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[RP] De l'amour à la haine

Henki
Henki écoutait, un petit sourire aux lèvres, Prongs conter de vieux souvenirs qui, avec la tornade provoqué par leur enfants, allégèrent l’atmosphère. Il la regardait, ses yeux pétillants, laisser échapper de sa bouche des joies partagés ancrées à jamais dans leur cœur ainsi que des rires mélodieux si doux à ses oreilles.

Mon père n’à jamais regardé ton décolleté voyons, à l’époque il était bien trop peu développé, mais tes autres formes je ne dis pas.

Il ria, se moquant gentiment d’elle et de son corps de jeune fille à peine épanouie qu’il avait tant chéri à l’époque de leur premier amour.

Bien sur je me souviens, comment oublier ces moments la… Toi qui était totalement effrayé de son arrivé malgré tout mes efforts pour te rassurer. Je connaissais bien mon père et quand il rentrais tard c’était toujours avec un trop plein d’alcool hé hé. Ce soir la j’avais put voir que tout t’aller bien, même la peur te rendait terriblement belle et touchante.

Il lui offrit un de ses petits sourires sincères, plein de nostalgie et de bonheur, alors qu’il frissonnait de sentir les doigts de son amour sur sa peau. Il mêla délicatement ses phalanges aux siennes s’emparant doucement de sa main.

Pour faire des ravages oh oui tu en ferras, je t’apprendrais même quelques petits trucs.

Le baron fit un clin d’œil à Louis qui ,bien que n’étant pas encore en âge de vraiment s’intéresser aux filles, semblait ravit. Genor décida alors d’emmener le bambin avec elle pour que ses parents puisses être seul ensemble. Une fois en tête à tête Henki se tourna vers Prongs, plongeant son regard dans le sien.

Quelle drôle de journée… D’abord nous nous séparons, puis nous nous disputons pour la garde de Louis et voila que maintenant nous rions tous ensemble comme une vrai famille…

Il baissa la tête un instant, semblant chercher ses mots, puis la redressa avant de reprendre.

Ecoute, je ne sais pas si j’ais était assez clair alors je vais te le redire… Je ne veux pas qu’on se sépare, je ne veux pas détruire notre famille, je voudrais tant que tu me laisse réparer mes erreurs, que tu me laisse me faire pardonner… Je t’aime Prongs, comme je n’ais jamais aimé aucune femme, et je te veux à mes côtés, avec nos enfants, pour le restant de nos jours…

L’homme se pencha alors légèrement en avant s’apprêtant très lentement à embrasser sa compagne de façon à ce qu’elle puisse choisir de refuser ou non ce baiser.

(Et je m’arrête la dans un soucis de cohérence afin que nous puissions développer ce moment en tête à tête que LJD genor à vite passé dans son rp afin de pouvoir faire partir son personnage, puisque ne pouvant répondre à ce rp avant un certain temps.J )
Prongs
Ses yeux pétillaient, elle se tourna vers Henki en riant. Les souvenirs resurgissaient en elle.

Oh elles avaient quoi mes formes ! Il me semblait que tu t’en contentais bien à l’époque. Elle ria de plus belle. Approuvant tout de même que oui, les formes d’une jeune fille et celle d’une femme après deux grossesses ne sont de loin pas comparables.

Elle lui prit la main, sourit.
Sa fille partit, le regard rieur, les regardant avec un grand sourire. La mère lança :


Oh Genor, ne va pas t’imaginer des choses. Mais sa fille jeta un regard vers les mains unies de ses parents et tout était dit. Elle embrassa sa fille et son fils et les regarda s’en aller.

Le silence s’installa, on sentait une tension flotter dans la pièce. Sentiment d’incertitude, d’attirance et de désir mais aussi de doute et de peur pour notre Prongs.

Elle se tourna vers lui, il la regardait fixement. Son regard plongé dans le sien. Elle l’écouta puis dit.


