Theodemar
[RP presque libre, ceux qui voudraient intervenir le peuvent, jouons, écrivons, amusons nous un peu... l'idée générale est quand même de centrer l'histoire sur Théo, Fanette et leurs amis de campagne comme Samsha, tous ceux là]
[Saumur - le Départ].
Les temps sont devenus difficiles. De mauvaises relations entre voisins, entre frères, entre eux et nous. Plus eux et eux que nous notons le bien. Quoi que, ce serait là l'occasion d'aller en découdre, se venger de l'Anjou qui lui avait fait passer une nuit dans les geoles pas très confortables de la prison ducale. N'avait il pas, auparavant essayé de prendre le pouvoir dans une ville pourtant de réputation aisée à soumettre ? On les avait vendus et forcément, attendus. De là à se faire écrouer, il n'en fallait pas plus...
Lui, parti loin dans le grand sud, en route vers le Languedoc, ces terres chaudes, baignées de soleil et dont l'accent chantant lui titilleraient l'oreille pour une longue et paisible retraite. Retraite du moins en apparence car si en matière d'armes ce serait le repos, dans les affaires il serait question d'ouvrir une maison de passe pour s'assurer une correcte subsistance, maison de passe dans les bas fonds de laquelle on préparerait quelques coups, comme au bon vieux temps...
Et puis, après les projets, et bien avant ceux là il y a les femmes, au nombre de trois : une rousse difficile à dompter, que dis je ? Impossible à faire reculer. C'était si vrai qu'ils ne tardèrent pas à voir une fois de plus leurs chemins se séparer jusqu'à ce que de nouveau, la vie les fasse se raccrocher ou pas. Et deux autres, sa protégée à qui il s'est attaché et la sienne, compagne rencontrée sur les routes et pour laquelle il ne connaissait pas le "non", elle discrète, attentive et très subtile, une eau tranquille dans le sein de laquelle il peut trouver la paix.
Un beau jour, sur la route du sud, une missive et puis une rencontre, l'ancien maire de Tolosa de qui l'homme est un camarade, il n'en faut pas plus pour raviver des rancunes pourtant sagement mises de côté contre l'Anjou. Pour la France, pour le roy, où plutôt la reyne car cette fois ci, il n'est qu'un sceptre qui fasse marcher aussi droit le royaume et non deux, comme de juste coutume.
L'ennemi donc, on le connaît et ça ferait grand bien de pouvoir y aller, commettre quelque délits mineurs ou majeurs sous le couvert de la guerre. La destination est connue, le temps de route aussi, reste à faire quelques provisions, prier le bon dieu que rien ne survienne qui soit de mauvaise augure sur la route et s'éloigner, plutôt se rapprocher d'une échéance qui lui serait soit fatale, soit banale mais somme toute glorieuse, comme chaque conflit auquel il aura pris part dans sa vie.
Parvenu à Saumur, Fanette enfin retrouvée le rassure quant à son état de santé. Elle qu'un lourdeau à eu l'ignoble idée d'inculquer eux jeux de l'amour peut désormais dormir sur ses deux oreilles, Théodémar, le vaillant se fera son plus pieux chevalier... pour toujours. Si si.
Et voici donc les soirées qui s'arrosent, les tables qui ne désemplissent plus de succulentes victuailles, on en oublierait presque la mobilisation générale du royaume contre le frère angevin auquel il devient temps d'aller expliquer l'art de faire des courbettes et de laisser en paix son voisin poitevin. L'armée sera bientôt formée, on parle même d'une couleur spécifique, histoire qu'on ait peur d'eux, le rose ! Du corsage aux fagnons en passant par l"étendard et le pommeau de chaque lame, les ordres sont stricts, il faut voir la vie en rose.
De rose pour le moment, il en est dans les soirées que Théo passe, auprès de ses amis de longue date enfin retrouvés et de cette enfant si grande, déjà femme et tellement fragile qu'est Fanette...
[Saumur - le Départ].
Les temps sont devenus difficiles. De mauvaises relations entre voisins, entre frères, entre eux et nous. Plus eux et eux que nous notons le bien. Quoi que, ce serait là l'occasion d'aller en découdre, se venger de l'Anjou qui lui avait fait passer une nuit dans les geoles pas très confortables de la prison ducale. N'avait il pas, auparavant essayé de prendre le pouvoir dans une ville pourtant de réputation aisée à soumettre ? On les avait vendus et forcément, attendus. De là à se faire écrouer, il n'en fallait pas plus...
Lui, parti loin dans le grand sud, en route vers le Languedoc, ces terres chaudes, baignées de soleil et dont l'accent chantant lui titilleraient l'oreille pour une longue et paisible retraite. Retraite du moins en apparence car si en matière d'armes ce serait le repos, dans les affaires il serait question d'ouvrir une maison de passe pour s'assurer une correcte subsistance, maison de passe dans les bas fonds de laquelle on préparerait quelques coups, comme au bon vieux temps...
Et puis, après les projets, et bien avant ceux là il y a les femmes, au nombre de trois : une rousse difficile à dompter, que dis je ? Impossible à faire reculer. C'était si vrai qu'ils ne tardèrent pas à voir une fois de plus leurs chemins se séparer jusqu'à ce que de nouveau, la vie les fasse se raccrocher ou pas. Et deux autres, sa protégée à qui il s'est attaché et la sienne, compagne rencontrée sur les routes et pour laquelle il ne connaissait pas le "non", elle discrète, attentive et très subtile, une eau tranquille dans le sein de laquelle il peut trouver la paix.
Un beau jour, sur la route du sud, une missive et puis une rencontre, l'ancien maire de Tolosa de qui l'homme est un camarade, il n'en faut pas plus pour raviver des rancunes pourtant sagement mises de côté contre l'Anjou. Pour la France, pour le roy, où plutôt la reyne car cette fois ci, il n'est qu'un sceptre qui fasse marcher aussi droit le royaume et non deux, comme de juste coutume.
L'ennemi donc, on le connaît et ça ferait grand bien de pouvoir y aller, commettre quelque délits mineurs ou majeurs sous le couvert de la guerre. La destination est connue, le temps de route aussi, reste à faire quelques provisions, prier le bon dieu que rien ne survienne qui soit de mauvaise augure sur la route et s'éloigner, plutôt se rapprocher d'une échéance qui lui serait soit fatale, soit banale mais somme toute glorieuse, comme chaque conflit auquel il aura pris part dans sa vie.
Parvenu à Saumur, Fanette enfin retrouvée le rassure quant à son état de santé. Elle qu'un lourdeau à eu l'ignoble idée d'inculquer eux jeux de l'amour peut désormais dormir sur ses deux oreilles, Théodémar, le vaillant se fera son plus pieux chevalier... pour toujours. Si si.
Et voici donc les soirées qui s'arrosent, les tables qui ne désemplissent plus de succulentes victuailles, on en oublierait presque la mobilisation générale du royaume contre le frère angevin auquel il devient temps d'aller expliquer l'art de faire des courbettes et de laisser en paix son voisin poitevin. L'armée sera bientôt formée, on parle même d'une couleur spécifique, histoire qu'on ait peur d'eux, le rose ! Du corsage aux fagnons en passant par l"étendard et le pommeau de chaque lame, les ordres sont stricts, il faut voir la vie en rose.
De rose pour le moment, il en est dans les soirées que Théo passe, auprès de ses amis de longue date enfin retrouvés et de cette enfant si grande, déjà femme et tellement fragile qu'est Fanette...