Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>

[rp]Lice en folie: Lalie VS Veni/Tadek/Æt... Æthaire VS Paul

Eullallie
Lalie, je t'aime ma vie, ne bouge pas.

Paulh, sa voix qui l’attire toujours vers la reviviscence. La vie qu’il lui a promise doucement délicieuse, passionnément euphorique, voluptueusement gaie !

Soif, elle a soif là! Quelqu’un s’en aperçoit-il ? Rien n’est moins certain… Toujours les yeux clos, son ouïe se concentre sur le timbre emprunt de sérénité feinte de son non-époux. Veut-il la rassurer ? La réponse est affirmative, à n’en point douter.


Lalie le gentil Diacre va te faire une décoction ou un onguent enfin un truc qui calme, après on pourra te déplacer j'espère...

Aphonie provoquée par la douleur… Acquiescement d’un léger signe de la tête … Se laisser faire, de toute façon, il est là, auprès d’elle, rien ne peut maintenant lui arriver.

je t'aime ma lumière, t'imagine même pas à quel point.

Son unique réponse est de glisser sa main dans la sienne, simple contact de peau provocant un instantané frisson de plaisir… Diantre que cette caresse lui communique la force dégagée par cet homme, son homme. Doucement, il la repose sur le sol, lache sa main, Lalie l’entend remercier Æthaire, faire de même silencieusement.
Puis écouter son cap’tain parler longuement, lui proposer de se battre… Se battre ? Son Paulho ? Second frisson, mais pas de plaisir celui-là ! Est-il seulement possible d’imaginer à quel point elle est divisée entre le désir de voir tout cela cesser et celui d’honorer son cap’tain pour tant de mansuétude à son égard ?


Je te défie car Paulh est mort aujourd'hui.
Phrase qu’elle n’aurait jamais pensé entendre… Paulh est mort ? Mais alors qui est entrain de lui parler ? Non sans blague ? Est-elle donc morte pour discerner la voix d’un défunt ? C’est à n’y rien comprendre ! Pourquoi la douleur la fait-elle délirer à ce point ?

Sentez-vous capable de marcher jusqu'a hors de la lice afin de vous réposer ?

Marcher ? Bah ! Ça marche une morte ? Il faudra qu’elle se penche sérieusement sur une lecture attentive de certains livres.
Tenter encore un mouvement… tient ! Les orteils cette fois ! Action ! Ah oui, elle peut bouger ! Les chevilles, les jambes… Pas de doute possible sur la douleur qui lui parcourt le corps, elle est bien en vie ! Bon, alors Paulh n’est pas mort… CQFD !


...........

Ouvrir lentement les yeux sur cet homme qui venait de lui soigner l’épaule.
Le diacre, sans nul doute.
Grimacer pour masquer le mal.


Je pense que oui.

Mais déjà son regard cherchait Paulh.
Là, épée en main, il attend Æternitæ. Ce dernier arrive! Il est temps de quitter l'endroit.


Voulez-vous m’aider ? Je pense qu’il n’est pas bon de rester là… le fou d’arbitre va nous dire que ce n’est pas réglementaireeeeuuuhhhh d’observer le duel d’ici.
Aussitôt dit, aussitôt tenté !
_________________
Paulhaguetois
Paulh avait ce qu'il voulait, Aeter s'approchait de lui et l'ironie de la situation lui serrait le coeur. Celui qu'il avait adoré puis detesté au point de désirer sa mort approchait enfin pour un combat singulier. Sauf que Paulh ne voulait plus sa mort.


Le plus grand maire que le BA n'est jamais eu ? Aeternitae répondait-il sans hésiter, oui et de loin encore, loin devant !!!!
Il avait detesté cette idée qu'une telle idole puisse partir avec la caisse de son village et cette seule pensée avait dominée toutes les autres.
Paulh le grand coq du vilage de Murat n'avait rien noté que cela, le grand Aet avait volé son village.
Il n'avait rien vu, rien entendu d'autres, perdu dans sa propre petite mairie à ne rien voir que les grosses ficelles que certains lui pendaient sous le nez et qu'il ne prenait pas la peine de vérifier.

Citation:


Je suis Æthaire de Combecastel, je n'ai ni rage dans mon cœur, ni à l'âme aucune rancœur. Mais tu as raison, je te méprise, toi, arverne, toi et ton peuple dégénéré.


oui tu as raison de me mépriser et doublement encore, en tant qu'homme et en tant qu' Arverne cela est vrai
Il m'aura fallu du temps et ma douce Lumière pour devenir un être un peu plus sage, un peu moins sot mais la bétise n'excuse pas l'aveuglement, la bétise n'excuse pas la passivité.
J'ai mis du temps, je suis un galant pas rapide mais plus rien ne me rattache à l' auvergne, seule quelques écus cachés au fond d'une forge délabrée peut encore m'y attirer.