Oui Henki, Genor est magique. Que ferions-nous sans nos enfants… nous serions déjà bien loin l’un de l’autre…

Il parla de former une vraie famille, son cœur se serra. Une vraie famille ? En avait-elle déjà connu une ? Savait-elle même ce que c’était ? Plus le temps passait plus elle en doutait. Toute son enfance elle s’était sentie à par dans cette famille d’aristotélicien bourgeois sérieux. Elle fuyait les réunions familiales, l’ennui. Jamais elle n’avait pu se confier à sa mère et jamais elle n’avait partagé des moments avec son père… Puis vint Henki, la folie qui lui manquait, un amour de jeunesse, des étreintes maladroites et une grossesse. Ses parents l’avaient mise dans un couvent, lui avait enlevé son enfant et cela avait suffit pour qu’elle coupe tout pont avec eux. Une vraie famille..

Elle le regarda, il lui déclara son amour, fit des promesses. Elle frissonna, il s’approcha doucement, ses lèvre frôlèrent les siennes, elle ferma les yeux se sentant emportée dans un élan de sentiment. Elle sentit son souffle contre sa bouche. Elle allait s’abandonner mais, la peur l’envahit et elle se retira rapidement
.

Henki.. je.. je.. mais elle aperçu la tristesse dans le regard du père de ses enfants.. elle en eu mal, sentit les larmes monter.. oh et puis tant pi c’est bon le pêché. Elle se jeta dans ses bras et l’embrassa avec passion, tremblante d’envie, tremblante d’amour… Elle dégusta ses lèvres, mangea sa langue avec délices.

Oublia pendant cet instant tout les soucis qui découlerait de cet acte… mais une petite voix disait bien loin... Et Vaudan, ton mari, tu devras choisir..

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le temps passe... envie de voyage, de liberté, de profiter de sa famille
Ancienne Avoyère de Fribourg (5 mandats)
Ancienne Prime consul de Lausanne (2 mandats)
Ancienne juge de Lausanne (2 mandats)
Ancienne Diplomate pour Lausanne (1 mandat)
Henki
Le temps semblait avoir ralentit son cour et paraissait terriblement long à l’homme qui n’entendait plus à ses oreilles que le puissant tambourinement de son cœur. Sa bouche se rapprochait toujours plus de sa destination, du plaisir, du bonheur. Il sentit le souffle chaud de son amante et son désir en fut décuplé, il accéléra sa progression et quand il effleura son but elle se retira. Le baron se sentit meurtri et son regard chargé de peine se fit le porte parole de sa douleur, mais alors ce fut Prongs qui prit les devant et vint lui donner ce baiser de réconciliation qu’il espérait tant, et quel baiser plein de passion et d’envie.

Ce n’est pas un pêché que de s’affranchir de ce qui nous éloigne de l’amour…

Il lui rendit son baiser avec tout autant de fougue si ce n’est plus, l’enserrant dans ses bras, caressant son doux corps de ses mains agiles. Il l’emmena jusqu’au lit ou ils purent s’allonger ensemble et se laisser aller aux douces joies de l’amour avec tendresse et volupté. Henki contempla avec ravissement la femme nue qui c’était donné à lui et laissa échapper deux simple mot lourd de sens.

Je t’aime.
Prongs
Elle se laissa mener jusqu'au lit. Leurs étreintes avaient toujours été passionnées. Ils passèrent la nuit enlacé, leurs corps unis, Il lui dit qu'il l'aimait, elle le lui montra avec son corps, usant de sa féminité.

La nuit passa, mêlée de sommeil et d'amour. Puis les paroles resurgirent. La main de Prongs caressait le torse de son amant.


Que nous arrive-t-il ? Me perdre à nouveau dans tes bras va de loin pas arranger ma situation.. Il va falloir que je parle avec mon mari. Et je sens les remarques fuser à nouveau. Je lui avais fait des promesses. Prongs pose sa tête sur le torse d’Henki. Suis-je vouée à devoir toujours me battre. Les difficultés ne m’ont jamais fait peur, tu le sais. Mais j’aimerai pouvoir m’abandonner dans l’insouciance et vivre simplement le moment présent sans me questionner. Elle resta la pensive, son doigt jouant avec les courbe du corps de son amant. Mais je suis bien songeuse. Elle releva la tête et l’embrassa tendrement.

J’ai tout de même l’impression que notre fille a fait en sorte que l’on se retrouve… tu vois je crois qu’elle t’aime bien, malgré ce qu’elle a pu dire ce soir. Elle sourit. Mais par contre elle attend de se sentir défendue et protégée par son père.

