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[RP] Tel est le bon plaisir de sa Grandeur le Franc-Comte.

Elisaabeth.
Comme convenu, ce RP a pour but de relater — avec plusieurs styles et selon l'imagination de chacun — les joutes d’armées qui ont eu lieu dans la nuit du 26 au 27 décembre de manière IG. Je me permets d'ouvrir le bal. Je vous souhaite une bonne lecture et surtout un bon jeu.



      « Que ne ferait-on pas par amour ! »
      La résignation d’Élisabeth.


        [ Franche-Comté, début du mois de décembre 1466. ]


Elle était revenue. Ah ça oui, elle était bien revenue, en bonne et due forme, pétant le feu comme jamais. Plus prête que jamais à se consacrer à son époux qu’au Très-Haut comme elle avait pu le faire durant plusieurs années. Mais, en revenant, elle ne pouvait se douter que son petit « coquinou » qui lui servait d’époux allait lui en faire voir des vertes et des pas mûres. Vous pensez que les deux tourtereaux se battent ? Que nenni. Pire que cela. On la convia à participer à des joutes, et pas qu’une seule. Mais cela, elle ne le comprit uniquement après une longue discussion « houleuse » avec son époux, où ce dernier lui fit comprendre qu’il n’organisait pas une mais deux joutes. En ce qui concernait la première, celle-ci fit énormément plaisir à Élisabeth qui, sans jamais l’avouer à son époux, s’ennuyait sec — surtout depuis qu’elle avait appris et ce, à son retour, qu’il s’était foutu la couronne franc-comtale sur la tête. Elle osa même demander si elle pouvait prendre leurs couleurs afin de les défendre lors de ces joutes, puisqu’elle en avait conclu qu’il prendrait les couleurs de la Franche-Comté. Puis, s’en suivit une explication sur la deuxième joute organisée, pour son bon plaisir. Haussant les épaules, pensant bien fort « Grand bien te fasse. Fais donc joujou avec tes nobles », elle n’avait pas totalement saisi que son époux … la conviait dans le même temps. Mécontente, elle protesta, jurant le Très-Haut — blasphèèèèème — que jamais, au grand jamais, elle n'y pointerait son nez et ne participerait à ces joutes. Krääänou, mécontent à son tour, commença d’abord par supplier son épouse de venir avec lui. Ce à quoi elle répondit qu’elle ne servirait pas de « chair à canon » pour ces brutes — en parlant des nobles franc-comtois, bien entendu. De plus en plus mécontent, Kränou fit une chose à ne pas faire : il mit sur la table l’ordre qu’un époux peut avoir envers sa femme, de venir à ces joutes, n’en déplaise à la blondasse. Ce qui la mit encore plus en colère, protestant que c’était vil, très vil d’oser en venir à cela pour qu’elle vienne. Fortement vexée, elle osa contredire son époux, lui promettant d’observer mais de ne pas y participer. Sa Grandeur, Kränou, vint à commettre l’irréparable : il mit sur la table l’ordre d’un Franc-Comte envers son (va)vassal de participer à ces joutes, épicétou. Outrée, en colère, scandalisée, ne sachant que répondre, elle se contenta de casser un vase et de sortir de la pièce, puisqu’il n’y avait plus rien à redire.

C’est ainsi que quelques jours après la dispute entre son Altesse la p*tasse et sa Grandeur le Franc-Co(n/)mte, Élisabeth se déplaça jusqu’à l’armurerie de son époux afin de se préparer pour les « joutes » à venir. Mécontente d’avoir « perdu » face à son époux contre leur propre joute, elle était encore de très mauvaise humeur ce jour-là. Un homme, probablement l’armurier, salua la jeune femme. Répondant à peine, elle voulait faire court :
Bien, vous allez m’aider.
En quoi puis-je vous être utile, votre Altesse sérénis…
Pas de chichi. Votre Altesse suffira. On ne mélange pas les torchons et les serviettes, bien entendu. Il me faut acquérir un harnois à ma taille.
L’armurier regarda « sa blondeur » avec de grands yeux ahuris, répondant dans le même temps : Mais … vous n’y comptez pas ?
Plaît-il ?
M’enfin … à votre taille … mais pour quand ?
Un délai d’une dizaine de jours suffira. Le Franc-Comte mon époux veut festoyer. Il organise donc des joutes. Il est évident qu’on festoie tout le temps avec des joutes dans les parages.
Mais je pourrais jamais !
Tout bon travail mérite récompense.
Mais pas en quelques jours !…
Écoute-moi bien, le bouseux. Ça commence … Travaille jour et nuit s’il le faut mais j’ai besoin de cet harnois d’ici douze jours. Compris ? La récompense sera la clef de ce bon travail que tu vas faire. N’est-ce pas ?

Pas de salut en partant, Élisabeth était de plus en plus contrariée. Quand ce n’était pas son époux qui lui cassait les pieds, c’était l’armurier qui venait y mettre son grain de sel. Quelque chose disait à la jeune femme que les deux joutes allaient se retourner contre elle, encore. Comme d’habitude. Maudissant le monde entier, elle retourna maugréer dans sa chambre, s’y enfermant car elle n’était pas encore apte à pardonner à son époux. Quelques heures plus tard, affairée à peindre afin de se détendre, Élisabeth observa sa camériste, affairée elle-même à rapiécer on-ne-sait-quoi. La blonde se souvint que pour défendre ses couleurs, elle avait besoin d’un support pour les afficher, hormis des étendards : ce support était le tabard. Il ne lui manquait plus que le tabard pour être fin prête aux futures festivités à venir. Quelque peu calmée, Élisabeth fit entendre sa douce voix : Églantine ? Sais-tu coudre ?
Bien sûr ma dame. Ma mère m’a même dit un jour que j’avais des doigts de f…
Garde tes souvenirs pour toi. J’ai besoin d’un tabard pour représenter les couleurs de mon époux et les miennes aux prochaines joutes.
Mais … c’est quand ?
D’ici une dizaine de jours, si j’ai bien calculé.
Mais … j’y arriverai jamais …
Que vous êtes tous pénibles à la fin. S’il faut que tu travailles de nuit, fais-le. S’il te faut du monde pour t’aider, prends-les — mais par contre, uniquement celles qui savent coudre. Mais par pitié, épargne-moi tes plaintes. C’est moi qui suis à plaindre plutôt. Krän a été désagréable avec moi. Et en plus, je n’ai plus rien pour me vêtir lors de ces événements.
Ne pourriez-vous pas …
De quoi ?
… demander quelqu’un de vous représenter ?…
De un, une seigneurie ne peut avoir de vassaux. De deux, ce n’est certainement pas Hubert qui ira jouter, il a d’autres tâches à effectuer. Et de trois, ce sera moi, tel est le bon plaisir de sa Grandeur.
La contrariété était revenue et on pouvait le lire sur le visage élisabéthain, tandis que le gland … pardon, Églantine affichait, quant à elle, une mine désespérée. Le gros blanc qui s’était installé fut brisé par Élisabeth, avec une telle douceur … Qu’attends-tu ? Dépêche-toi, pardi ! Le tabard ne va pas se coudre tout seul.


