Zaradre
[Nuit du 3 au 4 Juillet 1468 à Vaudemont]
*Le rieur fou était sur la route depuis quelques jours, il venait dOrléans et était passé par quelques villes sans faire trop parler de lui. Il était resté discret pour une fois ! Mais là ! Il voulait faire un gros coup ! Que le chaos arrive sur cette petite ville de Vaudemont ! Non pas parce quil voulait leur faire payer pour quelque chose Juste parce que Il trouvait ça amusant. Pour lui, le rire était quelque chose dimportant et tout, absolument tout, le faisait rire.
Il commença tout dabord par préparer son méfait. Il avait rempli une dizaine de petits objets de fer, en forme de boule, de poudre noire sur lesquelles il a rajouté une sorte de petite mèche trempées dans cette même poudre, afin de créer des explosifs. Mais quallait-il faire exploser cette nuit ? Il ne savait pas, il allait sans aucun doute lancer ses petites « bombes » au hasard, dans les rues de la ville, semant la peur et le chaos dans cette petite bourgade.
Une fois ses préparatifs terminés, il regarda toutes ses bombes avec son regard brillant de folie. Les extrémités de ses lèvres commencèrent doucement à rejoindre ses deux oreilles dans un sourire diabolique affichant toutes ses dents. Il poussa un rire machiavélique avec sa voix aigrelette, un rire qui devait sentendre de lautre côté du village.
Soudain, il sortit de son antre, une besace accrochée à lui, contenant sans doute ses explosifs, dans sa main droite, il tenait une de ses dernières. Sa main gauche, quant à elle, tenait une sorte de tige incandescente sur lextrémité opposée à sa main. Il dansait en marchant, tranquillement, dans les rues de la ville. Ne faisant attention à rien dautres que les bâtiments quil prendrait plaisir à faire sauter.
Il narrêtait pas de rire, il riait encore, et encore et encore comme un dément. De loin, il vit la prison Il avait trouvé ! Voila quel allait être le lieu de son méfait ! Ni une ni deux, il se dirigea en se dandinant en direction de lédifice.
Après quelques minutes, il arriva devant les murs de cette prison, des barreaux, des murs mais rien nallait arrêter ce bouffon rieur. Il sapprocha dun mur qui avait lair un peu plus fragile que le reste, sans doute la salle des gardes. La, il posa un explosif contre ce mur et alluma la mèche. Il se recula un peu et la *
BOOOOOM ! Gnéhéhé Ahaha !
Attentiooooooonnnnnn jarriiiiiiiive !
*Il y avait maintenant un petit trou dans le mur, pas grand, mais suffisamment pour que le bouffon puisse rentrer. Il regarda à lintérieur et voyait que les gardes commençaient à sactiver. Sans perdre de temps, le joyeux rieur attrapa une seconde bombe dans sa besace et lalluma avant de leur envoyer. Il passa de nouveau son regard à lintérieur après lexplosion, cétait bon, un ou deux gardes morts, et trois autres bien sonnés. Il entra.
Il dégaina sa dague à rouelle et poignarda une dizaine de fois consécutive chaque garde, même ceux qui étaient déjà morts dans un éclat de rire maléfique. Son visage empli de pigment était maintenant ensanglanté, sa dague à rouelle gouttait du sang de ses victimes et ses vêtements Nen parlant même pas !
Un garde arriva en courant, sans doute celui qui était de permanence, il sapprêta à donner une estoque au bouffon mais ce dernier esquiva son attaque se faisant juste coupé légèrement par la lame du garde et profita de la surprise pour lui planter sa dague à rouelle dans lil Toujours en riant comme un dément.
Il se promena un moment dans la prison en se dandinant et en chantant et arriva enfin aux cellules. Il se promena dans le couloir en faisant glisser sa dague le long des barreaux dans un cliquetis ses rires raisonnants dans toute la prison. Et la il vit une femme, plutôt jeune dans une des cellule, il approcha en se dandinant et lui fit un large sourire avant de lui adresser la parole. *
Bonsoiiiiiiiiiiirrrrrrr vous !
Cest très chic chez vous ! Vraiment ! Jaime particulièrement le rat qui a élu domicile dans votre écuelle.
Cest qui votre décorateur ?
