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[Rp] N'entre pas chez bibi comme ça, qui veut ...

Surya.
Quand on aime, y a des priorités.

-Me dis pas qu'tu vas vouloir entrer?

-Rhooo mais non, est-ce que je rentre là? Ch'suis juste dans l'jardin!

- Mouai... t'aurais pas envie toutefois d'jeter un œil par la fenêtre?

-M'enfin!!

-Avoue!

- Euhhhhh.....


Cherche le coin où planquer le petit paquet...
Ma foi, le seuil fera l'affaire, à côté du pot de terre...


- Ben oui, c'est pas la chasse aux œufs hein!

Juste un petit bout de parchemin sur lequel il est écrit:


Citation:

Pour que tu penses à Moi.

_________________
Leondagan
le léon était entré , ne sachant ps trop sur quel pied danser il avança à petit pas , zieutant de droite à gauche , il avance ...

Désolée, je me dois de terminer la rédaction de cette missive, et ensuite je serais toute à vous !

Oui oui faite donc y'a pô le feu au lac !

toute à moi toute à bmoi si c’était le cas faudrait tirer les rideaux ... mais reprend toi mon léon ^^

tout en avançant ...lui rend un doux baiser

Dites voir ?! c'est joli le torchis sur les murs mais parait que c'est pas facile à trouver de bons ouvriers ^^

bah quoi faut bien faire la conversation tsssss

Comme vous pouvez le voir, tout n'est pas encore terminé. Cela prendra encore quelques semaines. Venez, on va s'installer sur la banquette près du feu, nous y serons bien.
hop le léon la suit avec la bouteille à la main , et oui tellement envoûté par son intrépide qu'il avait oublié de l'offrir
Euh mon jolie coeur j'avais oublié de te ...euh vous donner ce présent de ma cave personnel
lui tend la bouteille
C'est du nectar des dieux enfin de l'hydromel quoi
lui sourit
_________________
Hope
Dites voir ?! c'est joli le torchis sur les murs mais parait que c'est pas facile à trouver de bons ouvriers ^^

Et de rire aux éclats.

Ne m'en parlez pas mon cher, j'ai dû mener une véritable investigation pour enfin trouver des personnes compétentes. Heureusement, j'ai maintenant la bonne adresse.

L'intrépide capte son regard, et le soutient, un délicieux trouble commençant à se diffuser en douceur dans chaque particule de son être.

Euh mon jolie coeur j'avais oublié de te ...euh vous donner ce présent de ma cave personnel

Ne relève pas le tutoiement, mais son mental lui n'en fait qu'à sa tête ^^:

- Pourquoi tu tiens tant au vouvoiement ?

- En quoi ça te regarde...

- Avoue, que tu as peur hein ? Le "vous" te rassure... c'est une barrière, une protection ! Ah... ah... ah...

- Tais-toi ! Tu ne me connais même pas !

- Moi, je ne connais pas ? Arrêtes tu me fais rire, je te connais mieux que toi-même. Tu as peur, tu as peur, tu as peur ...


- Oooohhh la ferme !

Elle lui adresse un doux sourire :

De l'hydromel, nectar des dieux ? Je suppose que cela vient du Breizh ? J'avoue ne pas connaître, enfin uniquement de nom. Merci de l'avoir apporté. Et bien goûtons cela !

Tout à coup, il lui semble percevoir un bruit provenant de l'extérieur, elle blêmit. Nom d'une pipe ! Elle avait oublié de mettre son écriteau ! Elle savait que c'était ridicule cette histoire de pancarte, mais s'il y a bien un moment où elle ne veut en aucun cas être dérangée, c'est bien celui-là ! Bon, ce doit être un chat, mais par mesure de précaution...

Euh ... Léon, regardez dans l'armoire là, vous y trouverez deux coupes, servez-nous, je vous prie, j'arrive de suite...

La brunette ouvre la porte d'entrée, pour y placer son encart en bois, lorsque son regard est attiré par un tout petit colis au côté du pot en terre. Décidemment, cela devenait une habitude ces derniers temps, de recevoir moult cadeaux.

Elle passe rapidement en cuisine pour vérifier de nouveau la cuisson, boit quelques gorgées d'eau, pour faire passer le goût du Bordeaux ingurgité auparavant, et d'un pas de danseuse, rejoint son Coup de Cœur sur la banquette. Elle déballe le paquet, en murmurant un Ooohhh attendri, pose l'objet si joli sur le guéridon à côté d'elle et dit dans un souffle :


Comme si, je pouvais l'oublier cette petite folle...