      [ Franche-Comté, vers la fin du mois de décembre 1466. ]


Résignée. Elle s’était résignée peu avant que les premières joutes ne commencent. Soit, non contente d’accompagner son époux, elle participerait aux secondes joutes, tel est le bon plaisir du Franc-Comte. Le tabard et le harnois furent prêts pour les premières joutes mais également les secondes. Et en parlant de ces dernières, le grand jour arriva. Élisabeth décida d’aller implorer le Très-Haut afin qu’il entende ses prières : pas de mort accidentelle, pas de blessure trop grave. Bref, que tout le monde reste en piste et surtout reste en vie. C’est quand même pas bien compliqué, bordel de crotte ! Elle termina sa prière en se signant, se releva — puisqu’elle était agenouillée — puis quitta le lieu saint, marchant longuement afin de rejoindre le campement où l’attendait son époux. Car depuis qu’elle l’avait « pardonné », il avait demandé à partager la même tente. Soit, partageons. Visiblement prêt à casser des gu… à casser des margoulettes, elle se positionna derrière un paravant afin de se changer : c'est-à-dire quitter sa robe afin d’enfiler une tenue militaire — comprenez par-ici son harnois et son tabard. L’envie de s’épancher se fit ressentir pile à ce moment-là :

Krän, mon aimé ? Tu es sûr de me vouloir à tes côtés pour cette … mascarade ? Évitons de provoquer une nouvelle petite joute personnelle, voulez-vous ? Ce festoiement ? Je ne sais pas pourquoi, je ne le sens pas. Mais alors, pas du tout.

La trouille ? Si peu pour Élisabeth.



Édit : correction de méchantes fautes.

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Kran
Parce-que quand on aime, on ne calcule pas!
La logique Kränienne

[ Franche-Comté, au même moment.

Vous avez eu la version de la femme. Dieu sait que les femmes ont de l'imagination. Afin de laisser le lecteur se faire un avis objectifs sur les faits qui se sont déroulés en Franche Comté, nous avons décidé de faire une reconstitution de ces derniers vus par le point de vue de Krän.

En Franche Comté, l'idée de s'amuser est une idée qualifiée par les gens de pouvoir de particulièrement monstrueuse. En Franche Comté, les baroudeurs qui pratiquent ce genre de crimes sont membre d'une secte spéciale, appelée la cellule d'aide à l'ouverture, façon Krännienne. Voici leur histoire...

Cette histoire ne vous sera néanmoins pas contée dans les détails. Ainsi, chacun pourra se souvenir d'un épisode parlant des retrouvaille entre le petit Krän et son épouse. Il est bien entendu que le contenu de cet épisode, se déroulant dans le bureau du Franc Comte, dans lequel les 2 amants époux se sont retrouvés pour faire des choses pas très catholiques s'enlacer tendrement et fêter leurs retrouvailles sera remplacé dans les livre d'histoire sur un cours de botanique sur les langoustines dans leur habitat naturel (Qui a dit que la botanique parlait des plantes, que je lui mette un pain tout de suite?). Toujours est-il que l'amour étant plus fort que tout, et que cette dernière tombait à pic pour la perche tendue du Franc Comte à une activité hors du commun (on parle bien ici des joutes d'armées, bande de pervers!), ce dernier ne put s'empêcher d'y convier sa femme... Parce-que le sport, c'est mieux à 2(Cf la dernière remarque!)!

Ce dernier l'invita dès lors à participer à des joutes, avec des règle quelques peu modifiées histoire de les rendre plus intéressantes. Parmi ces règles était notamment stipulé que les femmes devraient se battre en petite tenue et dans la boue, et d'autres innovations hors du commun que personne n'avait encore osé tenter. Cela étant, cette idée ne semblait pas trop l'emballer. Pourtant, il y avait mis du coeur et de l'énergie. Il avait du combattre monts et marées afin de pouvoir les organiser!

Mais Sa femme n'aimant que faire dans l'exceptionnel, le démentiel, la démesure... Il dû en urgence trouver une autre idée. Une idée innovante, qu'il devait pouvoir lui communiquer dans la seconde, avec un ton faisant émaner une image d'avoir d'organisé tout cela de manière minutieuse, juste pour elle!

C'est ainsi qu'émergea l'idée lumineuse des joutes d'armées. On entrait de le sensationnel, ce que personne n'avait jamais pu essayer jusqu'à ce jour. Et tout cela, organisé juste pour elle. L'histoire pourra ainsi retenir cet épisode de la vie de l'Homo Simplus Krän: Un amour ardent et une abnégation sans appel!

Et c'est ainsi que sa femme reconnu en lui à nouveau l'homme qu'elle aimait. Celui qui n'a pas besoin d'user de son autorité conjugale (même sans porter la culotte, puisqu'il portait les braies...
ni féodale. Celui qu'on suit parce-qu'il plait avant tout!

ainsi, chers lecteurs, vous pouvez désormais vous forger un avis objectif entre les affabulation contées par une femme, et la bonne foi de son époux n'est-ce pas?!

Franche-Comté, 6 Juin 1944 le jour"J", the B-day (c'est de l'anglais)

Il faisait froid, la météo était épouvantable. Et pourtant, nos vaillants soldats s'approchaient des plages de leur destin. Le sang allait couler en Normandie...

Nous étions donc fin Décembre 1466, comme l'indique bien le titre de ce chapitre. Et les adversaires se tenaient prêts à bondir dès le tsouin tsouin des trompettes les uns sur les autres. Les joutes d'armées allaient commencer. Et tel un homme, un vrai, il protégerait coute que coute sa dulcinée, quoi qu'il puisse se passer

Ne t'en fait pas Mimine*, tout ira bien!

Et oui, il fallait bien apaiser le peu de toutes que pouvait éprouver sa femme. La rassurer. C'est cela aussi, l'apanage d'un grand guerrier. Et puis, il était bien armé...