Silence à nouveau, elle observe cet homme à ses côtés, se pencha en avant et doucement lui dit dans l’oreille : Je t’aime.
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Henki
Il écouta avec attention les préoccupation de sa femme, alors que les douces caresses qu’elle lui procurait suffisaient à le faire frissonner. Son regard de feu se noyant dans les profondeurs bleutées des yeux de son amante, il lui sourit, avec cet air que seul ont les hommes comblés, et lui répond d’une voix rassurante et paisible.

Ils nous arrive la meilleur chose possible mon aimé, et je sais que tout ceci ne serra pas simple pour toi, tu avais déjà pris des dispositions qu’il te faut maintenant revoir, mais maintenant je suis la pour toi, et je ne t’abandonnerais plus. Je rêve moi aussi de pouvoir vivre dans la candeur et l’allégresse sans plus avoir à se torturer et à se battre. Je sais aussi que ceci n’est possible qu’avec toi et nos enfants à mes côtés, et nous n’aurons qu’à allez quelque part ou cela serra possible, ou plus personne ne viendra nous déranger.

L’homme répondit avec plaisir au baiser tout en caressant la joue de Prongs délicatement.

Oui j’ais comme l’impression que nous avons étaient les marionnettes d’une comédie orchestré par notre fille. Laisse échapper un léger rire. Mais que m’importe tant la fin de l’histoire semble belle. Sourit. J’espère que tu as raison et qu’elle m’aime ne serrais ce qu’un peu… Nous nous connaissons malheureusement si peu. Je ferrais tout pour rattraper le temps perdu avec elle, je veux qu’elle puisse me considérer comme son père pas seulement comme son géniteur.

Le je t’aime qui vint sonner à ses oreilles remplit son cœur de joie alors que son corps semblait s’alléger tout à coup d’un énorme poids. Il serra la belle dans ses bras et l’embrassa longuement. Le silence, la langue de ceux qui n’on pas besoin de vulgaire sons pour ce comprendre, la langue de ceux qui n’ont besoin que d’être ensemble pour chasser l’ennuie, les entoura de sa sérénité pendant un long moment. Soudain Henki brisa le calme se rappelant que leurs enfants attendent.

Hum nous devrions peut être retourner voir Louis et Genor, ils doivent se demander ce que l’on fait, enfin louis du moins…
Prongs
Prongs appréciait ce silence, elle avait chassé toute pensée contradictoire, simplement lovée contre le corps de cet homme qu’elle aimait toujours. Qu’aurais pu être notre vie si jamais nous nous serions séparés ? Un bonheur qui durait depuis tant de temps. Quelques choses d’improbable, mais de beaux. Elle s’enivra de l’odeur d’Henki fermant les yeux, profitant de cet instant de calme simple. Quand elle entendit des bruits dans la maison.

Hum nous devrions peut être retourner voir Louis et Genor, ils doivent se demander ce que l’on fait, enfin louis du moins…
Oui.. sûrement…


Elle déposa un dernier doux baiser à son amant, puis se releva. Il y avait dans la chambre un pot rempli d’eau, elle se nettoya, puis remit ses vêtements qui avait été dispersé. Son ventre gargouilla, et elle se rappela que se nourrir d’amour, bien que cela soit des plus agréables, n’était de loin pas suffisant.

Elle se dirigea vers la cuisine ou elle observa le frère et la sœur préparer de bon mets : simple mais l’odeur alléchante suffit pour réveiller son appétit.


Elle entra, Genor lui lança un petit regard, sourire aux lèvres. Elle ne tenta pas de cacher les apparences, sa fille savait bien. Prongs savait que sa fille aimait aussi, mais que son homme était bien loin et chaque jour mettait sa vie en danger. Elle lui sourit, sourire de soutien.

Ça m’a l’air bien bon tout ça. Merci ma fille et elle l’embrassa chaleureusement. Ce merci était bien plus qu’une simple marque de politesse, mais portait en lui un message bien plus profond : merci d’avoir contribué à ce que notre famille tienne…

- Dites les tourtereaux, il faut que je m'en aille ... J'ai dit que j'allais au couvent, ce n'est pas vrai naturellement... Moi, dans un couvent !

Mais je dois partir, quelqu'un m'attend sur la route vers la Comté ... Je serai absente une quinzaine....


Vas y Genor, mais prend garde à toi. On ne sait jamais qui rode sur les routes… et parfois ce n’est pas à qui l’on pense. Comme on dit : c’est la poule qui caquette qui pond l’œuf.