Peryl se mord la lèvre nerveusement, là n'est plus la question, elle se doit de se consacrer à lui et uniquement à lui. Après tout c'est bien pour cela qu'elle l'avait invité chez elle non ?

Elle se tourne vers Léon, le dévisage un instant, entrelace ses doigts au siens, et lui assure en riant :

Voilà ! Promis ! J'arrête de m'agiter !

Et de son autre main, attrape la coupe du divin nectar :

A quoi trinquons-nous ?





Correction, trop de "petit" dans ce texte ! Grrrrrrr ....

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Leondagan
Ouip c'est un liquoreux à base de miel gouttez y z'allez voir puis çà vient de breizh donc c'est bon car comme on dis chez nous dans le breton tout est bon ^^

Euh ... Léon, regardez dans l'armoire là, vous y trouverez deux coupes, servez-nous, je vous prie, j'arrive de suite...

Bah mardeuh alors , faut j'ouvre la porte , faut que je fasse le service maintenant et puis quoi encore ?!!le léon se lève et s'exécute ...

Dites voir ?! je sort trois coupes ou deux ?f'in je dis çà au cas ou votre frangine débarquerais à l'improviste on a tellement l'habitude avec celle ci

rit

c'est quelle commençait à lui filer le tournis la perylette à gesticuler dans tous les sens !
Voilà ! Promis ! J'arrête de m'agiter ! A quoi trinquons-nous ?
Euhhh !

se souvient de la patate chaude et la regarde avec une extrême tendresse et lui prend la main

euh , à notre rencontre et à l'avenir ? cela vous convient il?

les deux verres s’entrechoquent
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Hope
Avant de trinquer, elle repense à deux ou trois petites phrases qu'il avait lancé :

Les bretons s'apparentent à la famille des porcins ? J'ai en tête une expression du même genre mais avec des cochons...

Peryl secoue la tête comme pour en chasser cette horrible idée, qui la fait bien sourire quand même.

Quant à ma sœur chérie, avouez que cela ne vous dérangerait pas plus que cela... deux femmes pour vous tout seul.

Elle apprécie la chaleur de sa main, qui emprisonne sa si petite mimine, et le regarde avec douceur lorsqu'il trinque.

Notre rencontre ? Je suis d'accord. L'avenir ? Et si on commençait par le présent déjà ?

C'est qu'elle ne croit pas si bien dire. Elle trempe ses lèvres dans l'hydromel, avale une gorgée, et esquisse une grimace de dégoût.

Mais qu'est que c'est ce truc ? Mais c'est pas bon du tout !

Elle joue avec sa salive, déglutit pour faire passer le goût, et repose sa coupe d'un air écœuré.

Vous voulez m'empoisonner c'est ça ?

Assise sur la banquette, la torsion de son corps pour lui parler, la gênant plus qu'autre chose, elle recroqueville ses jambes sous elle, s'accoude au dossier, et pose sa tête dans sa main.

Tout est bon dans le breton ?

Eclats de rire.

J'avoue que là... ce n'est pas très concluant. Et du coup, je crains pour la suite.

L'intrépide ne le quittait pas des yeux, l'air espiègle, un sourire amusé sur les lèvres. Se taquiner l'un, l'autre, c'était leur divertissement. Une certaine nostalgie l'envahit tout à coup.

Notre rencontre... la toute première au jeu de la phrase mystère je me souviens d'un homme tout à fait charmant, qui plutôt que de faire plus amples connaissances avec moi, a préféré me tourner le dos et me laisser avec mes deux coupes en main. Et... une autre fois encore, mieux celle-ci, à l'inauguration du port, car cet homme, m'a tout simplement ignoré, alors que j'étais à ses côtés.

Elle se mit de nouveau à rire.

Il faut croire que nous les femmes, plus on nous maltraite, et plus ça nous attire. Mmmhhh je devrai parler pour moi plutôt...

La brunette reprend sa coupe d'hydromel, et boit une gorgée, et tout sourire lorsqu'il la regarde :

Allez Léon, parlez-moi de vous, je veux tout savoir ! N'ayez pas cet air surpris, c'est très bon votre hydromel, un petit peu trop sucré, mais je vous faisais marcher c'est tout...