Aet avançait doucement vers le centre de l'arène, tout en parlant. Paulh le suivait des yeux, son épée bien en main. Il ne bougeait pas bien ancré sur ses jambes prêt à encaisser le premier coup


Des souvenirs revenaient au fur et mesure des paroles de son adversaire
La Coba, 3 guerres, 3 médailles, 1 procés pour haute trahison, Dégradé plusieurs fois surtout pour insubordination.
Où étais-je quand on avait demandé des volontaires ? Bah surement bien planqué dans mon bureau à la mairie , comme toujours...



Aet n'était plus maintenant qu'à une dizaine de coudées du muratais. Il ferma les yeux quelques secondes pour s'apaiser, et reprit d'une voix plus douce, plus ironique.

Citation:

Les voilà l'honneur et le sens de la justice auvergnats... Et toi qui prétends me laisser la vie sauve... Toi qui avec ton armée m'a pourchassé deux semaines durant en BA, toi qui n'a jamais réussi à mettre la main sur moi alors que tu avais avec toi - combien ? - une dizaine d'hommes ? une vingtaine ? Pourquoi crois-tu pouvoir me défaire aujourd'hui alors que tu es seul ?


Oui je t'ai poursuivi, je t'en voulais à mort d'avoir détruit l'image du héro que je voyais en toi. J'ai été assez sot et niais et suffisament paresseux pour ne pas chercher à voir plus loin que la poudre que l'on me jetait aux yeux.
Je ne suis rien qu'un pauvre manant qui disait croire en ses héros mais seulement si cela ne dérangeai pas son petit train train et son petit quotidien.
Oui si je t'avais rattrapé avec mon armée je n'aurais fait aucun quartier, à 20 contre 1 tel le lache aveugle que j'étais et avec le sentiment d'accomplir une chose juste.
Oui le Muratais que j'étais voulait ta mort car vivre dans sa bulle, béât n'avait pas de prix.


Plus que quelques pas.
Citation:

Non, l'arverne, ton sacrifice est inutile... Car je vais te vaincre aujourd'hui, et demain je détruirai l'Auvergne, Deo juvante.


Quoi qu'il arrive, tu ne me vaincras pas car j'ai changé. Je ne me bats plus contre toi mais pour toi.
Il y aura un avant et un après.

La route sera longue, mon chemin tortueux mais tu ne me vaincras pas.

Que ta haine soit avec moi et avec mon pays
Que ta volonté soit faite Aethaire éternel
Que ton règne arrive, amène-toi,
je te laisserai la vie sauve si tu te bats bien allons que ta main soit sans accoup et que ton bras ne faiblisse point...
Viens petit Aeternitae de rien du tout, allez viens mon petit, je t'attends...

_________________
Si tu veux des PE, je peux !!!
Aeternitae
Æthaire avait stoppé sa progression, observant, étudiant, et écoutant son adversaire. Pourquoi avait-il accepté ce duel ? Lui qui avait passé tant de temps à se recueillir, à étudier la parole d'Aristote et celle de Christos, et à prier aussi, surtout ... n'avait en réalité passé les dernières années de sa vie qu'à se battre. Se battre encore et toujours, pour qui ? pour quoi ? Pour l'honneur ? Il n'en n'avait cure. Ils avaient tout gâché, et il avait tout perdu ... fors l'honneur, justement. Kentoc'h mervel evet bezañ saotret ! Alors que cherchait-il à prouver ? Et surtout à qui ?

Les propos de Paulhaguétois le déroutaient. Quel était ce manège ? Pourquoi se salissait-il ainsi ? N'aurait-il pas été plus simple, si ses remords étaient sincères, de les lui avoir formulés... simplement ? Qu'était devenu le Paulhaguétois qu'il avait connu et apprécié ? L'homme fier mais sans arrogance, l'homme chaleureux, amical, et au caractère bien trempé, où se cachait-il ? Derrière un masque de soumission, fardé d'une repentance posée avec autant de subtilité qu'une catin s'enduit le visage de poudre de riz ? Impossible !

Æthaire abaissa son arme doucement, mais en tenait toujours la poignée fermement, près du pommeau. Le ton du muratais changea, se teintant d'une ironie qu'il reconnaissait bien. Il sourit.


Viens petit Aeternitae de rien du tout, allez viens mon petit, je t'attends...

Il secoua la tête.

Inutile d'appeler Æternitæ, car tu ne te battras pas contre lui ! Que croyais-tu ? Qu'espérais-tu ?
Le bois de Murat contre les fruits d'Aurillac ? Les Sangliers Muratais contre les Dragons Grondants Aurillacois ?


