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[RP] Eglise Saint Bynarr

Ketje
ketje n' était plus vraiment sur les talons de Boulvay... ni même sur ceux de la jeune Dmandzi. Il suivait d' assez près quand même... suffisamment prêt pour voir Dmandzi s' approcher d' une forme masculine au sol que le fichu tavernier tente de relever. Non loin, une autre jeune fille semble un peu hagarde, dénudée de la tête... avec une sorte d' envie de rire qui ne plaît pas à ketje. Heureusement sa course a été plus lente que celle de Boulvay, il en gardé du souffle.

BOULVAY!!! Laisse donc ce sagouin ramper! Ou traîne le moi sur le parvis que j' y vois plus clair et l' interroge avant de le serrer au pilori!

Puis il regarde la jeune fille.

Qui vous a permis de venir mettre le désordre dans ce lieu de silence? QUI? Non mais! On se croit tout permis parce qu' on n' est que de passage... ET COUVREZ-VOUS LES CHEVEUX! ON N' EST PAS AU MARCHE ICI!

Il regarde sa chevelure ondoyer sur ses épaules mais rien ne peut encore apaiser sa colère.

Faites appeler Mike pour qu' il nous dresse procès verbal de cette intrusion Boulvay! Puisque la Juge me trouve bon procureur, je trouverai bien à faire punir ces petits lansquenets de ruisseaux! Venez ici damoiselle!
Boulvay
boulvay qui était au ordres du maire de son rang de conseiller mais a cause aussi de son rang dans la maréchaussée laissa tomber l'homme avec délicatesse puis il alla chercher Mike son supérieur a la maréchaussée ....
il couru donc aussi vite que possible...
Dmandzi
Heureuse de voir Boulvay aider l'homme écroulé au sol,un sourire a la dame qui se balançais gué-ment jusqu'au moment de lâcher prise sur cette corde qui interrompu le glas presque instantanément du même coup.
Dmandzi se dirige vers la dame au moment ou le maire arrivas.
Elle tourne son regard vers le maire.
Dmandzi reste sans le mots face a la réaction du maire.
Elle le fixe et fronces le regard.
De voir Boulvay partir comme un lapin,laisser se pauvre homme a son malheur et exécuter les ordre de Ketje tels un commandent d'armée l'aurais fait..même encore...tout dépend …
Dmandzi a la grogne qui monte en elle...
Elle baisse le regard et prend une grande inspiration avant de prendre parole.


Un procès pour si peut?
Ils ont rien briser..aucun geste de vandalisme...
Certe ils ont peut être troubler le calme du village...
Entre vous et moi vous croyez vraiment que ce petit..
Vous croyez que cette histoire dérange les citoyens?
Cette histoire les déranges?


Dmandzi penche la tête pour voir si âme qui vive dans cette ville déciderais de ce pointer pour se plaindre.

Regarder par vous même....Messire.....

Dmandzi sourit brièvement

Monsieur le maire ,monsieur le Procureur ...Arf...le titre que vous voulez!!
Laisser ses pauvres gens tranquille.
Le juge...quoi encore....!
Ça serais a eu de vous poursuivre en justice....
Imaginé si il serait blessé gravement.
Sans vouloir vous manquez de respect même si le mal est déjas fait donné l'exemple et prenez sur vous.


Dmandzi se retourne vers la dame.
Lui offre un léger sourire


Tout vas bien madame..?

Elle tend la main a l'homme par terre pour l'aider a se relevé.
Son regard se pose sur Ketje.


Vous êtes homme du peuple vous veillez a sa croissance...pas foutu d'aider cette homme!!
Venez m'aider a le relevé au moins!
--Un_villageois
peu habituer a avoir de l'agitation dans la ville il accouru a l'église qui n'avait pas été animé depuis des lustres....
il regarda la troupe entrain de ce chamailler ....
il les regarda a bonne distance pour ne pas ce faire remarquer ....
il sourit seul car pour une fois a eauze il y avait une discussion et avec monsieur le maire en plus.....
Zatopek
Ysengrine se retourne vivement quand une forte voix de stentor se met à faire trembler les fondations de l’Eglise. Elle reconnait tout de suite le troisième compère du 15 rue du Lavoir. Les propos de l’homme lui confirment qu’il s’agit bien du bourgmestre. La colère et les menaces qu’il prononce n’atténuent ni sa bonne humeur, ni son envie de rire. L’occasion est trop belle pour l’observer sans vergogne. Son cœur lui hurle qu’il s’agit bien de celui qu’elle est venue chercher et pour qui Pyerrick et elle ont traversé la moitié du Royaume de France. Il est tel qu’elle se l’imaginait dans ses rêves d’enfant et cela la remplit de joie et de fierté.

