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[RP]Basilique Saint Nitouche de Chambéry

Felix.nicolas
Les mots prononcés, le prélat prit de l'eau qu'il aspergea à la figure du châtain.

«Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.»

Il lui donna alors un linge pour qu'il essuie son visage alors qu'ils remontaient jusqu'à l'Autel. Un cierge fut tendu au nouveau baptisé.

Que ce cierge vous illumine toute ta vie sur le chemin de la foy et de la vertu, comme enseigné par nos deux prophètes. Cela représente la lumière qui brille à présent en ton coeur.

Le prélat lui donna ensuite une médaille.

Voici ta médaille médaille de fidèle aristotélicien. Garde-là précieusement, elle atteste de ta nouvelle appartenance à notre grande famille.

Il s'avança alors vers lui et ouvrit ses bras pour lui donner l'accolade aristotélicienne.

Félicitations!
Elhoki
La rouquine entra en courrant affolée dans la basilique

Monseigneur Néocor vous êtes là? Néocor???? Répondez moi par pitié? Y a des gens qui disent en ville que vous êtes parti rejoindre le créateur de toute chose! Néocor hein que c'est pas vrai?

Elhoki fondit à genoux en pleurant

Non sniff c'est pas possib' sniff peut pas être mort. si il est mort y aura plus de vin de messe non c'est pas possib', inimaginable sniff
Torestan
Torestan, qui était venu pour sa prière matinale, fut réveillé par les sanglots de la pauvre Elhoki qu'il s'empressa d'aller consoler.

Allons, ma bonne amie, ne vous l'avais-je point dit ?

...

Mais pour l’heure, avant de se laisser aller aux larmes, il nous faut en avoir le cœur net.
Saint Néocor est certes peut-être mort, en train de nourrir les poissons, mais s’il ne l’est pas, cela veut dire qu’il est reclus dans un recoin de cette cité.

Peut-être a-t-il besoin d'aide ? Peut-être est-il enfermé dans les latrines du presbytère ? Peut-être est-il coincé sous un tonneau de vin de messe ? Il nous faut le trouver, mort ou vif !

M'aideras-tu dans ceste divine queste ?

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Valakus
On est mercredi alors Valakus vient "prier", il s'agenoux avec délicatesse grogne un peu à cause de la vive douleur ressentis et ce met à "prier" tout en disant ses "pêchés".

Nous mais je vous jure, 4 jours elle a dit mon seigneur, 4 jours !

Regarde vite fait autour de lui, puis se remet à prier.

Enfin vous voyez, et puis vous savez hein de toute façon, vu que vous savez tout, du coups je me disais vous pourriez pas faire un truc pour ses 4 jours ? Je sais pas moi....


Regarde à nouveau s'il y a personne.

Me soigner vite fait bien fait, personne ne verra rien..... et puis cela restera entre nous, c'est un petit truc pour vous hein. Je me disais vous avez vu ma belle feinte l'autre jour, si cela vous a plus vous pourriez faire un geste.... un petit geste.... un tout petit geste.

Regarde à nouveau s'il est seul.

Vous savez hein, je me sens mieux vivace, en plein forme.... vous pensez que je vais gagner.... je veux dire le tournois......après tout c'est carrément mon domaine.

Bien heu sinon niveau pêché.... ehu j'ai bu mais sa compte pas vraiment si ? Je suis toujours aussi beau parleur avec les femmes, je résiste pas.... sauf à la votre hein promis, j'y touche pas croix de bois..... croix de machin chose, enfin vous connaissez surement cette expression mieux que moi, vu que vous savez tout et entendez tout.


Il ferma les yeux et quel instant et repris.

Quoi m'entrainer ce matin.... non j'ai dit que je me reposer 4 jours... ? les mannequin bon oui d'accord..... me suis peut être entrainer...légèrement oui d'accord.... mais c'est tout..... et j'ai pas promis..... enfin.... je crois hein.

Il se lève, se dirige vers la sortie, fait demi tour se remet à genoux et dit :

Pardonnez moi pour mes pécher et patati et patati.... désolé ari et christi mais je me souviens pas de la suite faudra à faire avec.
Amen.


Il se lève et sort en direction de l'auberge.
Elhoki
Alors qu'Elhoki déversait toutes les larmes de son pauvre corps se sentant aussi esseulée qu'un cheveu au milieu d'une calvitie galopante, elle entendit Torestan venir la consoler

Allons, ma bonne amie, ne vous l'avais-je point dit ?

Snif ben si, mais snif je ne voulais pas y croire c'est trop horrible

Mais pour l’heure, avant de se laisser aller aux larmes, il nous faut en avoir le cœur net.
Saint Néocor est certes peut-être mort, en train de nourrir les poissons, mais s’il ne l’est pas, cela veut dire qu’il est reclus dans un recoin de cette cité.

