une multitude de petits arc en ciels scintillants. Le prêtre remercia en silence le très haut pour ces petits instants magiques, et quitta la fenêtre pour aller sonner les cloches.

Il espérait qu'il y aurait au moins une personne à la messe cette fois ci, histoire de ne pas se sentir complètement inutile.


Ding-dong-ding-dong-dingeling- dongeling- ding.

Une fois l'appel lancé, le père pentha se plaça derrière l'autel et récita plusieurs foix le crédo à voix légère, incitant ainsi les arrivants à faire de même en attendant le début de la cérémonie.


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Penthagruel
Pentha pris une grande respiration et commença la messe :

Mes amis, mes frères, ou simples badauds qui recherchez un peu de quiétude en ces lieux, je vous souhaite la bienvenue dans la maison du tout haut. Aujourd’hui, je vais vous parler de l’archange Gabriel, prince de la tempérance. Cet homme merveilleux à élevé la sagesse et le contrôle de soi jusqu’aux limites du possible. Sa confiance en dieu et en son jugement lui permirent même de regarder le prince démon Léviathan tuer à mains nues son père de la façon la plus barbare qui soit sans pour autant succomber à la vengeance :

Citation:
C'est alors que Léviathan, qui était toujours très intrigué face à la tempérance de Gabriel le fit venir. Quand il arriva, il vit son père attaché à un pilier de bois. Léviathan lui dit que son père avait perdu toute une cargaison de poisson, que c'était un mauvais élément et qu'il méritait une correction. Léviathan commença à frapper Vorian, Gabriel le supplia d'arrêter, mais plus Gabriel suppliait, plus Léviathan frappait fort... Léviathan frappa si fort, qu'il transperça dans une explosion de sang le ventre de Vorian qui mourut sur le coup, accompagné des pleurs de son fils...
Léviathan s'attendait à ce que Gabriel réagisse et, ivre de colère, tente de venger son père, mais Gabriel n'en fit rien, il tourna le dos et quitta la pièce, mais juste avant de partir il dit ceci à Léviathan : "Ta Haine et ta colère ne m'atteignent pas, tu penses être le plus fort, mais ta fin est proche, Dieu te punira pour tes péchés et tu seras condamné à une éternité de souffrance." Avant que Léviathan ait eu le temps de répondre, Gabriel était parti...


Je vais vous lire à présent ce que Dieu à dit à Gabriel, alors qu’il était encore tout jeune en la ville d’Oanylone. Il lui fait l’honneur de lui annoncer la venue des prophètes, et en quelques phrases lui explique les bases de notre religion :

Citation:
Homme, je souffle chaque jour ma parole dans le creux de ton oreille
et la profondeur de ton cœur
Mais toi, pêcheur et profiteur, tu changes les Ecritures,
Et pervertis mes dires en me faisant parler à travers toi.
Nombreux sont ceux à qui j’ai transmis ma parole,
Mais tous ont souhaité la détourner,
Ne serait-ce que pour attirer sur eux la gloire,
Ne serait-ce que pour justifier une de leurs propres paroles.
Mais viendra le jour où je confierai à Un ma parole de sagesse
Et à Un autre mes commandements.
Car je t’aime, Homme,
Et tant que tu voudras entendre ce que j’ai à révéler,
Je parlerai,
Et lorsque sciemment tu te fermeras totalement à mes dires,
Je t’enverrai brûler dans les flammes de l’enfer au plus profond de la Lune.
Car seule la souffrance pourra te faire voir que chaque jour j’œuvre pour ton bien.
En te faisant souffrir je te ferai comprendre que sans moi rien n’est et rien ne peut être.
Si je t’obligeais à me suivre tu ne comprendrais pas en quoi il est bon de me suivre.
Tu mets du temps à comprendre, Homme, Et pourtant je t’aime.
Ne cherche pas, Le bonheur est là, Dans la simplicité de ton cœur.
Va Gabriel, Transmets Mon message à ceux que tu jugeras dignes d'être sauvés.
Car Gabriel, Je te le dis, d'ici peu cette ère de décadence prendra fin.
Et seuls les justes seront sauvés

Que votre fidélité soit celle des enfants envers leurs parents ou je serai aussi sévère que les parents envers leurs enfants. Car, lorsque chacun de vous mourra, Je le jugerai, en fonction de la vie qu’il a menée. Le soleil inondera chaque jour le monde de sa lumière, par preuve d’amour pour Ma création. Ceux, parmi les tiens, que j’y enverrai, vivrons une éternité de bonheur. Mais entre chaque jour, la lune prendra la relève. Et ceux qui, parmi les tiens, y seront jetés n’y connaîtront plus que la tourmente.”