Elle est surprise de voir Boulvay se comportait comme un coquefredouille devant le Maître d’Eauze et laisser Pyerrick au sol comme un chien. Elle se tourne vers lui et lui fait un petit signe amical de la tête. Il semble bien se porter et ne pas s’offusquer de la situation. Elle préfère le laisser se relever dignement tout seul, les hommes ont entre eux une fierté toute masculine qu’elle ne peut ignorer par respect pour son ami.

Elle sursaute quand celui qu’elle a pris pour le curé des lieux se met à invectiver le Maire.
**** Diantre ... c’est une femme qui se cache sous cette cape ... une diacre ? **** Elle admire cette frêle silhouette qui ose affronter le Maire et s’opposer à la sentence énoncée. Quand la cape se tourne vers elle pour s’enquérir de son état, Ysengrine lui sourit.

Tout va bien, Madame, Merci de votre sollicitude ! Mais ne vous donnez point tant de mal à me sauver de ce mauvais pas ... j’en assumerai seule les conséquences ...

Elle parcourt des yeux les travées alentours mais n’aperçoit nulle part son châle. *** Avec mon châle, c’est un procès ... mais sans châle, c’est le cachot jusqu’à Pâques ... *** L’envie d’éclater de rire la reprend ... *** que nenni, cervelle de souris ... un peu de sérieux *** Elle aurait préféré que le face à face se fasse dans d’autres circonstances mais qu’importe, Aristote en a décidé ainsi ! La tête haute mais nue, elle avance vers le Maire et se campe fièrement devant lui avec toute l’insolence de sa jeunesse. Ses yeux gris plongent dans ceux du Maire qu’elle devine noirs comme une nuit sans lune.

Me voici Messire ... prête à être fouaillée ...
Boulvay
boulvay arriva a l’Église sans avoir put trouvé Mike il regarda la situation et s'approcha de l'homme qu'il n'avait pas pu relever...il lui murmura...
désolé pour tout a l'heure...un coup de main?
puis il regarda une dame s'approchée du maire avec un courage tels que rien ne semblait pouvoir la faire fléchir...
elle regardait fièrement le maire et elle dit *Me voici Messire ... prête à être fouaillée ...
boulvay ne savait plus quoi faire rester là a regarder car il était maréchal et il ne pouvait pas contredire le maire en tout cas en public ou alors aider la jeune femme car même si elle avait troublé le silence des lieux ...elle n'avait rien fait d'autre de mal...
il décida donc de laisser la jeune dame se défendre seule et si besoin se faisait sentir il interviendrait...
Pyerrick
Pyerrick était sur le sol. Plusieurs personnes lui offrirent leur aide. Il allait même acquiescer leur requête, mais quand il entendit qu'on pourrait les mettre en procès pour avoir malencontreusement actionné une des cloches de l'église, le coté animal du bougre ressurgit comme un diablotin surgit de sa boite.

Chu assez grand pour me relever seul.

En un bond, il se retrouve sur ses jambes.

Ce n'est qu'un concourt de circonstance* Mesure tes paroles. Un bourgmestre peu te rendre sa justice même si tu as raison. Brode mon ami, brode.*

Il se calme un peu.

Nous sommes venus ici pour prier, non pour foutre le bocson. Ce n'est point notre faute si la corde . Il la montre du doigt, même si on ne la voit plus beaucoup. A servit à arrêter la chute de la pauvre malheureuse. Il montre Ysengrine. qui a trébucher sur une pierre qui dépassait les autres. Cette corde lui a même sauvé la vie, je vous l'assure. Sans elle, elle se serait fracassé le crâne sur les dalles de l'église et ce n'est pas le bourreau que vous devriez appeler, mais un messire de la sainte église pour son enterrement. Nous devrions rendre gloire à Aristote d'avoir mit, à cet endroit, cette corde providentiel.

Pyerrick se signa ….........
_________________
Dmandzi
Dmandzi sourit a voir la tournure des choses.
Un truc plutôt marrant au départ aurais du décroché tout autre réaction.
Elle sourit de voir la jeune femme qui se dresse fièrement devant le maire.
Baisse le regard pour caché son fou rire,d'entendre le messire expliqué leurs situation et de le voir se signer.


Désolé pour mon emportement,mes de voir ...le maire s'emporter pour si peut..
On devrais sortir sur le perron de l'église..
Ça serais plus approprié.
Pas de mal ,pas de casse...reste a espéré un sourire de notre maire.
Si on ne vaut pas une risée on ne vaut pas grand chose!


Dmandzi se faufile a travers de tout se beau monde.
Se signe avant de sortir.
Un léger sourire aux lèvres elle prend place sur les marches du perron de l'église.
Ketje
ketje a le regard noir quand il entend les propos de Dmandzi. Il porte sur elle l' ire de son regard.

