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[RP] Eglise Saint Bynarr

Doucebrise


Après une promenade dans le village, Douce se retrouve devant l'église.
Ell pousse la porte et va s'asseoir sur une chaise devant l'autel.
Douce regarde le châtoiement des couleurs par le soleil qui filtre dans les vitraux.
En se penchant sur son panier, elle prend son livre des vertus et lit une prière.
Douce lève les yeux vers Aristote, le prie très fort et le remercie pour tous les bonheurs qu'il lui donne tous les jours et encore plus aujourd'hui!!
Elle est tellement heureuse que ses yeux se brouillent par les larmes.
Après un long moment de méditation, Douce reprend son panier et sort tranquillement de l'église.

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Claubert
Depuis quelques jours, Eauze n'est plus la même... Et ça me rend triste !

En ce dimanche de printemps, j'erre dans les rues du village, je cherche... L'église ! voilà un endroit où je vais pouvoir m'isoler quelques instants et réfléchir à ce que je vais entreprendre...


Claubetr était à la recherche des ses amis... quelques uns d'entre eux avaient quitté Eauze et d'autres n'avaient pas donné de nouvelles depuis plusieurs jours. Il réfléchissait donc à la possibilité de partir ou de continuer sa vie dans ce si joli village. C'était la deuxième fois que cette situation se présentait. Il avait déjà enterré plusieurs amis et ne voulaient plus revivre cette situation. Le recueillement était un moyen d'apaiser ses douleurs.


Il parcouru l'allée centrale et prit place à quelques rangées d'une dame qu'il ne reconnut pas tout de suite.
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Je m'emporte pour ce qui m'importe
pnj


Bien rare les fois où l'on pouvait l'apercevoir dans une église...cela se comptait sur les doigts d'une seule et unique main. Il s'avança vers le bénitier afin de tremper ses mains et se signer avant d'entrer au centre de l'église... Lieu bien vide depuis le départ du curé... Curé qu'il n'a même pas aperçu une seule fois... Eauze... ville bien mitiger... Il avait traversé le Royaume de France en long et travers, ainsi qu'une infime partit du Sring...

Mais pourquoi avoir atterri ici à Eauze? Car sa sœur lui avait demandé? Lui qui avait un grand avenir en Normandie... Pourquoi avoir tout quitté pour venir ici? Sans ami... sans famille... sa sœur voyageait, pendant que lui cherchait... Le peu des gens qui pouvaient se dire proche de lui n'était plus... prier pour eux? Prier pour son futur? Son passé ou son présent? Prier pour trouver réponses à grand nombre de ses questions?

Non, il n'était pas du genre à se morfondre. Il s'installa quelques minutes sur un banc, son regard fixé sur la croix aristotélicienne qui dominait l’église, tout en profitant du calme qui régnait pour reposer son esprit... bien fatiguer de ses derniers jours qui fut assez éprouvants...
pnj
Elle pense, ne s'arrête pas de penser pour se donner du courage: C'est mon deuxièmes jours de labeur, je dois, je fais. Je veux mon indépendance, je ne veux rien devoir à personne et pourtant au deuxième jour de mon arrivée dans ce village je gratte déjà les sols de l'église à la sueur de mon front. Mais je le veux ce champs, je la veux cette bonne réputation qui me donnera accès à une terre dans ce village. Sans cette reconnaissance je n'aurai le droit que de mendier et ça jamais!

Jupons et robe retroussées à la ceinture ne heurtera pas les passants mais empêchera la jeune fille d'avoir ses seules vêtements trempés.
Elle frotte de toute ses forces ce sol sali par les bottes, et les chausses des âmes venant prier. Elle lave les pierres de leurs passages comme pour effacer à jamais tous les pêchés qu'ils ont pu confesser dans ce lieu.
Ses doigts crispés sur la brosse deviennent douloureux mais elle frotte toujours. Aujourd'hui les sols, demain le reste.
Pour 5 écus, même pas de quoi s'offrir un pain au couché du soleil, elle frotte.
Le soir quand elle entre en taverne le ventre vide ,les main pelées par l'ouvrage elle crie avec un sourire " Plus personne ne va à l'Église, elle est propre!". On l'a regarde un peu de travers, tant pis si on ne voit pas son sourire qui se veut juste plaisantin, tant pis si on lui dit " Surtout ne dites pas cela Dame...".
Que peut-on dire d'autre après avoir passé chaque dalle à grande eau?

