[rp]Lice en folie: Lalie VS Veni/Tadek/Æt... Æthaire VS Paul

Anakin qui étais parti tôt ce matin en fôret, ou il avait pris l'habitude depuis sont dernier voyage à y rester des heures entière quand sont emploi du temps le lui permettait.
il se dirigea vers le village quand il apércu un attroupement et des bruit de cri et de fer se fit entendre, il s'en approcha , attirer par sa curiosité que beaucoup conaissait, il joua un peu des coudes pour se placer au premier rang, et la il vit sont capitaine et ami, en mauvaise posture face à une femme qu'il ne conaissait pas, il dégaina sont épée sans pour autant intervenir, tant que la situation ne devenais pas nessaisaire, pas question de se meler à un combat en cours question d'honneur, il comrenais pas bien comment Tadek avait réussi à perdre le dessus, mais Vador compris très vite quand il apércu l'endroit des blessures qui manifestement avait mal cicatriser, ils les connaissait bien pour être en partie responsable de l'état de sont Capitaine. il resta fixer sur le combat près à intervenir si Tadek venais à perdre le combats.
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cimetière de SA

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Alors que le combat fait rage, Tadek reharde dans la direction de Vénitia
qui est sois sonnée, sois inconsciente.

Tout d'un coup, une voix retenti parmis les gens présent:

Tadek tourna la tête vers cette voix d'homme qui lui était familière
et s'était son ami Jélubir qui semblait inquiet pour Tadek et il avait raison
de s'inquiéter.

Tadek sentait déjà un peu ses forces l'abandonner et comme il fût un peu distrait par l'appel de son ami, la sauvageonne en profita pour se ruer sur lui et tenter de lui assenner un coup au niveau de l'abdomen que Tadek parra, mais il ne vît pas arriver le genou droit de son adversaire dans
son flanc gauche qui était déjà fort douloureux ...

Hummmmm ...

Tadek ne put s'empêcher de lacher un gémissement de douleur en sentant le genou heurter sa plaie déjà béante, on pouvait observait son sang sur la tenue de son adversaire.

Dans un élan de rage et de douleur, Tadek frappa si fort sur la lame de son adversaire que l'impacte réveilla la douleur à l'épaule de son adversaire
qui ne put s'empêcher de faire la grimace.

Tadek commençait vraiment à trainer la patte avec ce combat qui semblait durer depuis des heures alors qu'il venait à peine de commencer !

Son adversaire semblait ne pas vouloir s'arrêter là et tenta un coup d'estocade contre Tadek que Tadek esquiva facilement malgrès sa blessures car il avait deviné se que allez faire son adversaire.

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La victoire n'est belle que si on n'écrase pas son adversaire.

Alors que le combat fait rage, Tadek regarde dans la direction de Vénitia
qui est sois sonnée, sois inconsciente.

Tout d'un coup, une voix retenti parmis les gens présent:

Tadek tourna la tête vers cette voix d'homme qui lui était familière
et s'était son ami Jélubir qui semblait inquiet pour Tadek et il avait raison
de s'inquiéter.

Tadek sentait déjà un peu ses forces l'abandonner et comme il fût un peu distrait par l'appel de son ami, la sauvageonne en profita pour se ruer sur lui et tenter de lui assenner un coup au niveau de l'abdomen que Tadek parra, mais il ne vît pas arriver le genou droit de son adversaire dans
son flanc gauche qui était déjà fort douloureux ...

Hummmmm ...

Tadek ne put s'empêcher de lacher un gémissement de douleur en sentant le genou heurter sa plaie déjà béante, on pouvait observait son sang sur la tenue de son adversaire.

Dans un élan de rage et de douleur, Tadek frappa si fort sur la lame de son adversaire que l'impacte réveilla la douleur à l'épaule de son adversaire
qui ne put s'empêcher de faire la grimace.

Tadek commençait vraiment à trainer la patte avec ce combat qui semblait durer depuis des heures alors qu'il venait à peine de commencer !

Son adversaire semblait ne pas vouloir s'arrêter là et tenta un coup d'estocade contre Tadek que Tadek esquiva facilement malgrès sa blessures car il avait deviné se que allez faire son adversaire.