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Laorra
[ Armée Les Lames Noir de Neptune ]

Depuis quelques jours, elle avait rejoint le Capitaine Spagnolo, elle était excité comme un acarien au paradis du matelas.
Faire partie d'une armée, elle en avait rêvé à sa sortie du couvent, elle s'était imaginé des guerres, des combats sanglants, des victoires, des chutes et des blessures.
La vie en avait décidé autrement, en premier, elle avait acheté une épée à sa taille, plus légère et maniable, par naïveté, elle avait consommer de la viande espérant voir ses muscles grossir, c'est quelque temps plus tard, que Théo lui avait expliqué que la viande ne suffirait pas à faire gonfler ses bras de coquelet, alors, chaque matin, elle s'était entraînée.
Elle ne possédait toujours pas de muscles, en revanche, elle arrivait à bien manier son épée.

Il faut avouer que la nature est mal faite !
Depuis son intégration, elle observait discrètement ses frères d'armes et le Capitaine, elle ressemblait à un poussin, petite et frêle, lui par contre, ressemblait à un taureau, tout en muscles, grand, épaules larges, une main lui aurait tordu le cou sans le moindre effort, de plus quand il donnait de la voix, il devait faire trembler dans les chaumières.
Théo, Kran étaient du même acabit, elle se sentait ridiculement petite pour arriver à blesser un homme aussi colossale.
La chance du débutant, elle devait y croire et elle ne renoncerait pas !
Elle était là pour cogner, elle le ferait au risque de finir blessée et inconsciente sur les lieux de la rencontre.


[Jour J]

Les adversaire étaient arrivés et les hommes se jaugeaient, tous prêt à en découdre.
Elle avait face à elle, des hommes et des femmes d'expérience.
Après s'être regarder, d'un mouvement commun, ils s'élancèrent vers l'ennemi, elle n'arrivait pas à oublier que ces personnes étaient des Franc Comtois comme elle et non un ennemi a chasser de leur terre, aussi, elle fit pivoter son épée pour frapper du manche sur le crâne de la première personne croisée, bras levé, celui-ci s'abaisse et heurte un crâne, elle retourne son épée et l'enfonce dans l'épaule du bras armée de son adversaire.
Elle ne peut pas tuer un ou une compatriote, c'est au-dessus de ses forces !
Elle avait perdu toute conscience, elle se répétait inlassablement, frapper ou être frappé, elle s'écarte de sa victime, se met en garde prête à reprendre le combat.
Elle cherche les siens du regard, elle reste aux aguets, sa lame est couverte de sang, un détail qu'elle souhaite oublier.
Elle vient d'enfoncer sa lame dans la chair d'une jeune femme, elle n'oubliera jamais le bruit de la peau qui se déchire, serait elle capable de recommencer, là, était la question.


27/12/1466 04:08 : Vous avez frappé Elisaabeth.. Ce coup l'a probablement tué.
27/12/1466 04:08 : Vous avez été attaqué par l'armée "Flector Non Frangore." dirigée par Flory...

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Youllia
Armée "Flector Non Frangore

Il y avait d'autres façons de s'amuser pendant la trêve des confiseurs que d'aller se cailler sur un nœud quelque part en Franche Comté mais tel avait été la volonté du FC, bah pour une fois qu'il y avait quelques réjouissances autre que de faire le pied de grue dans un salon mondains, hors de question de louper la chose, après autre façon de s'amuser, c’était d'aller faire un tour dans le Rouergue faire coucou à Namay mais cela ferait trop désordre.

Ce n’était pas son premier combat en temps que capitaine d'armée, et elle espérait qu'elle en connaitra d'autres, si bien qu'un soleil couché, elle donnait l'ordre de se mettre en marche vers le lieu du rendez vous.


Quelque part sur un noeud

Les Lames Noires se profilaient, comme tout un bon chef d'armée, elle donnait charger, Ben !!! Oh !!! attendez moi namého... laissez moi quelqu'un au moins.

Le jour se leva, qu'un seul blessé chez eux, l'Altesse se mordit la lèvre, Zut c'etait Elisa l'épouse du Franc Comte qui avait morflé.


Un regard à Spa, suivit d'un sourire machiavélique


On remets cela cette nuit....
Kran
Cette fois, c'était parti, c'était le grand jour!
Franc Comte de son statut, il s'étaut auto-proclamé porte-étendard de son équipe. De toute façon, il n'avait pas besoin de ses 2 mains pour taper avec classe.

Il était préparé comme d'accoutumé, en armure, avec les petites fioritures bling bling du noble qui se la pète, une couronne, une cape, un fourreau avec une épée et le bouclier dans le dos.

Ily avait de la neige, il faisait froid. A chaque respiration émanait une fumée d'air froid. Les conditions étaient réunies pour un combat épique dans des conditions extrêmes.
En face, il y avait le Capitaine, pis d'autres gens qu'il connaissait peu ou pas. De toute façon, dur de savoir qui est qui quand tout le monde est emmitouflé dans son armure. Et qu'importe qui, quelqu'un allait manger des pissenlits par la racine. Il n'attendait que le signal, comme tout le monde... Et une fois qu'il fut donné, les jouteurs s'étaient élances les uns sur les autres.

N'écoutant que sa bravoure et ne se fiant qu'à son instinct de preux chevalier qui défend sa belle, c'est bien sûr devant Elisabeth qu'il alla se placer. Bien mal appris serait celui ou celle qui viendrait tenter de porter atteinte à sa belle.

C'est là que son chemin croisa celui d'Enora. Parti dans son élan, il s'arrêta net et fit un habile mouvement pour éviter le coup, tandis qu'il sortit sa propre arme pour l'enfoncer tout droit dans son adversaire, adversaire qu'il perce de plein fouet, en témoigne le bruit...


CHTONG CRSHHT

Sur un bref instant, et alors que son pied a glissé sur une plaque de glace et qu'il effectue le saut de l'ange le plus ridicule de l'histoire humaine au milieu d'une rase campagne enneigée, le petit Krän sourit: Il est persuadé avoir éliminé son premier adversaire.
Alors quel a rotation de son corps s'amorce de plus en plus et l'entraine vers le moment fatidique ou il se retrouvera la tête la première dans un tas de neige, avec une posture digne des plus grands artistes, son sourire s'estompe. Il sent qu'il lâche prise sur son arme, et son regard s'est tourné vers cette dernière.

En un éclair lui vient tout de suite cette question:

Si il a fracassé un jambon sur son adversaire, quel était donc ce bruit métallique et ce cri de douleur?

C'est la question existentielle qu'il ne résoudra ps avant le moment fatidique ou il se bourre la tronche.

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Spagnolo
Petrus.gallus a écrit:
Petrus avait parlé d'aller couper des fleurs , mais évidemment le souci avec les gens qui portent des chapeaux ronds , c'est que même dans les choux , ils y mettent des fleurs . Pour dire s'ils sont romantiques !

