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[RP] Eglise Saint Bynarr

Marie_du_lourdou
Marie, laissant les enfants sous la garde de Dame Cunégonde, se rendit à l'église pour y prier. Elle entra dans l'édifice et se signa. Puis elle ala vers l'autel et se mit à genoux. Puis elle s'adressa au Très Haut comme s'il était présent dans l'église et à coté d'elle.

Bonjour... Seigneur ? Aristote ? Christos ? Dieu ? Heuuuuu... En fait, personne ne m'a dit comment vous appelez... Bon, j'vais vous z'appeler Seigneur hein ? Et ça reste entre nous ! Alors ? Comment ça va vous ? J'vous d'mande car suis sure que personne s'informe de vot'e santé !!

Marie eu un petit rire puis continua.

J'voulais vous d'mander de veiller sur Marie Céline qui vous a rejoint. J'éprouve beaucoup de peine de l'avoir perdu même si je le montre po ! J'voudrais aussi vous remercier pour avoir fait en sorte que je perde po le bébé qui vit en moi. Bon j'veux po abuser d'vot'e gentillesse et pis suis sure que plein de gens vous d'mande de faire ci ou ça pour eux. Donc voilà !! Heuuuu... Si vous z'avez besoin d'un truc !! Z'hésitez po hein !! Vous m'demandez !!

Marie sourit puis resta encore un moment dans l'église pour prier.
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Guigues
Théo à la recherche de sa douce ne la trouvait pas à la taverne, pas chez eux, mais Cunégonde l'informa que Marie était allé à l'église pour y prier. Il pris donc la route de l'église, entra et se signa, puis près de l'autel il vit sa douce agenouiller en train de prier. Il sourit à sa vue et se dirigea silencieusement vers elle puis s'agenouilla à côté d'elle, quand elle l'eus aperçu il lui adressa un sourire.
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Marie_du_lourdou
Marie priai quand elle sentit une présence près d'elle. Elle regarda qui c'était et fit un grand sourire. Son Theo était près d'elle. Elle lui donna un baiser rapide puis lui prit la main et la serra dans la sienne. Elle lui murmura.

Coucou mon coeur !! Je suis heureuse de te voir près de moi ici !! Prions ensemble si tu veux bien !!

Marie lui sourit puis, après lui avoir donner un autre baiser, se remit à prier en gardant la main de son Theo dans la sienne.
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Guigues
Il répondit à son rapide baiser puis serra doucement la main de sa douce dans la sienne. Il lui sourit après qu'elle lui ai chuchoté ces paroles. Il préféra ne pas en ajouter, laissant parler son regard qui s'était posé sur sa douce, il était remplie d'amour pour elle. Puis il répondit à son autre baiser et se mit lui aussi à prier, tenant dans sa main gauche la main de sa douce et dans sa main droite sa médailler Aristotélicienne qui lui a été remise lors de son baptême.
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Marie_du_lourdou
Marie et son Theo priaient depuis quelques minutes maintenant. Marie releva la tête puis regardant son Theo et lui souriant, elle lui murmura.

On devrait y aller mon coeur, les enfants doivent nous attendre pour le repas. Et j'ai préparer une belle poularde et comme dessert un gateau aux pommes. Je suis sure que vous allez vous régaler.

Marie donna un baiser à son Theo puis se leva pour l'attendre. Elle jeta un regard vers Aristote et lui faisant un clin d'oeil, elle lui dit par la pensée

Bonne journée Seigneur !!

Puis elle regarda de nouveau son Theo et lui sourit.
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Azelys
Suite à son récent Baptême, sa médaille d'Aristote au cou, une jeune femme entra dans cette magnifique église.
Elle avait besoin de s'y recueillir, comme un sacerdoce, elle était allée jusqu'à ce qu'elle nommait la Source....
La Source de son Unique.

Elle entra doucement, le visage baissé, plongea ses doigts dans le bénitier et se signa devant le Très haut en tenant sa médaille d'Aristote de l'autre main.
Elle avait le visage grave et mélancolique, une tristesse occupait ses traits.

Elle regarda l'église longuement et se perdit dans ses pensées.
Elle se dirigea ensuite vers un lieu de prière et alluma un cierge.