Mais ma fille... c' est ma sieste que ces gredins ont dérangée!!! Et celle du maire est sacrée entre toutes.. apprends-le mille cuvées et puis de toute façon... on ne fait pas accourrir le maire à l' église de la sorte.. point! Et la si nous n' avons déjà plus de curé, on ne fait pas courir le maire pour autant... on s' adresse à lui en termes mesurés et il fera ce qu' il peut!

Elle semble ignorer ses propos et veut encore aider les fouteurs de bruits.

Mais que nenni... ils semblent assez grands pour s' expliquer nom de ma barbe!!!!

ketje se prend le temps de jeter un oeil sur ses malendrins pris sur le fait... doucement, il rumine déjà leur mise en procès. Bonne âme, il les écoute quand même .. mais surtout, il les examine. Mais le sacré Boulvay lui semble là dedans devoir encore avoir beaucoup à apprendre. Le plus calmement du monde il lui glisse...

Ecoute mon bon Boulvay... si t' as pas trouvé Mike, ou bien je te dresse, ou bien tu vas me chhercher des fers qui tu aurais déjà du me présenter... Mais laisse les donc geignarder à mes pieds tudieu!!!!!

Enfin il jette un regard sur les malandrins. tout en réprimandant Dmandzi.

Ecoute ma petite ... aide les encore et tu vas finir au pilori ou dans un cul de basse-fosse! Ces guenillards ne sembleent pas être en état de ne pas s' expliquer... Et c' est moi qui vais les entendre là maintenant et tout de suite!

Il s' approche des deux coupables. Douecement, il se carresse la barbne blanche... bon d' accord, le gueux semble un peu déconvenu mais semble réfléchir... par contre l' effrontée semble vouloir lui tenir tête... qu' importe, le maire en vu et ne se laisse pas démonter. Il regarde le jeune homme et lui lance.

Toi la cloche! Ben oui.. tu pendais à la corde et tu ne sais plus où elle est! Dis-moi ce que vous cherchiez à faire... et dis-moi vite! Puis me parle pas de pierre qui dépasse... tu me ferais croire que tu n' es jamais entré dans une église.... c' est la même chose partout ... allez! une autre histoire et une vraie!

Tout aussi tôt il se tourne vers la jeune femme.

Prête à être fouaillée... c' est que tu dois aimé cela ma fille... belle engence ... vraiment.. tu en fait ton gagne menu?


Mais il la regarde.

TsssTssss c' est quoi votre histoire à tous les deux là... vous me dérangez... il faut vous bénir parce que vous avez forniqué mal à propos? Vous êtes en mal de sol qui vous accueille? Puis bon sang de miséricorde, il est où ce châle qui devrait couvrir ta coiffure??? Qu' êtes-vous venu chercher dans ce fin fond de monde à Eauze au point de me déranger?
Zatopek
Ysengrine n’est pas le moins du monde surprise par la violente réaction du Maire qui correspond parfaitement avec ce que lui a décrit Eowyn. Elle s’y attendait et le contraire l’aurait déçu. Elle sait qu’elle encourt de gros ennuis à provoquer ainsi le représentant tout puissant de l’ordre mais n’en a cure. La joute verbale n’est pas pour lui déplaire. Elle le fixe droit dans les yeux avec un sourire plein de malice, bien décidée à lui tenir tête. Elle prend une grande respiration et parle avec calme et assurance.

VOUS déranger Messire ? … vous vous donnez beaucoup trop d’importance … et puis, ma foi, des cloches qui sonnent dans une Eglise n’ont rien d’étonnant … par-contre, vociférer comme un pourceau est blasphématoire et irrévérencieux envers Aristote … Votre charge de Maire ne vous donne aucun droit en ce lieu sacré que vous profanez avec vos hurlements et vos insultes … Je n’ai pas courbé l’échine devant l’héritier du trône de Bretagne, je ne la courberai pas plus devant vous ! Et oui, je suis la digne fille de mon père : un beau parleur fort en gueule et détrousseur invétéré de jupons à ses heures perdues … Quant à vos injures et vos sous-entendus lubriques, ils m’importent peu et me laissent de marbre … Je n’ai pas à me repentir d’avoir trébuché et de m’être raccrochée à une corde qu’Aristote lui-même a mis à ma portée avec bienveillance …

Elle ne lui laisse pas le temps de répondre et continue sa diatribe.

Je suis venue ici consulter les registres paroissiaux car je recherche la tombe de ma mère … Quant à ma chevelure qui vous incommode … libre à vous de chercher vous-même mon châle … Quand vous l'aurez retrouvé, vous serez bien aimable de le faire rapporter par l’un de vos sbires ! Nous nous sommes installés au 6 rue des Amoureux le temps de notre passage dans ce trou perdu …


Elle le salue et tourne les talons pour quitter l’Eglise.
Dmandzi
Dmandzi sourit de voir la jeune femme partir.
Elle se contente de fouillé au fond de son sac pour en sortir une bouteille de Calva.
Elle retire le bouchon et en prend une longue gorger avant de se levé pour passé la tête dans la porte et prendre parole.