Peut-être a-t-il besoin d'aide ? Peut-être est-il enfermé dans les latrines du presbytère ? Peut-être est-il coincé sous un tonneau de vin de messe ? Il nous faut le trouver, mort ou vif ! M'aideras-tu dans ceste divine queste ?


Pour sûr que je t'aiderai, il faut absolument qu'on le retrouve


Elhoki essuie ses larmes avec sa manche, et retrouve un peu de courage

Coincé sous un tonneau de vin de messe on frôle la mort parfaite, moi je préférerais mourir DANS un tonneau de vin de messe.
Torestan
Héhéhé... la vérité est toujours au fond du tonneau, dit un proverbe batave.
C'est pourquoi il nous faut le boire jusqu'au bout !


Torestan sur ces sages paroles se pose lourdement sur un banc, histoire de s'accorder le temps de la réflexion, ou d'attendre l'inspiration divine, c'est selon.

Autrefois, quand on cherchait le curé, on allait taper à la porte de la sacristie...
Y'en a t'il encore une céant ?

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Elhoki
La jeune rousse le visage encore tout gonflé d'avoir tant pleuré s'assoit à l'autre bout du banc de son ami histoire de contre balancé un peu le poids du moine.

Autrefois, quand on cherchait le curé, on allait taper à la porte de la sacristie...
Y'en a t'il encore une céant ?


Une sacristie qu'est ce donc?
Il aurait ça dans le séant Néocor?
Je crois que j'ai pas tout compris parce ce que si sa sacristie à une porte je doute qu'il l'ait dans le séant.
Enfin je n'ai jamais connu personne ayant une porte dans son anatomie.
Torestan
Voilà qu'à l'autre bout du banc, Elhoki le regardait bizarrement, avant de se lancer dans une drôle d'interrogation métaphysique au sujet des orifices du corps humain en général et de Néocor en particulier.

Pas de porte, en es-tu bien sûre mon amie ?
Tes yeux ne sont-ils point la porte de ton âme ?
Quand à ce que Néocor a dans le séant, franchement, j'en ai bien une petite idée... de la mierde, certes, mais de la mierde sainte !
Mais quel rapport avec la sacr...


"clic & déclic"

Céans !!!
Je demandais s'il y avait une sacristie céans, avec un çé !
Adverbe de lieu, qui signifie par ici, à l'inverse de léans, qui veut dire par là-bas.
Quand on dit au château ducal que le duc est le maître de céans, on ne parle pas de son boyau culier, Elhoki, voyons !
Ça c'est séant, avec un esse.
Par exemple...

Tel Neptune en son Océan,
Je suis assis sur mon séant céans!

Saisis-tu ma rousse amie ?


[HRP: Bon, d'accord, j'avais écrit céant pour céans... mea maxima culpa. ]

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Elhoki
Elhoki sursauta face au déclic de Torestan

Ah d'accord je comprends mieux, je me disais aussi que ça me semblait étrange, mais bon l'anatomie des Saints n'est pas mon point fort.

La jeune femme se lève déséquilibrant le banc qui se soulève.

Bon je ne sais pas plus ce qu'est une sacristie.
Mais tu viens de dire qu'il y avait une porte et là moi j'en vois deux, une de chaque côté de l'autel. On tente notre chance à laquelle en premier? Droite ou gauche? Par contre je préférerai qu'on ne se sépare pas parce que je dois l'admettre j'ai un peu peur de ce qu'on pourrait découvrir.
Torestan
La stupeur provoquée par le soudain basculement sous son séant fit perdre à Torestan l'équilibre l'espace d'une demi-seconde. Un relâchement compréhensible mais mal venu, car aussitôt, il expérimenta douloureusement l'inconvénient d'être si près du sol de marbre quand on n'a qu'une fine bure sous les fesses.

Il glapit comme un lapin en rut, mais se ressaisit bien vite, s'étant promis de ne jamais jurer dans la maison de Dieu.


Sacredi... sacristie.
La sacristie c'est là où le curé se prépare à la messe, ma trop vive amie.
Là où il range ses... instruments.
Et là où il pique un roupillon entre deux credo, à l'occasion.

Et mon nom c'est di Cappiluto, pas di Capello,
marmonna-t'il finalement en se massant le fondement endolori.
Mais chez Torestan comme chez l'orage des montagnes la mauvaise humeur n'était jamais bien longue.
D'autant que le courage d'Elhoki l'amusa, lui qui n'en avait guère plus.


Hmmm, tu as raison, restons ensemble.
Et passe devant, tu es plus rapide que moi !
De plus, la dernière fois que j'ai passé la porte d'une sacristie, je me suis retrouvé face à face avec un abbé borgne et pendu qui brillait comme luciole et crachait des vers par le nez...