Et de continuer cette fois-ci plus moqueuse :

Ouiiiii, je sais je joue très bien la comédie.

Et hop ! Une plus grande lampée dans le gosier !
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Leondagan
il était bien là le léon assis avec celle qu'il aime plus que tout et qu'il ferait n'importe quoi pour elle enfin presque tout hein pas fou non plus , breton oui fou non !

J'ai en tête une expression du même genre mais avec des cochons...

C'est marrant ma chère , c'est que j'avais la même chose que vous en tète mais j'ai pas osé ne voulant point esquinter vos si jolies oreilles chastes !

éclate de rire

deux femmes pour vous tout seul.

gloups elles ne croyait pas si bien dire et comme le léon ne cache rien à sa perylette
Vous croyez pas si bien dire f'in je pense que cela vous dérangerais plus que moi , j'en ai fait l'expérience une fois à Orléans avec deux jumelles f'in cétait la guerre toussa toussa voyez vous le sacrifice hein !

sourit jusqu'aux oreilles

Puis la regarde jouer la comédie quelle joue fort bien cela dit et comme une provocation

Notre rencontre..
le léon eclate de rire

Cela ma kalon !c'était de la pure provocation juste pour savoir si je ne vous laissais pas indifférent et visiblement cela à marché et croyez moi pour certaine chose j'ai de la patience !si vous vous posez la question la fin justifie telle les moyens je répondrais sans aucunes hésitations Oui !!

le léon bien installé dans le coin de la banquette l'invita à se rapprocher

Approchez vous ma chère que je vous mange de doux baisers avant de répondre à vos questions sur moi puisque vous dites que vous voulez tout savoir !
je vous préviens que je n'aime pas trop parler de moi et que cela peut prendre du temps !

ressert deux godets de rigoureux comme dirais la frangine
_________________
Hope
Approchez vous ma chère que je vous mange de doux baisers avant de répondre à vos questions sur moi puisque vous dites que vous voulez tout savoir !

Aussitôt dit aussitôt fait, c'est ce qu'il y a de bien avec Peryl, c'est qu'elle est pas contrariante du tout, surtout lorsque ca l'arrange. Elle se met à quatre pattes et avance vers lui. Pas très noble comme posture, mais elle n'en a que faire, elle est chez elle, sur sa banquette aux côtés de cet homme, qui fait battre son coeur, plus vite qu'il ne le devrait.

Je vous préviens que je n'aime pas trop parler de moi et que cela peut prendre du temps !

Tout en s'approchant, elle se dit en elle même qu' à cet instant ce n'est pas de parler dont elle a envie. Peryl avance son visage et écrase sa bouche sur la sienne en ayant en tête un petit air musical "mangez-moi, mangez-moi, mangez moaaaaa... ^^" Les pensées fourmillent sous le crâne de l'intrépide. Elle se recule légèrement, prend le godet et boit une gorgée de liquoreux. Elle lui sourit avec malice :

Pour revenir à vos propos de plus tôt, oui effectivement cela me dérangerais plus que vous, parce que ce serait avec ma soeur d'amour, et cela m'est totalement inconcevable. Pour le reste...

Elle préfère ne pas trop épiloguer sur le sujet, et le regarde fixement :

Je ne vais pas tourner autour du pot... il est évident que lors de cette première rencontre, attirance réciproque il y a eu. Donc, non vous ne m'avez aucunement laissé indifférente.

Et d'ajouter avec un brin de malice :

Les échanges de missives ont fait le reste... je suppose. Surtout la première, je m'en souviens très bien, c'était suite au courrier que j'avais envoyé au villageois pour les élections. Réponse inattendue, surprenante et ... flatteuse.

Elle éclate de rire et ajoute bonne joueuse :

Je suis ce pauvre papillon, prit au piège dans la toile d'une araignée, bien maligne. J'en conclue donc, qu'il s'agissait de l'un des moyens mis en place pour arriver à vos fins. Je suis curieuse... j'aimerais bien connaître les autres...

Elle vide sa coupe de rugueux, et sent les effets de l'alcool se diffuser en elle, par cette douce et réconfortante chaleur si caractéristique. Comme, elle se sent bien là aux côtés de celui qu'elle aime plus que de raison. L'esprit nébuleux, elle enchaine spontanément sur ce qu'il avait dit précédemment :

Si vous ne souhaitez pas parler de vous, je n'insisterai pas... après tout nous avons tout notre temps n'est-ce pas ?