Tadek lança un regard à son ami Jélubir pour le rassurer, mais Tadek
doutait fort que çà allez rassurer son ami.
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La victoire n'est belle que si on n'écrase pas son adversaire.

Jelubir palissait au fur et à mesure que la chemise de Tad rougissait.

Mon ami, c'est bien de défendre l'honneur mais pas au péril de votre précieuse vie. Regardez Anakin, prêt à croiser le fer et à se mettre en danger lui aussi. Renoncez à ce duel idiot. Dame Eulalie, je la connais un peu, elle se laisse parfois emporter mais elle sait garder raison. Arrêtez donc ce duel déraisonnable, angez votre fierté dans votre poche. Votre vie a plus de valeur.

jelubir se tût, dans l'attente de proter secours à son valeureux ami.

Depuis combien de tems se battait-elle? Qu'il était loin le temps où elle se démenait à l'entrainement de la caserne murataise... Ah le temps heureux ou son cap'tain prenait un temps certain à lui confier toutes les astuces pour avoir le dessus sur l'adversaire... Ne jamais se penser supérieur, ni sous estimer l'Autre, toujours se battre avec humilité, sagesse et discernement.
Précision dans les mouvements, retenue sur certains gestes, attention de chaque instant.

Oui, mais là... pourquoi était-elle entrain de croiser le fer avec cet homme qui semblait déjà mal en point?
A cause de Veni? Vraiment?
Respiration haletante, cheveux collés au front, coeur qui bat la chamade, elle avait bien besoin d'une pose...
!Las, nous n'étions pas dans un match soulesque.
Que faire? Une idée... oui, une idée surgit dans son esprit.
Le regarder et lâcher rapidement:

Allons... restons-en là... vous en avez eu assez, non?

Elle savait avoir le dessus, mais n'avait aucune intention de faire du mal à cet inconnu.
Calmée la Lalie?
Sans doute, oui, il y a des choses bien plus importantes qui l'attendent, elle ne le sait pas encore... mais elle le sent!
Et puis Veni... Pourquoi ne bouge-t-elle pas? Pourquoi cette rouquine ne fait-elle aucun mouvement? Cela inquiète la murataise, quoi qu'il se soit passé avant, Veni est son amie... bon, les amies, cela se dispute parfois... de la à en arriver à batailler contre un inconnu ... Elle ne se reconnaissait pas.
Assez!
Et pour bien signifier à Tadek qu'elle voulait en finir, et ce malgré ce qu'elle venait de lui dire, elle l'attaqua en traitre, et lui porta un coup de grace du plat de son épée émoussée... en plein sur la plaie presque béante.

ARGHHHHHHHHH
Prend ça!

S'en était fini, elle le voyait s'écrouler devant elle.
Sans un regard pour cet homme qu'elle ne connaissait finalement pas, Lalie lâcha l'épée et se précipita vers Veni, le coeur battant.
Tomber à genoux devant le corps de son amie, murmurer à son intention :
Veni... c'est Lalie... je suis désolée... Veni...
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Plus le combat avancait et plus les forces de Tadek l'abandonnaient.

Au bout d'un moment, la femme lui proposa d'en rester là, Tadek baissa
sa vigilence et son adversaire en profita pour lui asséner un coup du plat
de la lame sur sa hache qui saignait déjà beaucoup.

Haaaaaaaaaaaa ...........

Tadek ne put dire autre chose tellement la douleur fût intense, il posa un genou à terre et se retient de tomber en plantant son épée dans le sol
pour s'en servir comme appuie.

Il avait perdu, c'était la première fois, mais il était fort désavantagé
avec ces blessures encore ressente.

Tadek ne pensa rien d'autre que à Shérishia et à sa fille Kynthiia ...

Il resta là sans bouger à prendre sur lui la douleur.
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La victoire n'est belle que si on n'écrase pas son adversaire.

Le doux rire qui émanait de sa bouche légère cessa rapidement, lorsque la main tendu vers elle fut poussée en arrière sans qu'elle n'ai eu le temps d'émettre une quelconque opposition. Lalie se retrouvait désormais face à un homme dont le visage n'était pas inconnu à la rouquine.

Tadek, susurra t'elle.
Nonnnnnnnnnnnnnnn.