Certains ce câline, d'autre se prennent de bec. Intuosi, elle écoute, essaye de parler malgré son ignorance. Elle repartira très vite, fourbu de sa journée, peut être sentant qu'elle n'est pas encore capable de parlait à n'importe qui comme ça. Premier pas dans une taverne, si elle le dit, on l'a trouvera sûrement niaise.

A l'aube du troisième jour, le levé fût difficile, mais elle devait encore s'y rendre, finir de faire tout briller. Encore 5 écus. Encore une misère, mais cette fois, ce soir, elle aura son pain. Sonventre le réclame, ses bras sont moins robuste, ses jambes ne veulent plus avancer.
Au soleil couchant, au premier boulanger elle prend la miche tant rêvée et c'est devant cette église qu'elle y croqua à pleines dents, affamée.

Coup de menton vers le clocher.

Eh Aristote bénis moi, je crois que je l'ai bien mérité ce coup là.
Rixende
Ed avait donné l'ordre de rentrer à la cabane pour achever la soirée sans esclandre. Le but étant de rentrer sans se noyer ce qui n'était pas gagné. Dans leurs traversée ils passèrent sur la place du village sur laquelle Rixende valsé de droite à gauche en criant à tout va.

La nuitttttttttttt est belle, le vin est chaud, et moiii je suis morteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ivreeeeeeeee.

Ses pas la menèrent non loin de l'église de Eauze devant laquelle se trouvait plusieurs arbres et de gros cailloux. Rixende tire son frère non loin de la porte de l'église le regarde et repars en arrière.

Regarde j'ai aussi appris à danser mais ça je ne sais plus où.

La jeune fille monter sur un cailloux fait un pas, descend tourne autour du tronc de l'arbre puis reviens vers Ed en souriant. Elle tourne autour de lui, tourne, tourne, tourne encore.

Ta vu je......

Elle avait fait un tour de trop, celui qui la propulse sur une pierre, en la heurtant elle perd l'équilibre et part droit devant sur son frère en le percutant les deux bras en avant.
Frère et soeur sont propulsés dans la grande porte de l'église la fracassant littéralement en y rentrant dedans. Rixende attérit genoux au sol dans l'église précédé par son ainé
.

... Danse bien, aie, outch, aieeeeeeeeeeeeee.
Euh, Merci, la porte de nous avoir laissé rentré.

Veuillez lire vos MP. Merci. Thersite.
Edwald_
Ed chantait avec sa jeune soeur...

La nuit est bellleuuuuuuuuu elle est sauvagggeuuuuuu la nuit elle est bellleuuuuuuuu elle est sauvagEUUUUUUUUU

A proximité de l'église Rixende se mit à faire un petit air de danse qui amusa beaucoup son ainé. Ed pour mieux observer sans trop bouger de gauche à droite s'était appuyé contre la porte fermée de l'église, jusqu'à ce que Rixende vint à faire un faux pas et à lui tomber dessus...

CRACKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKK

... Danse bien, aie, outch, aieeeeeeeeeeeeee.
Euh, Merci, la porte de nous avoir laissé rentré.


OOOOH On a cassé la porte !!! mais .. hips... on s'en fou y'a po d'curé qui qui viendrait nous gronder heinnnn ?

Ed se releva et commença à sauter dans tous les recoins de l'église...

Je te sallluuuue oh aristote toi plein de graaaaaaaas !!!!! AHAH !! que ta croix soit penduler et que mon pied soit pantoufléééééé !!!

Edwald continuant à sautiller s'installa contre le bénitier...

REGARDE RIXE !! SANS LES MAINS !!

Il commença à faire pipi dans le réceptacle, sans les mains forcément, en mettant un peu partout...

Veuillez faire du Rp correct. Je vais être amené à effacer tous vos posts. Thersite.
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Rixende
Un atterrissage forcé dans l'église et la petite Rixende se relève les genoux en sang. Ed quand à lui tentait de lui montrer ces talents caché. Il entreprit donc de pisser dans le bénitier sans les mains. Rixende éclata de rire en voyant le liquide se répandre un peu partout autour du bénitier.

Ed, humm j'ai encore soif moi.

Rixende cherche alors dans l'église de quoi assouvir sa soif, elle attrape un pichet sur lequel était écrit "vin de messe".

Ed ça se boit ça tu crois?