Il repensa à Etotsira, et un sourire nostalgique se dessina sur son visage. Comme il avait aimé son village ! Comme il avait aimé son duché ! Il les avait chéris plus encore qu'il n'avait aimé celles qui avaient partagé sa vie... Il pensa à la première d'entre elles, à leur idylle secrète, à leur amour impossible, et la haine incompréhensible qui en a résulté, lourde en conséquences... Jalousie ! Il pensa à son épouse, Antonia, son ex-épouse en fait même s'il ne s'était pas encore totalement fait à cette idée.... Jalousie ! Et il pensa à Lullaby surtout, Dieu ait son âme. La pire de toutes en apparence, car elle ne se cachait pas derrière un masque trompeur de sainteté, et la plus jalouse aussi ... l'hôpital qui se moquait de l'infirmerie, en somme. Il pensait surtout à elle, car c'est elle qui lui avait offert Kenaz, tant d'années auparavant. Aurait-elle imaginé alors l'usage qu'il en ferait ?
De la pointe de son arme, il traça dans la terre battue le symbole de Kenaz :
Kenaz, le feu interne celui qui, lorsqu'il est maîtrisé, apporte chaleur et réconfort. Mais si l'on se laisse dominer par lui, si l'on ne le contrôle plus, alors il n'est plus que le feu destructeur qui consume celui qui l'a fait naître, et détruit tout sur son passage... Il traça la première ligne, feignant de ne prêter aucune attention à Paulhaguétois, puis la deuxième ligne. Tournant le dos à son adversaire, il regarda le symbole quelques longues secondes, puis rengaina calmement son épée. Il parla alors d'une voix posée, calme, et détendue.

Non Paulha, je ne te laisserai pas te battre contre Æternitæ, parce que c'est à moi de le faire. Mais pour ce faire ...

Il se retourna alors violemment et, profitant de l'effet de surprise, décocha un crochet magistral dans les gencives de Paulhaguétois.
Citation:
0. Hop, une petit coup dans les gencives, ça ne peut pas ne pas faire de mal ! (Aeternitae inflige 3 points de dégât à Paulhaguetois.)

... je dois d'abord être capable de te vaincre sans son aide !
_________________
Bisac
Le duel semblait tourner en pugilat, le diacre prit le bras de la jeune femme autours de son cou et essaya de l'aider à avancer. Il était certain qu'elle devait souffrir, sa blessure était tout de même profonde. Toutefois, la jeune femme, qui se nommait "Lali" ou du moins c'était ce qu'avait comprit le diacre, essayait tant bien que mal de cacher sa douleur. Une attitude certes courageuse mais un brin inutile.
Il continua donc de lui servir d'appui et c'est ainsi qu'ils arrivèrent hors de la lice, il la fit s'allonger sur un banc. Ce n'était pas une position confortable mais la jeune femme ne voudrait surement pas quitter l'arène alors que son ami était en train de se battre.
Parlons-en justement de ce duel...il est évident que le diacre ne connaissait pas le différent qui opposait les deux hommes, même si en ls écoutant bien il devait s'agir d'une sombre histoire de vengeance.
Il préféra ne rien dire et garder son avis pour lui.
Jean jetta un coup d'oeil sur la jeune femme et lui dit.


Je me doute bien que vous voudriez rester ici, mais il serait plus judicieux que rentriez vous reposer. Votre blessure à besoin de calme et de repos pour guérir, ce que vous ne trouverez manifestement pas ici...
_________________
Diacre de Sancerre
CAM du Berry.
Frère Franciscain.
Eullallie
Et la voila soutenue par une béquille humaine, diantre! Que les soins prodigués par cet homme (d'église à en croire ses habits) étaient salvateurs!
Le visage de Sophonxe s'imposa encore à elle... Que le Très Haut la protège et la garde à ses côtés.


Je me doute bien que vous voudriez rester ici, mais il serait plus judicieux que rentriez vous reposer. Votre blessure à besoin de calme et de repos pour guérir, ce que vous ne trouverez manifestement pas ici...

Vous n'y pensez pas!
Peu importe ma douleur, je me dois d'être là pour lui.
Montre du menton Paulh qui vient de s'en prendre une belle.
Comment se fait-il que son cap'tain s'est fait saisir de telle manière.
Cri étouffé, yeux plissés ne quittant plus la lice, respiration saccadée.


Je ne puis quitter cet endroit, comprenez-le!
Ah, au fait, je suis Eullallie, murataise.

Un souffle murmuré... Ce combat se révélait surprenant.

_________________
Bisac
Jean écouta les brèves paroles d'Eullalie et rajouta à voix basse.

Bien...je vois qu'il est inutile d'insister.

Bisac haussa les épaules et laissa échapper un soupir.
Il se permit de rajouter.


Quant à moi je suis Jean Bisac, diacre de mon état vous l'aurez comprit.

Comprenant que sa présence ici lieu ne devait plus tarder, il se leva fit une légère révérence et dit.