La vive douleur de sa cheville se réveille alors la clouant littéralement au sol. Elle regarde sans trop comprendre ce qui se passe. Pourquoi Tadek était il là entrain de se battre avec son amie. Amie était un bien grand mot jamais elle n'avait eu à se battre avec quelqu'un quelle appelait ami. D'ailleurs en parlant d'ami où était il ? et son Duc ?
Pourquoi n'étaient ils pas là quand elle avait besoin d'eux.
Ses yeux émeraude roulent de droite à gauche à la recherche de ses hommes.
Une épée fend l'air non loin d'elle, léger mouvement de recul, mains qui se lèvent pour protéger sa tête. C'est quelle se trouvait à quelques centimètres du duel. Puis une voix de femme.

Veni... c'est Lalie... je suis désolée... Veni...

Ses mains regagnent alors le sol terreux et son regard furibond se dresse devant une Lalie accablée.
Elle retient sa rage, la rouquine, elle n'est de tout façon pas en condition pour lutter. Lalie avait outrepassé toutes les règles.
Elle baisse la tête sans répondre, sans même essayer de se relever. Elle resterait là ainsi jusqu'à ce qu'ils reviennent, jusqu'à ce qu'ils comprennent ce que Lalie venait de faire.
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Retour mouvementé

Æternitæ chevauchait tranquillement Éole. Depuis sa dernière discussion avec Venitia à la sortie du tribunal, il avait eu besoin de repos. Il se souvint l'avoir regardée partir, sans mot dire, puis s'était éclipsé sans un mot ni un regard pour ses compagnons d'infortune. Quelques jours de méditation lui avait permis d'évacuer une bonne part de la haine et de la rancœur qui le consumaient encore. Les muratais les avaient rejoints ? Soit, il saurait bien s'en satisfaire, et il était disposé à faire des efforts pour les considérer autrement que comme des auvergnats.

Il chevauchait donc lentement dans Saint Aignan, sans but but précis ni destination lorsque des éclats de voix lui parvinrent. Un attroupement s'était formé sur une place du village, et l'ambiance était apparemment au pugilat. Intrigué, il s'approcha, sourire en coin ; voilà qui allait le distraire quelque peu... Alors qu'il s'approchait, il vit une femme tomber au sol et parmi les éclats de voix, quelques mots lui parvinrent faiblement.

Wal et Aet ne te pardonneront jamais cela, Lalie.

Il crut tout d'abord avoir imaginé la scène. Dans un geste réflex, il stoppa Éole et fixa la rouquine qui venait de choir. Était-ce grand Dieu possible ? Il vit Venitia se relever pour gifler la brune et retomber lourdement. Il fouetta légèrement l'encolure de son cheval et poursuivit d'un pas mesuré la distance qui le séparait de la scène de lutte, alors qu'un homme qu'il reconnaissait pour avoir fait partie de l'escorte du Duc à Bourges prenait à parti Eullallie. Il ne prêta guère d'attention au combat, les yeux rivés sur Venitia.

Par tous les diables, où est donc Waleran ? murmura-t-il.

À quelques pas de la rouquine, il sauta à terre et s'approcha discrètement et sans empressement alors que, son combat terminé, la murataise se penchait vers Venitia.

Veni... c'est Lalie... je suis désolée... Veni...

Il resta une seconde ou deux debout derrière Eullallie, à observer la scène, son regard se portant alternativement de la rouquine à la brune.
Il jaugea rapidement la situation, et le Très-Haut en soit loué, Venitia s'en remettrait.

Il se pencha en avant, attrapa sans ménagement la murataise par les épaules, serrant fermement le tissus de sa chemise dans ses mains, et l'envoya violemment rouler dans la poussière à quelques mètres de là. Sans un mot ni un regard pour Eullallie, il se mit accroupi pour prendre Venitia dans ses bras, et se releva en portant la rouquine jusqu'à Éole.
Il l'installa sur son cheval et, plongeant son regard dans les yeux verts, lui murmura.