Elle pria longuement, s'agenouillant, devant un banc, le cierge allumé dont la chandelle vacillait doucement.
Seul le Très haut savait les mots de sa prière et les pensées vers lesquelles elles allaient, peut être daignerait il l'exaucer...ou non...lui donner ce fruit tant désiré, peut être défendu....

Après un très long moment, complètement baignée par l'atmosphère du lieu, elle cessa sa prière et s'assit sur le banc, attendant on ne sait quoi...
Un miracle sûrement.

Elle vit le cierge vaciller et un souffle d'air lui parcourut l'échine.
En baissant la tête, elle vit une esquisse froissée et un peu jaunie, qui était coinçée sous le pied du banc sur lequel elle était assise.

Elle la prit et la regarda attentivement.
Il s'agissait de l'intérieur de cette magnifique église.
L'oeuvre n'était pas signée mais elle reconnut de suite le coup de crayon et caressa doucement le croquis.

Les yeux dans le vague, elle le prit avec elle et le mit délicatement dans sa besace, comme s'il s'agissait d'un trésor...de son trésor à elle.

Elle se signa ensuite, regardant le cierge brûler devant le Très Haut et sortit aussi doucement qu'elle était entrée afin de se diriger vers le verger et de tenter d'y prendre les fruits qu'elle espérait....
Alesia_le_garec
La voila hésitante , poussera t' elle les portes ou passera t' elle devant sans s'arrêter , elle ne sait , elle hésite , lève la tête et regarde le clocher qui domine , la croix qui siège tout en haut ...
Enfin ses mains se posent sur les portes et de toutes ses forces les poussent , elles s'ouvrent dans un grincement sinistre , cela l'étonne toujours , toute les églises , enfin le peu ou elle pénétra dans le passé elle se souviens de cela ....Des portes lourdes , grinçantes , comme pour être sur que si on y entre c'est qu'on le veux bien , pas par erreur , pas comme une porte ouverte malencontreusement .....mais pousser de son plein grès..
L'air si frais a l'intérieur la saisie , elle rabat les pans de sa cape, s'arrête , s'habitue a la lumière que les vitraux laissent passer , le jeu des couleurs , regarde le bénitier ..oui , non ....secoue la tête , tellement longtemps qu'elle n'a pas fait cela..
Elle marche jusqu'à l'autel , elle s'agenouille malgré tout par respect , fait son signe de croix, ainsi devant lui elle se sent petite en le voyant devant elle , n'ose lever les yeux

la prière , se rappellera t' elle de la prière , osera t' elle la réciter a nouveau ....Doucement pour ne pas ce tromper elle commence , puis prend de l'assurance a fur a mesure..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen
Quantin
Je continue ma visite de la ville.
Tiens un lieu bien poussiéreux et désert... Une église.
Bon c'est l'endroit rêvé pour réciter un tite prière. Je sors ma feuille et je récite :




Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen
Zatopek
Après avoir quitté Fleoffel et Boulvay, Ysengrine arrive enfin en vue de l'Eglise. En cette fin de journée, la place est comme à l'accoutumée déserte et sans vie. Ysengrine cherche Pyerrick des yeux mais il ne semble pas être là.

Il est peut-être à l'intérieur en train de prier, se dit-elle tout haut

Elle pousse la lourde porte en bois sculptée de l'Eglise Saint Bynarr et entre dans le lieu saint. Elle scrute la pénombre à la recherche d'une ombre familière agenouillée devant une chapelle mais ne voit rien. Tout est calme et silencieux. A pas de loup, elle parcourt les travées à la recherche de son ami.

Pyerrick ... c'est moi, chuchote-t-elle

Mais seul le silence lui répond.
*** A tous les coups, il ne m'a pas attendu ... *** soupire-t-elle de découragement. N'y tenant plus, elle hurle dans l'Eglise

Pyerrick, tu es là ?
Pyerrick
Pyerrick se rendit donc à l'église , un peu vaseux. Dormir en pleine journée lui arrivait rarement et à chaque fois il avait plus l'impression d' avoir perdu son temps.
Il entra donc dans l'église quand il entendit :


Pyerrick, tu es là ?