Elle croise son regard et prend soudain conscience de l'ampleur de son amour pour cet homme hors norme, en total décalage avec elle et sa position de jeune demoiselle anoblie. Pourtant... cette étrange et improbable attirance devait bien avoir une explication. Depuis combien de temps ne s'était-elle sentie aussi bien, aussi protégée, aussi choyée et aimée ? Et elle ? L'intrépide devait reconnaître, qu'au plus profond de son cœur, jamais, elle n'avait ressentit une telle ardeur, un sentiment si puissant. Cela allait au-delà de l'affinité, pour Peryl il s'agissait d'attraction, impossible d'y échapper, et d'ailleurs, elle ne le voulait en aucun cas.
Elle comprit alors, que la barrière n'était point le manque de tutoiement, bien au contraire, mais son aveuglement quant à la force de ses sentiments pour cet irrésistible pêcheur breton, au charme si indéniable pour l'emmerdeuse en devenir. La barricade vient de tomber...

Son esprit l'avait trompé, l'avait embarqué sur une fausse route. Ce vouvoiement auquel elle tient, uniquement avec lui d'ailleurs, rend à ses yeux, cette relation plus délicieuse, plus envoutante et sensuelle encore. Il ne s'agit nullement de respect, puisque celui-ci existe entre eux et cela depuis le premier jour. Cependant, la langue de Léon fourchait parfois, montrant chez lui peut-être une envie de franchir ce cap.

Elle ne le quitte pas du regard et toujours à genoux à côté de son Coup de Cœur, un désir fou la consumant entièrement, elle prend alors son visage dans ses mains, plongeant ses yeux jade brillant comme des étoiles dans les siens et lui murmure tout bas :

Léon, Da garout a ran... embrasse-moi !
_________________

Leondagan
Le temps nous l'avons ma kalon !
lui sourit
Magique ! ce moment ... plus rien autour n'existait , plus un bruit juste deux êtres qui respire l'un pour l'autre ou l'un avec l'autre c'est selon hein ^^
le coeur du léon battait la chamade ... elle avait craquée cela ne lui déplaisait pas au contraire c'est qu'il l'aime sa garde champêtre lui il y a belle lurette qu'il à craqué pour cette intrépide enquiquineuse en devenir il y'aurait tant de chose à dire mais ...
la voila à genoux lui prenant le visage entre les mains ... le léon ferma les yeux quelques instants comme pour immortaliser ce moment d'extrême tendresse puis la regarda comme jamais il en avait regardée une puis se dit que c'est elle , elle qui sera sa raison de vivre ....


Léon, Da garout a ran... embrasse-moi !

hoooooooo la garde est baissée , un grand mot dans la langue maternel du léon ,elle l'autorise à la tutoyer , il avait comme une envie de danse de la victoire mais il la respecte de trop pour s'exécuter et l'émotion étant trop grande , une larme de joie s'écoula de la joue du breton , il en à pas l'air comme çà mais avec certaines personnes il est comme çà ,un vrai marshmallow sinon bé c'est une tète de bois pour les autres gniark !
il l'embrasse longuement et langoureusement , puis ses bras l’enlaçant , ses mains parcourant le corps de la jeune femme , la regarde ....
Da garout a ran ma karedig ,Ben punaise tu en à mis du temps !
rit
_________________
Hope
Da garout a ran ma karedig ,Ben punaise tu en à mis du temps !

Elle l'accompagne dans son rire. Il est vrai, qu'elle en a mis du temps... Un temps peut-être nécessaire à la compréhension de ses sentiments si forts qu'elle ressentait pour lui. Front contre front, leur regard accroché l'un à l'autre, l'intense émotion qui les unit à cet instant, les fait haleter. Elle aperçoit soudain, cette toute petite larme glisser le long de la joue de Léon, et son cœur manque un battement. Surprise, touchée, elle mordille sa lèvre et dépose un baiser sur sa joue capturant la minuscule goutte au goût salé et embrasse avec passion cet homme dont elle est tombée éperdument amoureuse. Plus aucun doute possible pour l'intrépide, elle est totalement à lui, fichue, et comme c'est délicieux...