En ces temps troublés par les guerres contre les hérétiques, par quelques initiatives de rébellions dont j’ai eu vent ces derniers temps, je vous implore d’écouter ces paroles divines avec la plus grande attention. Gardez-vous de la haine et de la colère, même si celles si vous semblent justifiées. Je ne vous encourage pas à courber l’échine sans réagir, mais à agir avec tempérance et discernement, et en gardant sans cesse à l’esprit que ceux qui vous causent du tord volontairement ou pour leur propre gloire et profit seront jugés un jour. Il est donc inutile de vous venger vous-même, le très haut le fera pour vous et avec infiniment plus de justesse et de discernement.
Essayez plutôt de raisonner ces misérables qui ont oubliés la parole divine, essayez de les ramener vers le calme et la sagesse, pour leur salut mais aussi pour le votre.


Le père laissa son sermon raisonner dans la maison du seigneur avant de baisser les bras et de reprendre :

Nous allons à présent rompre le vin et boire le pain (heu, non le contraire), en l’honneur de notre seigneur à tous, puisse-t-il nous apporter sagesse et tempérance dans nos actes et dans nos pensées.

Pentha rompit la miche qu’il avait préparée et partagea les morceaux avec les personnes présentes. Puis il but une gorgée de vin avant de faire également tourner la coupette.
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Penthagruel
Pentha, le coeur guilleret, s'approcha de la lourde porte de l'église. Il sortit une pointe et un marteau de ses braies et afficha un rouleau de parchemin :



Puis il retrouna vers sa demeure, un large sourire aux lèvres.
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Penthagruel
Dimanche matin, en l'église de l'air.

Le père pentha entra dans l'église, ouvrit grand les portes pour accueillir les fidèles, se dirigea vers la corde de chanvre pour actionner les cloches.
Dreling derong drelang

Puis il se placa derrière l'autel et accueilli les fidèles d'un sourire et d'un signe de tête. Une fois tout le monde en place, il commenca la messe dominicale :

En ce jour je voudrais vous parler de Michel, Archange de la Justice. Cet homme des plus vertueux avait le don de lire dans le cœur des gens et fut choisi par sa communauté pour la charge de juge, même s’ils ne l’avaient pas nommé ainsi alors. Il mit se don de dieu au service de tous, et il n’hésita pas à donner sa vie lors de la chute d’Oanylone pour sauver les vertueux. Tel un amoureux transis sur le pont d’un bateau condamné, il laissa sa place aux autres dans les navires qui allaient quitter la ville pour être sauvé par le très haut. L’histoire ne dit pas s’il était bon dessinateur…

Pentha marqua une pause en se demandant pourquoi diantre il avait dit cette dernière phrase. C’est alors qu’une petite musique à la flute résonna dans sa tête. Il se secoua le crâne pour reprendre ses esprits. Fallait vraiment qu’il arrête la bibine !

Hum, hum, bref. Je vais à présent vous lire un extrait de son hagiographie :


Citation:

Le premier jour de captivité fut aussi le premier des sept jours qui entraîneront la destruction de la première cité des hommes.
La foudre s’abattit sur le mur de la prison permettant à Michel et son ami de fuir le chaos, et de rejoindre les leurs.
Michel regroupa autant de monde qu’il put, en leur disant que la punition du Créateur allait être terrible, mais que les justes pourraient vivre une nouvelle vie loin de la cité maudite.
Comme Timothé était pêcheur, il proposa de rejoindre le port pour fuir par le lac. Michel aida ceux qui méritaient de par leurs foi en dieu d’embarquer sur l’esquif. Comme il restait des places, il demanda à son ami de laisser monter des enfants qui s’étaient réfugiés près d’eux.
Des pleutres voulant fuir la ville, plus par peur que pour suivre la volonté de Dieu, tentèrent de prendre l’esquif d’assaut, mais Michel s’interposant, permit à son clan et aux enfants de quitter la ville sans encombres.
Une fois ses Amis en sûreté il resta seul, et six jours durant, il sauva ceux qui pouvaient l’être.
Le septième jour, il restait des gens à sauver mais plus la moindre barque. Comme par miracle deux autres esquifs apparurent, il invita donc ceux qui avaient le cœur pur à monter sur ces navires. Il semblait capable de lire dans les yeux des gens si leur foi était réelle, et il envoyait ceux qu’il jugeait digne sur la première barque et ceux qui fuyaient par peur ou pour sauver leurs richesses sur la seconde. Voyant les 2 navires remplis, il refusa de monter, disant que Dieu avait une mission pour lui et qu’il sentait qu’il devait rester pour sauver d’autres amis.
Arrivé à la sortie de la ville le premier navire se dirigea sans encombre vers le large, alors que le deuxième plus lourd à cause de l’or emporté fut bloqué par les hauts-fonds. Il disparu avec la ville lorsque les grands vents destructeurs vinrent du centre de la Terre, fissurant la terre en de nombreux abysses.

Certains survivant, loin de la ville, racontèrent qu’à ce moment là, alors que la pluie tombait malgré un ciel sans nuage, un arc en ciel venant directement du soleil tomba sur la ville , Michel choisi par Dieu fut ainsi emporté par une nuée céleste, et devint l’un des sept archanges.



Cet extrait montre que la justice divine trouve toujours une façon de châtier les impies. On voit ici toute la symbolique des avares condamnés par leur propre vice, alors qu’il semblait qu’ils avaient trouvé un moyen d’échapper à la volonté divine. Mais il n’en était rien. A ceux qui doutent de l’existence de la justice divine, je leur dit, méfiez-vous. Dieu est partout et sait tout. Il à déjà prouvé maintes fois par le passé son omniscience. Pour ceux que cela intéresse, vous trouverez dans l’hagiographie de Michel deux exemples d’apparition de l’archange, de bien belles histoires ou les fidèles ont pu attester de leur propre dieu l’existence divine par le biais de l’un de se plus proches serviteurs.

http://rome.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=2449

Avant de rompre le pain, je terminerai par un citation des mots même de l’archange :

Citation:
"Si ton œil droit t’attire vers ce qui ne t’es pas destiné, arrache le et brûle le, car mieux vaut qu’une partie de toi périsse, plutôt que d’attirer vers toi la colère de Dieu."




Une fois la cérémonie terminée, pentha se racla la gorge et dit :

Comme certains d'entre vous le savent peut être, nous avons une nouvelle diaconèse en nos murs.Merci de réserver le meilleur accueil à dame Neyco.
Quand je dis nouvelle, je parle pour notre ville car elle a déjà longuement exercé cette charge en notre ville voisine de Castelnaudary, et je n'ai entendu que des louanges à son propos. Dame, bienvenue à vous, et grand merci de votre précieuse aide !

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Petitfuyant
Fufu n'avait pas pu aller à la messe du dimanche, elle n'était pas sur Castres sinon, bien sur qu'elle serait venue........
En ce matin du 22ième jour du mois de l'en 1458 elle se dirigeat à l'église de très bonne heure juste pour... méditer, réfléchir et faire bruler un siège, non, un cierge ^^ pour ses quelques amies.
Fufu se posait jamais, prenait jamais le temps vraiment de se poser les bonnes questions, elle préférait toujours éviter la chose et reprogrammer au lendemain, mais là.... Comme un besoin pressant qui la poussait et qui lui fit pousser la grande porte.
Il faisait frais là dedans et les vitraux été toujours aussi beaux, Fufu adorait les vitraux et elle lachat un sourire en pensant un instant à Duflan qui parraissait il les aimé aussi, le sourire se suivit d'un soupire et la Fufu allat s'assoir sans un bruit sur l'un des bancs.
Là assise tapotant sa main gauche sur son genoux elle savait pas trop quoi faire finalement la Fufu,ni quoi dire, pis à qui?
Pouvions nous causer et dire les choses aux quelques statues qui se trouvé là?
Pis z'étaient qui d'bord ces statues?
L'une avait elle plus d'importance que l'aut'?
L'une écoutait elle mieux?
L'une était elle méchante pis répèterai tout au Aristote même ce qu'il fallait surtout pas répéter?!
Elle décida de se mettre a genoux, de fermer les yeux pis dans sa petite tête de souris parler, parler parler, se soulager un peu, penser très fort à ses amies, demander que le très haut les protèges...