Son ainé sans demander son reste attrape le pichet et vois goulument apportant ainsi la réponse à la question de Rixende.
Rixe ne ce fait pas prier et attrape le nectar qu'elle ingurgite à son tour. Mais ce fut là la goute de trop et ses tripes ne le supportèrent pas. Elle partit donc en courant tout régurgité dans le bénitier. Vomis, plus pisse quelle mélange. L'odeur qui émanait du bénitier retourna l'estomac de Rixende
.

Ed, sortons cette odeur affreuse me donne envie de vomir.

Elle s'en retourne alors vers ce qui restait de la porte de l'église et n'eut pas le temps de sortir avant de poser un reste de vomis pile dans l'entrée de l'église.

Oups, Ed, on n'y va? J'ai mal au ventre.

Veuillez faire du MP correct. Je vais effacer vos posts. Thersite.
Edwald_
Ed avala un bon demi litre de vin avant de sentir aussi mal que sa soeur. Se retenant de vomir il ne put que constater que sa soeur elle avait totalement lâchée prise. Il alla la rejoindre à l'entrée de l'église...

Rixe soeurette hips... ça va toi?

Il vit le visage pale de sa soeur...

Ralala.. hips... c'était le vin d'trop ! allez cte fois on rentre .. hips...

Il se retourna vers l'intérieur de l'église...

Au revoir Aripote !!

Edwald et Rixende s'éloignèrent de l'église, leurs silhouettes disparurent petit à petit vers la gélise et la sortie du village....
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pnj
Lyngwen un peu voir beaucoup curieuse arrivat sur le lieu de sacarge de ed et de sa jeune soeur. Elle regardat le benitier et rigolat,


oups


dit elle

les bandes de cochon,


elle grimacat en sentant l'odeur infecte qui en degeager et en regardant le liquide jaune et les dejection buccales . Lyly repris le chemin du village en rigolant en se disant,

si je pouvais etre un peu comme eux, foutiste, enfin pas trop non plus
.


Lynngwen soupirat ensuite quelque chose sembler la tracasser
Navigius
Balise modifiée pour être conforme aux normes. Thersite.




C’est dans le Soleil levant que la litière archépiscopale fit son entrée dans la petite ville d’Eauze, en provenance de la capitale. Quelques enfants courraient à ses côtés, sachant que l’occupant, sans nul doute, ramenait quelques friandises, le caractère débonnaire du prélat était reconnu par plusieurs. Rapidements, ils furent récompensées, une main parue par la fenêtre du véhicule et laissa échapper quelques gourmandises rapportés de la capitale, dans un cri de joie visiblement puissant des enfants. La diligence s’immobilisa devant l’Église Saint-Bynarr, et une canne argentée précéda la sortie du prélat d’Auch, tâtant le galet avant les pieds du bon ecclésiaste.

- Frère Christophe, c’est une excellente journée que nous avons. Avez-vous fait préparé l’Église comme nous l’avions mentionné? Nous avons de grands espoirs pour le jeune homme que nous baptisons aujourd’hui cher ami, espérons que nous ne serons pas déçu.


Aidé par son fidèle frère Christophe, arrivé la veille, l’italien grimpa le parvis jusque dans l’église, contemplant une décorations sobre et parfaite de l’endroit, ne s’attendant à rien de moins du frère Christophe. Au centre de l’allée, le redoutable prie-dieu de l’Archevêque, qu’il trimballait en toute cérémonie avec lui, trônait, en l’attente de sa prochaine victime. L’italien passa une main sur le bois usé, empli de fierté devant ce qui avait une fois, jadis, accueillis les genoux d’un Roy de France.

- Faites donc sonner les cloches mon bon Christophe, est-ce toujours le petit Thomas de Méricourt qui s’en occupe?