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Victoria.d.alaya
Marre ! Marre, marre, marre ! Son mari faisait la guerre, son frère faisait la guerre, sa belle-sœur faisait la guerre, il n’y avait plus que cela au monde : la guerre !

Victoria referma la lourde porte et avança dans l’allée pour se glisser dans une des premières rangées de bancs. Elle ne s’agenouilla pas vu l’inconfort de la position dans son état, le Tres Haut lui pardonnerait ce petit écart. Elle releva les yeux sur la voute et dit tout haut.


J’espère que vous n’êtes pas à la guerre, vous aussi !

Manquerait plus que cela tiens ! Elle était seule, elle n’avait l’aide de personne, elle accoucherait surement toute seule dans son coin, alors elle espérait au moins l’aide spirituelle du Seigneur pour la soutenir. Quoi que accoucher dans la basilique n’était peut-être pas le pire endroit pour ce faire. Au moins si elle mourrait, elle serait sur place pour la suite. La petite princesse laissa un long soupir franchir ses lèvres. Que n’aurait-elle donné pour avoir sa mère à ses cotés à cet instant précis. Elle croisa ses mains et commença à prier.

Seigneur, dans votre incommensurable bonté, vous qui savez faire preuve de la plus grande pitié envers vos brebis, pauvres mortels qui n’ont que rarement conscience de leurs fautes, veuillez pardonner les miennes. Et que si, dans les jours à venir, vous décidiez de me rappeler à vous, je voudrais que vous laissiez une chance à la vie que je porte ...

C’est à ce moment là de ses prières, pour le moins moribondes, que la porte d’entrée de la basilique émit un grincement des plus désagréable. La jeune femme ne bougea pas, penchée sur ses mains jointes. L’importun aurait sans doute vite fait de ressortir.

Son esprit suivait une série de “Tching” “Bling” “Klong”, bruyants et disgracieux signes militaires, jusqu’à ce qu’une masse sombre vienne se poser à coté d’elle. Ouais, quand on n’a pas de bol, on n’a pas de bol. Il fallait qu’elle trouve un chiant même dans la basilique.


Pssst. Heu ... Pssst Vot’ Grandeur Dame ... Seigneurie ...

Quoi ?!

Le ton est un peu beaucoup agacé et résonne dans le vaste espace sacré.

L’homme sort une missive de sa poche et la tend à Victoria.


Désolé ... j’ai mis un peu d’temps à vous trouver ...

Z’avez mal cherché, c’est tout !

Elle attrape le vélin et le messager ne demande pas son reste pour disparaitre aussitôt. Ce n’est guère l’endroit pour s’occuper de son courrier, et puis l’autre idiot l’a déconcentrée. Elle se lève, s’approche de l’autel, se signe en marmonnant et fait demi-tour pour descendre l’allée centrale. Son regard se porte machinalement sur la lettre et Victoria reconnait le sceau du domaine de sa mère, en Bourgogne. Coïncidence ? Signe du Très Haut ? La curiosité la fait stopper sa marche au milieu de l’allée et ouvrir la lettre avec impatience.

Un peu déçue, elle ne reconnait pas l’écriture de sa mère. Tout en bas, la signature d’un intendant qu’elle ne connait pas. Elle fronce les yeux et commence la lecture. S’arrête. Relit une phrase. Lit à toute vitesse la suite. Sa main se porte à sa gorge, elle a du mal à respirer, la tête lui tourne, elle cherche un appui qui n’existe pas au milieu de cette allée et soudain, c’est le trou noir, la jeune femme s’effondre sur elle-même, inconsciente.




A vous, Dame Victoria d’Alaya von Wittelsbach.

Avons trouvé parmi les affaires de votre mère, Anne Éléonore Saint Preux d’Alaya, votre missive où vous lui faisiez part de votre mariage. Comme vous le saviez, votre mère s’était retirée de toute vie sociale pour se consacrer à une retraite spirituelle qui lui semblait nécessaire. Il me revient de vous écrire et de vous prévenir.

Il y a quelques jours, la Mère Supérieure de l’abbaye où elle s’était retirée m’a contacté pour m’annoncer que votre mère avait quitté l’endroit sans en avertir quiconque. Toutes nos recherches sont restées infructueuses. Et puis, après plus de deux semaines, nous avons découvert un corps à la surface d’un étang non loin. Tous les indices portent à croire que c’est bien celui de votre mère.

Je suis tristement désolé de vous apprendre la chose de cette manière. J’espère que vous aurez autour de vous le soutien nécessaire à cette épreuve.

Avec toutes mes condoléances,

Gauvain, intendant.