"Si haut qu'il n'entend pas toujours" Se dit elle avec un sourire narquois sur le bout des lèvres...
Penser à Duflan, espérer que celui qu'elle a connu revienne, demander à Aristote qu'il l'aide dans ce chemin boueux.....
Elle se retourna au claquement sourd de la grosse porte, quelqu'un entré, un homme qu'elle n'avait jamais vu.
Timidement elle se leva, alluma son cierge en signant d'une croix comme elle avait vu faire d'aut' pis disparut génée, de l'église....
Guitail
Cela faisait longtemps que Guitail n'avait pas mis un pied en église, quoique cela faisait des mois qu'il était en train de réparer un monastère, même s'il ne prenait pas part aux messes. Pour une fois qu'il avait le temps, il allait pouvoir assister à une messe de son ami Pentha.

Il se dirigea alors vers l'église de Castres et se signa en entrant. Puis il alla s'assoir dans le fond de l'église où il resta en silence, comme d'habitude.Enfin, il écouta la messe de Pentha.


Un petit effort pour ljd Pentha quand je peux.

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Guitail
Cultivateur heureux à Castres
Etudiant dans la voie de l'état
Charpentier à ses heures perdues
Veuf endeuillé de Smartynina
Père orphelin de Héloïse.
Penthagruel
Citation:
Nomination de Neyco à la charge de diaconesse de Castre

Nous,
Monseigneur Verty de Montfort-Toxandrie, Baronez Breal-Monforzh, Cardinale Archevêque métropolitain de Bourges,

représentant l'autorité du pape et de l'Eglise Aristotélicienne de Rome,

Annonce ce jour la nomination de Neyco à la charge de diaconesse de la paroisse de Castre.

A juste fin de reconnaissance officielle de la présente, y appose mon sceau et signe de ma main.

Que cela soit dit ! Que cela soit su ! Que ceci soit adopté et respecté à partir de ce jour !

Fait à Bourges le 27 avril 1458.

Son éminence, Verty de Montfort –Toxandrie
Cardinal, Archevêque Métropolitain de Bourges.

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Petitfuyant
Fufu avait b'soin de fraicheur, alors quoi de mieux que la bonne vieille église et ces statues louchent pour cela?
C'est souriante qu'elle si rendit alors avant d'aller au jeu du pendu....
Elle poussa la grosse porte et s'arrêta avant pour lire que Dame neyco était diasconèse....
Fufu ne put s'empêcher de lacher un petit rire amusée à la vue de cela, c'est que la diasconèse elle l'avait déjà croisé la Fufu et elle était pas bien nette! Tout du moins aussi nette que la Fufu, c'tait pour dire.....
Le corps d'Ari allait il se transformer en biscuit?
La gourmandise de Fufu s'éveiller encore.....
Dame Neyco allait elle voler le vin de messe ? Comme elle avait tenté de le faire au chateau? Fufu avait appris la nouvelle par son doux qui fut embarquer dans se genre d'histoire.... Parlait d'une femme de foi!!! La Fufu était apte aussi alors? Elle qui n'avait volé qu'un vieux chapeau à l'aut' folle de madame pilonjoint au marché et quelques bonbons à la violette. Pas de quoi se confesser non plus.....
Elle rentra enfin, l'église était déserte, se que Fufu prit avec joie, faut dire qu'elle aimait bien la solitude la Fufu et plus elle venait ici plus elle comprennait que c'tait un bel endroit pour se receuillir un peu et retrouver le calme.....
Elle s'assit sur le même banc que la fois d'avant, se demandant juste un instant si Penta avait fait messe le dimanche.... Elle leva ensuite le nez sur les fabuleux vitraux et joigna ses deux mains comme qu'ils faisaient les copains.... Elle tapota ses doigts les uns contre les autres pis se mit à rêver d'un monde meilleur, zieutant tout de même du coin une statue qui lui faisait un peu peur....
Elle décida ensuite d'attendre quelques instant ici, dans l'espoir de croisé Pentha ou bien la Dame neyco pour leur proposer de participer à la course de mule.... Sait on jamais! Quoi que la Neyco serait largement capable de tricher!
Penthagruel
En passant devant l'église, comme chaque matin pour aller arroser son potager, le père pentha eu la surprise de voir la porte entrouverte.
Cela le surpris car peu de Castrais venaient en l'église pour la messe, et encore moins pour prier seuls.
Il glissa la tête et vit fufu installée sur l'un des derniers bancs. FUFU ? quelle surprise ! Il savait qu'elle n'était pas une fidèle, mais peut être se posait-elle des questions sur la foi en ce moment ? Le coeur plein d'espoir à cette idée, pentha s'approcha et s'assit à coté de celle qu'il connaissait déjà un pour avoir travaillé à la mairie ensemble.