Maman, tu peux retrouver Philo ? Je n'aime pas la savoir seule : à Fribourg, elle est connue et appréciée, ici ... elle doit se sentir perdue même si elle est débrouillarde. Elle sait que je m'en vais, mais je ne pensais pas rester aussi longtemps ici...
Je vous écrirai....


Je retrouverai ta petite protégée. Je l’aime bien aussi. Elle a du sûrement se rendre à la mairie pour les rats. Elle pourra venir loger avec nous, et jouer avec notre Louis. Elle regarda son jeune fils qui dormait paisiblement.

Et sa fille partit, mais Prongs savait qu’elle n’avait pas tout dit. Elle vit sa fille partir avec un air triste, et le cœur lourd. Quelques choses la préoccupaient. Elle aurait aimé que Genor se confie, mais cela viendrait le moment venu. Ne prend pas trop de risque ma fille…

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Henki
Henki savoura le baiser de son aimée puis attendit qu’elle est fini sa toilette pour se rafraîchir à son tour, puis il se rhabilla correctement. Le baron suivit sa femme jusqu’à la pièce ou se tenait leur deux enfants. Il leur offrit un grand sourire radieux tout en appréciant les délicieuses effluves qui s’échapper des marmites et autres ustensiles de cuisines. Il alla d’ailleurs examiner de plus prêt le dîner se penchant au dessus des fourneaux avec plaisir, lui-même grand amateur de cuisine.

Ma foi la fille tu as sur faire au mieux avec les moyens du bords, ta mère à raison cela à l’air excellent, mais je te promet que la prochaine fois j’aurais fait les courses et c’est moi qui concoctera le dîné.

Il lui rendit son sourire puis l’écouta avec un pincement au cœur leur annoncer qu’elle devait partir. Henki qui était si heureux que sa famille et put se réunir ne pouvait qu’être amère à l’idée de voir sa fille, qu’il voulait tant apprendre à connaître, partir à nouveau loin de lui mais il ne pouvait l’en empêcher et sûrement avait elle d’importantes choses à faire.

Ecoute ta mère et fais bien attention à toi.

Puis la discussion divergea sur une certaine Philomène qu’il fallait retrouver. Le baron se demanda bien qui pouvait être la jeune fille que Genor avait recueillit mais il ne s’opposa aucunement à la retrouver et l’héberger.

J’aiderais ta mère à la retrouver, je connais encore quelque personne à Murten et si elle est passé à la mairie cela ne devrait pas être trop dur de trouver une piste. De plus il y à de la place dans cette maison et elle y serra la bienvenu, ce serra bien pour Louis d’avoir quelqu’un de plus jeune que nous pour jouer avec lui.

Alors son enfant vint l’enserrer de ses bras et il n’hésita pas une minute à la serrer tout contre lui, trop heureux de la retrouver et d’avoir avec elle quelques affections filiales.

Merci ma fille, et je saisirais tout ce qu’il faudra pour garder ma famille avec moi, alors si je te laisse partir aujourd’hui c’est avec la promesse de te revoir très bientôt.

Elle quitta ses bras pour embrasser sa mère puis revint dans les siens, il l’embrassa chaleureusement et accepta finalement de la libérer de son étreinte pour qu’elle puisse prendre la route. Genor venait de partir et Prongs restait figé, semblant perturbé par quelques soucies. Henki s’approcha délicatement d’elle et l’enlaça tendrement.

Tout va bien mon amour?Tu à l’air pensive, y à t’il quelque chose qui te tracasse?
Prongs
Elle se retourna est aperçu sur la table un papier...

Oui Henki je suis bien pensive, mais j'ai appris à connaître notre fille et mon instinct de mère me dit qu'elle prépare quelques choses.

Elle prit le bout de papier mais rapidement reconnu l'écriture de Genor. Elle lu la lettre, son coeur s'accéléra! Genor mais que fais-tu..... Elle s'assit le temps de reprendre ses esprits et tendit le mot à Henki.



