Duflan
Ses pensées l'amenaient toujours vers sa cabane, enfin surtout sur son fauteuil à bascule sur sa terrasse où il aimait passer son temps à regarder les gens passaient pour les critiquer
Point possible d'être habillé comme ça, on dirait un jeune séminariste allant à sa première soirée soutane, té regarde l'ôtre là bas qui se presse pour aller travailler, pôvre fou té
C'est sur que c'était pas Duflan qui allait lui prendre sa place, et d'un coup des cris, une bataille sengageait.
A lattaque sus à lennemi, pas de quartier...tuer les tous dieu sauvera les siens et autre bêtise vociférerai.
Marchopas lânesse se laissa guidait par son instinct et fonça tête baissé dans l'autre sens, Duflan laccompagna de petits coups de talon sur le ventre de la bête
Fonce ma belle, Ya, allez technique de camouflage habituel
Un regard sur la droite pour voir si un petit vieux ne se trouvé pas dans le coin, toujours pratique en cas d'attaque le vieux est lent par nature et il est un formidable moyen de diversion, mais rien...
Bande d'amateur té, poit possible ça...va ma belle, lé le moment, montre leur ce que veut dire célérité*
La citation sera volée à notre homme par un vieux magicien accompagné de petits hommes au pieds poilu, mais rien ne vaut l'original quoi qu'on en dise.
Hop, arrête toa ma belle, l'es ben ici derrière ce fourrée
Un il sur la scène pour observer ce qui se passait, plié en deux prêt à reprendre la fuite en cas de victoire de lennemie, mais non la bataille semblait plutôt bien partie.
Regarde marchopas, on gagne, là presque personne en face, vient on y retourne on va finir les morts....AIE....HOU merdouille
Voilà comment cela commença, une douleur vive au bas ventre, il eût à peine le temps d'enlever ses braies pour se vider.....il avait l'impression de se vider de toutes ses tripes.
Si la position derrière le buisson pouvait rappeler celle qui adopté régulièrement prés du lavoir pour observer les lavandières en toute discrétion , le plaisir n'était pas là du tout
Merdouille m'arrive quoi là...oh tient plus sur mes pattes
A peine rhabiller qu'il se mit à vomir avant de s'écrouler à terre, il ne put se joindre à la troupe et s'il arriva à rejoindre une petite lance, le cur n'y était plus, il vomissait sans cesse et les arrêts pour faire ses besoins en urgence devenait de plus en plus fréquent.
Notre homme avait maigri, et son visage était devenu blanc, il avait beau tenter de manger ou de boire, rien n'y faisait, même son fameux vin blanc, ne l'aidait pas.
Il posa pied à terre, dégagea ses affaires et baluchon du dos de son Ânesse pour la libérer de son fardeau
Voilà, ma belle té libre, reste point là crois ben qu'oh l'es la fin.....l'aura était une belle aventure té le dis, té libre, mais méfie toa des femmes à chignon...enfin tu y vois de quoi je veux dire...
Il passa une main sur le crin de la bête avant de s'adosser à un arbre, la bouteille à la main,il tenta une nouvelle fois de boire, mais rien n'y faisait...
Ainsi notre gros bonhomme sendormit le dos appuyé sur un arbre, une main sur une bouteille de vin, l'autre sur un saucisson, les fesses sur la terre et un vent de liberté qui sengouffrait dans chacune de ses respirations.
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Point possible d'être habillé comme ça, on dirait un jeune séminariste allant à sa première soirée soutane, té regarde l'ôtre là bas qui se presse pour aller travailler, pôvre fou té
C'est sur que c'était pas Duflan qui allait lui prendre sa place, et d'un coup des cris, une bataille sengageait.
A lattaque sus à lennemi, pas de quartier...tuer les tous dieu sauvera les siens et autre bêtise vociférerai.
Marchopas lânesse se laissa guidait par son instinct et fonça tête baissé dans l'autre sens, Duflan laccompagna de petits coups de talon sur le ventre de la bête
Fonce ma belle, Ya, allez technique de camouflage habituel
Un regard sur la droite pour voir si un petit vieux ne se trouvé pas dans le coin, toujours pratique en cas d'attaque le vieux est lent par nature et il est un formidable moyen de diversion, mais rien...
Bande d'amateur té, poit possible ça...va ma belle, lé le moment, montre leur ce que veut dire célérité*
La citation sera volée à notre homme par un vieux magicien accompagné de petits hommes au pieds poilu, mais rien ne vaut l'original quoi qu'on en dise.
Hop, arrête toa ma belle, l'es ben ici derrière ce fourrée
Un il sur la scène pour observer ce qui se passait, plié en deux prêt à reprendre la fuite en cas de victoire de lennemie, mais non la bataille semblait plutôt bien partie.
Regarde marchopas, on gagne, là presque personne en face, vient on y retourne on va finir les morts....AIE....HOU merdouille
Voilà comment cela commença, une douleur vive au bas ventre, il eût à peine le temps d'enlever ses braies pour se vider.....il avait l'impression de se vider de toutes ses tripes.
Si la position derrière le buisson pouvait rappeler celle qui adopté régulièrement prés du lavoir pour observer les lavandières en toute discrétion , le plaisir n'était pas là du tout
Merdouille m'arrive quoi là...oh tient plus sur mes pattes
A peine rhabiller qu'il se mit à vomir avant de s'écrouler à terre, il ne put se joindre à la troupe et s'il arriva à rejoindre une petite lance, le cur n'y était plus, il vomissait sans cesse et les arrêts pour faire ses besoins en urgence devenait de plus en plus fréquent.
Notre homme avait maigri, et son visage était devenu blanc, il avait beau tenter de manger ou de boire, rien n'y faisait, même son fameux vin blanc, ne l'aidait pas.
Il posa pied à terre, dégagea ses affaires et baluchon du dos de son Ânesse pour la libérer de son fardeau
Voilà, ma belle té libre, reste point là crois ben qu'oh l'es la fin.....l'aura était une belle aventure té le dis, té libre, mais méfie toa des femmes à chignon...enfin tu y vois de quoi je veux dire...
Il passa une main sur le crin de la bête avant de s'adosser à un arbre, la bouteille à la main,il tenta une nouvelle fois de boire, mais rien n'y faisait...
Ainsi notre gros bonhomme sendormit le dos appuyé sur un arbre, une main sur une bouteille de vin, l'autre sur un saucisson, les fesses sur la terre et un vent de liberté qui sengouffrait dans chacune de ses respirations.
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