Madame, je me dois de vous quitter. Je ne veux point assister à ce spectacle macabre où la justice se règle avec les armes.
Je vous prie de croire en mon amitié et vous souhaite un bon rétablissement.
Sachez que je prierai pour votre ami, que le Très-Haut vous garde vous et lui.


Jean se retourna et quitta la lice, espérant de tout coeur ne jamais y revenir.
_________________
Diacre de Sancerre
CAM du Berry.
Frère Franciscain.
Venitia
Se retirer quelques peu et les laisser se parler, se comprendre ou du moins essayer, parce que Aet était incompréhensible pour beaucoup, mais Paul aussi par certain coté. Expliquer à Wal ce qui se passe et pourquoi ils étaient tous là sur cette lice à en découdre comme des gosses pas contents.
Partir, mais rester dans les parages au cas où, pour ne pas l'abandonner mais surtout par peur de le faire.
Des voix s'entrechoque dans son dos, Paul puis Aet. Ils expriment la volonté d'un nouveau duel. Non pas encore, tout sauf ça, elle n'en peux plus la rouquine de poursuivre avec cette peur.
Face à Paul il ne saura pas se contrôler quand à lui elle ne le connaissait pas assez pour savoir ce qu'il ferait
.

Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

Elle avait crié mais surtout elle c'était retourné attend pour voir le tracé dans la terre et le coup de poing qui vint percuté sans demander son reste Paul. Elle lâche alors Wal et se met à courir pas bien longtemps la douleur de sa cheville se réveille alors elle finit en marchant.

Wal, vienttttttttttttttt, faut y retourner.

Elle arrive alors et se poste au côté du diacre et de Lalie qui se faisait soigné, léger sourire de circonstance. Non pas qu'elle ne se souciait pas de ce qui pouvait arriver à Lalie, mais ce qui arrivait à Aet l'importait plus, beaucoup plus.
Elle les fixe longuement, Aet avait lancé les hostilité tout aller recommencer.
Elle le fixe lui plus spécifiquement, ses yeux, ses yeux n'était pas remplit de la même haine, de la même rage qui le consumait normalement
.

Aethaire ?

Elle s'avance alors efface du pied la trace de kenaz au sol, lui sourit puis se penche à son oreille, profitant que Paul soit sonné, elle lui murmure.

Fait attention à toi, si il t'arrive quelque chose, je ne te le pardonnerais pas.

Puis encore plus doucement.

Aet, si tu vois qu'il ne s'en sort pas, revient.

Elle se recule alors, sortant du cercle de combat.
_________________
Celeste.
Berry  Anjou … réexpédition sans autre avis !

Elles sillonnaient les routes d’un pas paisible, le Berry, enfin, Duché tant apprécié à une lointaine époque.
Foulé à nouveau ce territoire où elle avait fait de belles rencontres la ravit … c’était sans compter les derniers changements de sa vie depuis quelques années.
Elle n’était plus le gentil petit soldat obéissant au doigt et à l’œil, l’avait elle jamais été ? La résidait la question.

Bref ! le Berry, son dialecte, ses tavernes … et juste en bordure de la frontière son armée !
Parlons en de l’armée, mouai, bande de truffions avec lesquels elle devait négocier … Ce n’était pas le moment Celeste !
Un laissez-passer ??? Son nom et le pourquoi de sa présence ???
Bah ! Demandé poliment, elle aurait fait l’effort de sourire et de prendre la peine d’ouvrir la bouche et de répondre sur un ton charmant mais bon, là, hum … petit front buté, les sourcils qui se froncent et voila ! Ah ! Ça c’est tout elle !

Elle adore la broderie, n’a pas encore comprit tout le concept, ni même que la broderie se fait à l’aide d’une aiguille, son amie lui répétait inlassablement :
* Celeste ! la broderie ne se fait pas sur de la chair humaine est encore moins à l’aide d’une épée !*.
Et bien quoi ! Elle trouvait cela plaisant elle ! Et puis une aiguille ou une épée c’est un peu près la même chose, non ?
Trêve de bavardage futile.
Elle seule avec son épée, son amie venant de passer, devant une armée.. et elle fonça dans le tas !
Verdict … retour à la case départ pour quelques jours de repos forcé … ah ! elle ruminait.. et une fois remise ... c’est au Berry qu’elle repartirait.


Et le temps passe inlassablement… elle sifflote …deviens auteur-compositeur … viens la délivrance …

Alitée, plus par sa fierté que par quelconque douleur physique .. elle poussait la chansonnette.

Hey ! Toi, petit Berrichon
Quand te reverrais-je ?
Duché de couillon

Je me suis prise au piège
De venir te faire mordre la poussière


Et elle repartait en cœur et de plus belle … si bien qu’à présent, elle avait une voix de ténor a faire pâlir n’importe quel saltimbanque, troubadour et crieur public.
Après escorteur de la couronne, finirait-elle fou du Roy ?
Vint le jour tant attendu où elle put se mouvoir de son pas alerte et gracile même chaussé de ses gros sabots, haha !