Peryl place sa main derrière la nuque de son Coup de Cœur, elle s'allonge sur la banquette tout en l'invitant à la suivre, leurs lèvres toujours scellées, ses baisers de plus en plus avides et fiévreux. Ses mains se font baladeuses, sous la chemise, vagabondent, cherchent, caressent, savourent la douceur et la chaleur de sa peau. Elle a faim, faim de lui, de tout ce qu'il est, et se sent prête plus que jamais.

Soudain, elle ouvre les yeux en grand, quelque chose ne va pas... Elle le repousse doucement, s'extirpe de la banquette et court pieds nus jusqu'à l'âtre, une légère odeur de cramé s'échappant de la marmite. Encore, sous le coup de la passion, elle retire le ragout du feu, sauf que c'est la main d'une Peryl pas franchement attentive, qui reste collée sur le récipient brûlant, . Pssht...

Aah!

Grimace et serre les dents à les faire péter une à une, elle s'exclame :

C'est pas vrai ! L'idioooooooteeeee !

Elle se précipite vers la bassine d'eau froide placée dans un coin de la cuisine, y plonge sa mimine et soupire de soulagement, en fermant les yeux, le visage tordu de douleur. Elle s'adresse alors à Léon en essayant de garder le sourire :

La soupe est prèèèèète !

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Leondagan
C'est pas vrai ! L'idioooooooteeeee !
La soupe est prèèèèète !

le léon sursaute , bordel qu'est ce quelle fiche encore ? arrive en courant , la regarde , elle grimace , limite , la larme à l’œil , il lui prend la main et souffle dessus ...

Bah alors ? je savais que je devais vous manger mais bon pas dans le sens littérale hein !
lui dit en souriant pour apaiser ce petit tracas

Met du beurre dessus et bande avec un linge c'est comme çà qu'on fait en BzH on met du beurre partout et çà marche bien !

ouai les bretons mettent du beurre partout c'est bien connu çà ^^
Euh sinon mon amour je pense que ton ragoût est comment dire ... euh ... cramé ! c'est çà le mot que je cherchais
sourit
_________________
Hope
Action au ralenti, il arrive auprès d'elle tel un sauveur... auréolé d'une divine lumière, presque éthéré, sauf que de sauveur... Bref, la chute. A moins que son souffle ait quelques vertus magiques, mais de cela elle doute, la Peryl.

Elle le regarde, en esquissant une petite moue d'incrédulité, prenant des airs de grande dame :

Du beurre ? Mon cher, mais je n'ai pas de beurre, même d'un paysan breton ^^? Tssss, bas de gamme ça, rien ne vaut le saindoux !!

Euh sinon mon amour je pense que ton ragoût est comment dire ... euh ... cramé ! c'est çà le mot que je cherchais

Je, tu, vous, mon amour?!?, - son cœur s'arrête, elle déglutit - elle ne sait plus la Peryl, l'esprit nébuleux, et surtout irritée de cette malheureuse interruption dans un moment qui aurait pu s'avérer extraordinaire. Cependant, elle s'interroge, la plupart des hommes auraient probablement sauter sur l'occasion, si ce n'est pas sur elle directement. Elle décide de mettre cela sur le compte du respect, même si elle trouve cela détestable, décevant voire presque insultant.

Il ne s'agit pas de vouloir brûler les étapes, mais plutôt, d'aller droit à l'essentiel. Un soupir s'échappe de ses lèvres et tout en constatant les dégâts - le ragout est belle est bien fichu - elle se tourne vers lui et murmure honteuse :

Il me reste un peu de pain et de la soupe, c'est peu, je sais, pour un premier repas mais... Je vous avais prévenu. Je reviens...

S'éclipse et quelques minutes plus tard, la voilà qui arrive la main enduite d'un onguent et bandée, le visage encore crispé de cette douleur qui s'estompe peu à peu.

Elle découpe quelques tranches de pain, sert le potage et l'invite à s'installer à table, avec un sourire :

Au moins vos... euh... tes légumes ont été épargnés !

Elle prend place et faisant trempette, elle essaie d'avaler une bouchée, mais décidemment, rien ne va plus. Ou plutôt tout va bien, non décidemment elle ne sait plus. Premiers balbutiements d'un amour naissant, premiers émois, battements de coeur, regards accrochés l'un à l'autre. Le meilleur de l'amour lorsqu'il est seulement palpable, ressentit comme absolu. Il se distille, s'immisce en soi, délicieuse alchimie qui esquisse les contours d'un bonheur possible. Troublée, elle se contente de l'observer, tout en tentant d'avaler un morceau de pain ou deux.