Et de lui répondre aussitôt :

Non!! Je suis pas là.
Il en rigola presque, mais se retint car le lieu ne s'y prêtait guère. Il la rejoignit donc.

J'me suis endormi et me voilà seulement. J'ai trouvé une chaumière, mais faudra pas être difficile. Cela se situe au 6 des Amoureux. Ca se trouve juste en face d'un pont, donc on pourra facilement partir si le temps pressait.

Il ôta son chapeau et se signa.

Tu as commencé à chercher ou toi aussi tu arrives? Tu as vu un curé dans le coin? Faudrait peut-être voir si il y a une tombe avec un nom. Et ton père tu l'as vu ou pas?


Il la pressa de questions, mais les réponses ne devait pas être difficile à dire
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Zatopek
Ysengrine fait un bond quand Pyerrick lui répond. Elle va à sa rencontre et lui sourit.

J’ai eu peur que tu m’aies laissée tomber comme une vieille chausse … mais OUF, te voilà ! Je suis rassurée, lui dit-elle dans un souffle.

Elle s’assoit sur un banc et l’invite à s’asseoir à côté d’elle

Au cadastre, Boulvay m’a donné l’adresse de mon père. C’est au 15 rue du Lavoir … Au lieu de venir ici directement, tu me connais, curieuse comme une vieille chatte … j’ai voulu passer par la rue du Lavoir …

Elle éclate de rire

Dans le jardin du numéro 15, sous une tonnelle, il y avait Boulvay et Fleoffel qui trinquaient avec un troisième compère … je pense que c’est lui mon père … je ne voulais y aller tout de suite … mais Fleoffel m’a reconnue et interpellée pour que je vienne boire avec eux … tiens, j’y pense, il s’excuse auprès de toi pour avoir râlé dans le verger … j’ai préféré refuser et te rejoindre … tu comprends, si je dois rencontrer mon père … je préfère être seule avec lui !

Elle regarde l’autel face à eux et laisse passer un petit silence avant de reprendre en se levant.

Je ne crois pas qu’il y ait encore un curé … il va bientôt faire nuit et personne ne viendra plus prier ici pour aujourd’hui … c’est le moment rêver d’aller fouiller la sacristie et de trouver les registres ...

Elle le regarde avec malice

Suis-moi, je sais déjà où en est la porte …


Elle se dirige prestement dans l’Eglise plongée dans une pénombre de plus en plus noire. Soudain, son pied bute sur une dalle irrégulière du sol. Elle perd l’équilibre et son corps bascule en avant. Elle mouline des bras pour tenter de retrouver son équilibre et se raccroche de toutes ses forces à la corde qui pend du clocher. Mais la corde vient avec elle et un bruit assourdissant de cloches qui carillonnent se met à raisonner à tue tête dans Eauze ! La corde se tend subitement et remonte d’un coup entrainant avec elle Ysengrine. Ysengrine et la corde s’envolent et commencent à faire du yoyo tandis que les clochent sonnent le tocsin …


PYERRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIICK ….
, hurle Ysengrine affolée et toujours fermement agrippée à la corde et dont la houppelande lui remonte jusqu’aux oreilles à chaque envolée laissant dévoiler ses dessous.
Pyerrick
Pyerrick se lève du banc et suit Ysengrine vers la sacristie pour rechercher quelques hypothétiques parchemins. Il fait noir et ne voit pas tout de suite Yse tomber puis s'envoler dans les airs.

PYERRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIICK ….


Il reçoit une jambe sur la tête ce qui le fait tomber au sol. Étourdit il se relève et manque d'être assommé une nouvelle fois.
Le bruits des cloches est assourdissants.
*Si Eauze et son maire ne se réveillent pas après ce vacarme, c'est la fin des haricots.*

DDDDDDiiiinnggggggg!!!!!DDDDDDoooonnnngggggg!!!!!!

Pyerrick lui attrape une jambe, mais elle glisse entre ses mains et cela la projette encore plus dans les airs.
DDDDDDiiiinnggggggg!!!!!DDDDDDoooonnnngggggg!!!!!!