Décision prise de bel lurette et missive l’encourageant dans cette optique, la revoilà en route vers le Berry.


Berry terre promise … premier village où se produire … premier concert … affiche complet !


En chemin avec mes sabots rencontrait trois ... Berrichons héhéhé avec mes sabots …
Elle chantait à tue-tête, depuis peu auteur à succès accompagné toujours par ses fans, elle faisait route vers Saint-Aignan, chevauchant sa seule et unique groupie, Tonnerre.
Bref, le talent était souvent mépris ou incompris mais elle se voyait déjà sur les planches, adulées par la foule, elle chanterait pour tous, il s’arracherait ses guenilles… Cette pensée lui plut et c’est d’une allure plus vive fendant la brise du vent avec fierté qu’elle franchit cette fois la frontière du Berry.

Saint Aignan se profilait à l’horizon, poisseuse, assoiffée et affamée, une petite halte ne serait point de refus.
Village comparable à tant d’autres, peut être un peu blazer sans nul doute que de ne trouver aucune beauté à ce qui l’entoure.


La cohue, la foule, moue déconfite tout ce qu’elle exècre et aime, contradiction ? mais nan ..
L’attention attirée par … laissant sa monture attachée près de la première taverne.
Qu’est ce ? … une caravane de saltimbanque donnant représentation ? Des joutes ? Un débat politique ? Qu’est ce qui attire tout ce monde à converger vers cet endroit ? Curiosité aidant ainsi que la pensée probable d’imaginer une scène pour étaler aux yeux de tous son talent, toujours est il qu’elle s’approche, poussant des coudes les villageois.
S’accoudant à une barrière, elle a tôt fait de se renseigner sur le pourquoi du comment de ceci. Une joute ? Ah ben non ! c’est réservé aux noblions .. le même truc mais pour les gueux qui n’ont que ça à faire. Elle remercie d’un sourire poli son voisin pour ces explications et lorgne ce qui se passe.

D’après ces dires, une tite brune têtue ou à demi-sotte bataillait depuis un moment, bien qu’elle venait de mordre la poussière. Elle avait affronté le feu follet aux cheveux rouge puis un autre gaillard et puis le vieil homme là-bas, lui dit il lui montrant l’homme du doigt, bien que cela ne soit pas des plus courtois. Apparemment le bellâtre de la brunette tenait à réparer la correction donnée à sa douce.
Au moins, elle arrivait juste à temps, elle ne raterait pas la suite, se frottant les mains, petite lueur carnassière brillant dans ses prunelles, des coups, du sang, une bonne petite bagarre voila qui lui donnerait du baume au cœur !
Un regard autour d’elle, elle cria :


Je prends les paris !! Par ici !!

Autant joindre l’utile à l’agréable, tant à se distraite autant que cela lui rapporte quelque chose.
_________________
Waleran
Il voulait des explications, et il en eut. Eullallie, la silencieuse, la douce, la réservée, celle qui jamais ne disait un mot plus haut que l'autre, elle aurait combattu trois personnes d'affilée ? La mignonette, taillée comme une ablette aux pires mois de l'hiver, elle aurait vaincu Veni, ainsi que l'homme là-bas, guerrier aguerri et que d'aucuns citent comme un meneur d'hommes, et de parti politique ? Pire que cela encore, elle se serait battue, seule, contre le misanthrope ?
Waleran observa Venitia. Il la dévisagea, cherchant un pouffement de rire naissant. Mais non, la rousse réussissait à garder son calme. Il croisa les bras sur son torse, se cambra, et tapota le sol du pied.


Venitia, mon petit, je ne voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier, l'homme de la pampa - parfois rude - reste toujours courtois, mais la vérité m'oblige à te le dire : est-ce que par hasard tu te foutrais pas un peu de ma gueule ?

Et pour toute réponse, une embrassade, et une désertion ...

Tu sais Wal je crois qu'on devrait les laisser un peu.

La rouquine fit volte-face et commençait à s'éloigner en parlant de gourde, pendant que le muratais défiait le misanthrope. Immobile, Waleran observait la scène, pendant qu'Eullallie se rapprochait, aidée par le diacre... Grand sourire amical.

Coucou Lalie, ça va ?

Hésitation. Pfiou. Parfois la plus banale des questions vous fait paraître plus ridicule encore que vous ne l'êtes. En l'occurence et dans le cas qui nous préoccupe, c'est en soi une prouesse... Retour à l'arène.

Hum, j'ai rien dit... Ah ! Ho ! Aïe aïe aïe ... Va y avoir du sport, duchesse ...

Et ... souvent femme varie dit l'adage. Quels que furent les fondements de ce dicton populaire, il n'en était pas moins vrai que Venitia répondait parfaitement à la définition.