Laisse-le te conduire à l'hôtel, Veni, je ne veux pas que tu assistes à ce qui va suivre...
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Pau Lice se trouvait donc au sein de la Lice, effectivement où voulez vous qu'il soit?
Toujours est il qu'il eu le plus grand mal à prendre ses marques et surtout à arbitrer les duels qui avaient déjà eu lieux. Visiblement les deux premiers avaient été imprévu. Pour cause il regardait depuis plusieurs minutes sont parchemin sur lequel se trouvait le récapitulatif de la journée et jamais les quatre personnes qui venaient de se battre n'avait répondu à l'appel des noms qu'il avait donné.
Quelque peu désorienté il était resté en retrait, hors le violent coup que l'homme, qui venait d'arriver, asséna à la duelliste par deux fois victorieuse eut raison de son retrait. C'est d'un pas décidé et en laissant flotter dans l'air un parchemin qu'il s'approche de la femme brune au sol.

C'est pas possible m'dame hein, vous n'avez respecté aucune règle. Il est dit ci, quzavez pas ldroit d'être au sol avant qulé premier blessé soit partie auprès du médcin. Comprenez hein ? Sinon ça s'accumule dans ce coin puis les duelliste ils peuvent plus euh.. bin ... dueller?
Donc vu qla rouquine lé encore là, vous devez vous relevez tousuite puis attendre qu'elle soit plus là pour vous rmettre parterre, vous comprenez?

Tout en finissant sa phrase Paul Lice monte son doigt à son menton et le gratouille, lisant sa note, il laisse Lalie et se dirige vers l'homme qui portait la rouquine.

Dite mon bon sieur, euh ché fort aimable de vot part d'être viendu si vit. Mais z'avez oublier de mtre le tit morceau de tissu rouge qui dit quvous êtes le médcin. Vous respectez les règles, va falloir quvous remettiez la rousse au sol puis quvous recommenciez une fois le foulard porté.

Devant l'attitude de l'homme, Paul Lice recule de quelques pas en finissant de dire ses règles.

Euh, bion, pour cette fois, le foulard laisse le po grave, mais pour la prochaine fois pensez y..... Euhh....
Vous frappez la dame pourquoi? par contre?
L'es écrit ici, qfaut être duelliste pour taper le médcin il doit pas vous comprenez?

Le regard de l'homme qui venait de déposer la rouquine sur le cheval se fait plus plus pressant.
Paul Lice recule encore puis s'arrête au côté de la brune.

Bon d'accord vous énervez pas, le prochain duel sra vous hein.

Euh juste si après que vous vous soyez entretuez vous pouvez viendre mettre vos noms sur la fiche ça srez bien hein, même avec le sang cpo grave.

Paul Lice reste donc dans un coin en attendant que le combat commence.

Anakin n'avait pas bouger d'un milimètre depuis qu'il était arriver à la Lice, mais ce qu'il devait arriver arriva, Tadek a bout de force suite a ses blessure réouverte, avait perdu le combat, il semblais complétement perdu un genou à terre.
le Soldat se précipita vers sont capitaine pour l'écarter du centre de la Lice, non sans fixer Lallie d'un regard de vengence qu'il aurais très prochainement, il aurais voulu s'en charger tout de suite mais préfera s'occuper avent toute chose de tadek qui visiblement était bien mal en point. Tad je doit t'emmener au dispensaire, il te faut refermer ses blessures avent qu'elle ne s'infecte, tu me racontra tous les détail après

Veni, là devant elle, allongée sur le sol à cause d'un membre douloureux.
Et pourtant, à bien y regarder, la murataise entend chaque blâme passant dans les prunelles de la duchesse. Pas un mot prononcé... c'est encore pire que des éclats de voix... Lalie en prend toute conscience!

Avez-vous déjà perdu le contrôle de vous même? Fait des choses que vous regrettiez l'instant d'après? Inutile de se confondre en excuse, la personne trahie n'est ni accusatrice, ni plaintive, ni réprobative. Non, vous lisez dans son regard un profond dégout... Cet écœurement est la pire des punitions! Aucun moyen de réagir face au silence!
C'est le sentiment que ressentait la brune... Jusqu'à ce qu'elle fut projetée un peu plus loin par une poigne terrible.

Se relever, ôter la poussière qui macule sa chemise déchirée à l'épaule d'un geste prompt du revers de la main, ne pas ressentir la douleur des combats précédents, rester à quelques pas sans bouger d'un cil!

Et puis, survenue d’un homme, ma foi, fort mécontent, à en juger par sa démarche endiablée vers elle. Il brandissait un mystérieux parchemin et expliqua à la murataise qu’elle n’avait rien compris aux règles sévissant icelieu.
Sans dire un mot.
La moutarde lui monte au nez, mais elle ne prononce pas un mot.
Serrer les lèvres… Attendre stoïquement.