Une pensée furtive la traverse, le rappel d'un souvenir pas si lointain, un sourire espiègle, elle décide de lui avouer, ironique :

Vvvv... tu sais ? Une idée m'a traversé l'esprit lorsque j'ai préparé cette soupe. Histoire de te... donner une petite leçon de me traiter comme ta germaine, j'ai eu une très forte envie d'ajouter à ta portion quelques plantes aux vertus... laxatives.

Et de rire aux éclats.

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Leondagan
Vvvv... tu sais ? Une idée m'a traversé l'esprit lorsque j'ai préparé cette soupe. Histoire de te... donner une petite leçon de me traiter comme ta germaine, j'ai eu une très forte envie d'ajouter à ta portion quelques plantes aux vertus... laxatives.

Ah ouai ? qu'une seule ? t'est sure de toi ? *sourit taquin*

le léon sait très bien que sa perylette à quarante mille et une idée à la seconde , c'est que çà fume dans la caboche de la garde champêtre

Moiiiiii ? te traiter comme ma germaine ?? * en mode tragédie grec *

que nénie ma belle enfant ce n'est point de mon amusement !*ment comme un arracheur de chico*

Puis un laxatif dans la pitance entre nous c'est toi qui aurait été dans la merdeeeee ^^
*eclate de rire*
le léon tenta bon grès malgré de manger cette ragougnasse mais faut avouer que manger cramer c'est manger fumier

Dit ma ael cela te dirais d'aller manger en taverne plutôt ? parce que bon faut pas se mentir hein .... c'est pô mangeable ton truc
lui sourit toutes quenottes sorties ... faut faire passer çà en douceur mon léon en douceur ...
_________________
Hope
Peryl pose tranquillement la cuiller sur la table, l'écoute et le regarde faire son cinéma. Savoureux ! Bon, ma grande pour le romantisme, tu repasseras... Le charme est rompu. Pas terrible comme premier rendez-vous, peut mieux faire ^^.

Puis un laxatif dans la pitance entre nous c'est toi qui aurait été dans la merdeeeee.

Un sourire s'échappe de ses lèvres bien malgré elle. Il faut qu'il est réponse à tout, hein ! Elle l'observe, et son sourire s'agrandit à la vue de sa grimace de dégoût lorsqu'il ingurgite un peu de soupe. Au moins, il aura essayé...

Oh non, je n'aurai pas été dans la merde, comme tu dis si bien, je t'aurai viré de chez moi, avant même que tu ai eu le temps de comprendre ce qu'il t'arrivait. Cependant, ce n'est pas mon genre d'user de tels stratagèmes...

Dit ma ael cela te dirais d'aller manger en taverne plutôt ? parce que bon faut pas se mentir hein .... c'est pô mangeable ton truc.

Ma ael... tiens donc, nouveau ça... Taverne ? Encore plus improbable... Il faut vraiment que le ragoût soit inmangeable, pour que lui, Leondagan, propose d'aller en taverne ! Y'a pas à dire... il sait la surprendre. Peryl lâche un long soupire, se demandant à quelle sauce elle allait être mangé, probablement pas de la manière qu'elle le souhaiterait. C'est qu'avec lui, elle s'attend à tout !

Elle se lève, débarrasse la table tout en terminant son verre de vin et s'interroge : elle le met dehors et va se coucher, ou, elle le met dehors et va finir sa soirée dans une auberge, pour y s'amuser, rire et boire plus que de raisons...

Arrêt sur ce passage...

Là, tu oublies ces idées grotesques ! Peryl, avoue que s'il n'est pas là, tu vas te morfondre, alors soit dans ton lit, soit ailleurs, et la nuit risque d'être d'un ennnnnuiiiiii....

Autre soupire... Décidemment, quand on a quelqu'un dans la peau... Elle se tourne vers lui :

En charreeeeetteeeee Léon !

On y va ! De toutes façons, je suppose que je n'ai pas le choix...