Le problème avec les gens qui portent des chapeaux ronds , c'est qu'ils ont été élevés en recevant des coups de menhir sur la tête , et qu'ils ont tendance à magner davantage le menhir que l'épée .

Pour dire s'ils sont joviaux , c'est que bien que ce soit un peuple de marins à voile , ils te souhaitent "démâte" pour te souhaiter la bonne journée .

En fin spadassin , Petrus s'était approché de l'armée ennemie , en saluant , se mettant en garde , et attendant la pique ou l'estoc .

Un brun avec une veste de fourrure - sans doute un ours ...- s'approcha et Petrus reçut un coup de menhir , voire toute la collection de Carnac sur la tronche .
Il n'eut que le temps de dire :


Mais heu !!!!!!

Ecu , épée , bonhomme , tout gisait sur le sol . Façon puzzle !

Il eût le temps de repenser : "frappe et accomplis , sois frappé et remercie ..." et d'ajouter :


Merci messire !

Avant de sombrer dans un coma de dix jours ...

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Amandine..
Théo aime chevaucher de nuit. Il mit ses plus beaux atours. Armure complète et surtout la cape d'ours qui pue.

Sur ordre il suis. Pas loin de sa suzeraine.

D'un coup un mot un seul. Charger

Ni une ni deux théo se lance comme un bougre. C'est a quelques pas plus loin que bah y a personne en fait. Il décide de se stopper pour aller soulager son envie. Mais des plus insignifiant fait divers nourrissent les plus grand exploits.

Qui voilà une lame hors de l'armée. Il sourit et tel un ours il frappa bien joyeusement la tête de l'homme. Quoi de plus normal qu'une bonne dizaine de coups pour être sur que l'ennemi soit vaincu.
Sa lame n'avait presque rien.
En s'en allant il entendit l'homme le remercier. Il se mit à rire de façon ostentatoire.
Me v'la bien voilà qu'la victime me remercie.


7/12/1466 04:08 : Vous avez frappé Petrus.gallus. Vous l'avez grièvement blessé.
27/12/1466 04:08 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Les Lames Noir de Neptune" dirigée par Spagnolo.
Elisaabeth.

      « La vie est belle et cruelle à la fois … »
      Nicola Sirkis, La vie est belle.


Si « Mimine » ne devait s’en faire, « Mimine » s’inquiétait quand même. N’avait-on pas idée de participer à des joutes — de manière forcée — d’armées alors que cela faisait une éternité qu’on n’avait pas manié l’épée pour lutter contre quelqu’un. Il faut dire que cela pouvait être angoissant. Alors Élisabeth se contenta de répondre à son époux « Hum, si tu le dis ! » avant de finaliser sa tenue en enfilant le tabard cousu par les doigts précieux de la camériste. Elle tint son heaume — qui lui servit lors des précédentes joutes — d’un bras et sortit de sa cachette pour regarder son époux, cherchant malgré tout un autre réconfort que des paroles. Alors qu’elle observa son époux, on vint lui poser une cape que l’on ajusta de manière à être totalement libre de ses mouvements. La cape fut fixée par une fibule d’argent, ce qui permit à la cape de ne pas dégringoler au premier mouvement qu’effectuerait Élisabeth. Arriva le moment fatidique où on annonça le départ des troupes pour l’affrontement. Mécontente, elle enfila son heaume et ceintura le fourreau qui accueillait son épée. Elle eut l’impression qu’on la poussa en dehors de la tente, tout en lui donnant le bouclier qui la protégerait. Si seulement … Elle suivit son époux, en bonne petite épouse, comme on les aime. Sauf que notre chère Élisabeth était, non contente d’être angoissée de se prendre quelque chose sur le coin du nez, de nouveau mécontente d’avoir été traîné jusqu’ici. Làààà. Sur ce terrain enneigé où des brutes étaient venus pour se taper le copain à côté. Elle était réellement mécontente. Elle bougonna intérieurement quand soudain, on donna le signal fut lancé. Elle reconnut bien l’allure de son époux qui avait eu la délicate attention de se placer devant elle pour minimiser les risques. Mais tout partit en sucette à la suite !

Alors que son époux s’attaqua à un adversaire « invisible » — il faut dire qu’on y voyait comme dans le trou du cul d’un … d’une personne — l’adversaire — qui était une autre jeune femme — n’attendit pas que son charmant Kränou revienne pour l’aider : Élisabeth se prit un méchant coup sur sa tête casquée, ce qui lui provoqua une douleur devenant insupportable, et qui fut suivi d’un coup d’épée dans son épaule. Ce qui fut terrible était le fait que l’épée transperçât la peau et s’enfonçât dans la chair élisabéthaine. La douleur irradiait les endroits touchés et un cri se fit entendre ; les douleurs qui la submergeaient lui étaient insupportables et lui firent perdre l’équilibre et connaissance : sa tête protégée de son heaume fut secouée lorsqu’elle rencontra le sol, lui portant le dernier coup qui l’assomma complètement. Non seulement elle n’avait eu le temps de voir le coup venir mais en plus, elle n’eut pas le temps de rétorquer. Pire qu’un combat de boxe d’une vingtaine de secondes — c’est anachronique mais c’est pour illustrer les propos. Le corps d’Élisabeth se retrouva à terre, donnant l’impression qu’il était sans vie. Les autres auraient pu la piétiner, elle ne pouvait souffrir davantage. Le coup porté à la tête ainsi que la douleur provenant de son épaule l’avaient mise dans un état similaire à un coma tellement profond que la jeune femme ne se réveillât pas sur le champ de combat mais alitée mais ça, ce sera dans un autre chapitre.



27/12/1466 04:08 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Les Lames Noir de Neptune" dirigée par Spagnolo.
27/12/1466 04:08 : Laorra vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.


Édit : correction.

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Spagnolo
L'aurore avait quelques chose de magnifique vous ne trouvez pas ? cette couleur ocre qui garni le ciel à son horizon et ce même ciel toujours aussi bleu alors que le soleil lui ne se voit déjà plus. On pouvait d'autant plus profiter de l'aurore lorsque l'on savait que dans quelques instants le choc serait, et quel choc messieurs quel choc ! L'armée Flector Non Flangore issait le pavillon au sud ou au nord tout dépends si l'on parlait de nivelé ou de boussole. Une inspiration se fit entendre dans ma voix avant que je ne laisse échapper quelques mots

Mes braves, la en face ce sont nos adversaires, Oubliez ce que vous connaissez, frappez et évitez de vous faire prendre, faisons en sorte de pouvoir revenir festoyer cette incroyable victoire qui nous attends !