Un bruit d’enfant courant vers le clocher fut la seule réponse, qui déclencha un sourire sur les lèvres de l’homme d’église. Il se dirigea vers l’entrée, appuyé sur sa canne, attendant la venue des fidèles. Sur la grande place, la population se préparait à la messe. Les mères replaçaient les cheveux de leurs enfants, ébouriffés par des aventures dans le marché ou bien en marge des murs. Les pères, vidaient la dernière choppe, tentant d’éviter le regard de l’ecclésiaste. Tous se dirigeaient vers la messe…

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Prêtre aristotélicien
Évêque Suffragant d'Orléans
"Sic nos sic sacra tuemur"
Rulof


Au petit matin, Rulof se leva d'un bon pied dans une chambre bercée par les premiers rayons de soleil. Il allait partager comme à l'accoutumée sa journée entre la boucherie, le conseil du village et les courriers envoyés aux escrocs. Pour se donner du courage, il se rendit en taverne rejoindre Ali et d'autres boire une petite chopine. Alors qu'il conversait dans une ambiance agréable avec ses amis et quelques voyageurs, un événement inhabituel se produisit : une lettre arriva portée par un valeureux pigeon. Le manuscrit était marqué du sceau de l'archevêché. Etonné, il l'ouvrit sans plus attendre. L'Italien lui écrivait afin de lui annoncer non seulement sa venue mais également et surtout l'ouverture, qu'il avait tant attendue, de son baptême. Celui-ci se tiendra en l'église d'Eauze afin de faciliter les déplacements et la cérémonie pourrait débuter ce matin même.

Le sang de Rulof ne fit qu'un tour, laissant même tomber le verre contenant le précieux liquide. Tout excité, il prit dans ses bras Ali tout en lui annonçant la nouvelle. Ni une, ni deux, il sortit de la taverne en trombe, ayant juste le temps d'inviter les personnes présentes à venir à la cérémonie. Il arriva chez lui en courant, ouvrit la porte à la volée et monta dans sa chambrée. Il retourna l'ensemble de ses frusques à la recherche de ses plus belles étoffes. Il les enfila en vitesse. Il était déjà tard, la cérémonie allait débuter et comble du comble, sans lui ! Toujours en courant, il arriva en vue de l'église où de loin, il aperçut Monseigneur qui l'attendait. Ralentissant l'allure, il prit le temps de rajuster son col et afficha un sourire qui lui donnait un air faussement décontracté.

Il arriva à hauteur de l'ecclésiaste qu'il salua chaleureusement.


Monseigneur, j'ai appris la nouvelle. J'en suis si heureux ! J'ai fait au plus vite, soyez en sur.

Rulof prit place tout en essayant de reprendre son souffle, impatient que la cérémonie démarre.
Alyza
Quand Rulof prit Ali dans ses bras pour lui annoncer la nouvelle, celle-ci était heureuse pour lui; il tenait tellement à ce baptême.
Depuis des semaines, il ne parlait que de ce jour qu'il attendait avec grande impatience.
C'est ainsi que surprise, elle le vit partir en courant et elle essaya tant bien que mal de le suivre. C'est qu'il courait vite et elle peinait à le suivre.
Pas encore arrivée à la porte de la demeure, elle le vit ressortir presque aussi vite qu'il était entré; le col de travers mais quand même peigné.



Par Aristote, qu'il a l'air heureux et pressé. Quelle effervescence!
Lui, d'habitude si calme et posé.


Elle le suivit du regard avec un sourire aux lèvres et rentra afin de se changer et d'attacher ses cheveux pour aller le rejoindre à l'église.

Enfin prête, elle sortit de la maison et se rendit à l'église où elle le vit discutant avec Monseigneur.
Elle les laissa à leur discussion et pénétra dans l'édifice afin de s'isoler et prier pour celui qu'elle chérissait plus que tout et pour que les élusates retrouvent un peu de sérénité.
Barrack


Barrack fut étonné d'être parmi les premiers devant l'église. Il vit Rulof tout sourire discutait avec Monseigneur. Il connaissait les aspirations de Rulof à suivre la voie de la sainte église et comprenait que pour lui le moment était important. Barrack s'approcha des deux hommes:

-"Bonjour l'ami, bonjour Monseigneur! Et bien je crois que c'est une merveilleuse journée pour un baptême, non?"

Les deux hommes le saluèrent à leur tour avant de reprendre leur conversation. Quelques arrangements de dernière minute à mettre au point vraisemblablement.