Bon d'accord vous énervez pas, le prochain duel sra vous hein.
Elle était pas énervée, si? cela se voyait donc tant que cela?

Euh juste si après que vous vous soyez entretuez vous pouvez viendre mettre vos noms sur la fiche ça srez bien hein, même avec le sang cpo grave.

Pour une fois, faire ce que cet homme étrange attend d’elle, puis revenir exactement là où elle se trouvait.

Et ce qui du arriver arriva!

Le visage fermé, il était temps de s'expliquer.
Mirettes de glace rivées sur cet homme qu'elle connaissait par procuration.
Elle n'a aucune envie de lui parler, consciente que Le moment viendrait bien assez tot!

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Elle le savait qu'il reviendrait, elle savait qu'il ne la laisserait pas ainsi. L'étonnement ce lit sur son visage lorsqu'il se tient droit et fier derrière Lalie toujours penché sur la rouquine. Point besoin de parler un simple regard suffit à lui faire comprendre et sa réaction ne ce fait pas attendre. La brune se retrouve repoussée à terre au loin alors que les bras passe sous la rouquine pour coller son corps endolori à celui d'Aet. Elle le fixe longuement dans son regard émeraude Aet peut lire tout les remerciements qu'elle lui adresse. Elle enroule ses bras autour de son cou et le serre fermement.
Elle est porté avec soin jusqu'à Eole et déposé tout aussi délicatement dessus. Les yeux ténébreux d'Aet plonge dans les siens, elle sait qu'il ne laissera pas cet affront impuni, mais à quel point aller t'il la venger? Déjà qu'il n'éprouver guère d'amitié pour Lalie quand sera t'il désormais?
Elle tourne la tête de droite à gauche comme pour lui dire qu'il ne fallait pas, qu'il s'agissait d'un mal entendu.

Laisse-le te conduire à l'hôtel, Veni, je ne veux pas que tu assistes à ce qui va suivre

Rien ni ferait, il était décidé. Son regard s'abaisse quelques secondes puis elle le relève et sourit.

Tu sais très bien que je n'en ferais rien, que je resterais là, malgré tout.
Je ne bouge pas d'ici. Fait attention à toi elle est coriace, elle a réussi à battre l'homme que tu vois là bas. Quand à moi comme tu le vois.

Je reste là je surveille Eole, puis sait on jamais que Wal revienne hein.

Elle n'avait point fait attention à Lalie trop préoccupé de savoir ce qu'Aet aller faire, et peur de le voir lui aussi blessé dans le conflit. Elle ne doutait pas que ce conflit intérieur aurait pour effet de recréer le froid qui c'était quelque peu dissipé c'est dernier temps.

Aet.

Elle le fixe longuement.

Fait ce que tu as à faire, ne te soucie pas de moi.
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Æter pouvait lire l'inquiétude dans les yeux de Venitia. Mais de l'inquiétude pour qui ? Un instant, elle sembla aussi se soucier de la murataise...
Dans un premier temps, il ignora les propos de l'arbitre. D'où sortait-il celui-là ? Et de quelles règles parlait-il ? Tout à ses pensées, il écoutait Venitia lui parler, le mettre en garde. Il est vrai que la brune savait se battre, et que ses années à la COBA l'avaient endurcie et développé sa technique de combat. Mais lui était allé à une toute autre école : celle de la survie. Il lui sourit faiblement, comme pour lui dire de ne pas s'inquiéter ; lui ne craignait pas la brune. Non pas qu'il se crut plus fort qu'elle, mais il ne la craignait pas parce qu'il ne craignait rien ni personne, parce qu'il n'avait tout simplement pas peur de mourir. Il se savait en sursit depuis des années, et le pire qui pouvait lui arriver serait de trouver un peu de repos... enfin...

Il se tourna finalement vers l'arbitre.

De quelle règles me parlez-vous ? Je ne suis soumis à aucune règle, et je n'observe que la loi du Très-Haut, et les miennes.
Et parmi ces dernières, l'une d'elle dit que quiconque lève la main sur Venitia devra en payer le prix fort.

Il balaya la scène d'un geste de la main.