Son ventre se met à gargouiller, comme une confirmation. Elle prend une cape en fourrure qu'elle pose nonchalamment sur ses épaules. Tout en s'approchant de lui, elle glisse le bras de sa main bandée sous le sien, se retient de lui donner un baiser, juste parce qu'elle est une tête de mule et l'invite à la suivre à l'extérieur tout en refermant la porte de sa maison.
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Hope
[Quelques temps plus tard]

Les préparatifs

Réveil en douceur, pour la noiraude, malgré une nuit agitée, peuplée de rêves tous plus étranges les uns que les autres qui définissent clairement ce qu'il se passe dans sa tête. Tiraillée entre son besoin de s'évader, de voir autre chose et son désir de rester en ville, Peryl se lève, et entame les préparatifs du voyage.

Elle emporte avec elle que le strict nécessaire et au fur et à mesure que la matinée avance, elle sent une certaine excitation monter progressivement. Son instabilité légendaire, reprenant le dessus, elle chantonne, tout en choisissant tenues, accessoires, pliant et rangeant soigneusement le tout dans sa petite malle. Mule et charrette, sont prévus pour le déplacement, sans être trop chargés pour ne pas fatiguer inutilement l'animal, et perdre le moins possible en cas de mauvaises rencontres.

Il ne manque plus que les effets de son amour de Léon, et Raina, pétillante jeune femme tout récemment rencontrée. Emmitouflée, et attendant l'heure du départ, elle décide de sortir un peu prendre l'air dans son petit jardin défraichi, en repos hivernal, se pose sur le banc et pose son regard sur la porte rose de la mairie. Machinalement, il glisse vers la gauche et dévoile la maison de Surya, sa sœur d'âme, devenue aussi transparente qu'un spectre, aussi froide que de la glace. Assise là, Peryl replonge dans les méandres de ses pensées, se repassant le film des dernières semaines écoulées.
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Hope
[L'heure du départ]

Sa petite méditation, assise là sur son banc, dura plus longtemps qu'elle ne l'aurait crût, et c'est la sonnerie de la cloche de l'Eglise annonçant le couvre-feu qui la sort de sa torpeur.

La nuit commence à tomber et elle aperçoit, laboureurs, mineurs, et autres travailleurs, rentrer rapidement à la maison pour y retrouver femme, enfant et la réconfortante douceur du foyer. Peryl se lève et se dirige vers la charrette. Nom d'une pipe ! Elle n'avait vraiment pas vu le temps passé. Elle vérifie rapidement qu'il ne manque rien et fronce les sourcils. Evidemment que tout n'y est pas ! Mais peut-elle se permettre de prendre le risque ?

Encore une fois, hésitante quant à la décision qu'elle doit prendre, elle rentre chez elle, pour enfiler une tenue de voyage plus adéquate et surtout plus confortable. Elle vérifie que tout est bien rangé, propre, même si Peryl a confié les clés à la jeune employée de maison, Manaut. Son regard tombe sur le coffret en bois sculpté que Surya lui avait offert quelques mois auparavant lors de son anoblissement. Le laisser là, et par là-même laisser comme un petit bout de sa sœur d'amour, ou le prendre au risque de se le faire voler ?

Son regard se durcit, ses iris ne faisant plus qu'un avec ses pupilles. Si c'est le cas ? Et bien, elle pourchasserait le ou les malfrats jusqu'à leur trancher la gorge. Et Peryl sait qu'au plus profond d'elle-même, elle ne reculerait devant rien pour récupérer ce bien si précieux. Elle prend également le petit œuf, cadeau encore une fois de Surya, représentant en relief, une chouette, riche en symboles, en émotions aussi, pour l'intrépide. Elle renferme soigneusement ces deux biens précieux dans la besace qui ne la quittera pas du voyage.

Curieusement, elle commence à se sentir mieux, et accepte même la situation, comme une évidence, une parenthèse nécessaire, pour le bien de toutes les deux ayant comme dénominateur commun : l'amour.

Amour... Léon, vite, elle se doit de se dépêcher, l'homme de son cœur et Raina doivent encore charger leurs effets personnels. Un dernier regard à l'intérieur de la demeure, pour cette jeune demoiselle au besoin accru de tout contrôler, et elle referme la porte, sans écriteau cette fois.

Elle s'approche de la mule, lui donne en guise de récompense, une carotte, attrape la bride, à pied au côté de l'équidé et se met en route non sans un léger pincement au cœur.

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