Alors que le paysage traversait mon regard souvenir de longues traversées par le passé, rahlala un peu plus à l'ouest et l'on aurait casser les pieds au vieux leonin sur les terres de Sellières, je connaissais bien cette terre, cette terre sur lequel, je traversais encore une fois accompagné de ma tempête, mon fidèle destrier. Et cette fois j'étais aussi accompagné des meilleurs pour un tel évènements. J'avais parfaitement préparer ma journée pour être le plus en forme possible en ce moment. Ce matin un nouveau faucon avait tracer les airs nos vers mes hommes mais vers ma tendre, quelques mots y était inscrit "Cette nuit, c'est nuit d'affrontement, mais ne t'inquiète pas ma tendre nous reviendrons vainqueurs" puis j'étais aller rassurer la bête, enfin, j'avais avaler une bonne gorgée de liqueur, oui provenant directement des terres de Gy, histoire d'être encore plus à la maison. Et nous voilà sur cette crête à être prêt à donner l'assauts. Parlant d'assaut d'ailleurs, mon bras de se lever vers le ciel avant de crier un bon coups

CHARGEZZZZ

Pas besoin de milles paroles, seul les actes comptaient et c'est ainsi que moi aussi lançait à l'assaut des fleurs.. les choix étaient multiples mais j'espérais tout particulièrement choppé l'assassin, ou encore avoir la flory. MAAAAAAIS le destin que voulez-vous c'est un farceur alors que j'arrivais pimpant, frangant, avec l'ardeur d'un chef, un guerrier, un vrai de vrai, monté de son cheval, au couleur de ma baronnie, un cretin tomba sous les jambes de l'étalon, par reflexe il se cabra donnant un spectacle magnifique de cavalier à cheval, spectacle qui ne dura que quelques secondes car l'exercice me fit défaut.. tel est le mal lorsqu'un veteran ne se tiens pas très en au jus. Je valsa en arrière au moment de la retomber mettant quelques instant pour relever du sol enneigé le poids de mon corps armuré. L'affrontement faisait rage, et j'eu a peine le temps d'apercevoir la rousse des Valrose que le soleil se levait déjà à l'horizon

On remets cela cette nuit....

Je repondi à son sourire par un rire, rhalala l'adreniline me montait déjà à la tempe, et j'aurai pu continuer mais.. mon regard parcourait partout je vis le brave petrus choir, la capitaine des Frangone se retirais nous ferons de même, premiere batailles match nul, j'allais recupérer le corps de l'homme, on ne lacherait personne, sur ce champs de bataille, il avait besoin de soin, retour au campement, la nuit prochaine, on reglerait ce les comptes en suspends. Laorra elle était toujours débout c'était une bonne nouvelle je ne manquerait de la féliciter pour ces exploits, makita aussi.. elles avaient étés brave. J'avais hâte d'aller boire pour fêter cela
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Kran
Quand on aime, on est prêt à tous les sacrifices
Expression Krännienne
J'irai te rejoindre jusque dans la mort, ça marche aussi!


Le premier round ne s'était pas trop passé comme prévu. Certes l'envie était là, mais il manquait un truc... Sans doute l'hydromel. Parce-que quand les druides donnent de l'hydromel, on trouve le courage, il n'y a plus de faille, pour rester grands et fier quand on se lance dans la bataille... Quelle grossière erreur, alors que pourtant, tout adepte des bardes et troubadours connait la chanson!

Bon y avait pas de menhirs, pas de druides... Mais y avait de la gnôle. Pour se préparer au second round, on supposait que le reste n'était que pour entourer l'histoire d'un voile mystique. On le sait tous, la gnôle ça rend plus fort, pis c'est tout! Cette fois, il était prêt. Il avait pris soin de vérifier qu'il n'avait pas ranger un poulet à poulie à la place de son épée dans son fourreau, et qu'il était fin équipé pour tous les démonter!

Au second round, il irait venger sa femme. Car si ça le rendait toute chose quand il l'entendait hurler de douleur bien sûr, mais encore plus fou, ça le rendait de savoir qu'elle s'était faite embrochée par une épée! Non seulement parce-qu'il n'accepte pas qu'on fasse couler son sang... Pis aussi et surtout qu'elle venait à peine de revenir dans la vie active, on allait pas déjà la renvoyer chez Aristote! C'est la femme de Krän; pas celle du Très Haut.... Aussi Aristotélicien était-il, il ne pouvait qu'en penser une chose: Va te brosser Aristote!

Bien sûr, il se sentit obligé de faire un signe de croix afin qu'Aristote lui pardonne... Tout en lui jurant qu'il lui péterait les dents si il s'approche trop près de sa femme, cela va de soi. Une pensée hérétique vin lui traverser l'esprit à ce moment là: C'est quand même marrant, je peux l'insulter tant que je veux en pensées, penser à toutes les pires insanités, tant que je le dis pas tout haut... Ca devait sans doute être pour ça qu'on le surnommais le Très Haut, et pas le Tout Bas. M'voyez?


Second round - Round Two (c'est aussi de l'anglais)
Le reflet de la première fois

Les équipes de nettoyages sont passées pour ramasser les morceaux, jeter les ordures... Le filet avait été coupé, l'arbitre avait été décapité... Bref, le Court était prêt pour le Deuxième Set. Il était temps de renvoyer la balle à l'envoyer et de faire danser les lames. Ils allaient taper encore plus fort que lors d'un racket. Ainsi le second Set début dès le brouahaha des trompettes de la mort. Le Chant du cygne en cette nuit étoilée d'hiver.

Il savait qui taper. Il savait qui viser, c'est ainsi qu'il ne vit plus qu'elle. Il allait lui montrer ce que c'était de faire du mal à sa femme, son amour, sa vie ! Cette fois, il est sûr que c'est l'épée à la main qu'il part au combat! La cible ne quitte pas ses yeux et il arrive bientôt à hauteur de cette dernière. La distance devient parfaite pour rendre la justice divine. D'un geste parfait, il exécute le coup fatal.


CHTONG

Une bourrasque d'hiver dans un silence assourdissant. Une volée de Sang. La caméra remonter vers le ciel en tournoyant avant de s'éteindre. Fin de la prise qui permet de s'imaginer que c'est le héros de notre histoire qui a encore vaincu, comme à chaque fois son ennemi. Pourtant le premier acte reflètera le Second... Après La Reine, voilà la chute du Roi.

Spin off
L'ascension, même à Noël!

2 êtres surnaturels se tiennent juste au dessus de la scène, observant le corps inerte au sol. L'un est rouge, l'autre blanc. Tous 2 portent une auréole et des petites elles. L'un porte une queue fourchue et tient dans sa main droite une lance, tandis que l'autre est armé d'une harpe. Tous 2 se regardent ensuite droit dans les yeux, avant de les lever vers le ciel et de gueuler en choeurs

Mais quel con

Kränesus, tu me dois 5 balles!
Tu fais chier Lucikrän... Je suis sûr que t'as encore triché!
Pfffft, hé l'autre, le mauvais perdant! Tu sais pourtant que les enfers ont toujours été pavés de bonnes intentions!