Il fait de plus en plus sombre..*Faut que je l’attrape par la taille, sinon elle volera dans les airs pendant toute la nuit*
La première tentative est un échec.

DDDDDDiiiinnggggggg!!!!!DDDDDDoooonnnngggggg!!!!!!

Il écoute le déplacement d'air..........................Et saute dans le vide et s'éclate sur le sol.

Ouilllllllllllllllleeeeeeeeee!!!!


Il se relève encore une fois, voit l'ombre de Yse et lui saute à la taille et ne manque pas son coup, mais l’élan de la cloche est plus fort et les soulève tous les deux. Pyerrick tient bon tout de même, et Yse semble soudée à cette corde.

DDDDDDiiiinnggggggg!!!!!DDDDDDoooonnnngggggg!!!!!!

Petit à petit, la cloche se fatigue. Ils sont trop fort pour elle.

DDDDDDiiiinnggggggg!!!!!DDDDDDiiiinnggggggg!!!!!


Arrivé sur le sol, Pyerrick lui crie alors.

LÂCHE LA CORDE.................................................................
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Dmandzi
A bout de souffle dans une course a perdre haleine.
Elle monte les marches deux par deux et pousse les porte de l'église avec une telle raideur que les grosse porte alla claquer contre le mur dans un son assourdissant.


BANG!

Elle arrête sec sa course une air un peut bébête au visage face au spectacle qui s'offre a elle.
Elle fixe l'homme au sol qui cris de lâcher la corde.
Tente de reprendre son souffle.


Pardon...............mes..sire mes..........je....ne tiens pas la corde moi....vous allez bien?

Elle s'avance vers l'homme ne comprenant rien de se qui se passe.
Boulvay
boulvay accouru donc a l'église...il entendit de nouveau les cloches sonner
DDDDDIIIIINNNNNGGGGG!!!!!!!!!!!!!!DDDDDOOOOONNNNNGGGGG
DDDDDIIIIINNNNNGGGGG!!!!!!!!!!!!!!DDDDDOOOOONNNNNGGGGG
DDDDDIIIIINNNNNGGGGG!!!!!!!!!!!!!!DDDDDOOOOONNNNNGGGGG

quelle ne fut pas sa surprise quant il vit que c'était une dame et non pas un enfant qui tirait sur les cordes pour faire sonner les cloches.....
il la regarda ......monter ........ descendre........ monter ........... descendre
il sourit

et bien nous n'avons plus l'habitude d'un tel ramdam ici....
puis il aida l'homme a se relever...
Zatopek
Ysengrine s’agrippe à la corde comme si sa vie en dépendait. Elle sait qu’elle doit la lâcher mais redoute de tomber de trop haut et de se briser une jambe. Elle ne réalise pas qu’elle frappe Pyerrick avec ses pieds mais quand elle l’entend lui crier

LÂCHE LA CORDE.................................................................


Malgré son instinct qui lui dicte de rester suspendue à la corde, elle obtempère et lâche la corde d’un coup. Elle recule encore sonnée de sa balade en l’air, les tympans assourdis par le vacarme infernal des cloches qui commencent peu à peu à se calmer. Elle se retourne et s’aperçoit qu’ils ne sont plus seuls dans l’Eglise. Elle reconnait Boulvay qui aide Pyerrick à se relever et voit quelqu’un d’inconnu emmitouflé dans une grande cape, la capuche rabaissée. **** Vindiou … y’a un curé dans ce patelin désertique … on s’est fait prendre la main dans le sac comme des gamins … ****

Dans l’aventure, son châle s’est envolé et doit être quelque part parterre. Sa coiffure s’est défaite et sa longue chevelure brune descend en cascade ébouriffée sur ses épaules. Elle tente de se donner une contenance, remet sa houppelande en place et regarde Pyerrick pour éviter de croiser celui de l’encapuchonné.

La cocasserie de la situation la fait sourire. Elle imagine la scène qui vient de se passer et pique un fou rire nerveux qu’elle ne peut retenir. Son rire résonne dans l’Eglise et fait écho aux derniers ding dong des cloches. Il y a bien longtemps qu’elle n’a ri ainsi à en avoir mal au ventre et à en pleurer.
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