Wal, vienttttttttttttttt, faut y retourner.

Hum, moui, bien fait de ne pas bouger moi... répondit-il, roulant des yeux comme d'autres les mécaniques.

Il laissa la rousse entrer dans l'arène et murmurer quelques mots à Æter, et pendant qu'elle avait le dos tourné, il se mit à faire de grands gestes, poings fermés, mimant un combat bucolique le soir au fond des bois ... euh non, un combat d'alcooliques le soir au fond des bars.


Crochet du gauche ! Allez, ouiiiii ! Noooon, l'autre gauche ! Allez Paulha ! Mords-y l'oeil !

Mais déjà Venitia revenait vers lui. Il poursuivit, beaucoup plus bas, sautillant sur place.

Hum... Allez tonton Æter, on est tous avec toi ...

Je prends les paris !! Par ici !!

Gné ?!

Il tourna la tête vers la femme qui venait d'arriver. Se parant de son plus beau sourire, il s'approcha d'elle.

Bien le bonjour, ma Dame. Un peu de pommade dans les propos ne peut qu'être favorable aux négociations.
Un pari dites-vous ? Soit ! Je mise 10 contre 1 sur le vainqueur !

Regard étrange. Il changea de tactique.

Hum... Voyez le misanthrope là ! Mouais, le misanthrope c'est celui qu'a les cheveux blancs. Alors s'il gagne, je gagne. Et s'il perd, c'est vous qui perdez ! Allez, 100 écus, topez là !
_________________
Celeste.
Au bord de la lice … ou ses poches se remplissent… ou un fion tente de la prendre pour un pigeon ..

Elle avait réussit à attirer l’attention, les paris affluaient, moue déçue, pfiou que des fauchés par ici !
Quelques pièces, un écu pour les plus audacieux, elle soupesait ces quelques deniers, poussant un profond soupir.
Elle trouverait bien un idiot à plumer, suffisait d’attendre et de relancer.
Elle ne quittait le combat du coin de l’œil, arff, le vieux avait un sacré crochet ! non d’une bourrique ! Bah ! un coup de chance, ces vieux os devait en avoir prit un sacré coup !


Allez les gars, on se bouge, on se cogne et vas-y démolit-le !!!


Bien que quand le plus jeune ramassa le coup .. elle recula sous le choc … elle devait avoir mal vu … elle sauta presque sur la barrière, non !? Si !? Paul !? Que fairait il ici ? Loin de Murat ? C’était invraisemblable et pourtant c’était bien lui.
Elle se démonta presque le cou tant elle se tendait pour voir le combat.
Paulho, la soule, lui, le cap’tain ! Son coussin rose, sa bave quand il s’assoupissait, ces ronflements .. que de souvenirs, elle se mit à scander son nom.


Vas-y Paulho !!!! Mets de l’huile !!!!


Elle hurlait son nom, cramponnée comme un beau diable quand une voix .. ce n’est pas tant la formule de politesse mais bien le jeu de mots déplorable et la mise qui lui fit regarder l’homme.
Elle descendit de la barrière, mauvaise idée, avec son mètre cinquante six ouchhh elle dut relever son minois vers l’inconnu.
Posant sa main sur sa hanche, haussant un sourcil


Messire, il parait que l’intelligence d’une personne ne se mesure pas à sa taille … ais-je l’air si stupide ?

Il l’a prenait pour une cruche avec ce jeu de mots qui n’avantageait que lui.
Elle lui adressa un sourire niais.


Vous ne semblez pas si sur que cela de l’issue du combat … 100 écus ? à croire que vous ne pensez guère aux chances de votre misanthrope … mais entendu ! il gagne, je gagne, il perd, vous perdez petite sourire narquois tout en crachant dans sa main en lui tendant sa paumetopez-là !
_________________
Waleran
Il attendait la réaction de la jeune femme, la regardant droit dans les yeux, sourire en coin. Le temps de jeter un coup d'oeil sur les belligérants, et la donzelle avait disparu. Bouche qui bée, dévoilant une dentition parfaite malheureusement entièrement masquée par une langue béatement présentée au monde, globe oculaire qui tente une exorbitation passagère, et tête qui se tourne vers Venitia, Waleran s'exprime :

Beh, bah, beuh ... Venitia ! T'as vu ça elle a disparu ! Je lui parle, et pfioutch, d'un coup elle n'est plus là !

Messire, il parait que l’intelligence d’une personne ne se mesure pas à sa taille … ais-je l’air si stupide ?

Il baisse la tête vers la voix.

Ah, oh, hum ... z'êtes là ? Attendez ...

Il se penche vers le bout de femme et l'observe attentivement, détaillant chaque trait de son visage.

Hum ... z'êtes certaine de vouloir une réponse, Damoiselle ?