Croyez-vous que tout ceci est un jeu ? Un passe temps pour pauvres hères en mal d'aventure ?
D'aucun vous parleront d'offense, d'honneur, ou de vengeance. Voyez cet homme à terre ? Combien voudront le venger d'après vous ? Où voyez-vous en cela un quelconque honneur ? L'honneur serait, pour cet homme et ceux qui l'accompagnent, et qui se sont mêlés d'une affaire qui ne les concerne nullement, d'accepter la défaite et de s'incliner devant le vainqueur. Mais voyez ces dents serrées et ces poings crispés...

Il se retourna vers Venitia et la regarda, souffrant toujours des blessures que lui avait infligées la murataise. Il conclut à l'intention de l'homme au parchemin.

Il n'y a en jeu ni règle, ni honneur, ni gloire, Sieur. Il n'y a que la punition... et la mort !

Fait ce que tu as à faire,

Le regard qu'il posa sur elle n'était plus empreint de la même tendresse que précédemment, et tout sourire s'était effacé de son visage.

J'y compte bien Veni, j'y compte bien ...

Il s'approcha d'elle, hésitant. Il aurait voulu la serrer dans ses bras une dernière fois. Au cas où ... Finalement, il se retourna sans un mot et se dirigea d'un pas décidé vers Eullallie.

ne te soucie pas de moi.

... trop tard, jeta-t-il à la rouquine sans se retourner.

Son regard percuta alors Eullallie, et tandis qu'il avançait, il se mit à scander.

Christos a dit : N’attendez plus rien de la vie. Non comme des blasés, mais comme ceux qui savent qu’à chaque instant, tout leur est infiniment donné.

Il posa la main sur la garde de son épée, tout en continuant de parler, haussant la voix.

Et ce jour, l'Æternitæ vous reprend tout !

Il n'était plus qu'à quelques mètres de la brune...
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Et si, pour détendre l'atmosphère, Lalie donnait une franche accolade à Æthaire? Hein, juste pour déten...

Hum, à bien y regarder, ce n'était pas une bonne idée, non, parce que à le voir approcher la percutant du regard, son coeur se mit à battre très vite, trop vite... sans doute aucun adversaire n'avait cette aura, sans doute personne à part cet homme ne détenait un tel regard éclairé, perçant, acéré, sans doute aucun être humain non hystérique resterait tranquille devant la tempête qui approchait.

Ne pas baisser les yeux, calmer l'émoi qui s'empare de tout son être, arrêter de respirer afin d'être certaine de ne pas bouger.

Intimidation... Il citait Christos.
Intimidation... Il ne ralentissait pas le pas, comme s'il allait la balayer d'un geste de la main... Ce ne serait pas si facile, foi d'elle, elle était déterminée.
Intimidation... Il pose la main sur la garde de son épée....

Sans le quitter du regard, elle cherche son arme de la main... son arme? Elle est où elle? ...
Intimidation... La voila désarmée devant lui. Son épée émoussée, elle est sans doute quelque part, gisant au milieu de nulle part. Grand moment de solitude !

La situation est-elle divertissante pour la foule au bord de lice ? Elle n’entend rien !

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Paul Lice était présent juste au côté de la brune qui venait de se relever, il lui lança un merci pour enfin respecter les règles du duel et la salua comme il se doit.
Il fit un pas en avant afin de se placer entre les deux duelliste afin de lancer le duel. Hors la vision de celui qui visiblement se dénommer Aet s'approchant dangereusement eut pour effet de le faire reculer. C'est désormais derrière la brune qu'il se poste pour lancer le duel.

Bon donc on dit duel à mort hein, donc à a fin du duel à mort vous venez marquer votre nom sur le petit parchemin a côté de votre nom vous marquez la mention, vainqueur ou perdant ou mort.

Bien alors en ce jour de l'an, je ne sais plus quoi, sont présent, messire euhhhhhhhh A et dame euhhh B, pour un duel les opposants.
Paul Lice, moi même servira d'arbitre et fera en sorte que les règles soient respectés, enfin du moins essaieras.

Oui, bon on s'en fiche hein, j'ai compris.

Le duel peu commencer. Par galanterie nous dirons honneur aux femmes. Sans vous offenser messire hein euh...

Paul Lice s'enfuit en courant.