Coucou fufu, je ne te dérange pas ? Je suis bien content de voir quelqu'un ici ! J'y suis trop souvent seul. Je peux faire quelque chose pour toi ?

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Neyco
C'est toute fraiche juste pour aller a l'église avec quelques boites de biscuits pleine pour les pauvres qu'elle traversa quelques rues pour se rendre a la petite église de Castres.

Entrant discretement la miss Biscuit aperçut Pentha avec une personne mais impossible a savoir qui. Ses boites dans ses petits bras elle avança plus pour reconnaitre Fufu. L'était marrante Fufu étrange mais marrante.


Bonjour Fufu, bonjour mon père.

J'ai apporter des biscuits pour nos pauvres je ne suis boulangère aussi j'ai hésiter a faire du pain. Il faudra que j'apprenne cela pourrai être utile.


Faisant un petit sourire, la miss ne voulant les déranger fila ranger ses boites en attendant des visiteurs.
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En construction pour ajout blason de nobliau et tout.
Petitfuyant

Coucou fufu, je ne te dérange pas ? Je suis bien content de voir quelqu'un ici ! J'y suis trop souvent seul. Je peux faire quelque chose pour toi ?


Fufu sursauta en entenda la douce voix du père Pentha, elle lui sourit ensuite rassuré d ele voir et le salua du jolie courbette.

"B'jour Pentha non non tu ne me déranges pas du tout, c'ton lieux ici, un lieux bien calme d'ailleurs moi qui ne venais jamais je commence à apprecier comment vas tu? Oh faire quelque chose pour moi ben..... Arf.... non pas vraiment malheureusement seul le temps sans doute fera son oeuv..."


Fufu fut coupé par l'intervention de Neyco, elle la saluat et sourit à ses dires et à sa boite de biscuits.

"B'jour Neyco bon alors je dois te féliciter il parait?! Dis t'sais j'suis ben pauv' moi aussi j'droit à un biscuit aussi.....?"


Pas le temps de la supplier que la Neyco était d'jà parti, "elle est belle la charité!" pensa Fufu un temps soit peu amusée, elle tourna alors de nouveau son r'gard vers Pentha ne sachant vraiment quoi dire...

"J'voulais que tu viennes à la course de mules, mais j'crois qu'il y a plus de place mais par contre les bancs pour encourager sont libres eux! Pis sinon ben j'viendrais plus souvent, j'besoin de me receuillir j'sais pas ce qu'il e prend moi qui fuyait les églises comme le reste d'ailleurs! Mais comme disait mon père "il y a que les cons qui ne changent pas d'avis hein?" Pis faut que je trouve séreinité, j'en ai b'soin ...... vraiment...."

Elle leva les yeux tout en heut de l'église et se tue .
Neyco
Pas le temps d'écouter que Neyney pensa directement. A boire avec les biscuits elle avait oublier.

Vite on range le tout et on va chercher des jus ainsi qu'un petit tonnelet.
On traverse la rue et en face de l'Église une taverne en même temps quoi de plus normal. Une négociation rapide avec le tavernier pour avoir un tonneau de bon vin et un autre de bière. Le payant elle fit rouler les tonneaux en face soit on retourne a l'Église (oui faut suivre).
Enfin l'était prête. Mais Fufu l'avait po dit qu'elle avait faim?

Dans son élan de faut a boire son mini cerveau venait juste de saisir information.