Père, Mère
J’espère que vous poursuivez vos retrouvailles… Je l’espère vraiment.
Profitez… On ne vit qu’une fois… Carpe diem : cueille le jour …

On ne vit qu’une fois … Justement, ce que j’ai à vous apprendre est difficile.
Père, j’ai besoin de vous.
Après tant d’insultes, après tant de traverses et honte bue et ravalée, j’ai relevé le gant du déshonneur.
Je veux en finir avec cet infâme nobliau noir qui souille notre nom, notre religion et ridiculise notre ville.
J’ai défié Tchantchès.
Pour un duel à mort .

C’est cela que je devais vous dire. Je n’ai pas eu le cœur de briser la magie de vos retrouvailles.
Mais je suis beaucoup plus faible que lui, même si je suis sûrement plus subtile et charismatique ….
Je n’ai pas son expérience non plus…. Plus d’arme depuis que j’ai quitté l’ACF.
Père… et toi aussi, Prongs…. J’aurais besoin de vous, à mon retour, pour me préparer matériellement et physiquement.
Pour le moral… Deos me soutient … Et le sentiment de la justice et de ma dignité.
C’est encore plus vrai, maintenant que je sais d’où je viens… De qui je suis la fille.
Je vous aime… Cela me déchire de risquer ma vie maintenant…
Cela me fait mal de vous plonger, si vite dans l’angoisse….Mais rien ne me fera reculer… Rien si ce n’est la mort de Tchan de la main d’un autre qui m’aurait précédée.

Je vais prier le Très Haut de me pardonner ce désir de meurtre. Je n’ai, moi, encore jamais ôté la vie d’aucun de mes semblables… Mais je le ferai…

Embrassez petit Louis de ma part. Dites à Philo que j’ai appris une nouvelle chanson pour sa jolie voix.
Je vous embrasse tous les deux.
Et j’espère que vous ne manquez pas de … vous le faire l’un à l’autre. Ya du temps perdu à rattraper, vieux idiots que vous êtes !
Votre Genor, fille de Prongs et du Baron de Lutigen.

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Henki
Henki prit le papier avec une certaine appréhension au vu de l’effet qu’il eu sur sa femme. Il le lut cependant et l’émotion le submergea. Sa vie lui sembla tout à coup bien tortueuse, à peine eut il retrouvé sa femme et sa fille que l’une d’elle risqué à nouveau de lui être enlevé… Mais l’homme n’était pas prêt à laisse les caprices du destin lui prendre ce qui lui était le plus chère. Une terrible résolution s’empara de lui, il saisit sa femme dans ses bras et la serra fort contre son torse, la berçant délicatement.

Ne t’inquiète pas il n’arrivera rien à notre fille, je te le promet, non je te le jure…
Je vais la rattraper et je prendrais sa place comme adversaire de tchantchés, je n’admettrais pas qu’elle risque sa vie maintenant. Des parents ne devraient jamais avoir à enterrer leur enfant.


Ces paroles prononcés plus question de faire marche arrière. Le baron qui c’était retiré des combats et de la guerre depuis des années déjà pour se consacrer aux batailles politiques et juridiques, se devait maintenant de reprendre l’épée en main pour de bon. Il espérant ne rien avoir perdu de son art, bien que se doutant que les quelques trop bref entraînements que sa fainéantise avait put supporter depuis qu’il c’était retiré du champ de mort n’auraient pas éviter à sa lame de s’émousser.
Prongs
La réponde d’Henki résonna en elle.

Ne t’inquiète pas il n’arrivera rien à notre fille, je te le promets, non je te le jure…
Je vais la rattraper et je prendrais sa place comme adversaire de tchantchés, je n’admettrais pas qu’elle risque sa vie maintenant. Des parents ne devraient jamais avoir à enterrer leur enfant.


Les battements de son cœur s’accéléraient. Mais elle savait, que rien ne changerait les choses. Elle n’avait qu’une réponse à donner.

Massacrer le. Si vous ne le faites pas je le ferai. Je vous aiderai à la combattre ! Nous vaincrons !

Elle avait toujours su que ce moment viendrai, elle avait toujours sur que Genor un jour demanderai la peau de Tchan.

Il va falloir s’entrainer, se préparer. Ne laissons aucune chance à notre adversaire !

Elle marcha tournant en rond dans cette cuisine, cherchant désespérément quelques choses à faire, un moyen de se rendre utile.

Mais d’abord retrouvons cette jeune fille. Nous l’avons promis à notre fille. Allons dans cette mairie. Puis en rentrant le marché ou nous prendrons de quoi te rassasier pour le duel.

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