Et un petit high five dans lequel le petit diable empoche à nouveau la mise. Facile !

C'est quand même pas possible hein. Le coup du jambon il a pas pu le faire tout seul!
Et pourtant...
N'empêche, il était pas loin, là!
Pas loin de quoi? de clamser? Non non, il est bien mort... Encore...

Soupire général

N'empêche, t'as vu ce qu'il s'est pris?
Ouais, des blaireaux comme lui, on en fait quand même pas 2!

Fou rire général, cette fois

Tellement focus sur sa cible, les autres adversaires avaient complètement disparus de son esprit, bien que juste devant lui. C'est ainsi qu'en courant vers Laorra, il n'a pas vu l'épée de Makita, pourtant à hauteur de son champs de vision, puisqu'il se l'est prise en plein dans la tronche alors qu'il était en pleine course


Epilogue
C'est l'enfer au Paradis Solaire

Ne me dites pas que... QUOI?!? ENCORE LUI?
Youhouuu, Aristotichouhohouuuu!

Et de faire des grands signes de la main, tout content de retrouver copain, copain qui de sont côté soupire dépité

Tu connais la chanson: soit tu perds à la belote, soit tu prends la porte! Et interdit de tricher!

Et la partie est lancée pour une bonne heure au moins. Avant d'entendre gueuler dans tout le paradis Solaire.

C'est bon, encore une fois... CASSE-TOI! C'EST PAS TON HEURE !

Et Voilà qu'aristote dégage encore une fois le petit Krän du paradis solaire d'un grand coup de pied dans le cul pour le renvoyer du côté des vivants, en espérant pouvoir avoir la paix le plus longtemps possible. Oui, parce-qu'user Aristote jusqu'à la moëlle, c'était bien plus efficace que la fontaine de jouvence pour avoir la vie éternelle !

L'éveil
.... De la marmotte?

Il ouvre les yeux, toujours groggy. Un petit temps d'adaptation à la lumière avant de faire le tour du propriétaire.

Tiens, mon amour, toi aussi t'es là?
Tu sais que je te suivrais jusqu'aux confins du monde, au Paradis Solaire si je le devais?

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Laorra
[Round 1]

Ils avaient récupérés le blessé, ils devaient le soigner et s'occuper de lui, mis ko, l'homme ne semblait pas trop souffrir.
Elle était sous sa tente et revoyait le premier combat qui défilait devant ses yeux.
L'excitation, l'adrénaline et une furieuse envie de cogner avaient alors guidés sa témérité, une personne lui manquait terriblement et l'ennemi d'en face en aurait pour son grade !
Déterminé à passer sa frustration, elle s'était élancée, et devant elle, une masse imposante, malgré l'armure, elle n'eut aucune difficulté à reconnaître le Franc Comte.
Pourquoi cela lui arrivait à elle ? ! Pourquoi ????
Elle se mit à prier, à exaucer un vœux, tout mais pas lui, elle se voyait chasser de Franche Comté ou envoyée dans les geôles, on ne frappe pas le Franc Comte et quand elle eut rouvert les yeux, la poignée de son épée vint s'écraser sur un heaume dans une sorte de
'' Going ''.
Ce n'était plus le Franc Comte, Aristote avait entendu sa ferveur, elle fit pivoter son épée pour enfoncer la lame dans l'épaule de son adversaire qui s'écroula au sol.
Elle avait blessé une femme, pas n'importe laquelle, elle l'apprendra plus tard dans la soirée, la femme du Franc Comte !


[ Round 2]

Point de gardes armés pour venir l'arrêter, rien de rien, elle se doutait que le Franc Comte allait hurler vengeance.
Les heures passèrent lentement, comme un condamné à mort attend sa sentence, elle ne reculerait pas, elle allait se montrer digne et faire face à la colère de l'homme.
Ils se chargèrent et elle sentit de suite que Kran fonçait droit sur elle, elle papillonnait des cils, lui faisait un sourire étincelant, elle reculait, passait derrière son capitaine, elle jouait au chat et à la souris.
Elle ne voulait pas terminée embrochée !
Et là, bénie parmi tant d'autre, Makita exécute à la perfection le coup qui fait atterrir la masse imposante au sol.
Soulagée, elle lève les bras au ciel en signe de victoire, elle est vivante, merci Bon Dieu !
Elle est tellement guillerette qu'elle se dandine telle une pompom girl lors d'un match.
Elle en oublie les autres et là, son héroïne du moment se fait amocher par Théo, le goujat !


Saleté de chat !

Pour l'avoir affronter en lice, elle sait de quoi il est capable, elle marche en crabe pour se retrouver non loin de son Capitaine, juste au cas ou.
Bien à l'abri, elle terminait de narguer Théo, en lui tirant la langue et mimant des grimaces à son intention.

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Amandine..
Une nouvelle nuit une nouvelle fois

le premier round c'était fini de façon absurde. Quoi il était le seul à avoir toucher la cible.
Ce soir il va donc encore continuer le spectacle.
Une petite chasse pour changer. Pas d'armure pas de gros enjeu. Un peu de sport pour la seconde nuit. Pendant que makita s'amuse follement avec kran il en profite le salop.
un petit coup placer juste pour être certain de blesser proprement l'adversaire. PAs plus pas moins.

L'excuse parfaite la voilà. La clémence et son rôle. Il ne peux tuer les comtois vue qu'il est censer les représenter. Bon ok la il font un peu pitié à pas savoir se battre.
Elisaabeth.
      « Quand on aime, eh bien … on s’aime, épicétou ! »
      Expression élisabéthaine que l’on sort quand on frôle la mort d’un peu trop près.