S'en suit une diatribe qui tente maladroitement de renverser la proposition de pari. Voilà une personne fort peu courtoise au point de vouloir arroser l'arroseur. Mais où va-t-on ? Si les arnaqueurs ne s'en prennent plus seulement aux honnêtes gens, mais s'attaquent mutuellement, c'est toute la profession qui est en danger ! Et la donzelle se crache dans la paume avant de la lui présenter.

Hola, doucement ma jolie, je suis pas médicastre, moi ! Z'avez mal aux poumons c'est ça ? Vous savez, je suis plus tactile qu'observateur, et il va me falloir vous palper si vous voulez un diagnostic sur votre organe !

Puis il se souvint de la phrase du misanthrope : fais du bien à un vilain, et il te crache dans la main. Il se gratta la tête, cherchant à résoudre cette étrange variation du dicton. Mains qui se posent en porte-voix, à l'attention de l'arène.

Oh ! Æter ! Si les vilains ils se crachent dans leur propre main ... enfin propre, j'me comprends ... ça veut dire quoi ?

Topez-là !

Hum, oui, une seconde damoiselle je vous prie. C'est que je voudrais pas être obligé de vous faire du bien après, voyez ? Z'avez des coutumes bizarres par ici, alors j'me renseigne avant !
_________________
Bisac
Jean qui quittait la lice, croisa sur son chemin une jeune femme qui marchait d'un préssé. N'y faisant guère attention il continua sa route.
Au moment où il allait sortit définitivement de l'arène il enttendit une voix annoncant qu'elle prenait les paris sur ce duel. Bisac stoppa net sa marche. Il se retourna et regarder qui pouvait bien faire preuve de bien peu de déontologie. Son regard se posa sur la femme qu'il avait croisé.
Comment osait-t-elle prendre des paris alors que deux personnes allaient peut-être se tuer.
La bêtise humaine mélée à l'appat du gain faisait des mélanges bien étonnant. Le diacre était constament surprit par la désinvolture de certaines personnes, il en avait un exemple sous ses yeux. Préférant se taire car ses remarques seraient surement vaine, il jetta un regard haineux sur la "preneuse de paris" et pour une dernière fois il quitta la lice.

_________________
Diacre de Sancerre
CAM du Berry.
Frère Franciscain.
Paulhaguetois
Aeternitae a écrit:


Inutile d'appeler Æternitæ, car tu ne te battras pas contre lui ! Que croyais-tu ? Qu'espérais-tu ?
Le bois de Murat contre les fruits d'Aurillac ? Les Sangliers Muratais contre les Dragons Grondants Aurillacois ?

Paulh ne peut s'empécher de sourire
Ah ben oui tiens on se le fait à 5 stères les 2 fruits et on en parle plus tiens, oui bonne idée, sinon à la soule je préfère pas , je perds trop contre Aurillac !!!mais cessons là on croirait deux vieux papy qui se remémorent leur folle jeunesse, j'étais venu pour me battre, non ? contre Aeternitae sinon j'aurais apporté des bonbons, ou des fleurs pour madame , quoique les fleurs soient perissables...

Non Paulha, je ne te laisserai pas te battre contre Æternitæ, parce que c'est à moi de le faire. Mais pour ce faire ...

Il se retourna alors violemment et, profitant de l'effet de surprise, décocha un crochet magistral dans les gencives de Paulhaguétois.

Citation:
0. Hop, une petit coup dans les gencives, ça ne peut pas ne pas faire de mal ! (Aeternitae inflige 3 points de dégât à Paulhaguetois.)

... je dois d'abord être capable de te vaincre sans son aide !

Paulh, s'est fait avoir comme un jeunot, et il l'a pas vu venir celle là !!! sous le choc il recule d'un pas.
[
Me vaincre Aethaire ? Tu le peux sans doute sur un coup foireux ou un malentendu, parfois, on trouve l'ouverture

tiens aurait-il entendu la voix de Celeste ?Il y a un tel brouhaha autours de cette arène qu'il doit halluciner auditivement !!!!
L'ambiance ici est montée d'un cran, c'est la soule baby


JE SUIS UN SANGLIER !!!!! JE VAIS TE PIETINER !!!!
TU NE FAIS PAS LE POIDS AETHAIRE,
LAISSE VENIR A MOI TA COLERE ET TA HAINE
JE SUIS UN MURATAIS !!!! ET JE VAIS T'ECRASER !!!!


et tel un sanglier il fonce en avant, tête baissée en bourrin, ennervé quoi !!!! A la Wal comme je te pousse, à la hussarde, à la meilleure défense reste encore l'attaque et dans le cas present c'est une attaque bourrine pas cérébrale pour deux sous et il place un crochet vicieux du gauche, le bras qui est censé seulement tenir son ecu et la main qui sert à se gratter les poux

Citation:
Ah, celui là, c'est pas un cadeau ! Aeternitae a dû le sentir passer ! (Paulhaguetois inflige 5 points de dégât à Aeternitae.)