Barrack entra donc dans l'église pour y trouver un peu de fraîcheur et de calme. Il vit Ali installait au premier rang. Elle devait être fière de son compagnon. Lui préféra se mettre en retrait, près d'une colonne comme à son habitude. Pour lui, la foi était affaire intime et il aimait se sentir quelque peu isolé pour prier. Dieu que la fraîcheur du lieu était apaisante. Après la nuit tumultueuse qu'il avait passé, cette sérénité était comme un encouragement à suivre la nouvelle voie qu'il s'était tracer. Poursuivre l'excellence dans toutes ces facettes et la spiritualité en était l'une des plus importantes. Il médita donc là-dessus en espérant que bientôt lui même pourrait débuter son baptême....
Navigius


Le visage de l’italien se fendit d’un sourire de connivence face à l’excitation de Messire Rulof. Il savait très bien ce que ressentait le jeune homme, se souvenant dans les moindres détails de son propre baptême, à Cambrai, dans la Cathédrale Saincte-Raphaëlle-Archanges, quand des jours encore heureux soufflaient sur l’Artois. Chassant ces pensées de son esprit, il acquiesça poliment à l’arrivée de Dame Alisachat, une femme pieuse et discrète, une qualité qu’il appréciait énormément. Elle ne causait jamais le scandale, elle était modéré en tout et de bonne conduite. Il passerait assurément la visiter bientôt.

Une petite odeur de fumée accompagna l’arrivée de Barrack, qui vivait des temps difficile, du moins à ce qu’on lui avait raconté. Il se promettait déjà une bonne discussion avec lui, se rappelant d’une vente de légume à venir. Note mentale faite, l’italien reposa son attention sur la cérémonie. Au devant de l’Église, dans le chœur, les enfants d’Eauze prenaient leur place, finement dirigés vers leurs sièges par Sœur Jeanne, qui adorait la musique tout autant que les enfants. En un instant, leurs fines voix résonnèrent dans l’Église. Ce n’était pas une chorale de la capitale, bien entendu, il manquait quelques sopranos, mais pour l’Archevêque, c’était là une perfection divine. La foy, chanté, dans une petite église de campagne au Sud.

Le cortège se mit en branle, l’italien descendant l’allée au rythme de ses claudications. Passant près de messire Rulof, qui était agenouillé, il pose sur son épaule une main rassurante, afin de dissiper une partie du stress qui devait l’envahir. Le prélat fit une pénible génuflexion devant l’autel, puis monta dans le chœur de façon tout aussi difficile, les jambes étant capricieuses à cette partie de l’année. Il se retourna vers la populace assemblée, l’Église étant presque pleine.

- Fratelli e Sorelle! Frères et Sœurs! Nous voici ici assemblés afin de célébrer une fois de plus l’amour et la reconnaissance que nous témoignons envers notre Créateur, le Très-Haut. Nous, fidèles paroissiens d’Eauze, faisons preuve chaque jour d’une volonté de tendre vers la perfection divine et de mener la sage vie, que le Très-Haut nous fasse grâce de sa bienveillance. Aujourd’hui, un jeune homme, provenant de cette ville, que nous connaissons tous, désire faire son entrée dans notre grande famille de l’Aristotélisme. Ce jeune homme est Rulof, une personne passionnée, possédant nombres de qualités et certains défauts, comme nous tous. Non seulement désire t’il reconnaître l’amour de Dieu, mais il souhaite aussi s’engager à le répandre, et de n’avoir de cesse d’aider tous et chacun.


L’introduction étant faite, l’italien redescendit auprès du candidat au baptême. Encore une fois, les quelques marches furent une lente agonie, mais rien n’y parut. Il s’avança devant Rulof et reprit les paroles classiques :

- Messire Rulof. Le baptême est un acte qui ne saurait être imposé. Il doit être demandé et reçu de bon cœur, car telle est la volonté de Dieu. Demandez-vous, aujourd’hui, devant l’Église assemblée, le baptême?

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Prêtre aristotélicien
Évêque Suffragant d'Orléans
"Sic nos sic sacra tuemur"
pnj


Fayrielle ne se montrait plus depuis fort longtemps, elle avait besoin de réfléchir sur beaucoup de choses mais quand elle reçu l'invitation de son ami Rulof, elle afficha un large sourire, passa sa plus jolie robe en son honneur, glissa quelques fleurs blanches dans ses cheveux et se précipita à la Cathédrale espérant ne pas arriver en retard
La jeune femme aperçut Alisachat et Barrack en arrivant et leur adressa un large sourire puis elle pénétra dans le lieu saint très émue de se trouver là en ce jour
Fay se signa, alla s'assoir sur un des bancs et fit son plus beau sourire à l'a ttention de Rulof qui était déjà très concentré sur son futur baptême
La jeune femme était heureuse d'etre la et se dit qu'elle allait sans doute profiter de l'occasion pour ressortir et retrouver les personnes qu'elle aimait...
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