*Le bouffon poussa un nouveau un rire dément se mit accroupis devant elle en attendant ensuite avec son fameux sourire une réponse potentielle de la dame. *
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*Le rieur fou était sur la route depuis quelques jours, il venait dOrléans et était passé par quelques villes sans faire trop parler de lui. Il était resté discret pour une fois ! Mais là ! Il voulait faire un gros coup ! Que le chaos arrive sur cette petite ville de Vaudemont ! Non pas parce quil voulait leur faire payer pour quelque chose Juste parce que Il trouvait ça amusant. Pour lui, le rire était quelque chose dimportant et tout, absolument tout, le faisait rire.
Il commença tout dabord par préparer son méfait. Il avait rempli une dizaine de petits objets de fer, en forme de boule, de poudre noire sur lesquelles il a rajouté une sorte de petite mèche trempées dans cette même poudre, afin de créer des explosifs. Mais quallait-il faire exploser cette nuit ? Il ne savait pas, il allait sans aucun doute lancer ses petites « bombes » au hasard, dans les rues de la ville, semant la peur et le chaos dans cette petite bourgade.
Une fois ses préparatifs terminés, il regarda toutes ses bombes avec son regard brillant de folie. Les extrémités de ses lèvres commencèrent doucement à rejoindre ses deux oreilles dans un sourire diabolique affichant toutes ses dents. Il poussa un rire machiavélique avec sa voix aigrelette, un rire qui devait sentendre de lautre côté du village.
Soudain, il sortit de son antre, une besace accrochée à lui, contenant sans doute ses explosifs, dans sa main droite, il tenait une de ses dernières. Sa main gauche, quant à elle, tenait une sorte de tige incandescente sur lextrémité opposée à sa main. Il dansait en marchant, tranquillement, dans les rues de la ville. Ne faisant attention à rien dautres que les bâtiments quil prendrait plaisir à faire sauter.
Il narrêtait pas de rire, il riait encore, et encore et encore comme un dément. De loin, il vit la prison Il avait trouvé ! Voila quel allait être le lieu de son méfait ! Ni une ni deux, il se dirigea en se dandinant en direction de lédifice.
Après quelques minutes, il arriva devant les murs de cette prison, des barreaux, des murs mais rien nallait arrêter ce bouffon rieur. Il sapprocha dun mur qui avait lair un peu plus fragile que le reste, sans doute la salle des gardes. La, il posa un explosif contre ce mur et alluma la mèche. Il se recula un peu et la *
BOOOOOM ! Gnéhéhé Ahaha !
Attentiooooooonnnnnn jarriiiiiiiive !
*Il y avait maintenant un petit trou dans le mur, pas grand, mais suffisamment pour que le bouffon puisse rentrer. Il regarda à lintérieur et voyait que les gardes commençaient à sactiver. Sans perdre de temps, le joyeux rieur attrapa une seconde bombe dans sa besace et lalluma avant de leur envoyer. Il passa de nouveau son regard à lintérieur après lexplosion, cétait bon, un ou deux gardes morts, et trois autres bien sonnés. Il entra.
Il dégaina sa dague à rouelle et poignarda une dizaine de fois consécutive chaque garde, même ceux qui étaient déjà morts dans un éclat de rire maléfique. Son visage empli de pigment était maintenant ensanglanté, sa dague à rouelle gouttait du sang de ses victimes et ses vêtements Nen parlant même pas !
Un garde arriva en courant, sans doute celui qui était de permanence, il sapprêta à donner une estoque au bouffon mais ce dernier esquiva son attaque se faisant juste coupé légèrement par la lame du garde et profita de la surprise pour lui planter sa dague à rouelle dans lil Toujours en riant comme un dément.
Il se promena un moment dans la prison en se dandinant et en chantant et arriva enfin aux cellules. Il se promena dans le couloir en faisant glisser sa dague le long des barreaux dans un cliquetis ses rires raisonnants dans toute la prison. Et la il vit une femme, plutôt jeune dans une des cellule, il approcha en se dandinant et lui fit un large sourire avant de lui adresser la parole. *
Bonsoiiiiiiiiiiirrrrrrr vous !
Cest très chic chez vous ! Vraiment ! Jaime particulièrement le rat qui a élu domicile dans votre écuelle.
Cest qui votre décorateur ?
*Le bouffon poussa un nouveau un rire dément se mit accroupis devant elle en attendant ensuite avec son fameux sourire une réponse potentielle de la dame. *
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