_________________
Si tu veux des PE, je peux !!!
Celeste.
Au bord la lice avec Tartempion .. elle s'enlise ...

Nanmého ! Il la surplombe de sa superbe ainsi penché vers elle, elle retrousse son nez, se recule.
Pas trop près hein ! Certaines odeurs l’incommode un temps soit peu.
Surtout cette du mâle suintant par tout les pores de sa peau, ses mains sur ses hanches, elle écoute ses railleries. Un petit rigolo, soit futé, soit complètement dépourvu d’une parcelle d’intelligence, plus encline à la deuxième suggestion.

Sous entendrait il que sa main, léger doute, regarde la paume de sa main, mouai bon d’accord, elle aurait put faire un effort.
* Non d’une pustule Celeste ! te laisse pas distraire par ce fourbe ! * elle essuie malgré elle sa main sur ses braies l’air de rien.

La seule chose que vous allez palper mon grand c’est mon pied dans votre arrière-train !

Arff les hommes et leur esprit de déduction ne tournant pas plus haut que leur ceinture.
Elle hausse les épaules et reporte son attention sur le combat juste à l’ instant où Paul se rue


Vas-y Paul !!! Défonce-le, écrase-le !!! Vire tes frusques tu seras plus à l’aise !!!!

Rougit légèrement, se mord la langue, s’invective.
Tout en grimpant à nouveau sur la barrière, elle se démène sur place, mouvant son corps comme si elle boxait. Encourageant son ami, se concentrant ainsi beaucoup mieux sur ce qui se passe, que sur les images furtives qui affluent à son esprit de Paul à moitié nu. L’était pas mal hein ! le cap’tain.
Du coup, elle en oublie son pari et toute autre chose qui ne ressemble pas à un bout de corps musclé … elle est en pâmoison devant cette affluence de testostérones, petit soupir devant ce si merveilleux spectacle.

_________________
Aeternitae
Paulhaguétois recula, et Æthaire hésita entre assurer sa défense ou profiter de l'élan pour enchaîner un second coup. Venitia interrompit sa réflexion.

Fait attention à toi, si il t'arrive quelque chose, je ne te le pardonnerais pas.

Grumpf !

Trop tard pour enchaîner un second mouvement. Il s'apprêta donc à subir la riposte du muratais. Il se campa solidement sur ses jambes pendant que Paulhaguétois entonnait ce qui ressemblait au chant de guerre de son équipe de soule.

Aet, si tu vois qu'il ne s'en sort pas, revient.

Avait-il bien entendu ? Il regarda Venitia s'éloigner. Mais à quel jeu jouait-elle ?

Oh ! Æter !

Mais c'est pas vrai, voilà que Waleran s'y mettait aussi ! Ils n'avaient pas remarqué qu'il était en train de se battre ? Il le foudroya immédiatement du regard, mais n'eut pas le loisir d'entendre le reste de son propos : à peine eut-il la tête tournée qu'il reçut le bouclier de Paulhaguétois dans la mâchoire. Sa tête fit un quart de tour, et dans sa tentative pour éviter le coup, il n'eut que le réflexe de s'agripper à la chemise du muratais de la main gauche.
Penché pour éviter un second coup, toujours agrippé à son adversaire, il se saisit de Kenaz et la sortit de son fourreau d'un geste avant de l'abattre aléatoirement sur Paulha. La lame frappa violemment l'écu.

Citation:
2. Paulhaguetois est fauché comme un épi de blé en plein vol, quel geste remarquable de Aeternitae ! Le geste parfait, Paulhaguetois se tord de douleur sur le pré. (Aeternitae inflige 11 points de dégât à Paulhaguetois.)

Sous la puissance du coup, le bouclier de l'auvergnat se disloqua, dispersant des morceaux de bois sur les deux hommes, et la chemise tendue au delà de ses capacités de résistance se déchira brutalement, projetant Æthaire au sol, ne laissant dans son poing qu'un morceaux d'étoffe. D'un bond, il se remit sur pieds, se repositionnant au centre de l'arène.
    Voilà ce qui arrive à tout ce qui touche à l'Æternitæ !
Non ! Laisse-moi tranquille ! répondit Æthaire à sa voix intérieure. Ce combat, c'était son combat, et il ne laisserait pas l'Autre lui voler sa victoire !

Il se reconcentra sur son adversaire.

Une chance que je n'ai pas eu le temps de viser, hein ! adressa-t-il avec un sourire en coin à Paulhaguétois.
Avant que ce tissu ne touche le sol, tu seras vaincu ! ajouta-t-il, jetant le morceau d'étoffe en l'air.

Il ricana, plus pour lui-même que par moquerie. Ma foi, des fois ça marche, il suffit d'y croire...
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)