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Chocolatines


Après trois semaines à défendre Chambéry contre les François, enfin pas uniquement, puisqu'ils se battaient aussi contre ceux qui ne partageaient pas leur opinion, et après une trêve annonçant peut-être la fin des hostilités, la blondinette se rendit sur les hauteurs de Chambéry histoire de pouvoir enfin profiter de ce séjour...
Elle était contre les armes, elle en avait une sainte horreur mais aussi une immense trouille. Elle trouvait que se battre autrement que par les mots était une façon lâche d'agir, et que si en amont, les discutions et la communication avait été au préalable fait comme il se devait, ils n'en sauraient pas là actuellement. Vrai aussi que les mots pouvaient être plus sanguinaires que les actes, mais l'heure n'était pas à déblatérer et refaire le monde toute seule, juste de profiter du calme avant la tempête...
Elle se rendit sur le mont Carmel, afin d'y contempler la vue imprenable sur la cité. Les gens allaient et venaient comme s'il n'y avait de guerre. Seules les armées concentrées aux aborts de Chambéry pouvaient laisser supposer que quelque chose se tramait...
Ses yeux se portèrent sur un édifice de style romain, l'abbaye Sainte Nitouche. La dernière fois qu'elle avait mis les pieds dans un édifice religieux en ville, c' était pour un mariage, après elle s'était reculée au couvent.
Une prière ne lui ferait pas de mal, puis la fraîcheur du lieu la remettrait surement de se remettre de cette excursion sous le soleil de plomb.
Elle fit les derniers pas la séparant de l'abbaye, s'apprêta à ouvrir la grande porte qui comme par miracle s’entrebâilla avant qu'elle ne pu toucher la chevillette de celle ci. Et non pas un miracle mais ni plus ni moins un jeune homme qui en sortait, un fidèle surement....Elle le salua et lui sourit puis elle pénétra dans les lieux.

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Arwenn1
C'était Dimanche et la matinée était déjà un peu avancée. une ombre se découpa de la lourde porte pour s'étendre progressivement sur les pierres pavés de l'église. une fumée légèrement blanchâtre semblait s'échapper par intermittence du à la température ambiante malgré un beau soleil à l'extérieur. A pas lent la jeune femme pénétra et vint prendre place sur un des bancs du saint bâtiment. joignant ses mains, la tête inclinée vers l'avant en signe de soumission pieuse la jeune femme pria avec toujours autant de conviction, de force et de dévotion. Le temps s'écoula avec la même lenteur qu'elle n'en avait mit pour entrer et prendre place, du moins c'est le sentiment qu'elle en avait.
Arwenn releva la tête et laissa son regard faire le tour et détailler le moindre recoin du lieu saint. Combien de temps s'était écoulé depuis la dernière fois qu'elle était venue prier ici. Combien de jours, de semaines, de mois....Arwenn n'en était plus sûre. Sa vie avait prit des tournures si étranges. Elle qui n'avait rêvée que d'une vie tranquille et de construire un foyer où elle aurait pu combler un mari aimant, sincère et honnêtes et des enfants à leur image. Deux mariages et deux êtres qui s'étaient jouer d'elle de la plus vils des façons soit par le mensonge soit pire encore.
Que la vie était étrange vraiment et que le Très Haut avait une façon surprenante de mettre à l'épreuve.

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Irina
Citation:





Nous, Monseigneur Haeven Von Valendras archidiaconesse du diocèse de Genève, diaconesse d'Annecy et Grand Maitre de l'Ordre des Templiers, déclarons valider les bans de la demande d'épousailles reçue auprès de Nous même, de Messire Haironthe Sciphanius, Seigneur de Roure et de Dame Irina Liszt Lablanche d'Abancourt, dame de Choignes.

La cérémonie de mariage aura lieu le 11 décembre 1463 en l'église de Chambéry lieu de leur résidence et sera officiée par moi même avec l'autorisation de Monseigneur Neocor.
Leurs témoins respectifs seront, sa Grasce Elias de Talleyrand Cheroy et sa Grasce Exaltation Lablanche d'Abancourt.

La période des fiançailles officielles prend effet à compter du jour de leur demande soit le 23 novembre 1463.
Le délai de publication des bans prend donc effet à compter de 15 jours suite à leur demande conformément au Droit Canon.

Puissent les fiancés profiter de ces instants pour confirmer leur amour.

Fait le 24 novembre 1463 à Annecy



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Victoria.d.alaya
Personne n'avait mis les pieds, ou même les mains, dans le lieu saint. La poussière s’était installée depuis des mois, les araignées avaient trouvé grand place pour s’étendre de part et d'autre, l'endroit faisait presque peur.

Allons Marinette ! Mettons nous au travail. Nous en avons plus que notre comptant.

La jeune servante s'activa a passer le balai tandis que sa maitresse passait minutieusement un chiffon sur tout ce qui ornait la nef et le chœur de l’église.

Aucune messe n'avait été dite depuis longtemps. Ce dimanche, elle passerait sa robe de diaconesse et tenterait de faire venir quelques personnes pour une prière commune.

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