Vous est-il déjà arrivé(e) de perdre connaissance le temps de quelques minutes et de ne vous souvenir d’aucun détail avant que vous ne tombiez dans les pommes ? Cette sensation bizarre qui viendrait vous mettre en colère pour un rien car vous êtes en pleine forme et il n’y aurait donc aucune raison pour que vous tombiez telle une mouche qui s’est fait attraper. Le pire dans tout cela, c’est que ce genre d’accidents peuvent arriver très bêtement : tomber d’un cheval et ce dernier vous tombe dessus par ricochet ; se prendre une gifle tellement forte que votre esprit n’a pas suivi et vous en avez perdu connaissance ; glisser sur un bout de savon qui a malencontreusement rencontré votre pied et que vous vous retrouvez les quatre fers en l’air, ayant amorti un maximum en vous protégeant comme vous le pouvez mais que votre tête rencontre, à son tour, le sol et que cette rencontre a fait un petit dégât dans votre tête ? Les petits accidents peuvent très vite arriver, surtout quand vous n’avez rien demandé …

        [ En Auvergne, entre 1448 et 1449. ]


Une petite fille d’une petite dizaine d’années se réveilla avec un soleil de plomb qui illuminait sa chambre d’enfant. Elle s’assit sur son lit, s’étira tout en bâillant, les yeux ayant du mal à s’ouvrir correctement. Elle se leva de son lit et partit à la recherche de sa mère, Héloïse, qui tricotait tranquillement dans un fauteuil près de la cheminée. Quand la jeune femme vit sa fille s’approcher, elle cessa son activité pour accueillir sa fille, un large sourire aux lèvres, et la prit dans ses bras afin de l’installer contre elle. Un tendre baiser claqua sur le front de la petite fille en guise de bonjour. Un sourire heureux illumina le visage de la petite blondinette. Sa mère la berça contre elle tout en lui parlant : As-tu bien dormi, ma petite belette blonde ?
J’ai très bien dormi, maman ! Qu’est-ce qu’on fait aujourd'hui ?
As-tu déjà oublié ?
Le petit nez de la fillette se releva, le regard vert plongé dans celui bleuté de sa mère : Mais non !
Élisa …
Huuummm … on va voir Grand-père et Grand-mère ?
Une main commença des petits mouvements le long des hanches de la fillette dans le but de chatouiller. Ce qui provoqua un énorme fou-rire de la petite fille. Quand cette main s’arrêta, Héloïse reprit : Élisabeth, aujourd’hui, je vais t’apprendre à coudre.
La petite fille eut un regard effaré, voire désespéré. Mais pourquoi elle ?
Maman, s’il-te-plaît … pas la coutuuuuure !
Et pourquoi donc ?
Parce qu’on a en projet avec Clotaire de devenir des pirates quand on sera grands !
Que faites-vous de Camille alors ?
On te la laisse. Elle nous encombre car elle ne veut pas jouer aux pirates avec nous.
Ce qui aurait dû contrarier la mère la fit, bien au contraire, rire doucement. Secouant sa tête brune, elle regarda la petite blonde, faussement sévère : Pour la peine de laisser Camille avec moi, je vais t’apprendre à coudre.
Naaaaan, s’il-te-plaîîîîîît !
Faisons un pacte, Élisabeth.
Ouuuuiiii ?
Je te laisse devenir un pirate avec ton frère, en échange, dès demain, nous ferons de la couture. Si tu refuses, je t’enfermerai avec moi et ta sœur.
Sans aucune hésitation, la petite blondinette répondit précipitamment : D’accord, d’accord. Je te promets maman que j’apprendrai à coudre et tu seras fière de moi !

Sans comprendre comment elle avait quitté les genoux et bras de sa mère, ainsi que son vêtement de nuit pour se retrouver à l’extérieur, habiller de la tête aux pieds, arc en main et carquois ceinturé à la taille. La petite fille haussa les épaules car après tout, c’était vraiment merveilleux de pouvoir changer de situation, visiblement, en claquant des doigts. Alors, Élisabeth dégaina une flèche de son carquois, banda la corde de son arc et tira vers sa cible … et manqua de beaucoup puisque la flèche partit vers des horizons inconnus … un cri féminin se fit alors entendre, c’était un mélange de bougonnement, de protestation, de mécontentement. Bref, vous l’aurez compris, c’était le cri désespéré d’une gamine qui n’était pas parvenue à atteindre son objectif. Une moue mécontente s’afficha sur le visage de la petite blonde qui n’hésita pas à interpeler son …
Papaaaaaaa ! C’est pas juste, j’y arrive paaaas !
Patiente quelques instants Élisa, j’arrive.
Le temps parut alors très long. La petite fille roula des yeux, se balança en avant et en arrière tout en restant sur place. Puis, elle décida de s’asseoir par terre en croisant les jambes. Elle décida de jouer avec l’herbe et les petites fleurs qui avaient poussé — merci le printemps pour ce don ! — et tenta de faire des bracelets de fleurs, ainsi que des couronnes. Soudain, elle s’aperçut qu’une ombre très ronde l’entourait. Elle regarda autour d’elle et ne vit rien d’autre que Jehan, son père, qui expliquait quelque chose à son frère, Clotaire. La petite fille leva alors son nez et vit une sorte de gros canon qui lui arrivait dessus à une vitesse folle. Elle voulut bouger, se précipiter vers son père afin de se réfugier mais elle ne put rien faire. Le nez toujours en l’air, elle voulut crier mais aucun son ne sortit de sa bouche. Tout ce qui était parvenu à sortir étaient des larmes qui perlaient le long de ses joues. Et soudain, le grand trou noir …

        [ Franche-Comté, en 1466. ]


Ce trou noir nous permit de revenir à la réalité, revenir au présent. Ce souvenir fut l’un des derniers songes qu’Élisabeth avait visualisé avant que son esprit n’accepte de s’éveiller afin de donner un autre signe de vie autre que celui de la respiration, faible certes, mais quand même. La sorte de gros canon lui avait fichu un énorme mal de tête. Elle avait visiblement oublié ce qui lui était arrivé auparavant, lors de la joute des deux armées. Des douleurs lancinantes lui parcouraient tout le long du corps mais principalement la tête et son épaule droite. Elle voulut ouvrir les yeux mais n’y parvint pas pour le moment. Elle voulut s’asseoir dans son lit mais n’y parvint pas plus. Décidée à attendre un peu de réitérer, elle essaya de réveiller tous ces sens, même si la vue ne voulait pas bouger d’un pouce et que le goût ne lui servirait à rien pour le moment, elle écouta attentivement ce qu’il se passait dans la pièce où elle se trouvait. Elle reconnut la voix de sa camériste, Églantine, qui semblait se disputer, cette fois-ci, avec une voix qui lui était parfaitement inconnue. N’ayant pas réellement assistée au début de la conversation houleuse puisqu’elle était encore inconsciente, elle essaya néanmoins de rattraper son retard : ce qu’elle put comprendre, c’est que le sujet de la dispute entre sa camériste et le médicastre était le fait que la demoiselle était parfaitement capable de soigner sa maîtresse, n’en déplaise au « vieux bouc ». Les choses tournaient mal et cela déplaisait fortement pour l’esprit d’Élisabeth. De tout l’effort qu’elle avait encore, elle ouvrit doucement les yeux, analysa doucement la pièce et compta le nombre de personnes : quatre rien que pour elle. Quand un petit jeunot fit signe à son « maître » — un apprenti médicastre, sans aucun doute — que la patiente était réveillée, ce dernier se rapprocha de la blonde, ne lui laissant aucun instant afin de reprendre ses esprits. Il lui expliqua rapidement qu’il avait dû recoudre son épaule par un fil délicatement choisi afin que la cicatrice ne soit aucunement grossière. Puis il lui expliqua qu’en ce qui concernait sa tête, il n’y avait que quelques égratignures, rien de bien apparent. Ahhh, si seulement elle ne s’était pas pris la raclée du siècle, Aristote seul savait à quel point elle aurait été odieuse avec ce p’tit bonhomme, en commençant par lui faire bien comprendre qu'il sentait mauvais dans la bouche avant de le mettre au cachot pour calmer ses ardeurs. Maaaaais … elle se contenta seulement de lui demander de sortir car elle avait pleinement confiance en sa camériste qui saurait la soigner, avec les plantes de son oncle. Vexé mais ne disant mot, le médicastre poussa ses apprentis avec lui vers la sortie. Une fois seules, Élisabeth interpella sa camériste :
Où est Kränou ?
Ma dame … il était dans un tel état de vous savoir dans cette condition …
Ne me dis pas qu’il y est reparti ?
Ben … si …