Pourquoi ne pas terminé a la taverne?
Je paye la tourner!!
Ça seras mieux qu'ici..lieu de prière et de recueillement!
Fait soif ici!


Dmandzi prend le pas pour se diriger a la taverne.
Ketje
ketje regarde les deux jeunes femmes quitter l' église.

A la bonne heure!
Zatopek
Arrivée sur le parvis, Ysengrine est éblouie par la lumière du jour. Le contraste entre la pénombre de l'Eglise et la lumière de la fin d'après-midi la surpris. Elle s'assoit sur un rebord de pierre face aux derniers rayons du soleil et attend sagement que Pyerrick la rejoigne, tout en scrutant la grande porte de l'Eglise. De ses doigts, elle lisse sa longue chevelure brune en songeant que dès que tout le monde sera parti, ils retourneront chercher son châle et lire les registres. Cette idée la fait sourire et l'amuse fortement.

Le face à face n'a pas lieu mais ce n'est que partie remise .., se dit-elle tout bas, toutefois un peu déçue que le Maire ait abdiqué si vite ...
Ketje
L' église ayant retrouvé son calme, ketje décide de rentrer chez lui. Il sort de l' édifice et cligne des yeux. Sur le parvis, il voit la jeune effrontée lissant ses cheveux. Un court instant, cette vision semble lui ramener des images qu' il chasse aussitôt. *Impossible* pense-t-il. Il s' approche quand même de la jeune damoiselle. elle semble sourire, ce qui ne lui plaît pas trop.

Et bien ici, vous pouvez en faire du bruit... mais trop quand même!

Il s' approche encore de deux pas mais ils sont encore éloignés de quelques uns.

Vous êtes partie un peu vite fillotte. Je voulais quand même vous préciser que je vocifère pas, je maintiens l' ordre. Il vous faut comprendre que ce n' est pas pour le plaisir que je me dois d' agir de la sorte. Ensuite, je ne blasphème pas... en tout cas pas dans un lieu sacré. Enfin, tout cela n' est pas bien grave si vous me prmoettez de ne plus recommencer.

Il n' est pas là pour s' expliquer non plus mais les propos de la damoiselle l' ont intéressés.

Maintenant vous allez m' expliquer exactement ce que vous... plutôt qui vous cherchez. Si je vous ai bien compris, vous cherchez la tombe de votre mère. Je ne voudrais pas vous décevoir mais notre ancien curé était plus présent en taverne que dans son église et je ne crois pas qu' il ait tenu des registres régulièrement. Je ne sais même pas si je pourrais vous aider. Mais vous avez du avoir un père qui, d' après ce que vous en dites, fut un bien bon homme. Peut-être vivait-il ici et pourrais-je vous dire où le trouver.

Mais une chose le titille vraiment, une seule.

Vous m' avez dit avoir tenu tête à l' héritier du Grand Duc... fort bien... vous venez donc de cette terre de Bretagne alors? Qui est donc cet héritier?

edit pour copier/coller au chamin des arpenteurs
Zatopek
Ysengrine attend Pyerrick mais c’est le Maire qu’elle voit sortir de l’Eglise et se diriger vers elle. Elle arrête de se recoiffer et l’observe avec attention. Il à l’air d’être plus serein que quelques minutes auparavant et semble avoir retrouvé son calme et être plus enclin à la discussion. Elle l’écoute attentivement. Le moment n’est plus à l’affrontement et encore moins à l’insolence. C’est peut-être le signe du destin qu’elle attend. Ce moment propice où il lui sera enfin possible de parler seul à seul avec lui.

En effet, je viens de Bretagne … Je me nomme Ysengrine, Messire … Je suis venue jusqu’ici pour me recueillir sur la tombe de ma mère, morte il y a déjà fort longtemps quand je n’étais encore qu’une enfant … Quant à mon père, je ne l’ai jamais connu … je ne le connais que par les écrits de ma mère qui lui a caché mon existence et qui ne m’a jamais dévoilé son nom … Mon vœu le plus cher serait de lui apprendre mon existence …

Elle se lève et lui sourit gentiment


Il est vrai que j’ai tenu tête à l’héritier du Grand Duc de Bretagne … un petit prétentieux arriviste à la tête sans cervelle mais plein d’arrogance nauséabonde, dit-elle en riant, Mais vous, Messire … pardonnez ma curiosité mais pourquoi cette histoire de Bretagne vous intéresse-t-elle ?

Elle s’approche de lui doucement

Me permettez-vous de vous accompagner ? Je pourrai vous la conter avec plaisir …
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