Vite on pousse les tonneau pour les mettre a la porte de l'Église et on va chercher les biscuits. Revenant en passant devant Fufu et le père Pentha.

S'inclinant rapidement pour s'excuser au point de lui faire un tournis de son petit pois.


Ah Fufu je suis tellement désolé, j'ai pas fait attention moi j'ai penser l'a oublier le jus du coup j'ai ramener deux petit tonneau de la taverne d'en face.

Bon j'avoue son petit mais bon vu mes muscles j'allais po ramener un vrai tonneau.


Ouvrant sa boite a biscuit elle la tendit laissant au choix les au beurres classique ou aux noix diverses trouver en foret.

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En construction pour ajout blason de nobliau et tout.
Penthagruel
Alors que le père essayait de se concentrer sur les paroles de la nouvelle Aristotélicienne potentielle, la nouvelle diaconèse fit son entrée et, telle un ouragan, passait et repassait avec des biscuits, des tonnelets,...
Ce lieu d'habitude si inoccupé reprenait vie sous l'impulsion de la diaconèse.
Même s'il lui semblait qu'elle brassait beaucoup d'air pour rien, la frénésie d'activité de sa nouvelle aide lui faisait bien plaisir. Dans un effort de concentration, il tenta d'avoir tout de même la conversation avec fufu.


Oh, mais ce lieu n'est pas le mien ! C'est le lieu du seigneur, et tous et toutes y sont les bienvenus, qu'ils soient fervents Aristotéliciens ou simple passants et même hérétiques.
Je suis bien content que tu ai décidé de venir plus souvent, et je crois que tu as raison, tu pourrais trouver la sérénité que tu recherche auprès du tout haut. Si tu as des questions, n'hésite surtout pas. J'essayerai d'y répondre sans t'écraser sous les détails. J'ai parfois un peu de mal à m'arrêter de parler.


La course de bourriques ? Oui j'ai vu cela, j'irai avec plaisir encourager les équipes et participer à l'ambiance.


Neyco arriva sur ce avec une boite de jolis biscuits dorés, au noix et au beurre et en proposa.


J'en prendrai bien un petit, merci beaucoup.
mmmh, aux noix ? Ils sont délicieux !

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Spartan134
Cela faisait à présent plus d’un mois que Spartan avait quitté Castres dans le but de parcourir les environs. Un mois à visiter les villes environnantes, rendre visite à des amis de longues dates et débuter les fondations à Toulouse. Toutes ces choses avaient fait qu’il n’avait pas vu le temps passer, dans son esprit il n’était partit que depuis à peine deux semaines. Mais le fait d’apprendre que Fufu occupait désormais le siège de maire lui rappela qu’il avait prit ses bagages avant les dernières élections.

Il ne s’était pas encore prit le temps de faire le tour de la ville, voir si des choses avaient changé ou bien croiser quelques voyageurs. Le premier lieu dans lequel il se rendit fut l’église du village, c’était l’endroit où il se sentait le mieux, peut être en raison de quelques souvenirs heureux d’un temps à présent bien lointain.

Le voilà à présent devant la grande bâtisse, Spartan prit quelques minutes à observer la façade, ne sachant pas trop s’il devait entrer ou non. Après une courte réflexion, il se devait d’aller se recueillir après tant de temps passé loin des édifices religieux. L’ancien soldat poussa doucement les portes de l’église, il vit que plusieurs personnes étaient déjà présentes et forts occupées. Il s’agenouilla au niveau d’un des derniers bancs puis s’installa afin de prier le Très-Haut. En cette période plutôt difficile, une aide divine ne lui serait pas de trop pour relever la tête.

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L'encyclopédie des RR
Penthagruel
Pentha aperçut du coin de l'œil une personne entrer dans l'église et s'installer un peu à l'écart. Il tourna insticntivement la tête et s'arreta au beau milieu de sa phrase, ... et de son biscuit aux noix.
Spart ? Mais oui, c'est toi ! Quelle bonne surprise ! Tu est de retour parmi nous ?
Dit-il en s'approchant.
En arrivant à la hauteur de son ami, il vit son taciturne regard perdu dans le vague en une prière silencieuse.

Et ben, mon gars. Ça n'a pas l'air d'aller ...
Tu veux un petit gâteau, et un truc à boire ?
Un malheur est-il survenu ?

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