Reparti ? Mais reparti où ? Défoncer des g*eules, bien entendu ! Elle dût patienter un très long moment, entre les paroles de réconfort de sa camériste, des petites séances de lecture et des infusions à gogo pour soulager ses douleurs. Un — trèèèès — long moment plus tard, on ouvrit la porte ; Hubert était revenu, annonçant que cette fois-ci, c’était Kränou qui n’était pas revenu en très grande forme des joutes. Balayant de la main les protestations de la galantine — comprenez par-ici qu’il s’agit d’Églantine, ahah — Élisabeth se leva, exigea de sa camériste qu’elle l’aide à mettre son manteau de nuit et partit, vaille que vaille auprès de son époux qu’on avait installé dans une autre chambre afin de lui administrer les soins nécessaires. Le bras en écharpe afin de reposer son épaule, elle s’installa sur le lit de son amour d’époux et lui prit une main dans son unique main valide — du moins, celle qui n’était pas coincée dans une écharpe. Quand ce dernier se réveilla, il put découvrir une Élisabeth en chainse, enroulée dans un manteau de nuit, les cheveux en tresse — jamais elle ne serait affichée avec un bandage sur la tête devant lui, faut pas déc’ —, souriant car elle était heureuse qu’il se réveille — si seulement elle savait ce qu’il avait fait entre les joutes et son réveil …

Tu crois quoi ? Je ne vais quand même pas te laisser tout seul, mon pauvre adoré.
Je te suivrais jusqu’aux Enfers, si je devais le faire. Et je ne le ferai que pour toi.


Elle se blottit délicatement contre son époux — que ce soit pour préserver ses blessures à elle mais les siennes également — après lui avoir doucement embrassé la joue. Et elle conclut, tout sourire : À quand les prochaines festivités ? À croire que ce coup-ci ne lui avait pas suffi.
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Laorra
[ Round 3]

Une nouvelle nuit pour combattre, pourtant, cette nuit, elle savait qu'elle risquait gros, elle avait par le passé affronté Théo en lice, elle s'était ramasser une rouste mémorable.
Elle en avait tiré des enseignements mais pas suffisamment pour le battre.
Elle n'allait pas se dégonfler, pas question !
Elle souhaitait faire honneur à son Capitaine et ses frères d'armes tombés.
L'heure était arrivée et de nouveau, ils furent au lieu de rencontre, la hargne, la frustration au ventre, ils se jetaient des regards noirs, cette fois-ci c'était la dernière, vaille que vaille, il fallait un gagnant.

Elle sortit son épée du fourreau, le bouclier pour la protéger et elle fonça comme lui fonçait sur elle, déterminé, passionné et animé d'une flamme de vainqueur.
Le bras armé assénait coup sur coup sur son bouclier, elle peinait à le tenir à distance et elle sentait celui-ci prêt à se briser, une dernier coup fut frappé et il vola en éclat, heureusement elle eut le bon réflexe de maintenir l'assaut de son épée.
Théo était vif, agile et puissant dans ses coups, elle paraît, elle n'arrivait pas à porter un seul coup.
Elle recevait une leçon en bonne et due forme, il cognait tellement fort que son épée se brisa, elle fut désarmée, face à lui, une entaille vint déchirer sa chair au niveau de l'avant bras droit et sous son regard écarquillé, elle sentit la lame s'enfoncer sous ses côté sur son flanc droit.

Sa bouche s'ouvrit, pas un son ne franchit la barrière de ses lèvres, elle porte les mains sur la lame enfoncée dans sa chair, ses iris passent de l'épée à son adversaire, la douleur irradie tout son être, la douleur et le froid quand elle tombe à genoux, il retire son épée, une sensation de brûlure la parcourt, elle pose sa main sur sa blessure, regarde son sang s'écouler, elle va mourir cette nuit, à cet endroit, elle n'a que quinze ans, elle veut vivre, elle veut le revoir, elle veut encore rire et découvrir, toutes ces choses que l'on croit sans importance, elles en ont toutes.
Elle ne veut pas mourir, pas loin de lui, pas sans lui avoir dit, elle sent son corps s'alourdir et chuter vers l'avant, la sensation glaciale ne dure pas, un dernier coup porter à la tête l'a fait sombrer.
Voilà, la fin des aventures d'un petit soldat.

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Amandine..
Nouvelle nuit nouveau combat.
Théo se rua vers Laorra, fallait finir la leçon qu'il lui avait donner après tout.
Il sourit poliment en combattant. Bien que son regard soit vindicatif.
Il avait l'arme et le boucler. Il se mit à courir pour la charger de façon oups t'es devant ma charge bouge ou je te roule dessus.
Aussi bizarre soit il elle avait lancer l'assaut en premier. Le coup avait toucher le bouclier.
Il réplique de grands coup d'épée comme pour l'enfoncer dans le sol. Epée ou marteau pareil c'est fait pour enfoncer les clous qui dépassent.

Il s'impatiente il frappe de plus en plus fort. Ce clou est difficile à enfoncer dans le sol. Le bouclier de lao viens de se briser chouette enfin il va pouvoir commencer à finir le combat. Comment agirait t'elle se défendre ou tenter de l'attaquer.
Il réussi au bout d'un assez long moment à la toucher flanc droit Enfin elle va morfler.

Pour conclure le combat théo ajouta
Simple lève l'épée et abat la le plus fort possible l'adversaire n'est qu'un clou a enfoncer.
Il frappa la tête pour l'assommer.
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