Aimelin_
[campement Vae Victis dans la tente de Madg avec la comtesse]
La discussion entre les deux femmes allaient bon train chacune défendant ses arguments, chacune campant sur sa position.
Madg voulait l'amnestie pour ses hommes et femmes. Mais lui ne laisserait sa Générale et ne rendrait les armes que si l'armée était vide. Le cri d'un garde annonçant que l'armée adverse avait levé leur bannière lui glaça le sang.
Mais les deux hommes qui dirigeaient cette armée étaient ils devenus fous à vouloir les attaquer alors que la comtesse étaient dans le camp, ou voulaient ils tout simplement poutrer des hommes et des femmes par gout du sang. Aime choisit la deuxième solution même s'il s'était refusé à croire que les soldats du Béarn étaient des bêtes assoiffées de sang. L'image de ses deux amies passa devant ses yeux... s'il leur arrivait malheur il tiendrait ces deux hommes pour responsables.
Aimelin, raccompagne la Comtesse hors de ce camp, par derrière
pas de risque qu'elle se prenne une flêche par on ne sait d'où...
oui et je te retrouve devant !
Un regard vers Madg et un vers celui d'Ingénue à qui il attrapa le bras sans ménagement même s'il essayait de ne pas être brute. Il était félon aux yeux du peuple mais il était Lame et surtout il était un homme d'honneur et il ne serait pas dit qu'il laisse son Coms en danger.
Ironie du sort que de protéger celle que son armée Vae Victis voulait détronner.
viens suis moi et je ne te donne pas le choix !
Le ton était sec sans appel de réponse, elle le suivrait ou il l'entrainerait de force.
Un regard vers l'entrée du camps ou les cris fusaient, le bruit des lames, la poussière les hurlements, il les avait encore en tete ee il allait revivre ça.
Tenant sa coms par la main il l'entraina en courant vers la petite sortie qui se trouvait à l'arrière du camp et se dirigea vers une cabane de pierre à quelques centaines de pas et la fit entrer refermant la porte derrière eux.
tu ne bouges pas d'ici tant que la bataille n'est pas finie. Il ne sera pas dit que je n'aurai pas protégé ma comtesse même si c'est son armée qui attaque. Et je t'en conjure reste à l'abri.
Il planta ses yeux gris dans ceux de la blonde quelques secondes
Retrouve moi aux grottes de Betharram demain soir... Avec Magd... Si elle le souhaite...
nous viendrons nous voulions la paix et tu sais que c'est mon souhait le plus cher en attendant ne bouges pas d'ici j'envoie un soldat surveiller.
Il avait tant de choses à dire mais ca n'était pas le moment. Il la regarda avant de ressortir et fermer la porte pour rejoindre la bataille en courant.
Il avait des hommes à défendre.
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La discussion entre les deux femmes allaient bon train chacune défendant ses arguments, chacune campant sur sa position.
Madg voulait l'amnestie pour ses hommes et femmes. Mais lui ne laisserait sa Générale et ne rendrait les armes que si l'armée était vide. Le cri d'un garde annonçant que l'armée adverse avait levé leur bannière lui glaça le sang.
Mais les deux hommes qui dirigeaient cette armée étaient ils devenus fous à vouloir les attaquer alors que la comtesse étaient dans le camp, ou voulaient ils tout simplement poutrer des hommes et des femmes par gout du sang. Aime choisit la deuxième solution même s'il s'était refusé à croire que les soldats du Béarn étaient des bêtes assoiffées de sang. L'image de ses deux amies passa devant ses yeux... s'il leur arrivait malheur il tiendrait ces deux hommes pour responsables.
Aimelin, raccompagne la Comtesse hors de ce camp, par derrière
pas de risque qu'elle se prenne une flêche par on ne sait d'où...
oui et je te retrouve devant !
Un regard vers Madg et un vers celui d'Ingénue à qui il attrapa le bras sans ménagement même s'il essayait de ne pas être brute. Il était félon aux yeux du peuple mais il était Lame et surtout il était un homme d'honneur et il ne serait pas dit qu'il laisse son Coms en danger.
Ironie du sort que de protéger celle que son armée Vae Victis voulait détronner.
viens suis moi et je ne te donne pas le choix !
Le ton était sec sans appel de réponse, elle le suivrait ou il l'entrainerait de force.
Un regard vers l'entrée du camps ou les cris fusaient, le bruit des lames, la poussière les hurlements, il les avait encore en tete ee il allait revivre ça.
Tenant sa coms par la main il l'entraina en courant vers la petite sortie qui se trouvait à l'arrière du camp et se dirigea vers une cabane de pierre à quelques centaines de pas et la fit entrer refermant la porte derrière eux.
tu ne bouges pas d'ici tant que la bataille n'est pas finie. Il ne sera pas dit que je n'aurai pas protégé ma comtesse même si c'est son armée qui attaque. Et je t'en conjure reste à l'abri.
Il planta ses yeux gris dans ceux de la blonde quelques secondes
Retrouve moi aux grottes de Betharram demain soir... Avec Magd... Si elle le souhaite...
nous viendrons nous voulions la paix et tu sais que c'est mon souhait le plus cher en attendant ne bouges pas d'ici j'envoie un soldat surveiller.
Il avait tant de choses à dire mais ca n'était pas le moment. Il la regarda avant de ressortir et fermer la porte pour rejoindre la bataille en courant.
Il avait des hommes à défendre.
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